Intrigue III - République d'Hurk - P3R417

Arrivé au SGC : 06/10/2005

[J'ai du couper mon message, trop long, en deux parties. Celle ci est la 2eme partie, la première a été postée au dessus. Wink

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Dernier carré
« C’est dans la mort que nous trouverons la gloire. » Citation de Jozef Colm.

Découvrez Evanescence!

La maison tombait en miette. Il ne restait que peu de pièce à l’étage et l’ennemi s’obstinait à vouloir pénétrer dans la maison malgré le bombardement des mortiers. Janet avait fourni les premiers soins à Vivvo mais dut prendre son P90 pour repousser la percée ennemie. Les Jaffas bombardèrent la pièce principale et une grenade hurkienne fut envoyée à l’intérieur. L’explosion projeta Turner contre le mur mais Calvario arriva pour l’aider à reprendre pied rapidement. Du sang coulait sur le visage du Colonel suite aux shrapnels qu’il avait reçu au visage. Deux autres coups de feu retentirent et Vertiga s’écroula, touchée à la jambe et au bras. Davis, bien que blessé, fut l’une des dernières barrières de défense avec Frasier. La cuisine avait été prise et le groupe de terrien allait être victime de tirs croisés...
Une portion du toit s’effondra dans le salon. Le Major Gutes se baissa alors que des poutres tombaient au travers du plafond de la salle à manger, jusqu’à l’entrée. Plusieurs vases, bols et assiettes se brisèrent au pied des étagères. Gutes se releva en crachant un peu de poussière. Le plafond laissait voir le ciel et il pleuvait à l’intérieur. Il regarda par l’ouverture de la fenêtre qu’il avait défendue. Un tank léger de la République d’Hurk arrivait sur la pelouse arrière en quittant les bois, entouré de troupes ennemies. Le véhicule mitrailla la maison.
Des obus de mortiers détruisirent une pièce à l’étage et Gutes sentit la maison trembler. Un des tableaux se décrocha du mur juste devant lui.
Pour la première fois, il se demande qui ils étaient. Ces visages qui regardaient au dehors de leurs cadres. Qui l’observaient de si loin. Les photos prirent feu en dépit de la pluie.
Gutes repéra du mouvement à la fenêtre et tira. Un jaffa retomba en arrière. Des tirs lui furent adressés et ravagèrent la pièce. Mouillé par la pluie, il recula vers le fond de la salle à manger, évitant les meubles fracassés et tirant vers la brèche. Les décharges qui lui répondirent provenaient de plusieurs endroits et il ne savait plus où se mettre.
Une seule chaise avait survécu à la chute des poutres. Gutes s’y assit et continua de tirer vers la fenêtre, jusqu’à ce que le chargeur de son M4 soit vide. Une dizaine de Jaffas pénétrèrent par la fenêtre, pointant leurs armes vers la silhouette, seule sur sa chaise...

« Allez vous chier dessus !! » Cria le Major aux jaffas, les yeux qui pleuraient. Puis, il échappa le nom de sa femme dans un dernier souffle désespéré…

« Sharon »

Il tomba en larme... Et les Jaffas tirèrent.
Il se demanda si la vieille dame s’en sortirait… Il l’espérait, sans fonder de trop grands espoirs.
Mais ça n’avait plus d’importance.
Rien n’avait d’importance quand on le regardait d’assez loin. C’était ce que Abraham Gutes s’était toujours dit.
Et maintenant, enfin, il fut aussi loin de tout ça qu’il était possible de l’être.

Loin du carnage, dans la forêt, le Sergent Hurkien applaudissait ses hommes. Les soldats qui s’occupaient des mortiers levèrent leurs armes en signe de victoire. Les Jaffas avaient réussi à rentrer à l’intérieur de la maison. Ca n’était qu’une question de temps maintenant.

« Comment va le blessé ? » Demanda-t-il à son infirmier, mais celui-ci ne lui répondit pas. Le Sergent se retourna, répéta sa question et c’est alors qu’il vit Paul Kaiger, debout, et l’infirmier mort au sol.

« Alerte !! »

Des soldats hurkiens arrivèrent mais il était trop tard. Le Lieutenant Kaiger lutta contre la douleur de son corps et fonça sur ses ennemis. Un bout de branche solide dans les mains, il décapita le Sergent hurkien alors que les tirs volèrent dans sa direction. Il put se servir du cadavre ennemi comme bouclier humain et chargea sur les autres telle une bête de combat. Il s’empara d’un fusil posé au sol et tua les quatre servants qui contrôlaient les mortiers et la mitrailleuse lourde. Se mettant à couvert un instant, il put ressentir cette terrible douleur à la tête. Dans les combats précédents, il avait été blessé au bras, à la cuisse et une balle avait percée un bout de son oreille. Un bandage l’encombrait autour de la tête mais il se battait de toutes ses forces.
Il était… terrifiant.
Kaiger se servit de son fusil comme un bâton. Une dizaine d’hurkiens trouvèrent la mort dans du corps à corps sanglant, un par un. Trois balles lui transpercèrent les poumons mais Paul continua de riposter, tuant encore plus d’ennemis. C’était une bête enragée qui prenait tout ce qu’elle avait dans ses mains pour tuer ses adversaires. Grenades, pistolet…
Quand il n’eut plus de contacts ennemis en visuel, il se laissa tomber, le corps lourd. Il avait encaissé en tout sept tirs et vingt trois corps ennemis jonchés le sol autour de lui… Il observa le ciel nuageux… Il ne pleuvait plus.
Et le Lieutenant Paul Kaiger put reposer en paix…

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Au dessus du dernier carré des défenseurs acharnés, le ciel s’obscurcit. Le chef du bataillon Jaffa était resté à l’abris, loin des combats qui faisaient rage dans la maison. Il se demanda pourquoi les hurkiens avaient arrêté de bombarder la maison mais son attention fut attirée par autre chose. Il entendit un bruit venant du ciel. Il crut d’abord à un orage jusqu’à ce qu’un jaffa de sa garde ne vienne vers lui en courant. Le Jaffa criait quelque chose d’incompréhensible et montrait du doigt quelque chose dans les airs. Le chef Jaffa, loyal second du grand Maître Olukun, leva les yeux et vit une grosse ombre au loin, descendre vers eux. Celle-ci était entourée de petites tâches noires.
En quelques secondes, tous les Jaffas purent voir de quoi il s’agissait et le chef, énervé mais terrifié, ordonna à ses troupes de se replier vers les bois…

Le médecin en chef Frasier combattit avec courage. Elle tomba par terre quand un morceau du toit s’écroula sur elle. Mais déterminée de protéger ses amis, elle essaya de se dégager et de tirer ses dernières balles. A côté, elle vit Vivvo mort, écrasé. Une poutre lui était tombé dessus et avait mit fin aux souffrances du jeune soldat.
C’est alors que le poids qui pesait sur elle fut soulevé. Elle leva le regard, tout comme Davis et Turner. Il n'y avait plus de Jaffas. Un homme en costume noir des marines tendit la main vers le docteur.

« Ca va aller. Nous avons la situation en main. » Dit l’homme avant de se tourner vers les autres marines. « Davids, Galiman, Stevens. Aidez ces gens. Appelez l’équipe médicale, dites leur qu’on ramène des blessés. »

Une escouade entière de soldats sécurisa la zone. Les soldats d’Hurk et les Jaffas qui étaient restés furent tués. Les autres se replièrent dans les bois. Les défenseurs de la maison jetèrent un œil dehors et virent le vaisseau Prométhée, posé sur la plaine.
Le BC-303 était arrivé par les airs tandis que les chasseurs F-302 détruisirent les dernières poches de résistances Jaffas. Les chars légers de la République d’Hurk furent détruits par les missiles des vaisseaux de guerre terriens.

Dans le Prométhée, le commandant du vaisseau communiqua ses ordres aux F-302 puis ouvrit une fréquence radio.

« Lieutenant Colonel Shakalaska. Vous pouvez y aller. Mes hommes ont sécurisé la zone mais il faut s’attendre à une nouvelle attaque. L’ennemi se déploie dans la forêt. » Il stoppa son appel et se tourna vers son aide de pont.

« Toujours aucun contact ennemi dans les airs? »

« Négatif, aucun vaisseau Goa’uld n’a été détecté depuis notre arrivé. »

« Très bien, dites aux marines de ramener les blessés et les survivants. Les F-302 couvrent la zone mais il vaut mieux pas rester ici… »

Les ordres fusèrent sur les fréquences radios. Les Marines partirent à la recherche de survivant à l’étage pendant que le Colonel Shakalaska et ses hommes faisaient du ménage dans la forêt. Peu de temps après, Oslote découvrit le corps sans vie de Paul Kaiger au milieu des cadavres ennemis, et le rapporta au Prométhée.
Pendant ce temps, une escouade du SGC avait passé la porte des étoiles. Elle était sous les ordres du Major Fett. Un appel radio lui informa que le Prométhée était arrivé et qu’il maîtrisait la situation.
L’équipe de Fett ne fit pas demi-tour tout de suite. Ils rencontrèrent une dizaine de Jaffas mais les terriens furent plus puissant dans les bois. Les Jaffas furent massacrés et Boba continua de suivre la route. Il trouva ce qu’il cherchait : Mark Vener. Il prit avec lui ce qu’il restait du corps du Caporal et retourna sur Terre avec ses hommes...
A la ferme, la vieille femme pleurait sur le corps de son fils. Elle avait tout perdu ce jour là, comme beaucoup d’autres…
Et bientôt, le Prométhée allait pouvoir décoller, laissant le peuple d’Hurk à son destin…

[HRP : Vous avez 7 jours pour répondre. Soit jusqu’à mercredi prochain. Ca sera votre dernier message RP pour cette mission alors profitez en! Faites de gros pavé et faites vous bien plaisir. J’espère que vous aurez eu votre lot d’action, de bonheur et de drame durant cette intrigue 3. Merci de votre participation à tous et à bientôt. ;-) L’aventure continue, sur Mission Stargate…]

Arrivé au SGC : 18/03/2006

Pendant trois bonnes minutes, j'attendis une réponse possible de peterson sur ma radio, mais aucune voix n'en sortit, c'était la première fois que j'accordais autant d'importance a ce petit truc en plastique qui était synonyme de providence. Mais rien ne se passait, je jurais entre mes dents. Evans méttait du temps aussi, visiblement, cela voulait dire qu'il s'éforçait de trouver la porte. Il descendit de l'arbre et me confirma mon pressentiment. Pas de porte, nada, rien ! je jurais une nouvelle fois entre mes dents.

-"Ok, Ok, OK ! On va suivre la direction initiale des Urkiens, avec un peu de chance, on la trouvera."

Puis, je pris ma boite magique en plastique et j'enfonçais la touche d'émission de message.

[radio:] Kaiger, ici Fett. Evans et moi allons a la porte. rejoignez nous la bas. Fin de transmission et bonne chance.[Radio]

Puis nous nous remimes en chemin, je marchais en tête, et Evans me suivait de près. Il était le plus alerte de nous deux, j'avais la tête pleine de pensée. J'avais promis a Vener que je le ramenerais sur Terre, mais il était mort par ma faute. Mais je me fis une autre promesse, je le ramenerais quand même. Après cet intermède, je me remis plus sérieusement dans ma mission, un autre homme en dépendait, même si je l'aimais guère. Pendant au moins 30 minutes nous parcourumes la forêt en ligne droite. Puis nous entendimes des explsions au loin. Nul doutes, les hurkiens et les jaffas pillonaient la maison ou s'était retranchés nos amis. je fermis les yeux un court instant en pensant a eux. Encore une mission qui avait mal tournée.
Puis Evans poussa un cri de joie, je le regardais et il me montrait du doigt quelque chose devant moi. je me retournait et je vis la porte. Elle était inactive et déserte. La situation s'arrangeait !
Evans et moi pressames un peu plus le pas, heureux de pouvoir faire venir du renfort. Une fois arriver, je tapais les coordonnées de la Terre et Evans tapa ensuite son code NGO. Puis on s'engageait a travers la porte. ce fut un plaisir de revoir ces bonnes vieilles montagnes russes. Puis nous arrivames dans la salle d'embarquement du SGC. Les renforts était deja prêt. Peterson accourut vers nous avec une équipe médicale aux trousses. Ceux-ci s'emprèssèrent d'ailleurs de nous examiner.

« Où est le reste de votre équipe ? »

Demanda le général Peterson a Evans, mais celui-ci extenué, s'asseya le long d'un mur et ne réponda pas. alors Peterson se dirigea vers moi et voyant ma blessure m'interrogea.

« Major… Que s’est-il passé ? »

-"Nous avons progressés de la porte jusqu'a une ferme alliée. La bas nous avons passés la nuit. Mais le lendamain matin, nous avons subit une embuscade dans la ferme. Le caporal vener a été toucher, je me suis proposé pour le ramener et Kaiger ma rejoint. Evans voulait a tout prix rentrer au SGC demandé du renfort. Les autres sont restés a la ferme aux dernières nouvelles, ils se font pillonés par de l'artillerie. Kaiger est porté disparu et Vener est KIA."

Puis je pris mes doigts que j'avais précieusement conservé dans des compresses et je les confiais a un medecin de la base.

-"Mettez les au frais et faites venir un chirurgien pour les recoudres a mon retour."

Puis je laissais le toubib a sa stupéfaction d'avoir deux soigts entre les mains pour revenir converser avec Peterson.

-"Envoyez les renforts sur le Prométée et envoyé le sur la planète mon Général, ils on besoin de secours au plus vite et ça fera bouger Oslote de sa torpeur. Je veut le commandement d'une escouade, j'ai fait une promesse a un amis."

-"Très bien, tout est en place."

5 minutes plus tard, Les trois quarts des soldats postés dans la salle d'embarquement furent téléportés a bord du Prométée. Puis je m'adressa a l'escouade restante, visiblement surprise de ne pas etre téléportée.

-"Vous serez sous mon commandement, on va traverser la porte. Sur la panète, tous ce qui ne porte pas d'uniformes du SGc doit etre abattu sans somations. Allez-y walter !"

Celui-ci acquiesa et enclencha les chevrons. 30 secondes plus tard, le vortex se réouvris en direction de cette planète maudite. avec mon escouade, je me mis en route et nous traversions le vortex. ce fut le retours des montagnes russes et le retour sur Hurk. La bas, je donnais mes consignes et nous nous mimes en route. Nous marchions, sur nos gardes, mais il ny avais persone a l'horizon. Puis ma radio se mit a grésiller et on nous confirma que l'équipe était sauve. Mon escouade fut heureuse, mais nous continuames notres routes, je devait le récupérer. aprsè 15 minutes de marche, je le trouvait, toujours a sa place, mais les charognards avait déjà commencer a se servir, mais il restait encore a peu près présentable. je mit mon spas en bandouillère, puis je pris le corps de Vener dans mes bras.

Maintenant on pouvait faire demi tour.

Arrivé au SGC : 27/12/2006

Paul était parti en éclaireur quand il vit devant lui plusieurs soldat ennemi. Personne ne bougea durant 20 bonne seconde. Tout le monde se regardaient bêtement et surtout surpris de cette rencontre. Le Lieutenant pris finalement son P-90 et fit feu sur l'ennemi. Ceux-là riposta tout de suite. Le métis se mit a couvert derrière un arbre et fit feu sur l'ennemi. Le Lieutenant voulait prendre sa radio pour avertir ses compagnons mais il entendit des tirs au loin et s'aperçut qu'ils étaient sûrement au courant maintenant. Paul ne pouvait compter que sur lui même. Il sortit de sa cachette et fit feu sur l'ennemi. Il en eut un en pleine tête. Cela fit sourire Kaïger voyant sa cible s'écrouler comme une pierre. Mais ils étaient nombreux et un tir lui frôla la tête lui arrachant un bout de son oreille. Paul hurla de douleur. Il sauta au sol prêt d'une pierre pour échapper aux tirs. Il vérifia ses munitions et vit qu'il lui restait un chargeur et la moitié de celui qu'il était en train d'utiliser.

Il décida donc d'appeler du renfort et contacta le Colonel Turner. Malheureusement il ne trouva pu sa radio. Il la vit plus loin et aller la chercher était du suicide. Paul sentait que la chance n'était pas avec lui et tenta de réfléchir à une tactique. Il était en train de réfléchir lorsqu'une balle se logea dans sa cuisse. Le Lieutenant vit que des soldats ennemis le prenaient à revers. Ils étaient deux et le métis fit feu sur eux. Les deux tombèrent sous les balles du terrien qui avait utilisé tout son chargeur. L'homme était furieux envers lui même de n'avoir pas gardé son sang-froid et d'avoir gâché des balles bêtement. Il n'avait même pas le temps d'essayer de soigner sa blessure que d'autre revinrent à la charge. Paul se leva tant bien que mal et tira sur ses ennemis. Il lança également une grenade avant de s'abriter derrière un arbre. La grenade explosa et éjecta ses ennemis au loin. Par contre, un partie du bras de Paul dépassait de l'arbre et un débris de la grenade se logea dans son bras. Le Lieutenant maudit les Dieux et alla voir les soldats ennemis. Il les abattit froidement, sans sentiment. Il se retourna pour rejoindre ses compagnons et voir comment il allait. Malheureusement un tir de zat' le stoppa et il s'écroula par terre.

Le Lieutenant se réveilla et vit devant lui un homme. Cet homme était vêtue de gris. Il comprit rapidement que celui ci n'était pas un terrien. il entendit quelqu'un parlait avec un autre qui était visiblement un jaffa. Paul se laissa faire par l'infirmier quand il entendit qu'ils allaient donner l'assaut sur la maison où se trouvait ses amis. Le Lieutenant ne bougea pu, faisant croire que ses blessures allaient lui être fatales. C'est alors qu'il attrapa la cou de l'infirmier et le brisa d'un geste simple et rapide. Ce pauvre homme n'avait pas vue le coup venir. L'infirmier s'écroula sur Kaïger qui lui dit...

-Fallait me laisser mourir.

Il poussa le corps inanimé du Hurkien et il se leva. Il eut assez de mal à se relever et il prit un bout de bois à côté de lui. Il vit le sergent parler à son infirmier qui ne répondait pas. Normal vu qu'il était mort maintenant. Le Sergent se retourna et vit Kaïger debout et son compagnon par terre. L'hurkien hurla à l'alerte mais Paul fonça vers lui oubliant la douleur et avec son morceau de bois frappa violemment le Sergent. Il lui arracha la tête d'un coup et prit son corps comme bouclier. Il s’empara d’un fusil posé au sol et tua les quatre servants qui contrôlaient les mortiers et la mitrailleuse lourde. Il hurla d'un cri effroyable qui faisait trembler ses ennemis. Se mettant à couvert un instant, il put ressentir cette terrible douleur à la tête. Les hurkiens n'avaient pas l'abitude de voir une tel combativité chez un homme.

N'ayant plus de balle dans son arme, Paul se servit de son fusil comme un bâton. Une dizaine d’hurkiens trouvèrent la mort dans du corps à corps sanglant, un par un. Il ne les ratait pas. Il frappait d'une violence surprenante qui brisait les os de ses ennemis et qui les tuait. Trois balles lui transpercèrent les poumons mais Paul continua de riposter, tuant encore plus d’ennemis. De sa bouche coulait du sang. Il savait qu'il en avait plus pour longtemps mais il comptait bien ne pas partir tout seul. C’était une bête enragée qui prenait tout ce qu’elle avait dans ses mains pour tuer ses adversaires. Grenades, pistolet. Trois tirs sur deux ennemis sur sa droite, une grenade jeté sur des ennemis devant lui qui volèrent en éclat. Il saisit un autre fusil et tira sur des ennemis sur sa droite. Il aperçut également une patrouille jaffa au loin. Il saisit alors 3 grenade et les jetèrent au bout milieu de la patrouille. Les Goa'ulds volèrent en éclat et Paul eut un sourire. Il reçut alors plusieurs tirs dans le dos. 4 soldats Hurkien lui avait tiré dessus. Paul se tourna et avec son fusil ramassé il leur tira dessus. Ceux-ci furent surpris d'avoir une riposte de celui-ci et ne put riposter.

Quand il n’eut plus de contacts ennemis en visuel, il se laissa tomber, le corps lourd. Du sang coulait le long de sa joue. Il avait encaissé en tout sept tirs et vingt trois corps ennemis jonchés le sol autour de lui… Il observa le ciel nuageux… Il ne pleuvait plus. Il rampa vers un arbre. Son corps était devenu extrèment lourd et il ne pouvait pu se mettre debout. Il fit un incroyable effort pour arriver vers cet arbre. Il posa son dos contre cette arbre. De la pocha avant de son gilet, il en sortit une plaque d'identification. Dessus était marqué le nom d'une personne, un certain "Mike Fergusson". Le Lieutenant leva les yeux vers le ciel...

-J'arrive vieille branche.

Et le Lieutenant Paul Kaiger se laissa emporté par ses multiples blessures. Il ne bougea pu. Il reposa maintenant en paix parmi les siens.

Arrivé au SGC : 02/08/2006

Alors que le calme se fesait sentir, quelques minutes après cette nouvelles victories des forces terriennes sur les Jaffas, Janet Frasier se débatter de toutes ses forces pour aidé les blessers, un grand bruit se fpit entendre, Paul se demande se que cela pouvait bien être, il jetta un oeil par la fênetre de la cuisine et vit des gardes de la républiques d'hurk avec des jaffas qui sortaient de partout dans la fôret pour prendre d'assault la maison. Avec l'aide de Vivvo, Paul commenca a tiré par les fênetres de la cuisines, comprennand que les bruis qu'il entendait étè des tirs de mortiers sur la maison.

[Radio]Ils sont de retours et en force, tout le monde à son post.[/radio]

Dit le Capitaine dans la radio à l'intention des millitaires et civils terriens qui de toutes leurs forces se battent avec un courrage exeptionnel pour défendre cette maison.

De son côté, Paul tira a travers la fênetre sur les ennemis, les fênetres se brisèrent juste devant Davis et Vivvo par les tirs de mitraillette. Cette fois, les chances de victoires des terriens été inéxistante mais il fallait se battre jusqu'au bout, pour pouvoir survivre.

Tirant sur les ennemis, abattant un grand nombres d'entre eux, mais Paul n'en pouvait plus, plus il en tué plus ils en arrivaient. Il recharga rapidement son P-90 et jetta une grenade à fragmentation, la dernière qui lui restait. Après plusieurs minutes de combat, les jaffas étaient trop nombreux pour Vivvo et Paul et ils arrivèrent jusqu'a la cuisine. Un tir de mortier fût un trou dans le mur et les jaffas pénétra dans la maison.

[Radio]On a une percèe, dans la cuisine.[/radio]

Lanca le jeune Capitaine dans la radio, espérent avoir du renfort, même si la maison été attaqué de toutes part. Juste à la fin de l'appel radio, le Capitaine fût touché à la jambe, l'hurkien Vivvo aida Davis a sortir de la cuisine, celui-ci lui fit un signe de reconnaissance. Avec l'aide supplémentaire de Turner et Colm, ils défendèrent la cuisines à quatres, mais de nombreux jaffas étaient déjà rentré par ce côté, impossible de reprendre la cuisine.

De tout part la maison se fît attaqué, il ne restait plus que quelques murs, la pluie tomba dans la maison, le toit n'était plus là. Le sang de Paul coulait le long de sa jambe et le long de sa tête, il était épuissé à bout de force, il n'en pouvait plus, seul le courrage lui permettait de continué de tiré. Le médecin en chef du SGC, Janet Frasier, vennait aussi de prendre son P-90 pour les aidés. Quel courrage, se dît Paul. Le combat continua pendant plusieurs longues minutes, les munissions allaient bientôt manqués, alors que le reste du toit s'effondra et que Davis tomba au sols. Il continua de tiré dans le groupe ennemis, mais il n'en pouvait plus, il voyait la fin du chemin, la fin de sa vie, il se dît qu'il allait enfin retrouvé la femme qu'il aime, celle qu'il a perdu en mission. Mais le destin ne souhaita pas que Davis la rejoigne, les jaffas et les soldats de la républiques s'enfuit dans la fôret. Paul mit un peu de temps à comprendre ce qui se passé. Des marines vennaient d'arrivé ainsi que le Prométhée, c'était la premiére fois que Paul le voyait et lui était content. C'était fini, il allait pouvoir, tout comme ses compagnons d'armes, rentré chez lui...

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Des tirs… Des cris… Des explosions… Tel était l’enfer dans lequel se trouvait Janet. Elle soignait comme elle pouvait les pauvres malheureux qui étaient blesser, afin qu’ils puissent repartir au combat. A son grand regret elle ne pu sauver tout le monde, elle était pour le moment à l’abri dans la lingerie qui s’avérait être un bon endroit pour sauver les blessés. La doc’ en chef surveillait encore Weir qui était dans un état stable mais pour combien de temps ? Elle avait fait ce qu’elle pouvait mais si elle ne retournait pas vite au SGC, elle mourrait…

*Pauvre femme, et dire qu’elle était là pour négocier… *

Une voix masculine vint la sortir de ses pensées… C’est avec une tristesse non cachée que Janet découvrit que c’était Vivvo qui était tombé… La doc’ en chef en avait assez de tout ça ! De plus les tirs et les explosions se rapprochaient de plus en plus de l’endroit où elle se trouvait… Puis on lui amena le patient. Janet ne dit rien au soldat mais, le pauvre homme était déjà perdu. En tout bien tout honneur Janet décida par respect de lui donner une des dernières poches de morphine pour atténuer les souffrances du militaire… Le fait ai que Vivvo était criblé de balles et les dommages qu’ils avaient subi étaient trop grave… Retirer les balles n’y ferait rien et la jeune femme le savait très bien…

Les tirs se rapprochaient dangereusement et Janet du prendre son P90 pour aller aider ses compatriotes, elle n’était pas militaire mais son aide contribuerait à la victoire de la Terre une fois de plus contre l’envahisseur goaul’d… Ils leurs botteraient le cul à ses espèces d’enflures ! Alors c’est avec courage que Janet se battit aux côtés de ses camarades… Bon sang Jason fit un vol plané et Vertiga fut toucher ! Et elle n’avait pas le temps de les sauver ! Un vent de panique souffla légèrement sur la doc’ en chef qui commençait à se dire qu’ils y passeraient tous… Il ne restait plus qu’elle et Davis comme derniers remparts…

*Bon sang ! Que foutent les renforts on va tous y passer si ça continue merde ! *

Janet continua de tuer le plus d’ennemi possible pour ne pas qu’ils accèdent à SA lingerie, elle savait qui elle protégeait dans cette merde, cette boucherie ! Elle ne pouvait même pas soigner ses amis et sous le coup de la colère elle s’époumona hurlant de toutes ses forces malgré la fatigue sachant que la mort les attendaient à la sortie !

- Ramenez-vous bande de trou du cul ! Sac à meeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrdeeeeeeeeeeeeee !!!

Tout à coup sans crier gare un morceau de toit tomba sur la doc en chef qui s’écroula sous le poids de celui-ci… A moitié sonnée mais encore consciente, Janet tenta le tout pour le tout pour ce dégager au plus vite avant de crever… La poutre avait tué Vivvo l’écrasant anéantissant les espoirs de Janet ! C’est avec désespoir que la jeune femme en larmes tentait de récupérer son P90 qui était à quelques mètres de ses doigts, il suffisait de se dégager encore un petit effort lorsqu’on la dégagea… Au début, elle ne pigea pas se qu’il se passait, elle leva alors la tête et vis un marine ! C’est avec un grand soulagement qu’elle comprit que c’était les renforts qui arrivaient ! Bien qu’un peu perdue, Janet s’adressa à son sauveur :

- Excusez-moi, je suis le médecin en chef de la base le docteur Frasier, tout d’abord putain mais qu’elle timing ! Et ensuite j’ai un blesser grave le Docteur Weir et aussi s’occuper de Vertiga et Davis qui sont blesser, et j’aimerais prendre en charger leur soin surtout Weir, il lui faut des soins plus approfondit sinon elle y reste !

Elle regarda au ciel… Le Prométhée ! C’es pour ça qu’ils avaient tous débarquer dont ne sais où… Janet esquissa un sourire et fit regrouper les blesser afin de les soigner en toute sécurité à bord du vaisseau qui avait tout le matériel nécessaire pour sauver Weir… Elle soupira de joie, elle uniquement médecin s’en était tirée… Mais n’avait pas pu sauver tout le monde… Des larmes vinrent couler le long des joues de la jeune femme… Par sa faute Vener était mort à l’heure qu’il est ! Elle n’aurait jamais du… Enfin elle avait sauvé Weir au moins ! Elle rentra à la base, sonnée et perdue… Mais elle reprendrait pied grâce à la conversation qu’ils avaient eu avec Jack la dernière fois… Elle avait sauvé des vies tout de même ! Donc elle n’était pas inutile comme elle le pensait ! Si cette mission lui avait prouvé quelque chose c’était bien ça !

* Aller ma grande on rentre à la maison, ta encore plein de boulot… On… On a besoin de toi !*

Janet Frasier reprenait doucement confiance en elle malgré tout ce qu’il s’était passé, elle n’était pas fière de cette mission où elle avait fait la plus grosse erreur de sa carrière… Mais elle avait sauvé d’autres vies et c’était déjà une victoire pour elle…

Arrivé au SGC : 06/10/2005

[Encore deux jours pour répondre et terminer la mission, je clotûre le topic après ce délais passé ]

Arrivé au SGC : 25/02/2008

Comment décrire ce que Constance ressentait ? C'était l'enfer, ni plus ni moins. Elle s'efforçait de tirer sur tous les ennemis qu'elle voyait mais il en sortait de partout, c'était sans fin. Une rafale ennemie la força à se jeter à terre et elle fut encore surprise d'être toujours en vie. Pour combien de temps, dieu seul le savait, mais c'était déjà ça de pris.

Bentley s'écroula non loin d'elle et elle prit le parti de lâcher son arme pour l'aider.

" docteur ! "

Elle avait crié plus par principe qu'autre chose car non seulement elle se doutait que Janet était débordée mais qu'elle ne savait même pas si cette dernière était encore en vie. Et puis, encore fallait-il qu'on l'entende dans ce bazard. Elle fit ce qu'elle put pour bander les blessures, en se demandant si ça en valait encore la peine.

Un bruit terrible retentit, les fusillades continuaient. Constance reprit son arme et laissa Bentley : elle avait fait son maximum pour qu'il ne meure pas, sans matériel, elle ne pouvait rien de plus, sans compter que ses compétences médicales étaient limitées aux premiers soins.

Un deuxième bruit la fit sursauter. La pièce d'à côté devait avoir subit pas mal de dégats pour faire un vacarme pareil. Elle resta sonnée un moment puis se rendit compte que tout était devenu calme.

Un marine surgit tout à coup dans la pièce et, surprise, elle failli lui tirer dessus avant de réaliser : des renforts ! Ils étaient donc sauvés ! Elle respira un grand coup et eut un pauvre sourire. Puis elle se souvint que Bentley était toujours à terre, elle le désigna :

" il est blessé, je ne sais pas si il est encore en vie... "

Restait à rentrer à la base. Constance n'en croyait pas sa chance de s'en être sortie. Ce n'était pas le cas de tout le monde et elle eut du mal à ne pas s'effondrer. Elle mettrait du temps à se faire à l'idée que tous n'étaient pas rentré.

Arrivé au SGC : 19/03/2007

Cassandra tirait méthodiquement, bien planquée derrière sa fenêtre . C’était presque du tir au pigeon : viser, ajuster et lâcher la gachette . C’était franchement jouissif de voir ses salauds tomber les uns après les autres . Ils étaient très nombreux, helas et Cassandra attendait d’une minute à l’autre le petit « clic » qui annoncerait que son chargeur était vide . Tant qu’il y avait des balles, il y avait de l’espoir . elle était quasi en transe, dans son rôle de sniper, aussi ne vit elle rien venir . Soudain, elle fut plaquée sans ménagement sur le sol, sa tête choquant le plancher avec une force inouie . Fegor ! Qui d’autre ? Cassandra serra les dents . Elle aurait dû écouter son intuition et faire la peau à ce traite, quitte à ce que ça l’améne en cour martiale . Elle essaya de le griffer au visage, de lui donner de bons coups de pied dans les parties, mais Fegor anticipait ses mouvements, et la serrait trop fort, pour qu’elle puisse se dégager suffisamment, et être efficace .
Il se pourléchait les babines d’avance, et toute sa resistance ne faisait qu’exciter les bas instincts du hurkien félon .

« Hmm tu sais combien j’en ai eu, des gonzesses dans ton genre ? »

Cassandra fut positivement écoeurée, et ne put répliquer avant qu’il ne se mette à lui cogner sauvagement la tête sur le sol . Elle fut étourdie et une violente douleur diffusa de l’arrière de son crâne jusqu’à ses yeux . Elle sentit quelque chose de chaud couler dans sa bouche, alors qu’elle tentait de prendre de l’air : du sang . Elle rua tant qu’elle put, rien n’y fit .

« Supplie… Allé chérie, supplie moi. »

« Plutôt crever, sale enfoiré ! » réussit elle à haleter, d’une voix faiblarde .

Mon Dieu, elle sentait qu’elle allait s’évanouir, comme une damoiselle en détresse, quelle honte ! Elle sentit une autre présence, on venait à son secours, et Fégor desserrait son emprise sur elle . Elle serra les poings et tenta d’en balancer un maladroitement , dans la figure de l’hurkien, et ne put seulement soulever son bras .
Puis il y eut un éclair, et un bruit de souffle, et Cassandra fut projetée au fond de la pièce, groggy . Ce fut un néant bienheureux, et lorsqu’elle reprit conscience, elle vit Fégor larder de coups de couteau Colm, avec une furie démente . Cela dégrisa Cassandra tout à fait . Elle chercha une arme, le plus vite possible sur elle . Son couteau ! Il était à sa ceinture ! Cassandra l’extirpa avec difficulté, alors que Fégor fondait sur elle, son couteau sali par le sang de Colm, avec un sourire pervers, plaqué sur le visage .
Cassandra se retrouva galvanisée . Ce salaud n’allait pas connaître les plaisir d’un procés ! Elle venait de le juger et elle serait son bourreau . Elle était un lieutenant de L’US army, et valait mieux que le moindre petit rigolo d’une planète arrièrée . Cassandra se redressa pour lui faire face .

Viens là, mon gros, que j’te régle ton compte ! tu vas payer pour ça ! » dit elle en montrant du menton le corps de Colm .

Elle se mit en position de combat, main bien ferme sur le manche de son couteau . Fégor l’attaqua comme elle le prévu, balançant toute sa force dans son geste . Cassandra swingua de côté, et attaqua Fégor par le flanc, le manquant de peu . Ses reflexes avaient perdus en force, malheureusement, et Fégor était aussi souple qu’un chat ! Il se jeta derechef sur elle, le couteau vers le bas, comme pour l’éventrer . Elle sentit la morsure de la lame sur son abdomen, alors qu’elle reculait . L’entaille était peu profonde, mais elle sentit du sang couler doucement sur son nombril . Cassandra hurla de colère et de frustration, et attaqua à son tour . Il para de sa main droite le coup qui venait vers son visage, et Cassandra eut un sourire de fauve, alors qu’elle faisait sauter sa lame dans sa main gauche, et qu’elle l’enfonçait sans pitié dans un mouvement tournant, juste sous les côtes de Fégor . Ce dernier fléchit des genous, bouche ouverte d’étonnement . Cassandra le tient suspendu ainsi un moment, les yeux plongés dans ceux de Fégor .

Alors ? qui c’est qui se marre, maintenant ? Vas rejoindre ton faux dieu, et donne lui le bonjour de Pierson !

Elle libéra son couteau d’un coup sec, et laissa Fégor glisser sur le sol et agoniser lentement . Elle tourna les talons, et se fraya un chemin à travers les décombres . C’était fastidieux, et le coup porté par Fégor lui brûlait atrocement le ventre . Elle descendit l’escalier comme elle put, et soufflait comme une bête, arrivée en bas . La maison était un champ de ruine, et Cassandra se demanda si elle était seule et que tous étaient morts . Elle sortit, et sur le pas de la porte, vit plusieurs lumières à l’orée de la forêt . Elle cligna des yeux, avant de reconnaître la forme massive du Prométhé . Sauvée !
Elle marcha, la main sur le ventre, et se précipita dans l’antre réconfortante du vaisseau terrien .

Arrivé au SGC : 06/10/2005

En moins de dix minutes, les Jaffas et les Républicains de la planète furent repoussés par les renforts. Les survivants de la mission furent transportés dans le Prométhée et pris en charge par l'équipe médicale. Pierson, Turner, Weir, Calvario et Bentley étaient blessés graves mais leur vie n'était plus en danger. Le Colonel Shakalaska avait repoussé l'ennemi dans les bois et revint pour avoir un rapport complet de la situation. De son accent russe, il demanda à son officier en second sur le terrain s'ils pouvaient partir.

"Nous avons récupéré les corps de nos hommes mon Colonel. Les survivants sont déjà à l'intérieur du vaisseau."

Oslote ordonna ensuite de quitter le champ de bataille et la maison en ruine. La vieille femme hurkienne, dernière résistante, fut emmené dans le Prométhée. A son arrivée sur Terre, elle fut enfermer dans la zone 51 et y resta jusqu'à la fin de sa vie...
Le Prométhée décolla, escorté par une nuée de F-302, et s'envola en orbite en direction de la planète bleu... P3R417 fut entrée dans la liste des planètes hostiles au SGC. Avec le Sire Colm mort, il n'y avait plus aucune chance de s'allier avec la République d'Hurk.
Deux jours plus tard, apprenant la victoire des terriens sur cette planète, le Grand Maître Olukun décida de bombarder la citée de la République depuis son vaisseau mère.
Au bout d'une heure, Hurk n'existait plus.
Au Stargate Command, une cérémonie officielle fut organisée pour rendre hommage aux héros terriens décédés pendant la mission. Les tombes du Major Gutes, du Lieutenant Kaiger et du Caporal Vener furent toutes voilées par le drapeau américain.
Ces héros qui s'étaient sacrifiés pour une seule cause: la Liberté...

[Mission terminée. Des barres de grades seront ajoutées à ceux qui ont fait la mission jusqu'au bout. GG à tous.]

Sujet: Re: Intrigue III - République d'Hurk - P3R417