| | Intrigue VII : Introduction et suite | |
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Auteur | Message |
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Franz Scorzi ---------------- ---------------- ----------------
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Arrivé au SGC : 30/05/2011
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 28.08.12 9:28 | |
| Le général avait fait parler la voix de la raison, effectivement je ne devais pas me rendre sur Garazem pour le moment, j’avais beaucoup trop à faire et on comptait sur moi ici. Bon je risquais aussi de me faire engueuler voire même virer si je passais outre les ordres du Général, et je ne voulais pas mettre mon avenir dans cette aventure en péril. Alors je hochais de la tête à l’argumentaire de l’officier commandant la base, je ne voulais pas discuter là-dessus. Je savais quel risque nous prenions à perdre du temps en discussion inutile. J’avais toute sa confiance, je le savais cela… Mais il comprenait pourquoi mon cœur m’avait demandé de prendre part à l’intervention militaire, je devais donc participer à la création d’un prototype d’arme. J’avais donc beaucoup de travail et au final nous étions quatre à participer à cette petite partie de creuse méninge. Ils devaient encore passer à l’infirmerie alors j’en profiter pour faire un rapide tour par mes quartiers et me rafraichir un instant, reprendre mes esprits et me remettre en condition optimale pour le travail. J’avais beaucoup de chose à faire, des gens comptaient sur nous… Alors on ne pouvait pas se permettre de prendre du retard. On avait quelques heures et on allait les mettre à profil.
En retrouvant la petite équipe je me rendis compte que ce Mac Kay était… Un gars, disons particulier pour rester polis. Il voulait travailler seul, mais rapidement nous l’avons calmé en lui expliquant avec des arguments bien sentis qu’il n’était pas capable de travailler une arme prototypée sans des explications transcrites du journal trouvé par l’équipe en Egypte. Finalement nous nous mîmes d’accord pour travailler dans le laboratoire des scientifiques, il n’y avait rien de plus facile pour eux et comme nous n’avions pas beaucoup de matériel à transporter c’était plus pratique. Après avoir passé du temps à aller cherché nos affaires nous nous retrouvâmes dans le laboratoire, laboratoire où les deux scientifiques semblaient être en pleine discussion. Je ne souhaitais pas m’en mêler et en jetant un regard à Anderson je compris rapidement que lui non plus ne voulais pas s’en mêler. Normal en même temps.
Je m’occupe du journal, c’est toi qui a découvert le code de la pyramide je pense que tu es le plus indiqué pour t’en occuper.
Et effectivement c’est ce qu’il fit, il partit dans un coin inoccupé tandis que je faisais de même avec le journal et de quoi prendre des notes pour les donner à Kate. Elle semblait vouloir mettre en application ce que j’allais lui dire, c’était une bonne chose car en faisant cela on pourrait aller bien vite dans la mise ne place du protocole de fabrication des sarcophages. En étudiant le ‘manuel’ je compris rapidement l’importance pour la science médicale, ce type d’instrument pourrait être un bouleversement sans précédent s’il tombait entre les bonnes mains. Voila ce que j’apprenais en travaillant sur le journal… C’était une explication de A à Z sur l’exploitation et la fabrication des sarcophages, tout ce qui a été testé, approuvé ou rejeté… C’était complet, peut-être même trop. Il me manquait un sommaire pour m’y retrouver, mais en tout cas j’arrivais à comprendre à quelle partie appartenais un texte sortie du journal.
En fait le sarcophage était, selon son auteur, composé de plusieurs parties très importantes représentant les divers éléments ainsi qu’un rapport avec l’au-delà et d’autre chose un peu étrange. La source d’énergie du sarcophage semblait provenir d’une technologie Ancienne, tout comme la porte des étoiles. En fait les Goa’uld n’avaient pas inventé le processus, non, ils avaient adapté la technologie des Anciens à leurs désirs. Ce n’était pas grave, l’important c’était de tenter d’arriver à faire quelque chose avec le journal pour améliorer le sarcophage pour l’adapter à nos besoins mais en limitant ces capacités pour ne pas qu’il affecte notre façon de voir le monde. Après avoir traduit un passage entier sur l’utilisation de la source d’énergie du sarcophage ainsi que son importance dans le renouvèlement et le rajeunissement des cellules du corps, je le tendis à Kate.[/color]
Tien Kate, voila une partie qui pourrait être intéressante, il y a là le lien entre la source d’alimentation issu de la technologie de la Fontaine. Tout provient de la technologie des Anciens, peut être arrivera tu à en faire quelque chose, je vais voir ce que je peux trouver de plus.
[i] Je laissais la jeune femme à ses occupations et ne put m’empêcher d’avoir une pensée pour l’équipe qui était partie pour le champ de bataille… Je devais les rejoindre, mais avant cela je devais travailler sur ma traduction, mais cela faisait déjà presque trois heures que je travaillais et le journal était en bonne partie traduit, du moins pour toutes les parties importantes. Alors que j’allais m’y remettre je vis qu’Anderson traduisit une phrase que Mac Kay prit et retourna dans tous les sens avant de partir, avec Kate, dans des explications étranges et hors de notre portés à moi et Anderson… Mais finalement ils nous dirent qu’il était capable de réaliser un prototype dans une heure. Whowhowho, d’où on est passé d’une phrase alambiquée à un prototype ?
Le scientifique nous indiqua gentiment que nous n’avions plus rien à faire, alors pour me rendre utile j’expliquai, via téléphone, au général qu’on avait bien avancé et que dans une heure nous aurions une surprise pour lui. Et finalement au bout d’une heure nous nous retrouvions dans le bureau du général à expliquer ce que nous avions fait. Enfin surtout à essayer de placer quelques mots entre le flot ininterrompu d’explication venant de la part de Mac Kay, et je profitais d’un instant de répit pour placer quelques mots.
Le journal d’Imhotep nous permettrait de fabriquer nos propres sarcophages, même s’ils nous manquent une bonne partie des composants de base nous avons les plans et toute la documentation technique. Aussi en peu de temps nous pourrions réussir à mettre en place une méthode de fabrication de sarcophage. Néanmoins, et d’après ce qui est noté dans le journal, il semblerait que le sarcophage causerais des problèmes d’ordre psychique.
Après l’explication d’Anderson sur l’utilisation de l’arme il y eu un gros blanc… Et le général me confia la mission de gérer l’équipe pour l’emmener sur Garazem et rejoindre les autres, nous avions dix minutes pour nous équiper. Alors nous devions faire vite.
Bien reçut Général, je ne vous décevrais pas. Si vous nous excusez nous allons rapidement nous équiper.
Je sortis de la salle en prenant le temps de vérifier que chacun me suivait vers l’armurerie pour s’équiper pour le combat. Je pris mon G-36 et quatre chargeurs avec deux pistolets automatiques, des grenades ainsi qu’un couteau de combat et un gilet tactique. Une fois que tout le monde fut équipé et près à partir nous nous mîmes devant la porte des étoiles et tandis que l’on entrait les coordonnés je fis un rapide briefing à mon petit groupe.
Bien, je sais bien qu’il n’y a aucune hiérarchie entre nous, mais que les choses soient bien claire, nous allons entrer en zone de guerre alors pas d’action à la con ni d’héroïsme mal placé. On est quatre à partir je veux qu’on rentre entier avec tout le monde en vie et avec le moins de dommage. J’ouvre la marche, comme ça si on se fait attaquer dès la sortie le tir plasma sera pour moi et vous pourrez vous mettre à couvert. Une fois sur place vous me suivez, on essaye de trouver les autres si c’est possible. Mais, dans le cas où une fenêtre de tir se présente sur un kull on essaye votre arme. Mac Kay j’espère que vous êtes réactif car faudra l’être.
La porte ‘s’ouvrit’ devant nous.
Anderson avec moi, kate et Mac Kay vous attendez 30 secondes avant de nous rejoindre.
Allez on y va…
Je jetais un dernier regard au Général qui nous observait partir, que pouvait-il penser à cet instant précis ? Nul ne le sait à part lui-même… Mais j’espérais ne jamais être à sa place et à son niveau de responsabilité, il nous envoyait au casse-pipe, il le savait mais il ne pouvait pas faire autrement. Et en cela je respectais l’homme… Car il fallait avoir du cran pour faire ce qu’il faisait…
Alors que moi-même et mon équipe allions passer la porte qui nous conduisait sur le théâtre d’opération je ne pût m’empêcher une dernière pensée pour tous ceux qui se trouvait en situation délicate sur la planète… Nous arrivions et nous allions arriver à faire quelque chose pour eux, grâce à la fabrication de ce prototype.. Il n’y avait plus qu’à espérer que l’arme allait marcher… Et ça … C’était pas gagné… |
| | | Rodney Mc Kay---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 01.09.12 22:36 | |
| Grâce à Mc Kay, l'équipe fut sauvée d'une mort certaine. C'est à dire que le scientifique aida à regagner le vaisseau ennemi,désormais libre, ce qui leur permit de prévenir de prévenir le SGC et de se mettre en route pour rentrer chez eux. Sheppard, cet arrogant, ne cessait de raconter, comment il avait survécu dans le but trés probable de surplanter Rodney. C'était toujours pareil ! Les fauteuils pour les brutasses de militaires et le strapontin pour les scientifiques! Aussi le Canadien ne se laissa pas faire et surenchérit le caractére décisif et brillant de son intervention.
Ils n'apportaient pas avec eux la fontaine de jouvence mais Rodney avait prévenu, bien avant de leur départ, que cette opération était vouée à l'échec. Aussi quelques heures plus tard, lorsqu' O'Neill leur fit remarquer qu'ils n'avaient apporter aucun petit souvenir de leur escapade Egyptienne, celui-ci décréta sans la moindre honte
- Je vous l'avais bien dit!
La prochaine fois peut-être on l'écouterait! Lang et Sheppard firent remarquer qu'un espion de la confrérie devait se cacher au SGC et Rodney ne put s'empêcher d'y mettre son grain de sel.
- Si on nous avait laissé revenir avec leur vaisseau nous aurions certainement pu trouver des renseignements à ce sujet.
Toutefois Anderson avait réussit à sauver un carnet et une autre équipe semblait avoir trouvé la "fontaine de jouvence". A cette appellation qui relevait d'avantage de la fable farfelue que d' une technologie scientifique, Mc Kay ne put retenir un reniflement de mépris. Seul bémol dans tout cela, les Black Eagle demeuraient incontactables.Malheureusement pour eux, Mc Kay ne compta pas parmi les les membres de l'équipe de sauvetage mais celles de ceux qui analyseraient le dispositif. Archéologues et scientifiques convinrent de travailler ensemble dans le labo. Rodney aurait préféré oeuvrer seul sans personne pour le gêner mais bon...A lui donc de diriger les opérations.
-Dr Rizzoli ... je peux vous filer un coup de main .. - Bien sûre ma jolie! Allez donc me chercher un Capuccino! Pas un café hein, un capuccino! Et un cookie aussi!
Voiiilà! Les rôles étaient équitablement répartis. C'est à ce moment précis que Scorzi et Anderson firent leur entrée dans le labo et se mirent dans un coin pour traduire. De son côté Rodney passait le dispositif à la sonde, invitant Kate à noter ce qu'il analysait à l'oeil nu en attendant d'avoir le résultat. La pauvre fille semblait ne pas savoir quoi faire de ces céllules grises et comme Mc Kay la trouvait jolie il décida de l'aider un peu.
- Le dispositif se présente sous une forme de cube à à six coté comptant 16 carreaux portant des caractères uniques sur chaque face, soit 96 caractères en tout. La surface externe est faite de carreaux à base de naquadah. La composition du matériau intérieur est pour l'instant inconnue. Les dimensions sont de 20 cm X 20 cm X 20 cm et son poids est de 1, 7 kg. Vous notez ?? Ah et quel nom donneriez-vous à cet objet ? Et par pitié épargnez-moi le qualificatif affabulateur de "fontaine de Jouvence"
Enfin le cadran du sondeur indiqua qu'il venait de terminer et Rodney s'empressa de transférer les résultats sur les écrans de leurs ordinateurs.
-Naquadah 80%. Je m'en doutais! Tellurium 1,67%, Mercure 4,75% et 13,58 % d'énergie non connue. Et émission de radiations...
Plutôt faible mais variable selon l'utilisation de lobjet.Les radiation du naquadah émises par le dispositif semblaient avoir la capacité de guérir et même de ressusciter un être de chair. La signature énergétique de l'appareil venait d'être figée sur l'ordinateur et il n'y avait pas besoin d'être sortie de la cuisse de Jupiter pour comprendre qu'une combinaison de huit carreaux permettait de l'activer. Aprés plusieurs heures et un nombre important de simulations on parvint à trouver la code qui pouvait correspondre au résultat que l'on cherchait à savoir neutraliser un guerrier Kull. Toutefois restait un problème de taille. Transférer ce fluide dans une arme. Car, en bon militaire, O'neill ne verrait aucune utilité à ce dispositif si il n'était pas transformé en un objet qui pouvait faire BANG BANG. Le Canadien manqua s'étrangler lorsque cet inconscient de Anderson suggéra d'inverser les polarités.
- Vous voulez tout faire crâmer ??? Ou pire nous faire périr d'une mort lente et horrible ???
On ne jouait pas avec les radiations et c'était une des bases de l'electronique : On inversait JAMAIS les polarités!!! C'était à coup sure la meilleure solution pour détraquer l'alimentation, la rendre incontrôlable ou même la détruire. Anderson prononça alors une phrase qu'il venait de traduire et le génie de Mc Kay sembla irradier (une fois de plus !) les lieux. Il se jeta comme une furie sur le papier des archéologues et remplaça un ou deux mots. Faisant part du résultat à Kate, celle-ci sembla enfin comprendre et affina la traduction. De joie Rodney la serra dans ses bras. Mais pas trop longtemps quand même! Il avait toujours détesté les familiarités entre collégues. Une heure plus tard, fier comme un paon, Mc Kay présentait son chef d'oeuvre.
- Ce canon désactive les propriétés soit disant indestructibles de l'armure Kull. Nous n'avons pans encore pu la tester mais si elle fonctionne, ce sont je ne saurais douter, Il suffit d'un ou deux tirs selon la distance à laquelle se trouve la cible et....
Et on ne le laissa pas terminer bien sûre!!! On les envoya directement sur Garazem pour fournir ce prototype à l'équipe déjà en place. Pas de chance! Rodney aurait préféré rester à la base et manger un bon repas. Les missions à risque il détestait ça. Ca ne se passait jamais comme prévu. Scorzi fit le malin en essayant de donner des ordres et cela agaça profondément le scientifique. Il espérait qu'il serait réactif ? Celui-ci haussa les épaules.
-Et même si je ne le suis pas, vous aurez l'intelligence nécessaire pour appuyer sur un bouton non ? En plus moi je voulais rester ici. Je serais bien plus utile à essayer d'alléger ce prototype pour le rendre plus transportable et maniable que d' aller jouer les Rambos!
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| | | Kate Rizzoli---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 02.09.12 4:03 | |
| Rizzoli avait été un peu froissée par le commentaire de McKay et lui renvoya la balle assez rapidement et avec peu de tact. Et oui, on ne la prenait pas pour une servante ni pour une idiote.
Descendez quelques étages et vous l'aurez votre cappuccino ! Ca nous laissera un peu de place dans cette pièce parce que votre grosse tête semble enfler à vu d’œil !
Et voila, ca portait mal entre les deux scientifiques, mais bon, elle ne préféra pas aller plus loin, Anderson et Scorzi venaient d'entrer dans le labo. Inutile de leurs raconter la mini prise de bec qui venait de se produire. Ce qui importait, c'était tout d'abord le boulot. Quatre heures, c'était bien peu pour construire une arme, mais il fallait faire l'impossible.
Kate faisait deux chose. Elle notait les observations de McKay, mais elle essayait aussi de comprendre ce que traduisait Franz. Lorsque Mckay finit son observation, il lui posa une question et elle le regarda en soupirant
Quoi, vous vous attendez à ce que je vous dise que c'est un cube ?!
Elle continua son travail et en apprit un peu plus sur le naquadah. Il pouvait leur être très utile, mais en attendant, il fallait craquer le code pour le cube. Il y avait beaucoup de possibilités, mais il fallait passer chacune en revue. Lorsqu'ils eurent trouvé, Kate suggéra de modifié le dispositif.
On pourrait le faire sous la forme d'un tir d'énergie. Ca semble le meilleur moyen.
Puis Anderson émit une autre idée, mais McKay fit presque une crise cardiaque. Kate préféra lui expliquer plutôt que de s'emballer.
La naquadah explose facilement, même s'il est stable. Cela vient du fait qu'il n'a pas de résistance électrique et donc c'est presque impossible de modifié un réacteur à naquadah. Le seul moyen de l'utilisé est de l'intégré à un autre dispositif.
Anderson se remit au travail et finit par traduire une phrase, Ca manquait un peu de sens. Mais McKay peaufina un peu la phrase. Ca devenait encore plus clair, mais Kate comprit. Elle prit le papier et réorganisa deux ou trois trucs.
Le truc, c'est de concentré le rayonnement. Si au départ, c'est curatif, c'est parce qu'il y a un impact direct sur la source du corps donc les cellules et les molécules, mais moins drastiquement puisque c'est sur une plus grande surface. Ces dernières subissent une transformation et les active en quelque sorte. Seulement, si on concentre le rayon, la puissance sera telle qu'elle va transformer les cellules et les molécules que certaines ne tiendront pas le coup et vont littéralement éclater, ce qui entrainement un arrêt des fonctions.
Le seul probleme, c'est que si il couvre une trop grosse superficie, ca peut faire céder n'importe quel matériel. En gros, il faut que le rayon soit concentré à plusieurs endroits. Comme si on plaçait des lentilles de différentes grosseurs devant un faisceau lumineux. Chaque fois, le rayon est plus petit, mais plus concentré.
Trop fort !! Les deux scientifiques avaient réussi à tout déchiffrer. McKay la serra un bref instant et elle en profita pour lui lancer une petite phrase.
Alors, ca paie mieux le travail d'équipe hein !
Mais maintenant, il fallait tout mettre en application. Kate s'excusa auprès de Scorzi et d'Anderson, mais elle avait un boulot a finir. Après environ une heure de travail intensif, ils avaient réussi à mettre au point un prototype. Elle laissa McKay expliquer.
Mais il fallait maitenant livrer le prototype. Scorzi la mit avec McKay et elle fut un peu dépitée de devoir encore l'endurer mais bon ... Elle s'adressa à McKay, même si ce dernier ne voulait pas jouer les Rambo.
C'est qui allons mettre en marche ce prototype. Nous sommes les scientifiques alors c'est notre boulot à nous. Quand on aura un prototype sécuritaire à 150%, on le laissera entre les mains des militaires.
Elle se tourna vers Franz
Je suis désolée de dire cela, mais on est les plus qualités pour se servir de cet engin. Surtout qu'on ne sait pas s'il restera stable. Ce plan de match vous va ? |
| | | Michael Anderson---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 03.09.12 21:08 | |
| - Activation extérieure de la porte des étoiles mon général. - Fermez l’iris ! O’Neill avait hésité à donner ce dernier ordre. Il espérait tellement que cela soit ses hommes de retour de Garazem, qu’il ne voulait pas risquer qu’ils s’écrasent comme de vulgaires moustiques sur l’iris, lors d’une retraite trop précipitée face à l’ennemi. Finalement c’était le bon sens qui s’était exprimé par la bouche d’O’Neill. Il y avait d’autres hommes de qualité dans cette base et c’était à lui de les protéger et à personne d’autre. Alors que l’iris se resserrait, il sentit le stress l’envahir. Il n’avait pas quitté la salle de commande depuis qu’il avait envoyé les scientifiques sur cette maudite planète pleine à craquer de guerriers Kull.
L’ordinateur émit alors une série de bips. L’intérêt du général monta d’un cran. Que ce son sonnait si doux à ses oreilles. Avant même que Walter l’annonça, le général s’était déjà rué sur l’écran du technicien et avait appris l’information tant souhaitée.- C’est le code d’authentification des Black Eagles mon général. - Ouvrez l’iris et envoyez tous nos hommes disponibles et lourdement armés en salle d’embarquement ! Le général, de sa position surélevée, vit alors jaillir par les deux ouvertures de la salle de la porte des étoiles, des hommes surentraînés qui prirent place autour de la Stargate dans une discipline militaire irréprochable.
Puis le général attendit ce qui sembla être une éternité. L’éclat du vortex illuminait les murs de la salle d’embarquement, les fluctuations de l’horizon des événements dessinaient des vagues bleutées sur les parois de la pièce. Au bout d’une minute d’attente il n’y pu plus. Il tourna les talons et boitilla urgemment en direction de la Stargate. Il venait tout juste d’arriver dans la salle d’embarquement que le vortex se troubla pour la première fois.
C’était Michael Anderson.
Il sembla étonné de voir le chef de la base en ce lieu, ce qui lui donna un air passablement idiot pendant un moment. La bouche grande ouverte il fixait le général bêtement, puis se mit à bégayer.- Général O’Neill, les autres sont juste derrière moi. Nous avons réussis à capturer un guerrier Kull. A peine ces quelques mots avaient franchis ses lèvres que le guerrier Kull apparut, escorté par six militaires du SGC. Dans la poignée de secondes qui suivit, les hommes sur Garazem qui fermaient la marche arrivèrent un par un par la porte des étoiles. Le dernier à passer le vortex cria un ordre en direction de la salle de commande. L’iris se resserra puis la porte se désactiva. Le cœur du général fit un looping dans sa poitrine. Ses précieux hommes étaient de retour et ils semblaient tous s’en être réchappés… en fâcheux état pour la plupart, mais ils y survivraient.
Un regard circulaire du chef de la base suffit à englober toute la scène qui se déroulait devant ses yeux. Les valides supportaient physiquement et mentalement les blessés. Les scientifiques, soulagés, se congratulaient chaudement. Enfin plusieurs militaires entouraient l’alien capturé et fixaient intensément le général, attendant leurs ordres.
O’Neill s’approcha du guerrier Kull, l’observa un instant, puis distribua ses ordres aux hommes armés qui avaient surveillés la porte des étoiles lorsque l’iris était ouvert.- Emmenez cette chose en cellule. Puis le général se retourna pour préciser sa pensée aux hommes qui avaient capturé l’alien au péril de leur vie. O’Neill n’avait de compte à rendre à personne dans cette base, mais l’héroïsme que ces soldats avait montré méritait pleinement de les mettre dans la confidence sur ce qui allait suivre concernant le guerrier Kull qu’ils avaient capturés avec tant de peine.- C’est de l’excellent travail messieurs. Il va être enfermé dans une salle d’observation à l’étage des cellules. Il restera attaché à une table et la cellule a été renforcée par les scientifiques de la base. Bien entendu, si McKay et Rizzoli veulent y jeter un coup d’œil et donner leur avis sur l’aménagement, ils sont les bienvenus. Les médecins envahirent alors les lieux pour prodiguer les premiers secours. Ils auraient à n’en pas douter beaucoup de travail ces prochaines heures. La salle d’embarquement était désormais pleine à craquer et résonnait des conversations des héros du jour. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’O’Neill se rendit compte de l’absence d’une personne.- Bentley ? Le colonel Fett secoua sa tête casquée.
Le général soupira. Tout c’était presque déroulé comme prévu aujourd’hui. Mais le « presque » était malheureusement de trop. Il aurait une fois de plus à rédiger une lettre de condoléance. Encore une famille qui ne connaîtrait pas la vrai raison de la mort du frère, du fils, du bien-aimé. Elle n’aurait droit qu’aux sempiternelles histoires servies en ce genre de circonstances funeste qui ne rendait que peu hommage à l’héroïsme sans nom de ces incroyables soldats.
Un par un les hommes sortirent de la salle d’embarquement. Ils passeraient tous par la case « infirmerie » et certains d’entre eux y feraient un long séjour à n’en pas douter. O’Neill fut bientôt le dernier dans cette pièce. Il semblait hypnotisé par la Stargate. Son esprit se mit alors à vagabonder. Peut-être qu’enfin ils découvriraient une arme capable de mettre fin à l’hégémonie Kull. Et après ? Il restait tant de goa’uld à la tête d’armées incommensurables, qu’il paraissait difficile de gagner un jour la guerre quand on est seulement à la tête d’une petite base sous une montagne.
Le général sortit de la salle en boitillant, jeta un dernier regard vers la porte, puis se rendit à l’infirmerie pour avoir des nouvelles de ses hommes…FIN [HRP] Voila c’est la fin C’est votre dernier post, vous avez une semaine pour répondre. Répondez sur Garazem et aussi dans ce sujet-ci. Je tiens à remercier Annabel et Alek pour leur aide. Sans eux j’aurais été incapable de tout écrire Je pense que je n’aurais rien fait du tout d’ailleurs Enfin, merci à tous les participants d’avoir pris sur un peu sur leurs vacances et donc sur leur temps libre pour répondre à nos RP. J’espère que vous aurez pris autant de plaisir à participer à cette intrigue que nous à la rédiger Les notations arriveront d’ici quinze jours, le temps que vous répondiez au dernier post et que nous relisions tout pour être le plus objectif possible. Merci à tous
Dernière édition par Michael Anderson le 17.07.14 21:31, édité 2 fois |
| | | Leon Smith---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 07.09.12 19:34 | |
| Le paysage forestier aux teintes rouges laissa place à l’atmosphère grise et fermée de la salle d’embarquement, éblouie par les spots de lumières et les reflets de l’horizon des évènements, donnant comme relief un style de vaguelette bleutée aux quatre murs de la pièce. Des dizaines de gardes étaient postés un peu partout, telles des statues. Les canons de leur M4 accueillirent l’arrivée des Black Eagles et de l’équipe du Major Sheppard, sans qu’une étincelle ne sorte de leur extrémité. Quelqu’un cria de fermer l’iris et Smith descendit de la rampe avec le Capitaine Hagman appuyé sur lui. Il le confia immédiatement à quelques infirmiers, en attendant que l’équipe médicale appelle des renforts car le nombre de blessés nécessitait la présence de bon nombre de médecin. En attendant qu’on vienne s’occuper de sa main, il assista à la réaction d’un docteur qui, voyant une civière par terre, se rua vers le prétendu blessé ramener par la porte, avant de reculer vivement quand il se rendit compte qu’il s’agissait d’un guerrier Kull. Puis il vit celle du Général O’Neill, son œil dilaté comme s’il avait vu le monstre du Loch Ness, pendant quelques secondes, pour ensuite rétrécir et de reprendre sa forme habituelle... Un regard qui laissait penser que cet homme avait déjà trop vu - et vécu - de choses qu’il n’était même pas capable d'expliquer.
« On l’a eu Général. » Lui dit-il avant d’ajouter d’un ton acerbe.
« On a eu de la chance, ce n’est pas le seul chien d’Anubis qu’on a du combattre là-bas... »
Ils avaient été envoyés sur cette planète car, probablement sur renseignement tok’ra, un Kull allait attaquer Thot. Mais si Léon se souvenait bien, ils avaient croisé pas moins de cinq de ces guerriers là-bas, peut être même plus. Il en avait perdu le compte au final, à toujours fuir ou se cacher dans cette forêt surnaturelle de Garazem. Encore une fois, les renseignements étaient foireux. Probablement personne ne savait pourquoi Anubis avait décidé d’envoyer autant de Kull en renforts, ni si cela avait une décision soudaine ou planifiée, mais cela avait failli leur coûter cher. En y repensant, Léon se demandait encore comment ils avaient fait pour s’en sortir. Le Général répondit alors comme s’il avait entendu ses doutes.
« Ce n’est pas de la chance, soldat. C’est une question de volonté, et de cœur. »
Léon se laissa aller d’un rire grinçant - le cœur de Bentley n’était plus en état de confirmer de tels propos - avant de bouger pour permettre aux brancards et au personnel médical arrivé en renfort de passer. Il n’attendit pas un seul ordre venant de ses supérieurs américains, ni de personne d'autre. Trimballant sa main blessée tel un vulgaire boulet de pénitencier le long de son corps, il renonça à attendre qu'on vienne à lui et passa la porte blindée pour se diriger vers l’infirmerie, via le chemin qui serait le moins encombré par la circulation…
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| | | Anthony Lang---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 08.09.12 19:14 | |
| Franchissant la porte avec les autres, Anthony put constater que le général n'avait pas lésiné sur la sécurité, vu le nombre d'homme en salle d'embarquement et leur armement. Portant toujouss la civière avec le Kull, il descendit la passerelle métallique et confia les poignées de la civière à un garde chargé d'amener le guerrier dans un lieu sécurisé. Il n'était pas mécontent de s'en débarasser, c'est qu'il était lourd le bougre, avec son armure! Il se secoua un peu les bras tandis que le général les félicitait pour le travail effectué.
Fin de mission. il pouvait s'estimer chanceux de s'en sortir indemne par rapport à l'état de certains. En dehors du fait d'avoir servi de punching ball aux mercenaires de la Confrérie et à Joshua et quelques égratignures dûes à l'éboulement, il n'avait rien. Il n'allait donc pas s'attarder à l'infirmerie. Visite de routine. Sortant de la salle d'embarquement en ôtant la bandoulière de son fusil, il passa d'abord à l'armurerie puis aux vestiaires où il se jeta un peu d'eau fraîche sur la figure en soufflant un bon coup. |
| | | Rodney Mc Kay---------------- ---------------- ----------------
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Arrivé au SGC : 07/07/2012
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 08.09.12 22:43 | |
| Mc Kay ne pouvait détacher son regard du guerrier Kull, allongé sur la civière. Il ignorait dans quel était il se trouvait étant donné qu'il avait fallut trois tires pour le mettre KO. Mort ? Vivant ? C'était trés embêtant qu'aucun médecin n'aie pu prendre le temps de savoir ce qu'il en était. Parce que ramener cette chose sur la base mettait la Terre en danger. Pourvu qu'il ne se réveille pas! Dans le doute, Mc Kay tenait contre lui le prototype qu'il vait essayé de rebricoler vite fait...Juste au cas où.
Mais heureusement rien ne se passa. O'neill les accueillit chaleureusement et les félicita pour leur bon travail. Ca faisait plaisir. Oui vraiment, c'était bien une fois de temps en temps d'être reconnu. Cela changeait agréablement de l'attitude ingrate militaire habituelle. O'Neill lui permit de jeter un oeil sur les installations qui enfermeraient le Kull. Par "permis", il fallait plutôt comprendre "ordonner". Bref, on ne pouvait pas refuser.
Le général évoqua aussi le nom de Rizzoli. Tiens, Rodney l'avait complétement oubliée celle-là! Ce n'était pas qu'il n'avait pas confiance mais Mc Kay était persuadé que si elle s'occupait seule de ce travail ça ne serait pas fait suffisamment bien. Une fois de plus force était de constater qu'il était indispensable.
- Bien Général. J'y vais de ce pas!
Il partit d'un bon pas en direction de la cellule de leur "invité "non sans demander
- Si on pouvait m'apporter un sandwich !
Les voyages ça lui avait toujours creusé l'estomac.
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| | | John Sheppard---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite 09.09.12 21:32 | |
| La salle d’embarquement était comme à chaque fois remplie de militaires, armes levée, prêt à faire feu sur toute menace qui franchirait la porte, et si l’un d’eux pressé accidentellement la gâchette au moment où l’équipe réapparaissait de l’autre côté du vortex ? C’était bien sur des hommes entrainés, mais Sheppard ne pouvait s’empêcher d’avoir cette petite pensée à chaque fois qu’il passer la porte pour rentrer à la base. Il arriva alors, un regard partagé entre la fierté de ramené un Kull sur Terre et la tristesse d’avoir à porter la civière sur laquelle repose l’un des leurs. Le Général félicita tout le monde juste avant de porter son attention sur Bentley, il envoyait pratiquement tous les jours des hommes par cette porte, avec la peur au ventre de ne jamais les voir revenir, et quand cela se réaliser, personne ne pouvait imaginer à quel point il devait se sentir mal au fond de lui, il n’y était peut-être pour rien, mais il se sentait tout de même responsable. Il ne le montrait pas sur son visage, mais c’était sans nul doute. Cela dit, maintenant qu’ils avaient une arme pour lutter contre les Kulls, et l’un d’eux à étudier afin d’anéantir l’armée d’Anubis, ils pourraient venger la mort de tous ceux qui ont péri à cause des Kulls ou de ce faux dieu.
Sheppard laissa l’équipe médicale se charger de Bentley et fila à l’infirmerie pour y passer les tests de contrôles après chaque retour de mission. Il n’avait pas oublié une chose, et juste après s’être débarrassé de son matériel militaire à l’armurerie, et juste avant d’aller se doucher et manger, il fit un crochet par les quartiers de Spence. Elle ne semblait pas être là, il posa le petit carnet contre le rebord du mur et s’en alla en espérant que personne ne serait assez indiscret pour le lire.
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| Sujet: Re: Intrigue VII : Introduction et suite | |
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