Une rencontre pas comme les autres [Vertiga Calvario]

Arrivé au SGC : 09/05/2012

Il était une fois l'ors d'un début d'après midi.

Devant le miroir de la salle de bain, Sarbin se brossait les dents avec sa nouvelle brosse à dents électrique, il en été content, il aimait tout ces petits grigris utiles
... Une fois fini il la rangea et se regarda dans le miroir ; il était près à bouger.

"Alors... des baskets, un petit short, et un t-shirt... c'est l'heure de se motiver ! Ha ... j'allais oublier mes écouteurs !"
Sarbin s'habillait pour aller en direction de la salle de sport, il espérait trouver quelqu'un pour échanger quelques coups innocents.
Une fois habillé, il ferma la porte de ses quartiers, mit ses écouteurs et marcha en direction de l'escalier.

Il n'aimait pas tellement les ascenseurs, il préférait marcher, c'était bon pour le coeur et quitte à marcher, il préféra courir.
Un petit footing ne pouvais faire de mal à personne, au contraire.

Encouragé par une musique rock and roll aux oreilles, il dévalait les escaliers, enchaînait les couloirs.
Il ne se déplaçait pas forcément vite mais de façon à ne pas se fatigué, il économisait ses forces et avait pris un rythme respiratoire qu'il jugea satisfaisant.

Mais soudainement : Contacte !

La jeune fille avait tournée au même moment que lui dans l'angle du couloir et ils se rentraire dedans. Vue de l’extérieur ça aurait pus s'apparenter à des auto-tamponneuses d'une fête foraine qui s'étaient foncée dessus sans sommation.

Les deux tombèrent par terre le souffle coupé...

Arrivé au SGC : 16/04/2008

« Non et non han ! Je vous ai dit une centaine de millions de foi que non ! HAN ! On ne range pas les post document sur les citées archaïques avec les aztèques ! Mais han ! Comment vous faite pour travailler dans de telle conditions ! Je suis outré vous savez ? » Fit une demoiselle aux longs cheveux d’un noir intense. Son doigt levé en direction d’un petit groupe de scientifique civile, voire de pseudo documentaliste.

La jeune femme, une dénommée Vertiga Calvario avait beau avoir la réputation d’être un foutu moulin a parole elle possédé une intelligence hors normes, sa capacité à apprendre tout et n’importe quoi faisait d’elle une mythologue d’exception. Pour elle dépassé Jackson était le plus grand défi de sa vie.
La jeune femme attrapa un bon nombre de document qu’elle commença a rangé avec beaucoup de délicatesse comme si chaque feuille imprimé était fait d’un métal précieux et rare.
Quand son petit rangement fut termina elle vociféra une nouvelle fois contre ses nouvelles recrues et pris une nouvelle pile. Mettant un crayon dans ses cheveux pour les faires remonté en un chignon bien serré.
Cet air sérieux faisait de l’effet à plus d’un homme.
Bon il faut admettre qu’une femme dans une base fait souvent de l’effet a un homme. Le fantasme de la blouse surement. Oui oui pour la demoiselle les militaires c’était tous les mêmes, des machos qui se fichent complétement du reste. Pour eux faut tirer dans le tas en braillant !

Vertiga attrapa un dossier qui n’avait pas encore était traité, elle adressa quelque directives a ses nouveaux collègues en souriant à pleine dents. Puis elle se rendit vers son propre bureau. Prenant un couloir, oui elle va pas prendre l’ascenseur alors que son bureau n’est pas bien loin.
Cédant a sa curiosité naturelle, la brunette ouvrit le dossier et parcourut du regard les premières lignes, toujours lire le rapport de missions avant de démarrer une quelconque traduction.
Travailler méthodiquement, en tant que fille de Général la demoiselle avait acquie cette petite qualité de travail éfficace.
Mais comme son regard sombre était dans ses papiers elle ne vit pas le militaire qui tournait en même temps qu’elle et vlan.
La force du choc la fit tombé au sol, son dossier vola, son crayon tomba dans un bruit sourd, dévoilant une cascade de cheveux d’un noir de jais.
Ses yeux ronds s’ouvrirent comme deux soucoupes.

Han ! Excusez-moi ! J’étais plongé dans mon rapport ! Je regardai pas devant moi ! Je me doute bien que je vous ai pas fait mal vu comment vous êtes…heu…bien bâti ? Han ? Oui je vois pas d’autre mot et…Et zut ! Mes papiers ! Termina la jeune femme avec sa rapidité naturelle tendant une main pour ramener tout son petit bazar de feuilles vers elle, pendant que sa cascade de cheveux caché son minois.

Arrivé au SGC : 09/05/2012

Sarbin fut déséquilibré par le choc mais arriva à amortir sa chute avec ses mains.
Ce n'était pas très joli à voir mais il n'en avait que faire, le plus important était de voir si la personne qu'il avait heurté ne s'était pas blessé.
Se relevant en prenant soin d'éteindre son Mp3, il jeta un coup d'œil à la jeune femme qui avait le visage à moitié caché par de beaux cheveux noir.
Il entendit les paroles de la demoiselle et celui le fit sourire.
Habillé d'une blouse, elle n'avait pas l'air d'avoir été blessée, il en déduisit qu'il s'agissait d'une scientifique.

"C'est ma faute, excusez moi madame, j'aurais du faire plus attention. Vous êtes blessée ?"

Il l'aurait bien aidé à ramasser les feuilles au sol mais la femme avait déjà tout récupéré, comme si son rapport était plus important qu'elle.
Sarbin la regardais, elle l'intrigué beaucoup. Ayant beaucoup travailler sur la psychologie mentale et physique il n'arrivait pas à la cerner, juste peut être qu'elle aimait lancer des compliments aux inconnus qui la bousculée... Cela le déconcerté.
La jeune femme s'était relevée car elle avait fini de ramasser ses papiers. Il en profita pour vérifier qu'elle n'avait rien oublié.
Il se pencha pour ramasser un crayon qui était surement à elle et lui tendit avec un sourire.

"Merci pour le compliment au fait, vous aussi vous êtes bien... foutu"

Aie aie aie, les femmes n'étais vraiment pas son dada et il commença à devenir tout rouge.
*Holala... reprend toi bon sans !*

Elle le regardait de ses jolis yeux.
"Enfin... Je voulais dire, vous êtes une costaud vous aussi..."

*Mais arrête de parler, c'est de pire en pire*

Il se rapprocha d'elle pour lui rendre son crayon et pus lire son badge accroché à sa blouse : Vertiga Calvario - scientifique.
Il avait peut être affronté et fréquenté des terroristes et des tonnes de personnes mal famées pour ses anciennes missions mais devant une dame, il perdait souvent ses moyens rapidement.

Arrivé au SGC : 16/04/2008

C'est ma faute, excusez-moi madame, j'aurais dû faire plus attention. Vous êtes blessée ? Demanda le jeune homme.
Han ? Non non ! c’est gentil de vous en inquiétez ! . Répondit-elle avec un immense sourire. Un tantinet surprise qu’on s’inquiète de son état de santé.

Apparemment la belle ne se rendit pas compte qu’elle avait un tantinet embarrassé son…enfin cette nouvelle rencontre. Quand elle eut enfin terminé de remettre tous ses petits papiers dans son dossier, elle soupira de soulagement.
Le général l’aurait tué si elle perdait la moindre feuille. Puis elle n’aimait pas perdre quelque chose, voir raté quelque chose. Ne supportant pas l’échec, la demoiselle, se levai et épousseta son uniforme avec précaution.

"Merci pour le compliment au fait, vous aussi vous êtes bien... foutu" Dit-il maladroitement.
La jeune femme pencha un peu la tête sur le côté se demandant si il était sincère ou si il tentait de la complimenté à son tour. "Enfin... Je voulais dire, vous êtes une costaud vous aussi... Termina le jeune homme avec autant de maladresse que précédemment.

Ce qui valut un adorable petit rire venant de la scientifique. « Allons dite pas de bêtises, je suis toute frêle ! Bon j’suis pas en sucre bien entendu mais je suis pas costaud ! Juste…souple…Oh par merlin faut pas avoir l’esprit tordu quand on dit qu’on est souple ! . fit la jeune femme en riant une nouvelle fois et en se rendant compte qu’en effet, dire qu’on est souple peut supposer pas mal de chose.

Reprenant son crayon, elle posa le porte document dans les mains du jeune militaire pour se refaire son chignon rapidement, puis repris les documents aussi vite qu’elle les avait déposé. Tendant une main toute menue a cet inconnu.

Même si vous avez dû lire mon badge je préfère me présentez vocalement han ! Je suis Docteur Vertiga Calvario, scientifique spécialisé dans la mythologie. Et vous qui êtes-vous Monsieur auto tamponneuses ? En tout cas vous êtes typé ! Des origines étrangères ? Mmh je penche pour un pays oriental…Mmh quoi que…Votre timbre de voix est pourtant parfait, un léger accent en fond de gorge et…Oh voyons je vous met mal à l’aise à force de parler c’est ça ?Oh ? Ça arrive souvent ! Tout le temps même ! Mais je ne fais pas exprès je suis comme ça ! Une vraie pie bavarde ! Je suis sure que je serais capable de tué un goa’uld juste en lui tapant la causette ! Tellement il en aurait marre il se suiciderait ou alors il me tuerait…Oui il me tuerais je pense ! Rhaa je continue en plus je suis désolé. Terminais je dans un souffle sans respirer.

Combien fois son père l’avait menacé de lui mettre un bandeau sur la bouche, le général Calvario de l’armée Italienne n’aimait pas quand sa fille devenait un vrai moulin a parole. Mais sauf en présence d’une tasse de café la belle ne se tait quasiment jamais. Ou alors il faut qu’elle soit passionnée par un écrit, par une traduction, un défi a relevé ou une tasse d’un café délicat.
Ou alors dans son petit sport quotidien. Rien ne vaut un petit peu de sport pour garder un corps parfait, non pas qu’elle soit culturiste mais elle aime son corps.
Et a son interlocuteur devait aussi aimer le sport vu les muscles bien dessiné que la jeune femme pouvait apercevoir. Tiens il fait chaud…

Arrivé au SGC : 09/05/2012

La jeune femme eu un petit rire vraiment très charmant, il essayait toujours de reprendre contenance et y arrivait peu à peu.
« Allons dite pas de bêtises, je suis toute frêle ! Bon j’suis pas en sucre bien entendu mais je suis pas costaud ! Juste…souple…Oh par merlin faut pas avoir l’esprit tordu quand on dit qu’on est souple !"
Le mot souple décrocha un sourire à Sarbin, la jeune femme avait du répondant et un caractère qu'il aimait bien.

Et alors qu'il lui rendit le crayon, elle lui passa le porte document qu'elle reprit presque aussi tôt.
Elle s'était recoiffé et était réellement très belle les cheveux attachés.

Elle repris la parole "Même si vous avez dû lire..."Un vrais monologue, il la trouvait drôle et sociable.
Quand elle finit son discoure il lui répondit avec un clin d'oeil :
"Respirez madame Calvario, je suis prèt à vous écouter mais reprenez votre respiration entre chaque phrases... Par ou commencer ? Je me nomme Sarbin Taal, je suis un ancien du Mossade, vous savez, les services secrets Israéliens... Et je suis nouveau à la base donc je n'ai pas encore eu le temps de me confronter à un goa'uld mais je ne l'aurait certainement pas laissé vous toucher"

Il la regardait droit dans les yeux, il était presque hypnotisé par le regard de la scientifique.

"Et non, vous ne parlez pas beaucoup, j'aime bien vous entendre, même si je ne parle pas beaucoup habituellement..."

Arrivé au SGC : 16/04/2008

"Respirez madame Calvario, je suis prêt à vous écouter mais reprenez votre respiration entre chaque phrases... Par où commencer ? Je me nomme Sarbin Taal, je suis un ancien du Mossade, vous savez, les services secrets Israéliens... Et je suis nouveau à la base donc je n'ai pas encore eu le temps de me confronter à un goa'uld mais je ne l’aurais certainement pas laissé vous toucher" Répondis Sarbin avec un petit clin d’œil.
Oooooh Mademoiselle je vous prie ! Je ne suis pas mariée…ni fiancée ni rien du tout ! Et vous savez malgré les apparences c’est un don ! Je parle longuement sans avoir besoin de reprendre mon souffle, je suis comme ça depuis toute petite vous savez ? Israéliens ? Mossad ? Ah oui oui, je crois que ce fut instaurée en 1948 par là non ? En tout cas vous êtes très chevaleresque Sarbin…Vous permettez que je vous appelle par votre prénom dite ?

Souriant une nouvelle fois, la jeune femme se tue quelque peu, cherchant un peu ce qu’elle pourrait dire, oui parce que faut parler pour connaitre les gens voyez-vous ? Si si je vous jure, comment voulez-vous devenir sociable si vous ne parlez han ? Je pense que c’est l’un des défauts de nos chers Goa’uld, si ils parlaient plus sereinement avec d’autre objectifs qu’assouvir les autres races et gna gna gna ils auraient plus la côte.
Oui je me vois bien leurs conseillé de plus parlé et de torturé après.
Non eux ils préfèrent torturée, voir tué, mettre dans un sarcophage et ensuite on interroge tout en torturant si la réponse ne plait pas.
De plus la demoisellle se rendit compte qu’elle avait sous-entendu qu’elle était célibataire, encore un qui va prendre ses désirs pour une réalité. Bon, il faut admettre que ce jeune homme et fort alléchant mais la belle ne se berce plus d’illusions depuis un moment.

Et non, vous ne parlez pas beaucoup, j'aime bien vous entendre, même si je ne parle pas beaucoup habituellement... Fit le jeune militaire en la regardant dans les yeux.

Là, notre pie bavarde ouvrit la bouche comme un poisson qui n’a plus d’eau dans son bocal, elle ouvrit des yeux rond et du se contenir de ne pas lui sauté a la nuque. Première fois qu’on lui dit qu’on aime bien l’entendre. Bon nombre de fois elle s’est faite envoyé prêtre par des chefs de missions parce qu’elle parlé trop.
Evidemment elle sait se contenir quand il le faut mais il suffit d’une question pour qu’elle se mette en route.

Ah ben là j’suis mouché han ! D’habitude on me dit de la fermé ! Fit elle avec un petit sourire, elle s’approcha du jeune homme toujours en soutenant son regard Alors comme ça vous êtes nouveau ? Aucune mission avec le SGC a votre actif ? Bah vous allez voir on vous demandera bientôt de rejoindre une équipe ! Je me doute bien que vous devez avoir un sacré Curriculum de missions spéciales dans le genre exécutions, espionnages et tout et tout ! Moi appart faire des fouilles et comprendre des vieux écrits je sers pas à grand-chose ! Dit-elle en terminant sa phrase par un petit clin d’œil.

Arrivé au SGC : 09/05/2012

"...Vous permettez que je vous appelle par votre prénom dite ?" Sarbin du hocher plusieurs fois la tête pour confirmer les dires de la demoiselle et pour l'autoriser à le tutoyer. Il préférait généralement écouter que parler, et il ne prenait la parole que quand il en avait besoin ou quelque chose lui tenait à coeur.
Il était maintenant totalement détendu, entendre le Docteur parler de son pays natal lui avait redonné ses couleurs normales et de la contenance.

L'israélien se rendit compte à se moment que Vertiga se rapprochait mais ne fit pas un pas en arrière.

La jeune femme aimait parler, dialoguer et quand elle eu finit de parler pour la deuxième fois il lui dit en glissant un clin d'oeil.
"Ce la "fermé" c'est quelques fois primordial mais communiquer rester tout de même très important... C'est exacte, je suis nouveau dans cette base et je n'ai pas de mission attitré pour le moment mais j'ai de bonnes espérance de combattre ces infâmes Goa’uld un de ces jours... J'ai quelques expériences utile oui, mais vous savez que sans les penseurs derrière les soldats, ceux ci n'auraient pas beaucoup de chance de revenir à la maison. Vous avez un boulo important et qui conte et vous le savais, j'en suis persuadé."

Il s’arrêta de parler et la (reluqua) regarda avec un sourire, elle était mignonne et célibataire... Bavard aussi mais cela ne le dérangeait pas

Mettant soudainement les mains sur les hanches il lui demanda : "Dites moi, vous avez quelque chose à faire la tout de suite ?"

Arrivé au SGC : 16/04/2008

Ce la "fermé" c'est quelques fois primordial mais communiquer rester tout de même très important... C'est exacte, je suis nouveau dans cette base et je n'ai pas de mission attitré pour le moment mais j'ai de bonnes espérance de combattre ces infâmes Goa’uld un de ces jours... J'ai quelques expériences utile oui, mais vous savez que sans les penseurs derrière les soldats, ceux-ci n'auraient pas beaucoup de chance de revenir à la maison. Vous avez un boulot important et qui conte et vous le savais, j'en suis persuadé."

Evidemment qu’elle avait conscience de l’importance de son travail, bien que beaucoup de soldat toisent les scientifiques et les rabaisses quelque peu.
Surement par peur, enfin pas une peur panique, qui vous fait trembler les genoux et qui vous prend les tripes. Non, cette petite peur de ne pas comprendre, de ne pas pouvoir agir de manière conventionnelle face à des mots qu’ils ne connaissent pas.
C’était une chose qui tracassait beaucoup la jeune femme, quand elle devait faire des rapports aux général O’neill, à chaque fois elle prenait des mots simple et devait se contenir de ne pas partir dans une multitude d’explications. Alors que discuté avec Carter et d’autre scientifique était un véritable bonheur pour la brunette.
Elle buvait leurs paroles comme on boit un verre d’eau après une séance de sport, son cerveau tourné souvent a 100 à l’heure et plus d’une fois les médecins de la base lui avait prescrits quelques calment et des décontractant en spécifiant bien qu’elle devait cesser de boire du café.
Rendez-vous compte ? Osez dire à une italienne de cessé de boire du café ! A chaque fois elle prenait une mine outrée.

"Dites-moi, vous avez quelque chose à faire la tout de suite ?"

Quelque chose à faire ? La brune posa furtivement son regard sur son dossier…
Est-ce quelque chose d’important ? Hum…Bien sur elle peut surement remettre ce petit dossier a plus tard, a demain ? A ce soir ? C’était rien de bien méchant, surement des signes à traduire, trouvé à quel race, ou à quel ancienne civilisations ça pouvaient s’apparenté. En tout cas elle savait moins elle voyait le général mieux elle se portait. A quoi bon demandé des rapports de dossier et des traductions si on ne désire pas les écouté ? Surtout que la demoiselle établissais un vrai dossier, image, photos, retranscriptions fidèle, elle mettait toute les chances de son côté afin de bien expliqué avec des mots simples a tout ce gratin militaires.

Heu a vrai dire…j’avais surement des choses à retranscrire et à traduire, mais on m’a pas donné de délais, j’en déduis donc que ce n’est pas d’une importance capitale, que je ne mets pas en péril la survie de l’homme et donc pour conclure je pense que non je n’ai rien à faire là tout de suite. Fit la jeune femme après avoir réfléchie rapidement Pourquoi vous m’invitez à boire un café han ? Demanda la brune avec un sourire au coin des lèvres.

Serais une impression ou le militaire serait tombé sous le charme de la brune ? En même temps comment résisté à une telle silhouette.

Edit bob : Merci de respecter les règles d'écriture. je t'invite à relire le règlement.

Arrivé au SGC : 09/05/2012

Sarbin comprit que le jeune femme avait du travail à faire quand elle jeta un rapide coup d'oeil au dossier dans ses mains. Pourtant celle ci semblait douter et après un petit moment de réflexion pris sa décision.
"....non je n’ai rien à faire là tout de suite. Pourquoi vous m’invitez à boire un café han ? "

Sarbin avait le sentiment que Vertiga venait de faire un petit sacrifice, peut être qu'elle avait une idée derrière la tête en acceptant de lui consacrer un peut de temps.
L’ancien agent du Mossad la regarda avec un petit sourire, il ne voulais pas lui proposer un café mais quelque chose dont elle ne s'attendait pas, quelque chose de plus physique...

"Partager un café avec vous aurait été un vrais plaisir Vertiga mais j'ai quelque chose d'autre à vous proposer"
La scientifique le regarda avec un aire surprit mais il continua de parler.

"J'allais me rendre à la salle de sport pour faire quelque échauffements sur le tatami, voulez vous vous joindre à moi pour que je vous apprenne quelques coups, histoire de pouvoir vous défendre autrement face à ces Goa’uld ?"
Vue sa mine Sarbin avait réussi à la déstabiliser. Chacun son tour pensa t'il content de lui.
Il appréhendait tout de même la réponse de la demoiselle et guettait sa réaction avec impatience.