Le ciel était plutot gris, avec des nuances plus sombres. Les arbres et pins environant avec, du coup une teinte grisâtre, peu réconfortante, seul la terre se démarquait du lot, toujours aussi marron. La jeep militaire filait a vive allure, conduite par un militaire en traillis qui avait une conduite plutot nerveuse. C'était moi. Un arrêt au poste de garde du camp d'entrainement, salut de la part des gardes et renvoi du salut de la part du gradé du volant et la jeep filait en plein milieu du camp, tel un cheval de métal au galop.

*Si ça continue, je vais en retard.*

La jeep accelera un bon coup entre les baraquement et les tentes des jeunes recrues de l'US Air Force, pour enfin, terminé sa course folle dans un stationement en crénau "dérapé-sur-la-boue" entre une poubelle et le mat supportant la bannière étoilée. Je jettai un coup d'oeil sur ma montre, 8h30, pile poil a l'heure, mais qu'en sera-t-il de la recrue ? D'un mouvement de tête, mon regard balaya le camp et, apparament, pas de signes du stagiaire. En attendant, je pris mon petit cartable de cuir noir et j'en sortis un dossier complet, avec photo et feuilles médicales et je commençais à le revoir. C'était une jeune femme, et à mon grand plaisir, une scientifique, j'adorais les voir se démenés comme des rats de laboratoires dans des situations les plus dangereuses les unes que les autres.

J'étais très anxieuse de ce premier rendez-vous "chez les militaires", comme je me plaisais à le dire... Je ne connaissais pas vraiment le milieux, ni même les habitudes des militaires.Et c'est cette anxiété qui m'avait fait lever de bonne heure. J'avais beaucoup d'avance par rapport à l'horaire prévu, et je commençais donc tout naturellement par une relecture de ce texte grec qui m'occupait l'esprit depuis quelque temps.

Puis à l'horaire convenu, je prit mon sac remplit de carnets de traductions, de dictionnaires et d'ouvrages linguistiques, et je me rendit vers le lieu qui m'avait été indiqué.

* 8h20 : c'est parfait !*

Je me croyais être parfaitement dans les temps, mais c'était sans compter le temps de vérification de mon identité et de mes affaires à l'entrée du camp militaire !

Heureusement mes affaires furent fouillées rapidement, ma convocation et mes papiers d'identité furent validés.

Une jeep passa à toute allure près de ma voiture, et pénétra dans le camp par une entrée contrôlée magnétiquement.

* C'est clair que c'est beaucoup plus pratique ! *

Les gardes m'obligèrent à garer mon véhicule civil à l'entrée, et l'on m'indiqua le lieu où m'attendait un certain Major Fett.

Je garais ma voiture à toute hâte : il était 8h30.

Je courrais jusqu'à l'endroit prévu, et reprit un rythme normal de marche en apercevant le Major. Il était assez grand, surtout par rapport à moi, mais il n'était pas exceptionellement musclé... pas comme j'imaginais le genre de militaire d'un programme secret... Je me moquais un moment de moi-même :

* Et pourquoi seraient-ils tous "exceptionellement" musclé ! *

Le Major avait le nez plongé dans un dossier. Je regardais discrètement l'heure : 8h32.

J'arrivais à hauteur du Major :

- Bonjour Major. Je suis le Dr. Jeanny McKenzie. Désolée du léger retard, je n'avait pas pris en compte le contrôle à l'entrée du camp...

Je venais de finir mon discour par mon habituel questions demandant si il y en avait justement, et je pu remarquer que mackenzie paru moins anxieuse, plus sur d'elle, peut etre se sentait elle plus a l'aise maintenant qu'elle a découvert le programme et son instruceteur. et me posea une question inévitable.

- Bien Major. Où se trouve les vestiaires ?

-"Il n'y a pas de vestiaire ici, Mackenzie, vous allez vous changer dans cet tente."

Fis-je en désignant une tente qui était située a notre gauche. La recrue obéit et s'executa mais était visiblement étonné de se changer dans un endroit visiblement rudimetaire, au quasi regard de tous. 5 minutes plus tard, elle revint en uniforme, rangers au pied et cheveux attachés, puis elle se tenait devant moi attendant mes instructions.

-"Très bien. Nous allons donc commencer. Suivez moi, le stand de tir est plus loin."

Je levais mes fesses de la carosserie de la jeep et j'ouvris la marche, Mackenzie me suivant de très près.Nous parcourûmes une 50 aines de mètres dans un dédale de tentes et de poubelles pour enfin arriver au stand de tir, un terrain vague long de 200 mètres. devant nous, étaient positionnés des planches sur trétaux avec dessus différentes armes et munitions de toutes catégories et de tout calibres. A divers endroits du champs de tir se tenaient des cibles rouges de tailles diverses. Je m'arrêtais devant une table contenant divers pistolets et armes de poings.

-"Nous y voilà ! Ceci sera votre premier atelier."

Fis-je en désignant le champs de tir en me tournant vers mackenzie. Puis, sur la table a trétaux, je pris un pistolet et un chargeur et je les montrais a Mackenzie.

-"Ceci est un beretta. c'est une arme de poing de calibre 9mm, c'est une armes très répendu et arme deservice dans l'armée américaine. Maintenant, je vais vous apprendre les rudiments de l'utilisation d'un Berretta. Je vais faire simple. Tout d'abord, insérer le chargeur dans le pistolet. Puis en lever la sécurité grace a ce petit verrou situé en haut de l'arme, près du chien. Il suffit juste de le faire basculer. Lorsque que le point rouge apparait, la sécurité est enlevée. Pour la remettre, il suffit de basculer le verrou dans l'autre sens pour faire dsiparaitre le poing rouge. Ensuite, il faut armer le pistolet, pour pouvoir tirer. Pour cela, tirer l'extracteur, la pièce recouvrant le canon vers l'arrière. Ensuite viser et tirer."

Tout en expliquant, je lui montrait par des gestes comment s'y prendre avec l'armeen questions. Puis une fois finit, je visais une cible et je tirais un coup au but. Puis je remit la sécurité. Et je tendis l'arme a ma recrue.

-"A votre tour maintenant. Vous prenez cet arme et vous tirez sur les quelques cibles qui se trouvent a une vingtaine de metres de la table. n'hésitez pas a vider quelques cartouches sur chaque cible. Vous me videz au tant de chargeurs que vous voulez, l'important, c'est que vous compreniez comment il faut seservir de cet arme. et j'oubliais un chargeur de berretta contient que 15 balles, donc en situatrion de crise, n'oubliez pas de compter au fur et a mesure que vous tirer."

HJ: très bien, tu peut décrire le parcour de la jeep au stand de tir comme tu le veut, en ayant un minimum de cohérence avec mes propos. Ensuite, pour l'exercice de tir, tu n'est pas un sniper, donc essaye de décrire des réactions et des compétences propres a un scientifque.

* Evidemment, il n'y a pas de vestiaires ! *

Mais après tout ce n'était qu'une habitude à prendre, et j'exécutais les ordres. C'était ça de vouloir travailler avec des militaires...

* Exécuter les ordres ! *

Je me changeais rapidement, quittait à regret mon jean et mes baskets confortables, et j'enfilais l'uniforme. A mon grand étonnement, il était plutôt confortable... même les rangers l'étaient...

* Pas très sexy... mais confortable ! *

Je rejoignais ensuite le Major qui devait me conduire vers le stand de tir.

* Oulà... "stand de tir"... ça va être du jolie ! *

Le Major avait ouvert la marche, et nous traversâmes plusieurs mètres - qui me semblèrent interminables - de tentes et de poubelles. Les tentes étaient parfaitement alignées, et toutes les trois tentes précisément un regroupement de poubelles témoignait que cet endroit était bien un lieu de vie... tout était si parfaitement à sa place... et aussi extrêmement désert !

Un instant je pensais que cet endroit n'était pas encore occupé et je faillis interroger le Major à ce propos quand je remarquais qu'il fixait l'horizon sans s'occuper de ces tentes et de ses poubelles. Je n'osais pas le déranger et je conclut de ce lieu désert qu'il était occupé par des soldat, actuellement en entrainement...

Je regardais alors à mon tour vers l'horizon, mais mon regard se stoppa sur quelques planches de bois montées sur tréteaux, qui visiblement nous attendaient... Je finit par distinguer les contours de diverses armes à feu. Puis mon regard se porta sur les cibles rouges, disséminées un peu partout derrière ces tables improvisées.

Je commençais à vraiment m'interroger sur ma présence devant ces armes quand le Major prit la parole :

-"Nous y voilà ! Ceci sera votre premier atelier."

* Oh mon dieu... *

- Bien...

Puis le Major prit une arme qu'il appela "un beretta" et m'expliqua son fonctionnement. Il visa une cible et tira, mais cette cible était tellement loin que j'étais incapable de dire à quel l'endroit il l'avait touchée... prêt du centre, assurément !

Puis il remit la sécurité, me tendit l'arme, me donna quelques ultimes instructions et m'invita tirer à mon tour.

-"A votre tour maintenant. Vous prenez cet arme et vous tirez sur les quelques cibles qui se trouvent a une vingtaine de metres de la table. n'hésitez pas a vider quelques cartouches sur chaque cible. Vous me videz au tant de chargeurs que vous voulez, l'important, c'est que vous compreniez comment il faut seservir de cet arme. et j'oubliais un chargeur de berretta contient que 15 balles, donc en situatrion de crise, n'oubliez
pas de compter au fur et a mesure que vous tirer."

- Euh... Oui. Je... euh... d'accord, je vais essayer !

Je pris l'arme d'une main peu confiante et j'enlevais la sécurité. Dans un premier temps, il m'était inutile de recharger l'arme, le Major n'avait utilisé qu'une balle. Je pris une profonde inspiration, me ressaisit, je tirais l'extracteur vers l'arrière et commençais à viser le centre d'une cible située juste en face de moi, à une vingtaine de mètres.

Après un ajustement qui dut paraitre interminable au Major, j'appuyais sur la gâchette. Je fus d'abord choquée du bruit qui se dégagea de l'arme et du choc qui parcourut tout le beretta lorsque la balle partit... J'en restait un moment perplexe, puis reprenant mes esprits, je fis le constat de mon premier tir :

* Manqué ! *

Je tirais l'extracteur de nouveau, visais... et tirais. Cette fois-ci le bruit et le choc de la balle tirée me parurent bien moindres.

- Encore manqué !

Je répétais l'opération une troisième fois, et cette fois-ci fut la bonne.

* Ouais ! *

J'avais enfin la cible. L'impact était très ex-centré du côté gauche... mais j'avais atteint la cible !

Mon quatrième tir fut malheureusement raté, mais mon cinquième atteint la cible très proche de son centre. Je continuais alors mes tirs, cherchant à réduire au maximum le temps d'ajustement, ratant une bonne moitié d'entre eux, touchant tout de même plusieurs fois la cible du côté gauche.

Mes tirs n'étant pas très enchainés il m'avait était facile de compter jusqu'à maintenant, et après avoir enclenché la sécurité, je rechargeais donc le "beretta" au bout de mes 14 tirs, comme m'avait montré le Major. Mes gestes étaient lents, mais appliqués et précis.

Je continuais ainsi, me familiarisant petit à petit avec cette arme.

HJ : Une question : est-ce que j'avais le droit de faire parler ton personnage, lors du parcourt entre la jeep et le stand de tir par exemple ? Et sinon, ça donne quoi en gros ? Je m'en sors ?

Je me tenais a coté de Mackenzie pour observer ses progrès en matière de tir au pistolet. Elle se débrouillais assez bien pour une scientifique qui n'avais jamais tenu d'arme entre les mains. Elle ratais des cibles, mais au moins, elle en touchait. Je la voyais répéter les gestes que lui avait enseigner avec application. Elle rechargea son arme sans difficulté apparente. Elle se débrouillait vaiement très bien. Puis je me suis dit que nous devions passer a autre chose qu'au coup par coup.

-"Stop ! Halte au Feu ! C'est très bien pour une débutante et un scientifique qui plus est. Après le coup par coup, comme vous venez de le faire, nous allons passer au mode semi automatique. Pour passer sur ce mode, vous avez un petit levier au dessus de la gachette, il suffit de le mettre sur "SA". Avec ce mode, plus besoin d'armer a chaque tir votre arme, une fois qu'elle est armée, il n'ya plus qu'a appuyer sur la gachette autant de fois que vous le voulez. Par contre, une fois que vous rechargez votre arme, vous devez la réarmer. Je vous montre"

Je pris son berretta encore fumant et j'abaissa le levier. je pris mon temps pour viser une cible un peu plus proche que les autres et j'appuya plusieurs fois sur la gachette, faisant feu de plusieurs couop a la suite. Ainsi, je vidais le chareur et j t'endis l'arme vide a Mackenzie.

-"Maintenant à vous. Et n'oubliez, lorsque vous est en semi automatique, et que vous enchainez les tirs, vous perdez en précision."

Puis je regardais Mackenzie se débrouiller avec l'arme. Puis j'engageais la conversation.

-"Dites moi, qu'est-ce qui vous a inscitez a participer au programme "Porte des Etoiles" ? Il faut etre tarer pour venir ici !"

HJ: Non, tu n'as pas le droit de faire parler mon personnage car il faut savoir que dérrière un personnage, il y a une personne qui a une idée précise de ce que veut dire son peronnage veut dire. Par contre tu peut faire parler des PNJ (perso non jouable) si tu en a l'autorisation du MJ. Par contre tu peut essayer de faire deviner a ton personnage les émotions d'autres personnage (qu'ils soient PNJ ou non), c'est tolérer dans une certaine mesure.

Et tu t'en sors, je trouve que c'est bien détaillé et bien écrit pour une personne qui a commencé le RP il y a peu de temps.

HJ : Désolé j'ai été obligé de reprendre des élèments de mon ancien post : j'étais déjà passé en S.A, sans que tu m'ai montré comment faire [la cata ! lol] Mais j'ai fais en sorte que tout reste cohérent.

Les compliments du Major m'avaient redonné confiance en moi même. Evidemment j'étais loin d'être prête au combat, mais j'étais là pour apprendre... Alors j'écoutais avec beaucoup d'attention les consignes du Major, je m'efforçais de mémoriser ces gestes pour pouvoir ensuite les reproduire moi-même.

-"Maintenant à vous. Et n'oubliez pas, lorsque vous êtes en semi automatique, et que vous enchainez les tirs, vous perdez en
précision."

Je rechargeais l'arme comme j'avais appris. Je décidais cette fois-ci de viser une cible sur ma droite. Je retirais la sécurité, réarmais l'arme, et enchainais plusieurs coups successifs, sans parvenir à les compter : un seul toucha la cible.

Je recommençais une nouvelle fois, et sentit une sensation très particulière... les coups étaient extrêmement réguliers... comme des notes de musiques, moins mélodieux bien sûr ; mais la sensation était la même que lorsque je devais, étant plus jeunes, compter mes doubles-croches afin de rester en mesure et de ne pas en faire en trop.

Dès lors, il me devint facile de compter mes balles utilisées. En revanche elles n'atteignaient qu'un peu plus la cible, et pas vraiment au centre.
Ce nouveau chargeur me permit tout de même un nouveau record : 9 balles sur 15 atteignirent la cible dont seulement trois très proches du centre.

J'attaquais un autre chargeur sous le regard du Major.

-"Dites moi, qu'est-ce qui vous a inscité à participer au programme "Porte des Etoiles" ? Il faut être taré pour venir ici !"

- Oh... je baissais les yeux et esquiscais un sourire triste, puis je me forçais aussitôt à me reprendre.

C'est compliqué... Disons que je voulais une vie très différente, la mienne n'était pas...

Je ne pus m'empêcher de penser à Logan, que j'avais laissé derrière moi, à mes parents qui devaient de toute façon m'avoir oubliée... Et si Logan venait à sortir de son coma, comment allais-je faire ? Je coupais court à mes pensée en concluant :

- Enfin, il me fallait un nouveau départ, loin de mon ancienne vie !

L'évocation de mon passé m'avait quelque peu rendue nerveuse, et ce chargeur fut moins réussi que les autres. Mais il fallait que j'apprenne à gérer mes émotions à propos de mon passé... car il m'appartenais, il m'accompagnerais toujours. Et puis, en maitrisant mes émotions, j'arriverais sûrement à garder le meilleur... car j'avais aussi vécu des moments réellement heureux. Mais la noirceur des derniers évènements de ma vie obscurcissait tout mon passé.

Je rechargeais l'arme, je la réarmais, et continuais mes tirs...

Alors que Mackenzie s'entrainait au tir, elle me répondit sur son engagement. Tout en tirant des coups de feu, elle me répondit qu'elle voulait d'une nouvelle vie, un nouveau départ. Je la comprenait, la plus part des personnes dans la base n'étaient pas ici juste pour rester dérrière un bureau, quelqu'en soit les raisons. Moi même, je m'étais engager pour connaitre, etre toujours mis a l'épreuve. Finalement, lorsque qu'on y repense, quand quelqu'un s'engage dans le SGC, c'est pour pouvoir oublier son passé, et voir l'avenir.

-"Dans ce cas, je vous souhaite de réussir votre nouvelle vie. Une fois que vous aurez traversé la porte, on saura si vous etes fait pour cette nouvelle vie. Beaucoup ne le supporte pas, et quittent le programme, et d'autres se font tuer car ils n'étaient pas a la hauteur. Je vous souhaite réellement de réussir ce nouveau départ. Mais sachez que le SGC n'est jamais sans risques."

Mackenzie, attentif a ces réponses, finit de vider un chargeur. Son arme était en surchauffe, il n'allait pas tarder a avoir un problème. le moment était venu de passer a autre chose.

-"On va arrêter la avec le beretta. Vous vous en servez plus que bien pour un bleu. Théoriquement, je devrait juste vous enseigner le maniement d'un pistolet, mais je préfère vous enseignez, en plus et pour votre sécurité, l'utilisation de l'arme la plus courante, la plus utilisé en mission, le P90."



Je pris l'arme en question sur une des tables et je la montrais a Mackenzie, très attentives a mes moindres faits et gestes.

-"Comme vous le voyez, cette arme est très compacte, une 50 aines de centimètres. Ceci est un pistolet mitrailleur. Come tout les armes de notre monde, il est très simple d'utilisation. Vous insérez le chargeur sur le dessus de l'arme, vous armez l'arme en tirant le levier d'armement sur le coté. Puis vous baisser le petit levier de sécurité pour enlever la sécurité. Juste a coté se trouve le levier de selection de mode de tir, vous avez le chois en tre semi automatique, come pour le beretta et le "full" automatique, ou il sufit de rester appuyer sur la gachette pour vider un chargeur."

Tout en même temps, je lui démontrais les geste a faire sur le PM.

"Vous aller essayer les 2 modes prenez bien votre temps pour vous familiariser avec, il se peu que vous en auriez besoin en mission lorsque que tout vos co-équipier seront mort. Installez vous et faites feu. Et une précision, en "Full automatique, tirez de courtes rafales, ainsi vous eviterer de tirr a coté de la cible de vous faire emporter par le recul de l'arme. Comme ceci."

J'épaulais l'arme et je visais une cible plus lointaine et un peu plus grande que celle qui servait aux pistolets. Je tirais une première rafale de 5-6 cartouches, qui atteignirent la cible, puis une deuxième, beaucoup plus longue, ou seulement quelque balles atteignirent la cible, les autres touchant le sol faisant voler de l'herbe et de la terre humide dans tous les sens.

"A vous maintenant !"

HJ:Excuse moi pour l'explication alors^^. J'essayerais d'eviter la prochaine fois.

Tu peut me poser des questions aussi.

Lorsque je lui disais mon discours sur la vie et la mort au SGC, Mackenzie semblait tout d'abord anxieuse, puis, surement après un instant de réflexion, elle semblait déterminer. C'était tant mieux, mieux vaut une recrue qui sait a quoi s'attendre et motivé, qu'une recrue qui sera surprise par toute cette violence et craquera au premier instant venu.
Après ce légère apparté, Mackenzie se pérapra au tir avec le P90 en observant attentivement l'arme sous toutes ses coutures et finit par me poser une question.

-Wouah, ça fais bizarre... Hum, on vise à quel distance avec ça ? Plutôt prêt, plutôt loin... ? Ou tant que l'on tire, peu importe la distance ?

-"Cette arme est un pistolet mitraileur. C'est une arme, qui est fait pour le combat sur courte et moyenne distance, compter 150 mètre tout au plus, après la vitesse de la munition décélererait trop vite et se ferra emporter par le vent ou touchera terre avant de tuer votre ennemi. De plus, les organes de visée de l'arme ne vous suffiront pas a vérrouiller la cible. Ce n'est pas un fusil d'assault, ni un fusil de précision. Aller remettez-vous au travail"

Moi, je restais en retrait pour surveiler ses progrès, et j'espèrais qu'elle reussirais a bien maitriser cette arme et ainsi montrer qu'elle pourra s'adapter a des situations se détériorant. personnellemnt, je voyais mal un scientifique resister a une demi dizaine de jaffas rien qu'avec un pistolet.

Je regardais attentivement Jeanny se débrouiller avec le P90. Assez pataud et maladroit au début, puis prenant de l'assurance au fur et mesure. Certes, ce n'étais pas parfait, mais pour une recrue et un scientifique qui plus est, c'était assez conséquent. Mackenzie savait se débrouiller avec des armes, sur ce point je ne me faisait plus de soucis. Elle m'interrogea du regard pour savoir si c'était Ok.

-"Et bien, Mackenzie, pour une recrue te pour une scientifique, vous vous débrouillez plutot bien. Pour les armes, c'est finit, aprèsvous devrez fairevos preuves en mission. Remetez la sécurité et allez vous changer, nous allons passer au sport. Vous trouverez des affaires dans ma jeep, et a vous de vous trouvez un endroit pour vous changer. On se retrouve a coté de ma jeep dans 5 minutes."

Je regardais Mackenzie posez l'arme sur la table et s'éloigner. Je restais un instant près des armes en les observant attentivement, puis dans un accès de colère, je pris une M16, je la chargeais et l'armais puis je fis feu sur toutes les cibles que je voyais, vidant chargeur sur chargeur en moin de 5 minutes. A quoi bon d'entrainer une recrue si c'était pour la voir une semaine plus tard les tripes dans la neige et appeler sa mère en pleurant ?
Je jettais l'arme avec rage, puis je partis en direction de ma Jeep. qaund j'arrivais a ma jeep, jeanny était déja prête. Pour une fois, la recure attendait le formateur. Je m'arrêtais et je pris ma petite pochette en cuire et je me retournais vers mackenzie.

-"Nous allons donc faire du sport. Suivez moi, le parcours d'obstacle se situe plus loin."

Sans un mot de plus, je partis en tête de groupe sans me soucier vraiment si mackenzie me suivait. après 5 minutes de marche, nous arrivâmes au parcours d'obstacle, situé a l'écart du camp, prêt de la forêt. On pouvais y voir plusieurs obstacles comme des cordes, tiroliennes, ect..
Je m'arrêtais devant la rampe d'engagement et je me retournais.

-"Voici le parcours d'obstacle. Il fait apeu près 400 mde long et est de forme circulaire. Vous y trouverez bien évidament des obstacles. A vous de gérez votre effort pour le terminer. Vous avez exactement 4 minutes 30 secondes pour revenir ici."

HJ: Tu peut développez ce qui se passe en tre le stand de tir et le parcours d'obstacle. Et pour le parcours d'obstacle, fait appel a ton imagination !

" - On se retrouve a coté de ma jeep dans 5 minutes."

"Compris." répondis-je.

* Et merde, que 5 minutes pour trouver où me changer, et me changer !!! *
Je ne perdais pas de temps et me dirigeai en trottinant vers la jeep. Heureusement pour moi, une fois arrivée à la jeep, je trouvai rapidement l'équipement dont m'avais parlé le Major. Je l'attrapais vivement, et commençais à chercher un endroit où me changer.

Il me fallait bien choisir ; le camp n'était plus ce camp désert de mon arrivée, maintenant quelques soldats ici et là le parcouraient en trottinant comme moi, faisant des aller-retour, créant une sorte d'agitation confuse.

Je ne connaissais pas du tout les lieux et me sentais plutôt perdue. Mais je me voyais mal arrêter un des soldats et lui demander où je pouvais me changeais ! Alors je cherchais rapidement un tente où il n'y avait pas vraiment d'activités mais n'en trouvais pas... Je m'approchais d'un bâtiment que j'avais remarqué en allant au stand de tir, et en faisais le tour. Ça avait l'air désert et je me décidais à me changer là.

J'enlevais mon treillis pour enfiler ce qui aller devoir remplacer mon habituel short de basket, plutôt masculin d'ailleurs, qui me servais lors de mes jogging. J'entendis alors quelques coups de feu qui me surprirent d'abord, puis je me rappelais que j'étais proche du tir de stand : rien d'inquiétant ! Je m'activais un peu plus sentant la fin des 5 minutes approcher, et alors que j'enfilais mon tee-shirt de sport, un soldat passa par le coin du bâtiment derrière lequel je m'étais arrêtée. Il ne parut pas vraiment surpris, mais moi j'étais complètement gênée, et je ne dûs pas bien le cacher car il me rassura avec un léger sourire et en ajoutant :

- Bienvenue au camp, Mlle, avant de continuer son chemin.

Je devais véritablement avoir l'air débutante et pas du tout militaire pour qu'il me dise cela ! Mais je n'avais pas vraiment le temps d'y penser et me précipitais plutôt vers la jeep, alors que les coups de feu grondais toujours.

J'arrivais enfin à la jeep et à mon grand soulagement j'eus le temps de souffler un peu car je fus la première arrivée. Cependant je n'attendis pas longtemps avant que le Major me rejoigne. Je remarquais alors quelque chose dans son visage ; entre la tristesse et le dégout... ou peut-être autre chose, je n'arrivais pas à vraiment identifier son expression... il la masquait.

-"Nous allons donc faire du sport. Suivez moi, le parcours d'obstacle se situe plus loin."

- Bien.

* Génial ! Du sport... *

Je ne m'inquiétais pas vraiment pour cette épreuve, j'étais assez sportive, mais plus par obligation que par véritable plaisir... mais il allait falloir s'y mettre, une fois de plus !

Je suivais le Major qui me conduisit jusqu'au parcours d'obstacle. Je profitais de ces 5 minutes de marche qui nous séparais du parcours pour en savoir un peu plus sur le programme porte des étoiles. Etant désormais officiellement recrue, le Major m'en appris un peu plus, sans pour autant tout me révéler. J'avais vraiment hâte de travailler sur tout un tas de textes extra-terrestres.

[HJ : C'est tout pour aujourd'hui. Je ferais très bientôt un nouveau post pour le parcours d'obstacle. ]

HJ: Très bien ça roule. Prend ton temps pour faire ton post, il n'y a rien qui presse.

J'arrivais enfin devant le parcours d'obstacles. Je ne pouvais pas le voir entièrement -une partie de ce terrain traversait la forêt- mais il m'était tout de même facile de distinguer du grillage, des murs, un terrain irrégulier...

-"Voici le parcours d'obstacle. Il fait a peu
près 400 m de long et est de forme circulaire. Vous y trouverez bien
évidemment des obstacles. A vous de gérez votre effort pour le terminer.
Vous avez exactement 4 minutes 30 secondes pour revenir ici."

- Ok, c'est parti ! "

Il me laissa devant la rampe d'engagement et fis quelque pas en arrière attendant mon départ.

J'enlevais ma veste de sport et me mettais en tee-shirt, je réglais mon chronomètre sur 4.30 min. Puis je me plaçais prête à partir, pris une grand respiration, et tout en enclenchant mon chronomètre, je m'élançais vers le premier obstacle.

Il était composé de plus d'une douzaine de murets très peu épais mais très rapprochés qui occupaient toute la largeur du terrain. Je les franchissais donc en imitant la traditionnel "montée de genoux" de mes entrainements de basket et de mes années scolaires...

* 4.02 min *

Ce premier obstacle ne m'ayant pas trop épuisée, j'attaquais avec confiance le second.

Le terrain devenais soudainement très bosselé ; le sol variait entre graviers, galets et sable selon les endroits. Je me tordis plusieurs fois la cheville avant de placer d'avantage d'assurance dans mes appuis. Les graviers étaient glissant, les galets instables et le sable épuisant ; et les bosses m'empêchais de garder une allure régulière et de gérer mon effort.
A la sortie de cet obstacle, qui vraisemblablement n'était pas tout à fait terminé, mes pieds s'enfoncèrent dans une boue épaisse et gluante. Mes jambes, qui s'enfonçaient jusqu'à mi mollet, devinrent lourdes et je devais faire un important effort à chaque foulées.

* Merde, plus que 3 minutes 09 ! *

Cet obstacle m'avait véritablement épuisé, et je me vis un moment abandonner parce que j'imaginais les suivants pire encore, lorsque je m'aperçus que le troisième obstacle n'était en fait qu'une traversée dans les bois.

Le sol devenais plutôt herbeux, légèrement irrégulier et quelques tronc d'arbres venaient se joncher ça et là. A cela s'ajoutait une obscurité croissante et assez conséquente et quelques branches plus basses les unes que les autres. Je forçais ma vue à s'habituer à l'obscurité et enjambais quelques troncs, évitais les autres, me baissais pour évitais quelques branches, sautais par dessus d'autres...

Je m'en sortais plutôt bien lorsqu'une ronce sortit de nulle part vint m'attraper le bras droit avec la manche de mon tee-shirt ; dans mon élan la branche déchira un morceau de ma manche -pourtant déjà bien courte- et me griffa de l'épaule au coude en plusieurs petites tranchées. D'instinct je portais ma main et mon regard à la blessure et faillit manquer de justesse la fin de cet obstacle : un fossé assez large et plutôt profond... je rassemblait quelques forces et sautais de justesse par dessus.

* 2.07 min. *

Je ne me sentais pas vraiment capable de continuer lorsque je m'aperçus que j'avais effectué la moitié du parcours en distance. Je pouvais apercevoir mon point de départ et cela me donna un peu de courage...

Je ne compris pas tout de suite le quatrième obstacle... C'était une sorte de rideau de grillage posé sur le sol. Je ne compris qu'en m'approchant d'avantage : il ne s'agissait pas de grillage mais de barbelés et ils n'étaient pas posés sur le sol mais légèrement sur-élevé... : il allait me falloir ramper en dessous.

* Putain mais je suis pas militaire, je sais pas ramper moi ! *

Et bien obligée de me soumettre à ce nouvel obstacle, je me lançais à plat ventre et commençais à avancer en rampant comme je le pouvais. Je fus tellement maladroite que j'accrochais les barbelés et finissais d'achever mon tee-shirt : je l'entaillais dans presque toute sa largeur dans mon dos.Je commençais alors à me familiariser avec cette façon de se déplacer, et après avoir repris un peu confiance, j'avançais plus rapidement et plus surement.

J'avais totalement repris confiance lorsque le sol commença à devenir mou et gluant... de la boue, encore de la boue ! Je fis une grimace de dégout et me sentit véritablement trahis, offensée et en colère de devoir ramper dans la boue, alors qu'on ne m'avais même pas prévenue ! La fatigue n'arrangeant rien, des larmes de dégout me montèrent aux yeux.

Alors, comme à mon habitude dans ce genre de situation mal vécue, je m'efforçais de penser à quelque chose de pire pour me convaincre que j'étais capable de surmonter cette épreuve. Et malgré l'invraisemblable de cette situation je trouvais pire...

* Heureusement qu'je dois pas ramper sous une tôle ou un espace sans jour et sans air ! * pensais-je nerveusement.

Légèrement claustrophobe, cette idée me sauva et me donna envie de prouver que je pouvais y arriver.

Cette épreuve fut donc psychologique, et alors qu'elle m'avait paru durer une éternité, le chronomètre indiqua encore 1 minutes 19.

Couverte de boue, je me remis sur mes jambes que je sentais à peine et continuais ma course bien que j'avais l'impression que tout mon corps était endormi. Un pente assez violente le réveilla soudain : mes jambes accelèrerent la cadence, mes bras équilibrèrent mon corps...

J'aperçus vers la fin de cette pente mon cinquième obstacle : à gauche, un bassin d'eau ; à droite, un mur de plus de deux mètres à franchir.

Etant assez bonne plongeuse je fis rapidement mon choix ; un bon plongeon me permettait de parcourir facilement et rapidement plus de la moitié du bassin. Je m'élançais et fendais violemment l'eau, à tel point que j'y laissais ma chaussure gauche.

Je me rendis tout de suite compte de quelque chose que je n'avais pas pu calculer : l'eau était vraiment très froide! Un moment j'eus peur de rester paralysée dans cette eau, comme lorsqu'enfant, ne craignant pas le froid, les eaux gelées me donnaient un soudain mal de tête et me laissaient tout juste capable de me maintenir à la surface, paralysant mes membres en attendant que mon corps se réchauffe je-ne-sais-comment.

Mais cette fois je n'avais pas le temps d'attendre que mon corps se fasse à cette température, et j'enchainais à toute vitesse les mouvements pour éviter de rester paralysée.

Je sortit enfin de ce bassin, trempée de la tête au pied, dégoulinant d'un mélange de boue et d'eau, le tee-shirt déchiré, le bras saignant, une chaussure en moins...

* 35 secondes. *

Je rassemblais le peu de force qu'il me restait pour aborder les derniers mètres qui étaient en montée, et dans un effort suprême, je lâchais tous mes membres dans ce qui me parut un sprint, pour enfin franchir la ligne d'arrivée.

* 15 secondes. *

Dans un énorme soupir je m'approchais du Major, et incapable de parler, je grimaçais de fatigue et de dégout, et baissais les yeux...

[H.J : J'en ai peut-être fait trop ; chaque obstacle semble un peu long pour une piste de 400 m. mais je voulais vraiment quelque chose de monumentale ! lol J'espère que tu as apprécié la lecture...]

HJ: Putain ! J'ai adoré ! On s'en fout si il y en a de trop.

Je regardais un instant le visage de Mackenzie, après que je lui ai annoncé son parcours. Mckenzie semblait confiante, apparament, du sport ne lui faisait pas peur. Elle partait déjà avec un bon point autant pour elle que pour moi. Elle enlevit sa veste et se mit en position sur le départ, je la vis enclencher sa montre chronomètre avant de partir, je fis de même lorsque qu'elle commença sa course.
je la vis monter le premier obstacle sans difficulté, et repartir avec une bonne allure. Ensuite elle attaqua les gravier et le sable, et la diiférence de terrain fut la surprise. Jeanny tomba plus d'une fois, mais au final, elle trouva un certain point d'équilibre pour pouvoir progresser a travers de cet obstacle. Puis il y eu le troisième obstacle, la boue. ma recrue s'enfonça jusqu'au mollet dans la boue puis franchit cet obstacle au prix d'énorme effort, la boue alourdissant considérablement ses jambes.
Après elle attqua la partie des bois avec de la fatigue, mais les arbres bouchant la vue, je ne puis voir comment elle se débrouillait. Puis, je la vis ressortir avec une manche déchirée et du sang au niveau de l'épaule. Elle s'arrêta devant le fossé, puis prit de l'élan pour le sauter, et attérit de justesse de l'autre coté.
Puis ce fut le tour des barbelés. Je me réjouissait de cet épreuve, il n'y a que sur celle là que l'on voit si lesrecrue on un minimum de souplesse et n'ont pas peur de se salir. Mackenzie, quant a elle, fut d'abord dégouté de voir cet obstacle, mais elle mit quant meme les mains dans la merde. Elle s'allongea, et se mit a ramper sous les barbelers déchirant son t-shirt tout au long de l'obstacle. Elle se leva puis repartit, mais la fatigue lui arracha des larmes de souffrance, c'était normal.
Puis elle arriva a un choix, passer par dessus le mur ou franchir un obstacle d'eau. Elle préfera l'eau, et elle se réleva excellente nageuse. Une fois sortit, Elle se défonça pour courrir les derniers mètres me séparant d'elle. Je voyait bien qu'elle souffrait.
Dans un dernier pas, elle franchit la ligne d'arrivée et s'arrêta près de moi, exténuée, morte de fatigue, les larmes aux yeux, les mains sur les genoux pour ne pas tomber a la renverse. Je m'approchais d'elle et la pris par dessous les épaules, visiblement elle ne pouvait plus marcher.

-"Cet excellent Jeanny ! Du bon boulot ! Vous vous etes arrcher sur le parcours, c'est ce que je voulais voir ! venez Avec moi. On rentre a la jeep, et je vous soigne votre bras. Ce serait dommage de choper le tetanos !"

Fis-je en lui adressant un sourire. Toujours en la soutenant par dessous les épaules. Nous parcourîmes la distance avec un peu plus de temps qu'a l'aller. jeanny semblait toujours extenuer mais commençait a récuperer. Une fois a la jeep, je fis asseoir Mackenzie sur le siège conducteur, et je sortis la trousse de premier soins. je pris du désinfectant que e mis sur une compresse et je commençais a nettoyer les griffure qu'elle avait au bras.

-"C'est très bien mckenzie. au moins, on peut dire que vous n'etes pas une tire-au-flanc ! Je suis content de vous."

je finis de nettoyer les griffures et je prit une autre compresse propre et du sparadra pour lui faire un pansement. Je lui appliquais sur son épule et je mis sa veste sur ses épaule pour qu'elle n'aie pas froid. Puis je lui tendis une bouteille d'eau.

-"Buvez et reposer vous. C'est la pause, on va casser la croûte et ensuite, cet après midi, nous attquerons la manoeuvre. suivez moi, je vais vous montrer le self quand vous serez reposez."

Hj: franchement, tu m'as épater ! Bon je te laisse completer le passage."

Après ce dur excercice et les le repos qui s'en suivis a ma jeep, Mackenzie semblait prêt a aller casser la croute. Moi même, je commencais a crever la dalle, et manger un bon steack ne me ferait que du bien. Encore devais-je trouver le self et une place pour m'asseoir.

-"Ce n'est rien pour les affaires de sport, le gouvernement ne vous dira rien. Suivez moi, nous allons au self du camps. La bouffe est moins bonne qu'a la base, mais elle reste comestible."

Je me mis en route, les pieds dans les rangers, a travers le camp d'entrainement dans l'espoir de trouver ce fichu self. Puis, enfin, je trouvais le self, sous une tente bien entendu. Il y avait du monde, évidament, c'était la pause de tout les stagiaire. Plusiers soldats me saluaient quand je passais devant eux, et suivant les règles, je leur renvoyais le salut d'un signe de tête. Certains même se levaient de leur banc pour me saluer. Pusi j'arrivais aux cuisines, Où attendait McGregor, le cuistot du camps.

-" 'lut major Fett ! Alors on a trouver une copine ?"

-"Lut Mac. Non, ce n'est pas ma copine, juste une stagiaire-recrue a former avant de l'envoyer au casse pipe. Sert moi un steack pas trop pourrit et des frites pas trop carbonisées s'il te plait"

-" Niark ! Vieux lascard."

Il me tendit mon plateau avec ce qu'il semblerais ce que j'avais commandé. Puis j'attendit Mackenzie un peu plus loin.*

-"Et vous Mad'selle ? Vous voulez quoi ? Et un bon conseil, fermer les yeux quand vous mangerez, la bouffe passera plus facilement."

Puis quand Mackenzie fut servit, je l'invitais a me joindre a moi sur une table avec des soldats un peut plus gradés.

-"Alors, comment trouvez vous votre formation pour l'instant ? Quelque chose a nous reprocher ?"

HJ: Je t'autorise a utiliser le PNJ du cuisinier, tu peut le faire parler si tu le désire.

Le Major m'avais conduit jusqu'aux cuisines et se fit servir par le cuisinier du camps. Je fus assez surprise du ton léger et familier qu'employais le Major. Avant cette pause, les dialogues étaient bien plus distant et retenus ; le ton était maintenant celui de la camaraderie. Je me demandais alors si j'allais être bien acceptée... Le cuistot me prouva que oui dès qu'il m'adressa la parole :

-"Et vous Mad'selle ? Vous voulez quoi ? Et un bon conseil, fermer les yeux quand vous mangerez, la bouffe passera plus facilement.

- Euh... Vous auriez pas plutôt du steak haché pour moi ?

- Bah... la plupart de ces militaires préfèreraient jeuner plutôt que manger du steak haché parce que ça fait plus "faible" de manger de la viande déjà haché... Mais vous en faites pas, j'm'en vais vous trouver ça !

Il s'éloigna dans les cuisines puis revint avec une assiette contenant un steak haché. Il continua son discours...

- Laissez moi deviner vous êtes une scientifique c'est ça ?

- euh oui... répondais-je un peu surprise.

- Bah j'm'en doutais ! C'est les scientifique qui demande du steak haché, presque toujours les scientifiques...

Je lui répondis par un léger sourire, ne sachant pas trop quoi ajouter.

- Et avec ça alors, la p'tite dame elle veut quoi ?

- Eh bien, un peu de frites et un peu de salade ça peut se faire ?

- Ah ah ! J'aurais du le parier ! s'exclama t-il enjoué. Vous êtes une femme en plus d'être scientifique, alors évidemment les femmes, ça mange de la salade !

J'allais finalement changeais mon assiette pour un steak-frites, uniquement pour faire mentir le cuistot car je détestais les préjugés, quand ce dernier ajouta :

" Et ben vous savez quoi ? Des personnes comme vous ça rend ma vie plus intéressante ! Parce qu'après une quinzaine de steak-frites, ben mon gars... enfin euh Mam'zelle, ben servir un peu de salade avec un steak haché, ça fait plaisir !

- Et bien ravie d'égayer votre journée ! " lui répondis-je en prenant mon plateau et en m'éloignant.

" Au revoir !

- A la prochaine euh... c'est quoi vot' nom au fait ?

- moi c'est McKenzie.

- Alors à bientôt McKenzie ! "

Je rejoignis le Major qui m'invita à me joindre à lui à une table avec d'autres militaires.

-"Alors, comment trouvez vous votre formation pour l'instant ? Quelque chose a nous reprocher ?"

Je fus un peu intimidée par tout ces militaires, mais me décidais tout de même à répondre au Major.

" Et bien... excepté la boue au moment de ramper, je crois que j'arriverais à accepter le reste... avec le temps ! " ajoutais-je ironiquement.

Mackenzie s'était assis en face de moi, après avoir discuter avec le cuistot du camp. Puis, tout en mangeant, nous conversions.

-" Et bien... excepté la boue au moment de ramper, je crois que j'arriverais à accepter le reste... avec le temps ! "

-"A la boue, visiblement pasbeaucoup de monde aime ça. Pourtant, quand il faut se salir, il faut le faire. Vous le verrez un jour, pour se sortir d'une situation, vous drevez surement faire des trucs les plus dégeulasse qui soyent. Dérangeant mais nécessaire."

Sur ce nous mangions et après ce repas pas très copieux, nous quittâmes le refectoire, pour revenir a la case départ, ma jeep. Une fois là bas, je me mis au volant de ma jeep et j'invatais McKenzie a monter dedans, nous allons avoir du chemin a faire. Puis nous quttions le camp d'entrainement.

-"Ne vous inquiétez pas, il est nécessaire de quitter le camp pour entamer la dernière partie de votre formation. Vous allez faire une "manoeuvre", une simultion dans laquelle vous devrez jouer votre role de scientifique. Mais tout d'abord, nous allons nous rendre au lieux de rendez vous."

Puis, sur ces mots, j'appuyais fortement sur l'accélarateur et je passais une vitesse. La jeep filais sur la route vers une destination inconnue pour McKenzie. après un quart d'heure de route avec une conduite un peu brusque, nous arrivâmes enfin a destination : Un vieil entrepot. Je garais ma jeep le long de celui-ci, et je descendis de la voiture. Je pris mon vieux porte document. et j'accompagnais McKenzie de l'autre coté du batiment. Une fois là bas, trois soldats en tenue d'exploration nous attendaient. Il me saluèrent et firent de même avec la recrue.

-"Voici le lieutenant Speirs, le caporal Upham et le soldat de 2eme classe O'Keefe.."

Les trois hommes firent un signe de têtes a mackenzie.

-"Ces trois hommes et vous, composerez une équipe d'exploration SG, appeler ici par défaut SG-X. Voici votre scénario : Vous etes arrivés par la porte des étoiles pour touver une relique. Sur la planète, il n'ya personne et aucune résistance. Vous trouvez ce temple, c'est a dire l'entrepot, et vous devez l'explorer et trouver la relique. Voilà pour l'histoire. Mackenzie pour cet entrainement, vous vous équiperer de l'équipement qui se trouve dans les caisses a coté de moi. Vous y trouverer une arme, un beretta. N'ayez crainte, c'est une arme d'entrainement, une réplique parfaite, avec tout les modes de tir sauf qu'elle ne tir pas de balles mais des décharges d'énergie paralysante sous forme de rayon laser rouge genre Star Wars. Vous n'avez pas besoin de recharger. Des questions ? Sinon, aller vous équiper."

Hj: Désolé, je zappe un peu le repas, je ne sais pas trop quoi faire dessus.
Pour les pNJ militaires, tu peut les faire parler mais un minimum. Pour cela tu devra respecter un code de couleur:
Lieutenant Speirs
Caporal Upham
Soldat O'keefe

[H.J : T'inquiète pour le repas, c'est pas grave ]

Le repas se déroula dans cette atmosphère de camaraderie plutôt agréable. Je ne fus pas très bavarde ; je préférais me concentrer sur l'observation... Et je remarquais lors du repas, que les grades n'avaient plus vraiment d'importance.

Le repas terminé, le Major et moi retournions à la jeep. Je prenais place sur le siège conducteur, et la jeep quittais le camp d'entrainement pendant que le Major m'expliquais la prochaine étape de ma formation...

-"Ne vous inquiétez
pas, il est nécessaire de quitter le camp pour entamer la dernière
partie de votre formation. Vous allez faire une "manoeuvre", une
simulation dans laquelle vous devrez jouer votre role de scientifique.
Mais tout d'abord, nous allons nous rendre au lieux de rendez vous."

On allait enfin tester mon efficacité en tant qu'archéologue et linguiste... j'attendais cette étape avec impatience, même si je n'étais pas sûr de la réussir, je voulais vraiment être fixée sur mes possibilités en tant que scientifique dans un tel programme.

La jeep filait vers une destination que je connaissais pas, et la conduite un peu brusque du Major me rappela la conduite de Logan... C'était la première fois depuis le réel début de ma formation que je repensais à Logan : le stand de tir, le parcours d'obstacle, le repas... et là il surgissait, là où je ne l'attendais pas, là où je ne voulais pas le trouver parce qu'il me tirais vers mon passé et que je luttais pour me tourner vers l'avenir.

Je baissais la tête, perdue dans mes souvenirs et des larmes me montèrent aux yeux... mais je me repris rapidement et pour occuper mon esprit ailleurs, je lançais la conversation :

" Alors Major... vous ne m'avez pas dit ce matin... quel est votre rôle exactement, à vous, dans ce programme ? "

Le Major me parla un peu de l'organisation du programme et du rôle qu'il y jouait. Puis nous arrivâmes à un vieil entrepôt qui était assez grand pour un véritable labo d'archéologue, mais plutôt délabrée pour de bonne condition d'étude... l'intérieur était peut-être à l'inverse très moderne : je ne savais pas du tout à quoi m'attendre.

Le Major gara la jeep, pris son porte document et nous fîmes le tour du bâtiment. Trois soldats en uniforme militaire semblaient nous attendre.

[H.J : Prochain post bientôt. Une question : Il n'y pas de résistance où on est pas censé le savoir ? Je n'ai pas le droit de créer une petite attaque surprise, ni même des pièges ? ]

HJ: Tu n'est pas censée connaitre ce que tu trouveras dans l'entrepot, ça c'est moi qui va le decider. Pour cette partie de l'entrainement, je serait ton maitre du jeu. Pour l'instant, contente toi de faire connaissance avec le groupe, ect..

Et mon perso, son rôle est de tirer sur tout ce qui bouge^^.

J'vais tous les buter mon colonel !!!

CF :mon grade pour comprendre


Edit Jack: Attention à Boba, il mord hein :/ Fin bref, bonne chance et GG Jeanny xD

Le Major s'éloigna alors sans que je puisse savoir pourquoi...

Je décidais alors d'en savoir un peu plus et engageais la conversation :

" Alors comme ça, nous sommes SG "X" ? Ca me rapelle un film... un peu inquiétant... mais un très bon film ! "

Un des trois militaires en face de moi esquissa un sourire, un autre rigola légéremment, mais je n'étais pas sûr qu'il pensé au même film que moi...

Le troisième homme, resté sérieux, prit la parole :
- Bienvenue dans l'équipe Melle... ?

- Melle McKenzie. Jeanny McKenzie, ou Mack, ça peut être plus pratique dans les situations d'urgence !

- Lieutenant Speirs, se présenta t-il à son tour.

" Et voici, le Caporal Upham :

" Enchanté "

et le soldat O'Keefe " celui qui avait rigolé à mon entrée en matière :

- Bienvenue McKenzie.

- Alors, je dois m'attendre à quoi exactement ?

Ils se regardèrent tous trois, et le Soldat me répondit :
- Ca vous le saurez bien assez tôt, ma p'tite dame dit-il avec un léger rire qui m'agaça.

- McKenzie... Moi c'est McKenzie... pas votre p'tite dame.

- Oui, pardon, ce que je voulais dire, c'est qu'on n'en sait pas plus que vous de toute façon.

Nous discutâmes alors des relations entre coéquipiés... Speirs pensait que des coéquipiés ne devaient pas être trop proches, O'Keefe pensait que cette relation ne devait tenir qu'à un courant qui passait entre les coéquipiés dès leur première rencontre ; pour lui ce ne devait être ni un lien d'amitié, ni de confiance aveugle. Upham quand à lui, pensait que cette ralation se consolidait avec le temps, et qu'elle devait aboutir à une confiance aveugle entre les membres.

Je n'étais pas expérimentée, mais je partageais son point de vue.