[GE] De mauvaises retrouvailles...

Sujet: [GE] De mauvaises retrouvailles... 13.07.07 21:57

Tandis qu'ils arpentés les couloirs de la prison, Diane expliqua la situation à Sheppard. Mais ce dernier n'allait pas se laisser convaincre aussi facilement, il ne dit rien de plus et continua d'avancer mais Diane avait visiblement envie qu'il réponde, elle ralentissait de plus en plus ce qui énerva légèrement John. Il prit sur lui et n'ajouta que quelques mots plutôt persuasif.

Ne m'oblige pas à le pointer sur toi...

Il avait toujours son arme en main mais gardé son bras le long de son corps, il n'avait pas vraiment envie de la pointer sur elle, mais s'il le fallait...Il avait passer trop d'années loin d'elle pour croire qu'il l'a connaissait toujours aussi bien qu'avant, mais malheureusement pour lui, elle avait eu le temps de changer, et lui aussi. Mais avait-elle changer au point de commettre de tels actes ? Il n'en était pas très sur, mais il devait s'en tenir aux ordres. Il s'arrêta net devant une cellule, et fit signe au soldat qui se trouvait devant afin que ce dernier lui ouvre la porte. Il poussa légèrement Diane à l'intérieur et rentra à son tour. Il referma la cellule derrière lui et se rapprocha de Diane, il avait bien l'intention de connaître la raison d'un tel agissement.

Je ne te connais plus Diane, depuis toutes ces années...Dieu sait à quel point une personne peut changer avec le temps. Et même si je te croyais, c'est la procédure, tu restera ici, le temps d'éclaircir l'affaire.

Il détourna son regard du sien, gêné par ses dires vis-à-vis de la femme avec qui il aurait du passer sa vie. Il fit quelques pas dans la cellule puis quand il vit le regard un peu dégoûté de Diane, il ajouta d'un ton ferme :

Tu es suspecter de meurtre Diane ! Ce n'est pas une chose que l'on prend à la légère, tu crois que c'est facile pour moi de te revoir dans cette situation, je ne sais même pas si c'est une bonne chose de te revoir tout court, j'ai de nouveau une vie intéressante, et je n'ai pas envie que quoique ce soit vienne la chambouler...

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Elle le regardait toujours fixement dans les yeux.

Pointes la sur moi si tu le veux… Je n’ai rien à me reprocher car je sais ce que j’ai fait…

Au point où elle en était dans sa vie, mourir ne serait pas un problème… Elle savait qu’elle était innocente et qu’elle n’avait rien fait… Elle mourait l’esprit libre…

Elle entra dans la cellule.

Penses ce que tu veux… Je n’ai strictement rien fait... mis à part défendre mes arrières… Tu aurais peut être préféré me voir à la place de ses hommes ?! Mort au sol ?! Ce sont des gens de la milice John ! Le SGC est en train d’être infiltré sous nos yeux… et personne ne voit rien !

Elle se retourna afin de ne plus regardait John. De nouveau une vie intéressante… Jamais elle n’avait cesser de penser à lui durant ses deux années… Elle avait souffert de cette séparation… Mais elle avait commencé à se faire à l’idée… Elle avait enfin tourné la page et voilà que maintenant il refaisait surface dans sa vie…

Heureuse que ta vie soit désormais intéressante… et désolé si cette… situation vient la chambouler… Sache que j’aurai préféré ne pas te revoir… Ta décision d’entrée dans l’armée a déjà été très difficile à encaisser… et même si je t’aimais… je sais être sans pitié…

Elle se retourna et le regarda à nouveau dans les yeux.

Tu as préféré ta carrière à ta fiancée… Je respecte ton choix… Nous n’avons donc plus rien en commun…

Sujet: Re: [GE] De mauvaises retrouvailles... 14.07.07 2:10

John écouta Diane en évitant le plus possible de la regarder dans les yeux, il fut très surpris par sa réponse et se rapprocha d'elle en la fixant avec une légère teinte de colère dans les yeux.

Tu es injuste là...je n'étais pas seul à prendre cette décision, toi aussi ta carrière à primer sur ta vie sentimentale, ce choix tu l'as fait tout comme moi...

Il se tourna de nouveau, évitant encore son regard avant d'ajouter :

Moi aussi je t'aimais...tu étais la femme avec qui je voulais faire ma vie, mais apparemment, tu n'étais pas faite pour moi...J'ai juste eu peur qu'en te revoyant, de vieux sentiments refassent surface, mais vu la personne que tu es devenu...

Il se rappela pourquoi il était là grâce à sa dernière phrase faisant allusion aux meurtres pour lesquelles elle était suspecter et se remit à faire les cents pas dans la cellule avant de reprendre.

Mais le moment est mal choisi pour parler de tout cela. J'aimerais comprendre un peu mieux cette histoire, je suis légèrement perdu, j'aimerais connaître la raison de ta présence ici ? Et pourquoi tu as fait cela ? Si tu es suspecter de meurtre c'est qu'il y a bien une raison...

Il baissa son regard et fixa les mains de Diane, toujours attacher, ses poignets devaient souffrir à cause du fil qui empêcher la circulation de son sang. Il se surpris lui même à penser qu'il fallait mieux la laisser attacher, un léger sadisme se dégager de son regard, toujours poser sur les poignets de Diane.

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Ses poignets, de nouveaux attachés, lui faisait rudement mal. A force de s'être débattue quand elle était devant cette bombe, ils étaient lacérés et un rouge vif, saignants légèrement. Elle détestait être attachée car elle avait l'impression d'être un animal sauvage que l'on venait de capturer. Elle le fixa, le regard noir et le visage fermé et froid. Elle parla avec fermeté, froideur et détermination.

L'eau du SGC a été contaminé par je ne sais quel composant chimique qui se trouve être dangereux pour nous. Nous avions l'ordre de trouver la source du problème et d'y mettre terme... Sauf que j'ai été électrocuté, enlevé et placé dans la fosse où tu m'as trouvé. J'ai été ligotée et bâillonnée devant une bombe posée par la milice qui visait à détruire le SGC. Alors quand tu dis que j'ai changé, tu te mets le doigt dans l’œil! Je suis toujours la Diane que tu as connu....

Elle le fixait toujours avec une froideur impénétrable et impertubable.

D'ailleurs, si tu me connaissais vraiment aussi bien que tu le dis, tu saurais très bien que je ne suis pas une meurtrière... Je touche les parties physiques comme les poignets, les épaules, les chevilles ou les genous, afin d'affaiblir mon adversaire sans pour autant mettre fin à ses jours... Vérifies bien, tu verras que les balles de mon Berretta ne se trouves pas dans les parties vitales de ses gens...

Arrivé au SGC : 07/11/2006

John écouta la version de Diane sans dire un mot, il commençait à douter de sa culpabilité, après tout, il y a peu de temps, Kamina avait réussi à s'infiltrer dans la base et tué plusieurs militaires, bien sur il avait été aidé, et peut-être que cette fois-ci, il y avait encore des complices dans la base, Diane en faisait peut-être partie, il ne l'avais jamais vu à la base avant, il ne savait même pas qu'elle était là, et tout d'un coup, elle débarque, il ne savait plus du tout quoi penser, car d'un autre côté, il n'arrivait pas à l'imaginer en meurtrière.

Ton histoire se tiens. Mais il y a tellement de scénarios plausible, que le tiens n'en est qu'un parmi tant d'autres. Peut-être que tu me dis la vérité, mais de tout façon, ce n'est pas à moi d'en juger. Mais si tu es innocente, tu n'as aucun souci à te faire, car une fois l'autopsie des corps effectuées, ils pourront retrouver les meurtriers.

Sheppard se retourna vers Diane et pu voir un léger sourire se dessinait sur son visage, un sourire qu'il ne lui rendit pas, il préféra se rapprocher assez près d'elle pour ajouter :

Ne te réjouis pas trop vite, je n'ai pas dit que je te croyais, ni que tu allais t'en sortir, pour l'instant ta place est ici, en cellule, et tu n'es pas prête d'en sortir...

Sheppard n'avait pas pour habitude de jouer de sadisme avec les autres, mais le fait d'être aussi dur avec Diane le soulager quelque part, pour lui ce geste était un peu comme une vengeance, comme si il lui faisait payer le fait qu'elle est, elle aussi, choisi l'armée plutôt que son fiancé.

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Diane le fixait toujours dans les yeux.

Tu sais très bien que je suis pas du genre à mentir. Je suis d’une franchise et d’une sincérité que tu peut mettre à rude épreuve. Si j’avais tuer ses gens, je m’en vanterai plutôt que de prouver mon innocence.

Un sourire sarcastique et ironique se dessina sur son visage. Elle n’était pas d’un naturel violent, mais les rares choses qui peuvent la pousser à faire de tel acte serait de lui manquer de respect ou qu’une personne s’en prenne à un être cher à ses yeux… Et même là, elle préfèrerai faire souffrir son adversaire plutôt que de le tuer… et si elle voulait le tuer, elle le ferait agoniser dans son propre sang… Diane était plus genre sadique et machiavélique qu’un être sanguinaire assoiffé de sang et de meurtre.

Je resterai ici… de toute façon, je n’en ai pas le choix… mais puis-je te demander une faveur ? Détaches-moi mes poignets. Ils ont étés un peu trop attaché depuis quelques heures… regarde dans quel état ils sont si tu ne me crois pas. Je ne m’enfuirai pas.

Si son père l’apprenait… Il en a quelqu’un un qui se ferait passer un sacré savon… Ca peut servir d’avoir un père Général parfois… D’ailleurs, c’est un peu pour ça qu’elle quitter John… Préférant éviter la cours martiale… Vu le dossier militaire qu’elle avait avec le nombre de manquement au règlement qu’elle avait du faire pour voir son ex fiancé et le nombre d’avertissement pour manque de respect envers un supérieur… Même si son père avait réussit à lui faire éviter certaine chose, il n’aurait pas apprécié que sa fille passe en cours martiale…

Arrivé au SGC : 07/11/2006

Le doute commençait à planer de plus en plus dans l'esprit de Sheppard, il devait se forcer pour éviter de laisser transparaître quoique ce soit, le fait est qu'elle avait été sa fiancée jouer beaucoup, et même si au fond de lui il savait qu'il ne devait pas tenir compte des sentiments qu'il avaient eu pour elle, il n'en restait pas moins humain, et la traité ainsi ne faisait pas partit de ses occupations préférées. Il n'avait plus envie de se venger, la situation qu'elle vivait devait déjà être dure à gérer pour qu'il en rajoute une dose supplémentaire. D'un pas lent mais sur de lui, il s'avança vers elle et sortit un canif de sa poche. Il sectionna le fil qui retenait ses poignets serrés, puis il regarda ses poignets de plus près. Il les prit délicatement pour éviter de lui faire mal et quand sa peau prit contact avec la sienne, il sentit une drôle de sensation et les relâcha aussitôt en ajoutant :

Je vais demandais à une infirmière de venir te mettre un peu de pommade pour te soulager. Ne fais surtout rien que tu pourrais regretter Diane...

Il s'attendait à tout avec Diane, et qu'elle veuille s'enfuir pour arrêter elle même les intrus qui s'étaient infiltrés dans la base en faisait partit. Il ne connaissait que trop bien son caractère, elle n'aurais pas hésiter un instant à aller seule essayer d'arrêter plusieurs soldats très bien entraîner, lui aussi était comme ça, et il savait très bien ce qui pouvait lui passer par la tête à cet instant précis, une envie énorme de le frapper pour se sauver, une frustration sans égale, et un besoin d'affirmer ses compétences même si le danger est important. Il laissa subtilement son arme en évidence pour lui montrer qu'il n'hésiterait pas à s'en servir si elle faisait le moindre faux pas. Il recommença à faire les cents pas dans la cellule quand il se rappela d'un petit détail, mais tout de même assez important, qu'il s'empressa d'éclaircir :

Dis-moi, tu m'as bien parler d'une bombe ? Est-ce que la base est en danger ? Est-ce que le compte à rebours était enclenché ? Et si oui, combien de temps affichait-il ?

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Diane sourit doucement à John quand il détacha ses mains. Un instant, elle s’était demandé s’il allait le faire. Elle regarda les plaies ouvertes que lui avaient faites les différentes attaches qui lui avaient meurtrit ses petits poignets. Oui, ils lui faisait mal, un peu normal quand la chair est à vif à force d’avoir frotter et re-frotter sur ses liens… Mais que voulez vous… Diane est un animal sauvage qu’il est dur de dompter et d’apprivoiser.

Laisse tomber pour l’infirmière… Ce n’est pas une simple pommade qui me soulagera…

*… ou qui guérira certaines blessures…*

Ca guérira tout seul… Comme ça l’a toujours fait…

Elle n’avait jamais soigné ses blessures, même étant enfant. Son corps s’auto régénérait assez rapidement, ce qui avait été pratique pour ne pas cacher les scarifications qu’elle s’était faite durant le collège et le lycée à ses parents. D’ailleurs, elle ne s’était jamais casser quelque chose… ce qui pourrait paraître étrange avec tout les coups et toutes les chutes qu’elle avait encaissés…

Elle avait envie d’assommer John tout comme le garde qui surveillait la cellule mais elle se retint. D’un si elle attaquait John, qui se trouve être son supérieur hiérarchique pour l’heure, le soldat aurait riposter… De deux, elle lui avait promis qu’elle ne s’enfuirait pas… Et elle a tenue toujours ses promesses…

Elle le regarda marcher en silence, son sourire ayant déjà disparu de ses lèvres.

Oui, je t’ai bien parlé d’une bombe. J’y étais même ligotée devant il y a encore quelques minutes… La base n’est plus en danger car elle a été désamorcée, pas par moi car je n’en ai pas les compétences, mais par le s…

Elle s’arrêta net, se demandant si elle devait encore continuer à donner de plus amples explications, avant de reprendre dans la foulée…

…… par une personne plus compétente que moi.

Arrivé au SGC : 07/11/2006

John resta le regard fixer sur ses poignets tout en écoutant Diane lui parlait de la bombe. Elle avait été désamorcer, ce qui le soulagea légèrement. Il s'adossa au mur et attendit la suite, mais Diane ne voulait pas en dire d'avantage, malheureusement pour elle, elle n'était pas en position de décider quoique ce soit, et si elle voulait s'en sortir, elle devrait tout lui dire, en essayant de trouver les mots justes qui arriveraient à le convaincre de son innocence.

Bon, tu n'a apparemment pas réaliser la situation dans laquelle tu es, c'est pas à toi de décider ce que tu peux me dire ou pas, tu dois tout me dire, tout ce qui c'est passer, de A à Z. Si tu veux sortir de cette cellule...

Il avait garder son canif en main et jouer avec ce dernier tout en s'adressant à Diane. Il commençait à en avoir assez de cette cellule, assez de parler avec une femme qui, il le voyait bien, ressentait du mépris pour lui. Il était près à partir, mais préféra ajouter avant :

Dis-moi tout, ou je te laisse croupir ici et ce n'est pas le meilleur endroit pour une femme, tu peux me croire.

C'est vrai que les cellules n'étaient pas très propres, l'hygiène de la prison laisser à désirer, il n'aurait pas été surpris de trouver quelques rats...Mais le pire, était la solitude, même s'il y avait des gardes, on en était pas moins seul, ce poids lourd qui détruit quelqu'un petit à petit, ce sentiment d'abandon, qui enlève toute joie et tout bonheur, elle serait seule, peut-être pour peu de temps, mais peu importe le nombre d'heures ou de minutes, une fois qu'on ressent cette solitude, on ne s'en débarrasse jamais...

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Diane le regarda en arquant un sourcil. Elle lui tourna le dos et s’avança vers le fond de la cellule, fixant le sol.

Et bien, tu veux tout savoir… Alors écoute bien… J’étais en train d’essayer de dormir car, depuis le retour de mission que j’ai eu la chance de faire avec ton cher frère, je n’ai pas fermé l‘œil. Je commençais à peine à trouver le sommeil quand mon cher bippeur s’est mis à hurler. Je me suis donc relevée, ne prenant que mon Berretta avec moi, pour me diriger à la salle de briefing. Nous avons eu droit à une petite réunion « secrète » que nous a mené un technicien de la base. Il nous a expliqué que l’eau de la base était contaminé par je ne sais quoi et que nous devions trouvé la source du problème, en prenant soin de souder les robinet que nous trouverions sur notre chemin afin d’éviter que le personnel de la base soit infecté. Si par mégarde, nous constations que l’un d’eux avait consommé de l’eau, nous devions, par n’importe quel moyen, leur faire prendre une sorte d’antibiotique en gélules…

Elle respira puis continua la suite de son récit.

Avec le Sergent Ryas et le Soldat Spence, nous avions sécurisé la salle de sport pour nous dirigé au mess. Le Sergent m’avait ordonné de m’occuper d’une table composée essentiellement de personnes de la gente masculine, et d’utiliser « mes charmes »…

A cette phrase, elle serra les dents… Repensant à la colère qu’elle avait contre cet agissement et à cet ordre de la part de son supérieur de mission…

… Mais en tentant de faire du mieux que je pouvais quelque chose que je ne supporte pas qu’on m’oblige, j’ai suivit le seul homme de la tablée pour lui faire avaler ce satané comprimé… et je me suis retrouvée électrocutée… puis traînée à travers les couloirs du SGC pour me retrouver devant cette bombe et devant le mécanisme qui infectait l’eau de la base. Après, j’ai repris conscience, mes deux coéquipiers m’ont retrouvé, le Sergent a désamorcé cette bombe, ces gens de la milice ont débarqués, nous ont attaqué, Annabel a été blessé, je me suis approchée pour la soignée, le Sergent est partie voir a qui appartenait la voix que l’on entendait depuis la fosse puis je me suis vu mise à terre par ton équipe…

Elle soupira doucement, s’inquiétant pour ses coéquipiers de missions… Surtout pour Annabel…

Arrivé au SGC : 07/11/2006

Sheppard s'installa sur le lit au fond de la cellule pour écouter le long récit de Diane, il s'appuya contre le mur et croisa les bras tout en la regardant parler. Il commençait à douter de moins en moins de sa culpabilité, inventer une tel histoire ne pouvait pas être fait en l'espace de quelques secondes. Il fut surpris qu'elle lui parle de son frère, elle avait fait une mission avec lui, et apparemment, il ne lui avait pas fait grande impression, ce qui n'étonna pas John. L'affaire avait l'air d'être assez grave, l'eau de la base contaminée, une bombe, une milice, mais surtout, Diane qui use de ses charmes...Un grand sourire se dessina sur le visage de Sheppard quand elle aborda ce passage.

"Utiliser tes charmes..." Tiens c'est marrant ça, j'aurais bien aimé être là...Et...tu me racontes plus en détails ?

Il eut un sourire sadique après cette phrase voyant bien qu'elle n'avait pas supporter d'obéir à cet ordre donner par le Sergent Ryas. Il ressentit une profonde sympathie pour le Sergent, qui, il du le reconnaître, avait beaucoup de mérite, lui même n'aurait pas penser à cela.

Et bien...tu n'as pas passer une bonne journée on dirait...Dis-moi, ça fait quoi de se faire électrocuter ?

Il souria en voyant le regard noir de Diane, il aimait beaucoup jouer avec ses nerfs, surtout qu'il pouvait profiter de cette situation, laquelle avait mit Diane sous tension. Il effaça très vite ce sourire sournois de son visage et reprit :

Désolé...mais je suis moi-même un peu contrarier en ce moment, j'avais besoin de rire un peu...

Il reprit son sérieux et se leva du lit, il se dirigea vers les la porte de la cellule en ajoutant :

Bien, je vais aller faire mon rapport, en attendant que tout soit examiner en détail, tu va devoir rester ici. C'est pas trop mal, t'as même un très beau lit, très confortable, et les WC sont super...

Il lui laissa un dernier sourire et commença à ouvrir la porte quand plusieurs personnes arrivèrent devant la cellule...

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Diane se retourna et le fusilla du regard. Là, c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Elle s’approcha à grand pas, levant la main, et d’apprêta à gifler John…

… mais sa main s’arrêta à 1 cm de sa joue, sans comprendre pourquoi… Peut être que pour elle aussi, ce serait la goutte d’eau… qui la ferai passer en cours martiale…

… Là c’est pas mes charmes que je vais utiliser mais mon poing… et si tu continue, il pars directement te décrocher la mâchoire ! Capitaine ou pas, c’est bien clair ! Pour moi, tu es un homme comme les autres… Alors, je te conseille de ne pas trop abuser de ton grade John… Ni même d’être macho avec moi… Tu risquerai de le regretter sérieusement…

Elle fronça les yeux, retirant sa main avec difficulté car elle mourait d’envie de le frapper avec force et rage.

… Et pour ce qui est de l’électrocution… Je serais tenter de te faire subir le même sort… en bien pire…

Elle le regarda se lever pour se diriger vers la sortie. Elle serra fort ses poings… ce qui fit craquer ses articulations avec sonorité… Elle était prête à lui sauter dessus et à le frapper, ou à lui mettre la tête directement dans la cuvette des toilettes quand des personnes approchèrent…

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Sentir le chacal ... Ce qu'il ne fallait pas entendre. Bien sûr que le sang séché ça ne sentait pas bon, mais de la à dire qu'elle refoulait ... Elle était peut-être dans les vaps, mais ça, elle n'oublierait pas. Et puis dire qu'elle avait abusé un peu trop de la bouteille. Merci pour la réputation ... Bref, la petite interlude en sortant de l'infirmerie ne l'avait pas vraiment mis de bonne humeur. Déjà qu'elle n'était pas en bon état physique, manquait plus que ça ... Bon, ne rien dire et avancer, se concentrer sur ses pieds pour ne pas trébucher et ainsi de se faire encore plus débile qu'elle ne paraissait déjà.

Le petit voyage en ascenseur avait été agréable. Cela lui avait permis de retrouver son souffle, de repositionner son bras d'appuie sur les épaules du sergent et de se dégourdir un peu les jambes. Et puis, en restant statique, elle ne forçait plus, donc moins mal à l'épaule. Enfin, tant que le sédatif et les calmants faisaient effets, la douleur restait ... supportable. Ah, en tout cas le repos aura été de courte durée ... 2 étages en ascenseur, pas vraiment de quoi prendre du temps pour se reposer. Et c'est reparti pour le chemin le plus long de toute sa vie. Heureusement que le sergent la soutenait, elle s'imaginait assez bien tel un ver de terre, rampant comme elle le pouvait afin de gagner juste quelques centimètres de plus. Et cette douleur lanciante au bras ... Elle aurait eu un scalpel sous la main, elle se serait volontier couper le bras.

Enfin, une porte. Le but ultime n'est plus si loin que ça. Un dernier effort. D'un coup, son regard se raviva et les dernières forces qui lui restaient encore de disponible furent réquisitionnées pour allez aider les muscles de ces jambes. La première chose qu'elle fera en entrant dans la pièce ??? Se coller le dos au mur, se laisser glisser doucement pour finir par s'asseoir à terre. Le rêve ... Plus que quelques mètres et le tour sera jouer ... Tiens, la porte s'ouvre ??? Mince ... Et puis, même pas le temps de réfléchir à une possible esquive. Foutu calmant à la noix. Et oui, nouvelle facette de la jeune Annabel. S'énerve facilement de se savoir diminuer et incapable de réagir. Ah, un homme, qui restait les regarder.

"Allons-y tout de même, on fonce dans le tas et vous expliquerez après à cet homme ... Moi, il faut que je vois Diane."

N'attendant pas la réponse du sergent, Annabel reprit la marche, forçeant pour entrainer le sergent avec elle. Il fallait qu'elle retrouve Diane et même ses calmants ne l'en empêcheraient pas.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

La porte s'ouvrit tandis que le sergent et Annabelle forcérent une entrée dans la salle bousculant au passage la personne qui se trouvait à l'intérieur et l'envoyant valser au tapis...

Le soldat Spence alla s'appuyer contre un mur de la piéce pour se reposer quelques peu, bien que Faus l'avait porté tout le long, ce petit trajet l'avait fatigué et vidé de ses forces malgrés la petite pose dans l'ascenceur...

Jeffrey vit une femme en cellule juste devant lui, elle se trouvait également dans la fosse lorsqu'il y arriva, et l'homme que lui et la jeune femme avait projeté n'était autre que le Lieutenant qui l'avait emmené en détention, ce dernier se mit à fixer Jeffrey ne sachant apparement quoi penser de la situation et surtout surprit de son arrivé avec le soldat Spence...

Talker ne prit pas le temps de réfléchir au camp que ce capitaine avait prit, ils étaient pressé et il ne pouvait se permettre de commencer à jouer aux devinettes, c'est pourquoi il dégaina son arme et mit en joue le capitaine à terre...

"Mon capitaine, je vous demanderais de bien vouloir jeter votre arme si vous en avez une, et ensuite d'ouvrir la porte de la cellule svp..."

Trés franchement, Talker lui même ne savait pas vraiment ce qu'il faisait ici, un soldat blessé lui avait prédit une tentative d'assassina contre le président, puis l'avait emmené dans le quartier de détention et maintenant il se retrouvait à menacer d'une arme un supérieur hiérarchique, un pauvre type qu'il ne connaissait pas vraiment et cela pour libérer une personne mis en détention...

Le sergent croyait rêver ou du moins petit à petit se mit à l'espérer...

Arrivé au SGC : 07/11/2006

[Talker, la porte de la cellule est déjà ouverte, et en plus, je suis toujours dedans Wink

Et je suis pas Lieutenant^^]

John était fier de lui, il avait enfin réussi à mettre Diane hors d'elle. Elle avait failli lui décocher une bonne droite, bien sur, il se serait défendu, mais il aurait garder ce petit écart de la part de Diane pour lui, il n'était pas méchant, juste un peu sadique sur les bords.

Tu devrais te calmer...c'est mauvais pour tes nerfs...il font de très bon cachets pour ça...

Sheppard eu un léger sourire qui se dessina sur le visage mais qui disparu aussitôt quand l'une des personnes qui venaient d'arriver le plaqua à terre en pointant son arme sur lui. Il ne bougea pas et se contenta de parler doucement et calmement :

Sergent... J'aimerais que vous calmiez vos ardeurs...ou je vous envois croupir en cellule pour une durée indéfinie et je peux vous dire que vous le regretterez.

Sheppard se releva et essuya la poussière qui traînait sur le sol et qui s'était accrocher à ses vêtements. Il lança un regard noir à Talker et ajouta sèchement :

Baissez votre arme...

Voyant que ce dernier continuer de le tenir en joue, il répliqua d'un ton grave :

C'est un ordre Sergent !

Il avait toujours son 9mm dans la main et le braqua sur le Sergent.

Vous me défiez ou vous êtes tout simplement trop simple d'esprit pour comprendre ce que je dis ? Vous êtes vraiment tomber au mauvais moment...je suis légèrement sur les nerfs ces temps-ci, et vous avez réussi à vous faire remarquer, je ne vais plus vous lâcher...

L'attitude du Sergent était intolérable, surtout dans la situation actuelle. Au début Sheppard prit ça pour un besoin de prouver sa valeur, mais il changea très vite d'opinion, vu les problèmes que le Sgc rencontrer, il ne devait pas être dans son état normal. Il reconnu la jeune femme à ses côtés, elle aussi était dans la fosse avec Diane, elle aussi était suspecter pour tout ses meurtres. Il avait demander qu'on la conduise à l'infirmerie, sa blessure était maintenant soigner, et elle allait recevoir le même traitement que Diane.

Sergent...nous sommes dans le même camp, et cette femme est suspecter de meurtre, tout comme celle qui se tient derrière moi. Baissez votre arme, et emmener la dans la cellule voisine, je ne veux pas qu'elles soient ensemble. Je vous conseille d'exécuter mes ordres...si vous ne voulez pas vous retrouvez à faire le plus sale boulot du Sgc...D'un sens, ça arrangerait ces demoiselles, leur WC n'ont pas très bonnes mines...

Arrivé au SGC : 13/05/2006

"Le probléme mon Capitaine c'est que dans ma position actuelle, c'est vous qui êtes potentiellement dangereux.

Je sais l'histoire des meurtres, des suspectes de ces meurtres et etc, je vous refais pas l'histoire en entier parce que trés franchement ça me saoul mais je peux en dire que ça me paraît louche, deux jeune femmes comme ça, des assassins de sang froid?

Regardez dans quel état est celle qui me suit, vous y croyez vraiment?"

Talker avait les idées qui se mélangeaient un peu, il ne savait pas par où commencer ni quoi dire, ni ce que l'autre femme avait put dire, ni ce qui allait se produire maintenant qu'il avait ammené le soldat spence au-prés de son amie, dans une autre situation, Jeffrey auraient surement imaginer la suite du programme comme une séance de spiritisme ou à un truc à quatre pour le fun, bien que ce ne soit pas son truc...

Cependant il se dit que l'autre jeune femme avait peut être expliqué au capitaine la même histoire que celle que lui avait conté Annabelle alors il se lança sur cette voix d'explication:

"Ecoutez mon Capitaine, la personne qui se trouve avec moi ma parlé d'une histoire de complot, de milice à l'intérieur de la base et de possible traitre parmis nous, le soldat qui se trouve dans cette cellule pourait apparement nous aider à arrêter ce complot, et j'espére que cette histoire vrai car autant être franc si c'est faux je serais dans de beaux draps, cependant je ne peux pas prendre le risque de laisser passer une possibilité pareille et comme je ne vous connais pas et n'ais jamais vu cette milice vous comprendrez, j'espére et sauf votre respect, que je préfére garder un argument de poids au cas où vous seriez... dans l'autre camp..."

Puis il dit discrétement au capitaine:

"Si jamais je me gourre, j'espére que vous plaiderez en ma faveur..."

Les idées commençaient à se remettre en place dans l'esprit de Faust, à présent il fallait de l'organisation, un mot dont il connaissait la plus part des facettes et des sens car il en existe plusieur utile à retenir...

"Bon, Soldat Spence nous voilà arrivé, votre ami est là que fait-on?"

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Bon, peut-être que ces damnés calmants l'avait empêché de faire ce qu'elle voulait ... Car une fois la porte passée, Annabel ne pu rester debout sans l'aide du sergent. S'adossant bien vite au mur, elle ferma les yeux et se laissa lentement glisser, se tenant l'épaule blessé avec sa main récouverte par-i, par-là de sang séché. Elle avait le tournis, le souffle court et surtout mal. D'un coup, c'est comme si elle s'était retrouvée coupé du monde, de son environnement immédiat. Le fait que Talker tienne en joût le capitaine lui avait fait autant d'effet que le bruit d'une mouche volant au plafond. Elle se sentait mal et cette douleur à l'épaule l'handicapait énornément. Les secondes, les minutes ou les heures, elle n'en avait aucune idée, qui venaient de s'écouler lui parurent bien trop court. Elle savait qu'il se passait quelque chose à côté d'elle, même tout proche, mais l'exercice physique qu'elle avait du fournir pour rejoindre cette pièce l'avait totalement vidé.

C'est alors qu'elle entendit son nom prononcé assez fortement. Cela eu pour conséquence de la réveiller d'un coup, comme si elle avait reçu une violente décharge électrique. Son corps présenté comme un pantin désarticulé la seconde auparavent, repris comme vie d'un coup. Regardant tout autour d'elle à la recherche de réponses aux multiples questions lui traversant l'esprit, elle fixa l'une après l'autre chaque personne présente dans la pièce. Ah oui, voilà, tout lui revenait en tête.

"Diane ..."

Son regard quitta le sergent pour venir se planter dans la direction de la jeune femme. Sa main valide quitta alors son épaule blessé pour venir se poser contre le mur. Très maladroitement, Annabel réussit néanmoins à se relever seule. Prenant quelques secondes afin de récupérer de l'effort qu'elle venait de fournir, elle se rapprocha du capitaine et commença à le fouiller afin de trouver les clés de la cellule.

"Excusez-moi ... ce n'est pas contre vous ..."

Une fois ces dernières trouvées, elle se rapprocha enfin de Diane et lui fit un pâle sourire. Doucement, elle introduisit la première clef du trousseau dans la serrure mais ... ce n'était pas la bonne. Bon, deuxième essai. Non plus. Ben, comme on dit, jamais deux sans trois ! Enfin, le léger cliquetis du verrou tournait et la porte de la cellule s'ouvrit dans un grincement métallique pas vraiment agréable aux tympans.

"Ca va ??? Tu as des nouvelle du sergent ou pas ??? Il faut le retrouver."

Tout en disant cela, elle n'avait pu s'empêcher de poser sa main sur l'épaule de Diane afin de trouver un soutien. Mais disons que plus les minutes s'écoulaient et plus elle retrouvait ces facultés ... et plus la douleur se faisait présente aussi. Mais bon, il ne s'agissait pas d'elle pour le moment, il fallait s'occuper de cette milice. Mais de revoir Diane en bon état lui procurait une certaine joie. Ben oui, après le fait qu'elle se soit fait enlevé, voilà qu'elles avaient été de nouveau séparées. Il aurait pu lui arriver tout autre chose que d'être mise en prison ... Après cet instant de retrouvaille qu'Annabel ne put se reprocher, elle se tourna vers Talker et Sheppard afin de répondre enfin à la question du sergent.

"Il faut que l'on trouve des armes ..."

Elle espérait que le capitaine ne leur serait pas un obstacle, tout aide serait la bienvenue !

Arrivé au SGC : 03/12/2005

Rapidement ils passèrent le couloir sud. Ils devaient faire vite pour les surprendre sinon s'en était finit de leurs "révolution" Le chef leva le poing et désigna rapidement deux de ses hommes qui continuèrent pour bloquer l'ascenseur. Les 5 milicien restant entrèrent dans le quartier 6B ou se trouvait les cellules.

Ho se fut rapide a peine dans le couloir l'homme de tête se trouva dans le dos de Spence qui tenta de se retourner. En un fulgurant réflex il remonta la crosse de son fusil a pompe dans l'épaule blessé de la jeune femme ce qui la mit instantanément hors course. La douleur la paralysa presque tendis qu'elle tomba dans les bras de Talker qui essayer de pointé son arme sur les nouveau arrivant. Sheppard fut cueillit par une magnifique estocade dans l'estomac qui l'envoya au tapis et Diane ne pas faire grand chose face au canon du chef...

Les armes des personne présentes furent saisit et tous se trouver enfermer dans la cellule principal. Rapidement la porte fut soudée.

"Ont dirait que vous etes la pour un bon bout de temps..."

Arrivé au SGC : 06/07/2006

Ryas était amusé de la succeptibilité de Cassandra. Et toujours ce caractère à fleur de peau, malgré ses efforts pour l'enterrer.
Il avait accepté sa proposition par un sobre hochement de tête et descendit les escaliers en direction de la Prison.
Il avait au préalable échangé Berretta contre P90, même si celà lui déplaisait fortement. Se retrouver avec un simple pistolet ne l'enchantait pas, surtout dans ces conditions, il avait presque l'impression de se retrouver nu.
Il avait mit le pistolet dans son dos, soutenu par ses propres mains comme si elles étaient attachées.
Dès qu'il poussa la porte des escaliers, il joua sa petite comédie, pestant discrètement contre sa capture imaginaire.
Mais il reprit un regard dur dès qu'il constata que le poste de sécurité était vide, chose anormale.
Il se tourna, contrarié, vers Cassandra et lui murmura:

Quelque chose cloche, il doit toujours y avoir un garde ici, ce n'est pas normal, allons voir aux ascenceurs, s'il n'est pas là-bas, alors la prison a aussi été infiltrée.

Il s'approcha à pas de loup de l'angle du couloir qui menait à l'ascenceur. Cette fois ci aucun doute n'était permis: deux hommes bloquait l'ascenceur, dans une position qui tenait plus de l'embuscade que de la garde.

Ils doivent être en train de se placer, et ils vont aussi surement bloquer les escaliers. Mais c'est notre chance.

Ryas refléchit quelques très courtes secondes, tout en carressant le berretta. IL prit sa radio et murmura:

[Radio]
Kawalsky, encore deux étages et l'ascenceur arrive.
Je vais te sortir de là, tu as ma parole!
[/Radio]

Il jeta à nouveau un coup d'oeil. Il attendait que les miliciens réagissent et se préparent à accueillir sa pseudo arrivée.
Il comptait ainsi profiter du fait qu'ils soient dans leurs dos et que toute leur attention soit concentrée sur les portes de l'ascenceur.

Dès qu'ils seront en position, on se tape l'incruste dans le quartier des cellules!
J'ouvre le chemin et tu les tiens en joue.
Tu colle ton épaule à la mienne, je serais dans l'autre sens et s'ils ont le malheur de se retourner tu rafales et me pousse.
Si au contraire, je te pousse, alors tu décoches deux rafales par bonhomme et tu te retourne, car celà voudras dire que nous auront des cibles faces à moi.
Compris?

Il vérifia une dernière fois son arme et prit un chargeur en main pour se tenir prêt. Ne restait plus qu'à attendre la réaction des miliciens

Arrivé au SGC : 03/12/2005

Les gardes discuter tranquillement quand quelque chose attira leurs attention.

Sujet: Re: [GE] De mauvaises retrouvailles... 26.07.07 15:06

Le membre Nyphus a effectué l’action suivante : Lancer de dés

1 fois [GE] De mauvaises retrouvailles... Ouinon

Résultats :
[GE] De mauvaises retrouvailles... Oui

Arrivé au SGC : 19/03/2007

Cassandra buvait du petit lait, à voir Ryas jouer les prisonniers raleurs . Cela la consolait d'avoir louper son petit dejeuner, et d'avoir à supporter les remarques condescendantes du Sergent . Son amusement disparu, quand elle constata qu'il n'y avait pas de gardes à l'entrée . Elle sortit son revolver, bien plus pratique pour avoir à tirer avec précision, et continua sa comédie de matonne, en pointant son arme, comme si elle surveillait Ryas .

C'est bien plus grave que je ne l'imaginait !chuchota t-elle, en fronçant délicatement les sourcils .Ces salauds ont tout prévu !

L'adrénaline courait dans ses veines, mais Cassandra garda un strict controle d'elle même, ses sens s'aiguisant, et son corps se préparant au combat .Elle entendit Ryas provoquer les gardes, et hocha la tête, approbatrice .

A vos ordres, sergent !

Un sourire de louve monta sur le visage de Cassandra, qui se mit en position, assurant les arières de Ryas . Ils prirent le couloir, Cassandra surveillant les ascenseurs . Si un seul de ces imbéciles bougeaient un orteil, elle les descendrait sans aucun scrupule . Elle le souhaitait presque ! Ils avançaient le plus silencieusement possible, se dirigeant vers les cellules . Cassandra ne quittait pas des yeux les miliciens .
Un des deux se retourna pour arranger une méche qui tombait sur son oeil, vis Ryas et Cassandra, ouvrit la bouche pour crier, et n'eut pas le temps de prononcer un seul mot . d'un tir précis, Cassandra le descendit, et son collègue, pour faire bonne mesure . Ils s'écroulérent au sol, bien incapables, maintenant d'avertir leur chef .

Deux en moins...fut le seul commentaire du caporal Pierson .

Arrivé au SGC : 07/11/2006

John écouta les arguments de Talker avec attention, il n’avait pas totalement tort, elles n’avaient pas l’air d’être des meurtrières et encore moins des traîtres. Mais l’ennemi caché souvent très bien son jeu, et Sheppard ne pouvait pas se permettre de faire confiance à n’importe qui. Il baissa son arme mais resta tout de même sur ses gardes, les seules personnes en qui il avait totalement confiance étaient le Dr Frasier et bien sur, Sam. Il jeta un coup d’oeil au Soldat Spence, elle n’avait pas très bonne mine, il n’avait aucun souci à se faire de son côté, Diane restée la plus dangereuse, bien qu’elle ne soit pas armée, elle avait beaucoup de ressources, mais quelque chose en lui faisait confiance à cette femme, un ennemi potentiel n’aurais pas menacer de le frapper, il aurait été plus subtile, reste le Sergent, son attitude n’avait pas vraiment plus à Sheppard, bien qu’il soit toujours le premier à désobéir aux ordres, il n’apprécier pas que l’ont désobéisse aux siens, ni qu’ont lui manque de respect. Malgré son instinct de militaire qui le garder constamment sur ses gardes, il ressentait une drôle de sensation qui lui indiquer que toutes les personnes présente dans cette cellule étaient du même camp. Ne voulant pas montrer cette légère confiance, il répondit :

Vous savez, le diable se cache toujours sous une apparence d’ange...

Il écouta la suite de l’histoire, qui ne lui était pas étrangère, Diane lui avait déjà fait un léger topo sur ce qui c’était passer et Annabel avait raconter pratiquement la même chose au Sergent. Pendant que Talker parler, Annabel s’était rapprocher de Sheppard pour lui prendre ses clés et aller ouvrir la cellule. Il ne bougea pas, il laissa faire la jeune femme, sachant très bien qu’au moindre problèmes, son arme le défendrait très bien. Il regarda la jeune femme s’emballer face aux retrouvailles avec sa coéquipière, il pensa voir deux copines, encore adolescentes, qui se retrouvait après plusieurs jours pour se raconter les divers commérages du coin.

Elle va bien, mise à part ce manche qu’elle a de coincé dans le...

Sheppard lança un grand sourire à Diane voyant celle-ci redoublée d’envie de lui mettre son poing en plein milieu de la figure. Quand le Soldat Spence parla d’armes, Sheppard coupa aussitôt cette dernière.

Oh ! Doucement, rappelez-vous que vous êtes prisonnières ici, vous pouvez donc oubliez les armes. Vous allez rester tranquillement dans vos cellules, en ce qui concerne la base, il y a des militaires plus compétents pour se charger de la maintenir sécurisée. 1 cellule chacun bien sur...

Il avait à peine terminer sa phrase qu’il faut prit par surprise, un homme avait mit hors-heu Spence, lui même avait reçu, sans pouvoir faire quoique ce soit, un coup bien placer dans l’estomac, il tomba au sol, une main posée sur ce dernier. Il s’était à peine remit du coup plus blessant pour son ego, que pour son estomac, que leurs armes avaient disparu, il leva la tête et regarda la porte de la cellule se fermer. Se levant aussi vite qu’il le pouvait, il se retrouva totalement impuissant face à ses hommes. Ils venaient de souder la porte, ajoutant à cette dernière quelques grenades au cas où quelqu’un voudrait les sortir de là. L’un d’entre ajouta quelques mots, énervant ainsi un peu plus Sheppard, puis ils partirent, longeant le grand couloir en ne laissant qu’un seul homme pour surveiller les alentours. Sheppard s’accroupit près d’Annabel et l’aida à se relever en lui prêtant son épaule comme appui. Il regarda chacune des personnes présentes puis dit :

Ok, vous avez gagner, on est du même côté...

Arrivé au SGC : 06/07/2006

Ryas avancait lorsqu'il sentit le dos de Cassandra se plaquer contre le sien. Mais ce n'était pas une poussée d'alerte:
*Elle prend sa visée*
Alors, il banda ses muscles et arqua le dos.
Il décidait de lui faire confiance.
De longues secondes s'écoulèrent durant lesquelles il se demandait s'il faisait le bon choix.
Puis deux soubresauts, et il sentit l'omoplate du caporal se caler juste sous la sienne.
Deux détonations, suivit du bruit sourd de corps qui s'écroulent sur le sol.
Lorsque Cassandra reprit une position normale, il put sentir le P90 pendre en bandouillère dans son dos.
*Elle a préférée une arme de poing au P90...Hallucinant!*
Sans attendre, il déclipsa la bandouillère du pistolet mitrailleur, récupéra son arme, et lui murmura:

Bien joué, je récupère celà!
On laisse tomber la couverture et on s'engouffre dans le quartier des prisons!
Les coups de feux vont surement alerter les autres.

Ryas mit aussitôt le P90 en visée haute, et c'est avec un petit sourire en coin qu'il adressa un clin d'oeil à Cassandra, et vérifia par la même occasion qu'aucun des deux gardes ne bouge encore.
Puis d'un signe de main il fit signe à Cassandra d'avancer, et il ouvrit la marche:
*Bah, elle aurait peut être pu faire partie de mon équipe, après tout!*
Mais le temps des compliments n'était pas encore venu...

Il avancait calmement, assurant chacun de ses pas, et verouillant chaque angle de couloir au sein du dédale.
Son coeur battait à un rythme normal, il était étrangement calme, presque serein!
De temps à autre, il jetait un regard dans les cellules, mais aucune ame qui vive jusque là!

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Diane fit quelques pas rapide en direction de Sheppard pour lui donner une bonne claque dans la tête quand les miliciens entrèrent et mirent hors jeu les trois autres personnes dans la pièces. Elle leva à regret les mains, en signe de coopération et jeta un œil à ses compagnons à terre, impuissante, pendant que les soldats de la milice souder la porte de la cellule et miner l’entrée. Elle soupira, baissant les mains et lança un regard noir à Sheppard.

Au moins, maintenant tu me crois John…

Sa voix était froide et dure, plus qu’à l’habitude. Si celui-ci ‘était un peu bougeait, ils ne seraient pas dans ce merdier total. Elle commença à faire les cent pas dans la cellule, seule encore valide de cette équipe. Elle tenta de réfléchir et de trouver une solution… Elle montrait des signe de nervosités flagrants, n’arrêtant pas de bouger ses mains et ses bras de position… Elle parler à voix basse, marmonant pour elle...

Bon… le Sergent Ryas a du sûrement remarqué que nous n’étions plus au labo… Vu que tu étais blessé, il a du sûrement se diriger en premier à l’infirmerie… et comme il ne t’a pas trouver là bas, il doit sûrement être en train de se diriger vers ici…

A ce moment, la voix du sergent se fit entendre par la radio du garde milicien resté seul devant la porte. Elle porta la main au menton, croisant les bras sur sa poitrine l’air très pensive.

Bon… Avec ce que j’ai pu voir du Sergent… Cela m’étonnerai fort qu’il soit là où il dit être…

Il fallait à tout pris prévenir le Sergent de la mauvaise passe où ils se trouvaient tous les quatre… Mais comment faire… Elle claqua des doigts, un sourire malicieux et mauvais sur les lèvres. Elle s’approcha des barreaux se trouvant près de la porte et commença à taper dessus avec ses plaque militaires pour faire résonner le métal et appela le garde.

Hé Ho ! Vous là qui gardez cette porte, vous pourriez pas venir deux secondes !

Sujet: Re: [GE] De mauvaises retrouvailles...