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 La fin du chaos [Intrigue VI]

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Andy Riedel
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La fin du chaos [Intrigue VI] _
MessageSujet: La fin du chaos [Intrigue VI]   La fin du chaos [Intrigue VI] No_new1011.09.11 21:52

Qui aurait put prévoir ce qui allait se passer en ce levant ce matin ? Personne. Et pourtant, on était habitué de voir de chose étrange se passait, mais un tel combat, au sein même de Cheyenne Mountain, entre humain, est-ce vraiment possible ? Le Général O'Neill se le demandé. Il y avait eût beaucoup de morts aussi bien amis, qu'ennemis. La fin du combat était proche, la défaite du NID aussi.

Qui aurait put pensé que le Général O'Neill, physiquement atteint, conduirait en sa personne, l'assaut final de la salle de contrôle ? Peut de monde également, mais c'est ici que va se jouer le sort du SGC, c'est ici donc qu'O'Neill sera. Avec les dires du Sergent Harriman par rapport à la présence du groupe du Colonel Narah non loin de là, ce n'était qu'un soulagement.

Passant en tête, juste derrière lui Fett, le Général allait pénétrer en salle de contrôle. Juste avant qu'il ne pointa le bout de son arme, un homme en costume apparu. Il sortait de la fameuse salle de contrôle, visiblement pour rejoindre la salle d'embarquement. Pas de chance pour cette homme, le Colonel Fett le claqua contre un mur. Il serrait inconscient pour un petit moment.

O'Neill divisa le groupe en deux. De ce qu'on pouvait entendre du couloir, la porte des étoiles semblait fonctionner ou en tous cas, cela n'allait tarder. Il décida donc de prendre avec Barber, Walter et les deux militaires qui l'accompagne la salle de contrôle. Il indiqua au Colonel Fett, Kaiger et Lambert, la salle d'embarquement. Le groupe se scinda ainsi en deux et le Général donna l'assaut, en même temps que Fett, qui ouvrir la porte blindée de la salle d'embarquement...

En salle de briefing, le Colonel Narah fît un rapide état des lieux. L'escalier donnant en salle de contrôle était assez étroit et tous ne pourraient l'empreinter en peu de temps. Il décida donc de laisser en salle de briefing Spence, qui venait d'être touché à la cheville, avec Anderson, Fields et Dablord. Ainsi, ils pourraient s'occuper des blessés, du prisonnier et de Sorrens. Narah leurs demande également d'essayer d'ouvrir le rideau métallique de protection donnant sur la salle d'embarquement pour avoir ainsi un appui de tir. Fallait-il encore arrivé à l'ouvrir.

Alors que Narah donna les consignes pour l'assaut final, il entendit des bruits de tirs provenant de la salle de contrôle. Il se douta rapidement qu'un second front venait d'être ouvert, ce qui faciliterait leurs entrées dans cette salle. A son top, il fît le premier à descendre l'escalier, suivit par Almie et Sheppard. Une fois l'escalier dégager, le trio fût rejoint par Hale et Smith. La salle de contrôle était plutôt désert, ce qui n'étonna au final personne. Le rideau de protection donnant sur la salle d'embarquement était fermé, mais la porte semblait ouvert. Ceci fût confirmer par les différentes instructions sur les écrans de contrôle. La salle de contrôle fût rapidement prit et sans trop de combat. Les quelques hommes qui la défendirent se buttèrent jusqu'au bout, mais rapidement prit de court.

Juste avant la fin des combats, O'Neill avait laissé seul le groupe de Narah pour rejoindre celui de Fett qui devait avoir peut-être plus de résistance. Et c'était bien le cas. Alors que la porte venait de s'ouvrir, plusieurs membres du NID avait formé une ligne pour évité toutes intrusions. Pendant ce temps, des membres importants du NID passèrent la porte. Les tirs du groupe de Fett, auxquelles vient s'ajoutèrent le groupe d'O'Neill ne changea rien. L'autre porte blindée de la salle d'embarquement était ouvert. De la venait plusieurs membres du NID pour passèrent la porte des étoiles. O'Neill sembla entre apercevoir Riedel. Était-ce vraiment lui ? Il n'arrivait pas à le confirmer. Une chose était certaine, il n'avait pas pût quitté la planète. En effet, Walter qui était resté, lui, en salle de contrôle venait de fermé l'iris.

Le dernier combat se déroula ainsi en salle d'embarquement et le groupe de Narah rejoint rapidement la parti. Fett avança ses hommes de façon à former un cercle et ceci réussit. Il put ainsi prendre en prisonnier quatre hommes du NID.

De son côté, O'Neill avança vers cet homme. C'était bien lui ! Il ne s'était pas trompé. O'Neill pointa son arme vers lui. Riedel ne bougea plus. Il n'avait pas pût s'enfuir, ses derniers hommes venaient d'être prisonnier, il ne pouvait plus rien faire, mise à part ce rendre. Une solution qu'il n'envisagea pas. Il leva son 9mm vers son crane. Le Général se doutait de ce qu'allait faire Riedel, il s'approcha de lui et essaya de l'en empêcher en lui tirant dans la jams droite, puis dans le bras duquel il tenait son arme. Rien n'y fait, Riedel tenu bon et appuya sur la gâchette. Quelques secondes après, son corps s'effondra sur la passerelle. Le combat était fini.

La question qui arriva de suite dans la tête d'O'Neill alors que tous reprenait leurs esprits était celle-ci : «Qu'allait-il faire des prisonniers ? Qu'allait-il faire des membres de la base qui l'avait trahit ?» Il n'en savait rien, mais devait prendre rapidement une décision. Le Général se tourna alors vers ses fidèles lieutenants Fett et Kaiger. Il les regarda et leurs demanda de mettre en cellule tous les prisonniers et traite. Le premier embarqué fût Evans, qui pourrait également servir de médecin aux prisonniers. Il donna ensuite l'ordre aux autres d'aller se faire soigné.

Rapidement, O'Neill donna plusieurs instructions pour remettre en route le générateur et mettre un peu d'ordre dans la base. Il tapa sur l'épaule de plusieurs personnes. Ce combat allait laissé des traces et ceux durant un long moment....


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Michael Anderson
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MessageSujet: Re: La fin du chaos [Intrigue VI]   La fin du chaos [Intrigue VI] No_new1012.09.11 21:40

Un des militaires fut rapidement touché. Il fut traîné à nous qui étions resté à l’arrière. Un dilemme apparu alors : fallait-il le laisser aux mains de Dablord ?
Certains militaires revanchards refusèrent de manière catégorique. Je rééditais alors ma tirade faites quelques minutes plus tôt. Sans résultats.

Je compressais le thorax de l’homme avec mes deux mains jointes mais l’hémorragie était bien trop importante. Les vaisseaux sanguins de l’homme continuaient à laisser échapper leur fluide à travers mes doigts. Il allait y passer. Je m’emportais alors devant le refus systématique des militaires concernant mes arguments et ceux de Dablord.


- Nom de dieu, mais vous allez le laisser faire oui ! Vous serez responsable de la mort de cet homme dans le cas contraire. Comptez sur moi pour faire un rapport au général O’Neill dans ce sens là !

De mauvaise grâce, ils obtempérèrent, braquant toutefois leurs armes sur Dablord. A peine le militaire mit hors de danger qu’un homme du NID, touché à la cuisse nous fut amené, se vidant de son sang.

J’assistais Dablord, répondant à toutes ses exigences concernant les soins des blessés. Je fus bientôt couvert de sang des pieds à la tête (davantage qu’auparavant en tous cas mais cette fois-ci il ne s’agissait pas du mien ce qui consistait un progrès indéniable).

Au bout d’un moment nous entendîmes des bruits de pas et vîmes apparaître un soldat qui s’approcha de Dablord. Un des hommes qui nous surveillaient braqua son arme sur le nouvel arrivant. Celui-ci travaillant pour le NID et reconnaissant en nous l’ennemi, se mit à insulter de manière virulente ce qu’il considérait comme étant la salle engeance supportant O’Neill.

Avant même que je ne remarque quoi que ce soit, l’homme sortit une arme et il y eut un échange de coups de feu. Une des balles siffla dangereusement dans l’air à quelques centimètres de mon oreille droite. Lorsque le calme revint, je soupirais : il y avait des blessés en plus dont nous devions nous occuper.

Narah arriva ensuite, nous demandant d’essayer d’ouvrir le rideau métallique en salle de contrôle. Je levais les yeux au ciel. Pourquoi ne pas commander un Big Mac et des frittes tant qu’on y était ? Je me tournais vers l’homme qui tenait toujours en joue Evans Dablord et lui déclarais que comme il était le seul inactif de la salle et probablement même de toute la base il n’avait qu’à aller y jeter un œil.

A peine avions-nous terminés de nous occuper des blessés qu’un homme fit irruption tout sourire dans notre salle déclarant que la base venait d’être reprise et que Riedel s’était supprimé. Nous fûmes tous soulagés et nous nous congratulâmes longuement.

C’est alors qu’un ordre fut donné pour amener Dablord en cellule. Je restais un moment interdit puis m’indignais :


- Qu’est-ce que vous faites ? Vous ne croyez pas qu’il nous serait plus utile dans l’infirmerie ? Docteur, je vais tout faire pour vous faire sortir de ce mauvais pas.

Je me retrouvais alors tout seul en salle de briefing. Le film de la journée passée me revint à l’esprit dans ce moment de tranquillité. La bataille fut âpre, la reprise de la base tendue. Mais une question ne cessait de me torturer l’esprit. Le NID est une agence gouvernementale et avait pris le pouvoir légalement. Comment faire comprendre au gouvernement des Etats-Unis que ce n’était pas un coup d’Etat militaire que venait de faire O’Neill au SGC ? Il faudrait très certainement des preuves en béton concernant la félonie de Riedel… Mais il était mort… Il faudrait jouer serré et rapidement, avant que la rumeur de sédition n’arrive aux oreilles du président. Pour cela je faisais confiance à O’Neill.

Tout en pensant au général une image me revint à l'esprit. Discrètement j’entrais dans l’ex futur bureau d'O'neill, inoccupé pour le moment, et fouillais les papiers de Riedel. Je trouvais la lettre que je cherchais et la déchirais. Il n’était plus question pour moi de partir. Je ne savais pas ce qui avait changé en moi durant ces quelques heures de confinement, mais je m’étais débarrassé de mes vieux démons et ne pensais plus qu’à donner le meilleur de moi-même pour le bien-être du programme.

Je trouvais une feuille vierge et notais ma volonté de retourner en missions d’exploration, après m’être consacré plus d’un an à un travail de rat de bibliothèque épuisant mentalement, où j’épluchais tous les rapports du SGC et travaillais sur les mythologies planétaires et leur application vis-à-vis des cultures aliens. Je la laissais en évidence sur le bureau.

Avisant une autre feuille vierge, une idée me vint et je laissais un dernier message au général.

« Au général O’Neill, légitime commandant de la base Cheyenne Mountain.

Nous avons tous eu des choix difficiles à effectuer au cours de ces dernières heures riches en événements. Certains d’entre-nous ont fait les mauvais choix mais en toute bonne-foi et des informations clés qui leur aurait permis une juste décision ne leur ont clairement pas été communiqué par le NID. Le vrai et seul responsable de tout cela doit rester dans nos esprits le NID. Si l’on fait une chasse aux sorcières au sein de la base, nous risquons de déraper et de nous en prendre à de bons éléments. Un climat de suspicion naitra et nous en perdrons irrémédiablement notre solidarité.

J’en profite pour vous signaler le rôle prépondérant dont à fait preuve Evans Dablord dans la reprise de la base, et dans notre évasion d’un local d’entretien (d’ailleurs je ne vous demanderais jamais assez de considérer le réaménagement de ces lieux vers un plus grand confort, on ne sait jamais). Je pense qu’il mérite votre clémence.

Je vous remercie d’avance pour l’attention dont vous ferait preuve lors de la lecture de cette missive.

Michael Anderson. »

Ma signature fut soulignée d’une marque sanglante, aussi ma prochaine destination m’apparu avec clarté… l’infirmerie. Je soupirais. J’avais horreur des blouses blanches...

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MessageSujet: Re: La fin du chaos [Intrigue VI]   La fin du chaos [Intrigue VI] No_new1013.09.11 15:29

HRP : Désolé j'ai fais au mieux mais t'es pas très cohérent dans ton post, j'ai relu plusieurs fois mais un moment tu dis que dans la salle de contrôle y a un combat, donc O'Neill etc mais quand on arrive, ce qui doit prendre quelques secondes, c'est désert, on regarde les panneaux de contrôle etc, et après tu dis : "La salle de contrôle fût rapidement prit et sans trop de combat. Les quelques hommes qui la défendirent se buttèrent jusqu'au bout, mais rapidement prit de court". On est dedans elle est déserte, peu pas y avoir de combat ? Enfin voila désolé si c'est moi qui ai pas compris mais j'ai fais de mon mieux pourtant Sad Si tu peux m'expliquer un peu j'éditerai mon post.


L'équipe avait rejoint le Colonel qui lui avait eu plus de chance, il était tombé sur un groupe en réunion qui n'avait pas tardé à engagé les hostilités. Sheppard remarqua Hardplayer qui gisait au sol, d'un simple regard, il fit comprendre à Dablord qu'il fallait s'occuper de lui au plus vite, il prit ensuite connaissance de la situation, Narah et Almie ne cherchaient pas à faire de prisonniers, ils tués tous les assaillants un par un, la salle se vidée bien vite. C'était un véritable carnage, Spence venait de prendre une balle tiré par un homme de la base mais le coup avait atteint sa cheville et n'était donc pas mortel, Dablord pourrait s'occuper d'elle sans aucun soucis dès qu'il aurait fini avec les autres blessés. Les balles fusaient de partout et il valait mieux ne pas se trouvait sur leurs chemin. Sheppard avança prudemment, accompagné par Fields, jusqu'à cette Tok'ra, Sorrens, qui s'était caché dans un coin de la pièce et qui venait de mettre un homme à terre. Sheppard l'aida à se relever et tous purent constatés que le ménage avait été fait. Il n'y avait plus aucune résistance du côté ennemi, ils étaient tous morts...

Ce bain de sang n'était pas des plus réjouissant, mais Riedel ne leur avait pas laisser le choix. Narah donna ses directives et ordonna aux blessés, ainsi qu'à Dablord de rester ici et de, si possible, lever le rideau de la salle d'embarquement. Il fallait maintenant la rejoindre pour mettre la main sur Riedel avant qu'il ne se sauve comme un lâche. Des coups de feu retentissaient en salle de contrôle, et ce fut Hale et Smith qui virent agrandir le groupe, il n'y avait plus âme qui vive ici, le rideau qui donné droit sur la salle d'embarquement était toujours fermé, l'équipe se précipita en salle de contrôle, le dernier endroit ou l'action était au rendez-vous. Il y avait déjà l'équipe de Fett et Kaïger qui s'occupait des quelques hommes du NID qui était présent. Sheppard suivit son équipe et s'installa dans le cercle avant de tirés plusieurs balles bien placées de façon à ne pas tuer les assaillants. Le combat fut rapide et une personne était encore debout, elle était cachée par les autres hommes du NID juste avant, il s'agissait de Riedel qui avait tenté de fuir par la porte qui avait vite était refermé par Walter. Ce dernier était à la merci des militaires mais n'avait pas l'intention de se laisser prendre comme ça. D'un geste rapide il porta son arme jusqu'à son crâne et malgré les deux tirs d'O'Neill pour le stopper, il se tira une balle en pleine tête et tomba au sol sous la surprise des personnes présentes dans la pièce.

Voila que tout ceci était terminé, il avait était lâche jusqu'au bout, au point de préféré mourir plutôt que de finir en prison. O'Neill reprit rapidement ses esprits et félicita ses hommes puis envoya la plupart à l'infirmerie, il y avait eu bien trop de morts, de blessés dans ce combat, tout ça à cause de cet homme qui gisait au sol, baignait dans son propre sang. Des militaires le ramassèrent et le sortirent de la salle d'embarquement. Le calme était revenu à la base, la pièce se vidait peu à peu, la plupart allaient se faire soignés sous les ordres du Général, Sheppard n'avait pas était touché par chance, mais beaucoup en avait eu moins que lui, une belle cérémonie serait organisée dans très peu de temps pour honoré la mémoire de ceux qui ont protéger la base jusqu'au bout, mais pour le moment, il fallait ramasser tous les corps et envoyé tous les blessés à l'infirmerie, certains militaires seraient jugés en cours martiale, d'autres seraient décorés, et d'autres étaient parti pour toujours. Sheppard quitta la pièce pour aller aider les secours en pensant à tout ces morts qui auraient pu être évités.
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Josh Reynolds
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MessageSujet: Re: La fin du chaos [Intrigue VI]   La fin du chaos [Intrigue VI] No_new1017.09.11 19:11

Étonnamment, sur le coup personne ne releva la tirade du médecin. Soit ils étaient dubitatifs, soit il leur manquait de neurones pour rester concentrés aussi longtemps. Dans les deux cas, ce n'était pas du tout à l'avantage du docteur, qui se voyait déjà agressé par la folle furieuse qui servait autant de garde du corps que de « femme de main » au colonel Narah – il faudrait d'ailleurs penser à la faire arrêter, une fois tout revenu dans l'ordre. Voilà donc l'élément qui lui avait manqué dans son rapport, et auquel il n'avait pas du tout pensé malgré le fait qu'il connaissait l'existence de l'extraterrestre : Evans avait réuni suffisamment d'éléments compromettants sur le général O'N'eill et le colonel Fett, mais il avait omis et la violence de Menchu, et la dangerosité que représentait une alien ainsi en liberté. Trop tard, malheureusement.
Dans la même veine de surprises, ce fut Anderson – au prénom inconnu – qui se fit le défenseur du lieutenant, et même son garant. Evans était tellement stupéfié – et rassuré – par cette intervention qu'il ne pensa même pas à relever « la puissance non négligeable de leurs esprits combinés ». Au final, le toubib ne rajouta rien : c'était seulement au colonel de décider. Et là, nouvelle surprise : au lieu de l'enfermer dans les cellules, on préféra l'emmener avec lui en fardeau, quitte à ce qu'il monopolise un militaire qui aurait pu servir à autre chose. Mais le plus étonnant, encore, n'était pas autant cette décision que la suivante : on confia à Anderson – dont l'expérience militaire était apparemment exécrable – une arme de poing, et à Evans – pourtant maintenant habitué au combat – strictement rien. Le docteur Dablord avait depuis le cagibi beaucoup de respect pour le scientifique, mais il fallait être lucide : Anderson n'était pas en état de combattre, et le voir avec une arme à feu était plus un danger pour eux que pour le NID de Riedel. Au moins, ça, ça ferait de solides arguments pour expulser Narah du Programme par la suite... Avec de telles stratégies d'un officier, il pouvait être sûr qu'il finirait sa carrière à récurer les toilettes du SGC – aux côtés de Hale, finalement.

Leur périple à travers les couloirs du SGC les mena bientôt à la rencontre d'un groupe guidé par le sergent Spence. Le groupe en question ? Hale, qui avait encore une fois de plus mystérieusement échappé à la cour martiale ; l'inconnu qui devait tout de même la vie à Evans ; et deux autres inconnus sûrement tout aussi dérangés que le reste de la poche de résistance. Avec une telle équipe de psychopathes, ils étaient sûrs de mettre le feu à toute la base... Et après on osait se demander ce que faisait Evans avec le NID... Il était pourtant le troisième officier de cette bande de bras cassés, et c'était le seul à se balader au milieu des balles perdues les mains dans les poches... Youpi.

Qu'importent les hypothétiques talents cachés des moutons de Narah, Evans dut tout de même suivre, lui-aussi comme un mouton, le capitaine Flam – Sheppard, pardon. Ils se dirigèrent ainsi vers le niveau 27, où se trouvaient notamment le bureau du Grand Manitou et la salle de briefing, et mirent alors au point une stratégie. Ou plutôt, LA stratégie.

- C'est une plaisanterie ? ne put s'empêcher de répondre le docteur malgré son statut de prisonnier. Non mais vous avez eu vos galons où ? Dans un paquet de céréales ?!

Aux nombreux regards noirs lancés, Evans comprit vite que, finalement, on se fichait royalement de son avis, même si par le passé il s'était quasiment systématiquement avéré qu'il avait raison.

- C'est bon, j'ai rien dit...

De toute façon, au pire, lui n'était pas en première ligne ; ce ne serait donc pas lui qui subirait les conséquences d'une stratégie aussi... élaborée. Ce fut donc ainsi que le docteur Dablord se retrouva à suivre à pas plus ou moins feutrés la progression de Sheppard, qui en toute discrétion démolit la porte du général.

- Bon, ben... J'ai cassé la porte pour rien...

- Bien joué...

Jetant un léger coup d’œil vers le plafond, où figurait encore l'impact de balle de sa propre arme à feu, Evans cette fois-ci ne suivit pas l'officier dans la salle de briefing, où régnait le chaos le plus total. Sans aucune arme pour se défendre – Riedel ayant sûrement encore en main la sienne –, le médecin fit ce qui lui semblait le plus judicieux : il se terra derrière le bureau massif pour éviter les balles qui pourraient passer par là. A l'écoute de son nom, il releva prudemment la tête au-dessus du bureau et vit Sheppard lui montrer un des inconnus du pseudo camp des « gentils » à terre. Oui... et alors ? Evans n'avait aucun instrument médical à disposition, ne seraient-ce que des compresses. Que pouvait-il faire de plus que les autres ? Déchirer une fois de plus sa chemise ? Et pourquoi pas celle des autres, à la place, pour une fois ?! Il fallait être lucide : sa fonction de médecin ne faisait pas tout, et ne le rendait sûrement pas magicien. Pourtant, les militaires campèrent une fois de plus sur leur position, d'abord en amenant le blessé dans le bureau pour qu'il fût soigné et ensuite, paradoxalement à cela, en lui interdisant d'intervenir. Anderson, lui, faisait une fois de plus tout pour les convaincre, mais Evans n'était pas sûr que cela soit finalement la meilleure chose à faire.

- Euh... oui, mais non. Moi je ne fais rien sans l'autorisation du colonel Narah ; il est hors de question que je finisse en dommage collatéral...

Bizarrement, ils finirent tout de même par laisser le toubib s'occuper de l'homme dont Anderson compressait avec fougue la poitrine. Il compressait même tellement fort qu'il en devenait rouge comme une pivoine, à croire que finalement le sang perdu du blessé était assimilé par la tête du scientifique. Et puis ce fut le moment de passer aux choses sérieuses.

- Bon, euh... Il me faut un couteau, le maximum de tissus que vous pourrez trouver, et fouillez le bureau d'O'Neill à la recherche d'alcool, de ficelles, de ciseaux et d'aiguille...

Plus efficace que Superman, Anderson - « Michael », précisa-t-il au détour d'une phrase – réunit tout le matériel listé en un temps record. Ce n'étaient que des outils sommaires, mais ça serait suffisant pour limiter les dégâts. Evans enleva alors enfin ses mains de la large plaie de son patient et entreprit de fermer la blessure au maximum. Il n'était absolument pas question de retirer la balle qui l'avait touché ; ça serait aux chirurgiens de s'occuper de ce problème. Après il fallait seulement espérer qu'il n'y avait aucune hémorragie interne sérieuse, car dans ce cas Evans ne pouvait rien faire et l'homme mourrait en quelques minutes.
Un second patient fut ensuite amené. C'était un agent du NID, que le médecin n'avait d'ailleurs jamais vu. Le fait qu'ils ne portaient pas de gants était dangereux autant pour les uns que pour les autres, mais ils n'avaient pas le choix. L'essentiel, à présent, était de contenir l'hémorragie, et un garrot fut donc posé pour que le problème fut réglé rapidement. Vu la vitesse à laquelle la base était reprise par les militaires pro-O'Neill, l'homme serait sans doute à l'infirmerie en moins de deux heures...

Evans pouvait enfin se relever et souffler un peu avec Michael lorsqu'il fut interpellé par une voix qui lui semblait familière, une voix qu'il avait déjà entendue à bord du Dédale. Kevin Mark, l'incapable qui avait fait sauter tout le réseau d'alimentation d'un pont du Dédale... Cependant, cette fois-ci, le médecin n'eut pas le temps de dire quoique ce soit que déjà Mark et celui qu'Evans avait soigné en cellule se tenaient en joue, prêts à faire feu. Sentant le roussi, et surtout se trouvant pile entre les deux hommes, le docteur essaya tant bien que mal de désamorcer la situation...

- O-kayyy... Bien... Alors... On va tous se calmer, hein... Mark, je sais que les apparences sont souvent trompeuses, mais malgré ça l'autre débile n'a pas l'intention de tirer – dites-lui que vous n'avez pas l'intention de tirer ! Et vous, même si je sais que Mark ressemble à un véritable psychopathe – ce qu'il est, d'ailleurs –, je vous assure qu'en sortant son arme il plaisantait ! - n'est-ce pas que vous plaisantez ?

Lorsque le coup partit, Evans se jeta à terre sans réfléchir, son instinct de survie ayant repris le dessus. Vu le comportement dérangé de Kevin – un comportement de Kevin, quoi –, il était hors de question de se battre avec lui puisqu'il tirerait dans le tas. Et ce fut à peu de choses près ce qu'il fit : plusieurs coups de feu se succédèrent avant que le silence revint. Evans osait à peine relever la tête, son cœur battant à cent à l'heure. Il hésita de nombreuses secondes avant de regarder du côté d'Anderson, histoire de voir si lui au moins allait bien. Et dire que cela ne serait sûrement pas arrivé si on avait fourni une arme au médecin...

- Michael, ça va ?

Le lieutenant se releva finalement, et constata que si Mark était mort, Spence, elle, avait gagné une balle dans la cheville.

- Ça fait mal, hein ? demanda Evans, tout sourire, en examinant sa blessure. Moi je n'ai eu qu'une blessure à la cheville ; un Réplicateur avait essayé de me la bouffer... Ouais, je sais, c'est étrange... et pas vraiment agréable, d'ailleurs.

Un bon moment après, alors qu'ils constataient qu'ils en avaient enfin fini avec les blessés, ils apprirent qu'apparemment ils en avaient aussi fini avec Riedel, qui s'était sans surprise suicidé.

- D'ailleurs ça serait gentil que quelqu'un récupère l'arme avec laquelle il s'est tué, parce qu'en fait, eh bien... c'est la mienne.
… Ben quoi ?


Pour toute réponse on lui fit très clairement comprendre que sa prochaine destination était justement l'endroit qu'ils venaient de quitter : les cellules. Pourtant du coup c'était un peu comme si c'était Evans qui avait tué Riedel, non ?

- Arrêtez, vous n'avez pas le droit ! Je travaille pour le gouvernement et j'ai un grade supérieur au vôtre, alors lâchez-moi !

La seule personne qui le soutint à ce moment-là fut Anderson, qui représentait finalement son seul allié dans cette galaxie. Et au moment où on l'enfermait avec les autres au niveau 18, Evans comprit qu'O'Neill venait de commettre deux erreurs : la première, que le docteur Dablord était un des rares à pouvoir légitimer leur action ce jour-là, et qu'ils venaient tout juste de perdre cette opportunité ; la seconde, qu'un médecin était bien plus utile à l'infirmerie que dans une cellule. Au moins ils confirmaient ce qu'il pensait déjà d'eux : ils ne méritaient pas d'être la première ligne de défense de la Terre. S'il s'avérait impossible d'écarter ces officiers irresponsables, il y avait toujours une alternative : faire le ménage au NID pour le rendre tout à fait respectable, et revenir dans ces lieux en rappelant haut et fort que le SGC devait se justifier de ses actes. Il ne faudrait que quelques heures au docteur Dablord pour être libéré, et d'ici peu, les menaces aliens seraient de la totale responsabilité du NID.
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La fin du chaos [Intrigue VI] _
MessageSujet: Re: La fin du chaos [Intrigue VI]   La fin du chaos [Intrigue VI] No_new1017.09.11 21:59

Les balles ricochaient autour de moi. Je pouvais sentir le souffle chaud des projectiles passer près de moi. Ressentir le recul de mon arme lorsqu’elle faisait feu. Entendre le bruit de l’impact sur le béton de la base. Des étincelles illuminer l’escalier. Percevoir les cris de nos ennemis. Je fis quelques pas en avant, pour avoir un meilleur angle de tir. Un ennemi surgit, avant de s’écrouler, abattu par Kaiger. Je fis encore un pas, et j’en eu un dans ma ligne de mire. Je tirai. Il fut projeté en arrière, contre un mur, le torse en lambeau. Son corps bascula et tomba dans les escaliers, pour dévaler jusqu'à mes pieds. Un costume cravate, un salaud du NID en moins. Il vivait encore. Je saisissais mon M9 et je l’achevais d’une balle en pleine tête. Des cris fusèrent à travers le couloir. Un cessez le feu. Le général O’neill sortit, arme en l’air.

-« Ne tirez pas ! Ravi de vous revoir mon général. On a pu établir le contact avec le groupe du sergent Eversman, qui avait fomenté une petite rébellion au SGc. Par la suite, nous nous sommes rendus ici. On suspectait une action louche de la part de Riedel. »

Les prisonniers, nos agresseurs, s’empressèrent d’exposer leur motivation. L’envie de les exécuter sur place ne me manquait pas, mais mon grade m’empêchait de tenir de tel propos. Soudain, une personne à la démarche claudicante arriva. Quarritch. Je l’interrogeait sur ce qu’il lui était arrivé. Ce fut shirrow qui m’annonça ce qu’il s’était passé. Ca avait faillit tourner au drame, une fois de plus. Puis le général nous donna d’autre directives à suivre. Nous parcourions les niveaux du SGC, pour nous rendre au 28, là ou se jouera le dernier acte. Nous rencontrions plusieurs personnes loyales à O’neill sur notre route. Mais dans un couloir, il y avait une bonne palanqué de fidèle à Riedel. Il y eu une fusillade. Je vis avec discernement une tête exploser au moment ou je tirais un coup de feu. Quelques minutes plus tard nous reprenions notre route. Une fois au niveau 28, nous fûmes accueillit par Walter.

-« Sergent Harriman… »

Disais-je dans un souffle. O’neill papota un peu avec lui, avant de nous emmener en salle de contrôle. Salle d’où sortait tout juste un agent du NID. Dans un réflexe je le plaquai au mur avant de lui coller un coup de crosse sur la tronche. L’homme s’écroula au sol inconscient. O’neill divisa le groupe en deux. Avec Kaiger et Lambert, je descendais directement en salle d’embarquement. Je fis signe à mes deux soldats de se tenir prêt. Puis j’actionnais l’ouverture de la porte blindée. Un déluge de balles s’abattit à travers l’ouverture. Je ripostais à l’aveuglette, caché derrière un mur de l’ouverture. Je dégainais mon M9, qui serait plus maniable que mon SPAS. Me penchant un peu, je pus viser un agent du NID et lui carrer trois balles dans le torse.


-« Consommez plus de cartouches ! Ils ne doivent pas pouvoir riposter ! »

Puis je finissais de vider mon chargeur de flingue sur les agents du NID. D’un rapide coup d’œil, je vis que l’autre porte blindée était ouverte et que de nombreux agents du NID y passaient. Les lâches, ils se faisaient la malle par la porte. Rechargeant mon fusil à pompe, je vis arriver O’neill. Pas besoin de discours pour voir le merdier que c’était. Je refis feu. Un autre agent valdingua en arrière. Puis au fur et à mesure, nous pouvions prendre l’avantage. Nous pûmes pénétrer dans la salle d’embarquement et encercler les derniers survivants. Ils rendirent, déposant leurs armes. Je regardais O’neill, il se penchait sur le corps sans vie de Riedel. Puis il reporta notre attention vers nous, demandant de mettre les prisonniers en cellule.

-« Bien mon général. »

Je réprimais une fois de plus l’envie de désobéir et d’exécuter les prisonniers et traitres. Surtout en voyant que Dablord était de mèche. Ce salaud avait préféré retourner sa veste. Je n’était guère étonné.

-« Tout le monde en rang ! Le premier qui tente de s’échapper est abattu sur le champ. »

Avais-je déclaré, en insistant bien du regard sur Evans. Puis je fis signe de les emmener aux cellules.
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