[Ce matin-là Cameron se leva plus tôt que prévu. Il avait dû mal à contenir son excitation et son enthousiasme. Cam décida de courir un peu pour calmer. Une fois de retour Harper constata que sa femme était déjà :][/color]
Déjà debout, je t'ai réveillé désolé. »
]« T'inquiète pas tu y est pour rien arrête de stresser comme ça ! »

Evidemment Lisa ne savait ce que son mari allait exactement faire et quelque part ça la gênait. Depuis leur mariage Cameron et elle s'était toujours tout dit, en huit ans pas un seul secret, mais là ça commencer, mais en en femme aimante et compréhensif elle acceptée cette contrainte.

Une fois son petit-déjeuner pris Cameron se demanda s'il devait prendre sa moto une Yamaha R6 de 2006 noirou sa voiture une Pontiac firebird noir également. Il opta finalement pour la Pontiac.

La voiture avait un ronronnement bien à elle un vrombissement qui faisait monter une sourire à son propriétaire,Cam passa la vitesse, lit sa ceinture de sécurité et pris la direction de la sortie de la ville, le voilà parti pour une demi-heure de trajet pour le camp d'entraînement.

Le jeune médecin roula le long d'une route déserte, où à l'horizon s'élevait les célèbre montagne rouge du Colorado, puis il bifurqua sur une route de terre battue avant d'arriver devant une barrière, un soldat en treillis fusil a l'épaule d'approcha.
Le soldat rentra dans son bureau quelques minutes et en ressortie, en ressortant le soldat ne put s'empêcher de faire la moue en remarquant la marque de la voiture elle avait coûter chère et Cam l'avait payé avec sa première paye en tant que chef des urgentistes a Atlanta. Le soldat désigna un pré fabriqué, puis lui de se garer avec d'autre voiture sur sa droite et lui remit un badge pour les visiteurs.

Harper se gara donc à l'endroit prévu. Le médecin avait opté pour une ténue classique, un Jean's neuf, un t-shirt blanc et des lunettes de soleil. Vu sa tenue Cam allait vite se faire remarquer si c'était pas déjà le cas. Le camps est très typique de ce que le doc avait vu à la télé. Face à lui le pré fabriqué, entre lui et le bâtiment sur un peu d'herbe le drapeau américain flotter au vent, quand il y en avait, ce qui n'était pas le cas. Un peu plus loin sur à droite des baraquement bien aligné à l'air un peu vieillotte, avançant un peu il vit le camps de tir, Camétait pas partisans des armes à feu et d'ailleurs il eu un mouvement de recul. Il y avait aussi plusieurs bâtiments en dur surement le réfectoire le gymnase etc.

Au loin il y avait un grand bois touffu et dense, Cam ce surpris à rêver au manoeuvre qui y était menée. Il se retourna quand un groupe d'hommes suivaient un instructeur au pas de course en chantant la fameuse chanson des militaires.
Cam avança vers le préfabriqué, un peu fébrile, mais ferme. Un soldat gardé l'entrée, Cam se présenta, une fois de plus on lui demanda d'attendre, le soldat disparut dans le bâtiment, une fois ressortit :
" Docteur le commandant va vous recevoir dans quelques instants"

On étaut un beau mardi du mois d'aout. Fisher revenait d'un week end prolongé. Absent depuis vendredi, il étaut parti au mariage d'un neveu à Denver. Il n'était rentré que la veille au soir, avait de la paperasse en retard et ne savait même pas ce qui l'attendait comme énergumène aujourd'hui. Déjà que venir bosser par une chaleur pareil ne l'enthousiasmait guère, alors si c'était pour se farcir des troufions comme certains de la semaine passé....Pour tout dire, y en a même un, bon, un scientifique.... lors du test d'arme à feu, il avait failli se tirer lui même une balle danss le pied... Une catstrophe ambuante ce mec. Autant dire que Scott l'avait aussitôt fichu dehors, limite avec un coup de pied au cul, et s'était fait un plaisir de découper méticuleusement son dosseri aux ciseaux... Enfin, bref, pour entamer cette nouvelle semaine avec un minimum de courage, autant éviter de pense à des cas comme ça!

Il gara sa jeep dans le coin réservé au personnel, à une des rares places à l'ombre, avant de se diriger vers son bureau. Il était arrivé suffisament en avance pour faire deux -trois papiers avant de commencer officiellement sa journée, le garde qui se chargeait d'acceuillir les recrues n'était pas encore arrivé. Fermant la porte de son bureau et jetasa casquette sur une table au fond de la pièce, il alla s'assoir et saisait le premier dossier de la pile:

*Alors, qu'est ce qui m'attends aujourd'hui?*

Un certain Cameron Harper, un médecin. Pff, en voyant ça Scott ne put échappe un soupir.

"Mais c'est pas possible, bordel, y a plus que des médecins ici! Ils veulent reconvertir le SGC en hôpital ou quoi!!"

Dépité, il reposa le dossier et en saisit un autre où il devait apporter des annotations.
Cela faisait maintenant dix minutes qu'il faisait son rapport sur le dernier candidat de la semaine passé, un potable celui-là, mais insuffisant pour le SGC.Trois coups furent tapés à la porte. Déjà? Mais il est en avance ou quoi?

"Ouai!"

La porte s'ouvrir laissant passer le soldat de garde.

"Sergent, un nouveau. Cameron...euh, Harper" dit-il en jetant un regard à la feuille qu'il tenait.

"Ouai, ouai, faites-le entrer"

Scott, rangea le dossier actuel et reprit celui de Harper qu'il rouvrit sur le bureau. Il vit entrer un gars, habillé comme s'il allait faire une visite touristique. Qu'est ce que c'était que ce gus encore! Peuvent pas mettre une tenue militaire ou un truc un peu sportif...mais un jean et un tshirt blanc.... et des lunettes de soleil, en plus...ahlala!

"Bonjour. Je suis le sergent Scott Fisher. Assieds toi!" lui dit-il d'un ton où pointait déjà l'agacement. Puis en désignant de la tête ses habits "Tu te croies en vacances? Le guide touristique recommandait la visite d'un camp militaire typique de la région? Tu t'es trompé d'adresse... Mais bon, passons.. Commençons par les bases: que sais-tu du programme Porte des Etoiles? Pourquoi vouloir le rejoindre? As-tu déjà manié une arme?"

On allait déjà voir avec ça si c'était vraiment un touriste, ou s'il avait lu les documents fournis par l'administration.

"Et si t'as des questions, c'est maintenant! Après on passe aux travaux pratiques!"


[HRP: Fisher est Sergent, pas Commandant N'hésite pas à parler au milieu de mes répliques, à décrire l'impression que te fais Fisher, etc... Et fais gaffe à te relire pour éviter d'oublier des mots ou les fautes d'inattention, c'est plus facile à lire après ]

"Bonjour. Je suis le sergent Scott Fisher. Assieds toi! Tu te croies en vacances? Le guide touristique recommandait la visite d'un camp militaire typique de la région? Tu t'es trompé d'adresse... Mais bon, passons.. Commençons par les bases: que sais-tu du programme Porte des Etoiles? Pourquoi vouloir le rejoindre? As-tu déjà manié une arme?"
"Et si t'as des questions, c'est maintenant! Après on passe aux travaux pratiques!"

Hum pas commode ce lui-là ce disait Cameron pas grave;
« Des vacances non pas vraiment, Cameron se sentais pas très sûr, mais il ne laissé rien paraître et s'assit, non le guide ne parlait pas de la tenue adéquate désolé, un peu d'humour ça ne fait pas de mal, si vous faites référence à ma tenue, sachez, monsieur... Que je n'ai pas pour habitude de travailler en treillis et que je met des fringues qui me plaisent, je vous rappelle que je suis un civil et non un militaire, il impressionne Harper mais ça fait du bien de tout sortir, la porte aux étoiles. »

Là Cameron faisait moin le fière, le programme Stargate. Le docteur expliqua ce qu'il avait vu lors de l'opération de son frère et compléta :
« Le grand machin, la porte c'est ça ? Des entretiens Cameron en a passé dans sa vie, mais celui là le dérouté un peu, permet de voyager vers d'autres planètes, grâce à un vortex unidirectionnel résultante d'une énergiequantiques surprenant, qui fait voyager on m'a pas dit grand-chose en fait , et voilà une jolie démonstration de comment saboter son entretien en une leçon avec Cameron Harper vous réussissez à tous les coups, Cameron lâcha un soupir, Voilà.

Cet entretien prenait des allures de teste, face à des chefs de clinique ou des chefs de services, Cameron ne flanchais jamais, mais là face à ce sergent le pauvre médecin perdait c'est moyen puis, Harper ce ressaisi, après c'est un type comme les autres :
_ Ecoutez sergent je connais les armes à feu autant que vous, vous connaissez un stéthoscope, le fait de savoir le tenir ne va dire qu'on sait s'en servir, Cam reprend confiance en lui, je ne sais pas ce qui vous fait ne pas aimer les civil, mais je vous assure je ne tirerais pas une balle dans le pied et sait qu'il ne faut pas pointait sont armes n'importe où, Harper sentais l'excitation montait en lui, si je suis ici c'est pour être formé non ? Alors formé moi je suis prêt.

Cameron dévisager le sergent, Harper est prêt en en découdre

Le petit nouveau faisait un peu de résistance. Il ne semblait pas très très assuré, mais ne s'écrasait pas complètemente face à Fisher, contrairement à certains.

"Sachez, monsieur... Que je n'ai pas pour habitude de travailler en treillis et que je met des fringues qui me plaisent, je vous rappelle que je suis un civil et non un militaire"

Scott s'assit sur le devant de sa chaise, posa les coudes sur son bureau et le regarda droit dans les yeux avant de lui répondre: "Et tu croies être ici pour faire quoi? Pour prendre ma tension? Me faire tirer la langue? Non, tu vas courir, suer un peu, te confronter à ta, peut être, future vie.!"

Au moment de réciter la leçon sur le projet Porte des Etoiles, comme il fallait s'y attendre de la part d'un scientifique, Harper lui débita le baratin théorique de vortex unidirectionnel et de théories quantiques. Mais qu'est ce que ça pouvait bien lui foutre à Fisher le mode de fonctionnement de la porte! Mais bon il avait compris le principe du programme. Par contre, rien sur les Go'aulds et autres menaces. Tant pis, il lui en toucherait deux mots plus tard.

Puis, juste après, Harper sembla se ressaisir et se permit de répondre à Fisher comme un vrai militaire. Ah! Voila, enfin un p'tit qui avait quelque chose dans les couilles! Fisher se leva de son siège et se dirigea vers la porte du bureau, un sourire aux lèvres:
"Tu commences à me plaire Harper! Allez, suis moi, assez papoté!"

Il descendit les 3 marches du préfabriqué et traversa un petit gazon tondu à ras, salua de la tête un militaire qui passait par là et se dirigea ves le stand de tir. S'arrêtant devant une cible, il actionna un bouton qui la rapprocha.
"50m c'est peut être un peu loin pour un médecin, on va la mettre à 20m". Puis il disposa sur le comptoir du stand de tir deux armes: un pistolet et une drôle d'arme en forme de Z replié et s'écarta pour laisser la place à Harper.

"Bien, t'as beau être médecin, tu seras amené à partir sur d'autres planètes, accompagner les militaires en cas de pépins ou pour aller soigner quelqu'un de l'autre côté de la porte. Donc, même si je doute que tu manies très bien le stéthoscope, savoir se servir d'une arme ça peut te permettre de ramener ta belle petite gueule intacte à la maison! En face, y aura des gus qui rigolent pas. T'as entendu parler des Go'aulds? Une espèce parasite qui prend contrôle des humains. Et avec eux, pas de sentiments, tu tires dans le tas. T'as là que tu seras peut être amené à utiliser en cas de besoin. Ici, un glock, un bon vieux pistolet terrien. Là, ce machin qui ressemble à rien, c'est un zat, le pistolet Go'auld. Tu l'ouvre ici, tu vises et tu tires avec ce bouton. Un coup, tu paralyses, deux coups tu tues, trois coups tu désintègres le corps...Aucune trace, très pratique. Pas complètement cons ces salops." En désignant les cibles: "Montre moi ce que tu sais faire, cinq tirs de glock et tu me désintègres cette cible là avec le Zat! A toi de jouer!"

Fisher, mit son casque et regarda la recrue faire sa démo. Il s'en sortait pas trop mal. On pouvait presque penser qu'ils apprenaient à tirer en fac de médecin maintenant! En même temps, avec tous les dégénérés qui débarquaient dans les hôpitaux, ça pouvait servir... Une fois que Cameron eut fini son petit exercice, Fisher retira son casque:

"Bien, pas mal pour un bleu! Allez, on continue!" Et sans traîner il reparti en direction de sa jeep où il invita Cameron à monter.

"Bon, dernière chance pour les questions, là je t'envoie dans le grand bain..." Il s'arrêta en bordure d'une forêt où deux militaires les attendaient...

[Hrp: Je te laisse raconter l'épisode des tirs comme tu le souhaites. Tu choisis où tu touches, oublies juste pas que t'es un médecin, me fais pas trois tirs dans le mille... . Amuse-toi bien]

"Bien, t'as beau être médecin, tu seras amené à partir sur d'autres planètes, accompagner les militaires en cas de pépins ou pour aller soigner quelqu'un de l'autre côté de la porte. Donc, même si je doute que tu manies très bien le stéthoscope, savoir se servir d'une arme ça peut te permettre de ramener ta belle petite gueule intacte à la maison! En face, y aura des gus qui rigolent pas. T'as entendu parler des Go'aulds? Une espèce parasite qui prend contrôle des humains. Et avec eux, pas de sentiments, tu tires dans le tas. T'as là que tu seras peut être amené à utiliser en cas de besoin. Ici, un glock, un bon vieux pistolet terrien. Là, ce machin qui ressemble à rien, c'est un zat, le pistolet Go'auld. Tu l'ouvre ici, tu vises et tu tires avec ce bouton. Un coup, tu paralyses, deux coups tu tues, trois coups tu désintègres le corps...Aucune trace, très pratique. Pas complètement cons ces salops." En désignant les cibles: "Montre moi ce que tu sais faire, cinq tirs de glock et tu me désintègres cette cible là avec le Zat! A toi de jouer!"

*Goa'ulds ce mot ça veut dire quoi ?*

Ils sont donc eux nos ennemis. Je ne s'ai pas ce Cam ressenti à ce moment précis, mais ce n'était pas très rassurant et le voilà face à des armes. On lui demandAIT de se servir d'une arme alors que lui qui consacre sa vie à faire en sorte que les effets de ces armes ne soient pas dévastateurs, utiliser ce qu'il combat.

Cameron saisit le glock à deux mains, une sur la crossa avec doigt sur la gâchette, l'autre en dessous de la cross où on met le chargeur. Harper visa et tira, mais la balle ne frôla même pas la cible. Le médecin regarda le sergent qui resta égale à lui-même, Cam pivota sur sa droite pris l'arme de la main gauche et tire à trois reprises, plus doué à une main qu'à deux. Une balle perdue elle toucha à peine la cible, une dans l'épaule et la troisième dans sternum, Cam soupire et tire la cinquième balle, à ça grande surprise elle alla se loger dans le centre la tête de la cible.

En se retournant vers le sergent il avait l'air content de lui. Pour un médecin je ne sais pas si c'est logique, mais Cameron lui s'en moquait il saisi le Zat et l'ouvris le « S » se déplia, Harper fit un bon en arrière :
« Wow ! »

Cam vise encore une fois et tire, un vaisseau bleu sort de l'engin et parcours la cible :
« Un paralyse »
Deuxième tire :
« Deux tu tues »
Et enfin :
« Trois du désintègre »

Harper appuya sur le bouton l'arme se referma, visiblement il aimait bien le zat, posa l'arme. Et suivi le sergent qui monta dans une Jeep.

« Bien ! Harper, je te présente le 1ere classe Johnson, et le caporal Marks, les membres de ton équipe pour la petite mission que tu vas faire maintenant » Aux présentations, les deux militaires firent un bref signe de tête en guise de bienvenue à Cameron avant de se remettre à discuter un peu entre eux, écoutant d’une oreille distraite, ils étaient déjà au courant de l’objectif de la mission.

« Petite mission typique, vous devez rejoindre un village désert à quelques kilomètres plus au Nord et y attendre des renforts. Malheureusement pour vous, des patrouilles jaffas ont été signalées dans le coin… T’es médecin, je ne m’attends pas à ce que tu me dézingues tous les ennemis qui passent, tu partiras seulement avec un pistolet, et c’est déjà bien. Souvent les scientifiques et médecins partent sans arme mais là, je veux surtout voir comment tu te débrouilles en situation et si t’es pas trop dangereux avec une arme à la main et sous pression. Mais considère qu’elle te servira surtout à te défendre… Par contre, t’auras le droit de porter ce p’tit sac » dit Scott en désignant un sac à terre, plutôt épais qui devait malgré tout peser un certains poids. « Le matériel médical, si jamais quelqu’un est blessé… Johnson file lui ton flingue. T’inquiète, t’es encore suffisamment armé pour abattre un équipage de Ha’Tak à toi seul » finit Fisher en rigolant pendant que ledit Johnson s’exécutait. Un dernier regard aux trois hommes et il lança, ironique : « Bon, qu’est-ce que vous foutez encore là ! J’commence à avoir la dalle moi, qu’on en finisse ! »

Johnson et Marks, pénétrèrent dans la forêt en compagnie de Harper. Ils avançaient d’un pas assez rapide, mais tout en restant vigilant.

« Eh ! Harper, surveille quand même les alentours, on est jamais trop prudent… » lança Marks sans se retourner.
La forêt était très calme pour l’instant. Un petit vent s’infiltrait au milieu des arbres et agitait doucement les feuillages. Au bout de cins minutes de marches, ils se retrouvèrent face à une paroi rocheuse à escalader. Celle-ci n’était pas très haute, environ 4-5 mètres, et ne demandait pas de compétences particulières en escalade, mais il fallait tout de même être prudent et bien assurer ses prises, surtout avec le poids des sacs. Les deux soldats s’arrêtèrent au pied de la « falaise ». Et Marks reprit la parole :

« Ok, j’espère que tu sais un peu grimper. Johnson, passe d’abord, ensuite t’y vas, Harper, je monterai derrière toi pour surveiller tes prises. Essaye de prendre les mêmes appuis que Johnson et tout ira bien. Allez ! »
Johnson commença à grimper tranquillement et sans montrer de difficultés particulières. Ce fut ensuite au tour de Harper. Il ne semblait pas totalement serein mais montait progressivement. A un moment, en saisissant une prise de la main droite, la pierre commença à bouger légèrement. Aussitôt, Marks qui suivait la montée du sol intervint :« Non, l’autre pierre juste après. Vite, en dessous de celle avec la mousse. Voilà… » soupira-t-il une fois la situation rétablit. Ils auraient l’air fin si le médecin de service se pétait un truc à peine parti !
Dès que Harper arriva au sommet, Johnson vint l’aider en lui attrapant la main et en le tirant un peu pour le faire revenir sur le sol.

« Alors ? Pas si dur, hein ? » dit le militaire d’un ton où on ne savait trop si c’était sincère ou ironique.
Moins d’une minute plus tard, le caporal rejoignit lui aussi le reste du groupe et fit signe de se dépêcher d’avancer. Mieux valait ne pas traîner là car ils étaient dans une petite zone un peu à découvert, la forêt reprenant quelques mètres plus loin. Toujours aucun signe des Jaffas.
Quoique, il ne faut pas parler trop vite : quelques secondes après leur rentrée dans la forêt, Marks qui ouvrait la marche chuchota d’un ton autoritaire : « A terre ! » Et il se baissa derrière un buisson, mettant un doigt devant sa bouche pour faire silence puis, désignant une direction du doigt, fit le signe deux. Johnson opina de la tête, attrapant son P-90 par mesure de précaution.


[Hrp : Alors, j’ai volontairement très peu parlé de toi pour te laisser toute liberté pour jouer ton perso. Tu fais comme tu le sens, du moment que ça reste cohérent avec l’action. Tu peux bien sûr leur adresser la parole, même les faire te répondre, si c’est des trucs anodins., etc… lâche-toi ! ]

Cameron pénétrais dans la forêt des deux soldats, il tenais toujours l’arme à la main, forêt calme certes mais dense, des jaffa pourrait apparaître n’importe où et par dizaine, Marks me fit une remarque a la quelle je répondis sur le même ton :
« Vous inquiète pas faite attention a pas se trouve dans ma ligne de mir »

On continua avançait dans le silence, jusqu’au moment où on arriva au pied d’une paroi rocheuse :
« Ok, j’espère que tu sais un peu grimper. Johnson, passe d’abord, ensuite t’y vas, Harper, je monterai derrière toi pour surveiller tes prises. Essaye de prendre les mêmes appuis que Johnson et tout ira bien. Allez ! » Demanda marks.

Puis il donna ses ordres. Une Johnson à un e certaine hauteur , Cameron commença sont ascension.*Heureusement que j’ai pas arrêté le sport après la fac* en effet le médecin avait une assez bonne forme physique.

Après quelques minime difficultés, harper atteint enfin le Sommet, Johnson, l’autre soldat l’aide à se relevé :
« Alors ? Pas si dur, hein ? »
« Non un vai jeu d’enfant » répondis le médecin un peu essoufflé

Et puis la troupe repris on chemin c’est alors que le moment redoutais commençais par ces mot :
« A terre ! »
Cam réagis de suite il se plaque sur le sol, et sera son arme contre lui, enleva la sécurité et abaissa le chien lentement, c’est que les choses sérieuse commencent.

Les trois membres de l’équipe étaient maintenant agenouillés derrière le buisson, guettant le moindre bruit qui signalerait que les jaffas les auraient repéré. Pour l’instant, par bonheur, toujours rien. Marks qui avait noté la position exacte des deux ennemis et leur direction fit signe aux deux autres de se déplacer en silence un peu plus loin, jusqu’à un gros rocher qui les abriteraient plus facilement. Durant les quelques mètres que représentait ce déplacement, ils étaient a priori toujours protégés par buisson puis un tas de feuillages. Ils se mirent donc à progresser lentement. Juste avant d’arriver à la pierre, Marks se releva très légèrement pour réévaluer la position des gardes. Apparemment satisfait, il continua sans donner d’indications particulières. C’est alors, qu’un gros « CRRAACCC » vint rompre le silence relatif du coin. C’était Harper qui, observant le manège du caporal, n’avait vu qu’il allait marcher sur une grosse branche. Evidemment, pour la discrétion c’était raté ! Aussitôt, une voix s’éleva de derrière les buissons.

« Kree ! » Ils étaient repérés ! Johnson se dépêcha de rejoindre la protection du gros rocher en deux enjambées et hocha la tête lorsque Marks lui dit de se préparer à faire une sortie. Avant d’y aller il souffla à Harper : « Toi, tu bouges pas ! ».
Puis, d’un même mouvement les deux hommes sortirent de leur cachette, arme à la main et firent feu sur les deux jaffas qui se rapprochaient à pas prudents, lance pointée, vers le lieu du fameux « Crac ». Le tir de Johnson toucha le premier jaffa qui s’écroula mort. En revanche, Marks rata le sien qui passa à quelques centimètres de la tête du second, second qui s’empressa de faire feu avec sa lance. Pour échapper au tir, Marks dû faire une roulade au sol et, en se relevant retira et cette fois, il atteignit le jaffa. Les voilà tirés d’affaire pour l’instant mais les coups de feu avaient surement alertés les autres jaffas s’ils étaient dans le coin. Il fallait donc se dépêcher de partir. Pour ne pas se tromper de direction, Marks demanda à Harper, qui avait la boussole :

« Harper, l’est, c’est par là ? » Après confirmation du médecin, les trois hommes filèrent. Effectivement, il valait mieux pour eux car au loin, on pouvait entendre des cris et des bruits de course. Cette course fut assez éprouvante pour Harper qui n’avait pas l’habitude de parcourir ces distances au pas de course avec un sac sur le dos… Mais il s’accrocha et était un peu boosté par les autres, notamment Johnson qui lui lançait de temps à autre des : « Allez ! Allez ! »

Les arbres défilaient, et les bruits de jaffas se faisaient toujours entendre, même s’ils étaient relativement lointain. Les trois hommes finirent par arriver face à un cours d’eau. Celui-ci n’était pas très large et le courant pas très fort mais leur unique chance était de le traverser à la nage.

« Johnson, Harper, allez-y. Je vous couvre pendant la traversée. Vous prenez le relais après»
Disant cela, Markas alla se planquer derrière un épais tronc d’arbre et épia du coin de l’œil l’arrivée des jaffas qui ne tarderait pas. Pour les deux, il ne restait plus qu’à se mouiller ! Johnson, sans hésiter plongea et entama la traversée, en jetant malgré tout un coup d’œil pour voir si le doc ‘ suivait. En tout cas l’eau était fraîche ! Alors qu’ils étaient à peu près à la moitié de la traversée, des tirs de lance jaffas se firent entendre, aussitôt suivi des répliques du P-90 de Marks. Puis à un moment, un cri, et le P-90 se tut. A ce moment, les deux hommes se hissaient sur la berge opposée. En regardant derrière eux, ils virent le corps de Marks, étendu à terre, son arme tombé à ses côtés. Plus loin, les jaffas se rapprochaient à grands pas: ils n’étaient plus qu’à une petite trentaine de mètres de la rivière et continuaient à tirer, on pouvait en dénombrer 8. L’unique solution dont disposaient les deux hommes était de continuer à fuir. Marks semblait déjà mort et seuls face à 8 jaffas, ils n’avaient aucune chance. D’autant plus que de ce côté de la berge, ils étaient beaucoup plus à découvert, les arbres étant beaucoup plus espacés et plus fins que de l’autre côté. Abandonner le caporal n’était pas une décision facile à prendre pour Johnson, mais c’était leur seule chance de survie. Ils durent donc reprendre leur course.


[Hrp: essaye de développer un peu plus tes sensations, ta vision de la scène. Mais essaye aussi de vraiment penser à te relire, niveau orthographe mais surtout ponctuation, oubli de mots ou de lettres ]

Les deux hommes couraient comme des dingues, droit devant eux. Mais Cameron dû arrêter. à bout de souffle, rouge comme une tomate. Harper avait un goût amer dans la bouche :

« Je crois que je vais vomir »

Il eu à peine le temps d'aller plus loin pour vider son estomac. Faut dire que les dernières heures ne l'ont pas épargné. Attaqué par des Jaffas, même si c'est sa faute, le plaisir n'y est pas, Marks laissé pour mort, c'est alors que :

« On doit y retourner, Marks est peut-être encore vivant, je peux sûrement l'aider. »

Bien que l'envie d'aider est un véritable moteur, Cameron avait besoin de l'accord de Johnson. Mais ce dernier refusa. Le médecin protesta, mais le soldat lui dit que, un soldat face à huit jaffas, il y avait aucune chance. Cameron plongea sa tête dans ses mains. Le soldat s'accroupi prêt de lui :

« Doc, vous avez une famille ?"

« oui, je suis marié et j'ai un fils »

« vous voulez les revoir, pour cela faut atteindre l'autre côté de ce bois, en vie »

Cam se releva et repris la marche, l'air était frais, une légère odeur de fleur flottait dans l'air, s'il n'y avait pas ces jaffas, Cameron se sentirais bien.

Harper se força à penser à sa femme et à son fils, que va-t-il bien pouvoir le dire, il chassa cette idée et essaya de profiter du paysage, certes ce n'est pas vraiment le moment, mais penser aux affreux que les suivait le déprimerais davantage. Johnson marchait devant à l'affût, aux aguets prêt agir telle un félin, alors que du point de vue de Cam il ressemblait plus à un ours, Johnson leva le point et fit signe de se baisser.

Cam se baissa et se rapprocha de son compagnon, le soldat fit le signe de se taire, un doigt sur la bouche.

Cam releva la tête il ne voyait rien, son envie de quitter cette maudite forêt s'accentua. Johnson expliqua que la sortir n'est plus très loin, mais que le calme qui règne en ce moment dans la forêt n'est pas normale.

Maintenant qu’ils avaient passé la rivière, les risques semblaient moindres. Le groupe de jaffa était resté coincé sur l’autre rive et même s’ils devaient continuer à être vigilants, ils n’avaient pour l’instant remarqué aucun signe de jaffas de ce côté-ci. Mais, quelque soit la fin de cette mission, elle sonnait déjà comme un échec à leurs yeux vu qu’ils avaient perdu le caporal Marks…. Ils n’étaient maintenant plus que deux, dont un médecin et devaient donc redoubler de prudence s’ils voulaient s’en sortir. Ils continuèrent à progresser dans ce qui était plus une clairière qu’une forêt. Les arbres étaient dressés de manière éparse et le paysage devenait un peu plus rocailleux.

Alors que le calme semblait dominer dans cette partie de la forêt, un craquement se fit entendre, provenant de leur gauche. Aussitôt, Johnson fit signe à Harper de se baisser derrière un rocher. Ils restèrent ainsi silencieux pendant plusieurs secondes mais aucun autre bruit ne vint troubler la sérénité du lieu. Peut-être s’agissait-il tout simplement d’un animal ? Johnson risqua un œil en dehors de leur cachette et, effectivement, il ne vit rien. Aucune ombre, aucun mouvement, rien ! Se retournant vers Harper, il lui dit : « Fausse alerte, on continue. Mais prudence ! »

Ils se relevèrent en vérifiant encore une fois les alentours pour être bien sûr, puis reprirent leur progression. A une cinquantaine de mètres de leur position, ils virent le début d’un chemin qui continuait de manière un peu sinueuse.
« C’est la route qui mène au village. Il est au bout », expliqua le 1ere classe au médecin.

La route était bordée d’une rangée d’arbres, espacés de quelques mètres chacun. On voyait bien que cette zone n’était pas naturelle mais avait été arrangée par l’homme. Johnson était assez tendu, les mains crispées sur son fusil et Harper le remarqua. Pour aller au village, ils étaient forcés de prendre cette route, les jaffas devaient le savoir. S’ils voulaient leur tendre une embuscade, c’était l’endroit rêvé pour ça…
Pendant le trajet, Harper suait à grosses gouttes à cause de la chaleur et de la marche qu’ils étaient en train d’effectuer. En temps normal, Johnson aurait bien lancé une vanne au doc mais là, il était trop concentré sur le trajet. Par chance, ils arrivèrent enfin au village sans avoir rencontré de problèmes et Johnson commença à se détendre un peu.

En fait, le terme de village était un bien grand mot. Ce devait être un ancien camp forestier à l’abandon avec un peu moins d’une dizaine de cabanes de bois plus ou moins grandes qui avaient été un peu restaurées pour pouvoir encore tenir debout ! Elles étaient dispersées sans ordre particulier autour d’un puits central. Là encore, aucun signe des jaffas. Johnson, montra une cabane un peu au milieu des autres : « On va aller se mettre là en attendant les renforts. » Il regarda sa montre. « Ils devraient être là d’ici 30-40 minutes si tout s’est bien passé… »

« Allez, ouvre la porte, je monte la garde » lança Johnson à Harper. La porte était vieille et le bois avait gonflé, il dut s’y prendre à plusieurs fois avant qu’elle ne s’ouvre. L’intérieur était relativement sombre, seule une fenêtre sale permettait d’accueillir la lumière du jour. D’une taille d’une grande chambre elle était encombrée d’un tas d’objets plus ou moins sales, certains recouverts de toiles d’araignées. Ils s’assirent contre un mur. Johnson posa son arme au sol et ferma les yeux quelques instants.
« Bon, on devrait être tranquille ici… ». Mais il semblait avoir parlé un peu trop vite : des bruits venant de l’extérieur se rapprochaient. Saisissant son arme au sol, il alla voir à la fenêtre

« C’est quand même pas déjà les renforts ? Et merde ! » Un petit groupe de 3 jaffas se rapprochaient du village. Savaient-ils qu’ils étaient là ou venaient –ils par hasard ?
Dans le doute, Johnson préféra prendre les devants, il se dirigea vers la porte et dit à Harper :
« Toi, tu bouges pas d’ici. Sors ton flingue au cas où… Je vais aller m’occuper d’eux ! » Et il s’éclipsa en refermant la porte. Harper se retrouvait maintenant seul dans la cabane, à guetter les bruits, pas forcément très rassuré… Il resta comme ça pendant 3-4 minutes lorsqu’il entendit quelqu’un essayer d’ouvrir la porte. Un grand coup fut donné dedans et un jaffa apparut à l’entrée…


[Hrp : dans ton dernier post t’as surtout raconté la suite de mon post et en prenant des initiatives qui ne concernaient pas ton perso. Pourtant je pense t’avoir laissé de la matière pour raconter la fuite jusqu’à la rivière, en étant très évasif avec ton perso. Dans ce post, essaye de vraiment raconter votre avancée jusqu’au village, tes impressions une fois arrivés là-bas et ta réaction face à l’arrivée du jaffa. Je te laisse t’occuper de lui ]

Nous voilà face à une route sinueuse, mais quand va enfin finir cet entraînement. Cameron en pouvait plus, il transpirait de chaleur, la marche et la chaleur était pénible, il avait du mal à respirer. Il se demandait si vraiment les missions sur d'autres planètes ce passée pareille.

Au loin un village apparaissait, Harper aurait bien couru si le soldat ne l'avait pas retenu. Mais sur le chemin manifestement fait par l'homme au vu des arbres, le moyen de tomber dans une embuscade était fort probable, lesjaffa auraient l'avantage. Ce chemin était le seul moyen d'accéder au village ? Cam avait la gorge sèche et ressentait de plus en plus la fatigue, s'il y avait moyen se reposer un peu dans ce village, ça ne serait pas du luxe.

Enfin but atteint, les deux hommes pénétraient dans le village ? La déception se lisait sur le visage du médecin. Il sent son coeur se serrer à la vue de l'état de ces quelques cabanes.
" C'est ça le village?"

Quelques cabanes, réunit autour d'un puit centrale asséchés. Johnson désignât une cabane délabrés à son partenaire, qui essayait de l'ouvrir, mais il réussit aux termes du quatrièmes assaut la porte céda dans un grincement caractéristique de vétusté. Bien évidemment l'intérieur n'avait rien de sympathique, araignée et autres insectes avaient élus domicile ici.

Malgré tout on s'adossa contre l'un de mur, Cameron tenté de se reposer, quand en un bon Jonhson se retrouve debout, il donna des recommandations au doc est sorti, Harper s'approcha de la seule fenêtre et vit trois jaffa.

C''est alors qu'un jaffa rentra
Cam se releva doucement :
" je sais, tu veux me tuer, mais c'est pas la meilleure solution"
" Kree"
Fut sa réponse avant qu'il ne tire sur le docteur qui plongea sur le côté évitent ainsi le tir. Ce n'étais pas ce que Cam avait prévu comme entretien. Harper se déplaçait à quatre pattes évitant les tir de lance, puis il se planqua dans un coin de la pièce.

Quand le jaffa arriva, Cam tenait son arme à une main, il tira à une dizaine de reprise, le jaffa s'écroula, Harper pense le jaffa mort, Cam remarque le zat du jaffa que ce dernier porte au bras. Le docteur range son arme, active le zat et retourne dans la pièce principale prêt à faire feu.

Aux tirs de la lance jaffa succédèrent une dizaine de coups de pistolets nerveusement donnés par Harper, replié dans un coin de la cabane. Le jaffa n’avait eu aucune chance de les éviter et il s’écroule, lâchant sa lance. Harper se dirigea prudemment vers lui et lui retira le zat qu’il portait au poignet avant de se retourner près de la fenêtre. Dehors aussi, les coups de feu fusaient. Essuyant de la manche la fenêtre qui était vraiment sal et qui gênait donc la vision, Harper aperçut Johnson de dos vers la droite, à l’ange d’une cabane. Il devait faire feu sur un jaffa. Malheureusement, il ne faisait pas attention qu’un autre jaffa se dirigeait vers lui dans son dos. Ce dernier passa devant la fenêtre et Harper sans le voir. Il continuait de se rapprocher de Johnson et activait sa lance. Le première classe, lui, n’avait toujours rien vu, s’occupant encore d’un autre jaffa.

Harper devait –il agir ? Johnson lui avait clairement dit de rester à la cabane, mais là, il allait se faire abattre, ça ne faisait aucun doute. Il devait prendre sa décision vite… Il devait le sauver. Harper se dirigea vers la porte l’ouvrit et tira sur le jaffa. Mais dans son empressement, le tir passa à côté du jaffa qui remarqua le médecin et se retourna vers lui pour le tuer. C’est alors que Johnson, ayant lui aussi entendu le tir, se retourna et constatant la situation, fit aussitôt feu sur le jaffa qui tomba au sol, inanimé. Le calme était revenu, les trois jaffas avaient été neutralisés et Johnson avait été blessé… En effet, ce dernier, aussitôt après la fin des hostilités, se laissa tomber au sol en faisant une grimace et en se tenant la jambe. Pourtant, à première vue, il n’avait rien de visible.

« Harper, vite, ramenez moi à la cabane, on ne sait jamais… »

Aidé par le médecin, le première classe se leva avec difficulté et avança en boitant jusqu’à la cabane où Harper le fit s’adosser contre le mur. Il devait l’examiner. Il attrapa son sac avec la matériel médical et, après avoir trouvé dedans ce qu’il cherchait, il se retourna vers Johnson qui avait un grand sourire aux lèvres. Au même instant, la porte s’ouvrit dans un grand battement et Marks déboula dans la pièce :

« Alors, content de me revoir ? »

Juste derrière lui, le sergent Fisher entra lui aussi pendant que Johnson se relevait, frais comme un gardon.
Fisher prit la parole, l’air plutôt content.

« Alors, la bleusaille ? On s’est bien amusé ? Tu t’en est plutôt pas mal sorti pour un doc’. T’as descendu un jaffa (jaffa qui était d’ailleurs en train de se relever lui aussi), t’as sauvé la vie de Johnson en faisant diversion…. T’as quand même un peu d’endurance… Bon, pour Marks, y avait pas grand-chose à faire, vous avez pris la bonne décision sinon vous y seriez resté tous les trois ! Bienvenue au SGC docteur Harper ! Tu peux rentrer chez toi te reposer. Nous te contacterons dans la semaine pour te convoquer à la base faire ta rentrée ! »

Les autres militaires et même le « jaffa » félicitèrent le nouveau venu. Fisher lança avant de sortir de la pièce :

« Et vu que c’est mon jour de bonté, si tu te dépêches un peu, je peux te ramener au camp en jeep. A moins que tu préfères à pied ? »



[Hrp : Et voilà, la fin de cette dure journée ! Donc là, j’ai été un peu plus directif concernant ton perso. N’hésite donc pas à broder un peu, décrire plus en détail ses actions, ses pensées mais en faisant attention à rester cohérent avec ce que j’ai écrit ! Pour que tu visualises un peu mieux ce qui se passe dehors avec Johnson et les jaffas, je t'ai mis ci-dessous en spoiler un petit plan de la situation. Une fois que tu auras posté, je te noterai.]

Spoiler:

Une fois le Zat récupérait, Cameron se rapprocha de la fenêtre et essuya la vitre, cette dernière et vraiment sale. En voyant sa manche ce dernier pensa

*Lisa va me tuer*

Et en regardant pour voir de plus près ce qui se passait, Harper vit Johnson à l'angle d'une des cabanes faire sa fête à des de ses jaffa. Mais le pire un jaffa passa devant la fenêtre sans voir le doc, il avançait dans le dos du soldat, il activa sa lance, Harper était le seul espoir de Johnson.

Passant outre sa peur Harper sort et faire feu avec le zat sur le jaffa, mais le rate, là le jaffa se retourne, le doc tremble et commence à faire ses prières, mais le jaffa s'écroule abattu par le soldat qui s'affaissait aussi. Johnson est blessé.

Harper ramène le soldat à l'abri, il s'apprête à le soignait quand Marks rentre dans la pièce, suivi de Fisher, Johnson est en pleine forme, le jaffa que Cameron avait abattu se relève, il jeta un regard dehors les autres aussi.

Le médecin s'écroule sur le sol, il comprend plus rien, une boule ce forme dans son estomac. Comment est ce possible? Il n'avait plus les penssé très clair. Puis il se releva et parti à la suite de Fisher :

« Je comprend plus rien, qu'est ce qui vient exactement de ce passer ? "

Alors, ta note:

Cameron Harper:

-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 2/4

-Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 2/4

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 1/2

Total 5/10

Tu gagnes donc 5 xp et tu passes de recrue à Externe!

Tu peux maintenant aller rp dans la base et attendre que des missions soient lancées.


PS: je t'envoie un mp pour faire un point sur l'entrainement.