Une rébellion intensifié [Intrigue VI]

Arrivé au SGC : 26/09/2010

La descente fut longue mais sans accrochage, permettant aux révolutionnaires du jour de s’infiltrer au sein du SGC. La sortie de secours amenant dans le couloir fut déverrouillée et Fett en était sortit le premier. Des escaliers se trouvaient non loin et le groupe de Narah s’était alors séparé des autres pour continuer sa propre route, voulant rallier le niveau 13 pour y libérer les éventuels prisonniers du NID. Ils empruntèrent les escaliers et dévalèrent les marches à forte vitesse, semant de loin le groupe de Boba ou celui du Général. Quand ils arrivèrent à destination, ils pénétrèrent dans le couloir principal du niveau. Les cellules se situaient de l’autre côté, il allait falloir marcher un peu avant de les atteindre. Menchu, John et Almie arpentaient le couloir d’un pas rapide, quand ils firent face à une infirmière poussant un chariot contenant divers boites et outils médicaux normalement destinés aux prisonniers du SGC. La jeune femme, dont les traits du visage étaient crispés, fixa la troupe de Narah, le regard défiant et son corps ne bougeant pas d’un pouce.
A ce moment là, la voix de Riedel retentit dans les enceintes :

« A vous qui faite une rébellion dans ma base : rendez-vous, abandonnez cette futile mutinerie et aucun mal ne vous sera fait... Mais si vous voulez vraiment vous battre, alors j'ordonne à tous ceux qui sont restés fidèle à ce programme et au NID, de prendre les mesures nécessaires pour éliminer toutes résistances au sein du SGC ! »

Cet appel aux armes tomba au pire des moments. L’infirmière avait glissé aussi discrètement que possible sa main sous le linge posé sur son chariot et en ressortit une arme de poing. Mais Menchu était resté vigilent et tira en premier, sans la moindre hésitation. C’était soit lui, soit elle…
L’infirmière fut touchée et s’écroula au sol avant même d’avoir put tirer. Sheppard s’avança et prit son pouls, avant de s’apercevoir qu’elle ne respirait plus.
Le trio reprit son chemin et arriva enfin aux cellules. Les portes de sécurités étaient ouvertes, le bureau des gardes abandonné… A l’intérieur des prisons, le groupe passa devant une celle ouverte où du sang avait repeint le papier peint en certains endroits. En face, une autre cellule était fermée et trois hommes étaient enfermés à l’intérieur, deux en costards et un vêtu d’un treillis…

Alors qu'une décision devait être prise pour les prisonniers du NID, peut-être dans le but d'acquérir des informations, des bruits de pas se fessait entendre. Almie se positionna prêt de Menchu, alors que Sheppard prit l'autre côté du couloirs. Ils étaient prêt à les recevoir. Défendre les cellules n'étaient certes pas un objectif important, mais sa pouvait au moins permettre de laisser les prisonnier NID coincé ici. Trois ombres furent rapidement visible. Le Capitaine Sheppard fût le premier à ouvrir le feu dès qu'il vit le corps de l'homme en costume. Il fût de suite imité par Narah et Almie. Les deux hommes en costume furent de suite hors jeux. Le dernier était un militaire du SGC, il semblait être un prisonnier. Il s'agissait d'Harold Harplayer qui expliqua rapidement sa situation et ce qu'il savait de la rébellion dans la base. Il était plutôt heureux d'être libre, mais ne put se réjouir longtemps. D'autre bruit de pas se firent entendre. Un nouveau combat semblait proche. Le temps pour Sheppard de mettre les corps dans une cellule vide et pour Harplayer de ramasser une arme, il fallait se tenir prêt.

Cette fois, ils allaient avoir un autre avantage : la lumière. En effet, celle-ci venait de se couper. Une bonne chose. Il fallait donc se fié au bruit et Almie était plutôt doué pour sa. Le premier homme en costume qui passa fût de suite au sol. Une balle entre les deux yeux décerné par le Colonel Narah. Pour le suivant, dans le noir, la situation fût plutôt confuse. En effet, il restait quatre hommes, qui semblait se battre entre eux. Profitant de la mort d'un des gardes et comprenant vite la situation, Michael Anderson assomma son garde. Dablord essaya de faire la même chose avec le sien, mais avec moins de réussite. Heureusement, il fût aidé par Sheppard.

Il y avait maintenant deux nouveaux membres du SGC libérer. Du moins, un sur. La trahison de Dablord était connu de tous. Qu'allait faire Narah de lui ? Une chose était sur, Evans allait plaider sa cause.

[Une semaine pour répondre. Si y a des questions, par MP.]

Arrivé au SGC : 07/11/2006

L'infiltration avait commencée et il était l'heure pour le groupe de se séparé, Narah indiqua la direction à son équipe pour se dirigé le plus vite possible au niveau 13 afin de libérer les prisonniers. Sheppard fit un signe aux autres pour leur souhaité bonne chance puis ferma la marche du groupe qui s'engouffrait dans les couloirs du Sg-c en faisant le moins de bruit possible pour ne pas être repéré trop tôt. Après plusieurs escaliers descendu, ils arrivèrent enfin au niveau 13, l'endroit était bien trop calme étant donné que c'était ici qu'il y avait surement d’éventuels résistants au NID, un grand couloir les séparés encore des cellules, Sheppard jeta plusieurs coup d’œil en arrière pour s'assurer que personne ne viendrait les prendre par surprise quand juste après, un bruit lui fit reprendre le bon sens de la marche, il y avait une infirmière planté là, son chariot à médoc avec elle, elle regardait l'équipe comme s'ils étaient la peste, ou une maladie encore plus virulente, elle n'avait pas l'air d'apprécier qu'ils se trouvent dans ce secteur qu'elle venait juste de nettoyer, Sheppard remarqua que le sol derrière elle était encore mouillé quand la voix de Riedel envahit toute la base.

A vous qui faite une rébellion dans ma base : rendez-vous, abandonnez cette futile mutinerie et aucun mal ne vous sera fait... Mais si vous voulez vraiment vous battre, alors j'ordonne à tous ceux qui sont restés fidèle à ce programme et au NID, de prendre les mesures nécessaires pour éliminer toutes résistances au sein du SGC !

Sans qu'il ne comprenne rien, Un coup de feu avait retentit, Menchu venait d'abattre l'infirmière de sang froid, le Capitaine pu voir ensuite qu'elle tenait une arme dans la main et qu'elle avait la ferme intention de les stopper par la force, mais ce fut elle qui fut stopper. D'un pas lent, il s'avança jusqu'à elle et s'accroupit pour lui prend son pouls, aucun battements, il ne l'avait pas raté. Il n'avait pas eu le choix mais c'était quand même dommage d'en arriver là, et ce ne serait surement pas la dernière. Sheppard se releva et fit un signe de tête à Narah pour lui confirmer sa mort puis l'équipe repartit. Après quelques minutes, ils furent enfin arrivé, il n'y avait pas un chat, tout était bien trop calme, même les gardes étaient absents. Les cellules n'étaient pas franchement le coin intéressant à visiter, cela dit les prisonniers pouvaient jouir d'un certain confort comparé à d'autres prisons, mais dans celle où ils s'étaient arrêtés, le confort n'était pas au rendez-vous, elle était en partie recouvert d'éclaboussures de sang, l'odeur était bien là elle par contre. Dans celle d'en face, il y avait trois hommes, deux mecs en costards et un militaire, l'équipe n'eut pas le temps d'engager la conversation que des bruits résonnaient dans les couloirs, l'équipe se sépara vite fait, Menchu se planqua d'un côté, accompagné par Almie, et Sheppard prit l'autre. Le Capitaine se colla contre le mur et avança lentement la tête pour voir ce qu'il se passait dans le couloir adjacent, trois ombres apparaissaient peu à peu et lorsqu'un "Men in Black" prit forme tout au bout, Sheppard n'attendit pas une seconde et dégaina son arme pour lui coller une balle en pleine tête. Ce fut ensuite Narah et Almie qui s’occupèrent de l'autre et quant au troisième, il était en uniforme du Sg-c, c'était surement un prisonnier, Narah le reconnu et expliqua qu'il s'agissait d'Harold Harplayer, un nom inconnu pour Sheppard qui rangea son arme en voyant que la fête était déjà fini.

Pendant qu'Harold, qui avait l'air fou de joie, expliquait la situation à la base à Menchu, Sheppard prit soin de caché les deux corps dans une cellule et referma celle-ci comme si de rien n'était. Il avait à peine fini son histoire que d'autres bruits firent irruption et les lumières des couloirs s'éteignirent. La situation se compliqué un peu pour Sheppard mais Narah avait la situation bien en main et en avait déjà dégommé un, d'après les bruits qu'ils entendaient, ils restaient quatre hommes présent mais ces derniers se battaient entre eux en ignorant complètement l'équipe de Narah qui se précipita pour y voir plus clair. L'un deux avait assommé quelqu'un et l'autre avait l'air d'être en difficulté de son côté, il s'agissait de deux membres du Sg-c, dont un qui les avaient trahis, accompagnés par deux gars du NID, alors que Dablord était en mauvaise posture face à son adversaire, Sheppard attrapa son assaillant par le bras et le lui tordit d'un coup sec, l'homme cria fortement juste avant que Sheppard lui envoi une décharge de Zat. La lampe de son P90 éclaira le visage des deux personnes devant eux, d'après Narah il s'agissait de Michael Anderson et bien sur d'Evans Dablord que Sheppard avait reconnu de suite. Menchu avait l'air très satisfait d'avoir Dablord avant tous les autres, il avait ce sourire sadique qui en disait long sur ce qu'il allait lui faire subir après sa trahison, il n'avait eu aucun scrupules a descendre cette infirmière dans le couloir alors un traitre... Ils avaient donc réussit à libérer deux hommes et un traitre qui lui allait passer un très mauvais quart d'heures d'après le regard que Narah lui assigné.

Arrivé au SGC : 13/01/2009

Dans une autre situation, Evans aurait sûrement éclaté de rire. Le cri poussé par Anderson avait en effet été des plus magistraux, et même tellement magistral que cela en avait stupéfié le médecin. Mais il fallait garder l’objectif du jour en tête : neutraliser leurs geôliers, et pour cela il fallait non seulement rester concentré mais aussi et surtout sérieux, sinon ils ne croiraient jamais en l’agression du scientifique par le toubib. Alors, quand la porte de leur cellule improvisée s’ouvrit à la volée, laissant paraître deux hommes en costume, Evans suivit scrupuleusement la stratégie qu’il avait mise en place malgré l’échec de l’opération « sol glissant » : attrapant d’un geste vif le manche à balai qu’il avait posé tout près de lui, il en assena un coup violent en direction de la tête de sa victime. Chose inattendue : celle-ci eut le curieux réflexe de mettre son bras en avant pour se protéger, lui cassant ainsi sans aucun doute le radius. Mais le docteur ne voulait pas en rester là : la surprise passée, il redoubla de vigueur et frappa de toutes ses forces depuis le haut vers le bas, de la gauche vers la droite, et inversement… Il martelait complètement le corps de son adversaire, et ce sans du tout prêter la moindre attention à l’état de son coéquipier. Evans était prêt à tout et il ne comptait pas s’arrêtait en si bon chemin. Il ne se serait d’ailleurs pas arrêté si vite si seulement trois nouveaux agents du NID n’avaient pas fait irruption au bout du couloir, armes à la main, alors que le toubib se trouvait en plein dans sa phase « étranglement au bâton ». Bien entendu, le choix entre une balle au milieu du front et passer un peu plus de temps au sein du SGC fut vite fait : en quelques secondes, Evans laissa tomber et le bâton, et le garde en sang.

- Arrêtez ! Je suis un agent du NID et votre supérieur, alors enlevez vos sales pattes de là ! Obéissez bande de dégénérés !

Utiliser l’affiliation, le grade ou la menace ne marcha pas. Quoiqu’ils pouvaient essayer, ils allaient dans tous les cas se retrouver en cellules – des vraies, cette fois-ci. Leur trajet fut l’exquise occasion d’écouter une fois de plus la déclaration tyrannique d’Andy, avant que finalement la lumière se coupât : c’était le moment ou jamais. Cherchant alors des yeux Anderson, Evans eut bien du mal à lire ses intentions dans son regard. Dans cette pénombre, le cœur du médecin battait à cent à l’heure, sachant pertinemment que ce problème d’alimentation n’était pas le fruit du hasard et que quelque chose se préparait. Son pressentiment fut confirmé au moment même où un coup de feu résonna dans le couloir : c’était le moment.
Evans donna un coup de coude dans le ventre de l’agent à sa gauche, le pliant en deux l’espace d’un instant. Il voulut aussitôt enchaîner avec un coup de poing vers le menton lorsqu’il se sentit agrippé au cou. Oui, son adversaire commençait déjà à l’étrangler. Il fallait dire que l’homme en question n’était pas le type le plus gringalet que le médecin avait connu, et en plus de cela se battre dans le noir n’était pas vraiment évident. Le docteur commençait d’ailleurs à retrouver les vieilles sensations de Leonis et de pendaison lorsqu’il se sentit tomber par terre, la pression ayant été relâchée.
En se relevant, il vit trois choses : la première, qu’Anderson avait, lui, réussi à se défaire de son geôlier – surprenant pour un type quelques minutes auparavant à la limite du coma – ; la seconde, que son pseudo-sauveur était quelqu’un qui figurait sur la liste d’équipage du Dédale, remise à jour juste avant la mission sur la planète du NID. Enfin, la dernière chose à constater était que Menchu et la folle furieuse étaient aussi tous deux présents ; quand il repensait à la petite altercation qu’il avait eue avec un scientifique sur la passerelle du Dédale juste avant de repartir sur Nebek, Evans se disait qu’il n’allait sûrement pas retenir ses coups aujourd’hui. Le problème était pourtant évident : il allait agir avant de réfléchir – problème typique des militaires du SGC qui avait d’ailleurs aidé à convaincre le Président. Mais la solution, elle-aussi, était évidente : parler vite et bien, de façon à ce que le colonel eût tout entendu avant de faire quoique ce soit. Car si tout le monde connaissait la prétendue « trahison » du docteur Dablord, il était évident que personne n’avait encore compris les motivations et le but du « traître » en question…

- Aux têtes que vous arborez, je suppose que vous vous attendiez sans doute à tout sauf à cela... Un "agent du NID", premier responsable de cette situation pour avoir fourni les rapports qui ont convaincu le Président et la Commission, qui se retrouve finalement face à vous sans que vous n'ayez rien eu à faire, de surcroît prisonnier au sein de sa propre organisation... Mais justement. Je sais que pour vous, pour tout le monde même, je suis un traître. Un traître, parce que je me suis allié avec une organisation civile que le personnel du SGC ne porte guère dans son estime, parce que j'ai pour vous rompu le lien de confiance qui unit habituellement les fameux "frères d'armes", et parce que j'ai aidé ces mêmes gens à tous vous mettre sur la touche. Néanmoins, si les faits en question sont tout à fait exacts, pour autant ils ne représentent qu'une partie de la vérité. La vérité, c'est que si moi je suis un véritable agent du NID, je ne travaille pas pour les terroristes qui ont pris le contrôle de cette base. Le NID est une agence fédérale légitime qui a l'aval de la Maison Blanche pour surveiller et contrôler les Programmes classés "Secret Défense" du genre de celui-ci. Mais si vous prenez le NID pour votre ennemi, il se trouve justement que le SGC et le NID sont censés travailler en étroite collaboration, et ce sans que quiconque remette en question la légitimité des actions de mon agence. Par là-même, je constate en ce moment que votre entreprise est sans aucun doute illégale et mériterait la cours martiale dès que vous seriez arrêtés. Mais si en tant qu'agent du NID j'ai aujourd'hui moi-même arrêté de nombreux soldats du SGC pour leurs bavures à répétitions ou leur comportement irresponsable et dangereux pour la sécurité de ce Programme, il se trouve que j'ai aussi tout fait pour arrêter l'agent Riedel lorsque je me suis aperçu qu'il enfreignait tous les protocoles du NID. Je l'avais en joue, mais c'est justement parce que j'ai voulu respecter les lois que je me suis retrouvé enfermé avec monsieur Anderson. Et il n'y a pas que ça ! J'ai tout fait pour soigner au mieux les blessures des prisonniers qui étaient là tout à l'heure ! Eversman, Hale, Lambert, Quaritch et un autre type sont encore en vie grâce à moi ! Et pourtant, vu mes fréquents désaccords avec Matt, j'aurais largement pu le laisser se faire tuer, tout comme Hale ! Quoique vous pensiez, colonel, je vous assure que nous sommes dans le même camp ! Tout comme vous, j'ai combattu les Goa'ulds ! Tout comme vous, j'ai combattu les Réplicateurs ! J'étais à bord du Prométhée lors de l'assaut de Nebek ; je vous ai couvert avant qu'à votre tour vous couvriez notre fuite ! C'est moi qui ai sauvé votre ami Kaïger alors qu'il avait été drogué, par les mêmes types qui dirigent actuellement cette base ! Oubliez les sigles et les uniformes, colonel Narah, et croyez-moi : nous combattons à nouveau le même ennemi ! Qu'importe si je porte la même tenue que ceux que vous affrontez en ce moment, vous voyez bien vu mon état que je ne cautionne pas ce qui se passe ! S'il vous plait, Menchu : faites-moi confiance.

C'était la première fois qu'il s'adressait de cette façon au colonel Narah. La première fois qu'il laissait entendre dans sa voix une lueur de respect face à son interlocuteur. Il y avait effectivement une chose qui avait changé : l'officier supérieur ne s'en était peut-être pas rendu compte, mais ils avaient tous deux besoin l'un de l'autre. Le docteur Dablord voulait que le personnel du Programme soit efficace, ce qui nécessitait à présent l'intervention du colonel et de son équipe, et le colonel, lui, aurait forcément besoin d'un agent du NID assez influent pour légitimer une action qui s'était faite sans autorisation gouvernementale. Mais Evans ne pouvait réellement être efficace que si on lui confiait une arme ; c'était à lui d'arrêter une bonne fois pour toutes les opérations mafieuses d'Andy Riedel...

Arrivé au SGC : 26/09/2010

Groupe Spence :

Le groupe d'Annabel Spence pouvait parler encore longtemps et choisir la bonne option, mais à quoi cela allait-il servir ? Dans tous les cas, il y aurait de l'action. D'ailleurs, à force de réfléchir, le temps prit la décision pour le groupe. En effet, plus le temps de partir, l'ennemi arrivait. En effet, des bruits de pas se fessaient entendre. La défense devait se préparer.

Les hommes de Spence, Fields, Hale et Smith se mirent en position. Ils vérifièrent que leurs armes étaient chargé et prête pour le combat. L'obscurité allait être un atout, mais fallait-il encore savoir en profiter. Moins de cinq minutes après, le premier homme du NID pointa le bout de son nez. L'accueil fut assez rapide et tous ouvrir le feu. Combien avait-il d'ennemi ? Impossible de savoir dans le noir mais surement pas toutes une compagnie. En effet, le NID n'avait pas pût convertir tous le SGC et n'avait pas pût, non plus, amener beaucoup de monde. D'ailleurs, une bonne partie devait déjà avoir faiblit au combat.

Fields participait à son premier combat pour le SGC n'aurait jamais penser vivre une telle chose. Et pourtant, au SGC c'était une habitude.

La position de défense qu'avait actuellement le groupe de Spence était certes une bonne position mais pas forcement la meilleur. Nathan Hale redonna une nouvelle fois sa proposition : un passage en force. Au vue de la situation et du nombre faible d'ennemi, la solution fût adopter rapidement. Spence laissa le jeune soldat, initiateur de cette stratégie prendre la tête, suivit par Fields. La Sergent-Major elle fermait la marche avec Smith. Alors qu'elle compta jusqu'à trois, le soldat Hale ouvrit la marche et tira sur l'ennemi le plus proche, imiter par Fields. En quelques secondes, le groupe fût sorti de sa position et prit la route des escaliers. L'objectif maintenant : la salle de briefing....

Groupe Menchu :

Qu'allait-il faire d'Evans Dablord ? La question n'était pas des plus simples même si la réponse paraissait évidente. La tirade de Dablord avait mit le doute dans les esprits de certains, cependant, le Colonel Narah n'était pas dupe. Evans avait trahi le SGC et il le paierait. Pour le moment, que faire de lui ? Pas grand chose à part l'emmenai avec eux.

Sheppard venait d'être désigner pour être le garde du corps d'Evans. Non, Dablord n'allait pas être attaché, juste sous bonne surveillance. Comme sa, l'idée de fuir ne pourrait lui venir à l'idée. De son côté, Michael Anderson essaya, du mieux qu'il peut, de défendre l'agent du NID, qui venait de le sauver. Alors qu'Harplayer reprenait ses esprits après toutes ses tortures qu'il avait subi, le Colonel Narah remit tous le monde en ordre de marche : la reprise de la base.

En tous cas, la reconquête était bien parti et la fin devait être aussi bien. Le groupe ferrait en tous cas le maximum. Sans plus attendre, il prit la direction des escaliers.

Groupe Menchu/Spence

Alors que le groupe de Spence venait de monté deux niveau sans résistance, il freina son allure à l'entente de bruit. C'est à ce moment là, que la jeune femme reprit la tête du groupe. Elle mit son zat en avant. L'angle du couloir était tous proche. Spence passa sa tête et elle retient alors sa main droite. Elle reconnu malgré l'obscurité, le Colonel Narah. Comment ne pouvait pas t'elle le reconnaître ?? Ce fût donc les retrouvailles. Toutes étaient joyeuses. Toutes ? Pas forcément la vision d'Evans. Pourtant, personne ne dît rien. Son cas serrait réglé à la reprise de la base. L'objectif était donc de reprendre la base et le plus vite serrait le mieux.

Les deux groupes ensemble prient la route de la salle d'embarquement. En une vingtaine de minutes, le groupe arriva au niveau 27. Durant le chemin les menant jusqu'ici, peu de résistance. En effet, quelques tirs échanger mais rien qui mit à bas l'avancée du groupe. Il faut dire que les derniers membres du NID s'était retranché dans la salle de briefing et la salle d'embarquement. Le groupe se scinda en deux.

Spence, Hale et Sheppard, qui emmené partout avec lui Evans, allait passer par le bureau d'Andy Riedel. Le reste du groupe – Narah, Almie, Harplayer, Anderson, Fields et Smith – prirent le couloirs, directement vers la salle de briefing. Dans cette salle se trouvait toujours Sorrens, qui avait réussit dans ce mettre dans un coin. Ses mains avaient été attaché plutôt dans son dos. Dans cette salle de briefing se trouvait une dizaine de membres du NID et cinq militaires convertit pour leur causes. Le groupe qui passait par le bureau ne trouva pas de résistance. En effet, celui-ci était désert et Riedel introuvable.

Le combat final était lancé. La salle de briefing est le dernier rempart à la salle de contrôle. Le combat n'allait pas être facile et rapidement un homme du SGC était déjà au sol : Harold Harplayer. Non, il n'était pas mort mais il sa participation au combat est terminer...Les balles fusèrent dans tous les sens, il fallait maintenant être très vigilent.

[Si vous avez des questions, par MP. Désoler du retard, j'ai toujours pas de connexion web...]

Arrivé au SGC : 18/03/2009

L’effort que je venais de fournir avait été de trop. Je m’appuyais le dos contre le mur et glissais peu à peu jusqu’au sol en position assise, les yeux fermés. Alors que je les rouvrais je remarquais avec enthousiasme qu’une petite fenêtre s’était ouverte dans ma chair me permettant de recouvrer partiellement la vue de l’œil droit. Mais je n’étais pas dupe. En si peu de temps l’hématome ne pouvait s’être résorbé… il n’y avait qu’une seule autre solution, et le liquide que je sentais couler le long de ma joue valida mon hypothèse. L’hématome avait éclaté pendant le combat relâchant la pression sur mon œil. Ma chemise se colora petit à petit alors que mon propre sang la teintait… Ma chemise préférée… encore une de foutue.

Mon corps entier envoyait des signaux de détresse à mon cerveau. Mais il n’était pas temps que je les traite. Je m’armais de toute ma volonté et les ignorais pour le moment. Autour de moi je remarquais soudain que l’atmosphère venait de perdre quelques degrés. Tous les regards étaient braqués sur Evans. Et ils n’étaient pas empreints de sympathie ou de soulagement. Loin s’en fallait. Alors que je sentais que la situation allait dégénérer d’ici peu, Evans prit la parole.

J’appris alors avec consternation qu’il avait rejoint le NID, mais que ce dernier l’avait trahi. Comme dit toujours ma mère, il ne faut jamais faire confiance à un sigle ou à un acronyme, leurs lettres cachent toujours quelque chose…

Lorsqu’il eu terminé son plaidoyer je crus préférable de lui prêter main forte.

- Si cet homme nous a trahis, moi je suis acteur de séries TV. Nous avons été tous deux battus, torturés, enfermés dans un placard dont nous nous sommes échappés grâce à la puissance – « non négligeables » entre guillemets – de nos esprits combinés. S’il n’avait pas été là je serais toujours allongé dans un placard à balais reprenant peu à peu conscience et perdant mon précieux fluide vital sur le béton… dans le meilleur des cas. A vrai dire j’ai plus confiance en lui qu’en vous tous ici présents. A vous de me prouver le contraire.

Comme j’observais des moues dubitatives j’ajoutais :

- Messieurs les militaires, sachez que nous sommes tous dans le même bateau… et qu’il prend singulièrement l’eau. Cela ne sert pas à grand-chose d’écoper. Allons colmater les trous. Nous écoperons plus tard si c’est toujours d’actualité. Le temps presse et il n’est pas à la vengeance…

Je terminais ma tirade par une quinte de toux qui colora mon pantalon, laissant un nuage rouge sang aérographié sur le tissu. Décidément il va falloir que je revois entièrement ma garde robe.

Le groupe se mit bientôt en route et je le suivais tant bien que mal en claudiquant. Un des militaires m’avait donné une arme de poing, mais je me demandais bien comment je pourrais m’en servir dans cet état. J’aurais de la chance si je ne me tirais pas dessus avant la fin de la journée. Je mis la sécurité à l’arme et insérait le canon dans mon pantalon (d’où la nécessité de neutraliser l’arme avant, vous aurez aisément compris pourquoi).

Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,

Effectivement notre petit groupe s’étoffa par l’arrivée d’une autre troupe conduite par Spence. Après quelques sourires échangés et quelques regards mauvais envoyés à Evans Dablord, nous partîmes en direction de la salle d’embarquement.

Nous trouvâmes lors de notre périple quelques poches de combattants, mais rien de bien méchant, je n’eus même pas à sortir mon arme, à mon grand soulagement

En chemin il fut décidé que le groupe devait se scinder en deux pour prendre l’ennemi en sandwich. Je vis avec appréhension partir Evans avec l’autre groupe. J’espérais que les militaires l’accompagnant avaient saisis ma tirade et ne s’en prendraient pas à lui avant que la base ne soit reprise au NID.

Nous arrivâmes à pas feutrés en salle de briefing. Un militaire m’avait bien fait comprendre de ne pas les gêner pendant l’assaut au vue de mon inexpérience comparés aux autres personnes présentes mais aussi surtout à cause de mon état physique qui me permettait à peine de mettre un pas devant l’autre.

D’un signe discret de la main, un ordre fut donné. Les militaires entrèrent… ce fut le chaos. Aux bruits percutants des coups de feu répondirent les cris, les ordres et le son des douilles en métal résonnant sur le sol.

Puis au chaos succéda l’ordre.

Arrivé au SGC : 07/11/2006

Dablord avait tenté de défendre sa cause mais le regard du Colonel n'avait pas du tout changé, après avoir trahis le Sg-c comment pouvait-il s'imaginer qu'on puisse avoir encore confiance en lui ? Il avait aussi défendu la cause du NID, prétextant que cette organisation était saine mais que quelques terroristes l'avait corrompu, il voulait alors faire tomber Riedel pour arrêter cette gangrène. Son histoire était plausible, mais à chaque fois qu'on avait entendu parler du NID, c'était en mal...

Le Colonel ne lui avait adressé qu'un regard, aucuns mots n'étaient sorti de sa bouche suite au monologue d'Evans, il fit signe au Capitaine de s'occuper de Dablord puis ordonna au groupe de reprendre la marche, et par la même occasion, la base.

Sheppard poussa légèrement Dablord dans le dos pour le faire avancer, il resta près de lui au cas ou le jeune homme aurait la brillante idée de s'enfuir, il pourrait le neutraliser de suite et ainsi être sur qu'il les avaient bien trahis. Anderson était vraiment dans un sale état, on aurait pu croire qu'il sortait tout droit d'un film d'horreur super réaliste.

Le Colonel avait levé son poing en signe d'arrêt imminent, du bruit venait du couloir adjacent, alors que Sheppard se prépara à une nouvelle attaque tout en gardant un œil sur Dablord, ce fut le Sergent Spence qui montra le bout de son nez. Elle avait l'air en forme, Riedel ne l'avait apparemment pas touché, elle avait aussi l'air de s'être remit de ses émotions quand à sa tentative de viol. Sheppard lui adressa un sourire et quelques mots comme quoi il était ravi de la revoir saine et sauve puis les deux groupes reprirent la marche ensemble.

D'autres bruits se firent entendre et cette fois, il s'agissait bien de quelques hommes du NID, l'échange de coup de feu fut bref, ils étaient plus nombreux maintenant et la lutte était gagnée d'avance. Sheppard fila son Beretta à Anderson et remarqua son visage ahuri à travers le sang qui coulait dessus, apparemment le scientifique n'avait pas la moindre idée du fonctionnement de l'arme, mais le temps n'était pas à la formation au maniement des armes à feu, il pourrait toujours s'en servir pour assommer les méchants.

Arrivé au niveau 27, le Colonel divisa le groupe en deux, Sheppard se retrouva avec Spence, Hale, et bien sur Dablord. Il prit la tête du groupe et se dirigea droit vers le bureau de Riedel, Sheppard se colla contre le mur, prépara son arme et enfonça la porte en espérant y trouver le responsable de tout ce bordel, malheureusement, le bureau était complètement vide.

Bon, ben... J'ai cassé la porte pour rien...

Riedel était introuvable, il se cachait le lâche, tous les mêmes.... Ils savent faire des beau discours, donner des ordres, mais quand le combat commence, il n'y a plus personne. Le groupe reprit alors marche en direction de celui du Colonel pour voir si eux avaient eu plus de chance.

Arrivé au SGC : 26/09/2010

Visiblement, l'intervention du groupe du Colonel Narah en salle de briefing venait de mettre fin à une réunion importante à en croire le nombre d'agent en costume mais surtout leurs têtes. En effet ils étaient tous assez surprit de voir le Colonel ici. Après tous, il pensait que les rebelles étaient contenu plus loin ? Ne c'était-il pas poser de question de la soudaine disparition de Riedel de cette réunion ? Visiblement non, en tous cas, plusieurs cadres de l'organisation du NID, du moins, du point de vue terroriste était la et le groupe de Narah n'allait pas loupé sa.

Alors que le combat s'était engagé, Harold Harplayer gisait déjà au sol, inconscient. Il faut dire qu'il avait été l'un des plus torturés et avait, si on puisse dire, la chance d'être en vie. A cette vision, le Capitaine Sheppard se retourna vers Dablord et lui montra la corps du militaire. Evans comprit rapidement sa mission. Certes, il n'avait pas d'arme mais il pouvait être utile dans d'autre circonstance et dans des compétences qu'il a. C'était également pour lui, une manière de montré qu'il n'était pas un traite et qu'il ne pourrait s'en prendre à des hommes de cette base. Certes, il avait rejoint le NID mais pas le NID de Riedel. Au yeux des militaires, ce n'était pas forcément une chose distinct et Dablord essaya du mieux qu'il peut de les convaincre. Comme précédemment, Anderson était du même avis qu'Evans et proposa d'éviter de mettre en danger le pronostique vital des hommes qui défendait la salle de briefing. Tous n'approuvèrent pas et malgré la cohésion du groupe, tous firent à leurs propres instincts.

Le Colonel Narah et Almie, eux, avaient choisi leurs camps : ils tiraient pour tué et étaient plutôt doué pour sa. Ils éliminèrent rapidement les militaires qui se battaient aux côtés des hommes en costumes avant de se rabattre dans les dirigeants terroriste. L'un deux venait rapidement de comprendre que la fin été proche et que la fuite n'allait pas être si facile. Il posa alors son arme au sol, leva les mains en l'air et se dirigea vers la position du Colonel. Un des hommes du NID le regarda traversé la salle de briefing, il ne pouvait visiblement pas accepté sa et lui tira dessus. Le Soldat Fields tira alors sur cette homme alors que la Sergente Spence s'avança de quelques pas sous couverture de Smith pour tiré l'homme qui venait de se rendre. La balle s'était planté dans le haut de la cuisse gauche. Spence le tira jusqu'au côté de Dablord, qui venait de terminé les premiers soins de Harplayer. La journée des médecins de la base ne fessait visiblement que commençait...

Le combat continuait et tournée rapidement à l'avantage des hommes de Narah. Dans la salle de briefing, il ne restait plus maintenant que six hommes en costume. Bientôt cinq, l'un deux venait de prendre la fuite par l'escalier métallique, vers la salle de contrôle. Dans son coin, Sorrens ne bougeait pas et jusqu'ici n'avait pas été touché par les balles. Elle espérait bien entendu que sa continue et essaya, sans se faire remarqué, d'attraper une arme.

Au même moment, le soldat Kévin Mark arriva dans le couloir, il allait en direction du bureau de Riedel. Il avait quelques questions à lui posé par rapport au projet qu'il menait avec Sherman Cottle. Il ne se doutait pas de ce qu'il s'était passé du côté de Sherman. Celui-ci venait de trouvé la mort. Il arriva confiant dans le couloir et désenchanta vite lorsqu'il entendu des tirs et vit la scène de combat. Il s'approcha de Dablord, voyant en lui un membre important du NID. Avant que Dablord ne puisse dire quelques choses, Léon Smith se retourna vers Mark et pointa son arme sur lui. Dans sa grande insouciance, il dît le fond de ses pensées vis à vis des militaires soutenant O'Neill avant de sortir un 9mm de son dos et de pointé l'arme vers Smith. Dablord essaya de faire le médiateur, mais visiblement, Mark semblait sourd et appuya sur la gâchette. Heureusement, Smith eût le temps d'esquiver la balle qui ne toucha personne avant de tiré à son tour. Spence essaya bien de retenir le militaire, mais tel était le caractère de Léon. Kévin Mark se retrouva au sol, mais ne voulait cependant pas finir ainsi. Il tira alors une nouvelle balle, qui alla se loger dans la cheville droite de Spence. A ce moment là, Nathan Hale retient la Sergente qui venait d'être déstabilisé alors que Smith se chargeait de Mark. Durant ce temps, Sheppard et Fields avancèrent en salle de briefing, s'avançant vers Sorrens qui venait d'abattre un homme du NID. La salle de briefing était maintenant sous contrôle de l'équipe de Narah....

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Sujet: Re: Une rébellion intensifié [Intrigue VI]