Olga était en arrière, seul dans la sombre et lugubre pièce, son arme laissait voir son petit laser qui aidait souvent la jeune femme pour les tirs de précision. Elle était accroupie contre le coin d'un muret qui était accroché au mur normal. Elle avait les mains serré contre le manche et le canon de l'arme, l'oeil vif dans le viseur. Le canon et le reste de l'arme se baladaient autour de la Sniper, montrant le reste de l'équipe.

*Rien de bi...*

Un bruit sourd se fit entendre derrière elle, le stress montait doucement, son sang se glacé, le cerveau en alerte, elle sentait sur son corps, une sorte de regard, puis le bruit s'accéléra, une goute de sueur descendait le long de son front et elle soupira.

*Pas comme en Russie...*

Elle posa son arme doucement mais rapidement sur le mur et prit en main ses deux révolver, jamais elle pourrait déplace le Fusil dans son élan, prendre par surprise la chose qu'il voulait la prendre elle par surprise. Dans un cri d'encouragement pour prévenir les autres du danger, elle posa le pied contre le mur et s'élança en l'air, se retourna rapidement, elle sorti ses deux armes et pointa les canons vers l'ombre. Elle retomba rapidement par terre et l'ombre disparut... Les canons restèrent immobile quelques secondes, puis l'équipe s'arrêta pour laisse Cassandra venir aider la jeune femme. Elle soupira et rangea un des révolvers et se leva doucement, alors que Cassandra venait l'aider, la vitre se brisa et elle se plaqua contre le mur, les lumières s'allumèrent, puis plus rien, le noir et de nouveau la lumière, un rythme angoissant et très stressant. Il avait toujours une arme en main et ramena son fusil vers elle.

[Radio] Lieutenant, je veux pas vous alarmez mais si on bouge pas, on va fini comme les cadavres! Je veux pas servir de dessert![Radio]

Elle remit sa Radio en place et Cassandra arriva à sa hauteur...

Olga s'était relevée, elle rajusta son uniforme et sourit doucement à Cassandra, elle posa sa main sur son épaule et lui murmura un petit merci. Les choses devenaient bizarre, pourquoi attaquer l'équipe qui n'avait rien fait ? Elle soupira, bref, un épisode clos. Elle rangea son arme et attrapa son fusil à lunette, elle le reprit en main et regarda autour d'elle, pas grand chose de bien alarmant... Enfin, si on oublie les cadavres, Le sang, les ombres, le noir, les lumières etc... Bref.

« Je ne sais pas pour toi ma... »

Un bruit de porte se fit entendre, elle se retourna vivement et fit signe à Cassandra de reculer doucement, elle fit de même et fixa la porte, le liquide qui en sortait été bizarre, à première vu, gluant et visqueux... Elle soupira et regarda de plus près avec sa lunette de fusil, mais une voix s'éleva de l'ombre, une voix bizarre et inhumaine...

*Montre toi que je te colle quelques balles dans la gueule...*

Elle écouta attentivement le bruit, écouta de plus près, elle fit même l'erreur de s'approcher doucement, mais quand la voix changea en son au même moment que la lumière ne fit plus, elle recula d'un pas non-rassuré mais garda quand même la tête froide. Le son devenu un bruit et plus rien. Dans le noir, Olga soupira doucement, Un grognement retentit alors de derrière eux, de la salle où était le Lieutenant et le autre. Quelques secondes plus tard, la lumière revenait et quelques choses attrapa et pressa la cheville de la jeune femme. Elle tomba à terre, lâcha la Dagunov de ses mains, la chose était gluante et visqueuse. Olga poussa un cri de rage et dans un hurla, elle sorti ses deux révolvers une nouvelle fois.

« Mon Uniforme Connar*! »

Elle appuya sur la gâchette une première fois, puis une seconde, mais avec l'autre arme et pendant ce temps, elle posa le pouce sur le curseur du révolver et le chargea de nouveau, pendant quelques secondes elle répéta la manœuvres et plomba la bête. Prenant après le clic marquant le manque son Fusil, elle tira à bout portant sur la bête qui devait avoir mal, car une balle de fusil à Lunette surtout de près, ça fait pas du bien! Elle chargea de nouveau et tira une seconde fois.

Toujours cette sensation angoissante, ce jeu de lumière mystérieux, cette atmosphère pesante, ou l'on ne respire que l'inquietude. Puis une pause un peu plus longue dans la coupure de la lumiere, suffisement longue pour que l'on se pose des questions, trop courte pour qu'on ne puisse comprendre les réponses. Les événements étranges se succedaient. Un carreau se brisa, faisant penetrer un souffle de vent, puissant et glacial. Les sens en alerte, Shanks agenouillée par reflexe lorsque les morceaux de verre avaient jaillit, écoutait, guettait, posait son regard sur tous les murs, sur chaque recoin qu'elle pouvait apercevoir de sa position. Là, un son se fit entendre. Une phrase, lançait d'une voix qui convenait à la situation. Une voix à donner des frissons. Et des paroles dont le sens était impossible à comprendre pour le caporal. Un tremblement. Le sol qui se dérobe. Aucune prise possible. La chute inévitable. Sans avoir le temps de comprendre ce qui lui arrivé, Shanks sentit qu'elle ne touchait plus le sol. S'en suivit une longue chute, dont la destination se rapprochait si vite... Pourtant, la descente parut durée infiniment, et le vide tout autour de la femme la deboussola. Elle n'aurait plus sû de quel coté se trouvait la pièce qu'elle venait de quitté si brutalement, si la vitesse folle ne lui indiquait pas la direction du bas dont elle ne connaissait rien.

Son corps entra en contact une chose que l'acceration avait rendu dure. Mais ce que la matière dans laquel Shanks était tombée était vraiment, elle ne le saurait pas tout de suite, car lors de son atterissage difficile, le caporal s'était évanouie.

Un grisaillement provenant de la radio en mauvaise état de Shanks la fit reprendre conscience.

*Plus dure sera la chute*

Ses yeux s'ouvrirent lentement, et elle distingua une silhouette familiere devant elle. Apparement, elle n'était pas tombée seule. Charles l'avait accompagné, et en tournant la tête, elle reconnue un autre corps allongé plus loin : celui de Maybourne. Elle tenta de se relever, mais une affreuse douleur la prit à la jambe. Apparement, c'était elle qui avait amorti le choc de sa chute. Elle grimaça pendant qu'elle se relevait pour s'assoir. Ce fut à ce moment là qu'elle chercha à savoir où les trois coéquipiers se trouvaient. Elle interrogea Kawalsky en montrant Maybourne d'un signe :

Il va bien ? Et toi ?

Elle doutait que l'homme puisse répondre à sa derniere question, mais comme elle venait juste de se reveiller, elle prefera lui demander :

Que s'est il passait et où sommes nous ?

Cassandra arriva au pas de charge prés d'Olga . Elle lui fit un sourire rassurant, qui évidemment n'était guère sincère, vu les circonstances . Elle l'aida à se relever, et fronça les sourcils en entendant un bruit de porte, et vit un liquide bizarre, qui avait une consistance gluante, et était transparente .

Bon Dieu ! Qu'est ce que c'est que ce truc ? On dirait du sirop d'érable transparent ! D'où ça sort ?

[/i]Cassandra recula instinctivement, il aurait fallu être dingue pour prendre un bain de pieds dans ce truc . Une voix suave et inhumaine se fit entendre, et Cassandra pointa son arme dans la direction, préte à tirer si la situation l'exigeait .
La porte se referma comme par magie, et la voix disparut dans un bruit sourd . Cassandra se demanda si elle n'avait pas révée .
Un grognement se manifesta derrière elles, Cassandra se retourna vivement, mais n'aperçut rien .
Il y avait de quoi devenir dingue !

Tou à coup, Olga se mit à tirer dans le tas... Mais quel tas ? Cassandra eut un frisson d'épouvante, et se pinça fortement le dos de la main pour s'obliger à se calmer . Olga devait avoir perdu les pédales, et Cassandra la tira en arrière, et lui dit d'un ton autoritaire :

Arréte ça ! Tu sais au moins sur quoi tu tires ? Ca n'a pas l'air de faire de l'effet ! On ferait mieux d'aller retrouver les autres, et de sortir de ce batiment qui nous file une version adulte du train fantome !

Cassandra remarqua alors, qu'Olga avait le pied dans le liquide, et elle la tira encore plus loin, a sec .
L'esprit de Cassandra fonctionnait à toute vitesse . Cet endroit semblait flanquer une frousse atavique, jouant sur les peurs primaires . Un système de défense ? Cela semblerait logique, si c'était pour protéger cette planéte d'intrusion par la porte . C'était irrationnel, certes, les "gens" n'avaient qu'à les descendre à l'arrivée, mais Cassandra se dit qu'aprés un séjour pareil, personne n'aurait envie de revenir y pique niquer le dimanche .

Judy serra la poignée de son couteau, tentant de se servir de son autre bras pour remonter. Avec ses jambes, elle essaya de trouver des prises sur la paroi raide. Tout craquelait. Kaïger et Davis vinrent à sa rescousse.
Elle ne lâcha pas sa prise à son couteau et de son bras libre, attrapa le bras de Kaîgr dès que celui-c approcha pour l'aider. Une fois qu'il commençait à la sortir, elle prit une main de Davis et cette fois, elle sortit complètement du précipice. Le sol craquait à sa remontée, menaçant à tout instant de céder.
Elle fut mise hors de danger.

"Merci...." s'adressant à ses deux sauveteurs

Maintenant, elle se reprit pour cesser les quelques tremblements du stress qu'elle venait de subir. La poussée d'adréline l'avait aidé à rester accroché à sa prise et maintenant, elle ressentait l'effet inverse, dans la possibilité qu'elle avait eu de tomber dans le gouffre. Davis appela à la radio les trois personnes qui étaient tombés... elle soupira quand l'un deux répondait....

La MJ à sauvagement mourue. Je vous libére donc de vos obligations xd. Je rajoute quand même du RP à chacuns de vous Merci d'être passés