Euh, on fete encore noël ??

Euh oui ... faut pas les déranger

Après avoir vu mon fils à l'entrainement sur un X-302. Je décidai de rejoindre ma femme, elle s'était endormie paisiblement et malgrès que je pris toute les mesures pour ne pas l'éveiller, celle-ci ouvrit les yeux "Hello" me lança t'elle

*Conversation*

- Tu ne devineras jamais le souhait de ta fille.
- Ne me dit pas qu'elle veut déjà se marier ?
- Non, pas vraiment.
- Manquerai plus que ça, parce que je donnerai pas sa main au premier Gugus, c'est vrai quoi ...
- Mais non triple idiot, elle désire autre chose.
- Quoi ? un cheval, un chien, un poney, un chat, un singe, une crevette, un loukoum, un balai brosse ?
- Tu le fais exprès ou quoi ?
- Non, mais qu'est ce que j'en sais moi, de ce qu'elle désire, déjà qu'elle se barbouille la figure, qu'elle met des mini-jupes, que plus court, c'est une ceinture !!! Alors, tu vois notre fifille chérie elle m'inquiète. Qu'est-ce qu'elle veut ?
- Un bébé !

Je manquai de recracher mon café que je m'étais pris au distributeur en passant dans le couloir.

- KKKWWWWAAA ????

C'est grosso modo le son qui sorti de ma bouche quand j'entendis les paroles de Coprenha

- Attend, ne panique pas ....

- Comment ça ? pas niquer, mais si elle veut un ...enfin elle va ...

J'étais tellement en affaire que je m'assis sur une chaise avec l'air d'un mec complètement défoncé

- Non, calme toi, elle souhaiterai juste que je sois, enfin, que nous lui fabriquions un petit frère ou une petite soeur.

- Excuse moi mon amour, mais je crois que je vais aller consulter mon ORL, j'ai cru entendre que TA fille souhaite un frère ou une soeur. Tu vois, à force d'avoir ces réacteurs subluminique à plein régime dans le dos j'ai des hallucinations auditives.

- Tais toi, sot !

Et ma femme m'agrippa par le bras pour m'embrasser.

- Non mais, c'est fini oui !
- Chuuuut, c'est par ici que ça ce passe.

Et ma femme m'embrassa de plus belle, je parvins toute fois à articuler un truc qui devait ressembler à ceci.

- M'enff hin houuu , ef y le véné'al a rrvé mintant kes ky di é

Et tu sais ? non mais dit, tu sais ce que ma femme me répond ?

- il prendrait des croquis, voir des clichés, pour ses exploits personnels avec Mme Zouzou.

Oui, toi forcément ça te fait rire, c'est pas ta pomme qu'est dans la merde, merci pour la solidarité ! Ha ! j'te jure ! Et ça se dit des amis ! c'est ça marre toi.

Mais c'est qu'en plus, il a investi dans du matos maintenant notre général chéri, il va plus se contenter de déssiner mais il nous filmera, je le prédis, je le sent! . Il s'en fera une collection, qui sera disponible en DVD collector pour la Noël dans tout le SGC, histoire de marquer le coup sur le post que tu lis ici même. Crois moi que, le coup de la balancoire Croate inversée et la dégustation du quartier de tarte au poil sur du coulis, il l'a noté deux fois plutôt qu'une l'artiste, l'illustre, que dis-je, notre gourmet en chef !

J'arrêtai de l'embrasser. J'allais légèrement mieux mais j'avais envie de sortir de cet endroit. Disons que je ne voulais pas y moisir pendant un temps qui me semblera être une éternité.

J'enlevai mes bras qui étaient autour de la taille de mon mari. Je le regardai ensuite dans les yeux avant de poser le pied par terre. Je savais que je n'aurais pas dû. Mais bon, j'avais assez de forces pour marcher et peut-être aller tranquillement dans mes anciens quartiers. J'enlevai les pastilles qui me reliaient à des appareils de surveillance puis je m'avançai vers ce qui tenait ma perfusion. Je pris dans ma main gauche, la poche transparente qui constituait ma perfusion. Je me tournai vers Kwarck et lui adressai un clin d'oeil.

"Je vais me rendre dans mes anciens quartiers pour faire le point sur ce que vient de dire, notre fille."

J'étais assez gênée par les confessions de Sariana donc c'est pourquoi j'avais décidé de m'aérer les pensées dans mes anciens quartiers. Je marchai d'un pas assez rapide pour sortir de la salle de soins. Dans les couloirs menant à l'ascenseur du niveau 21, je me mis à penser aux expériences du NID. Comment oublier tout ça ? Je ne pouvais rien y faire. Je me revis allonger et subissant une piqûre forcée dans le bas-ventre. J'aurais mieux fait de rester allongée à l'infirmerie, le temps de me remettre de ces évènements. Non, je voulais sortir et bouger un peu.

J'arrivais enfin près des portes coulissantes de l'ascenseur. Malheureusement, je n'avais pas ma carte magnétique sur moi. Je tournai ma tête vers la gauche et vers la droite pour voir si il y avait un soldat qui passerait par là. Quelques mètres vers ma droite, j'en vis un.

"Soldat, j'ai un service à vous demander."

Il s'approcha de ma position. Il fronça légèrement les sourcils et se mit à me fixer.

Soldat : "Qu'il y a-t-il pour votre service, mademoiselle ?"

"Sous-lieutenant et non mademoiselle. J'aurais besoin de votre carte magnétique pour faire fonctionner l'ascenseur."

Il plongea sa main droite dans la poche externe droite de son treillis et en sortit une carte semblable à la mienne. Il se dirigea alors vers le lecteur optique et passa sa carte dans l'appareil. Une lumière verte apparut sur la machine et les portes coulissantes s'ouvrirent.

"Merci, soldat."

Il me fixa encore plus. Je fus gênée par le lourdeur de son regard insistant. Qu'avait-il pour me regarder de cette façon ? Il devait être étonné du fait que je portais une blouse blanche de l'infirmerie. J'entrai dans la cabine et appuyai sur le bouton du niveau 24. Les médecins qui m'avaient amené à l'infirmerie, penseraient que je ferais une fugue mais il était tout autre. Mon mari savait où me trouver en cas de problème. Peut-être allait-il me rejoindre au moment où je passerais la porte de mes anciens quartiers ? Quelques instants plus tard, j'arrivai enfin au niveau des quartiers du personnel. Au moment où je sortis, les portes coulissantes se fermèrent et je pouvais entendre que l'ascenseur était en train de monter. Comme à mon habitude, je marchai rapidement pour rejoindre mes quartiers. Une à deux minutes plus tard, j'étais devant la porte de mes anciens quartiers. Je tournai la poignée de la porte et je constatai qu'elle n'était pas fermée à clé.

Je laissai la porte grande ouverte au cas où quelqu'un arriverait. Mon téléphone fixe se mit à téléphoner. Qui pouvait m'appeler à cette heure-là. Je regardai alors ma montre. Il était 15h39. Je pris en main le combiné.

"Allô, qui est à l'appareil ?"

Code:

Je suis l'agent Smith du NID.

"Que voulez-vous ?"

Code:

J'ai appris par l'un de mes collègues que vous aviez été enlevé récemment pour des raisons que j'ignore.

"Pour qui travaillez-vous vraiment ? Vous n'êtes pas du NID car cette agence là..."

Code:

Désolé de vous couper. Vous avez été enlevé par une branche obscure du NID. Notre agence avait pour but d'étudier les technologies extraterrestres ramenées par la porte des étoiles et non d'enlever des jeunes femmes pour les rendre enceintes.

"Des jeunes femmes ? A ce que je vois, je n'ai pas été la seule."

Code:

Malheureusement oui. C'est pourquoi j'aurais besoin de votre aide pour demanteler cette branche obscure avant...

Il m'avait raccroché au nez. Non, quelqu'un l'avait forcé à couper la conversation, sans doute à cause de cette branche obscure de cette maudite agence qui voulait le faire taire mais à propos de quoi exactement. Cela me donna la nausée et j'allais vomir tout ce que j'avais pu manger durant les heures précédentes dans la cuvette des toilettes. J'entendis des bruits de pas assez suspects. Je me dirigeai vers mon bureau et sortit d'un des tiroirs, mon revolver. Mon arme était maintenant braquée sur l'entrée de mes quartiers. Je ne voulais pas avoir de surprises.

J'arrivai dans les quartiers de Coprenha

-Wooaaaaww, du calme ce n'est que moi repose ce flingue s'il te plait, tu m'as déjà poignardé une fois, je ne tiens pas à me prendre un pruneau.

- Désolé, mais je viens d'avoir un appel téléphonique suspect et en plus j'ai des nausées , je viens de vomir tout ce que j'ai avalé aujourd'hui

Ma femme m'expliqua en détail la conversation qu'elle avait entretenu avec le type du NID et aussi la façon dont celle-ci fût interrompue.

Je pris la décision d'en faire part au Général pour essayer d'éclaircir tout ça. Je décrocha le téléphone et composa également le numéro interne du Service médical pour leur demander de faire un suivi de l'état de santé de ma femme qui m'inquiètait.
Comme je me balade en permanence avec un mini kit de soin, je donnai un petit cachet pour au moins ne plus avoir de nausée même si celui-ci n'empêcherai pas les vomissements.

Puis, je repris de nouveau le téléphone et appela ma fille sur son portable pour lui demander de venir veiller sur sa mère pendant que j'irai enquêter sur cette histoire.

Après 3/4 d'heure, Sariana sonna à la porte et je pus partir pour regagner le bureau du Général.

==> Dans le bureau du Général.

Toc ! Toc ! Toc !

- Entrez !
- Bonjour mon général, excusez moi de venir vous importunez à cette heure mais...

Une porte s'ouvrit soudain et je vis une créature de rêve sortir tout droit du secrètariat du boss.
- Je vous présente Mme Zouzou, une secrètaire TRES qualifiée.

* Le général s'adressant à sa secrètaire *

- Laissez nous mon petit, on reprendra la dictée de ce texte plus tard

Puis se retournant sur moi,

- Je vous écoute Kwarck, que puis je faire pour vous ?

Après un long palabre, le général qui m'avait écouté attentivement avait cet air soucieux qu'on lui connait, quand l'un de ses proches est concerné dans une affaire délicate.

- Je vais téléphoner au Président, je n'ai pas autorité dans les services du NID et je ne puis fournir une preuve légal pour infiltrer des hommes dans leur locaux afin de mener une enquête. Surtout que le Sénateur est souvant contre nos petits agissements et qu'il fera tout pour influencer le Président si cette nouvelle lui arrive aux oreilles. Je vous tiens au courrant, Kwarck. A propos, ma réserve de coulis commence à faiblir quelque peu.

Je souris au Général et lui dit que j'avais reçu le message, je le salua et sorti de son bureau ...

J'avais avalé le cachet que m'avait donné Kwarck. Sariana était enfin arrivée que mon mari sortit très vite de mes quartiers pour une destination inconnue. Elle referma la porte derrière elle et m'invita à m'asseoir. Après m'être assise sur le divan, elle s'approcha de moi et commença à parler.

"Maman, il y a quelque chose qui te tourmente ?"

"En effet, Sariana."

Elle me regarda et j'avais l'impression qu'elle lisait mes pensées. Je la laissai faire, ça m'évitera de parler de cette histoire. Ses yeux sondèrent mon visage. Elle esquissa une grimace.

"Que se passe-t-il Sariana ?"

"Oh, c'est juste que depuis quelques instants, tu es devenue pâle."

"Tu ne voudrais pas que je finisse à l'infirmerie pour la fin de mes jours quand même."

Elle riait légèrement avant de se reprendre.

"Désolé Maman, je ne voulais pas que tu fasses une crise cardiaque surtout à cause de ce que je viens de dire. Tu deviens juste pâle. Je voudrais que tu t'allonges un peu."

"Pourquoi ? Je vais bien."

"A ce que je vois, non ! J'ai lu dans tes pensées, que tu venais de vomir avant l'arrivée de Papa et cette histoire te rend malade. Sinon, je serais obligée les grands moyens pour que tu t'allonges."

Son ton était autoritaire. Ses traits montraient une légère colère et je ne m'entêtait pas pour lire ce qu'elle avait derrière la tête. A mon avis, elle voudrait me ramener à l'infirmerie. Avant que ma fille ait insisté, je m'allongeai sur le divan. Elle s'approchai de moi et posa sa main gauche sur mon front.

"Que fais-tu Sariana ?"

"Je vérifie si tu n'as pas de température. Je sais que tu vas légèrement mieux mais le mieux, c'est que tu finisses ta semaine à l'infirmerie pour te changer les idées."

"Si je suis venue ici, c'est pour m'aérer les pensées surtout après tes paroles sur la conception d'un petit frère ou d'une petite soeur."

Elle se concentra. A mon avis, sa main posée sur mon front n'était pas du tout une vérification mais elle voulait m'envoyer dans les vapes. Je résista mais je tombai à moitié dans les choux. Je la vis se précipiter sur le combiné.

"Sariana, ne fais pas ça, je t'en prie."

"Je n'ai pas le choix, Maman. Je n'ai pas envie de te voir dans cet état."

Je ne l'entendis pas prononcer des paroles mais j'arrivai à lire dans ses pensées. L'équipe de garde arriva quelques instants plus tard et m'emporta. Quelques dizaines de minutes plus tard, je fus à la case départ dans le lit où j'étais à l'infirmerie. Ma fille avait laissé des consignes claires au cas où je tenterais de sortir à nouveau et pour éviter que ça n'arrive, les infirmières m'avaient légèrement sédaté.

Sariana m'avait même menacé de m'attacher à mon lit si je tentais de m'échapper à nouveau. Je reconnaissais là mon propre caractère. Elle était assise sur le lit voisin attendant le retour d'une infirmière ou de mon mari.

"Sariana, tu as laissé un mot à ton père ?"

"Oui, maman. Ne t'inquiète pas, repose toi plutôt."

Les sédatifs injectés m'aidèrent à m'endormir.

Astha entra dans la salle des fêtes pensant qu'elle était vide et fut étonnée d'y voir encore du monde


Euh... Noel c'est fini. Il faudra attendre la fin de l'année. Maintenant, il faut ranger le bazar ^^

Je frappa à la porte de la chambre de ma femme exténué d'avoir courru à gauche et à droite. "Coucou mes puces " dis-je à mes deux petites femmes. Sariana vînt m'embrasser sur le front (elle est plus grande que moi ^^) Et pour ma part, je vais embrasser ma femme, d'un doux baisé fruité. Comment fait elle pour avoir toujours ce goût subtil pensai-je, je lui souris et m'assis à ses côtés en lui demandant des nouvelles.

Je répondis au baiser de mon mari. C'est à ce moment là que j'entendis ses pensées. J'esquissai un léger sourire puis je m'empressai de répondre à ce qu'il venait de se poser comme question.

"C'est dû au gloss aux cerises."

Quelques instants plus tard, il me demanda des nouvelles fraîches me concernant. Je tournai la tête vers les nombreux recoins de la salle et explicitai à Sariana de sortir de la salle pour nous laisser tous les deux. Elle quitta la pièce d'un pas rapide pour rejoindre une destination inconnue. Je me dis alors qu'elle allait peut-être nous espionner, chose que j'aurais faite si ma mère devait dire quelque chose à mon père. Sacré héritage caractériel ! Enfin, mon regard se détourna en direction des yeux noirs et profonds de Kwarck.

"Voilà donc les dernières nouvelles fraîches me concernant. Notre fille m'a forcé à retourner ici contre ma volonté. Mais bon, tu me connais. Je n'aime pas rester enfermée dans cet endroit qui me semble sinistre. J'ai l'impression d'être une prisonnière ici. Je crois que j'ai fait le tour des nouvelles fraîches."

Je me relevai doucement pour arriver quelques instants plus tard à poser le pied par terre. Mon mari étant assis à côté de mon lit, j'en profitai alors pour le prendre dans mes bras et je l'enlaçai légèrement avec mes bras.

"Je crois aussi que tu m'as manqué pendant que tu n'étais pas là."

Et finalement, quand j'eus fini de parler, je me mis à l'embrasser longuement.

Ma femme m'embrassait maintenant depuis plus de douze minute, peut-être pour que je profite du goût de la cerise qui est mon fruit préféré, avant quel ne me pousse d'avantage sur son lit, et qu'elle vint carrément s'assoir sur moi "AhOuuuffffff" l'air comprimé dans mes poumons venait de sortir d'un seul coup. Ma femme me regardait avec un air taquin, celui là même que j'avais eut la chance de voir lors de notre première rencontre.
Je me demandais si ma fille n'avait pas réussi son coup pour influencer sa mère car tout d'un coup, elle se jetta sur moi, tel un Pitt Bull de rappeur, sur une petite vieille du 93 ^^

Je le regardais droit dans les yeux et je pouvais maintenant constater que l'effet des sédatifs avait disparu depuis un petit moment. Un petit sourire s'afficha sur mes lèvres.

"Que faisons-nous à présent maintenant que Sariana est partie ? Partons-nous à l'aventure à travers la porte des étoiles pour nous changer les idées ?"

Ainsi, je me relevais pour laisser respirer mon mari. J'étais prête à rire d'autant plus que je le fixais toujours ses yeux noirs. Mon sourire ne s'estompait pas. Soudain, une idée me vint en tête : traverser la porte des étoiles dans le but de visiter une planète. Elle fallait qu'elle soit amicale car je voulais aussi emmener les enfants pour qu'ils puissent découvrir leur futur environnement de travail. En somme, c'était un stage de découverte. Mes yeux brillèrent d'envie à l'idée d'explorer un autre monde. Ces derniers temps étaient difficiles certes mais l'envie ne s'effacerait pas comme par enchantement.

J'enlevai alors mes mains autour de la taille de Kwarck et je me dirigeai vers une chaise là où étaient posés mon uniforme de travail. Je les pris en main et je m'avançai vers le paravent. Je me changeai en deux minutes seulement. Mon mari était assis sur mon lit d'infirmerie.

"Me voilà prête pour attaquer l'exploration d'une nouvelle planète. Cela te dirait ?"

Je revins vers mon mari et je m'assis à côté de lui. Je me jeta à nouveau dans ses bras et je l'embrassa longuement une nouvelle fois en attendant une réponse de sa part.

Décidemment, ma femme m'étonnera toujours ... Elle venait de prendre cette décision de traverser la porte, pourquoi cette idée, alors qu'elle venait de se jeter sur moi ? je restai là allongé sur le lit pendant qu'elle se changeait. Peu de temps après, elle apparu devant moi dans son uniforme militaire. "Crévîndjiuuuuuu ! " comme dirait le fermier chez qui j'achète mes patates. Je restai muet d'admiration, il est vrai que c'était la toute première fois que je voyais Coprenha dans son habit de travail. Je bondis hors du lit et m'approcha d'elle. "Dis moi, tes ennemis doivent traverser le Styx avec l'agréable souvenir d'une femme sexy. J'ignorai combien cet uniforme te sié à merveille"
Je pris alors mon appareil de communication et tenta de rentrer en contact en premier avec William puis avec Sariana.
Mon fils décrocha presque immédiatement, son entraînement journalié venait justement de se terminer, je lui proposa un voyage par la porte et il accepta avec empressemment. Quand je voulu contacter Sariana, je tombai sur une messagerie comme quoi elle est occupée ou qu'elle est au volant de sa voiture et qu'elle rappellera une fois qu'elle sera garée...
Je marquai un moment de surprise en entendant les dernières paroles. *Quand est-ce qu'elle avait passé son permis cette chipie ? * pensai-je
Ma femme qui n'avait pas perdu une miette de mes pensées éclata de rire. "Je vois que je ne suis pas la seule a être dépassée par les évènements"
"En effet" (décidement Teal'c a de l'influence sur mon language ^^)
"Allé p'tit gris, partons" me dit le militaire en jupon
* Faudrait voir à pas me confondre avec un gastéropode *
Ma femme éclata de rire de plus belle en lisant mes pensées

"Eh oh, c'est fini oui ? C'est vrai quoi ... j'ai même plus mes pensées pour moi"

"Sois pas grognon mon chou" me dit elle, et comme pour s'excuser de son indiscrétion, elle m'embrassa.

Ma femme s'avait qu'au fond de moi, je ne lui en voulait pas le moins du monde et qu'au contraire j'étais heureux qu'elle puisse rivaliser avec moi sur ce plan.
C'est ainsi que je lui transmis par téléphatie * Ok, pour l'idée de Sariana * ma femme appuya son baisé et ses yeux brillèrent comme deux soleils *Quand tu veux, où tu veux*
* Attention, que je ne te prenne pas au mot * (pas homo, vaudrait p'têt mieux tu crois pas ? ^^)

*Allez, c'est parti mon kiki.*

Mon téléphone vibra dans la deuxième poche de mon uniforme de travail. Alors je plongeai ma main droite pour empoigner mon téléphone portable. L'affichage numérique afficha "appelant inconnu". Je maudis jusqu'à la quinzième génération, celui ou celle qui voulait me joindre et qui s'était mis en inconnu. Mais finalement je décrochai et je mis le combiné sur mon oreille droite.

"Allô, qui est à l'appareil ?"

Code:

C'est moi Mam. Quelqu'un a essayé de me joindre pendant que je conduisais à Colorado Springs ?

"Oui, c'est ton père."

Code:

Que se passe-t-il de si important pour qu'on vienne me déranger alors que je fais la chasse.

"Disons que nous allions te proposer une mission sur une autre planète et en famille qui plus est."

Code:

Chouette mais bon, ça ne me tente pas trop. J'ai une mission à remplir ici.

Et elle finit par raccrccher au nez sans même un "au revoir" . Elle faisait sans doute des siennes. Mon regard se fixa à présent sur Kwarck et pour éviter que des oreilles indiscrètes nous entendent, je me mis à parler en télépathie.

*J'ai comme l'impression que notre fille a une petite crise de rébellion. Après tout, c'est son âge.*

Assez nerveuse, je baissai la tête jusqu'à que mon regard se fixa sur le carrelage de la salle de soins. Je m'apprêtai à sortir de la pièce mais j'attendis Kwarck et l'arrivée de Williams ici.

J'arrivai avec William ma femme nous attendait, "Pour qu'elle planète partons nous ?" demandai-je.

Ma femme me regarda l'air vague et ne me répondit pas, elle se dirigea dans le couloir menant au poste de commandement de la porte et discuta avec Samantha Carter un long moment, puis Walter qui était aux commandes rentra une adresse et ouvrit l'iris, le flot bleu de la porte s'ouvrit et n'attendait plus que nous. "Let's go ! " nous suivions de nouveau ma femme sans autres explications, elle s'engouffra par la porte au pas de gymnastique nous obligeant à en faire de même pour ne pas la perdre de vue. Une fois de l'autre côté, ma femme dit enfin, "nous y sommes"

Arrivés de l'autre côté de l'horizon des évènements, je pouvais admirer l'étendue de la végétation qui nous entourait. Je descendis les marches de la plateforme qui contenait la porte des étoiles. Je m'avançai vers le DHD. Je l'observai et je me mis à me rappeler des coordonnées de la Terre. Puis je détournai mon regard vers l'anneau de naquadah. Sariana marchait tranquillement en direction d'un arbuste pour voir si il avait quelque chose de différent avec la végétation de ma planète natale. J'eus un doute à ce moment-là.

"Kwarck, as-tu emmené des armes au cas où ? Je ne sais pas si cette planète est hostile ou non. Disons que je préfère me méfier des apparences si souvent trompeuses."

Ma fille fut rejointe par son frère. Il avait l'air soucieux. J'avais comme l'impression qu'il ne sentait pas en sécurité sur cette planète. C'est alors que je décidai de lui poser une question pour confirmer cette impression.

"Ça ne va pas, Williams ?"

Il se retourna pour que je sois en face en lui. Je sentai quelque chose de bizarre à mon tour. Une impression de malaise s'empara de moi comme mon fils mais je ne savais pas si c'était le cas de Sariana ou de mon mari. Williams me répondit quand même.

"Disons qu'il y a quelque chose d'hostile sur cette planète."

"Des goa'ulds ?" Demandai-je.

"Je ne sais pas. Je n'arrive pas à savoir quoi mais je pense que nous n'allons pas tarder à le savoir."

En effet, un bruit d'origine inconnue se faisait entendre et semblait se rapprocher de notre position à grande vitesse. Je levai les yeux vers le ciel et je pus observer que c'était un vaisseau inconnu. Cela n'avait rien de goa'uld et encore moins d'Asgard. Je me demandai alors ce qu'il pouvait nous vouloir. J'obtins rapidement ma réponse car des faisceaux apparurent en face de nous. Je reculai tout en faisant face à ce qui ressemblait à des rayons de téléportation. Deux jeunes personnes d'apparence humaines nous faisaient face à présents. Amis ou ennemis, telle était la grande question que je me posais à présent. Je regardais leurs mains. Ils avaient de sortes d'armes et nous tenaient en joue. Mon coeur battit la chamade. Je n'avais pas envie de me retrouver prisonnière et surtout si loin de chez moi. L'un d'eux prit la parole.

"Qui êtes-vous ?"

"Je suis Coprenha de la Tauri et voici, mon collègue et mes deux stagiaires." Répondis-je avec un grand sourire qui signifiait beaucoup de choses mais qui pouvait être interprété avec un grand mépris par les deux visiteurs. Je ne voulais pas avoir de combats à faire. Je décidai donc de confier mes inquiétudes à mon mari en télépathie mais qui sait ces deux jeunes gens avaient peut-être des facultés mentales avancées et donc pourraient capter mes moindres pensées envoyées à Kwarck. Je devais donc redoubler de vigilance.

*J'ai du camoufler notre vraie situation. Je préfère qu'ils s'en prennent à moi si ils sont belliqueux.*

Nos deux visiteurs écarquillèrent les yeux et me regardèrent à présent droit dans les blancs de mes yeux. J'entendis un petit sifflement dans mes oreilles et qui augmentait progressivement en intensité. Ils étaient belliqueux. Nom d'un chien ! Il fallait que j'évacue ma petite famille au plus vite par la porte des étoiles mais ils étaient trop proches pour que je puisse tenter quelque chose. Je décidai donc d'utiliser mes pouvoirs pour ouvrir la porte des étoiles en direction de la Terre. Elle s'ouvrit en grand et j'utilisai la télékinésie pour envoyer mon mari et mes enfants à travers l'horizon des évènements.

J'eus le temps de leur dire "Désolé!" LEs deux extraterrestres parlèrent dans une langue que je ne comprenais pas. L'un d'eux s'approcha de moi et me tira dessus sans que je puisse rien faire. Le tir était en fait un rayon paralysant. J'étais toujours consciente lorsqu'il me prit dans ses bras et nous téléporta à bord de leur vaisseau. Je perdis conscience lorsqu'il me frappa avec la crosse de son arme sur la tête. Je me réveillai allongée sur une sorte de table d'opération et reliée à différents fils émanants d'appareils inconnus. Malheureusement, j'étais attachée et je sentai quelque chose bouger dans mon ventre. Je me mis à crier. L'un des mes geôliers vint me voir et parla dans ma langue pour mon plus grand plaisir.

"Je vois que vous avez constaté que vous étiez enceinte."

"Enceinte de quoi et de qui ?"

"Je crois que vous allez être contente quand je vous l'annoncerez. Nous avons pu avoir un échantillon génétique de votre soi-disant collègue et qui en fait votre mari."

Je commençais à deviner où il voulait en venir : un fruit d'une de leurs expériences à la noix. Il continua son récit.

"Nous avons pu avoir cet échantillon avec notre scanner pendant que vous évacuez votre petite famille sur votre planète natale."

"Pourquoi faites-vous ça ?" Demandai-je.

"Disons pour le plaisir de faire des expériences."

J'avais entendu assez souvent cette phrase. Le gars ne devait pas se douter que je possèdais un autre don que la télépathie. J'utilisais donc la télékinésie pour envoyer mon geôlier contre un mur. Sous le choc, il fut assommé et je pus enfin me libérer de mes entraves. Je me levai rapidement et je me dirigeai vers la console la plus proche dans le but de me téléporter sur la planète. Les caractères inscrits sur la console étaient dans une autre langue mais je décidai de me fier à mon instinct. Mes doigts glissèrent sur les touches transparentes. Des faisceaux de téléportations m'englobèrent et je disparus enfin de ce maudit vaisseau pour réapparaitre sur la planète.

Il n'y avait personne à l'horizon pour ma plus grande chance. Il a dû se passer un court laps de temps entre l'évacuation de force de mon mari et de mes enfants et ma réapparition sur ce monde. Je me précipitai vers le DHD. Je manquai de trébucher à cause d'une pierre cachée dans l'herbe. Les coordonnées de la Terre défilèrent dans ma tête et je tapai machinalement ces fameuses coordonnées sur le cadran. La flaque bleue de l'horizon des évènements apparut quelques instants plus tard et se stabilisa. Par chance, j'avais toujours le GDO sur moi. Je rentrai sur le clavier, le code d'ouverture de l'iris et avant de passer la porte des étoiles, je regardai le vaisseau disparaitre d'un seul coup en hyperespace. Ils n'avaient pas cherché à me récupérer, me laissant donc m'échapper.

Arrivée de l'autre côté, dans la salle d'embarquement, je fus accueillie par Sariana. Elle m'enlaça de se deux bras autour de ma taille. Elle utilisa son don de télépathie pour me parler.

*Je me suis fait du soucis pour toi, Mam.*

*Ah bon ?* Lui dis-je.

*Qu'est-ce qui s'est passée sur la planète après que tu nous ais évacuée d'une façon brutale?*

[color:b704=orange:b704]*Je ne préfère pas en parler. C'est assez gênant.*

Elle devait se douter de quelque chose. A vrai dire, je ne voulais pas évoquer les expériences même à mon mari. Pour me faire cracher le morceau, il faudrait me rouler dessus même m'hypnotiser. J'haussais les sourcils quand je vis les techniciens s'affairer dans la salle des commandes de la porte des étoiles. Je ne voyais pas mon mari et encore moins mon fils. Où étaient-ils ?

Mais la vérité finirait par éclater et je priais pour que cet instant n'arrive jamais. Je n'avais pas remarqué que la Porte s'était fermée derrière moi. Ma fille m'enlaçait toujours. Elle se décrocha une minute plus tard. Je marchais d'un pas tranquille en direction de la sortie de la salle d'embarquement. Je devais aller à l'infirmerie. Sariana me suivait. Le gars sur le vaisseau m'avait peut-être menti et je ne voulais pas prendre le risque d'avoir encore un embryon tueur à l'intérieur de moi. Et je ne voulais surtout pas que ma fille apprenne cela. C'est pourquoi je courus en direction des ascenseurs pour la semer. Je sortis vite fait ma carte d'accès pour la faire coulisser dans le lecteur optique. Les portes coulissantes s'ouvrirent. Heureusement, il n'y avait personne à l'intérieur. J'entrai dans la cabine et je me dépêchai d'appuyer sur le bouton du niveau 21. Avant que les portes de la cabine se ferment, je vis ma fille crier color=violet]Attends-moi, Mam!.

Quelques minutes plus tard, j'arrivai au niveau 21 et j'entrai dans une salle de soins où se trouvait justement un médecin. Il me demanda ce que je voulais. Je lui répondis que je voulais avorter d'un embryon soi-disant "tueur". Il me regarda avec des yeux de merlan frit de la tête jusqu'aux pieds. Je pouvais constater que son regard s'était fixé sur mon ventre. Il me dit alors qu'il ne pouvait rien pour moi car selon lui, il était trop tard pour avorter et me demanda d'attendre. Il sortit de la salle et j'en profitai pour m'asseoir sur un lit en attendant son retour. Je regardai ma montre quelques minutes et il ne revenait toujours pas. Une dizaine de minutes plus tard, j'entendis des bruits de pas appartenant à plusieurs personnes. Je me mis à regarder le sol avec un regard vide. En fait, j'étais plongée dans mes pensées.

Bon sang ! Je voulais qu'on me l'enlève toute de suite rapidement et sans bavures. Et ce crétin a fallu qu'il prévienne plusieurs personnes de ma situation! C'est vraiment ma veine aujourd'hui. Je n'ai plus qu'une seule solution : sortir d'ici et m'enfermer dans mes quartiers puis me débrouiller en conséquence pour me débarrasser de ce machin.

Malheureusement, je ne pouvais pas m'enfuir du fait que j'étais cernée. J'essayai de cacher le ventre gonflée qui était visible même trop.Les bruits de pas se rapprochèrent de la salle de soins. Je levai la tête vers l'entrée de la pièce. Sariana venait de rentrer ainsi que Williams et mon mari. Je ne bougeai pas d'un iota et j'attendis leurs réactions vis-à-vis de qui s'était passé sur la planète.

Je me dirigeai vers ma femme d'un pas rapide, et l'engueula "Mais enfin ! A quoi pensais tu ? pourquoi prendre des risques j'avais avec moi de quoi nous défendre et Williams n'était pas parti les mains vide. Tes petits tours de passe passe commence sérieusement à m'énerver ! " Je craquai devant ma femme et une larme coula le long de ma joue, je la pris dans mes bras avant de lui dire. "Si tu savais comme j'ai eu peur pour toi, que ferai-je si il t'arrivais malheur ? hein ? dit ? Crème d'arsouille ? Alors promet moi de ne plus jamais te mettre en danger, ce sera ensemble pour tout y compris les coups dur, tu me le promet ?"
Ma femme hocha la tête mais je compris que le coeur n'y était pas puis en me regardant comme une gamine prise en faute elle me dit " Tu te rappelle l'opération que tu as exécuté sur ma personne il y a peu ?" "Oui, comment pourrai-je oublier ? " " Eh bien, au boulot chirurgien de mon coeur, j'ai un visiteur indésirable" " M'enfin, t'as pendu un panneau (A louer) à l'entrée où quoi ?" "Bon, bouge pas je vais chercher mon matériel médical" et je parti. Au bout d'un moment assez conséquent j'avais tué l'embryon qui n'était pas le même que la première fois, je donnai un médicament à ma femme pour que son corps l'évacue naturellement et puis j'injecta un produit pour neutraliser tout corps étrangé et réparer les parroies internes qui étaient en sale état, sa grossesse suivi des deux interventions avaient causé pas mal de dégats. Il n'était pas étonnant que Coprenha avait ces vomissements et ces douleurs à tout bout de champs. Je l'embarquai donc pour un repos forcé sur Orilla pendant 3 mois. Durant cette période, nos enfants étaient rentré sur Terre pour effectuer des missions au SGC. Tandis que ma pomme, j'étais resté avec ma femme pour la combler de ses moindres désirs.
Ma femme était sous la douche, je l'entendais chanter une jolie chanson Celtique quand mon télécommunicateur s'éclaira.

*Communication*

Code:

Kwarck ? C'est vous mon p'tit Kwarck ?

Oui, Général, quel plaisir de vous entendre. Alors que ce passe t'il sur Terre ?

Code:

Je ne sais comment vous apprendre cette nouvelle fiston, c'est comme si on m'avait arraché les trippes quand Mitchell et Carter sont rentré de mission il y a tout juste 20 minutes

Parlez Général ! Parlez bong sang ! Que se passe t'il

La voix du général se crispa et il y eut grande difficulté à me répondre

Code:

Sariana et William sont tout les deux portés manquants, personnes ne les a vu disparaitre, ils étaient l'un et l'autre accompagné puis .... Pffffuuuiiittt ... Disparu ... Vous entendez  ? DIS-PA-RU !!!! et pas dans une Ford Falcon mon p'tit Kwarck, ce serait trop facile

Code:

Kwarck, vous êtes toujours là mon p'tit ? Kwaaaaarrccckkk ????

"Oui, général" dis-je faiblement. "J'arrive tout de suite"

*Fin de communication*

Je sorti du bungalow et fonca jusqu'à mon vaisseau. Coprenha qui était toujours sous la douche ne m'entendit pas sortir. Je préférai lui épargner cette nouvelle mésaventure et ramener une bonne fois pour toute l'ordre dans notre vie, si toute fois c'est envisageable pour une famille tel que la notre.

Alors que mon vaisseau prenait de l'altitude je vis ma femme sortir du bungalow en courrant dressant le poing vers le ciel, sans doute devait elle m'en vouloir de partir sans une explication, mais j'étais certain de faire le bon choix.

Arrivé sur Terre, le Général m'acceuilli et me donna des informations.

Général: " Bienvenu fils ! si tu savais comme je m'en veux ! "
Moi: "Voyons, ce n'est pas de votre faute mon général, nous sommes victimes d'une organisation qui veux notre perte, ce n'est pas la première fois, et sans doute pas la dernière"
Teal'c: "En effet, c'est pourquoi je vous accompagnerai dans votre mission"
Moi: "Merci mon ami, je connais ta valeur de guerrier mais ceci ne te conserne en rien, ne prend pas de risque inutile"
Carter: "Evidemment, je ne laisserai pas un Asgard se balader avec un jaffa sans les accompagner"
Daniel: " D'ailleurs, on ne sépare pas une équipe"
Jack: "Ouai, c'est comme qui dirait les 5 doigts d'une main, c'est pas parce que l'un est gris qu'on ne lui coupe pas l'ongle"

Tout le monde se retournant sur Jack

Jack: "Quoi ? qu'est-ce que j'ai dit encore ?"

Hammond: "hmm hmm, Ok, mes enfants, que dieu vous bénisse dans votre tâche ! revenez nous vite "

....

Hammond: " Vivant, de préférence "

C'est alors que Carter ordonna à Walter de rentrer les coordonnées de la planète où Sariana et William avaient disparu.
Un équipement avait été prévu et ils traversèrent la porte quand à moi je me rendis sur la planète à l'aide de mon vaisseau de Guerre que j'occulta à l'approche de la planète.
A l'heure prévue j'entendis grésiller sur les ondes de mon vaisseau la voix de Jack.

Jack: "Oeil de Lynx à Aigle..... Oeil de Lynx à Aigle ??? ...."
Jack: "Kwarck, combien de fois faudra t'il vous dire que c'est vous Aigle"
Moi: " Désolé, Jack mais j'ai repéré une activité à 14h par rapport à votre position, faite gaffe, je me rapproche toujours en restant occulté"

L'équipe avançait et c'est Teal'c qui attrappa le mouvement en question par le col ..

"COPRENHA ! Mais... que faite vous ici ? Comment avez vous fait pour nous retrouver?" dit Carter
Daniel:"J'allais... oui, c'est bien ce que j'allais vous demander... On peut savoir ? "

Coprenha resta muette mais son regard lui en disait long, une espèce de rictus imprima son visage et elle leva les mains ce qui eut pour effet de désarmer l'équipe au sol.

Daniel: "Kwarck ?..... vous êtes là ? ....une petite aide serait la bienvenue"

Je tirai sur Coprenha avec un rayon paralysant, ce qui eut pour effet de la faire s'effronder sur elle même.

Je me réveillai quelques heures voire un jour ou deux après que l'on m'avait tiré dessus. Je ne me souvenais pas même pourquoi d'autant plus que je ne me rappelais plus de rien. Que s'était-il donc passé pour que j'arrive ici ? Je devais être sur Orilla en train de prendre ma douche et plus rien. C'était comme si une entité s'était emparée de moi. Mais dans quel but et pourquoi ? Je me relevai doucement pour examiner l'endroit où j'étais.

Je mis quelques minutes pour constater que je me trouvais dans un vaisseau asgard et à savoir lequel. Je m'assis sur la couchette et je me mis ma tête entre mes deux bras. Quelque chose dans ma tête se battait pour avoir le contrôle de mon corps. Je devais l'en empêcher à tout prix. Elle était sans doute mauvais et je ne ne voulais prendre de risques qu'elle fasse des dégâts. Mon regard scruta alors toute la salle à la recherche d'une arme paralysante pour me mettre dans les vapes. Bingo, il y en avait une à l'autre bout de la salle sur une petite plateforme de cristal. Je me précipitai donc sur l'arme. Je la pris en main. La chose essaya avec une plus grande force de prendre le contrôle, ce qui causa une petite migraine. Je n'avais pas le choix à présent que de me tirer dessus pour m'envoyer dans les choux mais avant je laissai quelques pensées s'échapper de ma tête.


*Je ne sais pas si tu es là. Je ne sais même pas ce que je fais ici. Je pense que tu dois te poser la même question. A vrai dire, je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé sur la planète où j'ai dû t'évacuer de force avec les enfants. A part que j'ai une supposition à propos de l'embryon que je portais enfin je veux dire qu'ils m'ont implanté de force. Ils ont parlé d'un échantillon génétique d'appartenant enfin bref, je n'ai pas trop compris où ils en voulaient en venir. L'embryon avait peut-être nos codes génétiques.*

Une larme coula le long de ma joue et je m'autoparalysai. Je m'effondrai sur le sol, inconsciente, tenant toujours l'arme qui m'avait permis de m'envoyer dans les choux.

L'équipe SG1 continua les recherches sur la disparition de nos enfants. ce fût Teal'c qui trouva en premier l'arme de William et plus loin un bâton de combat qui n'était autre que celui de Sariana. Preuve qu'ils étaient bien venu jusque là, mais où étaient ils donc ? Des mouvements dans des brousailles proches attira l'attention du groupe. Jack observa les alentours avec ses jumelles tant dis que Daniel plongé dans des textes anciens déclara tout à coup que si il avait vu juste, un lieu sacré voir un temple religieux ou quelque chose dans ce style devrait être non loin de là. Carter qui s'était avancée au côté de Teal'c découvrit alors un collier pendant dans d'épaisse broussaille épineuse. Elle s'en saisi et le reconnu de suite, c'était le collier qu'elle avait offert à Sariana, il est vrai qu'une certaine complicité été né entre les deux filles, et Sam la considérait un peu comme une soeur. Elle pencha alors la tête vers le sol est vis que celui-ci était assez poudreux à l'endroit où elle se trouvait.
Jack: "Alors, Carter ? Vous avez trouvé du neuf ?"
Carter: "Oui, mon Colonel, ceci"
Jack: "Waouuuwww, super! j'vous en donne 10 $"
Jack s'appuia sur une pierre non loin de là pour souffler deux secondes, c'est ainsi qu'il pu voir les buissons qui se mirent à bouger aussi tôt, tout le groupe avait pris leur armes en main prêt à faire feu. Les buissons s'écartèrent (et non ==> C'est Carter ^^ viens pas foutre la merde, c'est déjà compliqué ainsi). Un passage s'ouvrit ainsi devant eux. Jack sans hésitation voulu s'engouffrer dans celui-ci mais un champ électromagnétique le repoussa violemment.
Jack: "J'm'en doutai, mais bon, fallait tenter"
Teal'c: "O'neill... Regardez !"

Un être étrange se tenait debout de l'autre côté de la barrière magnétique.
Daniel pris l'initiative de lui parler.

Daniel: "Bonjour... euh hmmm... Nous venons de la Terre ... par la porte des étoiles.... vous savez... l'anneau de pierre ... Vous comprenez notre langue ? ... Nous venons en paix... nous recherchons des amis qui ont disparu sur cette planète"

L'être se retourna et disparu plus loin dans le passage

Daniel: "S'il vous plait ... Non ! Non ! revenez ...... Mouai .... hmm"
Daniel: "Etrange créature, moitié humaine, moitié bête sauvage, pourtant quelque chose me dit que cet être doit avoir une certaine forme de culture, vous avez remarqué les petits os autour de son cou disposé de tel sorte à former un collier ? Il me fait penser un peu à un Unas... en moins laid.... hmmm"

Jack: "C'est Chaka qui va être heureux quand je lui rapporterai vos paroles mon p'tit Daniel"

Teal'c: "Je serai vous Daniel, je chercherai une bonne explication à fournir à Chaka"

Carter: "Surtout qu'il est plus balaise que vous Daniel"
Teal'c: " En effet, Major Carter "

Daniel: "Ah ben... merci ! un mouchard et le reste de l'équipe ne prend même pas ma défense.... Ouai, bon ... il est pas si laid que ça mais avouez qu'il dégage une odeur assez forte"

Teal'c: "Vous vous enfoncez d'avantage dans vos propos Daniel Jackson"
Jack: "Fini de jaquasser comme une pie Daniel, faites nous traverser cette barrière !"

Daniel: "Bien, bien... Euh, Carter, votre aide ne me sera pas superflue alors si ça vous dit"
Carter: " Oooh oui, bien entendu "

Pendant ce temps, sur le vaisseau Asgard

"Coprenha !!" je me réveillai en sursaut et je foncai la voir dans sa cellule, je la retrouvai inconciente une arme paralysante en main. Je décidai de l'osculter en prenant soin de l'attacher au cas où. je lui donnai un puissant sédatif mais c'est alors qu'elle ouvrit les yeux et qu'elle parla avec une voix d'outre tombe. "Visiteur, vous n'êtes pas les bienvenus sur cette planète, nous détenons deux de vos membres, quittez cette planète et aucun mal ne vous sera fait"
"nous sommes venu en paix"
"Pourquoi être venu armé dans ce cas ?"
"Nous ignorions tout de cette planète, c'était pour nous défendre d'une éventuelle agression"
"Je comprend...Dites à vos amis de retourner sur votre planète et je vous donne ma parole de libèrer les votre à condition que vous ne reveniez jamais"
"D'accord, d'accord.... je vous le promet et pour ce qui est de ma femme , ici présente"
"N'ayez crainte d'ici un moment, elle récupérera ses facultés et les douleurs disparaitront d'elles même."

Je décidai de contacter l'équipe au sol pour leur expliquer les évènements et c'est ainsi que tout le monde se retrouva 5 heures plus tard dans le SGC. William et Sariana étaient tout deux libres, l'esprit qui m'avait parlé à travers le corps de Coprenha ayant respecté sa parole. Anous d'en faire autant, aussi le Général Hammond déclara cette planète invisitable et la retira de la liste. Mais ce qui fesait encore plus plaisir au vénérable tondu c'était de retrouver ses tout petits comme il aime à les appeler, c'est comme si ils étaient ses propres enfants et quand je vis comment il les pris dans ses bras, je compris que vraiment cet homme avait un coeur d'or.

Désolé de cette irruption, mais Kwarck tu me fais dire n'importe quoi... ^^

C'est ainsi qu'après les évènements récents, nous rentrâmes au SGC. Les enfants se jetèrent dans les bras de mon supérieur hiérarchique comme si il était leur grand-père. Je ne pouvais que me réjouir de cette vue qui s'offrait à mes yeux. La soi-disante entité avait disparu de mon crâne mais elle avait laissé quelques traces sans importances cruciales. A l'avenir, j'éviterais de jouer les casse-cou pour protéger toute ma petite famille contre les "méchants". Je me massai les tempes car il restait une migraine résiduelle. Avec quelques heures de sommeil, ça devrait passer. Je descendis la rampe d'accès pour rejoindre la sortie de la salle d'embarquement mais avant de sortir, je me tournai vers mon mari.

"Je vais aller me coucher dans mes anciens quartiers."Dis-je en lui faisant un clin d'oeil en même temps.

Je sortis de la salle en me dirigeant vers les ascenseurs. Arrivée quelques minutes plus tard au niveau 24. Je sentis quelque chose de très bizarre, comme cela avait été le cas avant que je me fasse enlever. Je haussai mon sourcil droit en signe d'incompréhension avant de m'enfoncer dans le dédale de couloirs à la recherche de mes anciens quartiers. Après 50 mètres de marche lente, j'arrivais devant la porte de mes quartiers quand soudain une lumière bleue envahit tout le niveau. Je m'empressai de rentrer dans mes quartiers avant de savoir ce que c'était.

*Houlà, il se passe quelque chose de bizarre dans ce niveau. Est-ce moi qui commence à délirer ou on a affaire à une lumière volante non identifiée.*

Je commençai à rire après ce que je venais de penser. Décidément, qu'est-ce qu'une lumière bleue faisait ici ? Sans doute, un de mes voisins qui voulait transformer les couloirs en boite de nuit. J'allumai la lumière grâce à l'interrupteur. Elle s'alluma mais très faiblement avant de s'éteindre. Je rappuyai sur l'interrupteur mais hélas je devais me rendre à l'évidence car les plombs avaient sauté. J'entendis quelque chose grésiller dans l'interrupteur. Des éclairs apparurent et commencèrent à "griller" mes quartiers puis je reçus une décharge dont les dégâts furent limités grâce à la télékinésie. Mon bras avait seulement roussi.

Les éclairs disparurent ainsi que la lumière bleue. La LVNI était partie. Je me dis alors *Ouf, je vais pouvoir me reposer une fois pour toutes.*

La lampe s'allumai enfin et je pouvais maintenant me glisser sous mes couvertures. Je ne trouvai pas encore le sommeil mais deux minutes plus tard, un sphère brillante et bleue envahit mes quartiers. Pour avoir la paix une fois pour toutes, je l'envoyai contre le mur. Un bruit de verre cassé se fit entendre. Alors je souriai et je pus enfin trouver le sommeil quelques instants plus tard.

(Désolé Daniel, c'est ça le Trip ^^ et encore t'as eu de la veine je ne t'ai pas fait faire des choses bizarres ^^)
Le petit clin d'oeil que m'avait fait Coprenha me fit hésiter, elle m'attend ou pas ?.. Puis réfléchissant un moment, je me dis qu'elle devait se reposer, j'irai la voir plus tard.
Je décidai de partir manger un morceau, j'avais l'estomac dans les talons et ça fesait un temps de fou que je n'avais plus partagé de repas avec une équipe SG. Tout le monde mangea avec coeur son plat surtout le Général qui, une fois n'est pas coutume, avait mangé à nos côtés plutôt que dans son bureau. Je remerciai vivement toute l'équipe d'être venu à mon aide et puis je m'excusai au près d'eux pour enfin rejoindre un lit douillet et réconfortant. Je titubai presque en avançant et c'est plus par habitude qu'autre chose que je retournai au vaisseau pour me doucher et m'écrouler mort de fatigue sur mon lit.

Mon sommeil devint profond et c'est à ce moment là que je commençai à rêver. Cette fois, je faisais plus un cauchemard.

Rêves

J'étais sur une planète mais par n'importe laquelle. J'étais sur celle où je m'étais fait enlevée. Les deux jeunes gens m'accueillirent en me tirant dessus avec un rayon paralysant. Je ne perdis pas connaissance mais je tombai sur le sol et ils me portèrent jusqu'à leur vaisseau qui s'était posé dans une clairière. L'un d'eux m'assomma avec la crosse de son arme. Je me réveillai cette fois dans une couchette.

Un autre extraterrestre en uniforme assez bizarre de couleur blanche, s'approcha de moi et me regarda d'un air bizarre.

"Qu'est-ce qui vous avez à me regarder d'une façon aussi bizarre ?

Il esquissa un petit rictus sur ses lèvres. Je me levai et il recula. Avait-il peur de moi ou des conséquences qui en émaneraient à cause de cet enlèvement. Malheureusement, je sentis quelque chose bouger en moi. Le malaise s'empara de moi. Mon "geôlier" prit la parole.

Nous avons neutralisé ce qui avait en vous et qui empêchait toute nouvelle grossesse. Celle-là ne pourra pas être enlevée. Vous la porterez jusqu'à terme.

Non! ENLEVEZ-MOI ÇA DE MON VENTRE !!!!

Non, car c'est votre enfant et nous ne l'enlèverons pas car vous êtes sa mère biologique.

Je me pris le ventre avant de m'effondrer sur le sol inconsciente. En effet, le gars qui était en face de moi m'avait envoyé un rayon paralysant.

Fin des rêves

Je me réveillai en sursaut. Les yeux ouverts, je crus distinguer une forme humanoïde dans le noir. Une lumière bleue apparut et la forme disparut. Que s'était-il donc passé pendant mon sommeil. Une lumière m'aveugla et m'engloba pour me faire réapparaitre dans un vaisseau inconnu.

Bienvenue Coprenha Marshall.

Je me retournai pour savoir qui venait de me parler. C'était le même homme que dans mes rêves.

Qui êtes-vous ?

Mon identité n'a aucune importance pour vous. Sachez que je vous ai fait téléporter ici pour une simple et unique raison : le souhait d'un de vos proches.

Pour quel souhait ?

Vous le savez déjà, Coprenha Marshall.


Je replongeai alors dans ma mémoire. C'était un coup de ma fille et je ne savais pas qu'elle serait capable de me faire ça.

Une question ? Le précédent embryon que l'on m'a extrait de mon ventre, c'était un coup de votre part.

En effet et je suis vraiment désolé que vous ayez cru que c'était un embryon tueur. Nous vous surveillons depuis que le NID vous a enlevé. C'est votre fille qui nous demandé cela. Maintenant, je vais vous renvoyer sur Terre et je vous demande de ne pas en parler à quiconque de ce que vous portez en vous.

Je le regardai d'un air bizarre à mon tour et il me renvoya sur Terre. La sphére bleue avait disparu ainsi que les effets des éclairs de tout à l'heure comme si il ne s'était rien passé. J'entendis une petite voix dans ma tête *Si vous avez senti quelque chose bouger dans votre ventre, c'est norma. C'est le processus qui fait ça à chaque fois. Vous ne devriez plus rien sentir avant un bon moment. * Puis elle s'éteignit aussi vite qu'elle était venue. J'avais besoin d'avoir la présence de Kwarck à mes côtés pour cette nuit. Je sortis de ma poche de blouson, un petit boîtier. J'appuyai sur le bouton et je me retrouvai quelques instants plus tard dans le vaisseau. Je me changeai vite fait dans la salle de bains pour me mettre en nuisette et ensuite me coucher aux côté de Kwarck. Je fis tout mon possible pour éviter de le réveiller.

Je me retournai dans le lit et mon nez vînt se placer au beau milieu de la poitrine de ma femme. "Gnnéé prooofff buuifff khhhaaaaaaa pffiuuuuuuu" manquant de respiration j'ouvri un oeil. Ben ça alors, si je m'attendai. je recouvrai les épaules de ma femme et me leva pour aller boire un verre d'eau. Etrange qu'elle soit venu me retrouver de la sorte, sans doute ne voulait elle pas être seule. Ma toccante indiquait 3 plombes du mat' je m'approchai du miroir et me trouvai une sale gueule, seigneur, quelle vie mouvementée, si j'avais su .... Enfin, j'éclusa mon verre et retournai me coucher. Evidemment, pour retrouver le sommeil, tiens fume ! Je regardai ma femme et hésitai à la réveiller. Je lui caressa les cheveux et l'embrassa sur le front, "dommage que tu ne sois pas réveillée" bon une autre fois peut-être pensai-je et je me retournai pour tenter de m'assoupir à nouveau.
Et mon esprit fut pris par les évènements de la journée, digne du dernier James Bond. Décidement vivre aux côtés des humains apporte pas mal de situations inconnues chez les Asgards. Ils sont vifs et curieux de tout, parfois ça leur porte bonheur et souvant ça leur cause des problèmes et malgrès celà ils s'en sortent comme si une force invisible les guidaient dans la bonne direction. Je me rappelai du passé, les parents, ma formation, ma première petite amie décédée violement dans un accident de vaisseau, puis encore une autre qui m'oublia pour aller vers un autre. Puis cette rencontre avec un humain, sans doute un de mes plus grand souvenir. Puis je repensai à tout les membres du SGC et enfin à la rencontre avec ma femme. C'est alors que je senti une de ses mains glisser sur mon bras ... "Arrête de penser au passé, je suis réveillée maintenant" avec toutes mes pensées j'avais réveillé ma femme sans le vouloir, il est vrai que ses nouvelles aptitudes lui permettait "d'entendre" les pensées, alors même que je ne parlai pas à haute voix, ça revenait pour ainsi dire au même.
Elle m'embrassa longuement et me dis "Maintenant que je suis réveillée, qu'est-ce que tu voulais faire ? hein ? Gros coquin !"
"hein ? euhh.... brrrhummm hummm ! je sais pas moi, un monopoly ?"

Un monopoly à une heure pareille de la nuit

Je regardais ma montre. Il était plus de trois heures du matin.

Il est plus de trois heures du matin. Tu ne voudrais pas que je t'aide à dormir ?

Je me mis à sourir et je posa une main sur mon ventre. Il ne fallait pas que j'y pense sinon il aurait de gros soupçons. D'autant plus que je partirais une fois dans les vapes de force pendant que l'on enlèverait la chose en moi. Je me mis à penser que les rêves que j'avais fait sur Terre étaient simplement faits exprès pour camoufler la réalité pendant que l'on m'implantait à nouveau un embryon dans mon ventre. Est-ce que cette grossesse aurait la même durée que la première.

*Je peux toujours faire appel à quelqu'un au SGC pour ça.

Je regardais mon mari à nouveau droit dans les yeux et je lui fis un clin d'oeil.

"Je dois aller faire quelque chose au SGC, je reviens d'ici une demie-heure.

Je me téléportai directement à l'infirmerie pour demander conseil à un médecin au sujet de la durée de gestation. Malheureusement sans examens supplementaires, il ne pouvait rien me répondre. Il quitta la pièce sans un mot. Je devais donc m'attendre au pire car il allait peut-être avertir quelqu'un. Je devais donc l'en empêcher. Je courus pour rattraper le médecin et je lui demandai donc de garder tout pour lui. Et c'est là qu'il me demanda que je fasse faire une prise de sang. Il m'invita donc à m'asseoir sur le lit et il alla chercher le nécessaire pour me faire une prise de sang. Quelques instants plus tard, le tube fut rempli de sang et il me dit de revenir dans la journée pour les résultats. Je pouvais donc me téléporter à nouveau dans le vaisseau, dans la chambre plus précisément. Mon mari n'était plus dans le lit mais où était-il donc ?

"Kwarck ? Où es-tu ?

Le bruit de la chasse d'eau apporta la réponse à ma femme, "Tu disais ?"
Puis je l'attrappai par la main et je lui dit "Viens par ici, toi" et hop ! une galoche d'enfer Asgarde !
"Merci j'en avais besoin" et je laissai ma femme reprendre ses esprits.
Elle se recoiffa car je l'avais pris d'assaut (mais pas en plein vol, comme quoi je sais bien me tenir).
Puis je m'assis de nouveau sur le lit pour souffler , j'avais du mal à récupérer des forces et c'est alors que ma femme vînt me rejoindre. "Ben alors t'as l'air tout palot, qu'est-ce qu'il t'arrive ?"
"Ca va, t'inquiète, c'est juste le train de vie qu'on a mené jusqu'aujourd'hui qui me fracasse quelque peu"