Sayé, le signal du départ, la jeune femme attendit tout de même un peu devant l'anneau bleuté, elle passa sa main sur la texture de la porte et y plongea sa main les yeux fermé, puis en ouvrit un tout doucement, elle se mordit la lévre et respira un grand coup puis passa au travers.

Propulsée maintenant a des années lumières de la terre, Vertiga regarda autour d'elle son Zat dans sa main droite, elle regarda un peu partout et se mis sur le côté pour attendre le reste de l'èquipe se qui ne tarda guerre puis le Colonel Turner ordonna que la "joyeuse" troupe se mette en marche, suivant donc ses camarades la scientifique se mis juste derrière Constance Parrey, avec un large sourire elle marchait tranquillement regarda la nature, la mythologiste ne pouvais rien faire pour le moment mais elle extripera ses qualités quand le temps viendra.

Au bout de quelques minutes Vertiga fronça les sourcils, ce silence commençait a l'agacer et bien même, trop silencieux a son goût et elle n'aimais pas ça du tout, oh que non, la jeune femme regardait un peu partout et ne pouvais s'empecher de jeté des regards discrets sur les militaires pour voir si l'un d'eux n'avait rien repéré de suspect.

La scientifique avançait au même rythme que les militaires, du moins elle essayait, alors que ce silence persistait la jeune femme étira discrètement l'un de ses bras légèrement endolorie par le poids de son sac a dos, elle haussa un sourcil quand Kaïger cessa de marché, elle pencha la tête sur le côté comme pour voir ce que les yeux du Lieutenant capté. L'attente de voir ne fut pas très longue, en effet la jeune femme put a son tour voir une stèle. Et une grande.
Une fois devant ses yeux noir fixèrent les symboles avec un air très intéressait, certes elle ne pouvait pas déchiffrer cela, et pourtant en ce moment a la base elle lisait les dossiers du Dr Jackson, tant qu'a se renseigner sur une langue étrangère autant que se soit fondée et que les dossiers est était étudié par quelqu'un ce censée. Quoi qu'il en soit elle ne comprenait pas ce qui était écrit.

Ce fut un crie, oui un crie féminin qui la fit sortir de ses pensées mythologique face a cette stèle inconnue, elle tourna rapidement sa tête dont la chevelure lisse et dense bougea au même instant, elle vit le Sergent Spence qui montré du doigt un arbre ? Fronçant les sourcils Vertiga avança un peu vers l'endroit en question quand une grimace de dégout vint se logé sur ses lèvres, son nez fronça, ses yeux rétrécirent et sa gorge se noua, pas que sa gorge, son estomac se torde dans tout les sens et un liquide acide remonta dans sa gorge, répriment une horrible envie de renvoyé son déjeuner au sol la jeune femme dut détourner don regard du spectacle macabre qui s'offrait a l'équipe.
Des corps, des centaines de corps pendaient aux arbres, certain était entrain de pourrir et l'odeur de putréfaction qui s'en dégageait était écœurante, en parlant de cœur celui de la scientifique battait a tout rompre, si fort qu'elle eut du mal à entendre les ordres, des larmes montèrent aux bords des jolies yeux de la jeune femme qui put voir que sa consœur scientifique avait elle aussi du mal a encaissé un tel spectacle.

** Un sacrifice ? J'hésite vu la peur qui apparait sur certain défunt, Erk quel horreur **

Pensa la jeune femme, elle avança enfin, oui après quelque secondes de bataille révoltante avec son corps, car ses jambes refusait de bougés, comme à demi paralysée, mais elle avait repris ses esprits cherchant dans son immense mémoire quel dieu pouvait avoir le sacrifice par milliers pour se faire aimé ? Marchant d'un pas mal assuré parmi les cadavres la jeune femme se plaça instinctivement au côté de Constance, elle lui adressa un faible sourire, comme pour lui montré qu'elle était dépassé par les événements.

Son petit nez était froncé par cette odeur répugnante, elle avait même l'impression que l'odeur s'était imprégné dans ses étêtements et ses cheveux, frémissant a cette pensée de rentrée a la base avec une telle odeur autour d'elle, une grimace sur les lèvres la jeune femme fut a son tour soulagée de déguerpir de cet endroit lugubre et répugnant, son envie de vomir était toujours présente et n'avait pas l'air de vouloir partir, posant sa main sur sa bouche elle avança d'un pas peu assurée et ses jambes vacillaient quelques peu.

Soudainement, le colonel Turner décida de s'arrêter, la jeune femme voulait presque criait pour le remercier, a vrai dire elle se sentait pas en forme mais le simple fait de marché loin de la scène de mort lui avait fait un peu de bien, et de s'arrêter lui permettait de reprendre ses esprits alors qu'elle fronça les sourcils, Vertiga tendit l'oreille elle avait cru entendre des sortes de râles comme des animaux en rut, puis ils cessèrent elle haussa donc les épaules et but un peu d'eau, d'ailleurs elle failli s'étrangler quand le Colonel ordonna qu'ils se séparent.

** Hey sa va pas bien non ? **

Après un regard lourd de reproche la scientifique alla avec...la scientifique, ben oui que voulez vous, serrant son zat dans sa main gauche, la jeune femme était au côté de Constance, lui jetant de temps a autres quelques regards comme pour sondé son humeur, quand elle se rendit compte que les autres n'était plus là un frisson inévitable s'empara de son épine dorsale, elle se mordit doucement la lèvre et continuât de marché malgré l'envie de rejoindre le groupe, une envie qu'elle dut faire cessée pour retrouvé un brin de courage, mais alors un brin, et apparemment le fait de se concentré sur son courage au lieu de son environnement Vertiga ne vit les choses ou les personnes qui venaient de faire se craquement dont elle eut un simple mouvement, très simple et très rapide car au moment ou sa tête aller tourné, son corps lui s'écroula au sol et là plus rien, le néant.

Dés l’arrivée sur cette planète, le sixième sens (non pas comme les animaux) de Jason se mit en marche. Il la trouvait glauque et totalement dépourvue de vie. L’entrée dans la forêt n’arrangea rien vis-à-vis de ses appréhensions à propos de l’endroit. Les dizaines de cadavres demeurant ici étaient assez horrifié, quelque chose les avait paralysés de peur, la mort surement. Tous s’arrêtèrent quelques instants… on se serait cru en pleine science fiction. Malgré la puanteur qui régnait et les cadavres un peu partout, on aura pût qualifier ces bois de normaux. Après quelques minutes, Jason parla enfin.

« On s’attarde pas ici… avançons. »

Il rouvrit la marche, P-90 bien tendu devant lui, attendant le moindre signe, le moindre indice de présences quelconques.
Ainsi, l’équipe essayait de sortir de cette forêt étrange lorsqu’au bout de plusieurs minutes, Jason s’arrêta. La fatigue lui montait au cerveau, et la température d’ici ne lui était pas familière.

*2 secondes que je reprenne mon souf…*

Sa pensée fût interrompue par plusieurs cris « flippants » provenant d’un peu partout. Quelques sursauts se firent entendre dans le petit groupe, des claquements de dents, des gestes brusques, et la mission commençait. Malgré la peur qui régnait, ces bruits étaient lointain ; du moins pour Jason qui avait perdu de l’ouï à force d’écouter la musique trop forte dans ses quartiers ; mais assez grave. Le groupe se resserra.

« Kaïger, Spence à droite. Parray, Calvario vous restez là, je vais aller voir devant ne bougez pas. » termina t-il en s’avançant prudemment tandis que les bruits étranges avaient cessés.

En un instant, un petit cri aigu raisonna non loin de Jason, puis des bruits de frottement et une lueur bleue… Jason résuma en quelques secondes : les deux femmes, surement des Zats. Il se mit à courir en direction d’où étaient les deux jeunes scientifiques mais en arrivant il s’aperçu qu’elles avaient disparus.

[Radio]Kaïger, votre situation ? Parray et Calvario ne sont plus là… faites attention. [/Radio]

[Radio]
R.A.S de notre côté mon Colonel.
[/Radio]

Mais que ce passait-il ici ? Jason fouilla rapidement les environs, en vain. Elles s’étaient envolés si subitement que cela paraissait presque impossible. Il se retourna alors, le regard flamboyant, rageur, il s’avança avec son arme droit devant lui, se jurant qu’aucun membre de son équipe n’y laisserait la vie sur une mission si « basique » pensa t-il.

[HRP: Sa va destresse coco :P]

Jason ouvrit les yeux… Le visage noir de Kaïger le fit cligner des yeux une fois de trop. Il leva la tête puis attrapa Paul à l’épaule.

« J’ai... été zaté… je déteste ses machins. Aidez-moi à me relever Lieutenant. » termina t-il.

Il regarda autour de lui, Parray et Calvario étaient déjà debout, sonnés mais debout. Il leur adressa un bref signe de la tête en guise de confiance puis inspecta rapidement les lieux. Son premier réflexe fût celui de prendre son arme qui avait malheureusement disparue.
Il regarda Kaïger. L’endroit été propre et apparemment habité. Des rires d’enfants se faisaient entendre dehors et malgré le fait qu’il aimé les bambins, cela lui cassait plus les oreilles dans un moment pareil. Il se dirigea vers la porte lorsqu’une voix se fit entendre…

Kal'Ko'Na !

Jason tourna la tête par un simple réflexe et lâcha la poignée de la porte qui était surement fermée. Il regarda l’homme dans la pénombre et remarqua qu’il était assez âgé. Plusieurs tatouages similaires ornaient son corps, ceux d’un Goa’uld surement. Jason s’avança lentement vers lui, les mains devant lui, marchant lentement, il n’avait pas compris les paroles de l’homme. Ce dernier qui comprit parla normalement.

Que faites-vous ici ? Et qui êtes vous ?

« Bonjour. Je suis le Colonel Jason Turner, voici le Lieutenant Kaïger et les Docteurs Parray et Calvario. Nous sommes ici car nous sommes des explorateurs venant de la planète Terre. Nous sommes venus ici afin d’établir de bonnes relations entre notre peuple et le votre, mais si notre précense gène on peut… toujours partir vous savez nous on n’est pas comme ça. Ou est la troisième femme qui faisait partie de ce groupe ? »

L'ignorant complètement, l’homme regarda étrangement Jason comme pour le forcer à dire la vérité puis ajouta quelques mots.

Vous êtes drôlement bien armés pour des commerçants... De toute façon il est interdit aux étrangers de pénétrer sur nos terres, vous avez enfreint une règle des Dieux et vous devez payer pour cela.

« Oui mais en même temps nous on en sait rien, vous devriez mettre un panneau devant la porte disant « interdit aux étrangers de pénétrer sur nos terres, sous peine d’en payer les fruits » un truc du genre… non ? Lieutenant vous en pensez quoi ? » demanda t-il en tournant la tête vers Paul avec un regard perplexe.

A ce moment, plusieurs personnes entrèrent dans la pièce et saisirent les trois autres membres de l’équipe encore ici. Deux d’entre eux menaçaient dangereusement de briser la nuque des deux femmes. Jason qui s’était avancé s’abstint de continuer en faisant signe à Kaïger de ne pas résister. L’homme ordonna d’un signe de tête de les emmener autre part. En sortant, plusieurs personnes les regardèrent étrangement et s’écartèrent du chemin des soldats ennemis. Après quelques instants de marche, ils entrèrent dans une grande pyramide comme celle des Goa’ulds avant d’être conduits dans une imposante salle richement décorée. Jason observa les murs et les ornements. *Je me vois mal avec tout ça chez moi*. Les hommes s’arrêtèrent et frappèrent violemment dans les genoux des quatre membres puis s’agenouillèrent. Jason regarda devant lui et aperçu un homme qui prit immédiatement la parole.

Enfin... de nouvelles distractions pour mon plus grand plaisir...

Jason le regarda étrangement puis en fixant ses soldats se mit à parler.

« Salut… Je.. Vous êtes ? Vous aussi vous avez un serpent dans la tête ? »

Paul se réveilla. Tout était flou autour de lui et il avait la lumière du soleil dans les yeux. Puis la vue lui revint petit à petit. Il était le premier à se lever. Les autres étaient encore endormi. Il se dirigea donc vers les deux scientifiques et les réveilla doucement. Il voulait éviter de les effrayer. Celle ci se réveilla avec autant de mal que lui. Puis, quand il vit qu'elle était de nouveau consciente, il se tourna vers le Colonel qui était en train de reprendre consciente et demande assistance au Lieutenant pour se lever. Il faut dire qu'avec le temps, l'homme avait besoin d'un peu d'aide pour les chose de la vie.

Le métis se mit également à inspecter les alentours. Il venait de s'apercevoir qu'il lui manquait ses équipements et il trouvait cela pas étonnant. Il pouvait entendre des rires d'enfant dehors. Il se dirigea donc vers les bruits quand un homme entra. Paul le regarda de haut en bas quand celui ci dit...

Kal'Ko'Na !

Le métis ne broncha pas. Il le fixait dans les yeux et ne disait rien. Il serra les poings prêt à lui en mettre une à tout moment. Il connaissait pas cet homme mais il le détestait déjà. Rien que par ses tatouages en formes de signe des Grands Maîtres Goa'ulds. Mais il reprit la parole...

Que faites-vous ici ? Et qui êtes vous ?

« Bonjour. Je suis le Colonel Jason Turner, voici le Lieutenant Kaïger et les Docteurs Parray et Calvario. Nous sommes ici car nous sommes des explorateurs venant de la planète Terre. Nous sommes venus ici afin d’établir de bonnes relations entre notre peuple et le votre, mais si notre précense gène on peut… toujours partir vous savez nous on n’est pas comme ça. Ou est la troisième femme qui faisait partie de ce groupe ? »

Vous êtes drôlement bien armés pour des commerçants... De toute façon il est interdit aux étrangers de pénétrer sur nos terres, vous avez enfreint une règle des Dieux et vous devez payer pour cela.

« Oui mais en même temps nous on en sait rien, vous devriez mettre un panneau devant la porte disant « interdit aux étrangers de pénétrer sur nos terres, sous peine d’en payer les fruits » un truc du genre… non ? Lieutenant vous en pensez quoi ? »

L'homme ne semblait pas croire le Colonel et voulait absolument avoir raison. Il vit le Colonel se tourner vers lui et lui demander son avis...

-Moi j'en dis qu'on a affaire à un peuple de pé**sse qui attaque dans le dos comme des lâche.

Plusieurs hommes rentra ainsi dans la pièce et attrapa les quatre humains. Paul et Turner se débattait quand les personnes tenant les deux scientifiques menacèrent de leur briser le cou. Paul sourit et lui dit...

-J'en ai rien à foutre d'elle. Je l'ai connait pas donc si vous les tuez, ça me feras ni chaud ni froid.

Paul était prêt à sacrifier les deux scientifiques pour éviter que tout le monde meurt dans cette mission. Pour lui, lors d'un danger et qu'aucune possibilité de fuite était possible, il fallait sacrifier quelqu'un pour le bien être de cette mission. C'était ce qu'on lui avait apprit lors de son service dans les commando. Mais visiblement, Turner était pas d'accord avec l'idée du Lieutenant et lui demande de rien faire. Paul qui avait également le sens de la hiérarchie ne se débattait pu mais il pouvait sentir les regards lançaient par les deux scientifiques.

On les amenèrent devant un homme plus imposant que tous les autres. Il devait être le chef de cette jolie petite bande d'allumée. On les força à se mettre à genou devant eux. Paul n'obéit pas et il reçut deux coups derrière les genou ce qui le mit à genou.

Enfin... de nouvelles distractions pour mon plus grand plaisir...

Le Colonel lui répondit avec classe comme il avait l'habitude de faire. Paul lui le fixa méchamment. Puis il répliqua après le Colonel...

-Je tiens à vous signaler que si on arrive à se défaire de nos liens et qu'on se procure une arme. On tuera tout le monde ici sans hésiter et on y arrivera faites nous confiance.

C'est dans ses moments là que Verty se damnerais pour une boite d'aspirine, quel foutue mal de crane que voilà, celle là elle va pouvoir la conté aux gosses de son quartiers, première mission, cadavre et capture ? Qui fait mieux ? Ses cheveux sombres était détaché et tombé tristement sur ses épaules alors que ses yeux noirs étaient rivée sur les fresques de la "maison", propre d'ailleurs, très propre, plus nette que sa chambre pas de doute là dessus elle va demandé quelle produit ils utilisent parce que là chapeau bas, alors que son doigt délicat passé sur chaque symbole elle put reconnaitre l'un d'eux comme celui qui était a la 12e ligne de la colonne là ou tout les cadavres étaient, oui oui elle s'en souvient d'ailleurs elle fronça si fortement les sourcils qu'ils se joignirent comme pour formé un seul trait arquée.

* Divinité Egyptienne...troue de mémoire...Foutu migraine*

Soudainement un homme entra et ce que vu Vertiga en premier lieu ce fut le signe qui figuré sur les murs, celui ci parla dans une langue qui lui était étrangère même si elle était sure que c'était Goa'uld, et là elle pinça les lèvres en se maudissant de ne pas avoir appris les rudiments du Goa'uld celui ci parla a peut près normalement et la scientifique préféra laissé le Colonel Turner répondre mais la suite fut en tout point désopilante, les rumeurs sur les militaires étaient apparemment vraie...Vertiga sentit une pression immonde sur sa nuque.

-J'en ai rien à foutre d'elle. Je l'ai connait pas donc si vous les tuez, ça me feras ni chaud ni froid.

Elle poussa un grognement de fureur et une grimace de dégout vint se formé sur ses lèvres, tendit que ses yeux sombres se posé sur ce militaire sans cœur, un regard plein de mépris, elle était tellement répugné par une telle attitude qu'elle ne cilla pas, sa grimace toujours présente elle suivit docilement les soldats quand là ce fut comme un coup de poing quand elle vit la pyramide, elle se mit a gigoté légèrement alors que ses yeux sombres brillaient étrangement comme si deux grosses lucioles venaient de prendre possession de ses yeux noirs, elle regardé la pyramide et évidemment la salle où ils entrèrent.

"oooooooooh"

Citation :

Enfin... de nouvelles distractions pour mon plus grand plaisir...

Dit elle émerveillé comme une enfant elle laissa la pression que le garde exerçait sur elle pour se baissé a terre en se demandant a qui elle aurait a faire, même si ce foutu symbole lui rappelais une divinité mais une fois le nom donné la mémoire se mettra en marche et là le livre est ouvert et le livre cela fait longtemps qu'elle la avalée.

[Désolé pour l'attente ]

L'équipe était vraiment dans un sale pétrin, totalement désarmée, incapable de se défendre sans risquer la vie de l'un d'entre eux. Pourtant le Colonel continuait de jouer son petit rigolo pas drôle du tout sans se soucier des conséquences que cela pouvait entraîner. Sans compter le Lieutenant qui se sentait invincible, arrogant à souhait et totalement ignorant du danger qui les menaçaient. Un bon coup derrière la tête c'est ce qu'il fallait au Colonel pour le calmer un peu, il se retrouva près à embrasser le sol, peut-être sa seule chance désormais de donner un baiser à son âge...

INSOLANT !

Alors qu'il se relevait avec grande peine, l'homme étrange qui souhaité faire de sa distraction principale se tourna vers le Lieutenant pour lui répondre calmement.

Je n'en doute pas... Dommage qu'ils vous soient dans l'impossibilité de vous procurez une arme... Et même si c'était le cas, vous ne me tireriez jamais dessus...

Le Lieutenant fut troublé par la dernière phrase de cet homme, lui même était sur que s'il avait une arme entre les mains à cet instant, sa première balle serait pour lui, et pourtant cet homme avait l'air serein et confiant, totalement certain qu'il ne courait aucun danger face à cette équipe si elle était armées. Il rentra machinalement dans sa pyramide sans rien ajouter alors que les hommes de mains entraînés l'équipe de force à l'intérieur. Tout ressemblait en tout point à une pyramide Goa'ulds, ce ne fut qu'arriver au bout du long couloir qu'ils avaient parcourus qu'ils purent se rendre compte que derrière cette porte automatique se cachait un véritable palace toujours ornementés de symbole Goa'ulds de part et d'autre de chaque murs. L'homme était là, installé confortablement dans son grand fauteuil alors qu'une table immense se dressée en plein milieu de la pièce. Apparemment, ils étaient conviés à un dîner de grande envergure.

Installez- vous je vous en prie. J'ai l'impression que vous n'arrivez pas du tout à comprendre ce qu'il se passe ici ni ce qu'il va vous arriver...

L'homme s'installa en bout de table alors qu'un sourire presque pervers se dessinait sur son visage. Plusieurs servants vinrent apportés les plats qu'ils posèrent sur la grande table pour repartir aussi vite qu'ils étaient arrivés.