Une bribe de lumière venait de traverser une infime fissure dans un morceau de bois qui était incrusté dans la maison.
Le soleil s’était levé depuis déjà quelques heures lorsque le Colonel Jason Turner ouvrit lentement les yeux étendu sur un lit douillet mais assez petit. La pièce en elle-même n’était pas très grande mais Jason n’allait pas s’en plaindre, bien au contraire. Il s’assit légèrement sur un coin de lit. Il se leva et regarda par la fenêtre… Ce paysage était vraiment magnifique. Pour un peu, on se serait cru en plein dans un film, Le Seigneur des Anneaux aurait pût venir tourner ici, le film n’en aurait été que plus beau.
Se frottant les yeux puis baillant la bouche grande ouverte, il prit ces équipements et ses armes et de descendit en bas.
Au rez-de-chaussée quasiment tout le monde était déjà réveillé. Evans ressemblait plus à un drogué qu’a un Colonel de l’armée de l’air. D’autres avait un réveil lourd et pesant, mais la plupart avaient le sourire et parlaient avec les autres tout en déjeunant tranquillement. Jason salua tout le monde d’un bref signe de la main et s’assit en bord de table. La vieille dame lui apporta un bol légèrement cassé sur le dessus mais qui était agréablement orné. Il prit un peu de laid froid et un croissant qu’il avala en quelques petites bouchées. Tout le monde se servait, et Jason n’avait eu qu’un seul croissant… au milieu de la table il en restait deux… puis un… Jason se leva, le fixant toujours, et glissa rapidement la main vers le dernier mais trop tard… Ses doigts se refermèrent dans le vide puisque quelqu’un l’avait déjà prit. Il soupira un grand coup puis retourna prêt de son bol en bord de table avant de parler à Evans qui n’avait pas l’air de refaire surface.

« Sa va aller Colonel ? Pour quelqu’un qui n’est pas censé boire pendant le service, vous vous êtes bien lâché dites donc… En tout cas si vous rentrez avec cette tête au SGC, on ne pourra pas faire passer sa pour une bagarre contre les affreux Jaffas, même eux pourraient pas vous rendre comme ça. » Ajouta t-il avec un léger sourire ironique.

Il prit le bol et le posa au bord de ses lèvres pour engloutir ce qui restait de laid. Plusieurs autour de la table commençaient déjà à se lever et à se préparer pour la journée d’aujourd’hui. Jason était encore l’un des derniers assis autour de la table lorsqu’un aboiement se fit entendre. Il résonna en écho dans toute la plaine. Encore un chien qui court après les oiseaux se dit Jason. Il se leva lentement pour aller voir à la fenêtre ce qui attirait autant son attention et entendit un coup de feu. Il s’abaissa légèrement par réflexe puis prit son P-90 posté au pied de la longue table lorsqu’un second coup de feu se fit entendre, faisant cesser les aboiements du chien, laissant places à quelques lamentations, puis le calme plein. Jason se précipita à la fenêtre, arme à la main, la chargea rapidement et aperçu l’animal baignant dans un bain de sang. La radio de Jason ainsi que celle des autres se mit à grésiller puis le Caporal Vener leur annonça qu’il avait des contacts en visuel dans la forêt, une multitude de contacts, fouillant surement la zone songea Jason. Ils n’allaient pas tarder à arriver par ici d’une manière ou d’une autre…
Colm se tourna vers plusieurs membres Terriens en leur faisant par de ses inquiétudes concernant le fait que si ils trouvaient tout ce beau monde ici, les « négociations » seraient foutues.

Tandis que Jason allait se précipité dehors essayant d’atteindre la cabane, le Caporal demanda si il pouvait tirer sur les cibles qu’il voyait actuellement ce qui promettait surement une jolie fusillade. Jason allait répondre, mais Evans le devança.

[Radio] : Négatif. Nous devons faire notre possible pour rester caché jusqu’à ce qu’ils s’en aillent. Interdiction d’ouvrir le feu !

Tout ce que le contraire de ce que Jason allait répondre, songea t-il. Finalement, il préférait voir s’ils ne faisaient que passer ou bien s’ils savaient qu’une activité illégale se tramait ici.
Tout d'un coup, Jason l’avait vu… Cet homme, le Républicain, il avait fait quelques pas vers la cabane ou se trouvait le jeune Caporal. Allait-il ouvrir la porte et voir le soldat... ? Les deux coups de feu simultanés répondirent à la question précédente de Jason. Evans gueulait toujours autant dans sa Radio tandis que le Major Gutes se précipita dehors afin d’aller chercher Vener. Jason se précipita dehors, légèrement vouté il regarda dans son viseur et aperçu une cible à 10 heures qui tentait d’avoir le Major. Turner appuya sur la gâchette et tua l’ennemi sur le coup. Un autre à 12 heures qui avait vu le tir précédent de Turner se mit à l’abri dans les quelques fourrés et ouvrit le feu sur la maison. Plusieurs soldats vinrent rejoindre Jason, qu’ils soient de Colm ou du SGC, ils bravaient ensemble. Les derniers ennemis furent abattus assez rapidement sans autre victime du côté Terrien.
Le Colonel se mit à couvert rapidement à l’intérieur, pendant que Frasier tentait d’extraire les balles du corps du Caporal.

Jason rejoignit Evans et Colm qui parlaient bruyamment, chacun reprochant la situation à l’autre, jusqu'à ce que Figor et Vivvo revinrent en un clin d’œil. Une oreille dans la conversation, l’autre prêt de Frasier commentant les soins, Jason saisi quelques bribes d’informations comme "inconnue des républicains…" ou encore "..ennemis partout dans la forêt". Mais ce qui fit réagir Jason, et qui le força à abandonner l’opération en cours, fût le mot "Jaffa" qui fit remonter en lui une multitude de souvenirs désagréables.

« Excusez moi de faire irruption dans cette si passionnante conversation mais aurais je entendu le mot Jaffas ? Vous voulez dire que les têtes de serpents sont là ?! » Ajouta t-il d’un ton exaspéré en s’isolant dans un coin de la salle les mains sur la tête.

Après quelques longues minutes de calme, Frasier annonça que Vener était sein et sauf. Certains vinrent la félicité mais Jason n’en faisait malheureusement pas parti. Toutes ces pensés s’agitaient dans sa tête et il dût admettre que la veille, il ne voyait pas cette matinée aussi mouvementée. Evans reprit son petit discours, annonçant qu’il fallait partir au plus vite si on ne voulait surement pas être tués.
Fuir… fuir revenait à tout lâcher et à abandonner la mission… Jason ne pouvait s’y résoudre. Apparemment, Colm et ses hommes ne partiraient pas et Turner leur en était très reconnaissant. Il se leva rapidement du mur, décroisa ses bras puis voulu prendre la parole mais Evans le devança une fois de plus…

- Ok, vous restez ici. Nous retournerons à la porte des étoiles et nous en informerons le Général.

Apparemment et au grand étonnement de Jason, il venait de prendre une décision tout seul, sans même y réfléchir et sans même en parler à l’autre Colonel et chef de Mission. Evans rejoignit Turner, et plusieurs membres s’étaient déjà préparés à partir lorsque le Major Gutes annonça qu’il resterait ici malgré les ordres. Quelques menaces de la part du Colonel Evans retentirent dans la maison, tout le monde se regardait l’air un peu ébahi. Lorsque Gutes annonça le fait que Vener ne pouvait être transporté, Evans n’en dit pas plus et sortit en appelant Jason…

« Lâchez le un peu Evans ! Il veut rester ici pour sauver son ami, et vous vous préférez fuir afin de protéger votre petit popotin. La cours Martiale que vous venez de lui promettre va peut être changée de coupable! On a une mission et on va la remplir Evans que cela vous plaise ou non. Si vous n’êtes pas capable de gérer votre stresse lorsque vous vous sentez en danger, je crois que vous n’avez pas choisis le bon métier. Je ferais mon rapport au Général quand nous seront rentrés de la base ; et oui car contre tout attente de la part du Colonel Evans nous rentrerons ; et je peux vous assurer John Evans, que cet acte de lâcheté empiètera durement sur votre carrière que je commence à trouver assez pathétique en vue de votre bravoure si acclamée. Je me rends compte que toutes les bonnes critiques que j’ai entendues à votre compte devaient être ironiques Evans… » acheva Jason en fixant le Colonel d’un regard lourd et définitif.
Il se tourna ensuite vers le reste du groupe.

« Écoutez moi tous, si nous fuyons dans cette forêt, il est évident que la plupart d’entre nous mourrons. Regardez l’état du Caporal Vener qui est resté sur sa position et n’a pas tenté de fuir… Même si il est blessé, il à le respect de chacun d’entre nous ! Si vous passez cette porte, dites vous que vous aurez laissé mourir des hommes et des femmes que vous connaissez pour la plupart depuis des mois, voir des années. Je ne vous dirais pas de ne pas franchir cette porte, je vous le demande… Ceci est loin d’être un ordre, mais je doute que vous puissiez vous regarder dans une glace en rentrant au SGC en repensant à cette situation car vous êtes ici, et si vous êtes ici c’est parce que nous croyons en vous, le SGC crois en vous, la Terre crois et compte sur vous ! Si vous franchissez cette porte pour en repasser une autre et retourner sur Terre, c’est que vous ne valez pas mieux que le Colonel John Evans qui est défiguré par la peur et l’appréhension de ce qui va se passer ! Pour ma part, je vais rester ici et accomplir mon devoir même si cela doit me coûter la vie, car tel est mon métier… Nous ne devons pas faillir !! Trop de choses reposent sur nos épaules et celles de tous les hommes et les femmes du SGC… Souvenez-vous en… » termina t-il en montrant d’un seul doigt la Porte et Evans qui se tenait juste devant…

Après ces quelques mots, Jason empoigna son arme et se dirigea vers le Major Gutes à qui il ordonna d’aller se poster au premier étage et de couvrir les éventuels arrivés ennemis. Il alla se placer prêt de la cabane dehors, poussant Evans devant la porte qui ne rebiffa pas pour une raison que Jason ignorait et surtout s’en foutait…

Au petit matin, après une soirè bien mouvementé par la danse et la musique, Paul se réveilla dans le salon, où il avait passé la nuit en compagnie des autres militaires du SGC, sauf les deux Colonels, un qui avait dormie à l'étage, l'autre après avoir liquidé les bouteilles restantes dans la cuisine. Paul avait eu du mal à s'endormir, mais il y été quand même parvenue. Après avoir remit son pantalon, la Capitaine rejoingna la cuisine, ou la vieille dame leurs avait préparé un petit déjeuné de roi, décidément, on sait acceuilir sur Hurk. Paul déjeuna quelques tartines avec de la confiture et du lait. Alors qu'il avait fini son déjeuné et qu'il quitta la table, regardant ses camarades, certains tiré la gueule de bois, surtout le Colonel Evans, Paul entendit l'appelle radio du Caporal. Le Colonel Evans lui réponda de n'ouvrire le feu sous aucun prétexte pour ne pas les attirés vers la maison.

Paul regarda discretement par la fenêtre, au loin, il pouvait aperçevoir les gardes de la république d'Hurk. Le Capitaine par mesure de précaution prit son P-90, même si il n'a pas l'autorisation de tiré, John Evans l'ayant refusé. Un des gardes se diriga vers la cabane où se trouvait le Caporal, des coups de feux retentir et le garde tomba, le Caporal lui sortie de la petite cabane en direction de la maison blesser, mais un garde reussir à la touche, le Caporal n'était pas mort et le Colonel Turner commenca à tiré sur les gardes pour les tuers, où au moins les faires fuire pour gardé son militaires en vie. Paul passa son arme à travers la fenêtre et lacha quelques coups de fusil mais ne savant trop si il avait touché des gardes.

Une fois tout les gardes morts, la Major Gutes alla cherché le Caporal et le ramena, le Docteur Frasier se dépacha d'aller vers le blesser pour le sauver. De son côté, Paul écouta la conversation entre Colm et Evans. A ce moment là, les deux soldats de Jozef Colm étaient de retour et expliquèrent que d'autre garde étaient des la fôret ainsi que des Jaffas d'Olukun. La Colonel Evans donna les ordres aux militaires terriens, ils devaient rassembler leurs affaires et partir de cette planéte, malgrès les mises en grades de Vivvo concernant le nombre de jaffa et garde de la république dans la fôret et que beaucoup de terriens risquer de mourrire. A ce moment là, Janet annonca que le caporal était sauvé. Paul se diriga vers elle.

Vous avez toutes mes félicitations docteur, vraiment du bon travail.

Paul se demandé comme le docteur en chef du SGC avait pût travaillé dans de tels condition, les vraie héros sont aussi des médecins.

Sur les ordres de Evans, Davis remit sa veste et prit son pactague sur son dos, mais il attendait dans l'autre piéce, pour avoir la réaction de ses collégue. Le Major Gutes refusa de partir, Paul était du même avis que lui, il faut se battre, mais le Capitaine avait moins de courrage, il ne voulait pas risqué la cours marcial. Mais quand le Colonel Turner, qui jusque là n'avait plus rien dire par l'omniprésence de Evans, il montra sa determination de vouloir resté ici et se battre, Davis eu un sourrire, content qu'enfin le Colonel Turner contra les ordres de Evans.

Après son long discourt à Evans et à ses hommes, leurs laissant le choix de quitté cette planéte ou de resté ce battre, il alla ce placer prêt de la cabane. Paul reposa son pactage et se diriga arme en mains vers Turner, passant devant le Colonel Evans avec conviction, il se mit au garde à vous devant Jason Turner et dît.

Mon Colonel, vous venez de prouvez que vous êtes un homme d'honneur et de bravour, à votre place je ne sais pas si j'aurais eu cette force, je vous estimé déjà beaucoup, mais maintenant, vous avez gagner ma confiance, je suis prêt à vous donné ma vie. Vous pouvez compter sur moi.

Le soleil se levait dans le salon ou la pluspart de la troupe dormait. je fut certainement un des premiers a me lever, pour aller me détendre un peu. je sortis dehors, pris une grande inspiration. le chien de la fermière était paisaiblement couché, a moitié endormit. Puis je vis le caporal Vener dans la cabane qui faisait le guet. Il me vit et me salua d'où il était. avec respect, je lui rendit son salut.
Puis je retournais dans le salon, ou plusieurs autres personnes s'étaient levées et la fermière préparait déjà le petit dejeuner. Génial, je commençait a avoir la dalle. Je lui dit bonjour, puis je m'installait a la table avec d'autre compagnon. Il y avait de tout, ain, confiture, beurre, lait, manquait plus que l'ami ricorée. j'avais presque finit mon dejeuner lorsque le colonel Turner descendit les escaliers. Il nous fi un bref signe de main, et je le saluait comme il se devait.
Une fois l'estomac plein, je m'asseyais a coté de tout mon équipement, vérifiant maintes fois le bon fonctionnement des mes armes. Plusieurs minutes passèrent puis le chien se mit a aboyer. Il avait surement vu un lapin. Puis deux coups de feu claquères, suivit des gémissements du chien qui se tut rapidement. Pas besoin d'être devin pour deviner qu'il s'était fait buter. Puis toutes nos radion émmettèrent la voix du caporal vener.
Apparement, il avait plein de conctacts visuels près de la forêt. Comme tout le monde était attroupé autour de la fenêtre, je courut dans les escaliers et je montait au premier étage pour voir ce qui se passait.
Un soldat républicain s'approcha de la cabane. Allait-il aider le caporal ? La réponse vint assez vite. Deux coups de feu se firent entendre. le republicain s'écroulat, et le caporal ressortit en sang et courut avec assez de problème vers la maison. Puis un autre coups de feu, plus lointain se fit entendre. Une seconde après, le caporal était a terre, du sang plein les jambes. de mon propre chef, je descendit les escaliers sans m'en rendre compte puis je sortis dehors avec quelques autres personnes pour aller aider le caporal. Avec Turner, je le pris sous les aisselles, et le ramena dans le salon.
Une fois dedans, nous le confimes aux bons soins du doc fraiser. Puis ce fut le conseil de guerre a l'arrache. Les républicains voulait rester ici pour défenre la ferme ce qui était normal, mais notre major voulut lui aussi rester dans la ferme, ce qui aboutit a une vive engeulade entre le major, le colonel evans et turner qui avait pris la défense du major, et lui aussi voulait rester. Puis comme a son habitude, turner nous fit un joli speeche bien héroique.
Une fois terminé, je rajoutait mon grain de sel.

-"T'oublies une chose trou-du-cul, si vener reste ici il va crever. je suis d'accord sur le fait que si tout le monde se barre a travers la forêt, ça sera le lacher de volaille, mais un petit grouope de personne peut surement traverser les lignes ennemies sans se faire repérer, balancer vener dans le vortex et revenir vous soutenir. Et en s'organisant bien, on pourrait même prendre les serpent entre deux fronts. J'ai besoin de deux volontaires, un pour m'aider a porter le brancard de vener et un autre pour nous couvrir. Joueur a fort alamo si vous en avez envie, mais moi, je ne laisse pas le petit ici."

Une fois dit, je rentrais dans les rangs, en attendat la suite des évenments.

HRJ : Je posterais ce soir pour le post

Enfin, la soirée était terminé, Vertiga s'était bien amusée, à vrai dire ce moment de détente lui avait insufflé un nouveau souffle et lui avait fait sortir de la tête le fait que Olukun était puissant, la jeune femme alla donc se couché dans le genre de grand salon avec les autres, se glissant sous cette petite couette pas bien chaude.

Alors que le matin pointait gentiment le bout de son nez, mais un nez qui coule, en effet une pluie continuait de tomber depuis le début de leurs arrivée et apparemment madame météo n'a pas décidé de s'arrêter de versé des larmes. En se levant vivement comme a son habitude, la jolie brunette remis ses affaires après s'être passé un peu sur son visage, elle pris le petit déjeuner en compagnie des personnes debout, une sorte de café était servie dans des bols accompagnée de pain et de confiture, la jeune femme avala le tout doucement, elle aimait manger doucement, et non pas tout avaler goulument comme une affamée.

Alors que Vertiga était retournée pour vérifié quelques chose dans son sac elle haussa un sourcil et releva sa tête a la chevelure merveilleuse quand les aboiements d'un chien lui parvint aux oreilles, elle se leva et laissa son sac quand des coups feu firent taire les aboiements, posant sa main sur sa bouche et sentant qu'ils étaient bel et bien attaquer, la jeune femme revint vers le salon a ce moment précis elle entendit Janet qui demander de l'aide, accourant rapidement vers son amie Vertiga se mis a ses côtés. Certes elle n’était pas médecin mais pouvais l'aider un peu. Elle suivit les instructions de Janet et grimaça légèrement quand elle retira les balles mais fut soulagée de voir que l'homme aller s'en tirer.

"Bravo Janet, bon boulot"

Puis par la suite, le Colonel Turner parla, et la mythologue l'écouta avec attention, elle hocha a son tour la tête, mais elle ne lâcha pas le fait qu'Olukun est un Goa'uld puissant pourquoi ? A vrai dire Vertiga est un peu tête en l'air et a complètement oublié ce détail là.

'hrp : post rapide pour pas ralentir !)

Cassandra était écoeurée par l'attitude du Colonel . Tant de désinvolture n'était pas digne du chef de mission ! Elle ne pouvait faire mieux, aussi, elle fit un petit salut militaire, et retourna s'assoir .

Elle s'endormit sur le sol, mal, il fallait bien le dire, ses sens de militaire en alerte . Le petit déjeuner fut copieux, mais elle grignota du bout des lèvres, sentant une certaine tension inexplicable . Puis, tout se déroula trés vite, et elle retrouva ses réflexes de combattante, alors que la maison était encerclée aparemment . Ils avaient peu de chance de s'en sortir, vu la situation... Un soldat blessé, et des jaffas dans les bois... Cependant, l'attitude du Colonel Evans la dégouta positivement . Depuis quand l'armée des USA laissait un soldat à l'ennemi ? Dédaigneusement, elle lança à Evans :

Rien n'empêche que vous rejoignez la Porte des Etoiles, mon Colonel . Effectivement, il faut prévenir le SGC et revenir avec des renforts . Pour ma part, je reste aussi pour sauver ce qui peut l'être, sauf votre respect !

L’équipe fut séparée en deux groupes. L’un commandé par le Colonel Turner, l’autre par le Major Fett. Jason n’avait pas su convaincre Boba de rester. Celui-ci avait pris les choses en mains, voulant partir de cet endroit et rejoindre la porte des étoiles. Ainsi, le Major suivit du Lieutenant Kaiger, prirent Mark Vener avec eux. Ce dernier venait d’être blessé lors des combats précédents, mais le docteur Frasier avait laissé le jeune Caporal partir pour la forêt et ce fut là sa plus grosse erreur de la mission en tant que médecin en chef…
Jason Turner n’avait rien pu faire face à la détermination de Boba et les laissa s’en aller…
Colm envoya Indrimmo et Jog pour escorter et guider le groupe de Boba, tandis que le Colonel Evans s’était levé, prêt à partir.

« Je crois… Je crois que je n’ai plus rien à faire ici. Au revoir Turner… » Dit-il. « Restez là. Nous reviendrons avec des renforts. »

C’est alors qu’Evans rejoignit Boba et Kaiger, qui portaient Vener sur un brancard, pendant que les deux soldats républicains ouvraient la marche. Le petit groupe sortit de la maison et commença à rejoindre la forêt. Colm se rapprocha de Turner et tint à le remercier d'être resté alors qu'il n'était pas obligé. Il ajouta d’une petite voix :

« Ne vous inquiétez pas, ils y arriveront… C’est à nous de nous organiser pour survivre maintenant. »


******************

Il était déjà onze heure quand la deuxième assaut ennemie déferla sur la maison. Il y avait une douzaine de républicains, encore des soldats de la garde personnelle. Ils ne semblaient pas avoir de tactique, si ce n’était courir vers l’ennemi en tirant dans le tas. Le Major Gutes était posté à l’étage tandis que Jason était à l’intérieur de la cabane, dehors. Les autres s’étaient répartis un peu partout dans la maison, prêt des fenêtres, pour avoir un angle de vue sur l’ennemi qui arrivait par les bois.

[Radio] : D’en haut on peut facilement les avoir mon Colonel. Signala Gutes qui venait de toucher trois cibles.

Jason ouvrit le feu, comme Davis, Bentley, Colm, Fégor et même quelques civils. La vieille dame s’était cachée dans une chambre, terrifiée. Un garde ennemi passa non loin de la cabane, s’approchant dangereusement d’une des fenêtres du salon. Mais il fut vite arrêté en chemin par un tir de Turner. Trois autres foncèrent vers la porte d’entrée, l’un servant apparemment de porteur de grenades à long manche. Ils portaient le même habit que les soldats de Colm, sauf qu’ils avaient tous un casque avec une petite fente qui leur servait de visière. Leurs fusils étaient assez longs, arme de poing, grenade et baïonnette inclue dans leur équipement. Comme s’ils avaient été préparés pour la guerre depuis longtemps.
Vivvo appela de l’aide à la porte et tira. Soutenu par quelqu’un d’autre, ils tuèrent l’ennemi le plus proche qui portait son lot de grenade. L’homme prit feu et son corps fut dispersé dans l’herbe. L’explosion emporta avec lui les deux autres gardes Hurkiens qui le suivaient.
Aucun des hommes du grand Consul ne réussit à rentrer dans la maison. Trois survécurent à la défense des terriens et repartirent dans la forêt. Des corps ennemis jonchaient le sol, mais aucun terrien ne fut blessé pendant les échanges de tirs. Une bataille un peu trop facile… Avait murmuré Sire Colm.
Peu de temps après, Vivvo revint avec un plan de la maison, fait par sa propre main. Il le posa sur la table, sous les yeux des militaires terriens.



« Voilà les endroits qu’il faut tenir. » Dit-il en les montrant du doigt. « Il faudrait une personne dans la cuisine. Il faudra protéger l’entrée. J’irais dans le salon avec quelqu’un d’autre, et la cabane est solide, on pourra continuer de mettre quelqu’un à l’intérieur… Et il faut des hommes à l’étage pour couvrir d’en haut. »

« J’irais avec toi pour tenir la porte du salon… Celle qui mène à l’entrée. » Répliqua Gutes, qui avait tutoyé Vivvo comme s’ils se connaissaient déjà très bien.

Les terriens analysèrent un moment le plan. Gutes se rendit compte à quel point la maison était vulnérable. L’ennemi arrivant par la forêt pouvait attaquer de n’importe où…
Il allait falloir organiser une bonne défense le temps que les renforts arrivent.

Le groupe de Boba, lui, avait entendu les coups de feu mais ne s’arrêta pas. Jog se concerta avec Indrimmo et ce dernier s’approcha du Major, parlant à voix basse.

« On va prendre un autre chemin pour éviter le plus possible les troupes ennemies. Mais ça va prendre un peu plus de temps… J’espère qu’il tiendra le coup. » Dit-il à vois basse, son regard posé sur Vener. « On fera régulièrement des petites pauses. »

Indrimmo rejoignit Jog, qui inspecta le chemin. Ils n’avaient encore rencontré aucun ennemi et c’était bon signe. Fett reprit le brancard, aidé par Kaiger tandis que le Colonel Evans couvrait les arrières. Il ne savait plus quoi dire et avait laissé le Major prendre les commandes du groupe. Tout ce qu’il souhaitait maintenant, c’était de rentrer chez lui sur Terre, loin de cet endroit de merde…

[5 jours pour poster, soit jusqu'à vendredi soir.]

Tout le monde avait fait son choix, la plupart voulaient rester ici, charmer par le discour de Turner. Moi je me retrouvais avec Kaiger, un homme sur qui je pouvais compter, deux soldats Hurkien et Evans, dont je doutais sur sa combativité. le groupe était scindé en deux et j'allais devoir faire mes preuves en tant que leader. Evans fit un petit discours a Turner et une fois qu'il eu finit je pris la parole.

-"Je ne sais pas combien de temps cela va prendre, mais on va essayer de revenir le plus vite possible avec du renfort si l'on peut. Adios ! Evans avec moi au brancard, je prend l'avant et vous l'arrière. Kaiger en couverture, garder les yeux et les oreilles grands ouverts. Indrimmo et jog, pareil, et si vous connaissez des chemins sur, n'hésiter pas a m'en faire part. En avant !"

Je me mis en position sur le brancard et attendis qu'Evans soit prêt lui aussi. Une fois prêt, nous levîmes le brancard, même si vener était assez maigrichon, il pesait quand même un certain poids. Puis nous sortîmes de lamaison par devant. Dans la lisère du bois droit devant nous, apparament rien ne se passait, les troupes ennemies devait se préparer a l'attaque a l'écart. Je tournais a 90° sur ma droite pour aller vers une autre lisière du bois, pour éviter de tomber nez a nez avec les jaffas.
Une fois dans la lisère, je m'arrêtais un moment pour donner des ordres.

-"Kaiger et Jog, vous passez devant en reco. intervalle de trois mètres entre vous. Indimmo tu assures l'arrière garde. Evans, lache pas le brancard !"

Puis nous nous remîmes en routes dans la lisière, progressant grace a une marche rapide, mais sans courrir. Tout le monde était tendu, qui sait ce qui pouvait nous arriver. Au bout de plusieurs minutes, nous entendîmes des coups de feu claquer. Ils provenait de la lisière qui faisait face a la maison. l'assaut allait peut être commencer.

-"Aller, on s'arrête pas ! Ils ne nous peut etre pas encore découvert !"

« On va prendre un autre chemin pour éviter le plus possible les troupes ennemies. Mais ça va prendre un peu plus de temps… J’espère qu’il tiendra le coup. » Dit-il à vois basse, son regard posé sur Vener. « On fera régulièrement des petites pauses. »

-"Ok, ca marche, je vous fait confiance.

Puis le petit groupe repris sont chemin a travers les bois.

Après quelques échanges de regard, Evans s’en était allé avec Fett et Kaïger. Jason n’avait même pas répondu à la provocante insulte du Major car il n’en valait pas la peine… Si il comptait se faire tuer dans la forêt c’était son problème, mais lorsque Kaïger passa à proximité de Jason, leur regard se croisèrent, il lui lança un petit regard indécis comme pour le dissuader de s’en aller. Le jeune lieutenant lui accorda un petit sourire rassurant, et Jason n’eut d’autre choix que de le laisser s’en aller…

Il se tourna ensuite vers le reste des militaires de la maison. Ils n’étaient plus beaucoup malgré l’importance de cette mission, et s’ils voulaient la terminer positivement ils devraient faire preuve d’ingéniosité.
Quelques longues minutes passèrent, qu’un nouvel assaut arrivait déjà. Jason se posta prêt de la petite lucarne éclairant la cabane, P-90 à l’affût, il ouvrit sauvagement le feu, en abattant plus d’un. Il baissa lentement les yeux, son chargeur venait de se finir d’un seul coup. Dans un geste brusque il retira l’usagé, en prit un autre dans une de ses poches et le remit, puis rouvrit le feu. D’autres tirs se faisaient entendre depuis la maison, d’autres cadavres croulaient sous les balles, et du sang neuf faisait son apparition à chaque secondes… Après une ultime balle lancée depuis l’étage qui fit tomber un garde devant la porte, le calme revint…
Jason ouvrit la porte, P-90 devant lui, il sortit lentement en regardant partout et alla inspecter tous les cadavres rapidement avant de se rediriger vers la maison. Tous s’étaient déjà regroupés autour d’une table, une petite carte de la maison posée dessus en train d’élaborer un plan.

« Voilà les endroits qu’il faut tenir. » « Il faudrait une personne dans la cuisine. Il faudra protéger l’entrée. J’irais dans le salon avec quelqu’un d’autre, et la cabane est solide, on pourra continuer de mettre quelqu’un à l’intérieur… Et il faut des hommes à l’étage pour couvrir d’en haut. » Dit Vivvo.

Gutes voulait l’accompagner à l’entrée du salon, et il faudrait donc des personnes dans la cabane et à l’étage. Jason s’avança rapidement au milieu du groupe en montrant des points décisifs sur la carte.

« Davis, vous irez dans la cuisine pour la couvrir ce côté. Pierson, Bentley vous irez à l’étage. Parray, Calvario, Adria vous irez chacune dans une pièce à l’étage pour voir si vous voyez des ennemis qui nous auraient échappés. Ne restez pas constamment par la fenêtre vous pourriez recevoir une balle perdue. Docteur Frasier, tenez vous prête en cas de blessés… Je couvrirais l’entrée depuis la cabane. Tant qu’on y est, Bentley, Pierson, Davis, Gutes, donnez-moi vos pains de C-4, je vais aller les mètres à chaque coin du terrain afin de nous permettre de les repousser un peu plus, Calvario vous prendrez le détonateur et appuierais sur le bouton à mon signal et seulement à mon signal compris ? Aller tout le monde à son poste messieurs – ‘dames. » Termina Jason en sortant de la maison, disséminant les pains de C-4 un peu partout autour de la maison.

Se dirigeant ensuite vers sa petite cabane adorée, il réalisa que les minutes à venir n’allaient pas être une partie de plaisir, de plus gros ennemis arrivaient en force et pas les moindres… Les Jaffas d’Olokun n’allaient pas tomber si facilement sous les balles terriennes… Il espérait au moins qu’ils n’appelleraient pas de renfort tel des chasseurs de la mort voir des Al’kesh, ou la petite chance qu’ils avaient de vaincre ce Goa’uld allait partir en fumée…

Alors qu'un petit groupe dont le Colonel Evans fesait partie ainsi que Fett et Kaiger partie rejoindre la porte des étoiles, les autres avaient décider de resté au côté du Colonel Turner pour combattre le Gao'uld et ses jaffas, c'était le cas de Paul, qui avait de plus en plus confiance en Jason Turner pour les menés à la victoire. Quelques secondes après le départ de l'autre Colonel, un autre assauts des gardes républicains se fît. Depuis une fênetre du salon, Paul avait passé le bout de son P-90 pour ainsi tiré sur les ennemis. Après que les autres militaires est commencé à ouvrire la feu, Paul tira a son tour sur les ennemis, il vida un chargeur sans tué quelqu'un, mais après avoir mis son deuxiéme cahrger, en quelques secondes, il finit par tué enfin, un mort à l'actif du Capitaine.

L'assaut fût finalement repoussé facilement, du au faite que les grades de la république d'Hurk n'avaient pas de tactique.

Vivvo arriva avec un plan de la maison, Paul le regarda et écouta les ordres du Colonel.

Davis, vous irez dans la cuisine pour la couvrir ce côté...Tant qu’on y est, Bentley, Pierson, Davis, Gutes, donnez-moi vos pains de C-4, je vais aller les mètres à chaque coin du terrain afin de nous permettre de les repousser un peu plus, Calvario vous prendrez le détonateur et appuierais sur le bouton à mon signal et seulement à mon signal compris ? Aller tout le monde à son poste messieurs – ‘dames. »

Sur les ordres de Turner, Paul lui donna ses deux pains de C-4.

Tenez mon Colonel et bonne chance, on vas gagné.

Après ce petit mots, le Capitaine alla dans la cuisine comme l'avait demandé précédament le Colonel Turner, depuis la fenêtre, Paul allait pouvoir couvrire le côté gauche de la maison, il recharga son P-90, pour ainsi être prêt à combattre.

Cassandra vit la petite troupe portant Werner partir, et bien qu’elle ne fut pas croyante, elle leva les yeux au ciel, comme si cela pouvait leur assurer une protection divine . Et justement, ils risquaient d’en avoir besoin .
Quant à eux, ils essuyérent un assaut en bonne et due forme . Cassandra serra les dents, tirant avec attention et méthode, afin de ne pas gaspiller ses balles . Si les renforts n’arrivaient pas bientôt, ils allaient être à cours, et… Cassandra préféra ne pas y penser . Elle écouta attentivement le Colonel Turner, et lui remit son pain de C4 . C’était une bonne tactique, et franchement, dans la maison, cela n’avait aucune utilité . Cassandra monta donc à l’étage avec Bentley, et se posta prés d’une fenêtre, cachée par des rideaux . Elle avait une bonne vue sur la forêt alentour . Cassandra fit signe à Bentley d’éteindre toutes les lumières . Elle ne tenait pas à devenir une cible parfaite pour leusr ennemis . Elle pensa un instant à Constance, espérant qu’elle s’était améliorée en tir . Elle jeta un œil sur son fidéle P90, souhaitant ardemment que les prochains à venir soient encore des Hurkiens, et pas des jaffas . Les balles n’avaient que peu d’effet sur les armures jaffas . Franchement, ils étaient tous mal barrés . Cassandra se gronda interieurement . Elle s’était trouvé dans des situations pires que celle ci, et jusqu’à présent, elle s’en était sortie . Il ne fallait pas être déjà défaitiste .

* Je deteste attendre qu’il se passe quelque chose, coincée comme un lapin dans son terrier !*

Oui, au fond, les situations de siége lui tapaient sur les nerfs . D’autant plus qu’elle allait devoir ajuster ses tirs, et que le lieutenant Pierson n’avait rien d’un sniper . Ah, qu’ils entrent, ou du moins qu’ils essayent ! Cassandra était bien décidée à vendre chérement sa peau . Et elle n’aurait eu rien contre un petit combat de corps à corps, histoire d’épancher son trop plein de nervosité . A ce propos, où était ce sale traite de Fégor ? Cassandra était quasi sûre que c’était lui qui avait donné leur position . Ah, ça, oui, elle allait lui régler son compte à celui là ! Farouchement, Cassandra scruta l’horizon, à la recherche de présence ennemie .

Il était treize heure. L’ennemi sortit de toute part de la forêt. Ce n’était pas des hurkiens, mais un bataillon de Jaffas d’Olukun bien entraîné et supérieur en nombre. La maison fut assiégée de toute part. La cuisine, l’entrée et le salon étaient sur le point d’être envahis mais la défense mise en place par les terriens fit reculer la vague ennemie. Au signal de Turner, Calvario appuya sur le détonateur, menant à la mort une dizaine de jaffas qui avaient eu la malchance de se trouver sur le champs de mines, autour de la maison. Gutes et Vivvo tinrent leur position, ainsi que Davis et Fégor qui venaient de stopper un groupe de quatre jaffas qui voulaient entrer par la fenêtre de la cuisine. Pierson et Bentley arrosèrent l’ennemi d’en haut, soutenus par les rafales courtes et régulières des civils. Jason Turner campait dans sa cabane et coupa la route à plusieurs jaffas qui tentèrent d’atteindre la porte d’entrée. L’un des serpents, probablement le chef du régiment, hurla des ordres à ses guerriers et de nombreux tirs à énergies volèrent prêt de la position du Colonel. Celui-ci se rendit compte que la cabane n’allait pas tenir face à la puissance de feu des jaffas.

[Radio] : Sortez de là mon Colonel, on vous couvre !

Quand Turner sortit pour rejoindre la maison, la cabane tomba en miette sous les tirs des lances jaffas. Couvert par Vivvo, Gutes, Frasier et Bentley à l’étage, il allait atteindre la porte d’entrée quand un jaffa, caché de l’autre côté de la pelouse, toucha le Colonel à la cuisse. Jason s’écroula à l’intérieur de la maison et Vivvo referma la porte. Le jaffa qui était embusqué fut rapidement neutralisé par un tir venant de l’étage.

« Médecin ! » Appela le jeune soldat hurkien pendant que les derniers Jaffas présents autour de la maison prenaient la fuite. Plusieurs d’entre eux furent tués avant même d’avoir rejoint la forêt… L’équipe crut alors qu’ils avaient une fois de plus repoussé l’ennemi.

Cependant, il restait encore un serpent en vie sur le champ de bataille, allongé au sol et immobile, la lance jaffa collée à lui… Il avait un angle de tir parfait sur une des pièces de la maison.
Debout près d’une fenêtre, une personne semblait soulagée depuis que l’attaque s’était terminée. C’était une femme d’un autre monde, qui avait l’air d’être inoffensif à première vue… Mais c’était la seule cible que le jaffa avait et il ne fallait surtout qu’à pas qu’il déçoive son dieu maintenant !
Restant très immobile, il prit le temps de viser… Et tira.

Frasier s’occupait de Turner, aidée par Colm et par la vieille femme qui était revenue. Les autres semblaient distraits, inquiets de voir que leur supérieur avait été touché pendant la bataille. Le docteur Weir joignit ses deux mains et se posa sur le rebord de la fenêtre. Elle était venue pour négocier, et voilà que…
Elizabeth Weir fut brusquement arrachée de ses pensées quand le tir ennemi venant de l’extérieur la percuta. Elle tomba par terre, sans pousser aucun cri. Le jaffa survivant se releva et traversa la pelouse. Bentley l’avait vu et lâcha plusieurs rafales sur le serpent, qui fut tué avant même d’atteindre la maison.
Avec Weir, inconsciente et gravement blessée, et Turner qui avait une sale brûlure à la jambe, Janet semblait dépassée mais la vieille dame de la maison l’encouragea à garder son calme. Celle-ci était d’une grande aide pour le docteur depuis le début de la mission. Elle fit signe à Frasier d’aller s’occuper de Weir et c’est alors qu’elle prononça quelques mots, pour la première fois depuis que les terriens étaient arrivés.

« Je… Je vais restée avec lui… » Dit-elle à propos de Jason. « Moi… Avant… j’étais une… Une soignante » Ajouta-t-elle avec un petit sourire, avant de finir de s’occuper, très proprement, de la jambe du Colonel.

Les autres membres du groupe postés à l’étage restèrent en alerte. Aucun autre jaffa ne fut repéré mais l’impression que l’ennemi allait revenir avec encore plus de renforts se faisait grandement ressentir au sein de l’équipe et chacun s’occupa l’esprit à sa propre manière, avant la prochaine attaque…


****************************

Vener toussa et cracha un filet de sang sur lui. Le groupe de Boba s’arrêta au milieu d’un chemin et Evans sortit un mouchoir pour ressuyer le sang qui s’échappait de la bouche du Caporal blessé. Jog couvrait le flanc gauche et Kaiger était allé en avant, prêt à reprendre le chemin.
Soudain, contre toute attente, les radios des terriens s’allumèrent et après un instant à écouter des parasites, ils entendirent la voix du Général Peterson sur la fréquence.

[Radio] : Je répète, ici le Général Peterson du SGC, est-ce que quelqu’un m’entend ?

[Radio] : Mon Général, ici le Colonel Evans ! Heureux d’entendre votre voix !

[Radio] : Quelle est votre situation Colonel ?

Indrimmo rejoignit Evans et lui fit signe de parler moins fort.

[Radio] : Nous avons besoin de renfort urgent mon Général. Les Jaffas sont sur la planète et nous sommes en danger de mort. Nous essayons de rejoindre la porte des étoiles, on a un blessé avec nous.

[Radio] : Très bien, tenez bon, je prépare les renforts. Vous m’expliquerez tout une fois arrivé sur Terre.

[Radio] : Bien reçu. Demande silence radio, l’endroit n’est pas sûr.

[Radio] : Compris, bonne chance.

Evans se tourna vers Fett, un grand sourire sur le visage.

« Nous avons bien fait de partir de la maison ! La distance entre la porte et le groupe du Turner est trop grande pour que les communications puissent passer, surtout avec ce temps de merde… » Ajouta le Colonel en regardant vers le ciel. A quelques kilomètres de là, l’orage grondait.

« Mais taisez-vous bon sang ! » S’exclama Indrimmo à voix basse.

« … Très bien en route… Il ne faut pas perdre de temps ! » Termina par dire Evans en chuchotant.

L’appel du Général avait été réconfortant et la porte des étoiles n’était plus très loin. Ce qui donna le sourire à Jog, qui avait l’habitude de la forêt mais qui commençait à en avoir assez de cette situation. Il attendit que le groupe se remette en marche, sortant de sa poche une petite bouteille rectangulaire. Il fit couler les dernières gouttes l’alcool dans sa gorge. La faible lumière du jour refléta sur le verre de la bouteille transparente et avertit l’ennemi.
Un coup de feu déchiqueta la main de Jog alors que Boba et Evans venaient de reprendre le brancard. Le soldat hurkien hurla de douleur et un autre tir lui traversa l’épaule. Indrimmo fut parcouru par une vague de frisson et fonça vers son ami en détresse.

« A couvert ! Il faut… »

Evans et Boba ne surent jamais ce que Indrimmo avait voulu dire à cet instant. Un troisième tir fit éclaté la tête de l’hurkien comme un fruit trop mûr.

« Merde ! » Beugla le Colonel qui se mit à couvert derrière un puissant tronc d’arbre.

Soudain, ne laissant aucun répit aux terriens, les hommes de la garde personnelle d’Hurk chargèrent leur position et Boba se retrouva tout seul face à l’ennemi enragé. Evans avait reculé, laissant Vener au milieu de la route, et le Lieutenant Kaiger n’était pas revenu.
Une grenade explosa tout prêt du Major et celui-ci fut projeté au sol. L’explosion priva le Caporal Vener de ses jambes. Il cria, vidant l’air de ses poumons, avant qu’une baïonnette ennemie ne vienne l’empaler comme l’aurait fait la fourche d’un fermier dans une meule de foin…

Paul Kaiger avait entendu les coups de feu mais ne voyait plus son groupe. Il était partit en éclaireur et voilà que son équipe était tombée sous le feu de l’ennemi. Voulant rebrousser chemin pour soutenir les autres, il entendit des voix sur sa gauche. Il s’approcha aussi discrètement qu’il le pouvait, pressé par la fusillade qui retentissait. Il poussa une branche et tomba nez à nez avec une troupe ennemie complète.
Des hurkiens, il y en avait partout. Il leva son fusil, tentant de reculer. Il tua de nombreux gardes avant que leur puissance de feu ne le fasse succomber…

Quand Boba Fett retrouva ses esprits, il vit un casque gris sombre et une arme pointée sur lui. Le soldat allait le planter quand le Major eut le réflexe de dégager violement la baïonnette de l’ennemi avec sa main. Il ressentit une immense douleur mais ne s’arrêta pas et fit tomber son agresseur par terre. Dans un combat au corps à corps acharné, il réussit à tuer l’hurkien mais trois autres s’approchèrent pour en finir avec lui.
Il y eut le renfort inattendu de Jog. Ce dernier avait du faire un effort considérable pour se relever avec l’arme en main. Mais les hurkiens furent plus rapide pour tirer et Jog bascula dans une haie, le corps criblé de balles ennemies.
Le Colonel Evans se releva de son couvert et fit feu. Les soldats n’eurent pas le temps de se retourner et furent abattus dans le dos par ses rafales. Fett était sauvé.
John Evans lui ordonna de le rejoindre pour partir vers la porte des étoiles.

« Vite ! Il faut partir… Tant pis pour Kaiger, il saura comment nous rejoindre ! »

Boba reprit son arme mais il ressentait toujours une immense douleur, à l’extrémité de son bras droit. Evans observa d’un regard affolé sa blessure.

« Votre… bras. »

Fett stoppa, lâcha son arme et leva le coude pour voir d’où le sang coulait.
C’est alors qu’il s’aperçut qu’il lui manquait deux doigts à sa main…


[Jusqu’à mercredi soir pour poster. Profitez en, faites vous plaisir avec de gros rp car la fin de la mission approche ]

Nous parcourions la forêt depuis un bon bout de temps et le brancard commençait a peser sur mes épaules et j'espèreais qu'Evans tiendrait le coup, tout comme vener. Mais le pauvre bonhomme commençait a cracher du sang, c'était pas bon signe, nous devions arriver a la porte au plus vite. Mais ce fut nos radios qui nous remontèrent le moral. Un message inespéré du Général Peterson. Il y eu un court échange de paroles entre Evans et Peterson, puis le général nous confirma qu'il nous enverrait du renfort. Evans se retourna vers moi, un sourire radieux sur le visage. Effectivement, il ne fallait pas tarder ici, et le moral revenai, c'était important.
Comme toujours, pas de jaffas a l'horizon. D'un coté, c'était rassurant mais de l'autre cela voulait dire que toutes leurs forces était rendues sur la maison. J'espérais que nos hommes s'ensortirais bien.
Alors que je reprenais le brancard en main, un bruit très familier passa près de moi suivit d'un cri de douleur. je vis alors jog se tenir un moignon de main, puis un autre tir lui traversa l'épaule. Puis il s'écroula a cause de la douleur. Tout se passa très vite. Evans se mit a couvert. Indimmo porta secours a son copain mais avant qu'il ne puisse terminé une phrase, sa tête explosa. Et pour ma part, une grenade explosa non loin de moi et je fut projeté au sol et tout devint noir.
Un temps incalculable passa et je rouvris les yeux. Tout ce que je vis, c'était un soldat casqué qui se tenait au dessus de moi. Je le vis lever son arme pour m'embrocher avec sa bayonette mais je para le coup avec ma main gauche. Une intense douleur fit son apparition mais je la refoula pour me défouler sur le soldat qui en prit pour son grade. Une fois sa tête explosé contre un rocher, je me relevis et je vis pour mon plus grand malheur, trois autres soldats s'approcher de moi. Mais un cri de rage se fit entendre. les trois soldats se retournèrent et nous vimes jog debout son arme d'une main prêt a en découdre. Malheuresement pour lui, les trois soldats le criblèrent de balles et il s'écroula dans un silence pesant. Mais directement après ce tragique incident, les trois soldats furent abattus dans le dos. Je me retournais et je pu constater qu'Evans avait tirer ses premières cartouches et avait fait mouche.

« Vite ! Il faut partir… Tant pis pour Kaiger, il saura comment nous rejoindre ! »

Encore sous le choc, je ne compris pas sur le coup pourquoi il parlait que de nous trois. En regardant fite fait le lieux du messacre, je constatais avec effroi que vener était bien mort, les jambes arrachées et une bayonnetes dans le ventre. je compris alors que j'avais fai une terrible erreur en quittant la ferme, la bas, on aurait tous eu plus de chances de survie. des pensées sombres envahirent mon esprit quand mon pied rencontra quelque chose de dur. je baissais la tête et je vis mon spas, quasiment neuf, qui m'appelait. je me penchais pour le ramasser quand je vis deux bou de chair non loin de la. C'était mes deux doigts, auriculaire et annulaire par terre. je les pris et les mis dans une compresse propre et par la même occasion je bandais ma main. Puis je rejoint Evans.

-"J'espère que kaiger sera a la porte, je ne veut pas avoir d'autres morts sur la conscience. On rentre au SGC et on va preter main forte a nos gars avec les renforts. j'ai une idée en tête et j'espère que mon état ne l'en empêchera pas de se réaliser. On va a la porte"

Puis je me remis en marche en repensant a mes actes, ce qu'ils avaient causer, j'ai endeuillé trois familles, perdu 2 doigts, mais c'était pas trop un problème, et surtout j'allais surement répondre de mes actes devant une coure martial si je vivrais jusque là. Evans marchait a coté de moi étant tout a fait attentif a ce qui passait.

-" On a un léger problème. je ne sais pas ou est la porte et vous aussi surement. Grimper dans un arbre et essayer de la repérer, vous etes en meilleure forme que moi."

Puis restant sur place, je prit ma radio et l'activa pour prévenir Peterson si il pouvait encore m'entendre.

[Radio:]Général Vous me recevez ? Si oui, envoyez un drone de reconnaissance par la porte plus un autre armé si possible, il y a du ménage a faire ici, et nous sommes perdu. fin du message.[/Radio]

Sur les ordres précedent de Turner, Paul avait été affecté à la défense de la maison depuis les fênetres de la cuisine avec l'hurkien Fégor. L'assault ennemis fût donné à treize heures, alors que le Capitaine s'attendait à voire débarqué des gardes de la république, se sont les Jaffas d'Olukun qui courraient vers la maison sortant de tout côté.

Depuis une des fenêtres de la maison, Paul tira des raffales courtes et réguliaires pour economisé le plus de munition. Un groupe de quatres jaffas se diriga vers la maison du côté de Davis, il tira de tout ses forces sur eux et avec l'aide de Fégor, Paul reussi à les tués, il faut dire que Fégor été un très bon militaire. Paul tua plusieurs jaffas dont un qui esseya de rentré par une fenêtre de la cuisine, mais la défense tenez bon, d'ailleur la défense tenez bon de toutes part dans la maison. Paul tira les derniéres balles de sa recharge, et en un mouvement qui dura moins de vingts-secondes, Paul avait déjà rechargé son P-90, il faut dire que c'est travaillé à l'entrainement et il reprit des tirs court et réguliére. Il jeta aussi l'une des ses grenades à fragmentation, ce qui provoqua un mort et un blessé, le blessé qui fût vite abattu derniére par un tir de Paul.

Après plusieurs minutes de combat, les jaffas prirent la fuite dans la fôret et le docteur Frasier alla tout de suite vers le Colonel Turner qui a été blesser lorsqu'il a rejoind la maison. Quelque seconde après, Paul entendit un tir d'arme terrienne, c'était Joshua Bentley qui avait tué un derniére jaffa, qui juste avant sa mort avait gravement blessé le docteur Weir. Janet alla s'occupé de la civil alors que le vieille dame de Jason Turner, s'était d'ailleur la premiére fois qu'elle parlait. Après le Colonel Turner, Paul était le plus haut gradé parmis les terriens, pour évité un ralachement après cette victoire, le Capitaine décida de parlé, assez fort pour être entendu de tout le monde.

Bon écouté moi tous, je tiens d'abort à vous félicité, vous vous êtes tous très bien battu mais ils ne vont pas se laissé faire comme sa, rechargé tous vos armes et resté en position, ils peuvent revenir à chaque instant, utilisé vos grenades si vous en avez. Ouvrez le feu sur tout les ennemis, cette maison est notre seul défense, nous devons la gardé, je crois en vous.

Puis, le Capitaine se rapprocha du docteur Frasier et lui dît.

Docteur, je crois en vos capacités, si vous restez calme tout ira bien, vous êtes le plus grand médecin que je connais.

Janet était dans la maison en-train de couvrir le Colonel Turner qui était à l'extérieur dans la cabane et c'est avec un plaisir non caché que la doc' en chef shoota deux jaffas pour protéger le chef de la mission. Malheureusement, celui-ci se fit tirer dessus et retomba dans la maison... C'est alors que Janet fut appeler à la rescousse par un soldat allié... La jeune femme regarda le salon... Il était devenu trop dangereux pour ses patients, il fallait absolument changer d'endroit. Elle réfléchit et paniqua un léger instant lorsque que Paul Davis vint la soutenir, cela lui fit chaud au coeur lorsqu'elle entendit ses mots :

Docteur, je crois en vos capacités, si vous restez calme tout ira bien, vous êtes le plus grand médecin que je connais.

On lui faisait confiance et il ne fallait pas qu'elle flanche maintenant ! Elle se retourna et prit Jason l'aidant à marcher puis elle cria sous le bruit des balles :

- On change d'endroit ici c'est trop risquer les mecs ! Aller on bouge !

Puis à l'intention de Jason :

- Courage mon Colonel ! Tenez bon j'vais prendre soin de vous !

Janet se dirigea avec Turner dans la lingerie endroit qui était loin de la ligne de front, enfin loin était un grand mot mais, il n'y avait pas de fenêtre et elle pourrait soigné Jason en meilleure sécurité que dans le salon, de plus l'entrée était couverte par Davis et Vivvo...

Elle posa Jason dans un coin sur un cousin présent dans la pièce.. Alors qu'elle commençait à soigner le Colonel, le Docteur Weir s'effondra sous les yeux de Janet...

* Bon sang ! Y'en a de partout comment j'vais faire pour tous les sauver ?!!*

Pour la première fois la doc' en chef était surmené et paniqué à l'idée qu'elle ne pourrait pas sauver tout le monde ! Mais une aide qu'elle avait depuis le début, intervint une fois de plus soulageant Janet... La vieille femme, cette même personne qui l'avait aidée lors de son opération dans le salon... Et pour la première fois, elle dit quelques mots à Janet :

« Je… Je vais restée avec lui… » « Moi… Avant… j’étais une… Une soignante »

Janet sourit à la vieille dame appréciant énormément son aide et hocha la tête en signe d'accord qu'elle pouvait s'occuper de Jason. Puis elle rajouta :

- Je vous le confie, j'ai bien commencer à le soigner vous n'aurez plus qu'à lui faire un bandage, merci pour votre aide...

Puis à l'attention de Jason :

- Mon colonel, vous pouvez aller vous battre mais faites attention à votre blessure... Ce la pourrait empirer si vous vous refaites toucher au même endroit ! Bon qu'on m'amène le Docteur Weir !

Des gens qui aidaient Janet, l'amenèrent... Le docteur Weir était dans un état critique ! Elle avait reçu un coup de lance jaffa en pleine poitrine... La blessure lui avait coupé le souffle et neutralisée... Son coeur battait à peine, et la doc' en chef avait très peur qu'il lâche... La brûlure avait fait de très gros dégâts notamment dans la région de l'abdomen... Durant l'opération, Weir fit deux arrêt cardiaque faisant peur à Janet deux fois ! Son état était critique et après l'opération, il ne fallait absolument pas la bouger et c'était hors de question ! Elle ne ferait pas la même erreur deux fois !

Les minutes s'écoulèrent et la pression était énorme, Janet avait peur de perdre Weir à chaque seconde et surveillait ses constantes régulièrement... Mais avec un travail acharné, la doc' en chef réussi à sauver le docteur in extrémis... C'est avec un soupir de soulagement que Janet clampa la dernière artère de toucher et elle installa sa patiente dans un coin sur... Quand à Janet elle alla remercier la vieille dame de son aide et veilla sur la lingerie rechargeant son P90 prête à tirer sur le premier qui toucherait à ses patients !

Vertiga regarda le Colonel Turner avec de grand yeux quand celui-ci lui donna le détonateur, elle ne put qu’hocher la tête, la jeune femme monta a l’étage et alla dans l’une des pièces, elle ferma les yeux elle sentait son cœur battre a une vitesse fulgurante.

** Han, calme toi, ya rien à craindre tu sais, non **

Elle ferma les yeux en entendant les coups de feu, oui elle les craignait toujours, la jeune femme entendis le signal du Colonel et appuya sur le bouton, l’explosion retendit tuant les jaffas approchant mais au moment ou cela sauta la jeune femme tomba a genoux dans la pièce, les yeux fermés, l’une de ses lèvres était entrain de perlé doucement laissant coulé une goutte de sang elle avait peur, mais voilà les bruits qui venait d’en bas montrant un chahut interminable elle devais redescendre, elle se leva et renifla légèrement cachant ses larmes et ravalant sa peur.

** Je peux le faire han !**

Une fois en bas Vertiga vit alors que Turner était touché, elle se mordit la lèvre avec une telle violence qu’elle faillit laisser échapper un cri de douleur, mais voyant la détresse qui y régnait le cœur de la mythologue se serra, elle eut l’impression d’un flash back, a la maison, quand les petits se disputent et joue dehors dans le grand jardin ou le jour ou les garçons sont revenue en sang après une bagarre. La jeune femme cessa de penser et de resté en bas des marches sans rien faire on aurait dit que le temps avait repris sa course après ce bref arrêt et ce retour furtif dans le passé, la belle se dépêcha de rejoindre Janet et de faire quelques bandage puis soudainement un coup lui parvint aux oreilles elle se tourna et vit Weir qui venait de s’écrouler. Sous les ordres de Janet, la scientifique se leva et alla chercher Weir pour la conduire au Docteur.

"Courage Janet"

Fit la jeune femme a voix basse en encourageant son amie, même si les dégâts causé ne semblait pas réparable, Vertiga trempa une serviette dans de l’eau et la posa sur le front de Weir puis avec un second morceau elle épongea le front de Janet avec un mince sourire, puis elle se leva et alla mettre de l’eau dans un autre bol, passant entre les militaires furieux sans leurs jeté quelques regard, puis elle revint avec son bol plein et retrempa un bout de tissus essuyant le sang de Weir pour un peu nettoyé la plaie et permettre a Janet d’y voir plus clair. Une fois que Janet réussissa son opération la jeune femme se leva et alla prendre son Zat pour aider ne serais ce qu'un peu.

Edit bob : N'oublies de mettre les actions en italique

Les jaffas ne cessaient d’arriver en nombre. Ils mitraillaient la maison, et la cabane avec. Jason était dedans et avait déjà repoussé plusieurs tentatives de pénétrations dans la maison de campagne. Les quelques restants s’étaient regroupés avec le sergent afin de grouper leurs tirs sur la petite cabane de jardin ou Turner demeurait en ce moment même… Il n’eut que quelques secondes pour réagir, les tirs s’abattaient sur la maison qui tombait comme un château de carte. Sa radio se mit à grésiller rapidement, il comprit quelque mots mais rien de bien compréhensible. Quoi qu’il en soit, il ne devait pas rester ici ou la dernière chose qu’il aurait fait serait de mourir dans une cabane de jardin, ironique pour un homme n’en ayant pas.
Il se précipita dehors tout en tirant avec un bras bien tendu en direction opposée vers la lisière des bois, et plus précisément sur les Jaffas. Il eu juste le temps de voir la cabane tombée en morceau, tandis que non loin de lui une forme grisâtre, argentée pour être plus précise surgit de nulle part et lança un ultime tir qui percuta de plein fouet la jambe de Turner qui s’écroula juste devant le seuil de la porte. Un homme referma ensuite cette dernière… La jambe saignait beaucoup mais Jason n’en été pas à sa première blessure, et il avait confiance en les compétences de Frasier…

Janet faisais sa si rapidement et si bien que Jason se demandait si sa blessure n’était pas un peu trop superficielle malgré la douleur. Plusieurs personnes s’étaient regroupées, et apparemment la menace venait d’être écartée… Il leva fièrement les yeux en direction des membres, tandis qu’un ultime bruit de laser se fit entendre, une personne tomba lourdement sur le sol… Elisabeth Weir.
Janet ne savait plus ou donner de la tête, et malgré la pression elle arrivait à gérer cette situation.
Jason tenta de se lever, mais en vain. La vieille dame lui conseillait de rester bien sagement assis en attendant que cela guérisse.

« Docteur ?! Elle.. elle va bien ? Elle va s’en sortir ? Davis ! Mais.. pourquoi il ne répond pas.. » termina t-il à voix basse en prenant sa radio.

[Radio : Davis ! Combien il reste de Jaffas ?]

Jason se tourna vers la vieille dame.

« Faites moi une attelle que je puisse me relever, ces Jaffas ci étaient là en éclaireur, la vraie partie ne fait que commencer, si je reste ici à ne rien faire je… je… Aidez moi à me relever, s’il vous plait. »

La forêt, la forêt… Encore de la forêt… John Evans ne pensait plus qu’à ça. Suivant l’ordre du Major Fett comme s’il était son subordonné, il était monté en haut d’un arbre et n’avait pu voir la porte des étoiles de sa position. Lui et Boba suivirent alors la route d’un pas prudent, laissant derrière eux les corps de leurs compagnons d’arme… Quelques heures plus tard, les animaux sauvages de la forêt vinrent dévorer le corps du Caporal Vener tandis qu’une marrée d’insecte recouvrit les corps des défunts Jog et Indrimmo.
Paul Kaiger restait introuvable et les deux officiers n’avaient plus de réponse de la part du Général Peterson. Ils continuèrent de marcher vers l’Est, comme l’aurait fait les soldats Hurkiens, et ne rencontrèrent plus aucun ennemi.
Il était presque quinze heure quand Fett et Evans trouvèrent enfin la porte des étoiles au bout de la route, qui sortait de la forêt. Le Colonel s’approcha du DHD, entra les coordonnées et envoya le signal du GDO. Il passa dans le vortex avec le Major, sans dire un mot, et ils rentrèrent chez eux…


« Activation extérieure non programmée de la Porte des étoiles ! » Annonça Walter dans son micro. Le Général descendit aussitôt des escaliers, comme à chaque ouverture de la Porte. « C’est le code d’identification du Colonel Evans. »

« Ouvrez l’iris. »

Peterson partit en salle de m’embarquement, prêt à recevoir ses hommes. Evans arriva au SGC avec le Major Fett et le vortex s’éteignit peu après.

« Où est le reste de votre équipe ? » Demanda le Général au Colonel. Evans semblait perdu, fatigué. Il avait mal aux pieds et ses forces l’abandonnaient. Sans répondre à la question de son supérieur, il tomba de fatigue sur la rampe d’embarquement. Walter prit son micro et fit appeler une équipe médicale et Peterson se retourna alors vers Boba, examinant de loin la blessure à la main qu’il avait.

« Major… Que s’est-il passé ? »


**********************************

Les fleures, les arbres, le ciel, le vent… Paul Kaiger ne voyait plus que ça. Il se rendormit un temps et quand il se réveilla, un infirmier en tenue gris sombre était à ses côtés. L’homme se leva et appela son chef d’escouade. Celui-ci se rapprocha de Kaiger avec un Jaffa. Le temps que le jeune Lieutenant reprenne ses esprits, le Sergent Hurkien échangea quelques paroles avec le serviteur d’Olukun.

« Il a été blessé ? » Demanda en premier le Jaffa.

« Il nous a pris par surprise, on a du riposter. Mon infirmier l’a gardé en vie pour le remettre à notre seigneur puisque tel est son souhait. »

« Et les autres ? »

« Deux traîtres et un des terrien ont été tués durant l’attaque. J’ai perdus plusieurs hommes et nous pensons que d’autres ont réussi à s’échapper. Nous n’avons pas pu les coincer, celui-ci devait sûrement faire la diversion ! »

Le Jaffa fixa Kaiger comme s’il s’agissait d’un animal qu’il fallait abattre. Mais il devait suivre les ordres. Il se retourna et poussa une branche pour jeter un regard à l’extérieur de la forêt. Il vit la ferme, sérieusement gardée par les terriens.

« Gardez-le avec vous. Quand cette bataille sera finie, vous le remettrez à mon maître. »

« A vos ordres. » Le Sergent ennemi se rapprocha du Jaffa et regarda la maison à son tour. Beaucoup de Jaffas et d’hurkiens avaient été tués depuis l’aube. « Que comptez-vous faire d’eux ? »

« Je vais exécuter les ordres. Tous ceux à l’intérieur de cette maison devront mourir… »

« Mais, j’ai un homme à l’intérieur ! C’est grâce à lui si nous les avons repéré. »

« Alors il mourra en ayant accompli son devoir… Notre seigneur prendra soin de son âme. » Termina par dire le chef du bataillon Jaffa, envoyé par Olukun, avant de rejoindre les rangs de la prochaine assaut qui allait débuter.

Prêt du Sergent hurkien, une mitrailleuse lourde et deux mortiers se positionnèrent à la lisière pour offrir un soutien aux troupes. Cette fois, il en était sûr, il ne restera plus rien de cette maison et de ses défenseurs en cette après midi pluvieuse…


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Une cinquantaine de guerriers ennemis sortirent des bois et attaquèrent la ferme. Les terriens à l’étage ouvrirent le feu en premier mais la vague ennemie qui déferlait sur eux était terrifiante. La première ligne était composée de la garde personnelle d’Hurk tandis qu’un bataillon de Jaffa au grand complet avançait rapidement derrière eux. La cuisine et l’entrée allaient être submergées. Vivvo aida Davis un instant et appela de l’aide en espérant que quelqu’un l’entendrait. L’ennemi ralentit dans son avancée grâce à la défense terrienne mais ne recula pas pour autant. Une mitrailleuse cachée quelque part dans les bois, cribla les pièces à l’étage. Les fenêtres se brisèrent et Constance eut la chance d’éviter une rafale ennemie au dernier moment. Ce qui ne fut pas le cas de Josh, dans une pièce à côté. Le Sergent Major se replia sur le palier, une main posée sur son crâne. Une balle lui avait raflée la tête et il perdait du sang. Bentley prit sa radio, mais n’eut pas le temps d’appeler les secours. Il s’écroula par terre, sous les yeux de Constance. Il était encore en vie mais il perdait beaucoup de sang.
Dehors, il pleuvait. Colm crut d’abord qu’il s’agissait de l’orage quand il entendit un énorme bruit d’explosion venant d'en haut. Il alla au pied des escaliers et s’aperçut alors que deux obus de mortier avaient détruit le grenier au deuxième étage. Il sortit son pistolet et aida Gutes, craignant à chaque seconde de recevoir un autre tir de mortier. Si c’était le cas, le toit de la maison ne tiendrait pas bien longtemps…

« C’est pour ça que vous êtes resté ? » Dit-il entre deux tirs.

Gutes se mit à couvert et rechargea son M4. Il pointa du doigt l’écusson de la Terre sur son épaule, puis ses insignes.

« Non, c’est pour ça… » Répondit-il dans un sourire qui n’avait rien de joyeux.

Il reprit sa cadence de tir en repensant à ces dernières paroles. Le Major Abraham Gutes qui avait pendant tant de temps combattu les Goa’ulds, avait décidé de rester ici et de se battre encore. Lui, qui était las de cette guerre. Loin, c’était là qu’il aurait voulu être. Aussi loin de toute cette violence. Alors, il se rendit compte que pour la première fois, il ne se battait pas parce qu’on lui avait ordonné de le faire mais parce que c’était son devoir en tant qu’homme. C’était un principe que sa femme et ses enfants comprendraient s’il venait à mourir aujourd’hui.
Motivé par ses pensées, Gutes tira encore, envoya une grenade à fragmentation et une flash bang à la porte d’entrée. Il se tourna sur la côté et vit que l’ennemi s’apprêtait à envahir le salon.

« Putin ! Ils nous contournent sur la droite ! Sur la droite ! » Hurla-t-il à Vivvo et à Colm. Ce dernier lui fit signe d’aller au salon.

« Allez-y, Vivvo et moi on tiendra la porte jusqu’au bout ! »

Dehors, deux autres obus de mortiers sifflèrent dans les airs. L’un atterri sur la terasse devant la cuisine et l’autre détruisit le toit de la salle de bain. Altana Adria se dégagea juste à temps mais se retrouva coincée entre les débris, la porte et une moitié de meuble renversé.
Des Jaffas réussirent à passer dans la cuisine. Une balle siffla et alla se loger dans la jambe de Davis. Fégor attrapa le jeune Capitaine pour le ramener à couvert.

« Ca entre par la cuisine ! »

« Il faut pas ! »

Vivvo vint les soutenir, plantant sa baïonnette dans le corps d’un soldat hurkien. Il sortit son arme de poing, qui traita avec un autre ennemi qui arrivait par l’entrée. Colm, Fégor, Davis et Turner bloquèrent l’accès à des Jaffas qui tentèrent une percée par la porte principale. Jason boitait mais combattait toujours malgré la douleur à la jambe. Il s’aperçut que la cuisine allait être entre les mains de l’ennemi et que les Jaffas essayaient en même temps de passer en force par l’entrée. Tout le monde se battit jusqu’au bout, avec courage. Tout le monde sauf Fégor, qui était monté discrètement à l’étage. Il ne voulait pas assister au carnage d’en bas.
A côté de Turner, un homme dansa sous les balles qui le traversèrent. Il s’aperçut peu de temps après qu’il s’agissait de Vivvo et que la cuisine venait d’être prise. Colm courut avec courage vers le corps du jeune hurkien. Il était encore en vie mais son pouls était faible.

« Docteur !! » Cria-t-il vers le fond de la pièce. Dans la lingerie, Janet entendit son appel de détresse. Colm se releva, les larmes aux yeux. Il fallait plus d’aide pour tenir l’entrée et le salon. Il monta les escaliers pour faire venir du renfort, laissant Vivvo entre les mains de Frasier. A l’extérieur, les tirs de mortiers continuèrent de bombarder la maison.


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C’était la fin. Fégor le savait. Il n’attendait plus que la mort, sachant que son âme serait bénie par le grand maître Olukun. Il jeta un regard dans les pièces encore en entier, cherchant une dernière proie. Il ne voulait pas s’en aller avant d’avoir régler quelques comptes, et il sourit en voyant sa prochaine victime…
Cassandra Pierson était à couvert dans une des chambres et tirait par la fenêtre.
Elle avait déjà abattu un bon nombre de Jaffas et d’hurkiens et Fégor jura d’en finir avec elle…
D’un mouvement silencieux, il se rapprocha et ses doigts se resserrèrent sur la nuque de la jeune femme. Il la secoua et la plaqua par terre sans qu’elle n’ait eu le temps de faire un seul geste.

« Ca y est, c’est ton tour ma minette, sûr de sûr qu’tu vas y passer… »

Fégor maîtrisa Cassandra qui se débattait. Il se baissa et renifla l’odeur de sa proie.

« Hmm tu sais combien j’en ai eu, des gonzesses dans ton genre ? »

D’un geste brusque, il cogna la tête de Pierson contre le sol. Il pouvait aussi lui briser la nuque quand il le voulait, mais il attendit, prenant plaisir à la voir se débattre. Il répéta son geste et Cassandra pouvait ressentir la douleur et le sang qui perlait de son nez à sa bouche. Fégor se redressa légèrement, prêt à passer à l’étape suivante qui consistait à briser la colonne vertébrale de sa proie.

« Supplie… Allé chérie, supplie moi. » Marmonna-t-il dans l'oreille du Lieutenant, suivit d’un puissant rire.

« Lâche la, Fégor ! »

L’hurkien se releva, surpris par la voix qui venait de derrière. Jozef Colm pointait son arme sur lui.

« J’étais en train de l’aider, chef. Il faut faire quelque chose ou elle va avaler sa putin de langue. » Se défendit Fégor, qui avait lâché Cassandra.

« Ta gueule ! Je sais ce que t’étais en train de faire fumier… »

« Et alors ? Tu vas me tuer ? On est tous mort t’facon ! Ca va être le gros massacre en bas. » Dit l’hurkien avec son sourire éternel.

« Alors je mourrais heureux de faire ce geste. » Finit par dire Colm.

Le doigt sur la gâchette, il s’apprêta à exécuter le traitre. Soudain, il y eut un flash aveuglant. Un obus tomba au dessus d’eux et le toit de la chambre s’écroula. Dans l'autre pièce, Constance avait entendu le vacarme.
Colm reprit ses esprits peu après, la pluie sur son visage. Il poussa des débris, et avait perdu son arme. Il vit Cassandra Pierson au bout de la pièce, sonnée. Mais cet enfoiré de Fégor avait disparu. Colm avança avec beaucoup de mal vers la terrienne quand il sentit que quelqu’un était derrière lui… Il se retourna aussi vite qu’un jeune militaire l’aurait fait, et qui ne le ferait plus jamais. Fégor sauta sur lui, un couteau dans sa main. La lame transperça la chaire de Jozef Colm, se retira et revint se planter dans son corps. Il essaya de crier à l’aide mais Fégor répéta le même geste acharné, encore, encore, et encore…
Pierson venait de sortir des vapes et avait vu la scène du meurtre. Fégor se releva et se tourna vers elle, prêt à finir ce qu’il avait commencé avec Cassandra. Cette dernière devait trouver la force de se relever et de prendre une arme avant qu’il ne soit trop tard pour elle…