Boba était fatigué, il venait de passer une rude mission. Il était de retour sur Terre depuis à peine une heure et avait déjà quitter la base. En effet, l'accueil reçût par Riedel n'avait pas été des meilleurs et le gradé avait besoin de réfléchir. Il ne pouvait laisser le NID prendre le contrôle du SGC et le Colonel allait tous faire pour sa. Mais quoi ? Il n'avait pas d'idée très précise mais ne doutait pas d'en trouvé une.

Le Colonel aurait bien voulu se rendre à la maison d'O'Neill pour avoir l'avis de son supérieur, mais aussi de son veil ami, mais il ne le pouvait. En effet, depuis l'attaque de la maison de Jack par le NID, celui-ci avait changé d'endroit, sans en parler à personne. Boba se résigna donc pour le moment à rentré chez lui. De là, il pourrait réfléchir au calme et essayer de se renseigner.

Fett habitait dans un endroit reculé de Colorado Springs. Il gara sa voiture devant la porte du garage et en sorti. Il arriva jusque devant la porte et alors qu'il allait sortir ses clés, il remarqua que la porte d'entrée avait été forcé. L'officier sorti alors un 9mm qu'il avait toujours avec lui et pénétra dans sa maison, sur ses gardes. Il fouilla d'abord la cuisine puis arriva dans le salon. La, il vît un homme assit sur son canapé. Cette homme avait un costume et un air de NID. Boba comprit rapidement. Et alors qu'il pointait son arme sur lui, en le questionnant, il reçût un coup dans le dos. Oui, il n'y avait pas qu'un intrus mais deux ! Visiblement, le paquet avait été mis pour éliminé le Colonel, qui se releva rapidement et se lança sur l'homme qui venait de l'agresser, sans perdre son arme. Avec la fatigue, les coups de Fett était moins soutenu, mais restait tous de même très féroce. Alors que la lutte fessait rage, l'homme assit dans le canapé se leva et pointa son arme sur Fett. Celui-ci se débattait mais fût rapidement bloquer. Dans cette position, il était pour lui presque incapable de bouger. Le deuxième homme appuya alors que la détente de son arme et la balle sorti du canon. C'est le moment que choisi Fett pour se débattre comme un sauvage et trouvait une faille. La balle se logea sur l'agresseur du Colonel, qui tomba de suite au sol. Dans ce moment de confusion, Boba en profita pour tiré dans la jambe gauche de dernier de ses agresseurs, qui tomba de douleur. Fett sauta aussitôt sur lui pour prendre son arme. Maintenant, il avait le choix. Questionnait l'homme ou le tuer de suite.


[Une semaine pour répondre. Si tu as des questions, je suis la par MP. ]

Depuis que Riedel avait pris les commandes de la base, je ne m’étais pas attarder là-bas. Une bref passage à l’infirmerie, histoire de confirmer mon bon état de santé, contrairement à d’autres membres de l’équipe, et j’avais filer aux vestiaires. J’avais pris une douche rapidement et j’était remonté à mes quartiers pour me fringuer en civil notamment. De toutes façons, j’avais fini mon service. Jean, t-shirt et basket. Il ne m’en fallait pas plus. Avant de quitter ma piaule, j’en profitais pour garder mon Beretta sur moi. Je n’avais pas l’habitude de me promener avec une arme sur moi, mais à la vue des dernières nouvelles, cela semblait être un plus.

-« A bientôt. »

Avais-je balancé aux gardes de l’entrée de Cheyenne Mountain tout en conduisant ma jeep. Pas mécontent de quitter cette base, même si j’allais devoir y remettre les pieds le lendemain pour un briefing avec les blacks. Durant la route qui me conduisit jusqu'à chez moi, je ne pouvais m’empêcher de lancer de nombreux coups d’œil dans le rétroviseur, essayant d’apercevoir une possible voiture noire au vitres fumées, au risque de me foutre au fossé. Plsu tard, j’arrivais enfin devant ma baraque, généreusement prêtée par le gouvernement. Pour défendre la Terre, on avait le droit à quelques avantages. Je m’approchais pour ouvrir la porte d’entrée et surprise, toute la serrure avait été défoncée avec un pied de biche.

* Cambriolage ou costard-cravate ?*

Curieuse coïncidence, le NID arrivait au SGC et ma porte de maison avait été forcée. Je l’ouvris silencieusement, mon arme à la main et j’entrais dans la maison, faisant attention à ne pas faire de bruit. Personne dans l’entrée, un pas dans la cuisine. Personne, tout était en place, rien n’avait bougé. Un pas dans le salon. Costard-cravate. Pourquoi je n’étais pas plus étonné ?!

-« T’as deux secondes pour sortir de ma baraque, ou ton cerveau s’alourdit de 8 grammes de métal. »

L’homme ne bougea pas et je compris pourquoi lorsque je m’écroulais par terre, avec un sérieux mal de dos. Il avait ramené son petit copain. Une forte poigne me releva, j’assénai un coup de coude dans les côtes. L’homme grogna, je me retournais pour tirer mais il bloqua mon bras. Avec le gauche je lui assénais un coup de poing dans la face. Il jura. Je recommençais mais il bloqua mon bras. Je dus me résoudre à forcer comme un bœuf dans l’espoir de le faire tomber. Dans cette lutte, un coup de feu partit de mon flingue, involontairement. Soudain, il me fit un croche-pied et je perdis l’équilibre. Complètement affalé, je sentais qu’il me relevais pour me bloquer. Je ne pouvais même plus bouger mon bras armé.

-« Merde… »

L’autre gars se leva du canapé et dégaina un flingue. J’allais y passer. De toutes mes forces, j’essayais de faire pivoter le gros sac qui m’entravais. Dans une dernière tentative complètement désespérée, je nous sentis partir à al renverse, entendre un coup de feu et l’étreinte de mon agresseur se desserrer. Sans hésiter, je tirais sur l’autre gusse, dans sa jambe droite, première cible qui se présentait à moi. L’homme était maintenant à terre. J’envoyais valser son arme d’un coup de pied. Un râle s’éleva derrière moi. Mon agresseur ne devait pas être tout à fait mort, détail que je rectifiais en lui tirant tune balle en pleine tête. Je reportais à nouveau mon attention sur l’autre gugus. Plus qu’à le buter. Non, il y avait peut-être des infos à récupérer.

-« Tu vois mon pote, t'as cherché des poux à un des plus grand salopards de cette base. Alors ne joue pas au con et dit moi pourquoi tu voulais me buter ? Une idée à Riedel ? »

Le gars tira une grimace de douleur, essayant de se redresser pour pouvoir mieux respirer. Du sang coulait partout, ma moquette était ruinée. Il me regarda avec instance, un sourire aux lèvres.

-« Pas habilité à te le dire… »

Sans attendre, je lui explosais son genoux gauche. Il cria vivement de douleur. Plutôt normal.

-« Mauvaise réponse. Je te le redis plus clairement, c’est quoi vos projets ? »

Je pointais mon arme sur son entre jambe, j’étais chiche de remonter comme ça jusqu'à sa tête. Ce gars ne savait pas de quoi j’étais capable, j’avais fait bien pire dans ma vie, à des gens qui n’avaient rien demandés.

Le Colonel Fett ne rigolait pas et il irait au bout. On avait attaqué sa base, on l'avait attaqué dans sa propre demeure, il ne pouvait rester sans rien faire. L'agent du NID pouvait croire que le Colonel le torturait par plaisir, mais la était loin d'être la vérité. Mais dans le fond, le militaire avait-il le choix ? Dans une guerre, il y a toujours des pertes et des choses horribles, mais la moindre chose pouvait changer le court des événements.

Alors que le canon du 9mm de Boba visait la parti intime de l'agent, celui-ci ne semblait toujours pas vouloir craché le morceaux. Il faut dire que les agents du NID avait été formé pour les pires situations, comme celle-ci.

«Tu paiera pour ses actes ! Tu n'es pas immortel et lorsque ta mort arrivera, je rigolerais !»

L'agent lâcha un petit rire, mais pourtant, il souffrait. Non, il ne lâcherait rien et Boba l'avait déjà comprit. Il mit donc sa menace à exécution et appuya sur la détente. La balle fût tiré dans l'entre jambe et tous se déchiqueta dans une giclé de sang. L'homme mourant regarda le Colonel et dît :

«Ma mort te hantera.»

L'homme termina sa phrase avant de laisser son corps sans vie. Il avait donné sa vie pour le NID et il en était fier. Le Colonel resta quelques secondes sans bouger, jamais il ne penserait vivre sa chez lui. Il fût ramené à la réalité par un petit bruit. C'était son téléphone portable. Le haut membre du SGC regarda le message qu'il venait de recevoir. Celui-ci indiqué cette seule phrase : «Rendez vous chez moi, dans trente minutes. Jack O'Neill».


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