La porte s'ouvra, quelque minute après l'activation de celle-ci, le lieutenant Davis arriva le premier. La porte étant penché sur le côté, Paul arriva sur un pied et du faire un petit mouvement de rotation sur la gauche pour éviter de tomber. Il avait le doigt sur la gâchette prêt à tirer si un ennemi arrivait, mais dans le noir sombre, très sombre on avait du mal à y voir. Même si la lumière de poche de Paul était allumée, il avait du mal à voir.

*Très lugubre ici*

Paul se mit à droite de la porte, pour pouvoir laissé arrivé les membres de l'équipe. Il se mit à genou, regardant un peu partout autour de lui, il était très inquiet et anxieux sur ce qu'il allait trouver. Au sol on pouvait apercevoir des cadavres de squelette, ce qui provoqua des frissons dans le dos de Paul.

(Davis, tu fou quoi là, tu commence vraiment à me les peter là, désolé du mot mais t'est chiant, j'avais dis que je voulais que tout le monde post avant de faire le topic ici, t'est pressé de t'faire explosé, oké tu va morfler pépére!)

[Euh... On se calme. De ma faute, j'étais la dernière à ne pas avoir posté ^^'. C'estmoi que tu devrais exploser XD]

(Nan c'est arrangé ^^)

Alors que la porte s'activait, et que les membres arrivait un par un de la porte, quelques faibles bruits provenants des entrailles du batiment abandonné se firent entendre en echo... pour l'instant, cela était lointain, mais la nuance de son, variait dà chaques secondes, comme une petite mélodie sourde et diabolique... puis, le calme plein.

Autour d'eux, les murs étaient déchirés, quelques ossements trainaient par ci par là, une odeur nozéabonde trainait dans l'athmosphére... le décor, lugubre, pouvait démontrer les drames et les catastrophes s'étant produit sur cette planéte.

L'équipe n'était pas au bout de ses surprises...

Les membres de l'équipe arrivèrent tous, l'un après les autres, ils firent un périmètre de sécurité autour de la porte, comme leur avait demandé Paul.

On pouvais respiré une odeur nauséabonde, on observaient des cadavres dans ce batiment abandonné immonde. On entendait des échos, qui étaient assez loin. Paul dit doucement à l'équipe.

On vas avancer doucement, surtout restez bien sur vos gardes.

*Je le sens pas ce batiment.*

Paul ouvra le chemin, il voulait montré l'exemple en tant que chef d'équipé, il avancé petit pas à petit pas, dans le batiment sombre, ou seul la lumière de son fusil l'éclairé. Il était très vigilent et méfiant. Cette grotte ne lui apportais aucune confiance.

(Oups...j'ai éditer...une asil, sa tombe bien, je suis fou )

(Paul c'est pas une grotte c'est un Asile... un batiment abandonné... )

Un trouble de la surface bleuté fit apparaître le canon du Fusil, puis le reste de l'arme et le porteur de celle ci.
Le doigt sur la gâchette, Olga se mit à genoux devant la porte, elle localisa les membres de l'équipe avant de voir la formation des différents membres.
Elle remarqua un coin encore vide, le pas souple elle marchait doucement, craquement et bruit d'os sous ses pieds. Elle se plaqua contre un vieux lit qui était mit de travers. L'arme passa entre les lattes du lit, scrutant l'horizon.

« Lieutenant, je vous couvre... »

Elle le regarda un instant et posa son arme, le canon vers le haut. Elle sorti rapidement ses lunettes de vision nocturnes et le mit sur son nez. La vision se changea en vert clair, laissant voir les cadavres, les os et les membres de la mission.
Elle caressa doucement le bois de son arme, chargeant une balle dans le canon. Elle enleva le cache de la lunette et posa le bout de sa lunette sur la lentille.

*Le moindre intrus je le bute...*

Elle se posa alors une question. Après un petit moment d'hésitation, elle murmura au Lieutenant à côté d'elle.

« Autorisation de tir ? »

Judy arriva la dernère et arriva comme le restant de l'équipe dans une zone sombre et à l'atmosphère peu accueillante. Déjà son regard se porta tout autour d'elle, étudiant l'environnement et ne fut pas choqué de voir des squelettes, accompagnant les murs lacérés. Déjà, elle semit en position. Bien que médecin, elle était aussi membre de l'équipe et le moindre faux pas pouvait être désastreux. Déjà, elle vit l'un de ses collègues s'armant son arme, et demandant l'autorisation de tir

"Reston zen... C'est pas quelques vieux cadavres qui vont nous faire flancher... Déjà on vient d'arriver dans un bâtiment où des combats ont dû se produire il y a un bon moment... Rien à déterminer si il y a encore du monde de vivant à l'extérieur et surtout... leurs intentions"

Ses narines sentirent l'odeur, quasi-infecte

Les derniers membres venaient de passer la porte, et tous s'étaient mis en position dans la pièce. Une odeur nauséabonde se faisait sentir, et casiment pas de bruit. Quelques rares phrases de certains membres de l'équipe troublaient le silence, ce qui ne suffisait pas à tous les rassurer de l'athmosphère pesante qui regnait dans les lieux. Il n'y eut plus de bruits pendant quelques minutes, ce qui permit à Shanks d'entendre plusieurs "flocs" dont le son résonna sur les murs, apparement nombreux. Elle ressera l'étreinte qu'elle exercait sur son arme.

Le décor était digne d'un film d'horreur. Une lumière vacillante qui éclairée très mal mais permettez quand même de voir par bribe les objets posés sur des tables. Il y avait plusieurs boites, et en en saisissant délicatement une pour identifier son contenu, le caporal deduisit qu'il s'agissait de médicaments. Probablement que l'équipe était dans un hopital, ou alors dans un lieu où d'étranges expériences étaient menées...

*Toi, tu regardes trop de films, calme toi et réflechis !*

Mais Shanks ne parvenait pas a rester concentré. La vision d'outils couvert de ce qui devait être du sang captivait toute son attention. Et ces vetements de médecin déchirés ! Tout celà argumentait bien la thèse de l'hopital, ou sans trop s'avancer celle d'un endroit qui acceuillé autrefois des personnes pour les soigner, les opérer, leur sauver la vie...ou leur faire subir autre chose que des soins. Mais il ne fallait pas se prononcer trop tôt. Ce fut pour cette raison que Shanks ne prononca pas un mot. Peut-être aussi par peur que sa voix ne s'entende tremblante.

Un souffle leger traversa l'air, prouvant qu'une issue donnait sur l'exterieur. C'était une bonne chose de ne pas être tomber sur un lieu sans voie de sortie sur une planète abandonnée. Il était pourtant possible que le souffle ne provienne pas de l'exterieur, mais d'un systeme quelconque de ventilation. Dans ce cas là, la planète n'était pas abandonnée. Dans un coup d'oeil trop rapide, Shanks entre appercut une ombre passer près d'eux. Elle visa, mais n'appuya pas sur la gachette. L'ombre avait déjà disparu, si d'ailleurs elle avait existé. Shanks avait des doutes, et l'angoisse qu'elle éprouvait avait très bien pu lui faire confondre une forme immaginaire camouflée dans l'obsurité avec un ennemi.

Olga était positionné en arrière, elle écouta la remarque d'une jeune femme et lui murmura à l'oreille.

« Si ces personnes sont morts, ce n'est par hasard, donc, pour ma part, si quelque chose devient menaçant, je ne vais pas attendre comment elle va nous tuer! »

Elle la regarda méchamment et se remit alors en position, sa doigt sur la gâchette, elle enleva d'un mouvement de pouce la sécurité. La brise d'air frais lui fit ressentir les petits coups de vent de la Russie et elle sourit doucement. Elle marcha alors lentement, sans un bruit vers un pilier accroché au mur, elle se bloqua dans l'angle du pilier et son arme. Les membres avançaient alors en même temps, Olga serait un fils de sécurité si il y avait un blême. Elle avancerai quand dernière.

[Radio] Lieutenant, je vous couvre... [Radio]

Elle remit sa radio dans son gilet tactique et reposa sa main sur le long canon en bois. Son air froide cachait la petite inquiétude qu'elle avait sur la formation, elle aurait plutôt choisi une avancée plus sur et plus espacé. Bref, l'odeur de la pièce ne gênait en rien Olga, habitué à sorte odeur de radiation ou autre nucléaire. Une ombre passa alors contre Cassandra et Olga enfila alors ses lunettes de vision nocturne. Scrutant la zone dans mouvement de tête, plus rien.

*Sa peut être quoi cette saleté ?*

Elle remit sa tête contre la crosse de l'arme et posa son regard dans la lunette, le laser du bout de l'arme se baladait sur les différentes têtes, s'arrêtant par fois sur un mur ensanglanté ou autre. Elle soupira de nouveau et se mit à genoux contre le pillier.

Paul était parti, éloigné des autres. Il était emporté par sa soif de découverte. Car même si cet endroit est effrayant, Paul continuait toujours pour pouvoir trouver quelque chose qui pourra les aider. Mais, cependant, il était toujours dans la même pièce que tout les membres de l'équipe sauf qu'il était seul dans son coin. Paul n'était pas effrayé car ce n'était que des cadavres morts après tout. La seul chose qui le faisait peur, c'était cette odeur nauséabonde qui avait dans toute cette pièce. Puis Paul se rendit compte que plus il avançait, plus il avait de mort.

Paul continuait à srcuter les autres cadavres quand il entendu la remarque d'une personne de l'équipe, cela le fit sourrire car apparament il n'y avait plus aucune forme de vie ici et d'après les cadavres, cela faisait bien longtemps qu'il a pas eu de visiteur ici. Alors le Caporal s'exclama...

"J'ai bien l'impression qu'il n'y a rien ici a part des cadavre qui date de..."

Paul c'était arrêté de parler, surprit par ce qu'il venait d'apercevoir. Ces yeux avait vu ce qu'il pensait pas voir ici. Paul fit les gros yeux, totalement surpris de voir ce qu'il vient d'apercevoir. Le Caporal ayant pas finit sa phrase, les autres s'interrogea de la raison de cela. Alors Paul appela le Lieutenant Davis...

"Il faut que vous venez voir ça mon lieutenant."

Lorsque le lieutenant arriva, Paul montra le coprs en coposition d'un homme récente. Il y avait encore des bouts de chairs qui tombaient de son coprs et apparament il n'était pas le seul. Il y en avait plusieurs à côté de lui. Paul s'en fichait de cette endroit mais là, cela commence a l'inquièter car celui ou la chose qui leur avait fait cela était peut être encore ici. Alors Paul posa son doigt sur la gachette et prêt à tirer à n'importe quel intrus se présentant devant lui.

Alors que Shanks et Harry commencèrent à exécuter les ordres que Paul avait donnés le soldat Kawalsky dît à Paul qu'il ne valait mieux ne pas tarder ici. Paul était de son avis, l'endroit dans lequel il se trouvait était assez étrange et effrayant et de plus on pouvait y respirer une odeur infecte.

Paul reçu un message radio provenant du soldat Shalashaska, le prévient qu'elle les couvrait avec son sniper. Juste après avoir reçu cette appelle, le Caporal Kaiger appelle le Lieutenant, Paul se dirigea aussi vite vers celui-ci qui montra un cadavre très résament tuer. Ils n'y en avait pas qu'un mais plusieurs.

*Je crois qu'on vas pas tarder.*

Paul posa son doigt sur la gâchette, son arme était chargée, prés a tiré. Il avança vers la sortie de la salle et dit.

On ne reste pas une minute de plus ici, on sort le plus vite de se bâtiment pour allez à la surface, restez sur vos gardes.

Dit Paul avec une voix assez froide, la tension commencer à se faire vraiment ressentir dans sa voix.

Cassandra detestait positivement l'ambiance lugubre de cet endroit . On aurait dit un hopital abandonné . Elle se penchait pour observer des ossements au sol, quand... Une chose la frola . Cassandra se retourna vivement, pointant son arme, mais il n'y avait rien . Si elle commençait à avoir des hallucinations, la mission commençait bien ! Elle tenta de se raisonner : elle avait dû réver, mais au fond d'elle même, elle savait que c'était faux, et elle se rendit compte, qu'un filet de sueur glacée perlait le long de sa tempe .

*Allez ma vieille ! Ressaisis toi ! Reste professionnelle ! Ca fait longtemps que tu n'as plus peur du noir...*

Elle avança avec les autres, laissant Olga en retrait . Elle marchait avec précaution, entendant seulement le battement effréné de son coeur .
Quand le cri d'Olga retentit, déchirant le silence, elle resta un instant pétrifiée, puis dit à Davis :

Il y a quelque chose, ici ! Ca m'a frolé, tout à l'heure... Et ça vient de froler surement le soldat Shalashaka . Je vais la retrouver, mon lieutenant !

cassandra dans son arrogance, pensa bien que la ruskof avait les nerfs bien moins solides qu'elle . Ele se dirigea vers Olga, affirmant sa démarche . Bon sang, elle révait d'un bon coup de whisky !
Dans son esprit, remonta un souvenir... Son père lui avait rapporté qu'au vietnam, ce qui était le plus terrifiant, c'était de ne jamais savoir où était l'ennemi, et que certains GI, devenait fou, à attendre la balle qui les tuerait . L'imagination était source de terreur bien plus grande que la réalité . Et Cassandra se promit qu'elle alait ranger fissa ses angoisses d'enfant au fond de son cerveau, et qu'elle allait se comporter en soldat . Ses yeux s'étrécirent, sa machoire se serra . Non, elle ne perdrait pas les pédales !