Intrigue VI : Descentes au cœur NID

Sujet: Intrigue VI : Descentes au cœur NID 05.02.11 22:35

La réaction de Nathalie face à l’aveu du médecin fit à celui-ci froid dans le dos. Il crut un instant qu’elle allait le foudroyer sur place pour avoir osé démissionner du Programme, et il n’eut finalement, et heureusement, que droit à un ordre, presqu’un supplice… La scène se solda alors par un baiser de la jeune femme sur la joue d’Evans, acculé contre le mur, avant que la silhouette disparût à l’angle du couloir. Le toubib resta sans voix – sans bouger non plus, d’ailleurs. La journée lui paraissait complètement surréaliste… Lui quittait son boulot pour garder encore un semblant de dignité, et elle lui demandait d’aller s’excuser pour obtenir un poste aux fins fonds du Colorado… De toute façon, même si Layer faisait fi de leur petit entrevu, Evans ne pourrait pas pour autant revenir au SGC si son travail consistait à rester à bord d’un Dédale en permanence à quai.

Le voyage vers la liberté ne dura pas bien longtemps. Le docteur Dablord était en effet sur le parking quand le sergent Harriman le rattrapa au dernier moment, le général O’Neill souhaitant apparemment lui parler. Bizarre pour quelqu’un qui ne le soutenait plus vraiment depuis quelques temps… Néanmoins Evans obéit, et suivit donc docilement Walter jusqu’au bureau du grand manitou. Alors, Jack lui exprima son soutien à l’égard de sa conduite la plupart du temps outrancière et anarchique – surprenant -, et lui annonça dans la foulée sa réintégration alors qu’il avait démissionné moins de trois heures plus tôt.

- Vous avez bu, mon général ?

La question fut vite éludée, puisqu’apparemment les aptitudes médicales et militaires d’Evans étaient requises. On avait de toute évidence besoin de lui, puisque le docteur Cruk avait été enlevée…
Le médecin se souvenait d’elle, et ce n’était d’ailleurs pas vraiment de bons souvenirs. La dernière fois, elle s’était cognée la tête contre les ordinateurs de la salle des machines du Prométhée et Dablord avait dû la soigner tout en défendant la pièce. Finalement le lieutenant avait fait exploser le couloir avec une grenade, ils avaient dû échapper à un guerrier Kull à leur poursuite, et le vaisseau s’était crashé… Superbe rencontre, donc.

- C’est non.

Et c’était tout vu, même. Cependant, il y eut bientôt un nouvel élément à prendre en compte : Marie Cruk était aux mains du NID. Evans connaissait parfaitement le sujet, et pour cause : depuis son propre enlèvement sur la planète Leonis il y avait déjà quasiment deux ans, il s’était mis en tête de déraciner toute la mauvaise herbe. A présent, il avait vécu suffisamment de situations en lien direct avec le NID pour pouvoir affirmer que cette organisation et lui, c’était toute une histoire…

- En ce cas, vous pouvez compter sur moi.

Et c’était une nouvelle fois parti pour la grande aventure ! Décidément, à croire qu’on avait plus besoin du militaire sur Terre que dans l’espace…

Evans arriva sur le parking du SGC en moins de temps qu’il en fallait pour le dire. On avait besoin de lui, assurément. Cependant il ne prit pas la peine d’aller s’équiper à l’armurerie ou au vestiaire, alors même qu’il était en costume et que ce n’était peut-être pas le plus approprié pour une enquête poussée au sein d’un trafic incommensurable. Non, si de matériel il avait besoin, il réquisitionnerait ce qu’il y aurait dans le véhicule – puisque de toute évidence il y avait toujours de quoi faire péter une ville dans une voiture gouvernementale.

- Docteur Dablord, enchanté, lança-t-il à ses nouveaux coéquipiers en prenant place dans le véhicule. Attaché, lunettes de soleil sur le nez, il jeta alors un coup d’œil sur ses partenaires : il y avait ainsi le sergent Jonshon, qu’il avait déjà dû côtoyer plusieurs fois dans le passé, et deux recrues, sans doute arrivées récemment. Le bilan de cette rapide analyse allait de soit : tout allait encore partir de travers, comme en novembre… On leur avait à ce moment-là collé deux militaires inexpérimentés, et la mission était devenue une catastrophe, alors qu’Evans avait prévenu le général au moment du briefing. Cette fois allait sans doute être similaire, et rien qu’à cette idée le toubib regretta tout de suite d’avoir accepté. Trop tard : ils étaient déjà partis.

Le voyage vers Denver fut calme et paisible. Evans se serait d’ailleurs endormi si son téléphone portable ne s’était pas chargé de le garder éveillé. Il avait ainsi passé une bonne partie du trajet à regarder ses SMS, prenant évidemment bien soin que l’écran ne fût visible que de lui. Après tout, c’était privé !... et utile, puisqu’il ressortit de la lecture de ces messages considérablement revigoré, et un objectif clairement défini en tête.

Le major Davis fit finalement son apparition. Un mini briefing s’ensuivit, auquel Dablord ne sut qu’esquisser un sourire.

- Vous connaissez la nature de ces planques et leur localisation ? Par expérience, je sais qu’ils préfèrent généralement ou bien les immeubles visibles de tous, ou bien les sous-sols sombres et humides, qui leur servent souvent à relier leur réseau. Tout ça pour dire qu’il est inutile de visiter des endroits où on est sûr de ne pas trouver Cruk. Si elle est blessée – et il y a de grandes chances pour qu’elle le soit –, il n’y a pas une minute à perdre.

Arrivé au SGC : 08/08/2008

Apr_s que le général ait finit de répondre au question de tout le monde sauf celle de Ramirez qu'il n'avait sans doute pas comprit tout comme Dean soit dit en passant. Le briefing plié il fallait s'équiper ! Et oui ! Du coup direction l'armurerie de la base ! Bien que les couloirs et les divers ascenseurs pouvait mené un boulet pareil à la perte notre chère Jonshon trouva son chemin du premier coup ! C'était pas une mince à faire ! Et oui boulet toujours ce mec là! Bref arrivé à l'armurerie il demanda:

- Alors il me faudrait une mp5 avec ses 5 chargeur, un clock, un gilet tactique et un Zat'nik'tel !

Et ben ça rigole pas ! On part en mission mon sergent ?

Vous connaissez la scientifique Cruck ?

Oui, vite fait dirons nous ! C'est pas ce genre de personne qui traine à l'armurerie voyez vous.

Bref....elle s'est fait kidnappé par le NID du coup on va à sa recherche à Denver.

A ok...Tenez vos arme vous voulez quelque chose en plus ?

Un café et du chocolat !

L'homme le regarda un peu bêtement.

Je rigole ! Du scocht et c'est bon !

son équipement fin prêt Dean le mit et partis à la surface ou une voiture les mèneraient à Denver.
Une fois à la surface l'homme monta dans l'engin et attendit ses coéquipier, ses deux coéquipiers avaient l'air d'être des nouveaux, un aubaine... Oh il n'avait rien contre eux mais les missions du SGC étaient de loin plus dur que celle du reste du corps armé du pay... Mais à sa surprise il vit monté le docteur Dablord, un bon mec ! Dean se souvenait de lui, il avait fait avec lui deux ou trois mission. Si ses souvenir étaient bon sa première mission pour le SGC c'était passé dans l'espace avec ces saloperie d'araigné métallique ou le Docteur Dablord avait été présent avec d'autre membres du SGC. Mais c'était pas sur... vous savez la mémoire d'un militaire hein....

Une fois que tout le monde fut dans la tuture Dean prit son scocht accroché à sa ceinture et lia ses munition entre elle. Pourquoi me direz vous ? Tout simplement qu'il trouvait plus facile de retourner le chargeur que d'aller en prendre un dans l'une de ses putain de poche avec leur foutue fermeture à scratch!

Dean Jonshon, mais bon on s'est déjà vus par le passé non?

Arrivé sur place Davis leur fit un petit briefing rapide, après celui-ci Dablord exposa son point de vus. C'était pas bête ce qu'il disait. Il avait l'air d'être bien informé sur cette organisation secréte, Dean vérifia son équipement et attendit le départ pour les entrepôts et autres batiment du NID.

Arrivé au SGC : 02/08/2006

Alors que la voiture fessait toujours route vers la première adresse qu'avait le Major, Evans posa ses questions. Le Major en eût un petit sourire, il s'en doutait venant de Dablord, mais répondit rapidement :

«N'oubliez pas les hangars Dablord, les hangars ! La première adresse est un immeuble inhabité et les deux autres des hangars sur les bords de la ville.»

Le 4x4 noir balisé de l'armée continuait d'avancée dans la ville, sans faire d'excès pour ne pas être remarquer. Alors que le véhicule continuait a progresser et la première cible non loin, le Major donna ses derniers consignes :

«Le chauffeur va nous déposer près de l'entrée de derrière. Moi et Meadow on fera le tour pour rentré par devant sans être vue, vous trois, en montrant Dablord, Ramirez et Jonshon, vous passerez par l'arrière. Ne faite feu que si on vous tire dessus ou si ils essayent de s'enfuir mais éviter tant que possible les blessures graves, on a besoin d'information.»

Moins de deux minutes à la suite de ses déclarations, la voiture s'arrêta et le Major en sortie le premier, suivit rapidement par le reste de l'équipe. Le chauffeur, lui, resta dans la voiture.

Le groupe prit rapidement la direction de la maison et se sépara. Le groupe de Jonshon arriva rapidement devant la porte arrière et se mirent rapidement en place. Le Major et Meadow mirent deux minutes de plus le temps de faire le tour. Une fois les deux groupes devant leurs portent, Davis donna le top et chaque groupe pénétra dans l'immeuble.

Du côté de Paul et Mike, l'entrée se fît rapidement et efficacement. Davis ouvrait la marche alors que Mike la fermait. A deux, ils pouvaient rapidement scruter la zone et visiblement, rien à l'horizon à par une araignée.

Pour l'autre groupe, Jonshon enfonça la porte et Ramirez pénétra la première, suivit par Dablord et Jonshon. Pour eux non plus, pas grand chose. Ils étaient dans une grande pièce, qui n'avait que d'autre ouverture qu'une seconde porte, donnant sur un couloir. L'immeuble avait l'air complètement désert, mais le Major voulait en être sur. Il décida d'aller avec le soldat Meadow au sous sol, alors que l'autre groupe allait visiter les deux étages. L'immeuble était désert et l'équipe allait rapidement pouvoir le confirmer.

[Une semaine pour répondre. Vous pouvez avancée dans l'exploration. Les questions par MP.]

Arrivé au SGC : 13/01/2009

Le major Davis eut tôt fait de compléter les informations fournies par le médecin.

- Exact, il y a les hangars aussi…

Malgré le sourire qui accompagna cette phrase, Evans aurait bien aimé que l’officier se tût. D’une part, il détestait qu’on le contredît, et d’autre part il n’appréciait pas beaucoup la honte apparente qui s’ensuivait toujours après ce type ‘d’oubli’. Une erreur d’ailleurs importante, de toute évidence… Cela allait ainsi contre les pratiques courantes du toubib : la quête de la perfection et le souci du détail. Eh oui, effectivement, il y avait les hangars… Ces saletés d’hangars toujours plus prévisibles les uns que les autres… Le NID se montrerait-il donc un jour compétent dans un domaine, au lieu de se vendre tout seul à tout bout de champ ?! Leur défaut était clair : leur prétention allait les mener à leur perte.

Le véhicule banalisé fourni par l’Air Force progressait. Denver était une grande ville, mais un peu de patience suffisait toujours à vaincre ce genre de problèmes. Néanmoins, parfois, on regrettait que cela aille aussi vite… Parfois, on pouvait vouloir, pour une raison bien étrange, gagner du temps, car c’était toujours ce qui faisait défaut à n’importe qui. Le manque dépendait bien sûr de la situation, mais quelques minutes pouvaient toujours changer bien des choses… Evans imaginait ainsi très bien ce qu’étaient au même moment en train de faire les agents du NID, et il comprenait fort bien que ceux-ci voulussent plus de temps… S’ils arrivaient trop tard, leurs chances de retrouver un jour Cruk – vivante ou morte – s’aminciraient grandement.

Arrivés à destination, le chef d’équipe donna ses instructions. Ainsi Evans allait devoir faire équipe avec Dean et la nouvelle… Mouais, après tout. Du moment qu’elle ne leur tirait pas dans le pied, cela devrait faire l’affaire…
Sorti de la voiture à la suite des autres, le docteur Dablord prit, malgré l’urgence de la situation, le temps d’enlever sa veste et de la déposer sur la banquette arrière du véhicule, à la place qu’il venait de quitter. De plus, n’ayant pas pris la précaution de se munir d’arme ou d’une radio, il alla, avant de passer à l’action, vers le coffre. A l’intérieur, il récupéra un Beretta et quelques chargeurs, une lampe, une radio, et finit bien sûr par s’équiper d’un gilet par balles, qu’il enfila par-dessus sa chemise blanche. « Au cas où », comme on disait si bien – et avec le SGC, il fallait toujours s’attendre à passer au plan B avant même d’avoir eu le temps d’attaquer le plan A.

- C’est bon j’arrive !

Alors que les autres commençaient à s’impatienter, le militaire finit par les rejoindre. Le trio se dirigea alors aussi furtivement que possible vers l’entrée de derrière et, une fois en position, attendit que l’autre groupe fût lui-aussi prêt. Evans était collé au mur, lunettes de soleil soigneusement rangées, son arme pointée vers la porte. Au moindre mouvement, il tirerait à vue.
Le feu vert donné, le sergent Jonhson défonça l’entrée d’un superbe coup de pied et Evans suivit les autres à l’intérieur. Il pointait son Beretta partout, voulant être sûr de ne rien rater ; dans le cas contraire ce serait un bain de sang. Les trois se partagèrent bientôt le rez-de-chaussée, visitant chaque pièce une par une. Finalement un « RAS » général indiqua que personne ne se trouvait là, mais à présent il fallait visiter les étages et les sous-sols.
Le trio de départ commença ainsi à monter les escaliers, lentement, prenant évidemment bien soin à limiter les craquements du bois. Evans était encore en dernier, et lorsqu’ils atteignirent le premier palier il donna une petite tape sur l’épaule gauche de Dean, lui signifiant ainsi qu’il montait pendant que les deux autres inspecteraient l’étage. Dablord se retrouva ainsi bientôt seul, devant faire face à un immeuble désaffecté, insalubre et sombre, même en plein jour… Pourtant, pour une fois, il ne craignait rien. Il avançait paisiblement, sa lampe plaquée contre le canon de son arme, faisant toutefois attention à ce qu’il pourrait découvrir. Et quand finalement il se retrouva face à une fenêtre salie par le temps, il observa calmement la rue.
De sa position, il voyait un immeuble, juste en face. Les passants allaient et venaient, sans faire attention au véhicule banalisé garé sur le trottoir. Quelques bouches d’égout étaient visibles, ainsi qu’une sortie de métro. C’était tout ce qu’il y avait de plus paisible, si on oubliait bien sûr le groupe armé qui venait d’investir un vieil immeuble inhabité.
Une lumière se refléta alors sur la vitre.

- On s’est trompé ! cria-t-il soudainement dans sa radio en commençant déjà à parcourir la distance qui le séparait de l’escalier. Ils sont dans l’immeuble d’en face !

Evans dévala alors les escaliers, pressé par l’urgence et fier d’avoir vu ce que la majorité des gens n’aurait pu distinguer…

Arrivé au SGC : 02/08/2006

Le Major Davis accompagnait de Meadow était en train d'explorer les sous-sols de l'immeuble et jusqu'ici, il n'avait rien trouver. Et visiblement, les deux hommes ne trouveraient rien, ayant fait tous le tour. Ils décidèrent donc de remonté au rez de chaussé. De se qu'il avait pût entendre, un silence plat, le Major pût rapidement comprendre qu'il n'y avait rien dans cette immeuble. C'est ce que lui confirma par radio Jonshon, qui le rejoint rapidement, tous comme Ramirez. Evans était le dernier, le groupe l'attendait et était presque déjà en train de quitter l'immeuble, c'est à ce moment là qu'Evans venait de crier. Aussitôt, toute l'équipe se mit à rejoindre le bas de l'escalier, arme en main prêt à tiré. Alors que Jonshon allait monter la première marche de l'escalier, Dablord descendu à toute vitesse.

Tous le monde le regarda et le Major fût le première à dire : «Vous êtes sur de ce que vous avez vue Dablord ?»

Mais sans vraiment attendre de réponse, l'officier avait déjà donner ses ordres pour sortir de cet immeuble et rejoindre celui d'en face, le plus discrètement possible, en longeant les haies et en passant rapidement au milieu des voitures. Le Major savait qu'il pouvait avoir confiance en Evans, il avait déjà montrer ses preuves et ils étaient donc prêt à aller dans son sens.

Toute l'équipe était de l'autre côté, le groupe se rescinda de nouveau en deux, sur la même base que précédemment. Davis et Meadow prirent l'entrée de derrière cette fois et le reste du groupe par devant. Cette immeuble ne semblait pas abandonner mais pourtant très calme. Il est vrai que cela pouvait porter à confusion. Le Major demanda au groupe d'être prudent, il pourrait y avoir de simple civil.

Le groupe d'Evans, Dean et Chris entra par l'entrée principal, il n'y avait visiblement personne. Après avoir fait rapidement le tour de la première pièce et une seconde, très petite, ils montèrent à l'étage. Au première étage, un petit bruit était entendu. Le groupe s'avança, sur la pointe des pieds, en fessant le moins de bruit, jusque devant la porte, d'où provenait le bruit. C'était comme une sorte de mélodie douce. Jonshon ouvra la porte délicatement et Dablord s'y enfonça et en ressortir rapidement. En effet, en un coup d'œil, il put voir un homme, assez âgé en train de faire la sieste sur un canapé, avec la radio allumé...l'immeuble n'était donc pas abandonner comme il pouvait le pensé.

Du côté du groupe Davis/Meadow, ils entrèrent par la porte de derrière, qui donnait sur une buanderie. N'étant pas bien éclairer, le Major avait laissé la porte ouvert. Outre une machine à lavé, un sèche linge, il n'y avait pas grande chose. Au même moment, Jonshon le contacta pour lui faire part de ce qu'il venait de faire. Le Major leur demanda de continuer au étage suivant, il valait mieux être sur. C'est ce que firent le trio, mais sans grand succès.

Après plus d'une dizaine de minute, le Major se résigna et sorti de l'immeuble, laissant seul Meadow, en train de fouiller les dernières pièces du sous sol. Davis demanda à tous le monde de le rejoindre dehors, par radio. A ce moment là, il vît passer dans la rue, sur le trottoir d'en face, un homme qu'il connaissait. Il ne mit pas beaucoup de temps avant de le reconnaître : Aleksandr Lekaterina. Davis connaissait tous de sa situation, et si il est à Denver, ce n'est pas pour rien. Paul se mit en route vers lui, seul, prévenant le reste du groupe, pour qu'il le rejoignent.

Lekaterina remarqua rapidement la présence du Major et se mit aussitôt à courir et Davis fît de même. En courant près de cinq minutes dans les rues de Denver, en fessant tomber poubelle et autre objet, Lekaterina parvient à semer Davis, du moins, à une rue, il tourna à gauche, le Major fît de même et tomba sur un cul de sac. Lekaterina n'était plus là ? Paul fût rapidement rejoint par le reste de l'équipe. Le Major les mit au courant de la situation. Le Russe n'était pas loin, mais où ??

D'où il était, Lekaterina pouvait les voir. Il ne savait que faire, bien qu'il avait choisi de réglé lui même le compte au NID, il entendait les paroles de Davis : «Aleksandr, nous savons que tu es innocent, nous avons besoin de toi, la vie de Marie Cruk est en danger.»

[jusqu'à Lundi répondre ! Où est Aleksandr ? Donnez vos idées ! Aleksandr, je te dit par MP bien entendu où tu es. Les questions par MP. ]

Arrivé au SGC : 27/12/2006

[HRP : Juste pour préciser pourquoi j'ai pas encore répondu car je n'ai toujours pas eut le fameux MP qui me dit où je me cache. xD Je suis comme vous, je ne sais pas où je me trouve donc, j'espère l'avoir bientôt de la part de notre Paulo si il veut que je réponde.]

EDIT PAUL : Je t'ai renvoyer le MP.

Arrivé au SGC : 13/01/2009

Le médecin dévala rapidement les deux escaliers qui le séparaient du rez-de-chaussée. Il y retrouva alors le reste du groupe qui, pour une raison inexpliquée – et sans doute inexplicable – l’attendait bien sagement. Supers les réflexes !

- Qu’est-ce que vous attendez pour vous bouger ?!

Evans les dépassa en courant, ne prenant pas le temps de s’arrêter une seconde pour tenter de comprendre leur latence autant physique que cérébrale. Il prit alors la tête du groupe vers l’immeuble qu’il avait désigné, se faisant bien sûr le plus discret que possible ; il fallait donc éviter de courir, et simplement trouver le parfait équilibre entre marcher rapidement et faire comme si tout était normal. Ils longèrent une haie, se relièrent à la tête de l’escouade en se positionnant derrière des positions défendables – de simples véhicules, en fait –, et finalement, la distance couverte, ils atteignirent le bâtiment. Le groupe à nouveau scindé en deux, Evans se retrouva avec ses coéquipiers à l’entrée principale pour une exploration des lieux des plus attentives. La progression était lente, et pour cause : il y avait du bruit au-dessus. Ils montèrent un étage ; rien. Au second, un son continu provenant du fond du couloir les alerta. Positionné derrière la porte en cause, Dablord attendit que Johnson eût enclenché la poignée de la porte pour pénétrer le premier à l’intérieur. L’arme du militaire se pointa alors vers un vieillard dormant sur un canapé, au milieu de la pièce.

- Un vieux à douze heures…, signala-t-il à l’attention des autres. Un rapport au major Davis plus tard, ils durent monter au dernier étage, pour finalement pas grand-chose. « Ils ont largement eu le temps de se tirer avant qu’on se pointe », se justifia le toubib lorsqu’il fut évident qu’il n’y avait aucune menace ici. Il fallut néanmoins une dizaine de minutes au chef de groupe pour se résigner à ce fait et ordonner aux autres de le rejoindre en bas, mais quelques minutes plus tard seulement, une information inattendue leur parvint dans l’oreillette : Lekaterina était dans le coin.

- Vous voyez bien que j’avais raison !

Coup de chance, tout simplement, mais c’était un heureux hasard. Le trio se mit donc à nouveau à redescendre les étages du bâtiment plus vite qu’il était humainement possible, et quand finalement ils arrivèrent à l’air libre ils virent au loin le major tourner à l’angle d’une rue en courant. Les deux pros de la gâchette poursuivirent alors eux-aussi les deux fuyards à toute allure, suivi le plus vite possible par le médecin. Bientôt, cependant, un point de côté eut raison de lui, et il se retrouva au milieu d’un quartier pavillonnaire à déambuler sans savoir où il allait. Enfin non, pas exactement : il était plutôt en train de reprendre son souffle près d’une poubelle, réfléchissant à la route qu’avaient pu prendre les autres.
Le docteur Dablord finit tout de même par rejoindre le groupe, grâce à un suivi minutieux de tout le bazar qui avait été jeté sur la voie publique. Il n’eut heureusement pas besoin de s’excuser pour les autres du désagrément causé à ceux qu’il avait croisés dans la rue ; ça aurait été le comble.

- Qu’est-ce que j’ai raté ?

Paul le briefa en une ou deux phrases. Ils se trouvaient dans une impasse, dans les deux sens du terme. Apparemment personne ne savait pas où avait bien pu se planquer Lekaterina. Evans avait quelques mois plus tôt pu prouver l’innocence du russe – la prison puis la fuite étaient un choix, et la décision du général O’Neill délibérée –, mais vu le fil qu’il leur donnait à retordre, Evans avait bien envie de le laisser dans sa merde, voire même de fermer les yeux sur le fait qu’il savait qu’il était innocent. D’ailleurs, il ne l’était plus tellement : « évasion », que ça s’appelait ! Plus bien sûr délit de fuite, et sûrement d’autres délits ou crimes supplémentaires…
En tout cas, l’impasse n’était pas bien compliquée : avec un mur en briques de plus de deux mètres de haut en face d’eux, il n’y avait qu’une seule sortie, qu’ils bloquaient. Il restait ensuite deux immeubles, donc une chance sur deux de se tromper seulement. Heureusement, ils étaient cinq, et le problème allait être vite réglé ! Ainsi, pendant que Davis parlait dans le vide, Evans fit signe à Johnson et Ramirez d’aller dans l’immeuble de droite, pendant que Meadow et lui allaient pénétrer dans celui de gauche. Beretta ressorti, le médecin s’attendait à ce qu’Alek leur posât quelques problèmes, et il était donc prêt à tout.

Arrivé au SGC : 02/08/2006

Le temps que Davis finit de parler, il se retrouva seul, dans l'impasse et n'avait pas tous comprit sur le coup. Le groupe s'était séparer en deux. Paul alla rejoindre l'immeuble à droite, dans lequel Jonshon et Ramirez était en train de visiter. Cet immeuble était habité et les fouilles devaient donc se faire vite et précise, sans déranger le plus d'habitant.

Dans l'autre immeuble, Evans et Mike progressèrent avec le même retenu, fouillant partout, tous en étant le plus sympathique avec les locataires. Aleksandr se trouvait effectivement dans l'immeuble de Dablord et de Maedow. Il était en train de réfléchir. Allait-il se rendre ou bien continuer à vouloir se venger seul ? Il n'en savait trop rien, mais il préféra rester discret, pour le moment, les deux hommes étaient loin de sa position.

Dans l'immeuble de droite, Davis rattrapa rapidement Jonshon et Ramirez. Les fouilles se firent rapidement et Paul avait put obtenir du gardien de l'aide, pour que celui-ci ouvre les appartements, dans lequel il n'y avait personne pour ouvrir. En plus de dix minutes, la fouille fût presque fini. Il ne restait plus que les caves et le grenier. A la suite de cela, ils auraient terminer et visiblement, sans conclusion.

Evans n'avait pas eût autant de chance que l'autre groupe. Il n'avait pas pût compter sur l'aide du gardien, n'étant pas présent. Il avait essayer de trouvé les trousseaux de clés, mais sans réussite. Son porte à porte n'était pas non plus très glorieux et il força le passage plusieurs fois, avec l'aide de Meadow.

Mike en avait mare de frapper au porte et que personne n'ouvrait. De rage et voulant trouvé des réponses, il enfonça une porte. Et peut-être par intuition, il enfonça la bonne porte. Evans pénétra juste derrière son collègue. L'appartement semblait vide, Meadow pénétra dans ce qui semblait être la cuisine, quand Aleksandr sorti de la chambre, 9mm en mains pointer vers Dablord. Mike rejoint la pièce principal et pointa son arme vers le russe, tous en prévenant le Major par radio, dont son groupe, se dépêcha de quitter l'immeuble pour les rejoindre. Pendant ce temps, Dablord essaya de négocier avec Lekaterina.

[Une semaine pour répondre, les questions par MP.]

Arrivé au SGC : 13/01/2009

A force de participer à des traques organisées, le docteur Dablord commençait à avoir l’habitude des méthodes à adopter dans ces situations : enfoncer le plus de portes possibles et tirer sur tout ce qui bougeait en tâchant en même temps de rester le plus discret possible. Ainsi, en entrant dans l’immeuble, Evans repéra vite les obstacles qu’ils allaient rencontrer : non seulement le bâtiment était habité, mais en plus le nombre important de logements constituait autant de cachettes possibles pour Lekaterina. S’ils le loupaient au premier passage, le russe aurait tout le temps de passer dans leur dos et de déguerpir des lieux. Il fallait se montrer vigilent, surtout que leur cible avait l’air de leur être devenue plus ou moins hostile, et donc prête à faire feu.

- Meadow, si t’as Lekaterina en joue et que t’as un doute… Tire, ‘te pose pas de questions. Lui n’hésitera pas à te descendre.

Evans ouvrait la voie. Le couloir n’était pas bien large, peu propice aux combats rapprochés, et s’ils se faisaient canarder il n’y avait pour eux aucune cache possible pour se protéger des balles. Il fallait juste avoir l’œil ouvert… Ainsi, les deux hommes se relayaient au fur et à mesure de leur progression pour fouiller les appartements : l’un s’immisçait dans l’intimité d’inconnus pendant que l’autre montait la garde dans le couloir, histoire qu’Aleksandr ne leur filât pas entre les doigts. Et à chaque fois, ils perdaient un temps fou à se présenter aux locataires et à justifier la présence de l’Air Force en pleine banlieue de Denver… C’en était terriblement agaçant. Le summum fut tout de même lorsqu’une gamine exigeât – ce qui était malgré tout son droit – leur permission de perquisition. Il fallut alors céder plusieurs billets pour pouvoir entrer, le port d’armes à feu ne l’impressionnant apparemment absolument pas.
Néanmoins, un problème de taille se présenta à eux rapidement : certaines pièces étaient verrouillées, et il n’y avait nulle trace à l’entrée d’un quelconque gardien. Y en avait-il jamais eu un ? La tentation de passer directement à la pièce suivante était grande ; après tout pourquoi s’embêter à fouiller des endroits inaccessibles ?

- Il faut qu’on vérifie chaque recoin de l’immeuble. Je te parie qu’il en sait plus que nous sur l’art et la manière d’ouvrir et fermer une porte avec un fil de fer…

Malheureusement, aucune clé à l’horizon. Ca s’annonçait mal.

- Bon, ben il est temps de mettre à profit ton entraînement de super-Rambo.

Et c’était parti pour un défonçage en règle de toutes les portes qui leur résistaient ! Si certaines se montraient encore réticentes, le duo ne faisait alors aucun cadeau à la serrure, qui finissait en morceaux. Pour la discrétion, c’était râpé, mais ils arrivaient heureusement à retenir assez leurs coups pour éviter d’ameuter dans les couloirs tout l’immeuble. Après, il restait bien sûr la possibilité qu’Aleksandr se fût échappé par une fenêtre ou une sortie de secours, mais Evans avait bon espoir qu’il fût encore dans les parages ; en effet, d’après le major Davis, le russe boitait, donc ce n’était peut-être pas le moment pour lui de faire les quatre cents coups…

// Toujours rien de notre côté. // signalait le médecin de temps à autres par radio à l’autre groupe. Comme pour ponctuer cette mauvaise nouvelle, Meadow défonça alors une porte dans un maximum de boucan. Discrétion : zéro. Bien déterminé à lui rappeler le principe fondamental d’une approche ‘furtive’, Evans suivit son collègue, quand une ombre à l’extrémité de son champ de vision l’interrompit, avant même qu’il eut prononcé un mot. Aussitôt il leva son arme, gardant bien en joue l’homme qui venait tout juste de faire irruption dans leur balade urbaine. Retour à l’impasse.

- Honnêtement, je préfère vous voir avec des menottes plutôt qu’un 9mm en main.

Même Meadow de retour dans le salon, et le major prévenu, la situation semblait bloquée. En fait, le russe avait l’air prêt à n’importe quoi, et c’en était d’autant plus dangereux. Son état était pitoyable, sûrement en partie dû au fait que sa jambe portait encore largement les traces d’une blessure par balle, grossièrement pansée.

- Vous n’étiez peut-être pas au courant, lança Evans au bout d’un moment pour rompre le silence, mais nous avons les preuves de votre innocence. Ca fait six mois, en fait. Mais le SGC, et plus particulièrement le général O’Neill, ont tenu à ce que votre problème soit vite étouffé… ‘paraissait que ça évitait une enquête approfondie sur la bonne tenue du Programme… Corruption, respect des protocoles, tout ça… Mais le truc, c’est que vous êtes dans cette merde de votre propre faute, car on avait réuni tous les éléments nécessaires à votre réhabilitation, et c’est vous qui avez apparemment ‘tout avoué’. Bien fait, j’ai envie de dire… Alors maintenant, la situation est un peu délicate, parce que si vous vous rendez on pourra certes vous innocenter, mais depuis vous avez enfreint suffisamment de lois pour retourner en prison pour un long moment, et compte tenu de ce que vous savez sur le Programme, ça sera plutôt du genre sombre cellule au fin fond du Colorado… Mais vous auriez un avantage : comme je suis médecin et qu’on est envoyé par le SGC, je pourrais vous arranger votre jambe en attendant un super hélico dernière génération. Malgré tout, il faut que vous sachiez que la CIS a pris la tête du SGC, donc autant vous dire qu’ils ne feront qu’une bouchée de votre cas.
A côté de tout ça, vous avez une seconde option, que je suis sûr que vous prendrez : fuir, mais ça ne règlera aucun problème. Vu votre état il y a fort à parier que vous avez aussi quitté le NID, donc vous serez seul contre tous, à tenter de survivre entre deux feux. Alors évidemment, nul doute que vous arriverez facilement à semer le major Davis, Johnson et Ramirez, mais avant vous devrez nous neutraliser. Je pense que vous en êtes capable. Largement. Mais médecin ou pas, je n’hésiterai pas à vous abattre si vous bougez. Posez donc immédiatement votre arme à terre et allongez-vous à plat ventre les mains sur la tête !

Même avec un gilet pare-balles, si Lekaterina faisait feu, il y avait trois chances sur quatre pour que la balle atteignît sa cible. C’était donc risqué, mais avec ce genre d’individus il valait mieux se montrer ferme tout en ayant une roue de secours. A présent, même si la radio crépitait sans arrêt pour les tenir au courant de la progression des renforts, la balle était – littéralement – dans le camp russe. Malgré tout, le discours d’Evans n’était pas une suite de paroles en l’air : au moindre geste, il tirerait.

- Posez tout de suite votre arme ! Obéissez !

Arrivé au SGC : 27/12/2006

Aleksandr n'avait pas répondu aux paroles du Major Davis. Personne ne pouvait l'aider et encore moins le SGC. Le russe avait fait des trucs pas net, certes qu'il restait encore à prouver que c'était bien lui. Enfin bref, Aleksandr était dans un coin, ne bougeant pas de la pièce. Il réfléchissait à la situation actuelle et comment s'en sortir sans trop de dégâts. Pour le moment, la meilleure solution restait à attendre bien sagement et les laisser partir. De toute façon, ils ne pourront pas entrer ici étant donné que l'appartement était vide.

Le russe se posa contre un mur de la pièce vide, observant sa jambe douloureuse. Il lui fallait vraiment des soins mais il ne pouvait se pointer comme ça à l'hôpital. Il serait bien aller voir Eiden mais l'ex-membre du SGC ne voulait pas lui causait trop d'inquiétude, surtout après lui avoir dit qu'il savait ce qu'il faisait. Donc arriver avec une balle dans la jambe n'était pas le meilleur moyen de la rassurer. Aleksandr n'avait plus qu'à aller voir une vieille connaissance à lui, ce n'était pas un médecin mais il connaissait les bases. Enfin, il faudrait déjà qu'il arrive à sortir de cet immeuble et à marcher jusqu'à chez son ami et là, c'était une autre histoire.

Soudain, du bruit dans le couloir, visiblement, ses poursuivants étaient dans l'étage. Le russe pu entendre un vieux gueuler sans trop comprendre les paroles. Il entendait également qu'on frapper à des portes mais la plupart du temps sans réponses. C'était une bonne chose pour Aleksandr, il n'aura qu'à ne pas répondre et à attendre qu'ils partent bien sagement. Mais visiblement, le sort était contre lui aujourd'hui. Quelqu'un défonça littéralement la porte de l'appartement où se trouvait le russe. L'ex-membre du SGC se releva, observant les individus pénétrant dans l'appartement. Il reconnu immédiatement Evans avec sa tête de blondinet. Le russe n'appréciait pas forcément ce type. C'était le genre de gars à avoir fait des études et à péter plus haut que son cul. Quand au deuxième, Aleksandr ne l'avait jamais vue, surement une nouvelle recrue du sGC.

Bon, deux types sûrement à sa recherche, la situation se compliquait un petit peu. Le russe devait agir et son choix se porta par l'effet de surprise. Au moins, ils s'attendront pas à le voir surgir d'un coup. Ainsi donc, Aleksandr sortit de la chambre et pointa son arme vers celui qui était le plus proche de lui, c'est à dire Evans. Malheureusement, celui ci se tourna à une rapidité qu'on pourrait croire qu'il était bourré à la caféine. Les deux hommes se pointèrent de leur arme respective et rapidement, l'autre type du SGC arriva et mis en joue Aleksandr. La situation ne tournait toujours pas en faveur du russe qui voyait là une journée de merde se dessinait. Le Doc prit la parole et raconta tout un blabla sur le fait qu'ils avaient des preuves de son innocence, qu'il avait fait le con et que maintenant, il était grave dans la merde. Mais Evans ne savait pas que le russe l'avait fait pour ses frère d'armes, des gens qu'il avait enroulé dans cette affaire dont ils étaient pour rien. Le russe ne voulait pas avoir leur mutation ou pire sur sa conscience et avait décidé de plaider coupable. Mais cela, la fraternité, ça devait dépasser de loin le pauvre Doc.

- Vous parlez de chose qui vous dépasse complétement. Vous ne connaissez pas la vrai nature de cette histoire. Si j'ai avoué, c'est pour protéger des amis, mes compagnons d'arme que j'ai mêlé à cette histoire alors qu'ils y avaient rien à voir. Je ne pouvais pas me permettre de voir leur carrière gâcher juste pour mon égoïsme... Je ne sais pas comment vous fonctionnez Docteur Dablord, mais moi, je laisse pas mon travail prendre le pas sur mon amitié...
Maintenant je vous le dis, je ne baisserai en aucun cas mon arme. J'ai encore une histoire à régler et je franchiserai cette porte quoiqu'il arrive. Vous devez me connaître Docteur pour m'avoir étudié durant votre enquête pour m'innocenter, je ne baiserai pas mon arme... Alors poussez vous, je ne voudrais pas à avoir tuer deux hommes du SGC.

Dans cette confrontation, Aleksandr n'était vraisemblablement pas en position de force et aucun doute sur le fait qu'Evans l'avait remarqué. Des renforts qui n'allaient pas tarder à arriver et deux hommes qui le pointe de leurs armes. Le russe allait sortir de cette situation avec sûrement une balle de plus dans le corps... Espérons qu'elle ne soit pas fatal.

Sujet: Re: Intrigue VI : Descentes au cœur NID