L'ascenseur s'arrêta au niveau 27 et Rodolph Layer en sortie. Ce matin, il était arrivé au SGC de très bonne heure, puisqu'a sa montre, il n'était même pas encore 7h et avait fait exprès de prendre ce rendez vous à cette heure là avec le Général. Il marcha doucement dans le couloir, un petit sourire aux lèvres. Il s'arrêta devant la porte du bureau du Général et toqua. Le Général O'Neill fît entrer l'agent du CIS et leurs entrevue commença. Une entrevue dont le Général n'aurait pût jamais imaginé. Celle-ci dura plus d'une heure et se termina lorsque Layer se leva de sa chaise.

Rodolph Layer quitta le bureau du Général et posa sa mallette sur la table de briefing de la base, en attendant un futur bureau. Il descendit ensuite jusqu'en salle de contrôle et mit les agents techniques au courant de la nouvelle situation au SGC, avant d'ordonner au Sergent Harriman de réunir tous les membres de la base dans la salle d'embarquement immédiatement. Walter regarda Layer se demandant bien si c'était une blague ou non, mais du le faire lorsqu'O'Neill arriva et lui fît un signe de tête. Ainsi, les hauts parleurs se mirent en route :

Tous le personnel militaire et civil de la base est demander immédiatement en salle d'embarquement. Je répète, tous le personnel militaire et civil de la base est demander immédiatement en salle d'embarquement.

Cette annonce bouleversa complètement le programme de chacun. Certains s'entrainer, d'autre dorme encore, vue l'heure assez tôt qu'il est -8h00-. Tous le monde dût donc quitté ses activités et/ou se mettre rapidement en tenu adéquate pour rejoindre la salle d'embarquement. Tous le monde réunit en même temps, ce n'était pas commode à Cheyenne Mountain et une mauvaise chose devait surement avoir lieu. En attendant, la masse affluente vers la salle de la porte se fît difficilement dans certains secteurs, avec des couloirs très remplit et donc une allure faible, provoquant des embouteillage. Heureusement qu'il n'y a pas d'invasion à ce moment là certains se disent en rigolant, mais tous se demander ce qui se passer réellement.

En plus de dix minutes, presque tous les membres étant présent dans la base furent réunit dans la salle d'embarquement. A ce moment là, alors qu'O'Neill se tenait debout derrière la baie vitré de la salle de contrôle, Rodolph Layer arriva à son tour au milieu du personnel et eût du mal à se crée un chemin jusqu'à la passerelle métallique. Il monta dessus pour ainsi être en hauteur et avec une petite appréhension de ce qu'il va dire et l'effet que sa aura, il racla sa gorge pour prendre la parole.

«Bonjour à tous.»

Ses quelques mots, seuls les premiers rangs l'avaient entendu. Il devait monté la voix, il n'avait pas le choix.

«Bonjour à tous. Pour ce qui ne me connaissent pas, je suis Rodolph Layer, agent de la commission international de surveillance. Mettant une petite pause, il regarda tous le monde de gauche à droite et il sait, que se sera dur de s'entendre avec les militaires, qui resteront fidèle à O'Neill, mais il espère pouvoir compter rapidement sur les civils. Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour vous permettre de continuer le projet porte des étoiles. En effet, la commission trouve qu'il y a eût trop de débordement ces derniers temps et ce programme est donc menacer de fermeture. Cette annonce laisse un blanc de quelque seconde avant de faire des petites discutions entre membre. Layer reprit la parole et dît : Mais si je suis ici, c'est pour remettre ce programme en ordre. Je suis donc ici pour assister le Général O'Neill. Plus aucune décision ne sera prit sans mon accord. J'espère pouvoir compter sur le soutien de tous.»

Une annonce qui mit sous le choc tout le monde, plaisant à certains et révoltant complètement d'autre. Ainsi, un broua monumental se fît entendre allant du commentaire de chacun.

De l'autre côté de la baie vitré, le Général O'Neill se tient debout et regard la scène, sans rien dire. Il a bien essayer dans son bureau de négocier avec Layer, avec le pentagone et il a même décrocher le téléphone rouge, le reliant directement au Président. Mais rien n'a y faire, il doit se plier au ordre, soit disant pour le bien de la base. Ce qu'il ne pense pas bien évidament.

Le téléphone de la salle de contrôle sonna et un technicien décrocha. Il se tourna ensuite vers O'Neill et dît :

«C'est pour vous mon Général.»

Le Général prit le téléphone et dit :

«O'Neill, j'écoute.»

De l'autre côté du téléphone, un militaire du SGC. Celui-ci étant en sortie avec la scientifique Marie Cruk, il lui servait de chauffeur. La voiture a été victime d'une attaque de deux 4x4 noir balisé. Dans le combat inégale, la jeune femme a été enlevé et lui blesser, mais laisser sur place. Qui pouvait bien vouloir la peau de Cruk ? Du moins, O'Neill se dit plutôt, qui voudrait atteindre le SGC au travers d'un de ses membres ? La réponse qu'il eût fût instantané et assez logique, le NID.

Qu'allait faire le Général maintenant ? Intervenir seul, en cachette de Layer ou bien prévenir l'agent, comme il lui a été demander de faire ? Seul lui, à les clés en main...


[Un petit début d'intrigue, une semaine pour répondre. Les questions par MP.]

« Tout le personnel militaire et civil de la base est demandé immédiatement en salle d'embarquement… »

Les premiers mots de l’annonce réveillèrent en sursaut Matt Eversman qui dormait paisiblement dans ses quartiers, par reflexe il se rallongea sur son lit douillet croyant que c’était surement un rêve et surtout bien décidé à pioncer encore un peu. Il bascula sur le coté, ferma les yeux prêt à se rendormir quand l’annonce fut diffusé de nouveau.

« Je répète, tout le personnel militaire et civil de la base est demandé immédiatement en salle d'embarquement. »
« Et merde… »

Cette fois, le Ranger avait compris les termes de l’annonce de Harriman, il soupira avant de tendre la main en direction de la table de cheveux tâtonnant plusieurs secondes avant de trouver sa montre afin d’y lire l’heure avec l’impression qu’il était encore bien tôt. 8h. C’était une heure relativement raisonnable normalement pour un réveil sauf qu’il avait participé à une petite réunion des fans de consoles de jeux la veille au soir et qui s’était donc fini à l’aube quand les joueurs avaient du mal à distinguer leurs personnages ou avaient des crampes dans les doigts notamment les pouces.
L’idée de se faire porter pâle lui vient à l’esprit, il pourrait toujours prétendre une gastro où quelque chose comme cela mais si il était le seul à ne pas s’y rendre, cela ne le faisait pas. Déjà les bruits de porte claquant se faisaient entendre, certains étaient déjà sur pieds et tout en se maudissant intérieurement il dégagea un pied des draps suivi difficilement d’un autre. Tel un zombi, les yeux peu ouverts, Evers alla jusqu’à la salle de bain faisant couler l’eau froide avant de mettre ses mains en creux afin de la recueillir puis baissa la tête. Le contact eut au moins le mérite de le réveiller un peu plus afin d’entreprendre lentement d’enfiler quelques vêtements, pas certains qu’on puisse se pointer au rassemblement en boxer.

Après quelques tentatives d’enfiler les manches de sa veste à la place de son pantalon, il était finalement prêt enfin tel que l’on pouvait l’être après 3-4h de sommeil. Celui-ci prit la direction de la salle d’embarquement et quand il y arriva les 9/10 de l’effectif voir plus étaient déjà présent. Matt parvient à se faufiler à l’intérieur jusqu’à s’adosser au mur en béton, au moins il aurait un appui et c’est à ce moment là qu’une personne prit la parole. Ce dernier le chercha des yeux quelques instants avant de remarquer un demi crâne sur la passerelle métalique et ne put s’empêcher de lâcher à l’annonce du nom.

« Oh non… »

Plusieurs personnes se retournèrent vers lui, intriguées tandis que l’autre continuait et le Ranger ne put s’empêcher de se sentir viser dans les différents débordements mais l’autre continua jusqu’à annoncer la mise sous tutelle d’O’neill puis espérer le soutien de tous.

« Tu peux toujours rêver, Layer. »

Il n’était pas en bon terme avec ce membre du CIS et pour cause celui-ci avait cherché par tous les moyens de le coincer afin d’obtenir son renvoi du Stargate Command donc Matt n’allait certainement pas lui obéir contrairement au Général qui lui avait mérité son respect, pas comme l’autre planqué. Les conversations commencèrent, chacun s’exprimant à ses voisins et un binoclar tenta de lui partager son point de vue mais comprit qu’il ne valait mieux pas pour lui d’un simple retard.

« Bon bah moi, mon lit m’attend. »

Il parlait plus pour lui-même que pour informer ses voisins mais bon il était un peu trop fatigué où même bien réveillé pour percevoir vraiment ce que cela voulait vraiment dire ce genre de commandement. Eversman dû de nous se frayer un passage quitte à jouer un peu des coudes bien décidé à retrouver son lit.

Il était pratiquement huit heures quand j’ouvris la porte des escaliers donnant sur le niveau -21 du SGC, réservé au secteur médical. Depuis quelques temps je m’étais contraint à emprunter les escaliers plutôt que les ascenseurs. Je trouvai que c’était un bon moyen de s’entretenir un peu, en plus des heures de sport obligatoires. Cela m’évitait également l’attente parfois interminable devant des portes d’ascenseurs restant désespérément closes, et même si je n’allais pas plus vite, le fait de bouger m’en donnait l’illusion.
Débouchant sur les couloirs menant à l’infirmerie, je pressai le pas pour ma prise de poste, quand les hauts parleurs crépitèrent une ou deux secondes, annonçant un message imminent :

« Tout le personnel militaire et civil de la base est demandé immédiatement en salle d'embarquement. Je répète, tout le personnel militaire et civil de la base est demandé immédiatement en salle d'embarquement. »

Je m’arrêtai au beau milieu du couloir à l’écoute de cette annonce, comme pour mieux la digérer. Je n’étais pas bien ancien au sein du SGC mais je savais que cette annonce n’avait rien d’ordinaire.

*Tout le monde ? Qu’est ce qui peut bien se passer pour rassembler tout le personnel de la base ?*

Sortant de mes pensées, je m’aperçu que la plupart des personnes dans le couloir autour de moi s’étaient également figées, et certains se lançaient des regards plein d’interrogations. Puis il y eu comme un mouvement général, toutes les portes de l’étage semblant s’ouvrir de concert pour déverser des flots de personnes. Je crus distinguer le docteur Andrews, et tentais de la rejoindre mais je la perdis de vue dans le flux ininterrompu et grossissant de cette marée humaine. L’afflux de personnes se massant aux portes des ascenseurs me fit faire demi-tour, et j’entrepris de descendre jusqu’à la salle d’embarquement par les escaliers.

A chaque niveau plus profond, nous nous trouvions plus nombreux à avoir eu la même idée, et c’est légèrement en sueur que j’atteignis enfin la salle d’embarquement, sept niveaux plus bas. Vu la foule qui s’y amassait déjà, je compris que j’arrivai parmis les derniers. L’ambiance semblait tendue et chacun semblait y aller de sa théorie quant à ce rassemblement extraordinaire. Alors que je cherchais du regard un visage connu, un homme en costume-cravate qui était monté sur la passerelle prit la parole et s’adressa à nous :

« Bonjour à tous. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Rodolph Layer, agent de la commission internationale de surveillance… »

Mes sourcils se froncèrent.

« Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour vous permettre de continuer le projet porte des étoiles. En effet, la commission trouve qu'il y a eût trop de débordements ces derniers temps et ce programme est donc menacé de fermeture. »

Un murmure se propagea à travers la foule rassemblée. Je restai silencieux, curieux d’entendre la suite. Car il ne pouvait qu’y avoir une suite : il avait annoncé une menace de fermeture, pas une fermeture immédiate. Autour de moi cependant, les échanges entre les personnels de la base montaient en intensité.

« Mais si je suis ici, c'est pour remettre ce programme en ordre. Je suis donc ici pour assister le Général O'Neill. Plus aucune décision ne sera prise sans mon accord. J'espère pouvoir compter sur le soutien de tous.»

*Mmh… En langage de bureaucrate « mettre de l’ordre » = faire le ménage... Et si c’est toi qui décide de tout, c’est plutôt O’Neill qui sera l’assistant en fait…*

Voilà qui mettait un terme aux tergiversations : ce type n’était pas là pour fermer quoi que ce soit ici, mais plutôt pour en prendre le contrôle exclusif. J’eus soudain la désagréable et révoltante sensation de devenir un pantin animé par des ronds-de-cuir n’ayant aucune véritable expérience de ce que nous faisions ici. La marge de manœuvre du SGC était déjà fixée par l’autorité du Président, mais si des bureaucrates venaient interférer entre lui et nous, quels seront alors nos moyens ? En cette période de rigueur économique, ce changement de direction pouvait impacter fortement tout le programme, tant civil que militaire. Y’aurait-il des restrictions ? Des réaffectations voire des révocations ? Quelle sera la nouvelle politique diplomatique, budgétaire, ou encore humaine, de ce Layer ?

Ce dernier ne sembla pourtant pas décidé à nous en dire plus, et je m’abstins de poser des questions. L’armée, et ses dirigeants, n’ont jamais aimé que ses soldats cherchent à comprendre ; obéir aux ordres sans réfléchir, quelques officiers m’y avaient personnellement et ouvertement invité dernièrement. Mais comme à mon habitude, je déclinai silencieusement l’invitation. Quittant la salle d’embarquement, je lançai un regard par delà l’épaisse vitre de la salle de contrôle, vers le général O’Neill qui observait, immobile, la scène. S’il avait regardé dans ma direction, je me serai mis au garde à vous et l’aurai salué, lui réaffirmant mon allégeance. Si nous avions à choisir un camp, mon choix était fait.
Sur le chemin qui me ramena à l’infirmerie, ce fut cette fois une foule de questions sans réponses qui me tinrent compagnie.

Chris était arrivé il y a trois jours à Colorado Springs.Elle avait choisi de s'installer en plein centre vilel de manière à ce que sa fille puisse avoir accès plus facielemtn aux réseau de bus, à l'école, et bien évidemment à tout les autres choses d'importances comme l'hôpital.Elle n'était qu'à 9 kilomètres de la base à peine un quart d'heure en voiture qui se transformerait peut être en une grosse demi heure à l'heure de l'embauche ou de la débauche.Mais il y avait peu de chance qu'elle soit pris dans ce de bouchon, les horaires des soldats n'étaient pas ceux d'un employés de bureaux ou d'un ouvrier d'usines.Deux jours pour s'installer, incription à l'école, trouver une babysiter, un médecin traitant, faire des courses, et tout ces petites choses qui même si elles n'en ont pas l'air se montre chronophage au possible.Le jour J pour Chris était donc arrivé sans même qu'elle ait eu à l'apréhender.Au petit matin elle prit donc la voiture pour déposer sa fille à l'école et se rendit à la base de cheyenne mountain.Cette dernière était encastrée dans la montagne, et on y entrait par un tunnel immense.Rapidement Chris eut à montrer ses accréditations qu'on lui redemandaient à chaque poste de contrôle et des postes de contrôle ils devaient y en avoir tout les cents mètres.Le complexe souterrain semblait sans fin, c'était plus qu'impressionant elle avait du mal à concevoir qu'on puisse construire une pareille base.La question qu'elle se posait c'est qu'est ce que tout ça pouvait bien cacher.Il y avait le Norad mais il devait y avoir d'autres choses on ne l'avait pas fait venir juste pour faire de l'analyse.Parce que si c'était le cas il y avait un gars qui s'était complétement trompé sur ses compétences.

En arrivant à son sixième poste de contrôle on vint enfin la chercher et on commença à lui expliquer le but de cette base.Mais l'officer de l'armée de l'air qui était venu la chercher tournait autour du pot ce qui avait le don d'énerver Chris qui comme tout bon rangers avait l'air force en bien piètre estime.Toutefois elle s'efforça de garder son calme, se faire remarquer de cette manière n'était pas digne d'un rangers sans parler que c'était son premier jour dans cette nouvelle base et qu'elle ne savait pas de quoi il en retournait exactement.Une fois dans une sorte de salle de brieffing donnant sur une drôle pîèce avec un grand cercle dans un métal sombre on lui expliqua plus en détails de quoi il retournait.

Chris mis quelques minutes secodnes à accuser le coup.Cet anneau métallique servait à faire voyager dans l'espace des humains pour qu'ils se rendent sur d'autres planètes pour qu'ils les explorent.Durant ces explorations ils étaient tombés sur des aliens pas du totu sympathiques et maintenant on était en guerre avec eux pour éviter qu'ils ne réduisent en esclavage la terre.Une histoire de fou en d'autre termes mais ce qui fut le plus foux c'est quand des hommes pénètrérent dans la salle d'embarquement et que les deux anneaux se mirent à coulisser l'un sur l'autre dans un un bruit d'enfer comparé au silence qui avait précédé la séquence.Dans un flash d'énergie et de lumière le vortex s'ouvrit laissant sans voix chris.Elle ne savait plus troo quoi dire mais maintenant elle n'avait plus de doute sur la véracité de ce qu'on venait de lui dire.Chris comprit mieux ce qu'on lui avait dit.Des opérations extérieurs mais en étant quand même plus souvent à la maison.C'était vraiment une aventure formidable pour laquelle elle avait signé mais une fois passé la première euphorie, elle se souvint des mots de l'officier sur les aliens.L'officier lui fit signe de s'asseoir et elle passa la journée à visionner des vidéos sur le programme Stargate et à lire des rapport de missions pour qu'elle puisse se faire une idée ce qu'on pouvait attendre des équipiers SG.Le soir même elle était rentré chez elle avait retrouvé sa fille, dans leur grand appartement de colorado springs.

Le lendemain à la première elle se présenta à la base avec toute ses accrèditations d'équipiers SG et cette fois ci le temps passé au différetns postes de contrôle fut au bas mots divisés par deux.Alors qu'elle arrivait dans les niveaux les plus souterrains de la base elle entendit les hauts parleurs demandaient à l'ensemble du personnel de se rendre dans la salle d'embarquement.Chris ne connaissait pas bien la base, mais trouver la salle d'embarquement n'était pas bien difficile il suffisait de suivre l'ensemble du personnel.Chris observait les gens qui l'entouraient, et qui pour la plupart la dominait en taille sans aucun soucis, et elle put voire des gens venus de tout horyzons en même temps quoi de moins étonnant dans un projet de cette sorte.Une fois rendue dans la salle d'embarquement elle put voire qu'il y avait pas autant de monde qu'elle l'aurait cru dans une base qui semblait aussi grande que l'état du colorado.Des visages se tournaient vers la salle de commande Chris se tourna également dans cette direction pour remarquer un homme qu'on lui avait présenté comme le général O'neill.C'était lui qui commandait la base, elle n'avait pas convoqué dans son bureau pour un qulequoncque entretien, elle l'avait jsute croisé avec l'officier qui l'avait accompagné la veille.Mais que faisait il derrière cette vitre blindé?Apparemment elle n'était pas la seule à se poser cette question ce qui était encore plus étrange.Peu de temps après un homme aux allures de comptables vint se présenter à l'ensemble du personnel.Il les informaient qu'à partir de maintenant il serait le curateur du général O'neill et qu'il entérinerait tout ses ordres.Il allait de soi que cela ne plaisait pas à Chris pas plus qu'aux autres militaires.Elle ne s'était pas engagé pour obéir aux ordres d'un comptable.Un commandement partagé et un commandement sans pouvoir.Ce comptable n'avait pas les épaules pour assumer une telle charge que de commander, il ne faisait donc aucun doute sur sa fonction.Opérer des coupes budgètaires là ou cela ne s'avérait pas vitale.Mais de par expérience chez les rangers Chris savait que tout était d'une importance cruciale pour un commando, surtout quand il devait se rendre en territoire hostile.

Mais quoi qu'il en soit Chris en connaissait trop peu sur le SGC, et sur la situation actuelle pour se permettre de réagir n'importe comment.Elle prit donc le parti de réagir comme le plus grand nombre de manière à rester la plus discréte possible.Et puis cela lui permettrait de pouvoir continuer à se renseigner et de choisir son camps en connaissance.Cette façon de faire lui rapellait la devise de l'école des officiers français."Ils s'instruisent pour vaincre".Un rangers devaient autant en avoir dans le crâne que dans le pantalon, et dans les bras.Se mélant à la foule à l'aide de son gabarit qui passait plus facilement inaperçu au milieu des soldats elle suivait le mouvement que la foule des équipiers avaient commencé à amorcer.

Le personnel du SGC ? En entier ? C'était pas une mission... Sinon le Général aurait demandé le personnel actif. Peu importe ce que c'était, ça puait cette histoire. Le gradé sortit de sa douche, prit à peine le temps de se sécher, s'habilla d'un treillis noir, T-shirt noir, rangers et d'une ceinture ou était attachée un couteau de combat, il ouvrit la porte de ses quartiers ou Almie l'attendait, il mit le holster contenant un Sig Sauer 2022 à sa cuisse et entreprit de trottiner jusqu'à la salle d'embarquement. Des gouttes d'eau lui coulaient sur le visage et la nuque, comme s'il avait couru le marathon. Lorsqu'il arriva dans la salle, beaucoup de personnes étaient déjà là et comme le gradé pouvait le penser; tout le personne de la base ne pouvait pas tenir juste dans la salle d'embarquement. Déjà, le personnel actif c'était limite, alors tout le monde... C'est pas le Général qui avait du demander ça, si ? Il salua d'une poignée de main Devans et Dugan avant de prendre place, près de l'escalier, Almie à ses cotés. Cet homme, il le connaissait par son dossier mais ce qui le dérangeait, c'est qu'il était du CIS. Le gradé fronça les sourcils et chuchota quelques mots à sa protégée qui se faufila dans les rangs, à la recherche des Black Eagle.

Le petit discours du gratte papier embrasa la colère du français qui serra les poings, pour témoigner son mécontentement, accompagné d'un regard noir envers la source du problème. Ils voulaient se la jouer salopard ? Lui aussi pouvait jouer et il n'avait que rarement été mit en échec et jamais par des bureaucrates et leur force plus que navrante. Lorsqu'un brouhaha monta dans la pièce, Menchu prit la parole.

« Alors c'est ainsi, maintenant ?! Le silence se fit. Puis-je savoir pourquoi vous venez cracher vos conneries ? Ça vous fait bander d'avoir l'illusion d'une quelconque autorité ? Vous n'en avez aucune ! L'autorité passe par le respect et vous n'en avez aucun, nous ne vous en témoignerons pas non plus, soyez-en assuré. Vous venez jusqu'au cœur du SGC pour insulter notre meneur, l'homme qui nous a toujours mené vers la victoire. Le français desserra ses phalanges douloureuses. Jamais je ne vous obéirais ou me plierais à vos décisions, ni mes hommes. Cette base est assez enfouie sous terre pour être un tombeau, tâchez de ne pas l'oubliez. »

Lors de sa dernière phrase, le gradé monta sur la passerelle métallique à son tour, se plaça volontairement devant Layer pour l'occulter totalement de sa large carrure et prendre la parole d'une voix forte.

« Que les civils reprennent leurs activités, pour les militaires... Restez sur le pied d'guerre, nous avons un nouvel ennemi déclaré. »

Il descendit de la passerelle en ignorant Layer, il alla vers les Black Eagle presque tous présents, il les salua d'un signe de tête. Il était visiblement en colère.

« Gardez tous une arme près de vous, la situation pourrait vite dégénérer avec le CIS et je n'sais pas comment les choses vont tourner. Je vais allez voir le Général. Eversman, pas le peine de penser à te recoucher. »

Un sourire, et le gradé s'en alla voir son unique supérieur dans cette base. Il grimpa les marches quatre à quatre pour le rejoindre, dans la salle de briefing. Il fallait faire quelque chose.


(Désolé pour la qualité, j'ai perdu la main.)

Alors que tout le monde allait se disperser gentillement pour aller vaquer à ses occupations, un homme pris la parole.Ce qu'il avait à dire était on ne peut plus clair.Il n'était pas d'accord avec ce que venait de dire le comptable qui avait mis sous curatelle le général O'neill.La façon dont il le disait était absolument inaproprié à la situation et ne fairait que déservir le général tout en apportant de l'eau au moulins du comptable qui avait parlé de débordement inacceptable.Le lieutenant-colonel parlait avec un accent latin, italien ou français, et Chris se retint de peu de pouffer d'exaspération.Le comptable n'avait pas insulter le général O'neill.Comme tout le monde il répondait à une hiérarchie, et devait se plier à ces exigeances.Par contre le lieutenant-Colonel lui avait clairement insulté le comptable sans prendre de gants.L'autorité passait par le respect, c'étit totalement vrai.Mais on ne demandait pas un soldat de respecter ses supérieurs en tant qu'homme mais de respecter le grade et la fonction qu'ils représentaient, il en était de même pour les fonctionnaires civils ayant une autorité plus ou moins importantes sur les militaires.Chris n'aimait pas ce genre de soldat qui pensait que le chef c'est celui qui gueulait le plus fort ou qui avait tué le plus d'ennemi.Dans les forces spéciales on se remettait sans cesse en cause on partait du principe que rien n'était jamais acquis, que tout était perfectible.

Le lieutenant-Colonel qui se prenait pour Rambo ordonna donc à tous de reprendre leurs activités.Mais en quoi cet ordre était légitime?En rien en fait.Pour ne pas tomber sous la tyranie du CIS le lieutenant-colonel avait instauré la sienne.L'homme portait l'insigne des Blacks eagle.Elle avait lu à quoi cela correspondait dans un dossier et sur le coup elle avait immédiatement à la société militaire privé Blackwater qui s'était illustré par de sanglants carnages entre autres en Irak.Il était du genre à faire partie de cette société et si il en avait fait partie cela n'aurait pas étonné Chris.Ca ne serait pas la première fois qu'un militaire à la forte soif de sang et à la moralité douteuse choisisse de prendre un congé pour aller faire des extras.Il n'y avait qu'à regarder son groupe pour sentir la barbouse à plein nez.Il y avait un militaire déjà équipé de son couteau, d'un pistolet d'un fusil d'assaut.Pourquoi était il venu équipé de la sorte?Certainement parce qu'il était de ce genre de psychotique à ne jamais quitter ses armes et à les garder à portée de main quand il prenait sa douche, à mettre son pistolet sous son oreiller.Encore l'un des fameux débordements auxquels le comptable avait voulu faire allusion.

Chris décida ne pas obéir à l'ordre du lieutenant-colonel.Si le général avait voulu donner cet ordre il l'aurait fait, il était un grand garçon, et tout le ordres devaient entérinnés par le CIS.Si le président des états unis ena vaient décidés ainsi, c'était qu'il y avait une raison.Ne pas se plier à cette décision c'était remettre en cause un ordre venant de la plus haute autorité militaire des états unis, son président.Chris attendit donc calmement pour voire ce que le comptable aurait à dire sur l'incident.Si il décidait de faire mettre aux arret le lieutenant-colonel et en manquerait pas de se mettre en avant pour l'arrêter.Les rangers étaient et se devaient d'être un exemple de courtoisie et elle ne dérogerait pas à son serment pour un lieutenant-colonel qui avait moins de manière qu'un dictateur africain.

Derrière ses lunettes, Layer regarda toute l'assemblée, essayant d'entendre les réactions. Ce n'était pas facile de distinguer des phrases au milieu de se champs de parole. Une voix l'interpela pourtant. Il la chercha mais celle-ci vient à lui. Un militaire, de son écusson et son grade, Layer reconnu le Colonel Narah. Celui-ci prit la parole, également sur la passerelle, juste devant l'agent du CIS. Il ordonna au militaire de rester fidèle à O'Neill, allant jusqu'à menacer l'agent.

A la suite de sa, tous le monde quitta la salle d'embarquement et ceci fût assez rapide. Layer resta planté la, seul, quelques secondes. Il n'avait pas fini son discours, bien au contraire, ce n'était que le début d'un discours de plus de 3 pages. Il savait que cela n'allait pas être facile, mais à ce point, non. Après tous, quand on est dans l'insubordination et le désordre, on le reste à vie. Layer descendit doucement les deux marches de la passerelle métallique avant de quitté lui aussi, la salle d'embarquement. L'hostilité des membres du SGC n'était pas évidant pour Layer, son but n'était pas mal, il voulait juste redonner de l'élan à ce programme pour le rendre plus efficace.

Rodolph entra dans la salle de contrôle, où le Général O'Neill y était, mais également le Colonel Narah. L'agent du CIS se mit tous prêt du Colonel et dît :

«Votre accueil me touche beaucoup Colonel Narah. Je savais que sa n'allait pas être facile, mais je ne m'attendait pas à de telles phrases dans votre bouche. Mettant une petite pause, il ajouta : J'ai le soutien de toute la commission, du pentagone et même de la maison blanche. Savez vous qui ont été les investigateurs de cette tutelle ? Le gouvernement français ! Désobéirez vous à eux ?»

Laissant Narah répondre, il alla ensuite dans le bureau du Général, avec celui-ci. Dans ses mains, Layer avait toujours un dossier, il ne le quitta pas. Le Général mit au courant Layer de la situation de Marie Cruk. L'agent du CIS, à l'annonce de se nom, dît :

«Ah non, pas Marie Cruk.» Le Général pensa que finalement, peut-être que Layer allait tous mettre en œuvre pour sauver la jeune femme. Il donna son intuition sur le NID, chose que visiblement Layer s'en foutait. Lui dît :

«J'avais prévu de faire du Docteur Cruk, la responsable scientifique. Je vais devoir rappeler de Docteur Carter dans se cas.»

Le Général n'en revenait pas de ce qu'il venait de dire, il dît alors : «N'allez vous rien faire pour elle ?»

Layer regarda sa montre puis dans son dossier et dît : «J'ai un créneaux horaire à 15h pour un briefing avec une équipe.» O'Neill refusa du plus qu'il pût, mais il ne se sentait pas capable et surtout, en avait-il l'envi ? Physiquement, avec ses blessures et handicap, ce n'était pas le mieux. Le mental était là, mais assez fort ? Il ne savait pas. Le Général demanda le nom de 4 personnes à Layer, il ferrait le briefing lui même. Rodolph regarda dans son dossier. Il ne connaissait pas les hommes et femmes, où du moins, qu'une petite partie, c'était donc au hasard qu'il allait faire. Il regarda dans son dossier, la liste des membres et dit 4 noms : «Sergent Jonshon, Meadow et Ramirez. Avec ces 3 là, cela devrait être bien.»

Le Général se consterna à l'annonce des noms. Il y avait deux recrues inexpérimentée et même pas un gradé. Il n'eût rien le temps d'ajouter, que Layer sortie du bureau et aller commençait une série d'entretien dans la salle de briefing avec certains membres de la base.

Evans Dablord – 8H45 :

Tasse de café à la main, Layer attendait Dablord. Il avait déjà fait connaissance avec lui durant un entretient, il n'y a pas si longtemps que sa et cela ne s'était pas très bien passer. Assit dans un des fauteuil sur la droite de la table, lorsqu'Evans arriva, il lui montra le fauteuil d'en face, où irez s'assoir à la suite de Dablord, les autres membres qu'il aurait en entretient.

«Sergent Dablord, merci d'être venu.Layer avait tous les dossiers du personnel sous la mains et ouvrit celui d'Evans, il ajouta ensuite : Notre première rencontre ne c'est pas très bien dérouler, mais rassurez vous, je ne vous en tiendrais pas rigueur. Laissant un blanc, il croisa les mains et dît : Je voulais vous annoncer que vous ne rejoignez pas le Dédale pour sa mission qui devait être lancer dans deux heures. Je viens de mettre le vaisseau à quai, il ne fera plus jamais de mission. Je trouve que la perte du Prométhée mérite qu'on en tire des leçons, on ne va pas détruire nos seuls défenses sur d'autre planète, gardons les pour défendre notre planète. Laissant le temps à Dablord d'assimiler la nouvelle, il ajouta sans attendre de réponse, J'aimerais que vous soyez mes yeux et mes oreilles sur le Dédale. Puis-je compter sur vous ?»

Eiden Andrews - 9H30 :

Le seconde entretient va être une certaine Eiden Andrews. Layer a beaucoup entendu parler d'elle, mais jamais rencontrer. Les entretient qu'il fait peuvent donner une grande pression et c'est ce que Rodolph sentait lorsqu'Eiden entra dans la pièce.

Elle s'assit devant l'agent et Rodolph voulait se montrer ouvert avec elle, pour pouvoir rapidement la mettre de son côté. «Docteur Andrews, bonjour. Je suis ravi de vous rencontrer. Lui fessant un sourire, il dît : Depuis la mort du Docteur Frasier sur Nebek, l'organisation médical de la base est complètement brouillon. Mon devoir est de restructurer ce service. Ceci pouvait laisser entrevoir pas mal de chose, dont un licenciement. Beaucoup de membre du personnel m'ont fait l'éloge de vos qualités, votre engagement et vos compétences. Laissant un petit blanc, il fini par dire le but de sa pensé : Au vue de ceci, mon choix a été assez rapide. Vous êtes le nouveau docteur en chef du SGC.»

Annabel Spence – 10H30 :

La personne suivante était surement la plus connu de Layer et pour cause, elle avait travailler pour le CIS pendant presque un an et venait de revenir au SGC, il y a peu. Il avait donc eût toute l'occasion de la connaître. Leur rapport ont été assez mitigé, au début, il ne s'entendait pas, même si sur la fin cela allait mieux. Dans le fond, Spence n'avait pas vraiment «travailler» pour la CIS, elle était surtout la pour donner des informations ayant été un hôte durant un peu de temps.

«Sergent Spence, je suis ravi de vous revoir. Layer espérait qu'Annabel gardait une bonne opinion de lui, car il espérait pouvoir compter sur elle pour être un point d'appui important dans la base. Vous et moi avons déjà travailler ensemble. J'aimerais que ce soit de nouveau le cas. Je ne connais pas tous le monde dans cette base et j'aimerais être le plus efficace possible. On est actuellement en train de m'installer un bureau, à côté de celui du Général, j'aimerais vous avoir avec moi. Pour finir sa proposition, où plutôt l'affectation de Spence, il dît : Vous serez, dès demain 8h, mon assistante.»

Briefing ( Jonshon/Meadow/Ramirez ) - 11H00 :

Le Général O'Neill attendit, outre l'accord de Layer, mais surtout que celui-ci fût en pose et que le chef de la base eût réunit le plus d'information, pour lancer le briefing de la mission de sauvetage de Marie Cruk. Une fois les trois militaires dans son bureau, le Général mit ses hommes au courant de la situation d'en un premier temps et ajouta ensuite : «Grâce au information que j'ai récolté, je peux vous dire que le dernière endroit où elle a été vue est Denver. Vous irez donc à Denver rejoindre le Major Davis, qui est déjà sur place. Vous devrez faire preuve d'une grande vigilance, le NID ne rigole pas. Le Général fini par dire : Vous avez des questions ?»

SGC (Eversman, Wells, Shirow, Narah et Fett) – 21H30 :

Après cette longue série d'entretien, Layer allait pouvoir enfin se prendre un peu de temps à lui. Plus de la moitie de la base avait défiler devant son nez. Le Général O'Neill avait déjà quitter le SGC, en même temps à 23H30, pourquoi serrait-il encore la ? Alors que Layer allait bientôt plier bagage, n'attendant que son dernier rendez vous, l'alarme de la base se mit en route, pour annoncer l'arrivée de voyage imprévue. Rodolph se dépêcha rapidement d'arrivée rapidement en salle d'embarquement. Plusieurs personnes semblaient déjà la, surement la garde de nuit. Parmis ses personnes, il y avait Wells, Shirow et Eversman. Ce dernier, que Layer reconnu rapidement. Wells était devant l'écran de contrôle, elle indiqua que le code tok'ra fût identifié. Au même moment, Narah arriva. Layer donna l'ordre d'ouvrir l'iris et alla à la rencontre de l'extraterrestre, qui traversa la porte.

Layer ne connaissait pas la tok'ra, juste ce qu'il avait lu dans un rapport. Un homme, habiller drôlement marchait sur la passerelle métallique. Layer s'avança vers lui et dît : «Bonjour, je suis Rodolph Layer et vous êtes ?» Le tok'ra répondit «Malek». Un tok'ra déjà connu de certains membres de la base.

L'agent du CIS invita le tok'ra jusqu'à la salle de briefing, où prit par également le Colonel Narah, n'ayant pas confiance en Layer et en l'absence d'O'Neill, était le plus gradé. Le Colonel Fett arriva également sous peu. En effet, Rodolph, lui, n'avait pas confiance en Menchu Narah et décida donc de faire venir un autre Colonel, pour ainsi les mettre en concurrence. Ne connaissant pas les gens de cette base, il ne put savoir qu'il venait de prendre un bon ami de Narah. A l'arrivée de Fett, Layer glissa c'est quelque mot : «Colonel Fett, ravi de vous voir ! J'aimerais que vous preniez par à cette entrevue et que vous me donniez votre point de vue, vous avez plus d'expérience que moi dans se sujet.»

Une fois les quatre personnes autour de la table, Malek commença expliquer les raisons de sa venu, à savoir un conflit entre Sokar et Ba'al, auquel Anubis va se mêler. Outre une occasion formidable de pouvoir éliminer les plus grandes menaces de l'humanité, la planète où se déroule se conflit est une planète, qui a été prise comme base par Isis, alors qu'elle était occuper par les tok'ras. Bien qu'elle a été vidé, il reste plusieurs choses de valeur à leurs yeux. L'aide des terriens et surtout de leur vaisseau, serrait la bienvenue. A l'entente de sa, Layer dît de suite :

«Le Dédale restera jusqu'à nouvel ordre à quai. Il sert exclusivement à la défense de notre planète. Qu'elle serrait le bénéfice de notre participation ?»

Layer mit une pause et regarda ensuite Fett, sans prendre en compte, les avis que peut avoir Narah. «Colonel Fett, si j'autorise l'envoie d'une mission, vous pensez être capable de mené cette équipe ?»

Rodolph Layer n'avait pas vraiment d'idée précise de ce qui pouvait avoir lieu lors d'un combat goa'uld. Il réclama aussitôt la présence d'Eversman, Wells et Shirow en salle de contrôle. Ils arrivèrent rapidement et laissa le Colonel Fett parlait avec le tok'ra et l'équipe. Mais, son oreille n'était pas trop loin, prêt à intervenir à tous moment.



[Non, ne tuer pas Layer de suite ! Pour ceux qui ont des entretient, posaient les questions et réactions que vous voulez, Layer vous répondra. Pour le groupe Jonshon/Meadow/Ramirez, votre RP se termine au briefing et aux questions à poser au Général et si y en n'a pas, l'équipement...le classique de début de mission. Pour la dernière partie, posait vous des questions entre vous, parler entre vous d'une stratégie...le tok'ra répondra à toutes les questions bien entendu, mais n'oublier pas que Layer vous guette et n'a pas encore donner son accord définitive ! Jusque Jeudi pour répondre, question par MP !]

Le militaire avait réagit vite et beaucoup avaient semblé en désaccord avec lui mais c'est ce qu'il voulait. Layer avait choisit une approche en douceur, sans remoud. Menchu savait pertinemment qu'il ne fallait jamais jouer avec les règles de l'ennemi mais lui imposer celles qu'on désiraient et c'est ce qu'il venait de faire. Il avait réveillé les troupes et sa prise de position controversé, ses mots acides et son manque de respect flagrant feraient parler. On pouvait y ajouter le manque de réaction total de Layer qui s'était laissé marcher dessus comme une larve. Comme première impression pour un homme qui devait les mener en guerre, c'était mauvais signe. On ne bat pas un militaire sur le terrain stratégique, pas un civil. Menchu arriva dans la salle de contrôle et salua son supérieur d'un signe de tête, avec un léger sourire qu'O'Neill n'aurait aucun mal à comprendre.

Lorsque Layer monta les marches, de son pas lourd et lent, le français reprit son masque d'animosité, il se plaça aux côtés de son Général, les jambes écartées et les mains dans le dos. Il écouta les quelques paroles de l'ennemi, étrangement impassible.

« Pour tout dire, je souhaitais démontrer à mes hommes quelle genre d'homme vous êtes et ils n'ont pas loupés une miette de votre attitude larvaire et de votre manque d'autorité. Pour quelqu'un qui est censé ramener cette même autorité dans une base, vous êtes bien mal partit. Il s'effaça, pour laisser passer le Général qui rejoignait son bureau. La France ? Vous mentez mal et avec un manque d'intelligence affligeant. L'armée, peu importe son pays, n'a aucun intérêt à ce que des civils viennent fourrer leurs nez dans des affaires militaires, et vous savez pourquoi ? Il se rapprocha un peu plus du membre du CIS. Parce que lorsque des civils s'occupent d'affaires militaires, il n'en résulte qu'une seule et unique chose : des morts, des soldats qu'on envoi sur le champ de bataille. Mais... Pour répondre à votre question, oui, je leur désobéirais, à eux, à vous, aux États-Unis, à tout ceux qui m'empêcheront de faire mon taf. »

Il s'écarta alors, laissant passer cet homme qu'il pourrait tuer dans l'instant, sans que personne ne puisse agir à temps, avec ses poings, son couteau ou même son Sig... Le SGC était un tombeau, oui, mais malheureusement il ne serait pas que celui de Layer, le Colonel le sentait.

Pendant la journée, Menchu s'était concentré sur les Black Eagle, il les avaient réunis à la Tanière pour discuter de ce qu'il fallait faire, ou ne pas faire pendant que le CIS avait un semblant de pouvoir décisionnaire en ces lieux. Il avait été convenu quelques petites choses, mais rien d'extraordinaire. Au cours de cette journée, le français sentait la colère montée doucement en lui. S'insinuer dans les moindres recoins de son être pour réclamer ce qu'il n'avait plus eut depuis quelques semaines déjà : de l'action. Almie sentait très bien la frustration de son formateur et elle commençait à le comprendre : elle aussi était en train de devenir folle à rester ici, à rien faire. Ses pas et ses pensées amenèrent le gradé au niveau -28, la porte. Il accéléra sensiblement le pas, Almie sur ses talons alors que l'alarme retentissait. Les deux jeunes gens furent rapidement dans la salle, Wells annonçait tout juste que c'était les Tok'ras. Génial, comme si ils avaient pas assez d'emmerdes comme ça. Il vit Malek, un Tok'ra pas méconnu de la base, le gradé alla donc directement vers la salle de briefing, sachant que Layer l'inviterait à s'y installer pour parler des raisons de sa venue. Vu qu'il était le premier dans la salle, Menchu alla vers le fauteuil du Général, le poussa jusqu'au mur qui donnait sur son bureau et tourna le siège vers le mur, symbole de l'absence d'O'Neill. Il s'asseyait à peine lorsque Layer et Malek arrivaient, Almie prit place à ses cotés alors que les deux extraterrestres -ou presque- prirent place en face. Fett arriva peu de temps après, ils se saluèrent furtivement, comme ils s'étaient vu plus tôt, à la Tanière. Le Tok'ra expliqua alors ce qu'il voulait des humains, ce qui ne fit qu'augmenter la colère du gradé qui se contrôla pour ne pas le faire passer à travers la vitre de la salle, histoire de le renvoyer plus vite vers la porte des étoiles...

« Si j'ai bien compris, vous nous demandez de risquer la vie de nos hommes pour aller attaquer une position Goa'uld extrêmement bien fortifiée au vue de la présence de hautes personnalités... Et vous, qu'allez vous y risquer, dans cette mission ? Comme à chaque fois que vous venez pleurer ici, vous n'en avez rien à branler de ce qu'il advient des hommes qu'on envoi, tout c'qui vous intéresse, c'est vot'e gueule, vos intérêts. Le gradé se releva brusquement, faisant reculer le Tok'ra. Almie restait muette, impassible. Nous n'sommes pas des clebs ou des larbins. Vous dites vouloir combattre les Goa'uld mais vous agissez comme eux, avec nous. On n'peut pas faire plus confiance à un Tok'ra qu'à un Goa'uld. »

Acide, mauvais et plein de rage, Menchu était véritablement en colère et ça risquait de ne pas allez en s'arrangeant. Il espérait en tout cas que Boba proposerait les Black Eagle pour cette mission, s'il voulait tenter de l'accomplir.

HJ : Boba je rectifierai vis à vis de ton RP ;-) Je poste maintenant car j'ai peur de plus pouvoir avec ma connection pourrie à Lille

Alors qu’Eversman s’apprêtait à quitter la salle d’embarquement comme quelques autres, une voix reconnaissable prit la parole s’adressant aussi bien à Layer qu’à l’assemblée. Il se retourna donc pour écouter le discours, Narah y allait fort sur certains points, notamment sur le fait d’être sur le pied de guerre et ne put s’empêcher d’afficher un léger sourire lorsque celui-ci lui adressa la parole envoyant en même temps ses espoirs de retrouver son lit volé en éclats. Layer ne répondit même pas au petit discours du Colonel, c’était assez étrange de sa part de le laisser ainsi remettre son autorité alors qu’il venait à peine de l’affirmer quelques secondes plus tôt néanmoins il devait se douter que les militaires seraient plus fidèles à O’neill, ce dernier ayant versé le même sang qu’eux sur des planètes aliens.

De nombreuses personnes quittèrent alors la salle pestant contre Narah et ses méthodes, Layer et d’autres, ceux-ci devaient alors les oreilles sifflantes tandis qu’ils sortirent à leur tour de la salle. Eversman lui resta là observant les différentes personnes sortantes avant de se diriger vers les Black Eagle qui étaient restés là, les saluant d’une poignée de main échangeant quelques paroles. Ceux-ci se moquant notamment des petits yeux du Rangers même si il s’empressa de répondre qu’il était toujours capable de lui mettre une raclée même les yeux fermés bref ceux-ci échangèrent quelques paroles décontractées. Il y avait aussi quelques autres personnes n’appartenant pas à l’unité notamment un qui avait l’équipement complet sur le dos, il avait dû s’identifier aux paroles du Colonel ou du moins plus qu’à celles de Layer.

Après plusieurs minutes passées à se charrier, les membres retournèrent à leurs activités n’ayant pas l’intention de prendre racine dans la salle d’embarquement et avec grand plaisir, Matt retourna dans son lit tout habillé pour ne pas perdre une minute de repos. Il dormit comme un loir jusqu’au midi où cette fois son estomac se manifesta pour avoir quelque chose et l’empêcha de se rendormir, il alla donc jusqu’au mess. Sa sieste dû ensuite être repoussée, Narah ayant choisi de réussir son unité dans leur repaire afin de leur faire un petit résumé de la situation et leur donner les consignes à suivre pour le moment.
Cela ne servait à rien de faire la forte tête, de s’opposer clairement aux décisions du nouveau dirigeant de cette base, Eversman devait notamment faire bien attention ayant déjà quelques actions dont il n’était pas très fier et un nouveau faux pas risquait de le renvoyer de la base. O’neill et même le membre du CIS l’avaient déjà prévenu là-dessus autant dire que si le Colonel décidait de durcir le mouvement, il ne pourrait pas le suivre plus longtemps, non pas par lâcheté mais parce que ce projet, c’était celui de sa vie.

Le reste de la journée se passa beaucoup trop rapidement pour le Rangers, celui-ci était de garde jusqu’au lendemain 8h et même si maintenant il ne s’agissait plus de rester devant une parole pendant de longues heures, il se devait de patrouiller dans la base pour veiller à la sécurité de celle-ci mais aussi que les hommes étaient bien à leur place. Eversman était d’ailleurs en train de papoter avec l’un des gardes, Shirow, dans la salle d’embarquement ainsi le temps passait un peu plus rapidement pour les deux, celui-ci était en train de lui raconter les différentes rumeurs qu’il avait pu entendre de certaines personnes mais il s’interrompit en remarquant que la porte était en train de s’activer déclenchant immédiatement l’alarme de la base.
Matt porta sa main sur son 9mm, prêt à le sortir de son holster si la situation l’exigeait tandis que d’autres se mettaient en position de tir afin de se préparer à toute arrivée. Wells qui était dans la salle de contrôle indiqua la présence d’un identifiant Tok’ra avant que Layer, essoufflé comme un bœuf n’autorise l’ouverture de l’iris. Le voir ainsi fit sourire Eversman avant de tourner la tête pour reconnaître Malek qui venait de sortir du vortex.

« Baissez vos armes ! »

Il ne savait que trop bien que ce Tok’ra n’était pas une menace pour avoir effectuer sa précédente mission avec lui et contrairement aux autres, il avait un peu d’affection pour ce dernier car il ne les avait pas laissé tomber bien au contraire alors qu’il aurait pu vouloir à tout prix sauver son pote et les faire tous tuer. Le Rangers avait fait un pas vers l’extraterrestre pour l’accueillir mais il fut devancé par Layer qui s’empressa de l’emmener jusqu’en salle de briefing sans qu’il ne puisse échanger un mot avec et même si il appréciait le Tok’ra, Eversman ne put s’empêcher de penser qu’un plan foireux allait encore tomber sur la poire du SGC.

« Cette journée est vraiment merdique… »

Après le petit discours de Layer ce matin et maintenant l’arrivée du Tok’ra, il y avait de quoi trouver cette journée complètement pourrie. Matt était déçu de ne pas pouvoir en savoir plus sur la venue de leur allié à une heure aussi tardive, il ne put s’empêcher de monter sur la passerelle métallique afin de regarder un peu vers la vitre de la salle de briefing mais elle était trop haute pour parvenir à y voir quelque chose.
Celui-ci pesta avant de redescendre, il n’avait plus qu’à prendre son mal en patience avant d’en savoir plus sur la visite du Tok’ra, il comptait bien d’ailleurs échanger quelques mots avec celui-ci avant qu’il ne reparte.

Finalement le Sergent finit par être appeler avec deux autres personnes en salle de contrôle, il s’y pressa car la patience n’était pas une de ses qualités et il avait hâte de savoir la raison de cette petite visite alliée. Le jeune homme ne put s’empêcher d’afficher un léger sourire vers le Tok’ra avant de prendre place dans l’un des fauteuils noir du coté de Narah écoutant Fett qui était en train de leur faire un topo rapide de la situation et Matt avait eu du nez, cette journée était merdique.

« Mon Colonel, cette mission m’a l’air suicidaire… »

Eversman n’avait pas envie de se froisser avec les officiers de cette base ou même paraître peureux néanmoins il commençait à avoir une certaine expérience des missions données par leurs alliés et elles étaient très jamais tranquilles et sans imprévues. Néanmoins ce Tok’ra avait acquis une petite part de confiance lors de leur mission commune mais à l’origine sa mission était tout aussi pourrie que celle-ci.

« Si Sokar et Ba’al sont présents en plus d’Isis, il doit y avoir une armada de Jaffas et de vaisseaux sur place et le secteur de la Porte doit être l’un des mieux défendus. »

Le jeune homme n’avait pas vraiment envie de revivre un second Nebek, le premier avait déjà laissé assez de traces des les mémoires de chacun et il n’avait envie de voir son nom s’ajouter à ceux morts en service.

« Un drone permettrait d’être fixer là-dessus, mon Colonel. »

Le SGC... la base dans le colorado était calme ces temps-ci, peu de mission à l'extérieur, pas d'agitation....Non Rien. Dean comme à son habitude s'était levé très tôt pour aller profiter du mess de la base. Et oui ! Un sourire, une petite blague et voilà comment on arrivait à prendre plus que se qu'on aurait dut au mess. Installer devant son plateau repas l'homme regardait autour de lui.

Et ben.... pas grand monde ce matin.

Une rumeur disait qu'un agent du CIS était arrivé à la base. Ces rat de bibliothèque croyait tout savoir mieux que tout le monde...Dean avait eut a faire à l'un deux il y a longtemps lors d'une mission à colorado-spring. Dean essayait de se souvenir de cette mission, en vain.... il était là... le croissant a moitié dans la bouche en train de réfléchir à cette fichu mission.

Mais merde! C'était quoi cette mission !

Impossible de s'en souvenir ! Il laissa tomber et finit son repas. Le programme de la journée? Ronde, touchette dans ses quartiers, nettoyage de son arme de service et puis....on verra ? Il posait justement son plateau sur le tapis quand on entendit la douce voix de Walter demander les soldats Jonshon, Meadow, Ramirez dans le bureau du général. Une mission ? Chouette ! Il récupéra son pain au chocolat qui était caché derrière son bol et le cala dans sa bouche.

Cinq petites minutes plus tard le voilà dans le bureau du chef avec quelque miette qui trainaient par-ci, par-là... Une fois dans le bureau il salua son supérieur et attendit d'être invité à s'asseoir. Ils n'étaient pas nombreux, juste trois homme...Enfin deux et une femme ! Ça ne devait pas être une mission très difficile ou alors c'était une mission qui ne permettait pas d'être trop nombreux !

Le général les informa donc de la disparition de la scientifique Cruk... Dean ne l'avait pas remarqué, non comme à son habitude il est tête-en-l'air et ne fait attention a rien, mais cette nouvelle le bouleversa. C'était l'une de ses amie, même s'il avait une mémoire de poisson rouge il se souvenait de leur journée passé ensemble à boire du café ou alors quand ils sont partis a colorado springs pour acheté au sergent une véritable cafetière !

Leur mission ? Aller ensemble à Denver, y retrouver le Major davis pour voir s'ils pouvaient récupérer la jeune femme des mains du NID!

Oui j'ai une question mon général, comment peut on être sur qu'elle y soit ? La situation numérique du NID à Denver est-elle connue ?

Il leur avait dit de faire extrêmement attention par rapport au NID, cette organisation secrète à la solde des Goa'uld. Plus ils sauront d'info sur le NID plus ils feront attention en allant là bas ! Une fois que le Général conclus le briefing Dean le salua et partis se préparer !

Jour de repos. Du moins, sur le papier. Après une mission houleuse, le général avait été sympa et m’avait accordé un jour de repos pour me changer les idées. J’avais décidé de me tirer de cette base. Je me réveillais dans un plumard, au beau milieu d’une chambre d’hôtel de qualité moyenne. A coté de moi, dormait une jeune femme. J’étais nu, et elle aussi. La chambre était s’en-dessus dessous. Qu’est-ce que l’on avait pu faire cette nuit là ? Des bouteilles d’alcool vides ou presque vide trainaient par terre. Nos fringues étaient éparpillées un peu partout, mon pantalon accompagnant le soutif de la demoiselle. Je me frottais les yeux pour me stimuler. J’avais la bouche pâteuse.

-« Qu’est-ce que j’ai fait encore ? »

La fille grogna à coté de moi, elle n’aimait pas être dérangée apparemment. Je me mettais à l’aise dans le plumard, repensant à cette soirée. J’avais quitté la base peu de temps après notre retour de mission. Je m’étais habillé en civil et j’avais écumé les bars de la ville. Où est-ce que j’avais pu la rencontrer ? Je me replongeais dans ma mémoire pleine de blancs. Un bar ambiance métal. Un groupe sur scène. Une foule qui danse. Moi qui danse avec la demoiselle en question. Un verre, puis un autre et encore un autre. Surement tard dans la nuit, nous sortions de ce bar d’ambiance pour nous balader en ville, déchirés. Plusieurs bouteilles firent leur apparition dans mes souvenirs. A picoler dans la chambre. Un flash d’elle, les seins à l’air gesticulant dans tous les sens. Ca devait être le meilleur moment.

* Sacrée coquine va… *

Je saisissais une bouteille à moitié pleine de tequila pour me désaltérer. Au même moment, une main commençait à se balader sur mon corps. Je jetais un coup d’œil à ma partenaire d’un soir, qui me regardait avec un grand sourire, même si ses yeux ne semblaient pas tellement réactif. Puis elle disparut sous la couette. Et c’était reparti pour un tour. Tour qui fut interrompu par une sonnerie de téléphone. Pas le mien. La nana se releva et alla le chercher. Elle décrocha et parla. Pendant ce temps je la matais depuis le plumard. Puis elle s’habilla et s’en alla, me disant qu’elle avait autre chose à faire. Et merde. Je restais dans le lit à boire ma bouteille quand une autre sonnerie se fit entendre. De mon téléphone cette fois-ci. Péniblement, je me levais et je décrochais. C’était Menchu. Il m’invitait à une réunion des Black Eagles.

-« Je suis en congé là. »

Il se montrait de plus en plus insistant. Il réussi à se montrer convaincant. Je lui répondis que je viendrais à la réunion, puis je raccrochais. Fais chier. T’es en vacances et on te fait chier pour le taf. Je me regardais dans un miroir, admirant un officier de l’armée, à poil, puant l’alcool et la sueur. Une douche s’imposait. En trainant des pieds, je me rendis dans la salle de bain, ou trainais une brosse à dents usée. Aucune idée à qui elle pouvait appartenir. Je fis couler l’eau de la douche, qui donnait des sensations bizarres. Mon corps avait du mal à se réhabituer ce liquide. Une fois terminé, je me rhabillais et je sortais de l’hôtel, payant la note au passage. Où étais ma jeep ? Pas devant l’hôtel en tous cas. Je refis le sens inverse de la marche d’hier soir, puis je retrouvais ma voiture, toujours stationnée devant le bar à ambiance, avec une jolie contravention sur le pare-brise.

-« Et merde… »

Je la rangeais dans la boite à gant avec les nombreuses autres prunes, puis je démarrais pour me rendre à Cheyenne Mountain. La route fut longue, puis j’arrivais à destination. Plusieurs gardes et soldats me dévisageaient. Une fois dans la base à proprement parlé, je me rendis à la tanière des BE, où attendaient Narah et les autres. Nous discutions de plusieurs choses. J’apprenais qu’un certain Rodolphe Layer avait pris le commandement de la base pendant que je me tapais une nana hier soir. Nous nous décidions sur plusieurs choses, notamment que nous n’avions aucune confiance en ce gars. Puis nous nous séparions. Je retournais à mes quartiers pour terminer mon jour de repos, examinant minutieusement un magazine pour adulte que j’avais acheté il y a peu de temps. Après un certain temps, quelqu’un frappa à ma porte. Je lui dit d’entrer, et un jeune officier m’informa que Layer voulait me voir en salle de briefing.

-« Fais chier. J’arrive… »

Je mis quelques minutes à sortir de mes quartiers. A contrecœur , je me rendais en salle de briefing. J’entrais, saluant Layer et faisant un bref signe de tête a Narah et aux autres déjà présents. Là, un tok’ra nous fit un topo sur un conflit qui allait éclater entre Sokar et Ba’al. Conflit auquel allait s’ajouter Anubis. Ils avaient besoin de notre aide pour éradiquer tout ce beau monde. Et Layer avait l’air d’approuver. Narah et Erversmann réagirent les premiers.

-« Tout comme mes deux équipiers, je vous déconseille fortement d’intervenir. Les forces en présence seraient beaucoup trop nombreuses pour nous, même si c’est une mission d’infiltration. Ce serait se jeter dans la gueule du loup. »

Mais Layer se montra insistant, il semblait convaincu du bien fait de cette mission, allant même à me demander si j’étais capable de prendre les rênes de cette mission.

-« Ecoutez, je désapprouve cette mission. Si je dois commander une équipe, je le ferais mais pas ici. Demandez moi d’organiser le nettoyage de printemps de la base avec mes hommes et je le ferais, mais ne comptez par sur nous pour une mission suicide. »

Bon nombre de personne ici étaient d’accord. Comme Eversmann qui proposa d’envoyer un drone pour être fixé.

-« Le sergent Eversmann a une bonne idée. Envoyer un drone et vous verrez par vous-même. »

Décidément, les civils se plantent toujours.

Eiden Andrews (1) :

Eiden fût grandement surprise de la proposition que Layer venait de lui faire et a vrai dire, elle pensait plutôt que l'agent allait la renvoyer. Non, bien au contraire, Rodolph misait sur la jeunesse pour ce poste, mais aussi la compétences. On pouvait bien dire tous ce qu'on veut sur lui, mais il savait être professionnel, quand il le fallait.

Pour terminer l'entretiens, l'agent du CIS la regarda et dît :

«Toute mes fécilisitation. Vous recevrez votre bureau et toutes ce qui va avec votre nouvel affectation très bientôt.»


Annabel Spence (1) :

Visiblement, la proposition de Layer n'était pas bien passer aux oreilles d'Annabel, qui dénigrât la tache que lui proposa l'agent de la commission, sans prendre le temps de réfléchir. Elle n'avait pas dit clairement cela, mais Rodolph savait lire entre les lignes. Il regarda Annabel droit dans les yeux avant de dire :

«Le choix ? Non, vous ne l'avez pas mais ce n'est pas du tous ce que vous croyez.»

Rodolph se leva de son siège et ajouta :

«Vous devez comprendre que pour une grande partie des membres de la base, je ne suis pas le bien venu. Mais pourtant, je dois prendre des décisions pour remettre cette boutique à flot. J'ai besoin de vous. Vous aurez l'honneur de m'assister dans le redressement de ce programme. Non, votre tache ne sera pas que de m'apporter du café et finir mes dossiers. J'ai besoin de vous pour votre expérience, pour votre connaissance de ce programme et de ces membres. Si vous préférez, vous serez ma conseillère, celle qui aura la place la plus importante dans mes choix. J'espère que vous comprenez.»

Et Spence avait plutôt intérêt à comprendre. A peine, eût-il le temps de finir sa phrase, il congédia la jeune femme pour aujourd'hui et lui donna rendez vous demain, 8h devant son bureau, qui devrait être enfin prêt.


Jonshon/Meadow/Ramirez/Evans :

Le Général écouta les questions des membres de l'équipe. Celle-ci n'était pas tous à fait ignorante et Jack n'avait pas la réponse à tous. D'ailleurs, il n'avait pas comprit la première question de Ramirez et préféra l'ignorer. Il faut dire qu'il avait crue entendre des mots latin, ce qui n'ait pas sont fort.

Il regarda l'équipe et répondit à toutes les questions en même temps :

«Comment-être sur qu'elle soit à Denver ? Seul dieu le sait, nous n'en somme pas sur à 100%, mais selon les informations fiables que nous avons eût, c'est la qu'elle ait. Combien seront-il ? Je ne sais pas, mais le Major Davis vous en dira plus quand vous serrez sur place. Une chose est sur, vous devez récupérer Marie Cruk vivant et si possible arrêter ses détracteurs. Si sa tourne mal, il les vaut mieux mort que vivant.»

A la suite de sa, les trois membres de l'équipe présent au briefing quittèrent le bureau du Général pour se rendre à l'armurerie. Pendant ce temps, O'Neill avait chargé Walter de retrouvé Evans. Il avait eût vent de ce qu'il venait de se passer entre lui et Layer. Walter eût de la chance, Dablord allait quitté le SGC au moment où il le retrouva. Dablord alla donc rapidement dans le bureau du Général, qui lui dît :

«J'ai eût vent de votre démission et je dois me dire que cela me surprend un peu de vous, qui d'habitude ce bat pour la justice et la bonne conduite de ce programme. J'aimerais que vous participé à une mission de sauvetage.»

Evans écouta les explications du Général concernant l'enlèvement de Marie Cruk. Au début, Evans refusa, il ne voyait pas pourquoi il y participerez, n'étant plus de ce programme. Ce qui convaincu le jeune homme, c'est lorsque O'Neill lui dît que c'était le NID.

Dix minutes plus tard, Evans alla rejoindre le reste de l'équipe à la surface. Il était à quatre dans une voiture, qui les conduisit, en un peu moins d'une heure à Denver. Durant le voyage, la tension était palpable dans la voiture. Pour Ramirez et Meadow, ceci est leurs première mission.

A Denver, les quatre hommes furent rejoint par le Major Davis. Il monta dans le 4x4 et regarda aussitôt la composition de l'équipe. Il pût voir rapidement sur qui il pourrait s'appuyer ou non.

«Denver c'est grand, très grand. Avec les informations que j'ai eût et les informateurs que j'ai vue, j'ai put apprendre que Denver est une des bases principales du NID dans cette région du pays. Ils ont plusieurs cite à l'intérieur et l'extérieur de la ville, j'ai réussi à en avoir 3. On n'a pas le choix, on va devoir tous les visiter.»

Le Major laissa un blanc pour d'éventuelle question, alors qu'il donna la 1er adresse au chauffeur.


Eversman/Wells/Shirow/Narah/Fett/Spence(2)/Eiden(2)/Carter :

Rodolph venait de passer une journée épuisante et en avait marre de ce débat pour ou contre une mission. Lui, son avis, était déjà trancher, bien qu'il avait quelque réserve. Pouvoir éliminer en même temps tous ces grandes goa'ulds serrait pour lui une grande réussite et surtout un bien fait pour la Terre. Cette question demandait donc à être débattu plus profondément et à tête reposé.

Layer mit donc fin à cette réunion en disant que la décision serrait prise dans la matinée de demain de avec consultation du Général et en prenant en compte les différents avis. Il invita le tok'ra a passer la nuit à la base, mais celui-ci refusa et repartie sur sa planète. Layer lui dît avant qu'il traverse la porte, que si aucune équipe SG n'avait rejoint la planète tok'ra, avant 12h, c'est que le SGC ne les aideraient pas.

Le lendemain, à 8h00, Layer se pointa devant le bureau du Général. En chemin, il était passé par devant son bureau, où il avait croisé Spence, qui était la pour son nouveau post. Contrairement à ce qu'il avait dît à Spence la veille, il lui demanda d'aller chercher un café. Avec le Général, Layer débattu quelques minutes. O'Neill n'était pas pour l'envoie de cette mission, mais ne put rien faire ou presque. Par rapport à l'équipe qu'avait composer Rodolph, il pût la modifier et ainsi mettre des hommes de confiances, bien qu'elle ne soit pas grandement différentes.

Au coup de 9h00, les hauts parleurs de la base ce mirent en route :

Les Colonels Narah et Fett, les Sergents Eversman et Spence, les soldats Wells et Shirow, ainsi que les Docteurs Carter et Andrews sont appelé immédiatement en salle de briefing.

A l'annonce de ceci, les membres qui étaient présent lors du débat de la veille comprirent rapidement le but de cette convocation. Certains mirent d'ailleurs du temps à arrivé. Le Général n'était pas présent au briefing, d'ailleurs, il avait quitté Cheyenne Mountain, ayant été appelé devant la commission du CIS. Une fois tous le monde présent, Layer prit la parole et dît :

«La plupart d'entre vous savent pourquoi ils sont là. Suite à une demande d'appel à l'aide de la tok'ra, vous allez partir avec eux sur une planète d'Isis, où se déroule une guerre entre d'un côté Ba'al et Anubis et de l'autre Sokar et Isis. L'objectif de la tok'ra est de récupérer des informations importantes, mais ce n'est pas le notre. Le notre est d'anéantir ces 4 goa'ulds en même temps.»

Mettant une pause, il regarda tous le monde, qui visiblement se foutait un peu de sa tête. Ceci étant presque impossible.

«Le SGC en a les moyens. Avec l'aide du Général, nous avons composé cette équipe parce que vous êtes les meilleurs des meilleurs. A vous de le prouver. Pour réussir à bien cette mission, j'ai eût du pentagone plusieurs accessoires interressant, d'où le fait de la presence du Docteur Carter, qui est revenu durant la nuit d'Egypte.»

Non, ce n'était pas une coïncidence. Cela fessait une semaine que Layer savait qu'il allait être nommé au SGC, il avait donc envoyé il y a cinq jours un émissaire en Egypte pour faire revenir au SGC l'une des plus grandes scientifiques du monde, au programme porte des étoiles. Et devant cette mission, il se dît qu'il avait bien fait.

«Le Docteur Carter disposera de 5 bombes nucléaires dernière générations entre autre. Avec sa, vous serez largement équiper pour détruire cette menace. Vous partez dans 20 minutes sur la planète des tok'ra charger tous ce matériel à bord de 3 vaisseaux cargos.»

Layer laissa quelque seconde pour entendre les réactions et les questions de certains, alors que d'autre partirent déjà s'équiper, avant le rendez vous dans la salle d'embarquement.


[Une semaine pour répondre. Pour Evans, Dean, Meadow et Chris, le 1er qui post ouvre un sujet à Denver. Les questions par MP. ]

Samantha Carter faisait longtemps qu'elle était partie de SGC. Elle travaillait en tant archéologue en Égypte pour aider un de ses amis. Sa cause de son départ au SGC, était plus personnelle. Cela faisait au moins qu'un an qu'elle était en Égypte. La scientifique aimait de plus en plus son nouveau job, loin des militaires et des Goaul'd et parfois elle oubliait même cette base dont elle a travaillait pas mal de temps. Puis un jour, Carter travaillait sur le site archéologique Louxor, lorsque soudain un de ses confrères interpella Sam.

"Docteur Carter, un homme veut vous parler, il dit que c'est urgent, et que c'est top secret. Il ne m'a rien dit."

La scientifique fut étonnée et répondit à son ami.

" Je vais aller le voir ne t'inquiéte pas, c'est surement un américain?

Le confrère hocha la tête, Carter savait que c'était le SGC La scientifique partit de son site avec son ami, puis alla en direction de l'hôtel ou l'américain était logé. La jeune femme ne connaissait pas cet homme, puis l'américain et la jeune femme partirent dans un endroit ou personne ne pouvait écouter. L'homme se présenta et raconta son histoire. Carter couta attentivement a ce qu'il dit. Samantha réfléchissait, elle se méfiait de ce Layer,reprendre le contrôle du SGC.

"C'est pas un coup du NID ca. "pensa -t-elle. Puis retoqua à l'homme.

"Je vais réfléchir Monsieur."

L'homme en question hocha de la tête puis lui donna une carte ou elle pouvait l'appeler. Quelque jours plus tard, Carter allait à Louxor, lorsque l'américain surgit de nulle part, et lui dit:

"Il faut absolument que vous partez à Cheyenne, il y a un grand danger."

Samantha avait réfléchis depuis quelque jours, et elle avait besoin d'un peu d'action. Elle répondit favorablement à l'attente de l'américain.

"Il se passe quoi?" retoqua-t-elle.

"Je vous le dirait sur le chemin du retour."

Carter n'avait pas eu trop le temps de se préparer, elle prit une valise avec le nécessaire dedans. Puis Samantha partit dans l'avion pour rejoindre la base. Pendant ce voyage, le conseiller de Layer narra à peu prés la situation. La scientifique arriva à la base à 8 h 30. Elle eut le temps de mettre sa valise dans son quartier qui resta comme elle avait quitter, puis le haut parleur se mit à hurler, qui fut sursauter Carter.

Les Colonels Narah et Fett, les Sergents Eversman et Spence, les soldats Wells et Shirow, ainsi que les Docteurs Carter et Andrews sont appelé immédiatement en salle de briefing.

Carter arriva la première puis se mit au fond de la salle de briefing, puis elle vit ses coéquipiers arrivaient dans la salle.Carter hocha la tête a chaque membre de l'expédition. Sam fut étonnée de ne pas voir le général o'neill. Quand tout le monde fut arriver, Sam observa Layer, et écouta attentivement.

«La plupart d'entre vous savent pourquoi ils sont là. Suite à une demande d'appel à l'aide de la tok'ra, vous allez partir avec eux sur une planète d'Isis, où se déroule une guerre entre d'un côté Ba'al et Anubis et de l'autre Sokar et Isis. L'objectif de la tok'ra est de récupérer des informations importantes, mais ce n'est pas le notre. Le notre est d'anéantir ces 4 goa'ulds en même temps.»

Layer regarda la scientifique puis reprit:

«Le SGC en a les moyens. Avec l'aide du Général, nous avons composé cette équipe parce que vous êtes les meilleurs des meilleurs. A vous de le prouver. Pour réussir à bien cette mission, j'ai eût du pentagone plusieurs accessoires interressant, d'où le fait de la présence du Docteur Carter, qui est revenu durant la nuit d'Égypte.»

Tout les membres de l'équipe dévisageaient la scientifique, qui esquissa d'un léger sourire.

Puis Layer continua son récit.

«Le Docteur Carter disposera de 5 bombes nucléaires dernière générations entre autre. Avec sa, vous serez largement équiper pour détruire cette menace. Vous partez dans 20 minutes sur la planète des tok'ra charger tous ce matériel à bord de 3 vaisseaux cargos.»

Samantha Carter ne réagissait pas mais elle ne pensa pas moins, que c'était de la pur folie, tuer tous ces goa'ulds. Mais elle savait que cette équipe pouvait être capable de faire cà.

Carter ne posa pas de question puis partit en direction de l'armurerie et de s'équiper pour partir à cette mission périlleuse.

Lorsque Layer mit fin à la réunion en annonçant que la décision serait prise demain, avec le Général O'Neill, le gradé soupira, lâchant quelques mots acides :

« Voilà bien une autre connerie, tarder à prendre une décision aussi importante. En tant de guerre, la rapidité est un facteur déterminant, et je ne la confond pas avec la précipitation. »

La dernière partie de se phrase était pour ses détracteurs, car il avait bien vu qu'il en avait quelques uns de plus depuis ce matin. Tant pis, il n'était plus à ça près. Il quitta la salle en dernier, suivit comme son ombre par Almie, qui lui demanda comment la suite allait se passer, il ne répondit même pas, trop absorbé par ses pensées. Telle une machine sans âme, il retourna à ses quartiers et expédia Almie dans les siens sans lui laisser le temps de répondre ou de contester. Il avait besoin de solitude. Il resta dans le noir, ne voulant pas d'interférences dans son esprit. Il s'assit contre la porte et laissa ses pensées voguer, à la recherche d'une issue pour ne pas laisser sa rage le submerger.
Une seule option : la guerre. Il savait que Layer ordonnerait cette mission, parce qu'il n'avait aucune idée de ce qu'est un champ de bataille, pour lui, il n'y avait que des chiffres et quelques morts chez eux ne serait qu'un moindre mal pour tenter leur chance. Connard de bureaucrate.
Il avait besoin de sommeil mais il ne pourrait pas dormir, pas à la veille d'une telle bataille. Il quitta alors ses quartiers, son épée courte à la main et alla jusqu'à l'armurerie des Black Eagle, là, il se saisit d'un SOCOM supplémentaire, de son M4 personnel et d'un MGL MK-1L. Pendant de longues heures, il s'affaira à nettoyer ses armes -sa lame aussi, qu'il affuta- avant de soupirer, satisfait mais toujours frustré. L'heure de la bataille arrivait et rien ne le calmerait, si ce n'est le champ de bataille. Il vérifia alors son gilet de combat, l'armature, les coutures, le contenu. C'était une mission suicide. D'un geste violent, il envoya voler tout les accessoires d'entretiens qui trainaient encore sur la table.
Alerté par le bruit, Dugan et Biggs débarquèrent en quelques instants dans la pièce. Il était dos à la porte mais il savait que c'était eux, leur respiration, leur démarche...

« Colonel ?! »
« Je... Il serra les poings. Cette mission ne devrait pas avoir lieu, elle ne devrait pas être lancée. »
« Elle n'a pas encore été... »
« Si ! Il tapa violemment du poing sur la table. Layer est un bureaucrate, il ne verra que les intérêts, pas les risques, il s'en moque ! »
« Les Black Eagle sont prêts. »
« Non... Vous n'êtes pas prêt, pas plus que Layer ne peut mener cette base ou O'Neill combattre sur un champ de bataille. Il ne voulait pas voir la base sombrer mais c'est déjà fait. Ils ont tué le Général. »

Le gradé quitta la pièce, ruminant toujours plus son ressentiment à l'égard de ses ennemis -dont Layer faisait partit- en attendant l'heure du combat. Il n'y avait plus que ça maintenant.

Les Colonels Narah et Fett, les Sergents Eversman et Spence, les soldats Wells et Shirow, ainsi que les Docteurs Carter et Andrews sont appelé immédiatement en salle de briefing.

D'un bond, Menchu se leva, il vérifia la sangle de son holster qui contenait un SOCOM -la puissance prévalait en ces temps agités- et sortit à pas vifs, il savait très bien ce qui l'attendait : l'Enfer. Arrivé en second dans la salle de briefing, après une blonde qui devait être très certainement Carter, vu qu'elle était la seule qu'il ne connaissait pas. Il ne prit pas la peine de saluer Layer, ni même la doc et s'assit. Pour une fois, Almie n'était pas à ses côtés. Le briefing fut rapide et incomplet, comme il s'y attendait. Il poussa un court soupir et tenta de ranger sa rage pour ne pas exploser.

« Situation sur la planète ? Infos géographique ? Quelle est notre marge de manœuvre, vis à vis de la Tok'ra ? Ils ne vont pas apprécier qu'ont se servent d'eux comme taxis en se foutant royalement de leurs infos et le passé commun est assez tumultueux, ça peut très vite mal tourner. Il soupira, visiblement agacé. C'est quoi l'plan avec vos têtes nucléaires ? On survole la planète avec des jumelles et on les lâchent à vue ? Ça marche en Irak, mais pas au SGC.... Il se tût un instant, défiant Layer du regard. Je vais m'arrêter là, vous tremblez. »

Il laissa le temps à Layer de répondre avant de quitter la salle d'un pas vif. Il alla jusqu'à l'armurerie, ou Devans avait prit soin de les déposer, pendant la nuit, avec un petit mot d'encouragement. Le français jeta le papier sans y faire trop attention, en quittant la salle, il avait un SOCOM à chaque jambe, son M4 en bandoulière, son épée courte et un lance grenade dans le dos. Il se sentait de retour à FoxHound, prêt à défier la mort elle-même. Mais avant de partir, il devait régler un dernier détail avec Fett, pour que tout se passe bien, il alla donc vers son homologue américain, au quel il donna une tape amicale sur l'épaule.

« J'te laisse le commandement pour cette mission. T'as l'esprit plus clair que moi. »

Il sortit alors de la salle et tomba nez à nez avec Almie, il s'arrêta devant elle, attendant une réaction de sa part. Les autres membres de l'équipe passèrent devant eux sans s'arrêter et lorsqu'ils furent seuls dans le couloir, Almie s'exprima dans sa langue natale :

« Duumir ni be olaror. »
« Non, pas cette fois. »
« Tion meh gar ramaanar ? »

Le gradé ne répondit pas, il préféra partir, laissant en suspend une question cruciale qu'il avait choisit d'éluder il y a déjà des années et à la quelle, le présent répondrait, un jour. Lorsqu'il arriva dans la salle de la porte, il s'approcha de Spence, un air désolé sur le visage.

« J'aurais aimé t'éviter cette mission. »


(Désolé pour cette parodie de qualité.)