Volgin s'emdormit a cote d'altana...Il mumura dans son sommeil...

"Non...pas...sa...non..."

Volgin se reveilla et se mis sur la chaise...Une bouteille a la main...

"Pourquoi !!!"

Volgin pleura...

Je me réveillai en sursaut.

"Hein ? Quoi ?"

Je regardai Volgin qui s'était assis sur ma chaise de bureau.

"Tiens, vous êtes réveillé ?"

Je le vis pleurer.

"Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi pleurez-vous ?"

"Pour rien...soupira...Pourquoi je suis militaire..."

Il se leva et frappa le mur...

"POURQUOI !!!"

"Vous êtes militaire car vous l'avez choisi de l'être. Oubliez-ce que j'ai dit et oublions cette règle sinon nous nous blesserons mutuellement si ce n'est déjà fait."

Je me sentis frustée de ne pas pouvoir être enfin avec lui et ne pas me cacher derrière cette stupide règle.

"Regardons le présent comme vous l'avez dit. Quand on sera en service, ne faisons comme si de rien n'était ce sera peut-être mieux pour nous, non?

Je soupirai comme lui l'avait fait.

"Ne soyez pas trop injuste avec vous-même."

Il avait frappé le mur.

"Le malaise que je fais est sûrement psychologique et vous connaissez peut-être la solution à ce problème."

Je me redressai dans mon lit et je m'assis en fin de compte en attendant une réaction de sa part.

Volgin se mis sur le lit puis embrassa Altana...

"Je te survrai partout..."

Il caressa altana dans le dos et l'embrassa, il posa sa main sur sa nuque...

"Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai..."

/Tu raconte n'importe quoi, bonne nuit romeo pfff.../

/Vas-y molo mon ami. Je ne sais pas quel effet je te fait mais tu m'en fait.../

Je m'évanouis dans ses bras.

"Eh mer**..."

Volgin remis altana sous la couette et se remis sur la chaise...

/Et voila elle dors bravo...
Tu dor pas ??
Quoi tu me parle...
BA OUI...
Ba oui bonne nuit.../

Une goutte de sang perla sur ma couette. J'avais le nez fragile. Je me réveillai.

"Mince, c'est pas vrai. Voilà que ça recommence ! J'en ai vraiment marre!"

/Je ne sais plus quoi faire à cause de ce nez fragile./

Volgin essuya la goutte de sang...

/Voila elle sange...
Va dormir...
Pffff.../

"Vous allez bien..."

Je me dirigeai vers le lavabo de ma salle de bains. Je pissai le sang. Et j'entendis Volgin me parler.

"Ce n'est rien. Ça va passer. C'est juste que vous faites de l'effet. Ça a toujours été comme ça avec mes petits copains avant mon entrée en fac de médecine."



J'ouvris le robinet pour me rincer la figure.

Volgin se leva et mumura...

"Je lui fais t'en que sa..."

Volgin pris un verre eau...

"Vous allez mieux ??"

Je l'entendis murmurer.

/Comme c'est intéressant./

J'esquissai alors un mini-sourire. Je me retournai pour le voir alors que j'aurais pu me servir de mon miroir.

/C'est inutile de se servir d'un miroir./

Il avait pris un verre d'eau et me demandai si j'allais mieux.

"Enfin bon, je ne sais pas. Saigner du nez, tomber dans les pommes, avoir mal au crâne, ce n'est pas mon truc."

/Arf, toujours les mauvaises choses qui font les meilleurs choses. Je sens que je vais presque devenir folle à cause de débiter des phrases stupides dans ma tête./

Je rougis légèrement. Je sentis la chaleur m'envahir de la tête jusqu'aux pieds.

/La vache, qu'est-ce que j'ai chaud!/

J'enlevai alors mon pull et je n'avais plus qu'un T-Shirt sur le haut du corps.

/Il va me dévorer des yeux maintenant./

Mon bipeur sonna.

"Désolé, je dois prendre mon service."

Et je sortis de mes quartiers. Je pris l'ascenseur pour rejoindre l'infirmerie.

Volgin pris son manteau et parti vers l'armurie.

Armurie

J'ouvris mes quartiers. Volgin était parti depuis belle lurette. Je l'avais laissé en plan.

/Je me dégoûte./

Je m'approchai de mon lit. Je m'assis dessus et je pensai à lui. Une larme perla jusqu'à ma joue.

Infirmerie.

Volgin en avait marre attendre Altana et s'inquieté donc il frappa a la porte des quartiers d'altana...

"Altana vous etez la ??? "

Je me levai et j'allais ouvrir à la personne. C'était Volgin.

"Oui, je suis là. Je pensais à vous."

/Il faut que je m'explique avec lui./

Volgin rentra.

"De moi, en bien je pense..."

Volgin rigola puis repris son serieux...

"J'ai encore besion de visite medicale ou pas doc' ???"

"En quelque sorte, il faut que je m'explique avec vous. Fermez la porte s'il vous plaît. Je ne tiens pas à ce que des parasites viennent pour nous écouter. Vous n'avez plus besoin de visite médicale."

J'attendis qu'il ferme la porte de mes quartiers.

/La première fois à laquelle je pense, c'est cette règle et la deuxième chose, tu me fais trop mal./

Volgin se mis sur une chaise et regarda altana dans les yeux...

"Qui a t'il ??"

/A non la va pas te dire un truc mechant.../

Il ferma la porte comme convenu et s'installa sur ma chaise de bureau. Je m'assis sur mon lit.

"Je ne sais pas où va notre relation entre nous deux. Mais je ne peux continuer plus loin. Vous me faites trop de mal, c'est là le problème secondaire. Le problème principal, c'est que la règle de non-fraternisation nous empêche d'être ensemble. Il y a aussi une autre règle qui nous bloque : le médecin ne peut pas être avec son patient. Je risque de perdre ma place et vous aussi. J'ai passé de bons moments avec vous. Je n'ai plus envie de me cacher pour des sottises pareilles. J'ai envie d'avoir la conscience tranquille mais ce n'est pas à cause de vous, caporal-chef. Nous allons vers un mur et nous ne pouvons pas le franchir."

Je regardais ses yeux avec un air fustré.

"Mais cela ne nous gênera pas pour entretenir une simple relation amicale entre nous. Je ne voudrais pas vous perdre en temps qu'ami. L'amitié est le plus important, croyez-moi."

/Je ne voudrais pas le blesser avec mes paroles./

"J'espère que je ne vous ai pas blessé avec mes paroles. Je voudrais pouvoir continuer mais tout est fini entre nous."

Je détournai mon regard vers le plafond. Je commençai à pleurer mais légèrement.

/Quelqu'un m'aide! Volgin ne doit plus m'aimer à présent./

Volgin avait la gorge sec, il ne regarda que ses mains...

"...o...k...ok ! "

Alors je vais vous laissez caporal..."

Volgin se leva et alla vers la porte...

/Et voila t'est seul .../

/Il n'en revient pas. /

Je détournai mon regard vers lui. Je le regardai avec des yeux de cocker.

/Je l'ai blessé et c'est de ma faute./

Il allait partir. Je voulais le retenir mais une force m'en retint.

/Ne partez pas, caporal-chef./

Je m'allongeai sur mon lit. Je ne savais plus quoi faire.

Volgin attendat une reaction et parti vers ses quartiers...

Qaurtier de volgin...