Ma femme me tendis un truc tout rose enveloppé comme dans une tortilla trop grande pour le contenu.
"C'est ...." ma femme m'embrassait aussi je du attendre pour achever ma phrase, quand Coprenha relacha son étreinte
"... quoi ce truc ?"

"C'est un bébé, tu le vois bien"
"Oh non ! "
"OOOOhh Si ! "
"Oh non ! "
"Si, si, si, si"
"Mais !! ... comment ?... où allons nous ?... Ooooh ! meeeerrde ! ça va recommancer, si je comprend bien !"
"Mais non, t'inquiète les méchants sont morts, t'oublie que t'as femme est l'arrière petite fille de Calamity Janes" ma femme parti dans un fou rire et me taquina quelque peu avant de rendre l'enfant à Sariana

Sariana se réveilla et prit l'enfant dans ses bras. Elle le berça doucement. Puis je me rapprochai de mon mari que j'enlaçai à nouveau.

"Si tu veux, on peut faire adopter l'enfant. Il n'a pas encore grandi rapidement comme les autres. Il est peut-être normal, qui sait. En tout cas pour éviter d'avoir de mauvaises surprises par la suite, j'envisage de me faire stériliser. Ces genres de magouilles ont duré trop longtemps et la paix du ménage risque d'en pâtir à long temps donc je n'ai pas le choix.

Je posai ma tête sur l'épaule de Kwarck en attendant une réaction de sa part.

Je sais mais imagine qu'on m'enlève encore à nouveau et que je devienne enceinte comme ma volonté. C'est le genre de choses qui ne te plairaient pas non plus. L'enfant que Sariana a eu en elle en est la preuve vivante et qui sait, il y en a peut-être encore en moi. Je crois qu'à force, je vais devenir paranoïaque. Je ferais cette stérilisation en temps voulu. Je sais qu'il y a plusieurs méthodes pour le faire pour qu'on puisse revenir en arrière sans douleur mais ça prendra du temps pour cela.

Mon intuition me guida jusqu'au hublot de la chambre. Une lueur violette apparut. Je me rapprochai de mon mari que j'enlaçai. Je pris ses mains dans les miennes.

"Nous avons de la visite, enfin je crois."

L'angoisse s'empara de moi et je ne savais plus comment réagir après tout ce qui venait de nous arriver.

Je sautai sur Coprenha pour la protéger, mais en fait la lueur en question n'était autre qu'un hologramme.
L'être holographique était trappu et portait une espèce de toge à la Romaine, pourtant l'arme qui pendait à la ceinture etait lui très moderne ainsi d'ailleurs que le bouclier et le casque.

Code:

Je s... du ..D ..... j'v... vou. r'tr v. je d... vvv....  ...ler. Bo.. n..vell. p... v...

l'holograme fît un signe amical avant de disparaitre

"Tu n'as rien ?"

"Je n'ai rien heureusement mais c'était quoi ce machin poilu ? "

Kwarck m'avait sauté dessus quelques instants plus tôt, ce qui eut comme effet de me faire tomber à terre.

"Décidément, tu tiens à me planquer au sol pendant combien de temps."
Dis-je avec un petit sourire.

Je restai un moment sur ma femme, presque occupé à m'installer sur elle comme l'aurai fait tout bon félin domestique après avoir grignotté ses croquettes. Puis interrompu dans mes songes par les paroles de ma femme ..."Que ...qu'est-ce que tu disais ?"

Coprenha vit que son mari s'était presque installé sur elle. Elle souria à cette vision bien qu'elle tenait à être libérée de cette petite étreinte. Elle ne pouvait pas non plus bouger et elle ne tenait pas à faire de mal à son mari en essayant de se dégager. Il s'était ensuite lové contre elle. Elle constata qu'il était perdu dans des pensées mais elle n'arriva pas à déterminer quelles pensées étaient-ce. Il avait comme bloqué involontairement. Puis interrompu par ses paroles, il sortit enfin de ses profondes pensées. Il ne savait pas ce qu'elle lui avait dit. Elle soupira légèrement.

"En fait, je voulais dire : combien de temps resterais-je plaquée au sol ? Disons que je ne peux pas bouger et si je le faisais, je te ferais mal."

La jeune femme plongea dans ses pensées tout en pensant à l'espèce d'hologramme qui était apparu quelques instants plus tôt. Sariana vint voir Coprenha et son père en courant. Comme bizarrement, elle n'avait pas l'enfant avec elle.

"Maman, l'enfant a disparu sous mes yeux."

"Ce n'est pas une grande perte pour moi. Qu'est-ce que je dis moi ? Je raconte n'importe quoi ces derniers temps."

Elle repartit en pleurant dans sa chambre. Sa mère n'avait pas fait attention à ce qu'elle venait de dire d'autant plus qu'elle était perdue dans ses pensées. Elle bougea légèrement et fit glisser son mari tout près d'elle de façon à ce qu'elle soit collée contre lui. Puis elle serra légèrement l'étreinte et l'embrassa.

Soudain les portes d’entrez s’ouvrit en grand, on apercevais une silhouette . Cette silhouette avançais puis on aperçu un homme, le Sous-Lieutenant Paul Davis entra, il sortie un P90 et le pointa sur Kwarck puis regardas coprenha dans les yeux.

Coprenha, je ne suis peut être pas beau, intelligent mais la chose dont je suis sur c’est que je t’aime. Quand il pleut, tu est mon rayon de soleil, tu est ma déesse, tu est la reine de mon cœur, je ne peut vivre sans toi.

Davis arrêta de visée Kwarck et on apercevais les larmes couler sur son visage.

Coprenha, sans toi ma vie a aucun sans, tu est celle que j’aime, mais toi tu ne m’aime pas, il n’y a qu’une solution.

Paul mis le P90 sur ça tempe.

Coprenha je t’aime et t’aimerais toujours. Au revoir.

Puis il tira, Paul mourra aussi vite, il tomba a terre en lâchant son arme son sang coula a terre, en écrivant « JE T’AIME COPRENHA »

Heu... il faudrait peut etre le fermer ce topic, sa va faire plus de 2 mois que c'est fini Noel...

Bon quelqu'un à un pelle pour creuser un trou ? il y a un cadavre à faire évacuer lollllllll

Désolé Paul t'arrive un peu tard dans l'histoire

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Fermer le topic, bah à quoi bon ? faudra quand même le réouvrir en Décembre XPMDRRRRRRRRRR

Une mobre se dessina dans l'embrasure de la porte. Grande qulque peu imposante elle s'avanca d'un pas lourd en direction de Kwarck.

"Une pelle?"

La longue pelle qui se descinner sur ses epaule fit un arc de cercle pour venir stopper sa course dans ce qui restait de la gorge de Davis.

"Je m'en occupe..."

Il se baissa et attrapa la cheville du cadavre, d'un geste sec il fit venir a lui pui il se retourna en direction de la porte. A chacun de ses pas le sn du corps du sous lieutenant qui glisser laisser place au rire moqueur de millier de corbeau present dans la salle.

"Allons venaient mes petit."

Quelque minute plus tard la seul trace qui restait de Davis etait cette longue trainer de sang a moitier goaguler que netoyer deja quelques chiens errants. Les porte a double batant se fermereent sous l'effet d'une brusque bourasque de vent...