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 MJ Mort ou vif

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Michael Anderson
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MessageSujet: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1006.12.11 9:20

MJ Mort ou vif Sanstitre1nmj

MJ Mort ou vif 169iw5k

Le robot d’exploration (MALP pour les intimes) traversa doucement le vortex aux ondulations aqueuses et disparu avec le bruit de sucions caractéristique de cette technologie. Le ronronnement de la porte cessa au moment même où le chef d’équipe donnait ses recommandations pour la mission en cours. Quelques syllabes du colonel se perdirent dans l’épaisse pluie qui tombait en rideaux. L’équipe se trouvait à mi-hauteur d’une petite élévation de terrain d’une centaine de mètres de hauteur contre laquelle était adossée la Stargate. L’adresse de cette planète avait déjà été composée quelques années avant sans succès et c’est avec stupeur que la salle de contrôle du SGC avait vu la porte s’activer quelques jours auparavant lors d’un exercice de routine qui consistait à recomposer les vieilles adresses inactives. Il était plus que rare que ce genre de pratiques fonctionne, aussi Walter, de stupéfaction, en avait renversé le contenu de sa tasse à café ce qui avait provoqué une méchante brûlure sur une partie sensible de son anatomie. Cette porte des étoiles semblait avoir été libérée depuis peu par un glissement de terrain qui avait formé une coulée de boue dont on voyait encore les vestiges en contrebas, constitués de terre détrempée et de troncs d’arbres entassés à l’horizontal. Le haut de la colline paraissait avoir déversé le plus gros de son trop plein de terre, rassurant l’équipe quant à son retour sur Terre. Ils n’auraient pas à dégager la porte et son DHD de leur fange lorsqu’ils rebrousseraient chemin.

Alors que l’équipe, composée du colonel Boba Fett, du capitaine Paul Kaïger, du médecin-militaire Alicia Becker Johansen, et des soldats de deuxième classes Tyler Fields, Miles Quaritch et Kurt Bath se mettait en marche, Kurt Bath cru important de faire partager au reste du groupe son humeur du moment.


- Quelle chiotte ce temps. Quand est-ce qu’on tombe sur une planète tropicale ? Putain, je sors d’un rhume moi ! Il fait à peine dix putains de degrés sur cette planète ! ‘chier.

Rapidement, accompagnée par les imprécations de ce soldat de deuxième classe, l’équipe rejoignit le couvert des arbres, au bas de la colline. L’exercice était plus périlleux qu’il n’y paraissait, la pente étant assez forte et l’attention de chacun mobilisée à ne pas glisser sur la boue et être entraîné dans une chute malencontreuse. La végétation de cette forêt était épaisse, à feuillage persistant. Les pieds de l’équipe s’enfonçaient profondément dans la gadoue, à chaque pas il fallait faire un effort non négligeable pour s’en extraire. Une odeur de sous-bois flottait dans l’air, agréable pour certains et dérangeante pour d’autres. La pluie était moins dense sous ce couvert végétal, mais les gouttes beaucoup plus chargées en eau. L’équipe fut bientôt méconnaissable et certains laissèrent leur mauvaise humeur prendre le dessus en maudissant ces conditions climatiques.

Ils ne rencontrèrent sur leur chemin aucune forme de vie animale. Aussi au bout d’une demi-heure de marche Kurth fit remarquer à la cantonade qu’il ne servait plus à rien de continuer… avec ses propres mots.


- Mais bordel on va traîner nos guêtres encore longtemps dans ce fichu marécage ? Qu’est-ce qu’il vous faut pour ordonner le retour vers la porte ? Qu’on choppe la grippe ? Six militaires entraînés pour déambuler sous la mousson au milieu de l’Amazonie du coin ! Si ça ce n’est pas de l’argent balancé par les fenêtres, moi je rentre dans les ordres de ce pas !

En marge de la petite discussion fort revitalisante qui s’ensuivit, l’un des membres du groupe qui s’était éloigné de quelques mètres pour ne pas se faire prendre entre deux feux et être victime d’un dommage collatéral plus que probable, indiqua au reste de l’équipe une formation rocheuse curieuse sur leur droite.

A la suite d’une enquête succincte, il fut découvert que ce rocher n’en était pas un, mais une construction composée de moellons. Ils se trouvaient dans d’anciennes ruines qui recouvraient plusieurs hectares…. La forêt y avait repris ses droits, faisant disparaître ces vestiges presque entièrement derrière des feuillages, buissons, lianes, mousses et divers sédiments. Cela faisait certainement plusieurs centaines d’années que personne n’avait parcouru cet endroit. Cela donnait à réfléchir sur l’éphémère de toutes vies et sur l’immortalité du règne végétal.


- Putain de merde ! Venez voir !

Kurth montra au groupe sa découverte. Près d’un arbre, des racines avaient fait remonter à la surface un vieux squelette blanchi d’humanoïde dont le crâne faisait froid dans le dos. Il était allongé vers l’arrière du corps et la mâchoire inférieure était pourvue d’un large menton qui descendait de trente centimètres vers le torse. Les dents, pointues, s’étalaient sur trois rangées. L’individu de son vivant devait mesurer environ deux mètres de haut. Kurth, la surprise de la découverte passée, ne sembla pas plus que cela impressionné.

- Mouaif, génial une civilisation disparue, youhou ! Bon on peut s’en aller maintenant ou vous souhaitez jouer aux osselets avec les restes de « dents de requin » ? Vous ne croyez pas qu’on a autre chose à foutre qu’à répertorier tous les monstres de l’univers ?

Un des membres de l’équipe intima le silence aux autres en levant sa main gauche, la droite se resserrant sur son arme. Quelques temps auparavant il s’était senti suivi. Là il venait d’entendre quelque chose… Kurth rompit le silence en ricanant.

- Il n’y a rien sur cette planète. Il y a plus de vie animale au pôle Nord. Comment veux-tu que… ?

Une sphère d’une dizaine de centimètres de diamètre, aux reflets métalliques, roula alors aux pieds de Tyler Fields. Il n’eut pas le temps de réagir en prévenant son équipe, une fumée épaisse s’en échappait déjà. Il s’en débarrassa d’un coup de ranger mais le mal était fait. D’autre part, la fumée semblait provenir de multiples sources. En quelques secondes le brouillard artificiel s’épaissit, on n’y voyait plus à dix centimètres devant soi. Le chef d’équipe donna ses ordres et le groupe se prépara à affronter une menace, quelle qu’elle soit. Kurth ne ricanait plus.

[HRP]Consignes : A partir de maintenant je vous laisse imaginer votre capture. Vous combattez contre la menace et vous perdez connaissance chacun votre tour après un combat plus ou moins acharné dans cette brume. A vous de voir comment vous perdez connaissance. Les personnes qui vous en veulent cherchent à vous capturer, pas à vous blesser ou à vous tuer. Restez logiques : par exemple vous ne pouvez pas vous servir de vos armes à projectiles de peur de toucher vos collègues dans cette purée de poix… enfin bon à vous de voir, je ne vous oblige à rien, ça dépend de votre organisation Wink Je ne vous dis pas pour le moment contre qui vous combattez donc restez assez évasif dans votre combat. De toute façon, vous êtes censés ne rien voir du tout à cause de la fumée épaisse Rolling Eyes
Paul Kaïger tu es le seul qui arrive à t’échapper. Je te laisse aussi imaginer comment.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à m’envoyer un ou plusieurs MP Wink

Prochain post mardi prochain Wink

Bonne semaine et bon RP à tous Wink[/HRP]


Dernière édition par Michael Anderson le 10.12.11 9:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1006.12.11 17:17

J’étais planté devant la porte des étoiles, regardant le MALP disparaitre dans le vortex. Quelques minutes auparavant, je confirmais par le système de communication de l’engin terrien notre arrivée saine et sauve sur la planète, et j’avais récapitulé les ordres de mission : exploration des environs. La porte se désactiva, nous laissant seul sur ce tas de boue géant. Nous nous trouvions à flanc de colline, près de la coulée de boue qui avait libéré la porte de son carcan de terre. Un grand coup de chance que tout soit en état de fonctionnement, porte comme DHD. Restait cette foutue pluie, battante, incessante. Bien qu’il faisait jour, on se croyait à la tombée de la nuit. Mes rangers s’enfonçaient dans la boue sous mon propre poids. Posant mon G36K à terre, je sortis mon poncho à camouflage digitalisé pour l’enfiler. Pendant ce temps, je pouvais entendre le soldat Bath maudire cette planète. Je ne le connaissais pas. J’avais fait une longue pause pour les traversées depuis nos démêlés avec le NID au SGC.

-« Mieux vaut un bon rhume que la malaria, soldat. On reste groupé et on va descendre cette colline par les bois. Pas question de s’aventurer sur la coulée de boue. »

Je pris la tête du groupe, me dirigeant vers la lisière, toute proche. Je pouvais encore entendre ronchonner le soldat Bath derrière moi. Le fait dans cette forêt, sous cette pluie incessante donnait une impression de guerre du Viêt-Nam. Je ne savais pas pourquoi je pensais à cela, peut-être à cause de mon père qui avait participé à cette guerre et qui en était revenu totalement timbré. La descente de la colline s’annonçait sportive. A peine avions-nous avancé de quelques dizaine de mètres que des presque-gadins se produisaient. Même moi, m’étais presque retrouvé les quatre fers en l’air, si une branche salvatrice ne se trouvait pas à proximité. Il fallait aussi prendre compte les nombreuses zones ou la terre n’était plus que boue, et là nos jambes passait du vert « camouflage USA » au marron « teinte naturelle du coin ». Gardant courage, nous avancions toujours, jusqu’au moment où Bath, encore lui, poussa un énième coup de gueule.

-« Silence soldat ! Vous me cassez les couilles à vous plaindre à la moindre difficulté ! Fermez votre clapet jusqu'à la fin de la mission à moins d’avoir à nous prévenir d’une présence ennemie ! Compris soldat ?! »

Incroyable de voir ça. Il me semblait que le SGC recrutait les meilleurs du monde, et là je me retrouve avec un fils à papa. Encore un qui a dû forcer son père à sucer quelques officiers bien placés pour se retrouver ici. Quelqu’un nous appela, pour nous montrer quelque chose. Encore enragé, je me dirigeais vers lui. Je ne voyais qu’un rocher.

-« Qu’a-t-il de si spécial ce rocher ? Contentez-vous de l’observer. Mon expérience me rappel qu’à chaque fois qu’un truc sans danger se montre à nous, c’est un piège qui vous tombe sur le coin de la gueule. »

Après de multiples vérifications, nous en concluions que ce rocher était les reste d’un construction, à la vue des moellons et des joins mathématiquement disposés. Bonne nouvelle, cette planète allait avoir un minimum d’intérêt. Je sortais un calepin d’une mes poches pour prendre note de notre découverte. C’est aussi à ce moment-là que Bath, qui s’était éloigné du groupe, choisit de prendre la parole. Je rangeais mon petit matériel pour le rejoindre.

* Bon dieu, il a intérêt d’avoir trouver un bataillon de jaffas ou c’est 10 coups de pompes au cul !*

Une fois à sa hauteur, alors que je m’apprêtais à parler, je vis ce qu’il avait découvert, un squelette pour le moins étonnant.


-« Et bien lui, vu sa tête, ne devait pas être humain. Un croisement peut-être. »

Je sortais également mon calepin, prenant note de notre découverte et dessinant un rapide croquis. J’avais dû être peintre dans une autre vie, tellement ce n’était pas ressemblant. J’espérais que quelqu’un avait emmené une caméra ou un appareil photo, même jetable. Bath, toujours sur les nerfs recommença à critiquer tout ce qui l’entourait et sa fonction dans cette mission. Mon sang ne fit qu’un tour.

-« Ta gueule ! Qu’est-ce que je t’avais… »

Mais un membre de mon escouade ne me laissa pas finir, ordonnant le silence. Je fis signe aux autres soldats de se mettre en position de tir, genoux à terre. J’épaulais mon fusil d’assaut, index sur la gâchette, pouce sur la sécurité. Quelques secondes de silence passèrent avant d’être interrompue par Bath, encore et toujours lui. Alors qu’il blablatait, je le fusillais du regard. Soudain de la fumée commença à s’élevé de la position de Tyler Field, qui avait l’air de se débarrasser d’un truc. Puis de la fumée sortait de partout, nous plongeant dans un brouillard à couper au couteau. Ayant perdu de vue mon équipe, je donnais un dernier ordre.

-« Restez en position ! Ne tirez que si vous êtes sûr de vous ! »

Je regrettais vite fait ce dernier ordre. J’aurais carrément leur interdire de tirer, le risque de tir fratricide était beaucoup trop grand avec cette purée de pois. Je basculais mon arme en bandoulière et je dégainais mon couteau de combat. Et je restais là, à l’affut. Les secondes s’égrainèrent et soudain, il y eut un bruit sur ma droite. A peine eu-je le temps de pivoter que quelque chose me percuta, en me faisant tomber au sol. Je me relevais de suite. La chose n’était plus là, pas de trace de projectile non-létal. Il y eut un autre bruit de feuillage, plus rapidement que précédemment, je me retournais et je vis une ombre foncer. J’essayais de lui asséner un coup de couteau, mais mon bras fut bloquer et je reçu un coup dans les côtes, me faisant tousser sous l’impact. Je repris mon souffle mais l’ombre avait déjà disparu. Puis un coup me toucha dans le dos. Je m’étalais de tout mon long, grimaçant de douleur. De la boue plein le visage, je tentais un croche-pied tout en étant au sol. Je sentis quelque chose entre mes jambes et tomber. Je me relevais, plein d‘espoir, mais l’ombre avait à nouveau disparu. Je cru la discerner sur ma droite, je fonçais dessus, couteau en avant. Elle esquivait avec rapidité et je tentais de la taillader avec l’énergie du désespoir, mais je ne réussissais qu’à fendre l’air. Puis je ressentis un grand coup sur ma tempe et tout se troubla. Je me sentis chanceler et m’effondrer par terre. Puis ce fut le noir.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1006.12.11 19:37

J’attendais tranquillement devant la porte derrière le Colonel Fett et j’attendais qu’il donne l’ordre de franchir la porte, en attendant, je dévisageais chaque membre du groupe, il y avait un Pitaine Black, Alicia la doc du groupe, le jeune Tyler et un autre que je n’avais jamais vu, Kurth.

Puis je traversai la porte après avoir reçu l’ordre, pour arriver sous une pluie tropical, Putain ce paysage me rappela le Viêt-Nam, enfin l’après Viêt-Nam quand j’étais partis sauver des soldats Américain encore prisonnier de ces putain de Viet ou certaine mission en Amazonie, Colombie plus précisément, enfin bref, je mi tout de suite mon Pancho et réajusta mon chapeau de brousse, on commença à marcher dans la boue. Kurth le soldat que je ne connaissais pas commencer a ce plaindre et cela fessait monter l’envi de l’envoyer chier ou lui foutre la main dans sa gueule.

« Ferme la gamin. »

Puis la traversé fut difficile a cause de la boue et cette pluie et en entendant l’autre trou du cul se plaindre a la moindre occasion. Mais mon attention était partout, j’avais traversait durant ma carrière de nombreuse jungle et si un ennemi veux nous tendre une embuscade, il peu avoir beaucoup de facilité. Je regardais partout et mes sens étaient en éveille. Plus on avançait, plus on devenait marron, la couleur de cette boue et plus on avançait, plus Kurth se plaignait.

« Putain tu vas la fermer, petit trou du cul, ou je t’arrache les couilles et je te les fais bouffer. »

Voila il fallait que sa sorte, mais mon poing me démange, il a envi de rencontrer sa mâchoire pour pouvoir lui fermer son clapet.

Puis un membre nous appela pour nous prévenir d’une découverte, je m’approchai doucement tout en restant concentrer sur les alentours, je commençais à avoir un pressentiment, je sentais qu’un regard était posé sur nous, peu être un animal sauvage ou un ennemi potentiel.

Je m’intéressais guère a leur découverte de caillou, puis apparemment Kurth découvrit des ossements toujours en se plaignait, mais le Colon le remit a sa place et se fut a se moment la que j’entendis un bruit suspect, mon instinct me disait vrai, un danger planait sur nous

« Ta gueule ! Qu’est-ce que je t’avais… »

« Fermé la, on n’est pas seul, en position. »

Je me mi a genoux en épaulant mon Tavor, j’observer les alentours, la pluie camouflé toute arrivait ennemis sur nous. Le silence ne dura pas, de la fumée envahi rapidement notre position. Putain, on était attaqué. Un brouillard m’entourait, je ne voyais plus rien, plus personne, mais j’entendis l’ordre de Fett.

Putain il est con, dans se brouillard, c’est le meilleur moyen de ce tirer entre nous. Je mi mon arme dans le dos et sorti mon couteau de combat, je suis prêt a les recevoir ces enculé, si ils veulent jouer, ils ne vont pas être déçu.

J’étais en position de combat et me repérer qu’avec le son dans se putain de brouillard, puis j’entendis une lutte puis un corps qui tomba dans la boue. Pour ma part, j’attendais mes sens en ébullition et je senti quelque chose s’approcher derrière moi, je fis volte face et vi une ombre foncer sur moi.


« Aller viens jouer. »

Je fis une attaque au couteau sur cette ombre, mais elle était rapide et agile, elle esquiva et je sentais qu’elle tournait autour de moi. Un autre assaut de sa part et sur ce coup la j’était pas assai rapide, je reçu un coup dans le torse et me fit tomber a terre, dans cette satané de boue, mais ce n’es pas pour autant que je m’avoues vaincue, je me releva directement couteau en main et vit cette ombre, il était tant de passer a l’attaque, je fit une charge pour bondir sur cet enfoiré, mais je fut arrêter en pleine course par un croche patte, j’atterris la visage dans la boue, je releva la tête pour cracher la boue de ma bouche, je sentis que quelqu’un était au-dessus de moi, c’est pour sa que je me retourna rapidement, mais ce fut a ce moment la que je senti une douleur sur la tempe, c’est enculé savait ou taper, puis mon regard se troubla, essaya une dernière attaque mais un autre coup sur la tempe me mi KO.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1007.12.11 1:24

Je m’étais portée volontaire pour une mission, la troisième depuis mon arrivée au SGC. J’avais maintenant à mon actif, une simple visite dans l’espace qui avait tournée à une prise d’otage sur un vaisseau extra-terrestres et une mission de réconciliation qui avait tourné en bataille contre des Jaffas.

Cette fois, c’était supposé être une mission d’exploration sur une planète dont la Porte des Étoiles était à nouveau opérationnelle. Semblerait-il qu’elle ne l’était pas avant, allez, savoir pourquoi. Bref, ce serait à l’équipe SG de découvrir que cachait cette planète, une équipe qui était composée de visages qui m’étaient connus comme Miles et Tyler et de visage inconnus comme le Colonel Fett, du Capitaine Kaiger et d’un certain Kurt Bath.

Lorsqu’on eut passé la porte, une belle surprise nous attendait, une belle grosse averse de pluie et un terrain de boue, sans parler du froid. C’était un gros contraste avec la dernière mission que j’avais fait sur la planète des Tok’ra, un vrai désert. Et puis comme si ce n’était pas assez la poisse comme planète, il fallait que le soldat Bath se mette à chialer comme un enfant. À croire qu’il n’avait pas vraiment compris c’était quoi être militaire et surtout, militaire pour le SGC. On pouvait tomber sur n’importe quel type de planète.

Je me tournais vers Tyler, désespéré.


Encore un à qui on devrait assigner un poste dans un bureau, il nous les casserait moins.

Je suivis le reste du groupe qui amorçait la descente de la colline. Ce n’était pas très facile parce qu’à certains endroits, nos pieds s’enfonçaient et l’on devait redoubler d’effort pour extraire nos pieds et quasiment y laisser nos bottes, mais ce n’était pas impossible non plus. Cela faisait penser aux entrainements militaires. Un cauchemar en somme.

En tout cas, c’est une bonne chose si l’on vante vraiment les bienfaits de la boue sur la peau, parce qu’on a vraiment eu droit à un petit traitement de fangothérapie.

Encore une fois, Bath commença à se plaindre, mais je préférais ne pas m’en mêler et partie plus loin pour voir si je ne pouvais pas trouver quelque chose d’intéressant. À un certain moment, je me suis arrêter, pensant n’avoir rien trouvé, mais ce qui semblait n’être qu’un simple rocher était plutôt le reste d’une construction. Puis, quelqu’un d’autre fit une découverte, un squelette, mais pas humain, ça c’était certain. Le colonel fit l’hypothèse d’un croisement, mais j’en doutais.

En tout cas, si c’est le squelette d’un être hybride, je ne vois vraiment rien qui pourrait donner ca …

Je laissais le Colonel et Quaritch remettre le soldat Bath à sa place quand quelqu’un ordonna le silence. Je n’avais pas vu qui avait fait cela, ni pourquoi, mais ce ne devait pas être du bluff. Je mis un genoux par terre, prête à tirer, puis une épaisse fumée s’installa autour de nous. Il était vraiment difficile de voir quelque chose et de se diriger, donc difficile de tirer. Je pris mon couteau, mais quelque chose me percuta et il me glissa des doigts. Je n’avais plus qu’à me défendre avec mes mains au besoin puisque avec mon arme, je risquais d’atteindre un de mes compagnons. Je toussais un bon coup, la fumée rendait ma respiration assez difficile et tout d’un coup, quelque chose m’agrippa par derrière. Je me suis débattu un instant, essayant de me libérer, mais je reçu un coup sur la tête avant de m’évanouir.


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Paul Kaïger
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1009.12.11 12:05

Une goutte atterrit sur le visage du Capitaine, suivit par d'autres beaucoup plus nombreuses. Il pleuvait, et pas qu'un peu. La végétation dense prouvait bien que cela était habituel et qu'il fallait s'y attendre. Paul se rappela du briefing fait peu avant. Une porte des étoiles qui pouvait subitement s'activer et le Général décida d'envoyer une équipe en exploration. Ainsi, le Capitaine fut demandé et l'homme était donc fin prêt. Il ne faisait pas très chaud non plus, sûrement dû à la pluie qui rafraîchissait l'air ambiante. Cette fois-ci, Paul n'était pas au commande mais il était le second du Colonel Fett, une homme bien et dont le courage ne faisait pas défaut.

Avançant tranquillement, l'un des autres membres de l'équipe commença à peine à gueuler alors que le groupe venait tous juste d'arriver. Paul ne dit rien, ce n'était pas à lui de dire quelque chose. Le chef du groupe, c'était Fett et donc, à lui de tenir ses hommes. L'équipe continua d'avancer tout de même, allant s'abriter en dessous des arbres pour éviter d'être trop trempé. Mais la progression n'était des plus aisé, la boue dû à la pluie rendait cela compliqué. Le pied du Capitaine s'enfonçait de plusieurs centimètres dans la terre devant flasque. Rapidement, ses chaussures et le bas de son treillis étaient rempli de boue et par la même occasion trempé, ce qui donner encore plus de poids à soulever. La pluie était moins présente grâce aux branchages des arbres mais du coup, les gouttes étaient bien plus grosse. Son visage était désormais trempé complètement, ainsi que ses vêtements. Il aurait pu s'habiller d'un imperméable qui le protégerait de la pluie, mais il trouvait cela trop encombrant. De plus, ce n'était pas de la pluie qui allait le gêner, c'était comme prendre sa douche habillé.

Continuant sa progression en suivant l'équipe, aucun danger n'avait été identifié pour le moment. L'autre continuait à gueuler ce qui rendait le reste de l'équipe de mauvaise humeur. Mais Kaïger n'y prêter pas attention, ce genre de gars n'allait pas survivre très longtemps de toute façon. Il voulait faire les durs mais il demandera certainement bientôt sa mutation dans un centre d'administration, bien plus confortable et au chaud. Heureusement, Fett le remit en place comme il le fallait. Ce fut à ce moment que Becker, la seule femme du groupe et Doc par la même occasion, lui montra une forme rocheuse. Le Capitaine eut du mal à voir qu'il s'agissait d'une construction civilisé à cause de la nature qui était abondante. Immédiatement, le Colonel prit un carnet pour faire un dessin ou autre chose, Paul ne voyait pas très bien. D'ailleurs, il lui demanda...


- Malgré toute cette pluie, vous arrivez à faire quelques chose avec votre carnet mon Colonel ?

C'était étonnant que la pluie ne lui flinguait pas son carnet en un rien de temps. Mais pas le temps d'entendre sa réponse que quelqu'un d'autre découvrit autre chose. Cette fois-ci, c'était bien plus impressionnant. Un squelette assez bizarre mais qui indiqué qu'il y avait une forme de vie ici. D'ailleurs, vue la forme, cela rappela un film de science-fiction bien connue...

- Jamais j'aurais penser voir en vrai les bestioles de « Alien vs Predator ».


Et voilà que le Colonel reprit son carnet pour faire un croquis du squelette. Du moins, un croquis abstrait car ce qu'il faisait ne ressemblait en rien à la réalité, l'art n'était pas son fort. Et c'était repartit par des jérémiades de la part de l'autre type. Mais alors que le Colonel allait certainement lui mettre son poing sur la gueule, quelqu'un demanda le silence. Visiblement, il avait vue quelque chose assez clairement pour réclamer l'attention de tout le monde. Et alors que le gueulard brisa le silence, un objet non identifié arriva. Il fut vite débarrasser par l''autre soldat mais la fumé arriva d'autre part.

Rapidement, l'équipe était dans un épais brouillard où la vue était réduite à son minimum. Fett ordonna de tirer si seulement on était sûr de soit. Il ordonna également de ne pas bouger, certainement au cas où l'ennemi nous attendait de l'autre côté de cette fumée épaisse avec un comité d'accueil. Paul avait sortit un zat, histoire de neutraliser les personnes qui les agressaient. Des bruits de combats se firent rapidement entendre, non loin du Capitaine. L'homme se déplaça silencieusement, se rapprochant des bruits. Mais une fois sur place, les bruits venaient d'ailleurs. Paul se déplaça de nouveau et il vit une forme disparaître dans cette épaisse fumée. Levant son arme, il se mit à la poursuive mais subitement, il sentit comme une présence derrière lui. En se retournant avec rapidité, il vit quelqu'un qui l'attaqua. Évitant le coup de justesse, le Capitaine répliqua avec un coup de pied au niveau du torse. Son adversaire tomba au sol avant de fuir. Le Capitaine décida de le poursuivre et se mit à courir à toute enjambé.

Toutefois, durant sa poursuite qui était assez courte, il vit d'autres formes dans la fumée et en plusieurs nombres. Impossible de savoir si il s'agissait de personne ou simplement d'effet optique. Ainsi, l'homme décida de se cacher dans des branchages le temps que la fumée se disperse. Avec l'obscurité dût aux branches des arbres et de sa couleur de peau naturel, il pouvait plus facilement se dissimuler et attendre. Il aurait bien voulue utiliser sa radio mais cela risquerait d'indiquer à l'ennemi la position de ses coéquipiers. Ainsi, il devait attendre, pas le choix. Mais quand la fumée sera partie, là, ça va être violent. On ne s'attaquait pas à des terriens impunément, surtout pas quand il y avait Kaïger dans le groupe.
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Tyler Fields
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1012.12.11 16:03

Tyler était avec le reste de l'équipe devant la porte, attendant que le MALP fasse son travail. C'était la première fois qu'il allait traverser la porte, et même la première fois qu'il la voyait fonctionner. C'était plutôt impressionnant de voir le MALP glisser dans le vortex bleuté en s'attendant à ce que l'engin réapparaisse derrière la porte, alors qu'en fait celui-ci allait se retrouver quelques centaines, voir plus, d'années lumière de son point de départ. Une fois le check-up de la planète effectué, l'état major leur donna la permission de traverser la porte. Il passa le dernier, ce passage vers d'autres planètes ne lui inspirait pas plus confiance que ça mais il n'en montra rien. Il s'empressa juste de passer rapidement pour ne pas se retrouver découper par l'arrêt du vortex. Quelques secondes après son passage la porte se referma pour n'être plus qu'un simple objet rond et rempli de signe indescriptible.

Pour sa première mission, il avait eu le droit à la totale, pluie, vent, boue, froid .... Le grand luxe. Tout en écoutant les ordres du chef, il regarda attentivement ses autres coéquipiers. Un colonel pour donner les ordres, un capitaine pour le suppléer, un autre soldat qu'il ne connaissait pas, puis Alicia et Rambo. Il connaissait déjà ces deux là, c'était une bonne chose d'être avec Alicia, un peu moins d'être avec Rambo, mais au milieu d'un colonel et d'un capitaine celui-ci se tiendrait surement plus tranquille qu'à l'accoutumé. Ils se mirent rapidement en marche, enfin ... en pataugement, les rangers bien cirées et bien nettoyées s'enfonçait dans la boue tout en reprenant une couleur marron/grise plus locale. Un des soldat décida de faire part de son humeur au reste du groupe, au cas où tous ne pensait pas la même chose.


- Quelle chiotte ce temps. Quand est-ce qu’on tombe sur une planète tropicale ? Putain, je sors d’un rhume moi ! Il fait à peine dix putains de degrés sur cette planète ! ‘chier.


Tyler le regarda avec un léger sourire sur les lèvres, au fond il n'avait pas tort, et même si chacun le remballait à sa manière, Tyler était plutôt d'accord avec, certes, la façon de le dire était à revoir, mais c'était assez original pour égayer un peu cette sortie. Alicia s'approcha de lui.

Encore un à qui on devrait assigner un poste dans un bureau, il nous les casserait moins.


Tu parle, avec un langage aussi gracieux et doux pour les oreilles, il devrait faire carrière dans la musique. Cependant, j'dois avouer qu'il n'a pas tort sur tout les points.


Tyler jeta un coup d’œil au chemin qu'ils allait prendre. Génial, une piste noire pleine de boue. Il fit comme tout le reste de l'équipe, descendant lentement pour tenter de ne pas se prendre une gamelle de légende. Heureusement il y avait une technique qui consistait à s'accrocher a chaque plantes qui possédait des racines assez profondes sortir de terre. La descente se fît toujours sous la pluie, accompagnée par la douce voix de Bath qui ronronnait dans les oreilles de chacun. Au moins il n'aurait pas à se faire chier pour se camoufler, il avait déjà naturellement adopté la couleur et la texture des environs, c'est à dire de la boue.

Tyler perdit la notion du temps, il se contentait juste de marcher en suivant le reste du groupe, sa tenue le transformant progressivement en éponge vivante. On aurait pu croire qu'il avait pris une douche en tenue, et à vrai dire, c'était pratiquement la même chose, sauf que l'eau était froide, et que la douche géante se faisait dans la boue. Ils n'avaient rien croisé de vivant depuis le début, mis à part les arbres, et Tyler se mît à croire que la planète était totalement vide et qu'ils avait fait tout ça pour rien, super ! Heureusement, Bath était la pour sortir toujours une petite phrase plein de sens et de poésie qui redonnait du baume au cœur à Tyler. Presque tout les autres semblait à bout de nerf le concernant, mais lui il l'aimait bien, enfin, il le trouvait marrant. Après tout c'était admirable cette façon de toujours se faire remballer en ouvrant la bouche, et pourtant de persévérer en sortant toujours une phrase plus grossière et plus pathétique que la précédente.


Alors qu'il était perdu dans ses pensées, le reste de l'équipe découvrit quelque chose. Tyler se rapprocha d'eux, il y avait des cailloux et un squelette. Enfin en y regardant de plus prés, c'était d'anciennes ruines et un squelette qui n'était vraisemblablement pas humain. Tyler regarda un peu distant le squelette, c'était un sacrée bestiaux. On aurait dit un monstre de cinéma. Alors que Bath surpris encore Tyler en sortant une de ces citations exceptionnelle, ce qui eût pour effet de le faire rire légèrement, Rambo intima à tous l'ordre de se taire et de se mettre en position. Partagé entre l'idée que Rambo était capable de sentir une grenouille boiteuse rien qu'aux bruit de ses croassement et l'idée qu'il avait réellement vu quelque chose, Tyler semblais hésiter sur la méthode à suivre.

Comme un signe du destin pour l'aider à se mettre en position, une sphère roula à ses pieds, à peine celle-ci eût le temps de cracher de la fumée que Tyler la tira d'un coup de ranger en pleine lucarne entre deux arbres. Par la suite il dégaina son arme, finalement la fumée semblait provenir de plusieurs endroit alors qu'il se retrouvait totalement seul dans le brouillard. Il pris son couteau et resta silencieux, immobile tout en surveillant tout autour de lui. La fumée le faisait tousser, il n'y voyait pas à deux mètres et le sol était toujours aussi glissant ... Les secondes semblait défiler comme des minutes alors qu'il entendait des bruits pas naturel autour de lui. En l'espace d'une seconde il se retrouva au sol, sans savoir ce qui l'avait frappé dans le dos, la silhouette avait disparu. Et puis il se retrouva de nouveau au sol, la silhouette l'attaquant de nouveau, il roula sur le coté pour éviter ses coups sans pouvoir distinguer son agresseur. Et puis alors qu'il se relevait une seconde fois, une grande douleur le pris au crâne, l'espace d'une seconde le noir ... et puis la seconde suivante plus rien, il était dans les vappes...
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1013.12.11 17:45

Alicia Becker Johansen et Tyler Fields :

Alicia Becker Johansen et Tyler Fields ouvrirent les yeux chacun leur tour, à quelques secondes d’intervalle, certaines parties de leur anatomie encore endolories, vestiges du combat intense qu’ils venaient de vivre bien malgré eux. Parfois on souhaiterait ne pas se réveiller, rester dans le réconfort des rêves. C’était le cas. Ils se trouvaient dans une petite grotte humide, dos à dos, les mains attachées à une colonne naturelle, rencontre heureuse d’une stalactite avec sa sœur stalagmite. Le retour à la réalité était rude. D’une sphère d’une dizaine de centimètres de diamètre partait un rayon rouge translucide qui enserrait les poignets des deux membres du SGC. La sphère était froide ce qui contrastait étrangement avec la chaleur rayonnante de l’entrave. Un homme les observait à l’entrée de la grotte.

- Bonjour. Bien dormis ?

[i]Une fois que les deux membres du SGC eurent complètement repris conscience, ils focalisèrent leur attention sur leur bourreau du moment. Un homme avec une moustache, d’un mètre 80-90 environ avec une ample cape sombre et un chapeau à large rebord. La ceinture à sa taille comportait une arme au long canon et les gants noirs qu’il portait laissaient découvrir, au niveau des poignets, des reflets métalliques. Dans l’allure de cet homme transparaissaient la puissance et la confiance en soi.


- Pas de chance pour vous, vous vous êtes retrouvés au mauvais endroit au mauvais moment. Je me suis écrasé en vaisseau sur cette planète il y a de cela quelques heures et je me suis dissimulé des yeux de mes poursuivants à l’intérieur des ruines que vous avez découvertes. Ce n’est vraiment pas de veine pour vous qu’ils m’aient retrouvé au moment même où vous êtes arrivés. Mais je vous remercie pour la belle diversion que votre équipe a constituée pour que je puisse m’échapper. Je n’aurais pas pu rêver mieux. Mais je ne me suis pas présenté, où avais-je la tête ? Je suis le meilleur chasseur de prime de toute la galaxie : Sentenza. Pour vous servir.

Les deux prisonniers exprimèrent le fond de leur pensée mais le chasseur de prime ne sembla pas s’en émouvoir et continua comme si de rien n’était.

- Si vous voulez des nouvelles de vos amis, je ne sais absolument pas où ils se trouvent. Je n’ai pu que vous traîner tous les deux derrière moi grâce à ma petite diversion. Je n’ai pas la force d’un Gulsien tout de même ! Les autres ont certainement été capturés par le groupe de mercenaires à la solde de Vilnus. Je ne sais pas si c’est un mal ou un bien. L’alternative serait… aussi dangereuse si ce n’est plus.

Il se tut, le temps que les deux hommes digèrent les informations données, puis enchaîna :

- Voila ce qu’on va faire. Je n’ai rien contre vous et comme je ne reconnais pas votre équipement des plus rudimentaires, j’en conclue logiquement que vous n’êtes pas de ce coins-ci de la galaxie. En gros vous ne me rapporterez pas un sou. Je vous laisse le choix : soit vous m’aidez à accomplir ma petite mission hautement rémunératrice sur cette planète, en m’aidant à éviter les autres chasseurs de prime envoyés pour m’occire et je vous laisse repartir tranquillement avec tout votre équipement, soit… vous refusez et comme je ne souhaite aucunement que vous tombiez entre les mains de mes ennemis, je vous troue la peau. La décision ne devrait pas être trop dure à prendre n’est-ce pas ? En gage de ma bonne volonté, je vous détache.

L’homme appuya sur une commande à son poignet gauche et le lien rougeoyant disparu. La sphère centrale tomba au sol avec un son mat qui résonna en écho dans la grotte, puis, d’un geste rapide, le chasseur de prime récupéra l’objet qui survola toute la pièce jusqu’à la paume de sa main droite.

- Vos armes sont derrières vous, indiqua-t-il en pointant du doigt le fond de la grotte, je les ai laissées tel quel. J’ai bien entendu détruit vos appareils rudimentaires de communication.

Sur ce, l’homme tourna les talons et fit mine de sortir de la grotte. Arrivé à l’entrée, matérialisée par un rideau de pluie, il se retourna puis se frappa le front d’une manière très théâtrale qui ne trompa aucunement les deux membres de l’équipe SG.

- Ah mais une seconde, j’ai oublié de vous préciser une chose… je suis vraiment distrait aujourd’hui. Vous voyez cette commande à mon poignet ? Si j’actionne ce bouton vous explosez comme de vulgaires fruits rouges trop mûrs qu’on jetterait violemment au sol. Vous avez bien l’image en tête ? Je vous ai fait avaler une petite charge pendant votre sommeil. D’ici 48 heures elle sortira par les voies naturelles. Si vous tentez quoi que ce soit contre moi, j’actionne la commande de mon poignet, et boum, plus de soldats. Si vous êtes plus rapides que moi et que vous arrivez à me tuer avant que je m’aperçoive de quoi que ce soit, boum plus de soldats. Le dispositif attaché à mon poignet fait automatiquement exploser les bombes que j’ai activées en cas d’anomalie. L’arrêt de mon pouls en est une. Cela devrait également vous motiver à bien me protéger. On part dans cinq minutes, si vous avez des questions, posez-les maintenant, nous sommes pressés, j’ai une cible à éliminer et des chasseurs de prime à éviter. Avec un peu de chance on retombera sur ce qui reste de votre équipe. Au fait, je n’ai pas repéré votre vaisseau, où l’avez-vous abandonné ?

Alicia et Tyler échangèrent un coup d’œil mais ne dirent rien. Sentenza haussa les épaules.

- Comme vous voulez mais si vous souhaitez qu’on quitte cette planète indemne je vous conseille de me le révéler en temps voulu. Je vous attends dehors, si vous voulez discuter entre vous c’est le moment, ensuite une longue marche nous attend…



Miles Quaritch et Boba Fett :

Miles Quaritch et Boba Fett se réveillèrent tous deux simultanément à la suite de coups violents, administrés à leur visage. Ils se trouvaient sous une pluie battante, dans une petite clairière au milieu des ruines qu’ils avaient découvertes quelques minutes auparavant... à moins que ce ne soit quelques heures… Ils étaient tous trois à genou, adossés à un muret. Leurs mains étaient attachées dans leur dos et liées étroitement à leurs chevilles. Quatre hommes ainsi qu’une femme les entouraient.

Un homme chétif aux yeux ronds et au regard mauvais qui semblait être celui qui les avait fait sortir de leur sommeil, occupé qu’il était à se frotter les doigts, prit la parole :


- Je me présente, je suis Vilnus, le plus grand chasseur de prime de toute la galaxie. Je vous présente mes hommes. Lucia une combattante aguerrie, Diyas notre artilleur, Monsieur Dunt dont la force physique nous est d’une grande aide et Yadar notre scientifique. Vous ne ferez la connaissance de Kol notre pisteur que dans un moment… si vous avez de la chance.

Lucia était une femme forte physiquement, aux épaules carrées. Diyas possédait des cheveux longs, ondulés et avait un regard calculateur. Monsieur Dunt était un colosse, à la musculature impressionnante. Une machette pendait à sa ceinture. Yadar contrastait étrangement avec le reste du groupe, chétif et le regard absent. Tout ce beau monde était d’avantage armé que tout un bataillon de soldats.

- Maintenant que les présentations sont faites, messieurs j’ai juste besoin que vous répondiez à une question et je vous laisse partir. Je ne vous tiens aucunement pour responsable de votre alliance douteuse.

- Vas te faire foutre le gringalet.

Bath se racla la gorge et cracha en direction de Vilnus. Le projectile visqueux termina sa course incertaine à quelques centimètres du pied droit du chef mercenaire. Vilnus sourit puis enchaîna.

- Bon, voila ce qu’on va faire : je suis tout à fait conscient de votre frustration. La seule chose que je veux savoir c’est la position exacte de Sentenza à l’heure où nous parlons ? Vous me le dites et je vous laisse partir. Vous avez ma parole.

- Au risque de me répéter sal con, va te faire…

En un éclair Vilnus se saisit de la machette à la ceinture de Monsieur Dunt et asséna un coup puissant au cou du militaire. Seules les vertèbres cervicales arrêtèrent la progression de l’arme. Kurth tomba au sol dans une flaque composée de son propre sang qui sortait en cascade de sa plaie béante. Vilnus se tourna vers les deux survivants de l’équipe SG, un sourire vicieux accroché à ses lèvres et du sang dégoulinant lentement de son arme.

- Je vais être clair, comme vous ne m’intéressez pas, il suffit que vous me disiez ce que je veux entendre pour que je vous laisse partir. Mais voilà, je n’ai besoin que d’un seul d’entre vous pour faire cela. Lequel de vous deux va lâcher le morceau et qui va rejoindre votre ami très malpoli dans son nouveau plan d’existence ? Je vous laisse dix secondes pour décider ou je vous envoie lui tenir compagnie tous deux. 10… 9… 8…

Le décompte était rythmé par la pluie qui tombait en cascade et par le gargouillis lugubre émis par la trachée de Kurth Bath dont le fluide vital continuait à se répandre sur le lichen local. Miles Quaritch et Boba Fett prirent chacun leur tour la parole, mais cela ne convainquit nullement le mercenaire qui reprit lentement et consciencieusement son compte à rebours.

- 7… 6… 5…

- Vilnus arrête de t’amuser, viens plutôt écouter ce que j’ai à t’apprendre.

Cette tirade provenait d’un nouvel arrivant, chauve, la peau buriné par le temps et les années. Il posa son sac à dos au sol, puis sortit une gourde qu’il se mit en devoir de vider par petites gorgées faisant attendre son leader qui n’avait guère l’air d’apprécier ce manque d’attention à son égard. Lorsque sa soif fut étanchée il s’expliqua.

- J’ai retrouvé la trace de Sentenza. Il semblerait qu’il se soit encombré de deux hommes. Ce qui tendrait à prouver que ces gens ne sont pas sous ses ordres. Pas pour le moment en tous cas.

- Es-tu sûr de toi Kol ?

- C’est moi le pisteur de l’équipe je te rappelle. J’ai trouvé des pas profondément enfoncés dans le sol ainsi que deux trainées de terre à la droite de ces empreintes. Ce qui veut dire qu’il portait un corps sur ses épaules et qu’il en trainait un autre. Je ne pense pas qu’il aurait assommé ces hommes s’ils travaillaient pour lui. Tu ne crois pas ?

Vilnus ne sembla pas convaincu et parut déçu de ne pas pouvoir mettre sa menace à exécution. Sa main était crispée autour du manche de la machette, ses jointures blanchissant sous la pression exercée.

- Je propose qu’on parte maintenant, reprit Kol. Encombré comme il est il n’ira pas bien vite, ni bien loin.

Vilnus regarda alors les deux hommes du SGC et leva sa machette en l’air, une lueur mauvaise dans l’œil. Puis il se ravisa au dernier moment et tendit l’arme à Monsieur Dunt.

- Monsieur Dunt, Lucia, occupez-vous de nos amis, ils nous accompagnent pour le moment. S’ils essaient de filer vous les abattez sans sommation, s’ils nous ralentissent vous avez le droit de leur couper un membre. Je vous laisse décider lequel. Mais choisissez-en un qui ne nous retarde pas trop. Laissez parler votre imagination…




[HRP]A Paul Kaiger : je te réserve un traitement spécial pour cette mission Rolling Eyes Comme tu t’es échappé brillamment, au contraire des quatre autres boulets Rolling Eyes, tu décides ce que tu vas faire maintenant. Soit tu tentes de retourner vers la porte pour récupérer du renfort, soit tu essayes d’aider tes amis et tu assistes, impuissant à la petite scène qui a lieu entre les mercenaires et le groupe de Boba. Par la suite et quels que soit tes choix, (suivre la petite troupe de mercenaires qui se met en marche ou repartir vers la porte) tu te fais toi-même attaquer et tu perds connaissance. Ton assaillant est silencieux et tu ne vois rien arriver (ce qui nous fera cinq boulets Rolling Eyes).

En ce qui concerne les descriptions physiques de Sentenza et de Vilnus, se sont les personnages qui se trouvent dans la bannière de la mission et dans ma signature.

Bonne semaine à tous et si vous avez des questions n’hésitez pas à m’envoyer des MP Wink

PS : La bannière vous représentant tous les cinq sur mon premier post a été faite par Aleksandr Lekaterina que je remercie pour cette généreuse attention Wink[/HRP]
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1013.12.11 21:25

Le désert irakien, 1990. Par cette chaude journée de novembre, 35°C à l’ombre, je me trouvais assigné dans les baraquements de mon unité. Le ciel était bleu, pas l’ombre d’un nuage à l’horizon. Je me tenais devant la fenêtre, regardant les bâtiment du camp luire au soleil du Moyen-Orient. Tout juste première classe, la tête tondue de près, je tenais un magazine PlayBoy dans la main gauche, une bouteille de flotte dans la droite. La porte s’ouvrit dans un grand claquement, mon sergent d’unité entra en gueulant.

-« Fett ! Sur le terrain d’entrainement, maintenant ! »

Je répondais par l’affirmatif, n’ayant pas d’autre choix. Je le suivis à l’extérieur, où de nombreux coups de feu résonnaient. Les gars de mon unité, avaient déjà passé deux bonnes heures à vider des chargeurs, histoire de passer le temps. Pas grand-chose à faire en Irak de toutes façons. Un hummer s’approcha du terrain d’exercice au tir. Dye était le conducteur, un gars que je connaissais bien, avec qui j’avais fait mes classes. Le sergent me montra du doigt la tourelle du Humvee.


-« Entraines-toi au calibre 50, c’est pas dans ce putain de désert contre ces putains d’irakiens que tu va utiliser tes explosifs. Go private ! »

Je soufflais silencieusement dans mon coin, j’avais réussi à esquiver l’entrainement du jour pour contempler miss Juillet, mais toute chose avait une fin. J’entrais dans le hummer, tapant ma main contre celle de Dye, puis je postais derrière la mitrailleuse lourde. Je pris une boite de cartouches que j’installais sur la mitrailleuse. Une fois prêt, j’armais la mitrailleuse puis je tirais sur les quelques bidons qui faisaient office de cibles. Les détonations, puissantes, me parvenaient jusqu’aux oreilles. Puis leur son se déforma pour devenir plus liquide et les images du désert plus lointaines.

-« Putain ! »

Je relevais la tête en sursaut. Je voulais me relever mais je me rendis vite compte que j’étais ligoté au rocher. Je gesticulais un peu puis je cessais. Trop bien attaché. Je tournai la tête à droite et à gauche pour voir que Miles avait du reprendre conscience en même temps que moi vu la tronche qu’il tirait, tout comme Bath, qui se trouvait lui aussi ligoté. En revanche le décor n’avait pas changé, on était toujours dans ce champ de ruines.

-« Quaritch ! Bath ! Vous êtes OK ? Où sont les autres ? »

Tout en gesticulant pour essayer de détendre les cordes, je vis que nous n’étions pas seul. Quatres hommes et une femme nous entouraient. Je cessais tout mouvement pour les observer. Un gars pas très grand et costaud avec des yeux globuleux, un montagne de muscle, un hippie ainsi qu’un maigrichon asocial et la dame qui ressemblais à Xena sous stéroïdes. Le premier pris la parole, se présentant comme Vilnus, chasseur de prime et les autres, respectivement Dunt, bon à soulever de la fonte, Dyas, l’artilleur de la tribu, Yadar, scientifique et Lucia, guerrière.

-« Enchanté. Moi c’est Rambo, le jeune s’appelle Bambi et le vieil aigri c’est George Washington. »

Le dénommé Vilnus, nous parla d’une alliance douteuse. Ce la m’étonnait qu’il puisse connaitre celle qui nous lie avec les Tok’ras, mais Bath ne me laissa pas le temps de répondre, se montrant plutôt désagréable avec nos ravisseurs. Vilnus reprit la parole après cet interlude. Il nous demanda où se trouvait un certains « Sentenza », nous proposant de nous libérer en échange d’une réponse. Encore une fois, Bath prit la parole.

-« Tais-… »

Mais avant que je n’eu fini mon avertissement, je vis avec horreur une lame se ficher dans son cou et se retirer, laissant couler un flot incessant de sang. Le colosse rengaina sa machette, satisfait. Le bruit de l’agonie de Bath nous montait aux oreilles. Vilnus se montra plus insistant, indiquant clairement que nous ne valions rien pour lui. Et il commença d’ailleurs un compte à rebours.

-« Ecoutez, nous ne savons pas qui est ce Sentenza ! »

Quaritch prit également la parole, tentant de défendre notre cause.


-« Nous ne sommes pas ici pour vous faire du mal. »

Mais le chasseur de prime ne semblait pas convaincu, décomptant toujours. Soudain, une autre personne arriva, genre homme des bois, Davy Crockett des étoiles. Il déclara qu’il avait des choses à faire apprendre à Vilnus, ce qui interrompit son compte à rebours, à mon grand soulagement. Ses explications tendaient à prouver notre innocence, bien qu’elles m’inquiétaient, puisqu’elles suggéraient que 2 des nôtres étaient prisonniers de leur cible. D’autant plus qu’un autre se trouvait dans la nature. Le groupe reporta notre attention sur nous.

-« Vous voyez… »

Avais-je risqué. Dunt et Lucia nous libérèrent. Je ramassais les plaques de Bath, puis je m’adressais au leader.

-« On est d’accord pour vous aider à les retrouver, mais nous avons besoin de nos armes. Où sont-elles ? »

Si nous devions traquer un danger, autant pouvoir se défendre. Je fis signe à Miles de s’approcher.

-« Ne leur faites pas confiance mais jouer le jeu. »

Alliés de circonstances.
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1014.12.11 20:00

« MILES TIR DE COUVERTURE… »

La mission été de récupérer des soldats Américain que les services secret avait réussi à localiser avant un prochain déplacement. 9 ans après la fin de la guerre et il y avait toujours des frères d’arme dans les camps Viet, jusque la tous aller bien, on avait récupérer une dizaine de soldats en mauvaise état, on avait massacré les garde qui étaient au camp et qui s’amuser à torturer avec leurs prisonniers.
Sur la route en direction de notre point d’évacuation, on était tombé sur une patrouille Viet et qui malheureusement avait eu le temps de prévenir des renforts et je faisais parti du groupe qui tenait a distance les Viet pendant que l’autre amené les prisonnier vers les hélicos.

J’étendais les Hueys passer au dessus de nous et qui se diriger vers la zone d’évacuation, les balles fusaient de partout, je faisais avec mon équipe une replies en appuis mutuel pour se sortir de ce mauvais pat. Je n’arrêtais pas de tirer, fallait faire coucher les têtes, mais les munitions baissaient dangereusement, puis je vis un de mes hommes se prendre une balle dans le tete.


« JJJOOHNNNNN… »

Mais il fallait reculer, puis j’entendis a la radio que les prisonnier étaient embarqué et qu’on pouvait rompre le contact, je pris une grenade fumigène et la lança avant de tourner des talons et de crier de se replier en grande enjambée.

Je ne sais pare quel miracles je sorti de la jungle sans me prendre une balle dans le dos pour arriver a une petite clairière ou les hélicos nous attendaient. Je couru vers le premier, la M60 qui étaient en sabord tirer pour nous couvrir, un Cobra était en appuis et vidait ces panier de rocket dans la jungle.

Je me mi a genoux pour tirer en direction dangereuse pendant que les membres de mon groupe montaient dans le taxi. Une foie cela fait, Mon lieutenant me donna sa main pour monter le l’hélico prit de l’altitude, je pu enfin souffler, je m’essuya le le visage et vida ma gourde sur ma tete, mon cœur battait extrêmement vite et l’adrénaline commençait a descendre, l’air me rafraichissait le visage puis je regarda un des prisonnier.


« Je t’avais dit qu’on allait te sor.. »

Je n’ai même pas pu finir ma phrase qu’une rocket de RPG explosa a coté du Huey, la déflagration secoua l’appareil et me fit tomber, je me rattrapa sur le patin mais ma prise ne fut pas très bonne et je lâcha la prise, je senti me fracasser contres les branches des arbres et je vis le sol se rapprocher je fermi les yeux.

« HHRRAAA… »

J’ouvris les yeux dans un sursaut et je n’étais plus au Viêt-Nam, mais a quelque million d’année lumière de la. J’étais ligoté, Fett et Bath étaient aussi présent et dans la même situation que moi, un putain de mal de crane était présent aussi. Puis Fett demanda des nouvelles.

« J’ai l’impression d’avoir prit une cuite carabiné. »

Je remarquai tous de suite les quatre hommes qui nous dévisageaient, mais mon attention était sur leurs armes, un reflexe pour se sortir de mauvaise situation. Fett mi une note d’humour pour essayer de détendre l’atmosphère. Bath avait toujours une grande gueule et dans une situation comme celle-ci, il ne faut pas provoquer ces tortionnaires.

« Ferme ta putain de gueule. »


Puis le leader continuer a parler et Bath remit sa en insultant ces bourreaux, la scène fut rapide, le leader prit une machette et coupa la tête de Bath, une giclé de son sang m’arrosa le visage puis je rejeta mon regard vers ce Vilnus, j’avais envi de le tuer a ce moment la, ma haine montée, mais en extérieur je restais calme, puis cette enculer nous donna un ultimatum de 10 secondes pour qu’on parle sous la menace d’en tuer un d’entre nous.

« Putain, je ne sais meme pas qui c’est ton Sentena ou Sentana. »

Fett fit de même, puis un autre chasseur de prime arriva et expliqua qu’il avait trouvé la trace de ce SENTEZA.

Puis Fett me dit de ne pas leur faire confiance et de jouer leur jeux et il fallait que je répond a sa.


" Ouai, mais des que j’ai l’occasion je prends sa machette, je lui mets dans le cul et je remonte pour voir de quoi il est fait a cette enculé."

Je n’ai pas dans mes habitude de me battre à coté de personne qui ont exécuté l’un de nos compagnons, même si c’été un casse burne.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1016.12.11 6:22

Imaginez que vous tombez dans un trou noir, mais que la chute soit si longue que la peur de toucher le sol et de vous fracasser le crâne disparaisse … Cette chute pouvait semblez bien longue, mais en réalité, c’était vraiment court, moins de trois minutes. Pourtant, j’avais l’impression que c’était une éternité. On ne le sait pas, mais c’est un long périple que d’être prisonnier en soi, comme si le corps ne réagissait plus au monde extérieur.

Plus aucune sensation, aucune odeur, aucun bruit, que le vide de l’inconscience. Le vide total, je ne pense pas. J’entendais cette voix dans ma tête qui me disait de me réveiller, d’ouvrir les eux, mais mon corps ne voulait pas l’écouter. Il restait là, immobile, je ne le sentais même plus. Du coup, on se croit mort, mais après, on y réfléchit : si j’entends encore cette voix, c’est que je ne suis pas totalement morte. Trois minutes … une éternité …Après, tout va vite, encore. Peu à peu, on se réveille et là, on vit dans quelle situation on est.

Quand j’ai repris conscience, j’ai d’abord noté une chose, c’est que ma tête faisait vachement mal. Probablement que je m’étais pris un sale coup ou bien que c’était durant la probable chute que j’ai faite après être partie dans les vapes. En tout cas, ça allait être une dure mission avec un mal de crâne comme cela. Quand j’ouvris les eux, j’ai d’abord vu très flou, mais lorsque ma vision s’est éclaircie, j’ai d’abord cherché à savoir où j’étais.

Le décor avait changé et on ne recevait plus cette pluie torrentielle sur la tête, c’était déjà ça, mais quand j’ai voulu bouger, je me suis dit que la pluie n’aurait pas été une mauvaise chose à comparer de ce qui se passait. J’étais attachée !


Tyler ?... Ca va ? … Où sont les autres ? ...

Sérieusement, j’avais du mal à comprendre, mais ce ne fut pas très long que quelqu’un éclaircit la situation. L’homme semblait en parfait contrôle de la situation et comme de raison, j’étais ligotée avec Tyler. Ca commençait bien mal … Je tournais la tête, mais je ne vis pas les deux autres, étrange. Après que ce Sentaza s’eut présenté, je manifestais mon mécontentement.

Laissez-nous partir. On va s’en aller comme si de rien était et on ne cherchera pas à vous poursuivre. Vous faites vos affaires et on fait les nôtres, c’est tout …

Mais ce Sentaza n’avait pas vraiment l’air d’être intéressé par ce que je disais … merde … nous voilà dans de sales draps. Ce qu’il raconta par la suite nous donna un peu d’infos sur la situation des autres, mais pas leur position. Et puis ce faux dilemme … le choix était assez facile à faire …

D’accord … On vous aidera … Mais nous voulons votre parole.

Être traitée en prisonnier était assez pénible et personnellement, c’était la première fois que je vivais cela et la dernière, j’espère. Nous étions incertains de notre sort, pour le moment.

Quand il nous libéra, je me relevai et massai mes poignets. Cette drôle de petit anneau serrait assez fort et était bien curieux. Une technologie beaucoup plus évoluée. J’allais récupérer mon arme et vérifier l’état de mon sac contenant du matériel médical quand Sentaza nous informa ce qu’il nous avait fait. Pendant un instant, je restais figée sur place.
Je jettais un coup d’œil à Tyler, rien ne pourrait nous sauver maintenant. Nous devions tenir 48 heures, le temps de ne plus avoir cette charge explosive et ensuite, s’établir une ruse pour s’échapper.

Bien sûr, on ne pouvait pas lui parler de la Porte, c’était trop dangereux. Quand Sentaza quitta la grotte, je fixai Tyler.


- Je crois qu’on devrait tenir notre langue sur la Porte. Qui sait ce qu’il pourrait faite s’il apprenait son existence. Selon moi, on doit le considérer comme extrêmement dangereux …
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1018.12.11 17:31

Tyler était un soldat, un vrai, un héros. De ceux qu'on ne trouve plus, 2010 ... Irak, sous le soleil cuisant son unité était déployée pour infiltrer une base ennemi surprotégée, en cas de réussite, cela pouvait changer le cours de la guerre définitivement, mettre un coup d'arrêt au terrorisme et faire rentrer le monde dans une ère de paix et de sérénité. En clair, 5 hommes, face à 300, pouvaient rentrer dans l'histoire et changer le monde à jamais. La mission avait bien commencé, ils s'était infiltré sans problèmes en zigouillant une dizaine de gars, leur objectif n'était plus très loin, une simple mallette à récupérer. Tyler, John, Jake, Jim, et Jess, étaient entrée dans la salle, en zigouillant de nouveau tout ceux présent dans la pièce. C'était une mission suicide, mais c'était pour le bien du monde entier, et ils étaient prêt à se sacrifier pour cela ... Mais c'est alors que Jake saisit la mallette qu'une alarme se déclencha, et la seconde suivante la mallette explosa tuant net Jake et blessant gravement Jim à la cuisse. Ils avaient était piégé par un faux, et maintenant toute la base allait rappliquer.

John : "On doit se casser d'ici ! vite !"

Tyler : "Pas sans Jim ! On reste ensemble !"


C'est ainsi que Tyler se dirigea vers Jim et le pris sur son dos tel un sauveur. Il quittèrent rapidement la pièce sous les coups de feu ennemis, une dizaine de gars posté dans le couloir. Malgré Jim sur le dos, Tyler eut sept des dix gars d'une balle en pleine tête, deux des autres gars furent mis à terre par les autres tandis que le dernier ce jeta sur Tyler dans un combat au corps à corps. Ce dernier esquiva tel une panthère tout les coups de son adversaire, puis le projeta par dessus la fenêtre de l'étage, celui-ci s'écrasa sur le coffre de la jeep remplie de bidon d'essence en contrebas. Dans un geste théâtral Tyler alluma une cigarette et jeta son briquet par la fenêtre en plein dans la flaque d'essence se formant, l'explosion qui retentit par la suite tua net une bonne dizaine de soldat qui traversait la cour pour les rejoindre. Par la suite, ils se dirigèrent vers les escaliers, Jess et John passèrent devant, et c'est avec effroi et sans pouvoir réagir que Tyler et Jim les virent se faire tuer par une rafale de mitraillette.

Tyler : "Noooon !"

Jim : Il ne reste plus que toi, moi je vais mourir, court et sauve toi ! Vite je les retiens !


Sans lui laisser le temps de répondre, Jim se jetta au sol devant la porte, sortit son revolver et tira dans les ennemis arrivant par vingtaine. Une balle lui traversa l'épaule mais celui-ci continua avec l'énergie du désespoir à tirer dans tout les sens. Il n'y avait plus rien à faire pour Tyler à part se sauver pour ensuite revenir venger ses camarades ... Il fit demi-tour et traversa plusieurs couloirs, tuant sans pitié les soldat qu'il croisait. Une nouvelle explosion se fît entendre, Jim s'était fait tuer par une grenade ... Les ennemis arrivait dans son dos, et d’après ce qu'il pouvait voir de sa position, ils arrivait aussi devant lui ... il était pris en étau sans aucun moyen de s'en sortir ... Enfin presque ... Il y avait bien cette énorme tuyau qui servait à descendre les débris de la façade en travaux, mais celui-ci donnait directement sur la cour, c'était comme se jeter dans la gueule du loup ... Mais il n'avais pas le choix. Il saisit l'AK47 de son adversaire, et son P-90 dans l'autre main puis se mît à grimper sur l’échafaudage. ll arriva devant l'entrée de l'énorme tobogan et, sans avoir le temps de réflechir, deux premier soldat arrivèrent de chaque coté. Il n'avait qu'un solution, il se jetta dans le toboggan, évitant ainsi les tirs ennemis. Une fois en bas, un P-90 dans une main et une AK-47 dans l'autre, il se mit à tirer de tout les cotés, tuant par surprise des dizaines et des dizaines de soldat. Il se releva, dégoupilla une grenade et la jeta devant le toboggan en courant se mettre à l'abri. L'explosion qui suivit fût interrompue par une voix féminine extrêmement charmante.

Hôtesse : "Votre cocktail monsieur Fields. Vous voulez autre chose ?


Tyler appuya sur pause, posa sa manette et se tourna vers l'hôtesse. Une créature de rêve, une déesse, une siréne, Aphrodite en personne ... Elle était magnifique et elle le regardait de manière insistante.

Tyler : "Pourquoi pas un deuxième cocktail pour que vous puissiez vous asseoir avec moi ?


Il lui fît un sourire dont il avait le secret. Elle le fixa en souriant elle aussi, elle entrouva légèrement sa chemise dans un geste des plus sensuel avant de se pencher vers lui. A l'instant précis ou ses lèvres se joignirent à celle de Tyler, l’hôtesse s'estompa, la pièce aussi, la chaleur se transformant peu à peu en froid, la douceur de son siège en pierre brute et son bien-être en une douleur lui arrachant le crâne. C'est lorsqu'il entrouvrit les yeux et voulu poser ses mains sur sa tête qu'il comprit qu'il y avait un soucis. Il était trempé, dans une grotte froide, lugubre avec les mains attachées dans le dos. Cependant une autre voix charmante se fît entendre, sur le coup il pensa à une autre hôtesse, avant de comprendre qu'il s'agissait simplement d'Alicia.

Tyler ?... Ca va ? … Où sont les autres ? ...


J'étais mieux dans mon rêve ...


Une autre voix se fît entendre, celle-ci beaucoup moins charmante cependant. Il dévisagea son propriétaire, un cow-boy avec une cape, un mix entre Clint Eastwod et Zorro sans masque, le tout avec la prestance et la classe de James bond.


- Pas de chance pour vous [...] Je suis le meilleur chasseur de prime de toute la galaxie : Sentenza. Pour vous servir.


Tyler, seigneur des tagliatelles carbonara.


C'était à peine s'il offrait à son ravisseur son attention, pour l'instant ce qui l'importait c'était qu'il avait drôlement mal à la tête, et que celle-ci résonnait comme si c'était un gong. Il résuma la situation, il était dans une grotte avec Alicia, sans présence des autres, ligotés et sonnés. Il y avait au moins des poins positif, Alicia allait bien, lui aussi, et ils étaient vivant ce qui voulait dire qu'ils avait encore un rôle à jouer. Par la suite, le cow-boy éclaira sa lanterne avant de les libérer tout les deux. Tyler se massa les poignets et se retourna vers Alicia pour avoir confirmation que tout allait bien. Visiblement oui, il lui emboita le pas et récupéra ses armes en même temps qu'elle. Il se demandait pourquoi cet homme les avaient laissé libre, soit il était gentil, soit inconscient, soit il y avait un truc louche. Et Tyler ne tarda pas à avoir la réponse. Ils avaient 48 heure pour aider le cow-boy avant d'imploser littéralement. Forcément, cette histoire devait se compliquer, ils ne pouvaient pas tomber sur un homme qui les laisserais partir tranquillement, ils ne pouvait pas avoir de beau temps et ils ne pouvaient pas être tous semble ... forcément ! Sur le coup il maudît le SGC, la porte des étoiles, les anciens, et tout ce qui avait attrait de loin ou de prés à la porte.

- Je crois qu’on devrait tenir notre langue sur la Porte. Qui sait ce qu’il pourrait faite s’il apprenait son existence. Selon moi, on doit le considérer comme extrêmement dangereux …


Ne t'inquiéte pas pour ça, un homme qui me fait manger du C4 en vue d'éparpiller mes morceaux sur une bonne dizaine de mètre à la ronde si je ne fais pas mon travail correctement ... Je le considère aussi comme dangereux.


Il conclua par un sourire. C'était une de ses forces, il avait rarement la pression, ou peut-être savait-il la canaliser, on pouvait peut-être dire aussi qu'il se laissais vivre, mais il était comme ça, le fait est qu'ils ne pouvaient rien changer à la situation. Aucun des deux ne pouvait rien faire et ce n'était la faute de personne si ce n'était du destin. Il ajouta :

Les autres se sont peut-être échappés, on pourrait leur laisser une piste ... discrètement ... Ou alors, on lui fait confiance et on attend de voir ce qu'il se passe ...
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1020.12.11 16:09

Paul était caché, bien à l'abri d'individu suspect. Il était resté dans sa planque jusqu'à ce que le fumée s'était dispersé. Ainsi, une fois sorti de sa cachette, il fut surpris de se retrouver tout seul. Il n'y avait plus personne, ses compagnons s'étaient fait capturé visiblement. Le Capitaine aurait put partir à leur recherche étant donné que les traces dans la boue étaient tout de même assez visible. Mais vue que les personnes qui avaient fait ça avaient capturé quatre soldats terriens surentraînés, Paul doutait de ses chances à lui tout seul contre leur agresseur. Il décida donc de faire demi-tour histoire d'aller prévenir le SGC de leur mésaventure.

Encore une fois, sa route était parsemé de boue épaisse et dont le pied s'enfonçait pour se retirer avec difficulté. La pluie était toujours au rdv, tombant sans cesse sur les arbres qui relâchaient du coup des gouttes immense. Le Capitaine avançait rapidement, il devait faire vite si il voulait laisser une chance à ses coéquipiers de survivre. Après tout, il ne connaissait rien de leur agresseur, ça pouvait être des malades dangereux qui voulait faire des expériences avec eux. Ou bien des cannibales qui avaient trouvé leur repas du soir. Ou encore des hommes au service d'un scientifique fou qui voulait faire des testes sur eux. Kaïger ne savait absolument rien et il avait apprit qu'avec la traversé de la porte des étoiles, de l'autre côté, il pouvait y avoir de tout et de n'importe quoi. De l’inoffensif à extrêmement dangereux.

Et alors qu'il marchait aussi vite qu'il le pouvait, il vit sur sa droite quelque chose, un autre chemin. Lorsqu'il était passé avec l'équipe à l'aller, personne ne l'avait vue et c’était compréhensible. Le chemin était caché par des branchages et il était possible que de la voir en allant vers la porte des étoiles. Le Capitaine se dit sur le coup que c'était peut être là qu'il y avait ses compagnons. Ainsi, il prit son arme fermement dans ses mains et avança vers ce nouveau petit chemin.

Rapidement, il arriva sur une découverte assez impressionnante. Il s'agissait de ruine semblable à celle qu'ils avaient trouvé auparavant. La végétation avait également reprit ses droits sur les constructions et il ne fallait pas être savant pour se rendre compte qu'il n'y avait plus personne ici depuis des années. Paul identifia les ruines comme un petit visage soit de chasseur ou d'agriculteur. Il y avait plusieurs baraques encore sur pied malgré leur état assez déplorable. Le Capitaine passa sa tête dans l'une d'entre elle pour découvrir un squelette d'humain avec un autre d'enfant à la base du ventre. Il devait sûrement s'agir d'une femme enceinte, la pauvre. Mais l'homme ne s'attarda pas sur cette découverte, il avait vue bien pire qu'un squelette d'une femme enceinte. Il trouva d'autre ossement un peu partout dans le village et il comprit rapidement que les habitants avaient du être tué par quelqu'un, sûrement les agresseurs de son équipe. Seul point positif, il trouva une sorte de petit rubis rouge, à peine apparent derrière de la végétation. Il réussit à le trouver car une racine avait faillit le faire tomber et en tournant la tête, il avait vue ce reflet rouge.

Enfin, à part sa petite trouvaille, il n'avait trouvé rien d'autre de bien dans ce village. Du coup, il ne s'attarda pas plus et il décida de reprendre sa route vers la porte des étoiles. Toutefois, alors qu'il allait quitté les lieux, il sentit comme une présence derrière lui. Le Capitaine se retourna, regardant un peu partout pour savoir si il y avait quelqu'un. Mais à première vue, il y avait personne. Cependant, l'homme gardait cette fameuse impression que les gens avaient lorsqu'une personne vous fixez avec insistance. Ainsi, il décida de reprendre son arme dans les mains et de se mettre en position, prêt à faire feu...


- Il y a quelqu'un ?! Montrez vous immédiatement !!

L'ordre était claire, la personne devait se montrer. Si elle le faisait pas, Paul n'hésitera pas à lui tirer dessus si elle tenterait de fuir ou faire autre chose. Et alors qu'il avançait doucement, il entendit sur sa droite un drôle de son. C'était comme si quelque chose brassait de l'air. En tournant la tête, il vit un truc arrivait mais sans vraiment la voir. Toutefois, il se rendit compte qu'elle allait le frapper. Alors l'homme fit une roulade avant histoire d'esquiver le coup. Une fois de nouveau sur ses jambes, il se mit à tirer mais cette chose était drôlement rapide. En plus, elle était invisible mais le Capitaine avait réussit à la voir, comment ? Et bien grâce à la pluie et au goutte d'eau. Malgré que la chose était invisible, elle n'était pas pour autant intangible et donc, des gouttes d'eau tombaient sur elle. Ainsi, Paul pouvait voir un peu ses épaules et sa tête. Il ne discernait aucune forme, juste des mouvements.

La chose avait disparut mais pas pour très longtemps. Observant les environs, il ne fit pas assez attention à ses arrières et reçut un coup dans le dos. Il tomba sur le sol et glissa sur quelques centimètres à cause de l'eau s'y trouvant. L'homme se releva tandis que la chose se rua sur lui. Par malchance, le terrien avait fait tomber son arme et il se dépêcha de la reprendre mais alors qu'il était sur le point de l'avoir, son agresseur le refrappa de nouveau. Paul réussit à esquiver le coup et tenta un coup de pied dans le ventre. Mais il fut surpris de voir son pied arrêté si soudainement par la chose. Elle était rapide, très rapide même. Et puis, il fut projeté contre l'une des habitations en ruines. Il traversa carrément le mur et l'habitation s'écroula sur l'homme. Paul prit un débris sur le tête. Traverser une maison et recevoir quelque chose sur le tête fit perdre connaissance à l'homme. Il n'aurait jamais dût prendre ce chemin, un erreur de sa part.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1020.12.11 23:20

Paul Kaiger (partie 1) :

Lorsque Paul Kaiger revint à lui, il se trouvait dans une salle en terre séchée, ovale, de dix mètres sur huit environ. Le plafond, d’une bonne hauteur, se trouvait à quatre mètres du sol. Cinq ou six ouvertures partaient en étoile des parois en face du capitaine.
Une fibre particulièrement rigide, de couleur brune, liait chacun de ses membres à la paroi. C’était comme s’il était enraciné à la cloison.
Contrairement à l’extérieur la chaleur ici était étouffante et l’air chargé en humidité ainsi qu’en odeurs diverses et variées. Ce mélange olfactif détonnant soulevait le cœur. Des sons résonnaient en écho, provenant des tunnels alentours, mais ils étaient émis de bien trop loin, pour permettre une quelconque identification.

Alors que l’esprit du militaire vagabondait, imaginant déjà une façon de s’échapper, des bruits de pas se firent entendre et un individu apparu, s’avançant d’une des ouvertures … Cet être était monstrueux, mais il reconnu là un descendant de l’étrange créature que son équipe et lui avaient trouvé quelques heures plus tôt, au milieu des ruines.

De son crâne oblong partaient des tentacules qui encadraient sa tête en une grotesque coiffure. Sa triple rangée de dents, bien aiguisée, était bien visible et chacun de ses doigts était pourvu d’une griffe de vingt centimètres de long environ. Sa peau était écailleuse et brune, mais lorsqu’il s’approcha plus prêt, le militaire put nettement apercevoir que ce n’était pas une couleur naturelle. Tout son corps était couvert d’une sorte de boue malodorante. Le monstre se mit à siffler, crescendo s’agitant de plus en plus. Parfois la bête faisait des poses, fixant le visage du militaire de ses yeux reptiliens. L’alien semblait attendre quelque chose venant de lui. Les sifflements devinrent de plus en plus aigus et tout à coup, il sortit de son dos un coutelas en métal mat, qu’il planta dans la cuisse du militaire.

L’alien indiqua de ses doigts griffus le manche du couteau, puis le front du militaire. La menace était claire… contrairement aux attentes du monstre.




Miles Quaritch et Boba Fett :

Suite à la demande de Boba Fett concernant le réarmement de ce qui restait de son équipe, Vilnus se mit à rire, un rire contagieux qui secoua la majeur partie des hommes du mercenaire, même si la plupart ne connaissait pas la raison de leur hilarité profonde.

- Je crois que l’on ne s’est pas bien compris, fit Vilnus une fois son fou-rire passé. Si je vous amène avec nous, ce n’est pas par bonté d’âme. Tout ce que je fais ici, c’est pour attraper Sentenza. Le reste ne m’intéresse pas. Lorsqu’il sera éliminé… nous verrons alors ce que l’on fera de vous. Tout dépendra de votre comportement. Vos mains resteront attachées dans votre dos en attendant. Mes amis c’est l’heure du départ.

Cette dernière phrase provoqua un remue-ménage au sein des mercenaires qui se préparèrent à quitter les lieux. Profitant de ce moment d’agitation, Kol s’approcha des deux militaires et leur glissa, à voix basse :

- Je vais tenter de vous maintenir en vie mais je ne vous promets rien. Mais par pitié, faites un effort et ne nous mettez pas de bâtons dans les roues. Surtout n’énervez pas Vilnus… en aucun cas. Je vous promets que vous serez libérés dès que l’on aura retrouvé ce diable de Sentenza.

- Tu fais de drôles de promesses Kol, ricana la dénommée Lucia qui était en train de détacher les pieds de Boba.

- Tu me connais Lucia, je tiens toujours à ce que justice soit faite.

- Je te connais kol. Mais le souci ici, c’est que tu n’as pas ton mot à dire. C’est Vilnus qui commande.

- Nous sommes un groupe, c’est au groupe de décider. Nous ne sommes pas des hors-la-loi ! Nous les traquons ! Nous sommes des mercenaires impériaux, nom de Vishna !

- Vilnus n’a constitué ce groupe que dans un seul but et tu le sais très bien. Si l’un d’entre nous le ralenti, il s’en débarrassera sans aucun scrupule. Et je ne parle même pas de nos deux nouveaux amis qui viennent tout juste de se joindre à la fête.

Sur ce, rageur, le pisteur s’en alla se placer en tête de la colonne. Le groupe se mit en marche à travers l’épaisse forêt. Boba et Miles étaient étroitement surveillés par deux de leurs geôliers. Lucia passait son temps à invectiver les deux militaires, Monsieur Koll quant à lui ne bronchait pas. Il se contentait d’être présent physiquement. Il ne semblait porter sur lui aucune arme moderne. Seule sa machette était visible à son flanc droit.

La forêt était toujours aussi envahissante et humide, provoquant plusieurs ralentissements dus à des glissades ou à des obstacles faits d’arbres et de roches. Miles et Boba profitèrent de certaines pauses pour échanger des coups d’œil et parfois quelques mots, succinctement.

Le petit groupe de mercenaires et leurs prisonniers, menés par Kol, arrivèrent bientôt dans un endroit particulièrement envahi par la végétation. Dame nature ne leur avait laissé qu’un tout petit passage entre les troncs d’arbres, les buissons et les arbustes. Ils ne pouvaient y passer qu’un par un. Un endroit parfait pour une embuscade. Kol, en bon mercenaire, en était bien conscient et demanda à son équipe de s’arrêter un moment. Il s’engagea dans le chemin, particulièrement attentif, tous ses sens en alerte. Arrivé au milieu de la sente, il se baissa, devant une toute petite butte de quelques centimètres de haut, puis en retira un peu de boue à l’aide de sa main, avec moult précautions. Un reflet argenté apparu alors à la vue de tous. Kol soupira.


- C’est une bombe Garlonne de type 4 je dirais. 5 si on n’a vraiment pas de chance. Laissez-moi vingt minutes et je la désamorce.

Vilnus leva les bras au ciel dans un geste d’impuissance tandis que le reste du groupe se faisait une raison, il était impossible de passer tant que cette bombe serait active. Attendre n’était pas du goût de certains, dont Yadar qui commençait à montrer des signes d’impatience. Le scientifique en dehors de son géni était plutôt connu pour son impétuosité.

- On ne va pas poireauter ici cent sept ans ! Je fais le tour !

Yadar pénétra dans les broussailles à la recherche d’un autre chemin permettant de franchir cet obstacle sans avoir à patienter davantage. De son coté Kol déblayait toujours consciencieusement la bombe, son attention fixée entièrement sur l’engin. Il retirait la boue tout doucement avec prudence… c’est alors que brusquement il se mit à crier :

- Que personne ne bouge !

Un flash lumineux intense enveloppa le groupe absorbant la lumière et le son ambiant. Tout l’univers autour d’eux semblait s’être envolé, il n’y avait plus que cette lumière, particulièrement englobante, court-circuitant tous les autres sens des individus présents. Lorsque la lumière s’estompa, il paraissait ne s’être rien passé du tout. Et pourtant une personne manquait à l’appel. Il n’y avait plus de Yadar. Un tas de cendre recouvrait les fougères à l’endroit de son dernier emplacement. Kol soupira.

- Ce n’est qu’un bout de métal vide. La charge ne s’y trouve pas. C’était un piège. Il savait que nous allions découvrir la bombe, il a donc misé sur notre professionnalisme. Ce mec est doué.

Le visage de Vilnus se tordit en un rictus.

- Ou alors il a reçu un petit coup de pouce.

Il se tourna vers les deux militaires puis mit sa main sur l’arme qui pendait à sa ceinture. Kol intervint.

- Ce n’est pas de leur faute Vilnus. Tu le sais très bien. Si tu veux te venger, fais-le sur Sentenza pas sur ces hommes qui n’y sont pour rien.

- Kol, je ne t’ai rien demandé. C’est moi qui décide ici au cas où tu l’aurais oublié. Face à Sentenza c’est le nombre qui fera la différence. On ne peut pas se permettre de perdre tous nos hommes.

Lucia cracha par terre puis sourit.

- Moi je trouve ça parfait, cela fait moins à partager. Mais si ça te gêne tant que ça, j’ai une proposition à faire.

D’un mouvement de la tête, Vilnus indiqua à la guerrière de développer son idée.

- Avancez tous les deux, vous nous ouvrirez le chemin à partir de maintenant.

Elle accompagna le geste à la parole en enfonçant le canon de son fusil dans les reins de Boba. Monsieur Dunt agrippa l’épaule de Miles et le poussa en avant…

On ne leur laissait pas le choix. Il faudrait s’organiser s’ils ne voulaient pas finir comme Yadar…




Alicia Becker Johansen et Tyler Fields :

Une fois Alicia Becker Johansen et Tyler Fields fin prêts, le chasseur de prime prit la tête de sa petite équipe et s’enfonça dans la forêt. Il n’alla pas bien loin. Au bout de quelques mètres, il s’arrêta, sourit, puis pivota sur ses talons.

- Avant de continuer plus avant notre petit trek, j’aimerais avoir une précision. Qu’est-ce que vous appelez « la porte » ?

Devant la stupeur qui se peignait sur les traits des deux membres du SGC, le mercenaire continua.

- Vous ne croyez pas vraiment que je vous aurais laissés seuls dans une grotte sans être au courant de ce que vous racontiez ? C’est une faute de débutant ça mes enfants. J’avais très malencontreusement laissé un micro près de la colonne, dans la grotte. Ce que je peux être distrait. Ma vieille mère avait raison, je laisse décidemment tout traîner. Pour le moment vous pouvez garder votre secret, je vous l’ai déjà dit. Mais si cela peut nous permettre de nous enfuir, je vous suggère vivement de m’en faire part une fois que nous aurons accompli la mission. C’est ça ou une mort lente et pénible pour nous tous. Et je vous déconseille vivement de laisser des traces pour vos petits amis. Dans notre intérêt à tous j’entends. Les chasseurs de prime à mes trousses me veulent plus mort que vif. Ce qui veut dire que si vous les menez à moi…

Tout d’un coup une lumière rougeoyante se mit à clignoter au bras de Sentenza, interrompant son propos.

- Ah ! Enfin une bonne nouvelle ! Au moins un d’éliminer. J’espère sincèrement que ce n’était pas un de vos amis. Mais cela signifie aussi qu’ils se trouvent relativement près de notre position. On ne peut guère cacher nos traces dans ce bourbier, aussi on va accélérer le pas. Il faut souffrir pour survivre comme disait ma bisaïeule Batlas. En avant !

Plus ils avançaient plus la végétation était dense, ralentissant leur progression. La bonne nouvelle concernait le sol qui perdait de son humidité, la pluie étant maintenant moins forte. Parfois Vilnus, au détour d’un arbre, disparaissait. Cela ne durait jamais plus de quelques secondes. Il réapparaissait devant eux, derrière ou parfois même au-dessus d’eux, dans un arbre. Il était particulièrement silencieux et cherchait à se repérer par tous moyens dans cette jungle à la flore abondante.

- Mettez ces lunettes, fit-il, alors qu’il venait d’apparaître à leurs cotés, faisant sortir de sa cape deux desdits objets, nous approchons du but. Je vais vous faire un petit topo sur la situation. Les indigènes de cette planète sont des chasseurs. Comme vous avez déjà dû l’apercevoir plus tôt dans la journée il n’y a plus aucune vie animale dans les parages, du coup les autochtones ont décidé de venir chasser sur d’autres systèmes. Lorsqu’ils font une razzia, une centaine de personnes disparaissent de façon curieuse sans laisser de traces et l’on n’en entend plus jamais parler. Cela arrive de plus en plus souvent, à tel point que sur certaines planètes on se demande si les mafieux locaux n’en profitent pas pour faire leur ménage de printemps tout en sachant qu’on attribuera toute la responsabilité à ces chasseurs de l’espace. Mais je m’égare. Les dirigeants de l’alliance du Phœnix ont lancé une mise à prix sur la tête du leader de ce peuple. Nous appelons les aliens qui résident sur cette planète : les Hunters. Ces individus réfléchissent la lumière. Pour faire court, ils sont naturellement invisibles à nos yeux. D’où les lunettes que je vous ai donné. Elles vous font observer les différences de température. Plus la température est élevée plus la couleur est chaude.

Il sortit de sa cape une gourde dont il but une gorgée, fit la grimace puis son visage s’illumina.

- Ah ! Ça c’est une boisson d’homme ! Rien ne vaut un bon dégrippant maison avant le combat. Revenons à nos moutons. A bord de mon vaisseau, j’ai longuement étudié les cartes, le terrain, les témoignages de quelques rares survivants et j’ai enfin décidé de passer à l’action il y a quelques heures de cela. C’est alors que Vilnus m’a retrouvé. Il savait que je ne pourrais refuser une telle récompense, il m’a donc attendu, en orbite autour de cette planète. Comme je suis certainement l’homme le plus recherché de toute la galaxie, avec mon cadavre il pourrait se faire dix fois plus d’argent que s’il ramenait la tête du chef des Hunters.

Après quelques minutes supplémentaires de marche rapide dans la bouillasse locale, le chasseur de prime leur fit signe de se taire alors qu’ils arrivaient au sommet d’une petite butte. L’homme se coucha sur le ventre, rampa, puis saisit une paire de petites jumelles qu’il sortit de sa cape. Au bout de quelques minutes de profond silence, il posa ses jumelles et se mit à chuchoter, indiquant la base de la montagne en face d’eux où se trouvait une petite grotte. A l’aide de leurs lunettes les deux membres de l’équipe SG pouvaient apercevoir une source de chaleur à son entrée.

- Mes très chers collègues de circonstance, ceci est une vigile et cette montagne derrière lui est artificielle et constitue une de leurs villes, cela va être plus facile que prévu…

Il s’interrompit, l’air soucieux, ressortit ses jumelles, puis indiqua du doigt un point, juste en dessous de leur position à une centaine de mètres.

- C’est bien ce que je craignais, en voici un autre, un patrouilleur. C’était trop beau. Il est enfin temps pour vous de m’être utile. Vous vous occupez du patrouilleur, je m’occupe de la vigile. Et faites-le en silence, oubliez vos armes à projectiles. Leur peau est plutôt dure à l’exception de leur cou, mais par malchance, leur large menton le protège. Bah, je vous fais confiance, vous trouverez bien. Puis au pire si vous n’y arrivez pas, je ferais sauter vos charges, cela me débarrassera de lui et ça fera une belle diversion pour que je puisse m’enfuir.

Devant la réaction des deux membres du SGC, Sentenza ne pu se retenir de rire.

- Je plaisante, bien entendu. On ne connaît pas l’humour dans votre petit coin de galaxie ? Allons-y !




Paul Kaiger (partie 2):

L’alien était parti depuis plusieurs minutes maintenant et Paul avait déjà trouvé un moyen de se détacher, malgré la douleur lancinante provenant de sa jambe d’où la poignée du coutelas dépassait encore. Une de ses mains était déjà libre au moment où, une fois de plus, des bruits de pas se firent entendre. Kaiger enroula rapidement son poignet détaché autour du lien à l’instant même où l’alien arrivait.

Mais cette fois-ci il n’était pas seul. Il tirait derrière lui un individu, qu’il projeta à l’intérieur de la pièce, aux pieds du capitaine.

Il s’agissait d’un homme, qui ne devait pas avoir plus d’une vingtaine d’années. Il était défiguré. Une de ses mains manquait, remplacée par un moignon grotesque d’où la peau pendait. Deux trous béants marquaient l’absence de ses globes oculaires. La peau d’une de ses joues avait disparu sur deux centimètres carrés laissant apparaître ses prémolaires. Sa chevelure était éparse et son cuir chevelu couvert de cicatrices.


- Mon maître me demande de vous dire que son peuple n’a plus peur des vils serpents de votre espèce.

Paul répondit quelque chose, ce qui sembla contrarier la bête qui se mit à siffler furieusement.

- Mon maître vous demande d’arrêter de mentir. Un de nos patrouilleurs vous a vu arriver par l’œil infernal qui avait été enterré il y a de cela plusieurs siècles mais que les conditions climatiques actuelles ont récemment mis à jour. La punition pour tous vos crimes passés est la mort. Vous êtes condamnés à… être dévoré vivant par le conseil suprême lors d’un banquet. C’est un grand honneur qu’ils ne font qu’à leurs ennemis les plus valeureux pour absorber leurs forces vitales et les faire leurs…







[HRP]
Boba, Miles et Paul pas d’instructions particulières Rolling Eyes. Ne vous inquiétez pas, vous aurez tous trois un peu d’action au prochain post Rolling Eyes Alicia et Tyler, vous affrontez le Hunter.

Les prochains posts laisseront davantage libre cours à votre imagination à tous.
Si vous avez des questions, je reste disponible par MP.

Bonne semaine à tous et noyeux joël Wink[/HRP]
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1021.12.11 14:52

Une chose était sure, c’est que Vilnus avait un rire assez particulier. Un mélange entre le rire de l’Empereur et celui d’une hyène. Il semblait bien amusé par une question des plus sérieuses. Pas d’armes, mains entravées et notre vie sur le fil du rasoir. Un beau salaud. Je ne pouvais que laisser transparaitre un sentiment de lassitude. Cela n’arrivait qu’à nous. Kol, l’éclaireur, s’approcha de nous, nous faisant comprendre que Vilnus était plus que susceptible et qu’il ne fallait pas entraver leur mission.

-« Nous ferons au mieux. »

Avais-je dit avec une pointe d’amertume. Lucia, qui me libérait les pieds ne clarifia la situation avec l’éclaireur. Tout le monde était sacrifiable dans ce groupe. Seul la mission de Vilnus importait. Ce gars devait avoir un sérieux problème psychologique. Une fois prêt, nous nous mettions en marche à travers cette épaisse forêt, sous bonne surveillance et sous les aboiements de la guerrière.

-«Merci, nous ne sommes pas sourd. »

Pour toute réponse, je recevait un coup sur la tête. La prochaine fois je fermerais ma gueule. Puis la marche dura un bon bout de temps, ponctuée par quelques pauses. On devait bouffer des kilomètres. Je profitais de moments d’inattention pour adresser la parole à Miles.

-« Nous ne valons rien pour eux. Rien à perdre. A la moindre occasion, faut se faire la belle. »

Vu l’état mental de Vilnus et du peu de réflexion de sa troupe, hormis Kol, ce serait un exploit si nous survivions jusqu’à la capture de Sentaza. Tout n’était qu’une question de temps. Le gros danger était le leader en lui-même. Le scientifique ne représentait aucun danger, l’artilleur non plus. Le bodybuilder un peu plus, mais plus c’est gros et plus ça fait de bruit quand ça tombe. Quand à l’amazone, ça allait s’annoncer Rock’n’Roll. De plus, une seule solution s’offrait à nous, prendre nos jambes à nos cous. Ca ne s’annonçait pas facile du tout.

* On a pas le choix… *

Au fur et à mesure de notre avancée, la végétation devenait de plus en plus dense. Gros avantage tactique à exploiter, ils ne pourraient plus nous tirer comme des lapins. Kol ordonna l’arrêt de la troupe. Je jetais un coup d’œil à Miles, pour lui signifier de se tenir prêt. L’éclaireur s’avança un peu sur le sentier et arriva au niveau d’une petite bute. Il commença à creuser, et déterra un objet métallique. Mon expérience m’indiqua qu’il pouvait s’agir d’une mine antipersonnel. Kol, présenta le truc comme une bombe, je n’était pas loin de la vérité, et commença à la désamorcer. Avec un peu de chance peut-être qu’elle allait lui sauter à la tronche, une bonne diversion en perspective.

* Explose, explose… *

Soudain, le scientifique s’impatienta, ils avaient leur Bath eux aussi, et s’aventura pour contourner l’objet. Kol cria de ne plus bouger. Trop tard, une lumière blanche et assourdissante nous enveloppa. Impossible de bouger sans taper dans quelque chose. Puis quand la lumière disparut, le scientifique avait disparu, ne laissant qu’un tas de cendres à sa dernière position connue. Ils s’étaient fait piégé par leur cible. Lucia eut la riche idée de nous faire passer devant.

* *********. *

Sentant le canon de la dame dans mon dos, je passais devant, en compagnie de Miles. Je lui adressais un regard inquiet. Tout ne se passait pas comme prévu. Certes, un des leurs était mort, mais c’était le moins dangereux. Nous avancions de quelques pas. Et si c’était nous qui allions être pris dans un des pièges de Sentenza ?

-« Miles. Fait gaffe ou tu met les pieds. »

Puis je lui fit un clin d’œil. J’attendis quelques instants. Des buisson et des arbres nous entouraient. La vue était bouchée à moins de deux mètres. C’était le moment ou jamais.

-« Tout le monde à terre ! »

Je fis semblant de me baisser puis je détalais en courant sur ma gauche, passant à travers un buisson et zigzaguant à travers les arbres. J’espérais qu’une seule chose, que Miles avait comme moi.
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Alicia Becker Johansen
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1027.12.11 2:57

Me retrouver dans cette situation avec Tyler, ce n’était pas si pire que cela. Tyler avait une force, il n’accédait pas à la panique. Si j’avais été avec ce Bath, j’aurais certainement supplié de toutes mes forces ce cow-boy de le faire sauter ! Et puis, l’idée de Tyler était bonne aussi, laisser une trace pour nos compagnons, ce serait bien utile. Ils pourraient nous repérer, si jamais ils n’avaient pas été enlevés eux aussi. Je l’espérais en tout cas. Pour le moment, nous n’avions pas vraiment le choix de que de faire tout ce que cet homme nous commandait, notre vie en dépendait finalement.

Mais il était bien plus rusé et plus prévoyant que je ne l’imaginais, il avait réussi à capter ma conversation avec Tyler. Je ne voulais pas dévoiler ce qu’était la porte, mais je devais fournir une réponse pour nous éviter les embrouilles. Avec le plus grand calme et surtout, le plus de contrôle possible sur mon « non-verbal », je lui répondis.


« La porte », ce n’est qu’un code que nous avons entre militaire sur notre planète. Ça ne peut pas nous aider dans le cas présent et ça ne peut pas nous aider à nous enfuir.


J’espérais que ca finirait là, pour l’instant et surtout, j’espérais que Tyler me suive dans ce sens. Une fois la porte des Étoiles à la disposition de Sentenza, ce serait peut-être une catastrophe. Ne voulant pas m’éterniser, je me remis en marche. Surtout que selon Sentenza, d’autre personne approchaient probablement.

Je déteste cette situation, murmurai-je pour que seul Tyler entende.

C’était dur d’y voir quelque chose qui ne ressemblait pas à de la végétation, mais Sentenza devait savoir où il allait. La seule chose à faire maintenant était de suivre ses ordres. La bonne nouvelle, c’était qu’on laissait, sans le vouloir des traces.

Quelque fois, une petite voix intérieure me disait que j’aurais été mieux de garder mes petites gardes à l’infirmerie de la base, mais je me disais ensuite que non. J’avais choisi l’armée, j’avais choisi le SGC, alors les risques de finir comme ça étaient élevés.

Arrivé sur une petite colline, Sentenza nous fit un petit résumé de la situation planétaire et nous donna des lunettes à capteurs thermique. Apparemment, c’était la seule façon de voir les aliens de cette planète. Je les enfilais et vit ce qui pouvait de près ou de loin des formes humaines. D’ici, c’était assez facile de les atteindre avec des armes, mais selon Sentenza, cela ne fonctionnerait pas.


Et puis on n’a pas de silencieux, on se ferait repérer trop facilement, constatais-je

Je sorti alors mon couteau de son étui.

Va falloir le faire à l’ancienne …, dis-je en me tournant vers Tyler.

Sans attendre, je pris le chemin d’un petit sentier qui menait à l’entrée de la grotte et bondis sur le Hunter avec un effet de surprise. Mais ce que je n’avais pas calculé, c’était leur force. Ils étaient tout de même résistants. Une chance que nous étions deux pour le neutraliser, bien qu’il nous donnait du fil à retordre. C’est après quelques minutes que je compris qu’il fallait l’obliger à lever la tête. Pendant que Tyler essayait de le neutraliser, j’escaladais de quelques mètres la montagne et lui lançais quelques cailloux. Lorsqu’il leva la tête, comme prévu, Tyler pu finir le boulot.
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Tyler Fields
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1027.12.11 3:56

Tyler suivit Alicia, Alicia suivit le cow-boy, et le cow-boy suivit ... son plan. Et c'est ainsi qu'ils s’enfoncèrent dans la forêt boueuse, pour une premiére mission c'était plutôt grandiose, menace de mort, risque d'imploser, froid, vent, boue, le pack Deluxe. Alors que Tyler était en train de réfléchir au moyen de s'en sortir, tout en mangeant l'une de ses barres aux céréales sortie de l'une de ses poches, le cow-boy s'arrêta et se retourna vers le duo. Il leur explication donc qu'il avait tout entendu, sur le coup Tyler hésita entre se mettre une bonne droite dans la tête ou se tirer une balle dans le pied pour avoir fait une erreur aussi grossière. Il s'en voulait ne pas avoir prévu ce qui était plus que prévisible. Finalement il se contenta simplement d'un :

Et votre vieille mère ne vous dit rien en ce qui concerne les explosions d'êtres humains ?


Il faisait en sorte de ne pas vraiment se préoccuper du cow-boy, il ne voulait surtout pas lui donner la joie de le voir paniquer ou affectueux comme un gentil caniche. Il donnait cette impression d'être distant et de n'en avoir rien à faire d'avoir des explosifs dans le bide. ]A peine eut-il le temps de finir sa phrase qu'un des bidules du cow-boy se mît à clignoter, ils accéléraient le pas, enfin ils essayaient de se frayer un chemin le plus rapidement possible parmi la végétation. Tyler se demandait qui est-ce qui s'était fait descendre, et comment pouvait-il le savoir ... Il espérait vraiment que ce ne sois pas l'un de ses équipiers, mais pour le moment il ne pouvait pas y faire grand chose, le seul moyen c'était que lui et Alicia reste en vie.

Je déteste cette situation.


De toute manière on ne peut rien y faire ... au moins on est toujours vivants.


Il fallait voir le bon coté des choses, ou plutôt le moins mauvais. Ils étaient vivant, en bonne santé, et ils étaient deux, le reste c'était un fait, quelque chose sur lequel il ne pouvaient influer pour le moment. Tyler savait que leur chance de s'en sortir viendrait, il fallait juste qu'ils la saisissent au bon moment. Après une énième acrobatie du singe cow-boy, celui-ci apparût à leur coté et leur tendit deux paires de lunettes pas très classe. Une fois devant les yeux, elles leurs indiquaient les sources de chaleur les plus proches, pour l'instant Alicia, le cow-boy et lui. Déjà c'était une bonne chose, ils n'étaient pas suivit.

Ils continuèrent ainsi pendant quelques longue minutes de pataugement jusqu'au sommet d'une petite butte ou ils s’arrêtèrent. Le cow-boy décidément bavard, commença un nouveau speech. En clair ils avaient à faire à des predators avec une peau insensible aux balles, le seul moyen de les tuer c'était de leur faire un trou au niveau du cou. Mais a vrai dire, ils pouvaient bien buter les deux dehors, si c'était vraiment une ville, ils en croiseraient quelques centaines d'autre dans la montagne ... C'est alors que la menace de les faire exploser capta de nouveau son attention.


- Je plaisante, bien entendu. On ne connaît pas l’humour dans votre petit coin de galaxie ? Allons-y !


Disons que c'est un autre style ...


Il sortit lui aussi son couteau et acquiesça à la remarque d'Alicia, en effet, fallait le faire à l'ancienne ... C'est la première fois qu'il aurait voulu avoir Rambo en plus. Tyler suivit Alicia et se jeta sur le Hunter après elle, et c'est ainsi que quelques secondes plus tard il se retrouva au sol un ou deux mètres plus loin. Légèrement sonné mais pas vaincu il se releva sans douleur heureusement, la boue ayant amorti sa chute, puis se dirigea de nouveau vers le Hunter avec une autre idée en tête. Il arriva dans son dos et lui donna un bon coup de pied dans le genou pour capter son attention, et donner un peu plus de liberté à Alicia. Il se baissa, évitant un coup de poing qui l'aurait surement mis K.O et tourna autour du Hunter assez prés pour l'attirer et assez loin pour avoir le temps d'esquiver ses coups. Le Hunter se pris une belle grosse pierre dans la tête et se retourna vers Alicia, pour un combat à l'ancienne c'était vraiment à l'ancienne, le laps de temps ou il quitta Tyler du regard suffit pour qu'il se retrouve avec le couteau en travers de la gorge.
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1028.12.11 12:25

Fett venait de demander d’avoir nos arme, il n’a pas du réfléchir, c’est une évidence que nos geôlier n’allaient pas nous les donner, leur chef venait d’exécuter un des notre, donc il devait se douter que si on était libre de nos mouvement, on serait une menace pour eux. Le groupe explosa de rire et prirent Boba pour un beau rigolo.

« Fallait s’en douter de sa. »

Lucia nous détacha les jambes, je puis me mettre enfin debout mais mes mains étaient toujours attaché. Avant de reprendre la route, je m’approchai du cadavre de Bath et arracha une des plaque d’identité qui pendait sur sa colonne vertébral. Je la mi dans la poche de ma veste puis pris le depard sous les cris de Lucia.

« Ouai c’est bon, j’ai peu être 45 piges, mais j’suis pas encore sourd, ma jolie. »

Putain, j’ai l’impression de retourner dans l’après Viêt-Nam, quand je venais d’être prisonnier par c’est enfoiré de Viet mais la sans le carcan autour du coup. Fett me glissa quelque mot quand il le pouvait et je lui répondais par des signes de tète et un regard a glacer le sang qui montré qu’a la moindre occasion je les dégommerais.

Je gardais un œil sur l’armoire a glace avec sa machette, il me rappelait un Spetsnaz que j’avais combattus, il m’avait donné pas mal de fil à retordre. Mais, il fallait sortir de cette situation, s’échapper, enlever ces liens et pour finir mes les faires les uns après les autres.

Puis Kol ordonna de s’arrêter, apparemment il avait trouvé un engin explosif, une mine ou un pige surement, si il explosé le chaos de la détonation serait le moment idéal pour s’enfuir. Fett me fit signe d’être prêt au cas ou.

Puis d’un seul coup une lumière intense entoura tous le monde, je ne voyais plus rien, puis plus rien, mes yeux se réhabitua doucement, et je vis un tas de cendre devant le piège, celui qui avait voulu le désamorcer n’était plus. Quel con.

Puis Lucia décida de nous mettre en première position, en démineur Belge en gros. Fett était inquiet et moi aussi, mais on n’avait pas le choix.

« T’inquiet, j’ai été éclaireur dans ma jeunesse. »

Fett me fit signe qu’il était temps de tenter une échapper, c’été la situation idéal, de la végétation partout. Puis il cria pour alerter d’un piège imaginaire.

« Tout le monde à terre ! »

Et sans réfléchir, je suivis Boba en m’abaissant et en zigzagant entre la végétation. Maintenant il fallait prendre de la distance et ce planquer pour enlever ces lien, bien sur si ces idiot étaient tombaient dans notre piège.
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Paul Kaïger
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1028.12.11 14:38

Paul ouvrit les yeux difficilement, il avait reçut un coup à la tête qui ne lui avait pas trop réussit. Il voulut se tenir la tête mais sa main ne bougeait pas, elle était retenu par quelqu'un ou quelque chose. En y regardant de plus prêt et donc, en tournant la tête, il vit qu'il était attaché contre une paroi par des liens semblable à des racines, comme ci c'était la nature elle-même qui l'avait immobilisé ici. Premier réflexe, tirer violemment sa main pour essayer de se libérer mais cela semblait demander pas mal d'effort de sa part. Etant en milieu inconnu, il préféra regarder du temps les alentours pour voir où il se trouvait. Le Capitaine était bien surpris car ce lieu ne manquait pas d'originalité. Il remarqua également que ses vêtements avaient séché entièrement et ce n'était pas étonnant vue la chaleur qu'il faisait ici, c'était un vrai contraste avec l'extérieur. L'odeur qui émanait de cet endroit n'avait pas passé inaperçu du nez du terrien. Il avait connu mieux comme odeur car là, c'était vraiment infecte. Mais il n'avait pas le temps d'avoir des haut le cœur, il fallait quitter cette endroit avant que ceux qui l'avaient mit là viennent le voir. Il savait d'ailleurs qu'il y avait quelqu'un car des bruits se faisaient entendre au loin, dans l'une des ouvertures.

Mais alors qu'il cherchait comment pouvoir fuir de cet endroit maudit, quelque chose arriva et cela surpris le Capitaine. Il s'agissait de la copie conforme du squelette qu'il avait trouver avec l'équipe. Sauf que là, elle avait de la peau, des yeux, des griffes et surtout en vie. Elle s'approcha de Kaïger faisant des bruits et sifflota. Elle bougeait dans tous les sens et de temps à autres, elle s'arrêtait pour regarder Paul, entendant certainement quelque chose de lui mais le terrien ne lui donnera certainement pas ce plaisir. Ainsi, il resta stoïque, à l'observer droit dans ses grands yeux reptilien. Cela avait dut pas trop lui plaire car elle attrapa son couteau rapidement et le planta dans la cuisse du Capitaine. L'homme grimaça en serrant les dents lorsque le couteau pénétra dans sa jambe. Hurler... il n'en était pas question pour Kaïger, cela ferait certainement bander la bête si tenté qu'elle avait de quoi bander. Elle pointa du doigt le couteau et le front du militaire, montrant le destin de l'homme. Sourire au lèvre, il lui répondit...


- Tu n'es pas la première à me menacer attaché contre un mur ma grande. Libère moi et tu vas voir qu'il faut pas s'en prendre à des terriens.

La bête ne réagissait pas, ne comprenant certainement pas le langage du Capitaine. Elle l'observa en hochant la tête, se demandant certainement bien ce qu'il avait pu dire. Puis, elle se tourna pour quitter la pièce. C'était tout ? Elle ne ferait rien d'autre ? L'homme ne comptait pas en rester ainsi...

- Hey !!! Saloperie !!!! Libères moi j'te dis !!! C'est toi qui a mes amis ?!!! Où sont ils ?!! Réponds moi ********* !!!


Rien à faire, elle ne comprenait visiblement absolument rien. Enfin, point positif, Paul pourra retourner à sa rechercher de comment fuir d'ici. Mais avec un couteau dans la cuisse, ce n'était pas facile de réfléchir. D'ailleurs, il n'y avait rien assez proche de lui pour l'aider à se libérer de ses liens. Ainsi, il décida de reprendre sa première idée, tirer sur les liens pour faire lâcher prise. Les murs étaient en terre sèche et donc, moins solide que le béton ou autre. L'homme tira un premier coup, rien ne se passa à par une douleur dans sa jambe. Tirer sur son bras faisait bouger son corps et donc sa cuisse. Grimaça et maudissant l'alien, il tira une nouvelle fois. Cette fois-ci, il avait un peu de succès et cela prouvait que sa théorie était bonne. Toutefois, cela causait toujours une douleur dans sa cuisse. Ainsi, il décida d'y aller franco cette fois-ci et il tira successivement essayant d'oublier la douleur. Et le résulta fut là car sa main fut libérer. L'homme en profita pour souffler un coup, il avait dût donner pas mal de force dedans et sa vue s'était un peu troublé. Observant sa cuisse, elle avait dût connaitre de meilleur jour que celui ci.

Paul allait prendre le couteau situé dans sa cuisse pour couper les autres liens. Mais des bruits de pas se fit entendre et qui arrivaient une fois de plus ici. Il hésita un instant entre se libérer rapidement ou faire comme ci de rien n'était. Il opta pour la seconde option, il avait déjà affronté la bête et il avait pu voir à quel point elle était forte. Se battre contre elle était signer son arrêt de mort. Il saisit donc de nouveau le lien pour éviter d'éveiller les soupçons et ce fut à ce moment que la bête entre de nouveau. Sauf qu'elle était accompagné. Elle tira quelqu'un dans la pièce. Il s'agissait d'un humain, visiblement pas très en forme vue les nombreuses cicatrices et d'autre chose qui lui manquait comme une main et des yeux. Il devait s'agir de la bête de compagnie de l'alien mais qui ne traitait pas forcément très bien.

Puis, l'humain s'exprima, signe qui montra qu'il avait encore sa langue. Il parla de serpent et qu'elle n'avait plus peur d'eux. Il devait certainement parler des Goa'ulds et Paul fut vexer d'être comparé à eux...


- J'ai une tête de serpent peut être ?! Tu as pas vue la tienne saloperie ?!

La bête réagit aux paroles du Capitaine, visiblement pas très contente de sa réponse. Elle comprenait donc ce qu'il disait ou bien c'était l’intonation agressive de la voix qui la fit grogner. Paul la regarda de nouveau dans les yeux, n'observant plus le toutou qui continua à parler. Il lui parla de la porte des étoiles enfoui volontairement et qu'il sera punis pour les faits passé. Paul sera manger lors d'un conseil suprême, un grand honneur qu'il disait, connerie. Ainsi, le terrien lui répondit...


- Mouais, vous savez où je me la mets votre grande honneur. Libérez moi et je repartirais comme je suis venu mais je veux mon équipe aussi, c'est vous qui les avez capturé ?! Répondez moi au moins bande d'enfoirée !!


Incapable d'affronter un adversaire en face en face, ces gens étaient obligé de les maintenir enchainé. C'était d'un faiblesse à en rire. Le Capitaine espérait qu'au moins, ils allaient répondre à ses questions.
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Michael Anderson
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1029.12.11 9:28

Alicia Becker Johansen et Tyler Fields (partie 1):

Toute menace était pour le moment écartée. Les deux Hunters gisaient au sol, inertes. Le chasseur de prime fit signe à Alicia et à Tyler de le rejoindre à l’entrée de la grotte où il se tenait. Sentenza était souriant, tranquille. Quiconque l’aurait aperçu à ce moment précis aurait été bien en peine de deviner qu’il venait de sortir vainqueur d’un combat, de surcroît contre un alien assoiffé de sang.

- Ceci est une bouche d’aération, elles sont moins bien gardées que les portes principales. C’est par là que nous nous infiltrons.

C’est avec satisfaction qu’ils se retrouvèrent enfin à l’abri des conditions climatiques difficiles de cette planète. La bouche d’aération était d’une bonne taille. C’était un boyau de deux mètres de diamètre environ. Il émanait de la terre une luminosité naturelle déconcertante. Aussi ils pouvaient avancer relativement vite, tout en restant silencieux.

Alors que le boyau commençait à s’élever, Sentenza mit son index devant ses lèvres pour leur intimer le silence, puis de la main, les invita à le rejoindre. Face à lui, une grille permettait d’entrapercevoir ce qui se passait à l’intérieur d’une pièce. Alicia et Tyler observèrent une salle, ovale, de quarante mètres sur trente environ. A l’aide de leurs lunettes, ils purent voir une trentaine de taches orangées et rouge s’agiter dans des parodies de danses qui faisaient froid dans le dos.

Sentenza chuchota.


- Mes amis, ceci est la salle d’entrainement des soldats. C’est à eux que nous auront affaire si nous ne sommes pas assez discrets.

Le chasseur de prime repartit alors dans le boyau, ouvrant le chemin aux deux membres du Stargate Command puis, tout en marchant, actionna un petit bouton à son poignet gauche.

- Voila, j’ai activé une balise. Dans la grotte où je vous ai retenu prisonniers, j’ai laissé une balise qui va émettre un signal de secours que ces aliens vont forcément repérer. Je fais d’une pierre, deux coups. On aura moins de vigiles à affronter, et mon ami Vilnus va avoir un nouveau challenge, à sa hauteur.



Paul Kaiger (partie 1):

La bête était repartie, traînant l’homme défiguré derrière elle, tel un sac à provision trop encombrant. Paul, une fois qu’il se fut assuré qu’il était seul, put se remettre au travail, guettant tout bruit suspect.

Au bout de quelques minutes, des bruits de pas, légers, mirent son esprit en alerte. Il lui restait encore ses deux jambes à détacher. Il saisit de ses deux mains libres les liens qui pendaient de la cloison et les ré enroula grossièrement autour de ses poignets meurtris. Le bruit se fit de plus en plus proche et il entendit bientôt la respiration de la bête, sans pour autant la voir. Dès que les bruits de pas s’éloignèrent, le capitaine se remit à sa besogne. En quelques secondes il était entièrement détaché.

Il se frotta les poignets puis regarda les cinq ouvertures qui partaient en étoiles en face de lui. La bonne nouvelle s’était qu’apparemment cette civilisation ne connaissait pas le concept de « porte ». La mauvaise c’était qu’il fallait trouver une sortie parmi ces couloirs sans tomber nez à nez avec un alien invisible et particulièrement vicieux…




Miles Quaritch et Boba Fett (partie 1) :

En entendant l’avertissement donné par Boba, Vilnus se coucha au sol, accompagné du reste de son équipe, échaudés par ce qui était arrivé à leur scientifique. Tout en se couvrant la tête, il bénit intérieurement Lucia d’avoir mis les deux étrangers devant eux, pour éviter d’avoir à subir d’autres pertes dramatiques… surtout concernant son portefeuille. Lorsqu’il releva les yeux, il vit les deux militaires s’enfoncer dans la végétation en courant.
Il s’était fait avoir. Lui, le plus grand chasseur de prime de la galaxie s’était fait rouler comme un bleu. Cela ne se passerait pas comme ça. La haine s’empara de son esprit. Il distribua alors ses ordres dans un beuglement assourdissant.


- Tout le monde debout et retrouvez-moi ces salopards morts ou vifs ! Lucia et Diyas, vous les suivez. Monsieur Dunt, tu m’accompagnes, on va essayer de les contourner. Kol tu continues à suivre les… putain, où est passé Kol ?!



Alicia Becker Johansen et Tyler Fields (partie 2) :

Au détour d’un boyau, sans crier gare, Sentenza donna un coup de pied dans une grille d’aération et sauta dans la pièce, deux mètres en contrebas. Alicia et Tyler n’avaient pas d’autres choix que de le suivre. Le mercenaire indiqua aux deux membres du SGC de surveiller les couloirs qui rayonnaient autour de la pièce. En face d’eux, se trouvait un homme en fâcheuse posture, attaché à la paroi.
Cet homme était monstrueux. Il n’avait qu’une main et ses deux orbites étaient désespérément vides. Il manquait un morceau de peau à l’une de ses joues. On pouvait y apercevoir ses dents. Les exactions qu’il avait subies ne s’arrêtaient certainement pas à celles-ci qui étaient les plus manifestes.
L’homme s’agita, son visage se tordit en un masque de douleur.


- Qui est là ? fit-il dans un sanglot.

- Chanti ? Seigneur, mais que t’ont-il fait ?

L’homme tout d’un coup se mit à pleurer, mais cette fois il semblait que ce n’était pas de douleur ou d’appréhension, mais d’une indicible joie qui s’emparait de lui tel un raz de marée emportant tout sur son passage.

- Sentenza ? C’est toi ? Tu viens me chercher n’est-ce pas ?

- Bien entendu mon neveu, je ne suis pas venu en touriste.

Le mercenaire sortit un couteau et trancha les liens du jeune homme. L’handicapé tomba dans les bras de Sentenza, puis pleura de plus belle.

- Merci mon oncle… merci….

- Tu croyais vraiment que je ne ferais pas tout pour te retrouver ? Que je ne passerais pas chaque seconde des deux dernières années à programmer ton évasion ?

Puis Sentenza, particulièrement ému, se tourna vers les deux membres de l’équipe SG et demanda :

- L’un de vous deux peut-il l’aider à se déplacer, tandis que j’ouvre la marche ?

Lorsqu’il eut la réponse qu’il attendait, il enchaîna :

- Je m’excuse de vous avoir caché la véritable raison de ma venue ici, mais cela ne vous regardait pas. Puis je ne vous ai pas tout à fait menti. Je vais bel et bien aller éliminer le chef des Hunters. Notre système de planètes souffre trop de la présence de ces aliens. En le tuant, les Hunters vont entrer dans une phase de lutte pour le pouvoir pendant plusieurs générations. Ils vont nous oublier pour un temps. De plus… je reste pratique. La rançon permettra à Chanti de refaire sa vie.

Le manchot remercia une fois de plus Sentenza, l’inondant de larmes, puis ajouta :

- Il y a un autre homme dans une des cellules du complexe. Un étranger. Je sais que je vous remercie d’une drôle de façon mais vous devez le sauver ou il subira un sort bien pire que le mien.

Sentenza sembla hésiter un moment, calculant les risques, les tenants et les aboutissants, puis secoua la tête.

- Quelle cellule Chanti ?

- Premier couloir à gauche puis deuxième à droite.

Tout en guettant le moindre signe de vie alien, ils suivirent les indications du jeune homme, mais débouchèrent dans une salle vide de toute présence humaine.

- Chanti es-tu sûr de toi ? Dans ta condition…

- S’il n’est pas là, c’est que nous arrivons trop tard… ils sont venus le chercher pour l’amener au banquet…

Sentenza sembla d’abord sceptique, attribuant certainement à la condition physique de son ami, ce qu’il pensait être une erreur de salle. Puis sa conscience professionnelle l’emporta et il fit le tour de la salle. Il s’attarda sur la paroi d’où pendaient des liens. Sentenza les observa un moment puis conclut :

- Il n’a pas été emmené, il s’est détaché tous seul. Il doit errer tout comme nous, quelque part dans cette montagne. J’espère que ce n’est pas un des hommes de Vilnus, il nous mettrait des bâtons dans les roues. Nous avons assez perdu de temps comme ça, nous partons.



Miles Quaritch et Boba Fett (partie 2) :

Boba et Miles, en militaires surentraînés qu’ils étaient et rompus aux exercices d’orientation, trouvèrent rapidement leurs repères et partirent en direction de leur objectif. Les conditions climatiques étaient de leur coté. La pluie s’était arrêtée et la marche devenait plus facile. Ils détachèrent rapidement leurs liens et accélérèrent leur cadence. Ils avaient progressé dans l’épaisse végétation pendant ce qui leur sembla un temps interminable lorsque, débouchant d’un taillis touffu, ils découvrirent une grotte. A l’entrée de cette cavité il y avait un homme qu’ils connaissaient et qui braquait une arme sur eux.

- Mes amis vous manquez décidemment de chance. J’ai suivis les traces de Sentenza jusqu’à cette petite grotte et sur qui je tombe ? J’ai reçu un message par radio. Savez-vous que Vilnus vous veut dorénavant mort ou vif ? Je vous avais dit que si vous ne faisiez rien de stupide, je pourrais vous sauver. Vous avez signé votre arrêt de mort et j’en suis sincèrement désolé.

Alors que les deux terriens exprimaient le fond de leur pensée, dans un langage peu châtié, il se passa quelque chose d’étrange, Kol braqua son arme dans une autre direction.

- Vous avez entendu ça ?

Les deux hommes du SGC semblaient être tombés tacitement d’accord pour profiter de ce moment de flottement et prendre la poudre d’escampette, mais, manque de chance, Lucia et Diyas apparurent à ce moment précis, braquant leurs armes sur eux. Voyant que Kol, particulièrement calme et tous les sens en alerte, pointait la sienne dans une autre direction, les deux mercenaires le raillèrent.

- Regarde-moi cet idiot. Lucia réitéra une de ses vieilles habitudes peu ragoutantes et cracha par terre. A moins que Sentenza se soit changé en arbre je te conseille plutôt de braquer ton flingue sur ces deux zigotos.

Diyas crut bon d’ajouter, dans un chuchotement rauque particulièrement désagréable à entendre :

- Qu’est-ce que tu fais Kol, tu cherches encore à leur sauver la mise ? Les ordres étaient pourtant simples, il faut les t…

- Taisez-vous ! Repartez d’où vous venez ! Vite !

Lucia éclata de rire.

- Tu crois qu’on va fermer les yeux sur…

- Mais non, bande d’imbéciles, nous ne sommes pas seuls…

- Tu es vraiment pathé… AAAAAAAAAAAAH !

Diyas venait d’être soulevé dans les airs et termina sa course contre un tronc d’arbre, dans un craquement lugubre, à cinq mètres de là, sa jambe formant un angle improbable avec son bassin. Il hurla de douleur, puis des stries sanglantes apparurent sur le bas de son visage et dans son cou, libérant un flot de liquide vital et abrégeant ses souffrances.

Lucia, prise de panique lâcha son arme et détala, s’enfonçant dans la forêt. Ce n’était pas une bonne idée. Boba et Miles ne devraient plus jamais la revoir. Ils entendirent juste une dernière fois le son de sa voix, en un hurlement d’agonie.

Kol, quant à lui, restait toujours aussi immobile, comme si rien ne se passait autour de lui. Il laissa tomber au sol son arme de poing, puis, tout doucement, sortit un couteau du fourreau qu’il avait à sa ceinture, dans un bruit métallique.

Pendant ce temps là, les deux Hunters qui s’étaient occupés de Diyas et de Lucia, reportèrent leur attention sur les deux hommes du SGC, désarmés. Après une lutte héroïque, alors que Miles et Boba venaient de se débarrasser d’un de leur adversaire, la situation devenait critique pour les deux hommes. C’est alors qu’ils virent Kol, couvert de sang, surgir de nulle part et se jeter, semble-t-il, sur un tronc d’arbre. Au lieu d’atterrir sur le tronc, il sembla suspendu dans les airs, à un mètre 80 de haut. Il souleva quelque chose de son bras gauche, sortit son couteau de son autre main et trancha dans le vide. Vilnus atterrit au sol tandis qu’une flaque rougeâtre se formait à coté de lui, semblant surgir de la terre elle-même.

Kol se releva, doucement, regarda les deux militaires dans les yeux puis déposa son sac à dos à ses pieds. Il en extirpa deux armes terriennes qu’il lança dans la direction des deux hommes.


- Vous pouvez récupérer le reste de votre équipement, tout est dans ce sac. Il y a longtemps que Sentenza a quitté cette grotte. Je vais maintenant tenter de le retrouver. Si vous voulez récupérer vos amis, suivez-moi.

Sur cette dernière déclaration, il s’enfonça dans l’épaisse végétation, abandonnant son sac à dos, sans un regard en arrière…




Alicia Becker Johansen et Tyler Fields (partie 3) :

Alicia, Tyler, Sentenza et son neveu continuaient de se déplacer dans les tunnels d’aération pour éviter une rencontre malencontreuse avec les gardes de céans. Il avait fallu porter Chanti pour cela et l’homme n’en avait semblé guère enchanté. Sentenza, une fois encore, s’arrêta devant grille d’aération. En dessous d’eux se trouvait une salle ronde de vingt mètre de diamètre. Contrairement à toutes les autres salles qu’ils avaient visitées, celle-là était richement décorée. Les murs étaient peints de couleurs vives. Les formes représentées étaient constituées de courbes concentriques. Le seul meuble qui s’y trouvait était un drôle de trône. C’était une chaise haute, ressemblant à s’y méprendre à l’un des sièges goa’uld qui se trouvaient dans les vaisseaux mères de ces créatures. Sentenza chuchota.

- Leur chef est le seul qui soit peint. Il parait que c’est une tradition. Pour prouver sa force surhumaine, il n’y a que lui à ne pas être invisible aux yeux de ses proies. Je pense que c’est surtout une excuse pour justement ne pas avoir à se mettre en danger. Du fait de sa non invisibilité il est parqué ici par les gardes du corps royaux. Ceux-ci semblent uniquement deux, à l’entrée de la salle. Ce qui nous fait tout de même trois Hunters surentraînés qu’il faut que nous affrontions ensemble. Et nous sommes trois. J’ai peur que cela soit un combat peu équilibré.

- Nous sommes quatre, non trois, précisa Chanti. Ce n’est pas parce que je suis manchot et aveugle que je suis inutile. Une bonne diversion par…

- Il n’en est pas question, tu as assez souffert comme cela.

- Mais je…

- J’ai dit non Chanti. J’ai toujours un plan de secours, tu me connais.

Sentenza observa la pièce quelques minutes tout en mettant ses neurones au travail. Sa concentration était intense, faisant perler des gouttes de sueur sur son front. Lorsqu’il sourit enfin, il avait trouvé une solution. Rien de bien ingénieux, mais c’était mieux que rien. Il sortit une petite sphère de sa cape, puis se retourna pour expliquer son plan. Son sourire s’effaça.

- Nom de Vishna ! Où est Chanti ?! Cet homme n’a rien perdu de son entêtement. Bon je vais faire vite alors pour vous expliquer mon plan. Dès que j’ai terminé de parler, nous passons à l’action. Cette sphère est une bombe Garlonne de type 2. Elle est incapacitante. Cela devrait faire effet sur ces monstres. Occupez-vous des gardes, je m’occupe de leur chef. Restez discrets, je ne tiens pas à ameuter d’autres Hunters. Fermez les yeux.

Dans la salle du trône, on commençait à s’agiter. Quelque chose se passait à l’entrée de la salle. Sentenza arracha la grille et il lança la bombe.



Paul Kaiger (partie 2):

Paul déambulait toujours dans les couloirs de cette termitière à la recherche d’une quelconque sortie. Il avait dû faire preuve de ruse pour éviter les gardes patrouillant dans les couloirs. Une fois il s’était même retrouvé dans un cul de sac et il avait dû improviser, causant le malheur d’un des aliens.

Alors qu’il commençait à désespérer, il entendit des pas dans le couloir et se cacha dans un renfoncement. C’était une latrine d’où convergeait de nombreux couloirs. Heureusement il n’eut pas à attendre bien longtemps.

De sa position, il vit bientôt passer un homme, il s’agissait du traducteur. L’estropié s’aidait de la cloison pour avancer. Paul le suivit discrètement jusqu’à ce que le mutilé s’arrête, à l’entrée d’une vaste salle. Ses bras se soulevèrent alors et Paul supposa que deux aliens venaient de le saisir, stoppant net sa progression. Le capitaine, entendant siffler, se risqua à s’avancer un peu plus et reconnut la personne dont émanait ce bruit reptilien. C’était le même alien peint qui l’avait interrogé. Il se trouvait assis au centre de la salle. L’éclopé se mit alors à parler.


- Bêtes immondes votre heure est venue, c’est aussi celle de ma vengeance.

C’est alors qu’une intense lumière enveloppa la salle…





[HRP]
Consignes : Boba et Miles, j’ai laissé pas mal de pistes pour que vous puissiez laisser libre court à votre imagination. Il faut aussi que vous décidiez si vous suivez Kol ou pas.
Paul, Alicia et Tyler, vous affrontez les deux gardes ensemble, aussi je vous conseille de vous contacter par MP pour vous répartir les tâches et ne léser personne dans son RP Rolling Eyes Sentenza s’occupera seul du chef. Vous pouvez utiliser Chanti dans vos RP si vous le souhaitez.

Si vous avez des questions, vous savez comment me contacter Wink

Bonne semaine, bon RP et passez un bon réveillon Wink[/HRP]

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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1003.01.12 0:05

Foutue jungle, foutue boue, foutue pluie et foutue mission. Essayez de courir les mains attachées dans le dos, dans un décor s’apparentant au Viet-Nam tout en ayant, très certainement des tueurs aux fesses. Impossible ? Monnaie courante au SGC. Je m’étais demandé plus d’une fois si j’allais touchez un jour ma pension retraite. Les feuilles brouillaient mon champ de vision, mais je savais qu’au moins, Miles était à coté de moi. J’avais eu un doute s’il m’avait suivi au départ de notre course folle, mais il m’avait vite rattrapé. Et nous continuions notre folle couse ensemble.

-« Je crois qu’on les a distancé. »

Le simple fait de prononcer cette phrase m’essoufflait. Mes vingt ans commençaient à être loin. Nous continuions à courir un moment. Si au début j’avais entendu Vilnus aboyer des ordres, il n’y avait plus aucun son qui laissait à penser que nous étions poursuivis. Nous ralentissions la cadence. La pluie cessa. Tout était calme.

-« On se détache, j’en ai marre de courir comme un manchot. Et faut prendre notre orientation. »

Mais comment faire ? Je fis signe à Quarritch d’approcher et, dos à dos, je tentais de défaire ses liens. Plusieurs essais furent nécessaires, mais au bout de quelques peines, il fut libéré et ne manqua pas d’en faire autant pour moi. Une fois libre, nous pouvions évalué notre position, d’après le chemin que nous avions du parcourir.

-« J’ai l’impression que l’on doit se trouver au nord-est de la porte, à une bonne distance tout de même. On continue sur le même objectif, retrouver nos camarades. »

Nous remettions en route, au milieu de cette épaisse jungle. Petite foulée, la fatigue commençait à bien se faire sentir. Le temps passait, sans que nous rencontrions qui que ce soit, jusqu’au moment où nous débouchions sur une grotte, et à l’entrée se trouvait Kol, qui ne manqua pas de nous braquer avec son arme. Il s’empressa de mettre les points sur les « i ».

-« Ecoute, on en à rien à carrer de Sentenza. On veut juste retrouver nos amis, on te laisse le grand méchant. Si tu nous bute, c’est pas ça qui va t’aider à trouver ton gugusse. Et surement l’autre bande de trizos qui se trouve derrière nous. »

Miles ne manqua pas de rajouter une couche. Il me plaisait bien celui-là. Soudain, Kol pointa son arme ailleurs, nous demandant si on avait entendu un truc. Alors que je fis signe à Miles de prendre la poudre d’escampette, la folle et l’artilleur débouchèrent des bois. Merde. Pas la peine de s’enfuir si c’est pour se faire trouer. Il s’en suivit un long échange de parole entre les trois mercenaires. Visiblement, Kol n’était pas sur la même longueur d’ondes.

* Desperate Housewife Interstellaire… *

Tout d’un coup, Dyas fut soulevé dans les airs et vola sur une bonne distance avant de atterrir dans un craquement lugubre, le tout suivi de cris de douleur. Et ces cris se perdirent dans le silence de la mort, les souffrances de l’homme étant abrégés par je ne sais quoi. Il ne faisait pas bon rester dans le coin. C’est ce qu’avait dut se dire Xena la guerrière avant de détaler comme une lapine et, aux sons de ses cris, de crever dans les fourrer. Le chasseur à tué le lapin ce coup-ci. Je reculais vers la grotte, pas vraiment rassuré de la tournure des évènements. Soudain, deux créatures, surement de la faune locale s’approchèrent de nous. Vu leur silhouette, tout en muscle, ils étaient surement les auteurs du massacre. Et on allait être les prochains sur la liste.

-« Pas d’armes, eux non plus apparemment. Quarritch, voici le plan. On prend le plus proche, je lui grimpe sur son dos et j’essaie de l’étrangler, toi tu le prend de face et tu lui latte la gueule. »

Rapide signe de tête et nous nous élancions. Je pris de la vitesse puis j’esquivai une attaque du monstre. Sans attendre, je me jetais sur lui et je le cramponnais fermement au cou. J’étais secoué dans tous les sens. J’entrapercevais Miles qui tentais de la frapper. Quant à moi, j’essayais de l’étrangler de toute mes forces. Je sentais des mains qui tentaient de me mettre à terre. Je les sentais fouetter l’air autour de moi avant de m’attraper fermement et de me balancer à terre. J’atterris lourdement sur le sol. Je me relevai, non sans mal, et je lui fonçais dessus en visant les jambes. La créature sembla chanceler à l’impact. Je dus éviter une main griffue et je frappais avec mes poings les côtes de la bête. Après de nombreuses tentatives, la créatures céda sous nos coups.

-« ********* ! »

Sifflai-je entre mes dents alors que je lui assénais des coups de pieds dans la tronche. Puis, elle ne bougea plus. Quelques coups de tatanes en plus pour être sur, elle semblait morte. Une de moins. Restait l’autre. Elle avait disparue.

-« C’est quoi ce bordel ?! »

Soudain, Je vis Kol courir comme un dératé et finir suspendu en l’air. Mais d’un coup de couteau bien senti, il retomba au sol, pendant que du sang se répandait. Le mercenaire se relevait. Il avait du flinguer la deuxième créature. Ces bestioles devaient pouvoir se camoufler. Kol nous rendit nos armes. Avec un grand plaisir, je caressais mon G36 et j’approuvais la proposition de Kol.

-« Très bien, nous vous suivons. »

Armés et prêt, plus rien ne pouvait entraver notre route.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1005.01.12 4:05


Combattre le premier garde n’avait pas été une tâche trop facile, mais en faisant équipe, on ne s’en était pas tiré trop mal. Certes, c’était un peu plus compliqué qu’une simple balle bien placée, mais on était aussi entrainé dans l’éventualité des combats de corps à corps. Quoiqu’avec ces aliens, on parlait plus de combat « corps à carapaces » !

Lorsque le patrouilleur fut au sol, je me tournais vers Sentenza pour voir s’il avait besoin d’un coup de main, mais je vis que le vigile gisait déjà par terre et le chasseur de prime ne semblait pas avoir été trop épuisant pour lui. Il n’avait même pas u grain de poussière sur son long manteau !


- Bon, et ensuite ?

La réponse de Sentenza ne se fit pas attendre. Son plan était de s’infiltrer par les conduits d’aération. Ça faisait beaucoup « Mission Impossible», mais bon, c’était la meilleure solution possible. Je me glissai donc après lui dans le conduit et le suivit. Il devait savoir où il allait et c’était mieux ainsi. Son plan était solidement établi, il semblait avoir pensé à tout, moi je n’étais là que pour exécuter ses ordres, pas pour lui fournir un plan. Et encore là, exécuter ses ordres, c’est simplement parce que j’avais du C4 dans l’estomac !!

Une fois à l’intérieur, on ratissât un peu le périmètre et on vit une salle qui grouillait d’aliens invisibles. Pas question d’arrêter là, on se serait fait tuer à la première seconde ! On poursuivit donc notre chemin et on sortit enfin dans une salle. Bien que Sentenza ordonna de patrouiller et de sécurisé la pièce, je ne pus m’empêcher de voir les horreurs qui étaient arrivés à l’homme qui était ligoté … Ce n’était pas humain tout cela … c’était de la vraie torture comme il n’en existait pas sur Terre …

C’est vrai, j’étais dégoutée, même si la vue du sang était une chose normale pour moi. Je m’avançais vers l’homme avec certes un repoussement bien camouflé et contesta de plus près. Sa main, enfin, son bras sans main, c’était écœurant. Si au moins l’entaille avait été nette ! Mais non, c’était un vraie travail de boucher.

Incapable d’en voir plus, j’avais certes remarqué le trou dans la joue et les orbites vides, je ne sais où étaient passée les yeux, je sortie quelques trucs de mon sac à dos.


Je vais … je vais vous donner quelque chose qui va vous faire un peu de … bien …

Je lui administrai un analgésique, juste assez pour le la douleur soit légèrement plus supportable et pas trop puissant afin qu’il ne soit pas pris de somnolence. Je lui fis également un rapide bandage ou caché les orbites en sang, un bandage au niveau de son poignet réduit en viande hachée et un dernier à sa joue ouverte. Je n’avais pas vraiment le temps de m’occuper du reste, qui d’ailleurs étaient superficielles vu l’état des trois blessures que j’avais bandées.

Quand Sentenza s’excusa, je le foudroyai du regard.


La prochaine fois, demandez de l’aide plutôt que de kidnapper des gens et de leur faire avaler du C4, vous devriez trouver quelqu’un pour vous aider. Les gens civilisés font ça et quand c’est bien demander, la réponse est souvent positive.

Oui je lui en voulais, mais j’avais raison de le faire. Bon, et maintenant, on devait libérer un autre homme, il y avait de faibles probabilités que ce soit un membre SG, mais on était là alors pourquoi pas en profiter. Le problème, c’est que lorsqu’on arriva, la cellule était vide …

Inutile de le chercher plus longtemps. Avec un peu de chance, il sortira d’ici …

Mais j’étais sceptique. C’était une vraie forteresse.

Je n’étais pas assez forte pour trainer Chanti sur mes épaules, alors je décidai de fermer la marche et de couvrir les arrières de Tyler. C’était un sale boulot qu’être le porteur, mais seul lui pouvait le faire. Encore une fois, à l’entrée d’une autre salle, Sentenza nous donna des renseignements pertinents sur les Hunters. Deux gardes plus le chef, ça ne serait pas facile. Chanti insistait pour participer, mais ce n’était pas l’idéal vu sa condition. Seulement, le temps de nous retourner et il n’était plus là. On n’avait pas le temps de le chercher, on devait passer à l’action.

Dans la salle, il y avait de l’agitation, il fallait sans doute supposer qu’il s’agissait de la diversion de Chanti. Je suivis les instructions de Sentenza, je fermai les yeux, puis à son signal, fis éruption avec lui et Tyler dans la salle, sortant mon couteau. Le niveau de difficulté allait être un peu plus élevé. Je m’en occupais seule, Tyler était occupé avec un autre.


Allez, sale créature, vient par ici que je te botte le derrière.

Je m’engageais donc dans un combat assez féroce. Il semblait anticiper tous mes coups et avait probablement compris que je connaissais sa faille. Les minutes de combat semblaient s’être changées en heures interminables et je recevais autant de coup que j’en esquivais. Mon adversaire était drôlement plus fort, plus rapide et plus costaud que moi. J’étais pas mal en infériorité. Après un bon coup de reçu, je m’écrasai au sol, mais je ne m’avouai pas vaincue. Seulement, une idée me vint. Si les balles ne les transperçaient pas, peut-être les dérangeaient-elles tout de même au point de créer une seconde d’inattention. Je dégainai mon arme de poing et tira, mais au même moment, je me pris les pieds dans un caillou, ce qui fit envoya mon tir à la mauvaise place. Au lieu du torse, mon tir alla vers les jambes. Seulement, leurs carapaces ne fut pas comme je le pensais. C’était tellement dur que la balle rebondit et c’est moi qui se la pris dans la jambe droite.

Je m’écroulai par terre, portant ma main à ma jambe et pestant contre moi-même. Quelle idiote j’étais ! Et puis voilà que mon adversaire venait vers moi ! Sans prendre le temps de réfléchir à la douleur, je pris mon arme au dos et le fit violement trébucher. Une fois qu’il fut à terre, je pris rapidement mon couteau et l’égorgea.


FAIT LE TRÉBUCHER, TYLER !! ÇA LES DÉBOUSSOLE POUR QUELQUES SECONDES !!!

Pendant ce temps, j’enlevai ma ceinture et me fit un espèce de garrot … Quelle idée j’avais eue ? … Une idée stupide oui …








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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1005.01.12 12:51

La bête repartit, sans même répondre aux questions du Capitaine. Elle ramena vers elle l'humain comme une personne qui tire sur une laisse pour faire avancer son chien, mais là, c'était plus violent. Le pauvre homme avait fait un vol plané jusqu'aux pieds de la chose avant de devoir se relever rapidement si il ne voulait pas se faire trainer comme une vulgaire merde. Et à peine la bête avait passé la porte que Paul se remit au boulot. Avec sa main libre, il tenta de libérer l'autre en tirant sur les liens. Mais le couteau dans la jambe ne l'avantageait pas beaucoup. A chaque mouvement, cela faisait bouger le couteau dans sa cuisse et du sang s'en échappait. L'homme grimaçait, ce n'était pas agréable loin de là même, mais il devait prendre sur lui si il voulait avoir une chance de se libérer.

Finalement, après plusieurs minutes de tentative, il réussit à se défaire de ses liens et ses deux mains se retrouvèrent libre. Toutefois, des bruits de pas se fit entendre de nouveau dans le couloir. Rapidement, Paul reprit les liens qui le tenaient pour faire comme ci de rien n'était. Personne, il ne vit personne arriver mais les bruits de pas étaient bien présent dans la pièce. Il pouvait entendre une respiration forte, cette chose s'était mit invisible. Impossible pour le terrien de faire ce qu'elle faisait. Mais elle ne resta pas bien longtemps car les bruits de pas s'éloignèrent de nouveau et plus aucun bruit se faisait entendre dans la pièce. Ainsi, le Capitaine put reprendre son évasion et maintenant, le moins drôle. Malgré les futurs séquelles, il devait retirer le couteau pour pouvoir se libérer des liens qu'entouraient sa jambe. Il attrapa d'une main le couteau, de l'autre le lien qui précédemment le retenait, ça serait dommage de basculer en avant. Enfin, c'était surtout pour qu'une fois le couteau retiré, quand il coupera le premier lien, qu'il ne pendouille pas la tête vers le bas avec une jambe accroché.

Enfin, il prit une grande respiration et retira le couteau. Sa jambe se mit à brûler comme ci on l'avait mit dans un feu bien rouge. Serrant les dents, il ne perdit pas de temps et coupa les liens qui le retenait. Une fois les jambes libres, il lâcha prise et tomba au sol, dos contre le mur. Il aurait pu se rattraper sur ses jambes mais il n'avait pas la force. Il avait jeter pas mal d'énergie dans la bataille et il avait besoin de récupérer. La tête posé contre le mur, il se laissa emporté par la fatigue et commença à fermer les yeux, doucement... ne pouvant pas lutter contre la fatigue................... NON !! Il ne devait pas sombrer. Paul ouvrit de nouveau les yeux, agitant la tête pour ne pas se laisser emporter par la fatigue. Il n'avait pas le temps de se reposer, ses amis comptaient peut être sur lui pour l'aider. Mais avant toute chose, il devait faire quelque chose pour sa blessure. Il attrapa une compresse dans leur gilet tactique, au cas où il serait dans ce genre de situation. Certes ça n'arrangerait rien mais cela réduira les saignements. Il retira également sa ceinture pour faire tenir la compresse et se faire une garot. Une fois finit, il se leva et observa si tout allait bien. Au premier coup d’œil, ça avait l'air de tenir.

Le Capitaine s'avança, il avait plusieurs choix devant lui mais il prit le premier, celui dont son instinct lui recommandait. Boitillant de la jambe, il avançait prudemment, restant en alerte à tout moment. Il pouvait croiser des gardes à tout moment et vu ses capacités réduites, il ne pourra pas en affronter plusieurs à la fois. Malheureusement, cela faisait à peine quelques minutes qu'il avait quitté sa cellule que des bruits de pas se fit entendre, arrivant de derrière. L'homme regarda autour de lui, aucun moyen ou de renfoncement pour se cacher... A moins que. Au sol, un cadavre d'un pauvre homme dévoré mais qui avait pas du plaire aux aliens. Entendant les bruits se rapprocher, Kaïger n'eut pas le choix et il prit le cadavre pour le mettre sur lui tout en faisant le mort. Cette supercherie n'allait peut être pas marcher mais au moins, il aura essayé. Les pas arriva et la bête passa devant le terrien, trainant derrière elle ce qui restait d'un homme ou d'une femme. Par miracle, l'alien ne s'arrêta pas, n'accordant pas un regard et continua sa route. Paul put se libérer de ce cadavre et de cette odeur immonde, même si il commençait à s'y habituer maintenant.

Reprenant sa marche difficile, il marcha toujours à l'instinct, ne savant pas où se trouvait la sortie. Il avait réussit à échapper à deux autres gardes en allant dans une pièce la première fois et la deuxième fois, ce fut en se cachant dans un recoin d'un couloir. L'homme trouvait qu'il avait beaucoup trop titiller la chance pour qu'elle reste avec lui jusqu'au bout et il devra se dépêcher de sortir d'ici. Puis devant lui, deux possibilités se présentèrent. L'homme regarda chacune d'entre elle, hésitant. Mais il finit par se décider de prendre celle de gauche. Et alors qu'il avançait dans le couloir, au loin, il vit un mur et aucun autre couloir. Tout au fond, il y avait un tas de cadavre, certainement ce que ses choses ne mangeaient pas. Le Capitaine était allé jusqu'au bout, au cas où si il y avait une sortit caché mais rien... Comme il l'avait prévu, la chance commençait à lui faire défaut. Et pour couronner le tout, le premier alien qu'il avait vue trainant l'homme arriva dans le couloir au loin. Kaïger se coucha par terre, n'ayant pas le temps de se dissimuler dans le tas de cadavre. La bête se rapprocha de plus en plus, avec un bout de cadavre qu'elle trainait. Elle le jeta dans le tas et se retournant pour repartir. Cependant, Paul la vit s'arrêter et l'entendit prendre de grande respiration. Elle reniflait quelque chose, sûrement le terrien. Nez en avant, elle commença à renifler un peu partout et arriva au niveau du Capitaine. Elle le renifla un peu plus, il devait prendre une décision.

Alors qu'elle renifla encore une fois, Paul sentit qu'il allait se faire découvrir et n'eut pas le choix que d'attaquer. Il avait toujours le couteau sur lui et il le planta sur la bête. Où ? il n'en était pas sûr mais cela avait dût être dans la gorge quand elle fit des petits bruits, comme ci elle n'arrivait plus à siffler. L'alien se tenait là où elle venait d'être blessé. Le Capitaine se releva, couteau à la main et avec ça jambe valide, il prit appuie contre le mur pour sauter et pouvoir planter le couteau sur le crâne de la bête avec un bon
"AHHHHHHHH !!! Prends ça !!" digne d'un film médiéval. L'alien posa un genou à terre mais n'était pas pour autant vaincu, solide comme tout. Le militaire retira le couteau pour lui trancher la gorge plus profondément. Elle tomba au sol sans même avoir pu se défendre, une chance pour le Capitaine car sinon, il aurait pas donné chère pour sa peau. Au moins, personne n'avait été averti et il put reprendre sa route. Et tandis qu'il faisait machine arrière dans ce couloir, il vit quelqu'un passer devant pour continuer son chemin. Paul reconnut le toutou des aliens qui déambulait dans les couloirs. Ce type s'était donné corps et âme à ses bêtes en échange de sa vie. Il avait perdu quelques éléments de son corps mais il était en vie. Pour Paul, c'était un vendu et il ne méritait pas de vivre.

Il continua donc de le suivre, de loin pour voir où il allait, certainement rejoindre les coéquipiers de Kaïger, et puis l'homme ne savait pas trouver la sortie. Si il mettait la main sur ses compagnons, ils auront certainement plus de chose à plusieurs que lui tout seul. Et alors que Paul suivit discrètement le toutou, il vit celui-ci se lever et léviter dans les airs alors qu'il se trouvait dans une grande salle. Aucun doute pour le Capitaine, cela devait s'agir des aliens. Il eut la confirmation lorsqu'il entendit siffler, un son qu'il connaissait que trop bien maintenant. Le type parla mais le terrien n'écouta pas vraiment, plus occupé à savoir combien d'alien il y avait dans cette pièce. Puis soudain, une lumière blanche... très vive. Elle commença à faire assez mal au yeux...


- Argh !!! Bande d'enfoiré !!!

Ses bêtes avaient usé d'une ruse pour aveuglé le Capitaine et l'avoir sans qu'il puisse se défendre. Mais alors que Paul se frottait les yeux pour récupérer la vue, il entendait des bruits de combats. Dans cette pièce, des gens étaient en train de se battre ou bien les aliens entre eux. Quel qu'il en soit, Kaïger finit par récupérer la vue et ce fut avec une assez grande surprise qu'il vit en premier lieu la Doc en train de se battre. Paul était genou à terre à cause de l'aveuglement et lorsqu'il vit la demoiselle dans une situation difficile, il se leva rapidement pour aller à son aide. Mais elle réussie à s'en débarrassé comme une grande au final, sans avoir besoin d'aide ou bien par un coup de chance. Puis elle se mit à gueuler pour avertir quelqu'un. En tournant la tête, il vit l'un des 2ème Classe au prise avec un des aliens. Vue qu'elle s'était démerdé toute seule, Paul alla aider le Soldat.

Il se dirigea rapidement vers son compagnon, essayant de courir tant bien que de mal avec sa jambe blessé. Visiblement, il avait beaucoup moins de chance que la Doc dans ce combat et pour l'aider un peu, le Capitaine décida d'envoyer son couteau sur la bête pour l'affaiblir un peu. L'arme alla se planter en plein dans la joue de l'alien qui lança un cri de souffrance. Maintenant qu'elle était affaibli, il n'avait plus qu'à finir le travail. Enfin, Paul resta tout de même prêt au cas où cette bête trouvera des ressources encore caché.
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1007.01.12 11:29

Je suivais Fett sans laisser la moindre distance entre nous deux et sans regarder derrière moi, la végétation était épaisse, la boue ralentissait notre course et les mains attachaient dans le dos n’arrangé pas les choses. Mais il fallait mettre une bonne distance entre nous et nos ravisseur pour qu’on est le temps de se détacher et de contre attaquer.

« Attend je reprends mon souffle »

Putain, j’ai beau être un béret vert qui a pas mal baroudé, mais mon âge me rattrape, je reprenais mon souffle doucement et toussais de temps en temps en crachant une ou deux huitres. Puis quand nous étions arrêter, la pluie cessa, j’écoutais tout autour de nous et en reprenant ma respiration, aucun son de poursuite, mais cela ne voulait rien dire, il faut être vigilant dans toute circonstance. Il était temps d’enlever ces liens.
Je commençais à m’énerver et a jurer a défaire ces putain de lien, mais après un petit moment je pus les enlever. Fett fit un point topo pour se repérer vite fait et partir vers la porte et essayer de retrouver les autres.


« Bon allons par la alors, mais j’aurais bien voulu me les faires ces enculé. »

Nous réprimes la route vers la porte et rien a signaler jusqu'à une grotte ou nous tombions nez a nez avec Kol qui directe nous pointa avec son arme et demanda des explications. Fett lui dit la vérité et j’en fit de même a ma manière.

« Putain on en a rien a foutre de cette enculé de Sentenza, le j’ai qu’une seul envi ces de le buter pour que toi et la compagnie créole nous foute la paix, alors si tu veux tirer tire, mais jte foutrais une bonne raclé avant de tomber. »

Puis Kol se retourna et pointa son arme en direction des entrailles de la grotte, je sentais qu’il y avait quelque chose de pas très clair la dedans et il fallait prendre cette opportunité pour se barrer, mais nos ex ravisseur nous avaient rattrapé, et le trio commença un débat sur nous et ils étaient d’avis différent.

« On n’est pas sorti de l’auberge avec ces trous du culs. »

Puis d’en seul coup Dyas fut projeter a plusieurs mètres et après un craquement suivit des cris de douleur et des sons d’agonie puis le silence de la mort. La femme prit peur et détala et disparu dans la végétation et son connu son sort par des cris de douleur et d’agonis.

« A mon avis ce ne fut pas beau à voir. »

Et à la fin de ma phrase deux créatures surgir, avec du sang dégoulinant de leur mâchoire et elles n’étaient pas la pour faire une sieste après un bon repas. On allait devoir les affronter sans arme. Fett donna la marche a suivre et elle était bonne, enfin c’était la seul chose a faire, les affronter a main nue. Je me rappelai vite fait, la fameuse panthère qui m’avait griffé le visage, mais a ce moment la, j’avais mon couteau pour me sauver la vie.

« Je vais pouvoir mettre Alien sur mon palmarès de chasse désormais. »

Fett courut vers la créature la plus proche et sauta dessus après une esquive, moi je chargea sur lui et commença a le frapper, un gauche dans la mâchoire qui m’arracha un peu de peau des phalanges a cause de ces dents acérer, une belle droite dans son œil, puis Fett fut balancé du dos de la créature, je mi un violent coup de pied frontal et fit un enchainement gauche droite, coude et coup de genoux, Fett attaqua sur le coté et la créature tomba sur nos coups.

« *********, prend sa, t’aime sa, tu en veux encore. »

Je continuais a frapper la créature au sol en écrasant sa tète a coup de rangers. Elle semblait morte donc on se concentra sur la deuxième, mais elle avait disparu. Fett jura et moi je sentais des picotements sur le torse, je regardai rapidement et de vis une énorme griffure sur le torse, cette pute avait réussi a me toucher et j’avais rien senti sur le coup a cause de l’adrénaline. Heureusement elle n’était pas profonde, mais j’avais gagné de nouvelle cicatrise.
Puis Kol sorti des fourrés et fut suspendu par la suite, il donna un bon coup de couteau pour abattre la deuxième créature. Il nous redonna nos arme et notre équipement et nous invita a le suivre pour retrouver nos camarades. Bien sur on accepta et j’avais un autre objectif, avec ces armes je pouvais me faire cette enculé de Vilnus.
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MJ Mort ou vif _
MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1008.01.12 9:39

Sentenza, armé d’un long couteau dentelé, atterrit à quelques pas du chef des Hunters et se jeta sur la bête qui se dégagea dans un mouvement d’une fluidité absolue. Trois zébrures rouge carmin se dessinèrent sur l’épaule du chasseur de prime. Pas le temps de s’apitoyer sur son sort, Sentenza repartit à l’attaque plus décidé que jamais d’en finir rapidement. Le Hunter émit un sifflement suraigu, certainement pour ameuter le reste des gardes, mais il fut interrompu par la lame aiguisée du chasseur de prime qui trancha le membre émetteur, qui retomba au sol, flasque. Carpaccio de langue d’alien dans sa sauce sanglante.

- Ça t’a coupé la chique ça hein ?

L’alien, de rage, se jeta sur Sentenza, qui n’attendait que cette réaction épidermique pour passer à l’action. Le chasseur de prime esquiva avec agilité les griffes de la main gauche du Hunter qui tailladèrent l’air dans un crissement aigu et retombèrent au sol dans une parodie de Mikado.

- Et oui mon bon ami, c’est le gros désavantage d’être visible.

A la vitesse de l’éclair, le chasseur de prime se jeta sur la tête de l’alien, le bras tendu. Le Hunter retomba sur Sentenza avec un bruit sourd. Une flaque de sang se forma autour des deux combattants qui ne donnaient plus aucun signe de vie.

Au bout de quelques secondes Sentenza ouvrit les yeux et se mit à haleter de douleur. Il retourna le Hunter qui pesait de tous son poids sur sa personne et découvrit la source de sa souffrance. On n’apercevait plus les griffes de la main droite du monstre qui s’étaient enfoncées profondément dans les chairs du chasseur de prime. D’un geste vif accompagné d’un cri de douleur, il retira ces corps étrangers de son abdomen.


- Pas si mal l’ami. Je ne m’y attendais pas à celle-là.

Il extirpa alors son couteau, dont on ne voyait plus que le manche, de la cavité oculaire droite de la bête, dans un bruit de succions à faire soulever le cœur des plus endurcis. Alors il souleva le menton de l’alien et lui trancha la tête. Il dut s’y reprendre à deux fois, les vertèbres de l’humanoïde gênant la peu ragoutante manœuvre. Il enroula son trophée dans sa cape, prit une grande inspiration puis se tourna vers les quatre personnes qui venaient à leur tour de terminer leur jeu de massacre.

- Content que vous ayez retrouvé l’un des vôtres. Je tiens à m’excuser pour mon comportement des dernières heures, mais j’ai toujours eu un instinct de préservation aigu et vous étiez certainement la seule chance pour moi de sauver mon neveu. Ah oui, au fait, je ne vous ai pas fait avaler de bombe. Ce n’est pas faute d’y avoir pensé, mais elles sont un peu trop volumineuses pour être ingérées.

Le mercenaire se mit à rire puis se contracta, toussa et cracha du sang. Chanti, paniqué se rendit auprès de son oncle.

- Sentenza tu…

Le chasseur de prime interrompit son neveu en lui mettant sa cape dans les mains.

- Je vais très bien. Tiens Chanti, récupère cette tête, et refais ta vie. Tu le mérites. Mes amis je ne suis pas en état de me déplacer par mes propres moyens et il se trouve que j’ai oublié ma trousse à pharmacie dans mon autre cape.

Autre éclat de rire, autre projection de sang…

- Aussi j’apprécierais grandement que vous m’aidiez à me relever qu’on puisse enfin tous se barrer d’ici.


***



Une fois revenus dans les canalisations, Sentenza, cédant à la demande express d’Alicia, accorda au médecin quelques minutes pour panser les plaies de l’équipe. Une fois cette tâche effectuée, le groupe d’éclopés (Le mercenaire étant aidé dans sa progression par Paul) repartit en accélérant la marche tant bien que mal. Lorsqu’ils passèrent devant la salle de garde, celle-ci était vide de tout occupant. Sentenza tiqua.

- Cela n’est pas bon pour nous les enfants. Restez sur vos gardes.

Ils aperçurent très bientôt la lumière du jour et entendirent le grondement caractéristique de la saucée qu’ils allaient prendre en sortant. Lorsqu’ils débouchèrent à l’extérieur ils n’eurent pas le temps de profiter du bon air chargé d’humidité. Ils n’étaient pas seuls.

- Sentenza, comme on se retrouve. J’aurais espéré que tu sois en état de te défendre, mais je me consolerais avec ta rançon. Je consoliderais ma réputation de meilleur chasseur de prime de la galaxie.

Vilnus et Monsieur Dunt attendaient à l’extérieur de la canalisation, sous la pluie torrentielle, leurs armes pointées sur le petit groupe de cinq personnes. Sentenza fut pris d’un brusque fou rire.

- Tu n’es même pas capable d’attacher tes lacets tout seul Vilnus. Vous êtes venus à combien pour m’attraper ? Cinq ? Six ? Sans tes hommes tu serais tout juste bon à rançonner les vieilles dames.

- Voila ce que l’on va faire, donnez-moi Sentenza et…

- Garde tes coups tordus pour tes hommes Vilnus. Tu vois bien que je ne peux pas me déplacer alors envoie-moi ton gorille me récupérer et je partirai avec toi sans discuter, du moment que tu laisses Chanti et ces étrangers tranquilles.

Alors que Mr Dunt, obéissant à un hochement de tête de son leader, avançait vers Sentenza, Tyler braqua son arme en direction de la forêt. Il fit part à tous de la présence de nombreux Hunters qui arrivaient dans leur direction et qu’il venait de voir grâce à ses lunettes.

- Tu crois que je vais gober ça gamin ? Même si c’était vrai, je crois qu’on est à la hauteur pour maîtriser une bande de sauvages tout juste bon à…

Vilnus n’eut pas le temps de terminer sa phrase. Monsieur Dunt qui était maintenant à mi-chemin entre son chef et Sentenza fut projeté en arrière, sur plusieurs mètres et atterrit aux pieds de Vilnus. Ce dernier prenant son courage à deux mains lança un dernier regard en direction de son rival puis disparut dans la forêt, sans demander son reste, abandonnant par la même occasion son coéquipier à un sort connu de tous. La haine puis l’horreur se dessinèrent sur le visage de Monsieur Dunt. Le premier sentiment était dicté par le comportement de son leader. Le second provoqué par la force invisible à l’œil nu qui le soulevait dans les airs. Il ne pouvait le voir mais deux Hunters se disputaient son trépas. Immanquablement, sous la pression exercée par les deux forces, le physique du colosse ne tint pas. Tandis que la plupart du corps de Monsieur Kol, emporté, s’enfonçait dans la forêt, son bras gauche, arraché, tombait au sol dans une flaque d’eau et de sang.

Les possesseurs de lunettes à détecteur de chaleur virent une demi-douzaine de Hunters qui s’approchaient de leur position. La situation était désespérée. Alors que l’équipe s’apprêtait à mourir avec les honneurs, deux Hunters explosèrent littéralement à quelques mètres d’eux. Il ne restait des aliens que le haut de leur corps qui s’agitait de spasmes post-mortem.

C’est alors que, couvert de boue et de sang, Kol émergea de l’orée de la forêt accompagné des deux membres manquant de l’équipe du SGC.


- Besoin d’aide ?

L’heure n’était pas encore aux retrouvailles.

Le combat fut intense. Au bout de quelques minutes le secteur était nettoyé de toute présence aliène. Les Terriens y étaient pour beaucoup. Sentenza, qui n’avait pu participer au combat à cause de ses blessures, tendit la main en direction du pisteur.


- Merci Kol. Je crois qu’on est quitte maintenant.

Kol, le sourire aux lèvres, s’approcha du mercenaire, tendit la main, puis referma son poing et asséna un coup magistral à Sentenza qui s’étala de tout son long sur le sol boueux.

- Seulement maintenant… coéquipier.

Sentenza, tout en se frottant le visage, fut secoué d’un fou rire, puis Kol l’aida à se relever et les deux hommes tombèrent dans les bras l’un de l’autre.

Pendant ce temps là, les Terriens faisaient le point sur les dernières heures écoulées. Une plaque militaire fut exhibée, symbole des pertes qu’ils avaient eu à subir.
Mais le terrain était loin d’être sûr, et des bruits de pas provenant du tunnel décidèrent les deux mercenaires à quitter les lieux.


- Kol et moi, si vous le voulez bien, on va vous guider jusqu’aux ruines où l’on vous a trouvé. Ensuite nous vous laisserons retourner à votre mystérieuse « porte ».


****



Le chemin retour se passa sans encombre. D’après Sentenza cela semblait vouloir dire que la guerre pour la succession au trône avait débuté.
Lorsqu’ils arrivèrent devant un squelette de Hunter étrangement familier pour les membres du SGC, les deux groupes se séparèrent, non sans de chaleureux au-revoir. Sentenza, qui semblait retrouver des forces à vue d’œil, fut le plus démonstratif, serrant la main aux cinq membres du SGC.


- Moi et Chanti nous vous devons la vie et pour ça nous vous en serons éternellement reconnaissants. Encore merci et bon retour chez vous.

- Dépêche-toi, Sentenza, il ne faudrait pas que Vilnus parte avec le vaisseau pendant que tu trainailles.

- J’arrive Kol. Au-revoir les amis et non adieu. L’univers est plus petit que vous le croyez.

Sur cette dernière tirade, Sentenza, Kol et Chanti disparurent dans l’épaisse végétation.

L’équipe du SGC, quant-à-elle, débuta son voyage retour vers la porte des étoiles…



*****



Survis aujourd’hui et tu pourras t’enrichir demain. Telle était la devise de Vilnus. Il fallait se rendre à l’évidence, il n’obtiendrait pas la rançon de Sentenza, en conséquence le mercenaire avait décidé de quitter cette planète au plus vite. Mais en voulant revenir à son vaisseau, il s’était bêtement perdu. C’était Kol le pisteur du groupe et il était Vishna sait où en train de faire Vishna sait quoi ! Impossible d’essayer de le contacter, la radio de Vilnus ne fonctionnait plus… elle avait pris l’eau… fichue planète ! Il fallait qu’il se débrouille tout seul. Un bruit le fit s’accroupir dans les fourrées. Il ne s’agissait pas qu’il se fasse tuer par ces répugnants aliens si près du but.

Ce n’était pas les Hunters.

Il vit passer à quelques pas de lui, les cinq Terriens. Vilnus sortit son arme de poing. A défaut de rançon, il aurait sa vengeance. Au bout de quelques minutes, les cinq trouble-fête se mirent à escalader une petite colline en direction d’un mystérieux artefact à la couleur métallique. L’entrée de leur vaisseau camouflé peut-être ? C’était le moyen pour lui de quitter ce satané marécage. Il visa l’homme casqué, qui était le plus éloigné de sa position. En tombant il entraînerait les autres dans sa chute ce qui permettrait au mercenaire de finir le travail proprement. Mais il n’eut pas le temps d’appuyer sur la détente. Une ombre à sa droite lui fit tourner la tête. Incroyable…

C’était Monsieur Dunt.

Il n’avait désormais plus qu’un moignon ensanglanté à la place de son bras gauche. Mais de son membre valide, il se saisit de Vilnus, le soulevant par le cou.


- Monsieur Kol ? Je suis content que tu aies survécu ! Tout ça c’est de la faute de Sentenza et de ses…

La fin de sa phrase se perdit dans un chuintement.

Contre toute attente, le colosse reposa Vilnus au sol avec un sourire carnassier. Alors que le leader mercenaire se massait le cou tout en se confondant en excuses, monsieur Kol sortit une sphère argentée de sa poche, l’enfourna avec force dans la bouche de Vilnus, faisant sauter deux dents au passage et la maintint en place à l’aide de sa main valide. Le visage du mercenaire, contracté en une dernière expression horrifiée, était consciencieusement pressé entre cette énorme paluche et le large torse du guerrier.

Il n’eut pas le temps d’étouffer. L’explosion dispersa les deux corps sur plusieurs ares.



******



A quelques pas de là, un Hunter avait suivi la scène avec attention. Il fut aussi témoin de l’ouverture de la porte et de la disparition des cinq mystérieux individus qui avaient mis à mal sa race toute entière.
Dans sa tête un scénario se mettait en place. Celui de sa nomination en tant que chef de la tribu. Car il allait offrir à ses congénères quelque chose qu’ils ne pourraient pas refuser… Une revanche sur leurs anciens bourreaux… sur les vils serpents.


FIN





[HRP] Pas de consignes en particulier. Faites-vous plaisir concernant le combat avec l’équipe réunie à nouveau Very Happy. J’espère que ce petit RP vous aura satisfait et que vous aurez pris autant de plaisir à répondre à la mission que moi à la rédiger. Je vous noterais dès que tout le monde aura posté. Vous avez sept jours Wink

Tyler m'a contacté tôt ce matin, il a fait une mauvaise manip et effacé par la même tout son travail. Il rattrapera s'il le souhaite dans la semaine.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me MP.

Bonne semaine à tous et bon RP Wink[/HRP]
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MessageSujet: Re: MJ Mort ou vif   MJ Mort ou vif No_new1012.01.12 2:52

Malgré la douleur, je fit un effort pour me relever et regardai autour de moi. Tyler combattait encore son alien et quelqu'un était venu l'aider. Ce ne fut pas bien long qu'elle reconnu le Capitaine Kaiger. Finalement, l'homme dont avait parler Chanti et qui était aussi enfermé dans une cellule du repère Alien était l'un des notres. C'était bien d'en avoir retrouver au moins un sur trois. Mais pour l'instant, il n'y avait toujours aucune trace du Colonel Fett ou bien de Miles. Quand l'alien de Tyler gisa au sol, j'avancai et saluai le Capitaine.

Contente de vous revoir, Capitaine. Tyler, ça va ?

Mais trêve de bavardage, je vis la vilaine blessure que le Capitaine avait à la jambe. Il fallait que je m'en occupe au plus vite ou du moins, que je stoppe le saignement. Je n'avais besoin que des quelques minutes pour lui faire un bandage qui ferait l'affaire, pourvu que l'on soit rentrer dans les plus bref délais.

Capitaine, asseyez-vous contre le mur et tendez la jambe. Ca va faire mal, mais je dois désinfecter et panser temporairement.

Je m'exécutai donc rapidement, regardant ce qui restait dans mon sac. Je devais économiser mon matériel au cas où les autres avait besoin de soin, ce qui ne m'aurait certainement pas surpris. Aussi vite que possible, je bandai la jambe du capitaine, au moins pour que le sang cesse de couler sur sa jambe.

Lorsque j'eus fini, je n'entendais plus le combat entre Sentenza et l'affreux Alien. Sur le coup, je me dit que les deux étaient peut-être bien morts ... Je me levai rapidement, mais maugréant par la suite. J'aurais du y aller un peu moins vite. Je pouvais marcher jusqu'au chasseur de prime, non sans difficultés et je vis la mare de sang. Ce n'était pas très rassurant, mais quand je le vit bouger, j'étais soulagée. Je ne saurais dire si c'était parce qu'il semblait tenir ma vie entre ses mains ou si c'était parce que j'avais un peu de sympathie maintenant pour cette homme,mais au moins, il était vivant. Vivant, mais mal en point.


Attendez, je vais vous aider ...

Je l'aidai à s'extirper de cette grosse masse alienne, puis lorsqu'il confessa ne jamais nous avoir fait avaler des bobes à moi et à Tyler, je sourie en coin.

Alors on peut dire que vous êtes persuasif.

Quand il cracha du sang par contre, je sourie moins. Il était gravement blessé selon moi.

- Aussi j’apprécierais grandement que vous m’aidiez à me relever qu’on puisse enfin tous se barrer d’ici.

Pas avant que je n'ai regardé votre blessure.

Je m’exécutai donc et constata une grosse perforation de l'abdomen. C'était pas du joli. La seule chose qui pouvait faire le travaille c'était la couverture que j'avais dans mon sac. Je la découpai et fit un grand bandage au mercenaire avant de lui administrer un coagulant.

Par la suite, on rebroussa le chemin, de la même façon qu'on était arrivé, mais avant, je pris soin de Tyler qui avait quelques blessures lui aussi. Le temps était compté, mais je faisais cela assez rapidement. On s'en tirait tous avec des blessures, mais bon, au moins on s'en tirait. Surtout que nous avions de la chance de passer devant une salle de garde vide, bien que ce ne fut pas l'opinion de Sentenza


Et bien au moins, on peut sortir d'ici sans trop de problème.

Ce qu'on se dépêcha à faire et une fois à l'extérieur, ce fut bon de respirer l'air frais. Mais ce moment ne dura pas longtemps, on avait des visiteurs. Cette fois, je pris mon arme et la pointa sur la troupe devant nous. On ne sait jamais. Puis, un gros bêta s'avanca vers le mercenaire qui sans aucun doute nous avait sauvé la vie, mais on comprit tous que nous n'étions pas seuls à ce moment. Je tournai la tête.

Il a raison, on va avoir des ennuis si on ne se tire pas d'ici.

Mais il fallut qu'ils goutent à la torture des Hunters pour voir qu'on ne rigolait pas. Le problème, c'est que nous étions seulement cinq, mais cinq pas trop en état de se battre et surtout pas contre un nombre de Hunters comme ca !

On se sera battu jusqu'à la fin ... faut croire ...

Mais avant que ne soit attaquer, il eut une explosion parmi les hunters. Peu après, Fett et Miles firent leur apparition avec le grand gaillard. C'était bon de retrouver nos collègues ! Cela donnait un peu de motivation pour le combat, combat qui fut légèrement plus facile. À force d'en tuer, on vient que l'on connait le truc !

Par la suite, pendant que Kol et Sentenza faisait la paix, nous on faisait le point sur ce qui s'était passé.

Je crois qu'au final, on pourra dire au commandement planétaire de ne plus composer cette adresse de porte. Ce sont des chasseurs, je ne pense pas que l'on finira par trouver quelque chose qui nous soit utile ici, dis-je, en donnant mon avis au autres membres.

***

Puis se fut le temps de rentrer, de dire au revoir à Sentenza. Finalement, quand il ne nous ligotais pas et qu'il ne nous menacais pas avec ses bombes ingérées, il était sympa. Je lui serrai la main et sourit.

La prochaine fois si l'on se recroise dans l'Univers, demandez au lieu de nous menacer, ca nous fera plaisir d'aider ! Bonne chance et remettez vous bien.

Après une quinzaine de minute de marche encore, je vis la porte et j'étais vraiment soulagée.

Enfin, on rentre chez nous !

[i[Mais quelque chose retint mon attention, un bruit, comme un explosion. Je tournai la tête mais ne vit rien, probablement mon imagination. Lorsque l'adresse de la base fut entrée et que le vortex se matérialisa, je suivie mes compagnons à travers. C'était bon de rentrer chez soit.[/i]


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