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  MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.

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Michael Anderson
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MessageSujet: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1009.10.11 18:03

Le voyage se déroula sans incident notable. Brad, pilota le vaisseau sous étroite surveillance de la part des militaires. Comment avait-il appris à piloter un de ces engins ? Il nous répondit que c'était grâce à un vaisseau-école qui proposait un forfait pas cher près de la galaxie d'Andromède. Il avait ri et nous ne pûmes avoir une explication plus crédible.

Je mis à profit ces quelques heures perdues pour prendre un peu de repos. Mes nerfs m’avaient déjà lâché et je ne comptais pas que cela se reproduise. Certaines personnes du groupe semblaient avoir des doutes, d’autres des certitudes concernant la mission, qui s’exprimaient par des remarques ou par un langage corporel particulièrement expressif.

Au bout de quelques heures, la planète terre apparu devant nous, magnifique de par sa dominance bleutée et ses étendues de terres marrons, vertes, sables et ocres. Nous vîmes se rapprocher de plus en plus notre chère Amérique natale. Camouflage activé, le vaisseau atterrit en douceur dans une petite forêt de l’Etat de Virginie.

Nous sortîmes du vaisseau et respirâmes une grande bouffée d’air frai de notre bonne vieille Amérique, qui gonfla mes poumons et m’emplit de bonheur.


- Nous devons nous diviser en deux groupes à partir de maintenant

Le colonel forma les groupes en choisissant Brad, Quaritch et lui-même pour se renseigner sur le kamikaze. Lang, Tracy ainsi que ma modeste personne avions pour ordre de nous occuper de la taupe du SGC. J’étais satisfait, je ne me retrouverais pas avec l’agent du NID. De plus avec le colonel accompagné de Quaritch, Brad aurait fort à faire s’il souhaitait nous gruger.

Sur ce, Williams s’avança dans les épaisses fougères puis commença à retirer de la végétation qui était en train de roussir d’une petite butte, qui s’élevait à hauteur d’épaule. Lorsqu’il eut ôté le branchage, deux voitures apparurent devant nos yeux.


- Vous trouverez dans le coffre des habits civils et des téléphones portables pour rester en contact. N’emportez que le strict minimum. Une arme de poing par personne sera amplement suffisante. Je ne tiens pas particulièrement à ce que nous soyons arrêtés par la police. Messieurs, bon courage à tous. Quoiqu’il arrive dans les prochains jours, nous rentrerons dans l’histoire…

***


Une voiture passa au ralenti dans un quartier de la banlieue résidentielle de Washington. Toutes les maisons étaient strictement identiques. Même façade, même jardin propret, même piscine. Seul les différenciaient leurs numéros indiqués sur des boîtes aux lettres elles-aussi uniformes. La voiture se gara à cheval sur un trottoir, puis trois hommes en sortirent. A quelques maisons de là une vieille femme perspicace verrouilla sa porte d’un tour de clé supplémentaire puis alla se réfugier au premier étage. L’un des nouveaux arrivants avait une mallette et était habillé d’une façon qui pour la vieille dame laissait trahir son métier et la raison de sa présence dans ce quartier huppé. Elle ne souhaitait pas avoir un nouvel aspirateur. Le sien la satisfaisait amplement. Elle savait qu’une fois ces gens de peu de scrupules introduits chez soi il n’y avait qu’une seule façon de les en faire expulser : la force ou l’achat de leur marchandise. Et l’un comme l’autre n’était pas à son ordre du jour.

Mais la vieille femme s’inquiétait pour rien. Les trois hommes n’en avaient pas après son argent. Ils allèrent toquer à une porte, un peu plus loin, dans une rue parallèle, hors de vue de la commère qui s’en trouva fort soulagée.

Une armoire à glace apparu alors sur le seuil et se posta devant les trois hommes, les bras croisés. Une bosse sous sa veste, à sa ceinture, laissait deviner une arme.

L’un des trois arrivés se présenta, donnant la raison de sa présence. Malgré la fraicheur matinale, il avait enlevé sa veste qui pendait entre ses deux mains tendues devant lui.


- Monsieur bonjour, je suis un collègue de votre patron. Est-ce que je peux le voir, je devais lui rapporter des documents.

- Non il est au bureau actuellement.

- Parfait.

Sur ce, il passa ses mains par-dessus la tête de l’homme, pivota derrière lui et d’un coup sec l’attira à l’intérieur de la maison tout en resserrant sa prise. Dans le mouvement, sa veste était tombée au sol, révélant ses mains menottées. Une minute plus tard l’homme glissa, inconscient, sur le carrelage, le cou marqué par les bracelets métalliques. Ses deux compères entrèrent à sa suite et fermèrent la porte derrière eux.

- Ne vous inquiétez pas, il vivra. Il aura juste la trachée un peu douloureuse pendant quelques jours.

Une fois les trois hommes certains d’être seuls, Brad monta au premier étage et entra dans un petit bureau, équipé d’un vieux PC familial. Il ouvrit la mallette que lui passa Narah (celle-ci avait bien entendu était dûment inspectée quelques heures plus tôt par l’équipe SG) et en sortit un petit rectangle grand comme un timbre-poste qu’il inséra dans un port USB.

- On ne peut accéder au NID que par certaines connexions sécurisées. Cette maison en est équipée. Je pirate le serveur du NID. Je vais essayer d’accéder aux informations personnelles de certains gros pontes du NID responsables de cette mission… Cela risque de prendre un certain temps si je ne veux pas me faire repérer… ce qui est le cas.

Les secondes s’égrenèrent lentement. Au bout de 20 minutes où l’on entendait que le cliquetis régulier du clavier et la respiration rapide de Brad, l’ex agent du NID laissa échapper une exclamation.

- Huum, ça c’est intéressant !

Quelques secondes plus tard il expliquait aux deux autres ce qu’il venait de découvrir.

- Un échange de mails codés. Je ne connais pas tous les codes employés par l’agence mais j’en sais assez pour reconnaître une mission d’importance quand j’en vois une. Il y a trois personnes suspectes selon moi. Reste à savoir laquelle nous intéresse concernant notre mission.

Brad, l’œil rivé sur l’écran ne se souciait aucunement des occupations des deux autres militaires dans son dos, trop absorbé par sa tâche capitale. Aussi il sursauta quand Narah prit la parole et annonça qu’ils risquaient d’avoir de la visite d’ici quelques minutes.

- Une minutes, je recherche sur le net à qui appartient ces adresses mails en utilisant un moteur de recherche en recoupant les données par… voila ! J’ai Julio Barbero boucher de son état ; Mathew Presson : informaticien et un photographe d’un journal politique : Allan Molder.

Dans le calme du quartier résidentielle on entendit, presque inaudible, une portière se refermer. La tension monta d’un cran au sein de l’équipe.

- J’ai besoin de deux minutes, le temps d’effacer le disque dur. S’ils apprennent ce que nous faisons ici, ils pourraient décider d’avancer l’opération ou de changer sa nature, cela nous ferait perdre l’avantage.

La porte du rez-de-chaussée s’ouvrit en grinçant, dans la même seconde les mots tant attendus apparurent sur l’écran de l’ordinateur.

- Voila c’est terminé ! Maintenant enlevez-moi ces menottes, filez-moi un flingue et barrons-nous d’ici !


***


L’homme enleva ses lunettes qu’il posa sur son repose-main puis fit tourner son siège d’un demi-tour en soupirant, les yeux fermés. Lorsqu’il les rouvrit, il était face à une pelouse, identique à celles que l'on peut apercevoir en Angleterre : grasse et coupée court. Un hélicoptère, dont les pales tournaient encore y stationnait faisant se mouvoir les parterres de fleurs dont les pétales s’envolaient aux quatre vents. C'est ce que voyait l'homme qui regardait au dehors à travers cette fenêtre à l’épreuve des balles. Il venait tout juste de rentrer, en hélicoptère, de sa dernière conférence de presse à New York. Il profitait du peu de répit qu'il avait pour travailler, en pensant à sa famille qu'il ne voyait quasiment plus depuis ces deux dernières années.

- Monsieur le président, il va falloir y aller, nous allons être en retard !

Le président tourna son regard vers la porte où l'attendait son secrétaire. Il se leva de son fauteuil puis prit la direction de la limousine indestructible qui l'attendait devant la maison blanche, pour le mener à sa conférence de presse spéciale, en l'honneur de cet événement marquant de l’histoire des Etats-Unis…


***


Il y eut un grand fracas de métal, des poubelles éventrées tombèrent en pluie sur le pare-brise puis la voiture calla. Je n’avais pas réussi à éviter ces satanés sacs de détritus en me garant dans l’allée de la vieille maison décrépite.

- Quelle idée aussi de nous filer des boîtes de vitesses manuelles ! Ils ne connaissent pas les boîtes automatiques au NID !

Quelques heures plus tôt nous avions réussi à contacter O’Neill en faisant preuve d’astuce, de ruse et en nous faisant passer pour ce que nous n’étions pas. Intrigué, le général nous demanda où nous nous trouvions. Nous lui expliquâmes longuement la situation et après un moment d’incrédulité nous le convainquîmes de nous aider à débusquer la taupe. Nous lui demandâmes d’abord s’il pouvait nous donner par oral la liste des personnes qui devaient partir en congés dans les prochains jours. Mais avec ce qui s’était passé récemment à la base de Cheyenne Mountain, la liste était interminable. Nous discutâmes longuement des taupes probables au SGC sans aucun succès. Nous recoupâmes des informations qui se révélèrent inutiles. Il nous restait sur les bras presque deux douzaines de suspects. Puis O’Neill nous demanda dix minutes de réflexions. Lorsqu’il reprit la parole ce fut pour nous donner un nom et une adresse sur Washington. Lorsque nous lui demandâmes comment il avait eu connaissance de l’identité de la taupe, il nous souhaita bonne chance et raccrocha.

Et maintenant nous nous trouvions dans la merde jusqu’au… pare-brise.

Nous descendîmes discrètement de la voiture (si tant est que cela ait une quelconque utilité à la suite d’une arrivée digne des plus grandes fanfares du pays) puis nous entrâmes dans la maison grâce aux talents de mes deux compères. Il n'y avait personne.

Nous nous mîmes rapidement à fouiller les lieux. Il n’y avait que deux chambres, une salle de bain, un salon et une cuisine américaine minuscule qui dégageait une odeur de graillon. Tout dans cet appartement sentait la vieille dame et la naphtaline. Je fouillais une des chambres et n’y trouvais strictement rien. Les murs décorés d’un papier peint lavande à motifs floraux se décollaient par endroits et certaines tâches rectangulaires plus foncées laissaient penser qu’un précédent propriétaire avait été moins spartiate concernant la décoration que l’actuel occupant des lieux. Un lit, une table de chevet, un réveil, point final. Heureusement mes deux collègues eurent plus de chance que moi.

Dans leurs recherches Anthony Lang et Murggeo Tracy débusquèrent ce qui semblait être le nom d’un hôtel : The Independent Hotel

Je tendis l’oreille et sursautais, toutes couleurs s’effaçant de mon visage, une sueur froide particulièrement désagréable se formant dans mon dos à la vitesse d’un torrent de montagne débordant par temps de forte pluie.


- Quel jour sommes-nous ? Quel jour sommes nous ?!

Je remuais tout dans le salon, avec des mouvements saccadés, fébriles. Mes deux collègues restaient immobiles me prenant certainement pour un fou à la suite de mon comportement… quelque peu original.

Je trouvais finalement ce que je cherchais : un calendrier, puis calculais rapidement de tête combien d’heures nous avions passées sur la planète puis en vaisseau spatial. Nous étions le 17 septembre. The Independent Hotel…


- Mon dieu, c’est pour aujourd’hui…


[HRP] Anthony Lang et Murggeo Tracy je vous laisse raconter comment vous entrez dans la maison, votre fouille plus ou moins minutieuse, comment vous trouvez le nom de l’hôtel sur un quelconque support et vous pouvez même commenter la découverte de Michael Anderson si vous avez compris de quoi il s’agissait Rolling Eyes.
Nara et Quarich, vous devez vous débarrasser des agents qui envahissent la maison. Il y a six hommes et ils sont armés. Vous devez rejoindre votre voiture garée à quelques rues de là. Vous pouvez si vous le souhaitez faire participer Brad. A vous de voir si vous lui laissez les menottes ou si vous l’armez etc. Je vous demanderais d’éviter de poster deux fois. Postez tout d’un coup dans ce sujet directement.
Vous avez une semaine pour répondre et bien entendu si vous avez la moindre question, je suis là pour y répondre par MP Wink [/HRP]

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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1013.10.11 0:05

L’homme, qui s’appelait ou se faisait appeler Brad William, comme il le dira plus tard, leur annonça qu’il avait un vaisseau qui les attendait sur une autre planète pour rejoindre la Terre. Ils traversèrent donc la porte pour le rejoindre. Anthony fit le chemin aux côtés de Tracy, engageant la conversation pendant que Michael s’entretenait plus ou moins aimablement avec Brad.

« Tracy, je suis désolé que ta première mission ici ne se passe déjà pas comme prévu… Je ne pense pas qu’on aura beaucoup de plantes à découvrir, à moins que l’attentat contre le président ne se fasse avec une plante explosive, ça existe tu penses ? »

Ils arrivèrent rapidement au vaisseau, grimpèrent dedans et partirent pour la Terre. Pendant le voyage, l’ambiance était assez calme. Anthony s’était mis dans un coin, occupé à retourner le problème : cet homme pouvait-il ou avait-il une raison de les mener en bateau. Mais il ne parvenait pas à trouver un intérêt à son geste, hormis le fait de ridiculiser le SGC. Mais cette option présentait pas mal de risques pour peu d’avantages pour lui. Lorsqu’il aperçut la Terre, après quelques heures de voyages, Anthony se prépara et rejoignit la salle de pilotage pour voir l’arrivée. Ils se posèrent ainsi en plein milieu d’une forêt de Virginie. En sortant du vaisseau, Anthony dit à Michael qui descendait en même temps :

« Prendre deux portes des étoiles et faire un voyage interstellaire en vaisseau pour se retrouver ici, plutôt ironique non ? »

Pour mener à bien la mission, Brad leur demanda de se scinder en deux groupes. Cet ordre crispa un peu Anthony qui avait du mal à accepter qu’un mec du NID, leur prisonnier en plus, leur donne des ordres. Mais il se tut, il y’avait d’autres priorités qu’un petit problème d’égo. Narah, choisit donc les groupes et Anthony se retrouva avec Tracy et Michael. Autant sur un plan humain, il se réjouissait de ne pas être avec Brad ou Miles qui étaient quand même assez insupportables alors que ses deux nouveaux coéquipiers étaient très sympas, autant d’un point de vue professionnel il avait un peu plus de doutes. Ils étaient tous deux scientifiques : Tracy en était à sa première mission et n’était pas très à l’aise avec les armes comme elle lui avait dit lorsqu’ils ont déjeuné ensemble et Michael semblait assez, voire très anxieux, il n’y avait qu’à voir son attitude avec l’homme du NID. De plus c’était la première fois au SGC qu’Anthony était responsable de groupe, aussi petit soit-il. Cela faisait quand même deux autres personnes à ramener entières et une mission à remplir et cette fois, il ne pourrait pas s’appuyer sur ses supérieurs. C’était en quelque sorte un défi pour lui, et il ressentait de l’excitation mêlée à un peu de craintes par rapport à ça. En même temps, il fallait bien que ça arrive, sans être particulièrement ambitieux, il n’avait jamais voulu rester soldat 2è classe toute sa vie…
Le colonel nous chargea de retrouver la taupe qui officiait au sein de la base tandis que l’autre groupe tenterait de mettre la main sur l’homme qui devait provoquer l’attentat. Chacun ignorait quand devait se produire l’attentat exactement et de combien de temps ils disposaient pour agir.
Avant qu’ils ne se séparent, Brad les emmena auprès de deux voitures cachées derrière les fougères où ils trouvèrent des habits civils et des téléphones portables. Puis chaque équipe prit une voiture et ils se séparèrent.


« Alors, qui veut conduire ? Michael ? »

Ce dernier semblait heureux de pouvoir se rendre utile et prit les commandes. Anthony monta à ses côtés, laissant Tracy s’assoir derrière. Première priorité, contacter O’Neill pour avoir des infos sur la taupe éventuelle. Pour cela, Anthony demanda à Michael de s’arrêter à la première cabine qu’ils trouveraient. Durant le trajet, il chercha comment contacter O’Neill puis il eut une idée. Lorsqu’ils trouvèrent leur fameuse cabine, Anthony prit les choses en mains.

« Michael tu restes dans la voiture, prêt à repartir, Tracy, tu m’accompagnes à la cabine et tu montes la garde. On est jamais trop prudent avec les projets top-secrets. »

Anthony décrocha le téléphone et composa le numéro du « standard » de la base.

« Allo ? écoutez, je vais bref, je connais ce que l’armée complote dans cette base, le SGC, la porte, les extraterrestres et tout ce qui va avec. Passez-moi celui qui commande, le général O’Neill c’est ça ? »

Anthony avait essayé d’être aussi vague que possible au cas où la communication se faisait intercepter tout en étant suffisamment clair pour le garde prenne l’appel au sérieux et lui passe le général. Après quelques tractations supplémentaires, il obtint gain de cause et raconta vite l’histoire au général, en faisant attention de s’exprimer lorsque c’était nécessaire de manière codée ou métaphorique, toujours par prudence. Une fois informé de la situation, et après réflexions, il leur confia les coordonnées d’une personne pouvant être cette fameuse taupe. L’adresse se situait à Washington, ils s’y rendirent donc aussitôt.
Après avoir roulé assez longtemps ils débarquèrent à grand fracas dans une allée résidentielle où était censé vivre la taupe.


« Bon bah pour l’arrivée discrète c’est raté… On essaye de se rattraper sur le reste ? » lança Anthony à Michael qui venait de rouler sur les ordures. Parvenus en face de la maison souhaitée, ils sortirent et s’en rapprochèrent.

« Ok, la maison a l’air vide. Pendant que j’ouvre la porte, Tracy tu fais le tour et s’il y a une sortie, tu la garde. Si un mec sort tu le neutralises. Tu t’en sens capable ? Soit un bon coup de crosse derrière la tête, un croche pied, une balle dans la jambe, peu importe… Dès que j’ai fait le tour je viens t’ouvrir si c’est désert. »

Alors que la jeune femme , qui semblait peu rassurée, s’exécutait, Anthony entreprit d’ouvrir la porte en trafiquant la serrure. Cela lui prit quelques temps car il était un peu rouillé sur les techniques de crochetage, mais finit par retrouver les réflexes. La porte s’ouvrit dans un grincement, l’intérieur était totalement plongé dans le noir, en dehors de la lumière de la lune qui filtrait par les fenêtres. Anthony sortit son pistolet et fit signe à Michael de faire de même, et de le suivre.
La maison n’était pas très grande, seulement un rez de chaussée et le tour fut vite fait. Anthony alla donc ouvrir la porte de derrière à Tracy pour qu’elle rentre elle aussi.


« C’est vide, il reste donc plus qu’à fouiller tout ça. Au niveau des lumières, on ferme les rideaux, et on allume que les lampes de bureau ou autres, pas les grandes, trop risqué. »

Chacun prit commença donc à chercher le moindre indice sur indiquant un lien avec le NID ou un attentat. La fouille était un peu laborieuse, le désordre étant de mise apparemment. Au bout d’une bonne demi-heure de paperasse sans intérêt soulevée, de vêtement mal odorant écartés précautionneusement, Tracy fit signe qu’elle avait trouvé quelque chose. Il s’agissait du nom d’un hôtel. Anthony se demandait si c’était vraiment important, après tout, tout le monde gardait dans ses affaires des vieux papiers, cartons d’hotels, de restaurant ou autres.
Ce fut Michael qui s’agita alors.


« Quel jour sommes-nous ? Quel jour sommes nous ?!... Mon dieu, c’est pour aujourd’hui… »

Anthony en resta interloqué.

« Hein ? Quoi, pour aujourd’hui ? L’attentat tu veux dire ? 17 septembre… Mais où tu veux en venir ? La date te dit quelque chose Tracy ? »

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Miles Quaritch
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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1015.10.11 16:39

L’équipe retourna a la porte des étoiles mais pas pour le retour mais pour aller sur une autre planète, Brad composa l’adresse d’une planète qui était proche de la terre pour soit disant rejoindre un vaisseau pour aller sur cette bonne vieille terre.

Le vortex apparu et Miles prit les devant, il aimait être le premier surtout si il y avait une surprise de l’autre coté. Il épaula son arme et passa l’horizon des événements prêts à tirer.

Le voyage fut court, il passa de l’autre coté et ne vit rien, Miles se posta quand même, puis les autres arrivèrent a leur tour, pour enfin embarquer dans le fameux vaisseau spatial.

Miles assis sur un fauteuil tout en gardant un œil sur Brad pendant plusieurs heurs pour enfin voir la terre, Miles fut fasciné par le spectacle qui s’offrait a tous l’équipage, Miles se leva même pour s’approcher du poste de pilotage pour admirer la terre.

« Putain, je n’ai pas l’habitude de dire sa, mais c’est magnifique. »

Le vaisseau atterrit puis tous le monde sortit, Miles était contant d’être revenu sur terre, il ne savait pas pourquoi, mais il avait cette sensation quand il mi pied a terre.


Narah donna ces ordres et Miles se retrouva avec lui et Brad toujours menotté. Apparemment Le colon ne voulait pas quitter Miles des yeux, mais ce dernier s’en moqué pertinemment car il ne hésiterait pas a le remettre a sa place. Brad les amenèrent a des voitures qui était sous des fougères et il conseilla de ce changer et de s’armer du strict minimum.

Miles se changea en civil et garda son Colt 45 et ses deux couteaux de combat. Quand tous le monde fut prêt le groupe ou était Miles partirent en voiture vers une banlieue.

A leur arrivée, Brad prit les choses en main alla frapper a une porte, qui fut ouverte par une armoire a glace, Miles resta juste derrière Brad au cas où, prêt à dégainer, une rapide discussion eu lieu pour que Bard saute et neutralise l’homme et le fit entrer dans la maison.

Miles entra en premier arme en main et commença à vérifier s’ils étaient bien seuls, après quelque minute, il annonça que tous était niquel.


« C’est bon, RAS. »

Miles était toujours prudent, prêt a agir. Brad monta et s’installa a un Pc et expliqua qu’il y a plusieurs passerelle pour pouvoir se connecter au réseau du NID et que dans cette maison s’en été bien une.

Pendant une vingtaine de minute Brad pianota sur l’ordinateur en se parlant tous seul, Miles le surveillé et regardait en même temps a la fenêtre pour surveiller dehors.

Puis un grincement de porte alerta tous le monde et Brad demanda de lui enlever les menottes et lui donner une arme.


« Ton cul reste la et c’est nous qui allons nous amuser a flinguer ces mecs. »


Pour une foi Narah et Miles furent en accord sur ce point. Miles sorti son couteau de combat et son 45.

« On fait sa en silence. »

Miles descendu doucement et se planqua derrière un porte de la cuisine, Narah parti autre part.
La porte d’entrée s’ouvrit doucement et trois hommes armés rentrèrent dans la maison. Miles attendait tranquillement couteau en main, puis sa patiente arriva a son terme, il entendu des pats se rapprocher de la cuisine, un agent seul apparemment. Il entra et arme en avant, Miles était juste derrière lui et l(attrapa par la bouche tout en lui plantant le couteau dans la gorge, le sang gicla et éclaboussa les meubles blanc . L’homme mourut vite car Miles tourner sa lame dans le coup, il posa le corps a terre qui avait encore des spammes.
Il continua a progresser avec son 45 et son couteau prêt a tirer, il savait se déplacer silencieusement sans faire un seul bruit, il arriva dans une autre salle ou il y avait les deux autres hommes, Miles se plaqua contre le mur juste a coté de la porte et se prépara à entrer, il mi entre son pantalon et sa ceinture et prit son couteau de survit, puis sans hésiter il entra dans la pièce, l’un des hommes était de dos et l’autre était face a lui. Mile lança son couteau de combat sur l’homme de face qui avait eu a peine le temps de parler pour prévenir son compagnon qu’il reçu le couteau en pleine carotide et s’écroula, dans sa lancé, Miles attrapa le dernier quand il avait fini son demi tour pour tirer, mais il prit le couteau de survie dans le ventre, un filet de sang coula de la bouche de l’homme tout en lâchant son arme a terre, puis regarda Miles dans les yeux. Quaritch tourna la lame puis la remonta, se fut un bruit asse glauque qui se fit entendre dans la pièce, l’homme tomba a genoux en se tenant a la chemise de Miles quand se dernier enleva la lame de son ventre.
Miles poussa l’homme du pied et ces tripes se répondirent dans la pièce puis une énorme marre de sang recouvrer maintenant une bonne parti de la salle. Il récupéra le couteau planté dans la carotide en prenant soin de bien essuies sur un vêtement de l’un des deux cadavres encore pas taché par le sang.
Miles était couvert de sang et devait se changer s’il ne voulait pas se faire passer pour un tueur en série s’il sortait.


(je ferais un autre poste pour répondre a ce que Nara dira comme commentaire a Miles par rapport a la tuerie.)
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Murggeo Tracy
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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1016.10.11 17:17

Le prisonnier leur annonça qu'il y avait un vaisseau qui les attendait sur une autre planète qui leur permettraient de rejoindre la terre. Tracy fit le chemin a côté de Lang, celui-ci engagea la conversation pendant que les autre membre discutait entre eux.

Tracy, je suis désolée que ta première mission ici ne se passe déjà pas comme prévu... Je ne pense pas qu'on aura beaucoup de plante à découvrir, à moins que l'attentat contre le président ne se fasse avec une plante explosive, ça existe tu pense.. ?

Sur la terre, c'est sur que cela n'existe pas... Mais peut être sur une autre planète... Et puis c'est plus.... Marrant si je peux dire ça quand les mission ne se passe jamais comme on l'attend. ça forme d'avantage les personne a l'imprévu...

Ça pour être formé, elle allait l'être. Première mission et cela partait déjà n'importe comment. Elle se demanda une nouvelle fois, pourquoi elle avait accepté cette mission. Elle aurais du y renoncé dès le départ quand elle vit que cette mission ne l'attirait pas vraiment mais la c'était le summum.
Il arrivèrent rapidement au vaisseau après avoir passé deux porte des étoiles. Sans plus de discussion ils grimpèrent dans le vaisseau et partirent vers la terre. Tracy s'assit dans un coin, se remémorant tout ce qu'elle ferais et ne ferais plus a son retour de cette mission. Elle auras largement préféré être dans son bureau en train d'étudié une quelconque plante plutôt qu'être ici. Mais c'était trop tard pour y réfléchir maintenant elle était partie et elle ne pouvait plus faire marche arrière.


Prendre deux portes des étoiles et faire un voyage interstellaire en vaisseau pour se retrouver ici, plutôt ironique non.. ?

Oui assez.... Je me demandais pourquoi j'ai accepté de venir... Alors que je savais d'avance qu'il n'y aurais pas de grande chose a voir pour moi... Mais c'est trop tard pour faire marche arrière...

Brad leur demanda de se séparée en deux groupe. Les deux groupe furent vite former, Tracy se retrouver avec Michael et Lang. Au moins, elle serais avec quelqu'un qu'elle connaitrait et pas seule avec monsieur muscle. Bien que Michael ne soit pas totalement tranquille.
Le colonel nous chargea de trouver la taupe dans notre organisassions. Il ignorais tous quand et où cela devait se produire, mais il devait le découvrir si il voulait éviter le pire. Avant de séparé, Brad les emmenèrent a un endroit ou deux voiture les attendaient. Ils se changèrent et se mirent en route.

Alors qui veux conduire.. ?

Je passe mon tour...

Tracy n'était non seulement pas d'humeur a conduire, mais en plus elle ne possédait pas le papier rose qui lui permettait de le faire. pour conduire en pleine savane, cela allait elle ne risquait pas de tomber sur un contrôle de papier. Mais la c'était différent. Elle se rappela qu'il serais peut être temps qu'elle se décide à le passer un jour.
Ce fut Michael qui prit le volant. Tracy s'installa a l'arrière de la voiture toujours plongé dans ses pensée a la recherche de quelque chose qui clochait dans cette histoire. Lang demanda a Michael se s'arrêter a la première station qu'il trouverait. Une fois la fameuse cabine trouvez, lang sortit de la voiture.

Michael tu reste dans la voiture, prêt à repartir. Tracy, tu m'accompagne à la cabine et tu monte la garde. On est jamais assez prudent avec les projet top-secret.


Tracy suivit lang jusqu’à la cabine et s'appuya contre celle-ci pour surveiller. Elle ne prêta pas la moindre attention a ce que celui-ci racontait et se contentait de regarder autour d'elle pour voir si quelqu'un les observait. mais rien.
Une fois, le coup de téléphone passer, ils remontèrent dans la voiture pour se rendre a Washington. Après plusieurs heure de voiture, Michael, essaya de se garer discrètement malgré qu'il est renversé une poubelle.


Bon ben pour l'arrivée discrète c'est raté.... On essai de se rattraper sur le reste...

Il sortirent de la voiture et s'approchèrent de la maison. Lang ordonna de passé derrière la maison et d'attendre qu'il la cherche. Si quelqu'un tentait de sortir, elle devait l’arrêter par n'importe quel moyen. Il lui cita d'ailleurs plusieurs solution pour l’arrêter. Pendant son tour de maison, elle réfléchissais a la manière la plus silencieuse et la moins risqué pour elle.
Par chance, la maison semblait vide car Lang vint la chercher très rapidement. Il l'invita a rentrer et donna ses consignes.


C'est vide, il reste donc plus qu'à fouiller tout ça. Au niveau des lumières, on ferme les rideaux; et on allume que les lampes de bureau ou autres, pas les grandes, trop risqué.

Je commença a fouillé après avoir allumé une lampe de chevet. Cette maison ne pouvait qu'appartenir a un homme vu le bordel qu'il avait laissé. Elle soulevait les vêtement les un après les autre en essayant d'oublier l'odeur que dégageait cette maison. Certain était vraiment allergique au ménage quand on voyait cette maison.
Après avoir souleva un ixièmes vêtement, elle trouva un petit bout de papier avec un nom d'hôtel dessus. Elle fit signe aux autres de s'approcher. Lang trouva cela normal, selon lui, on avait tous une carte d'un hôtel ou d'un restaurant. Mais Michael devait être d'un autre avis car il commença a fouiller comme un dingue la maison.


Quel jour sommes-nous ? Quel jour sommes-nous.. ?!... Mon dieu, c'est pour aujourd'hui....

Tracy resta sans bougea assommé par la nouvelle.

Hein.. ? Quoi, pour aujourd'hui ? L'attentat tu veux dire ? 17 septembre... Mais où veux tu en venir.. ? La date te dit quelque chose Tracy.. ?


Non rien du tout...
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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1016.10.11 23:20

Nous avions abandonnés notre voiture à l’entrée de Philadelphie. Cela me peinait, je venais tout juste de m’habituer aux boîtes de vitesse manuelles. Cependant cela semblait une bonne idée car la moitié du centre ville avait été fermée à la circulation et l’autre moitié avait été prise d’assaut par les véhicules de divers curieux. Pour rejoindre l’hôtel nous serions désormais de vulgaires piétons. Après une petite discussion, nous avions décidé que nous ne pouvions pas décemment apporter d’armes avec nous, le centre ville grouillant de policiers. Alors que nous marchions le long des trottoirs bondés, évitant la maladresse du badaud moyens, j’avisais à une centaine de mètres devant nous, les néons de l’enseigne d’un immeuble de dix étages qui clignotaient, faisant découvrir au citadin lambda le nom d’un endroit où il pourrait prendre un repos bien mérité.

« The Independent Hotel ».

Quelques heures plus tôt nous avions prévenus Brad, Narah et Quaritch concernant la date et le lieu de l’attentat. Les trois hommes qui apparemment avaient eu fort à faire pour récupérer les informations voulues restèrent un moment silencieux, visiblement choqués.
Pas peu fière de ma découverte je leur expliquais en détail ma réflexion pour leur prouver la véracité de mes dires. Lorsque Anthony Lang et Murggeo Tracy avaient découvert le nom d’un hôtel : « The Independent Hotel », j’avais tout de suite pensé à l’indépendance de notre très chère nation. Quel rapport avec le 17 septembre ? « The independent » m’avait fait réfléchir aux actes fondateurs de notre nation, à notre indépendance le 4 juillet 1776. De fils en aiguilles je pensais à un autre acte fondateur… la constitution des Etats-Unis acceptée le 17 septembre 1787 par une convention réunie à Philadelphie. Nous étions donc remontés en voiture et après avoir désincarcéré notre unique moyen de locomotion des poubelles du quartier, j’avais mis cap vers un cybercafé que j’avais repéré à l’aller à quelques kilomètres de là. Il ne me fallut que cinq minutes pour vérifier ma théorie. Le président allait effectivement commémorer l’acceptation de notre constitution à Philadelphie le jour même et il y avait bien un « the Independant Hotel » non loin de l’endroit où le grand homme tiendrait sa conférence.

Lorsque j’eus terminé mon monologue, Narah distribua ses ordres. Il était convenu que Anthony, Tracy et moi-même nous occuperions de neutraliser la taupe du SGC tandis que le groupe du colonel devrait mettre hors d’état de nuire le kamikaze lorsqu’ils auraient eu confirmation par téléphone du succès de notre groupe.

Les choses sérieuses allaient commencer.

Nous nous avançâmes vers le porche de l’hôtel où deux policiers avaient remplacés le portier habituel. Après une fouille minutieuse et un contrôle de nos pièces d’identités nous fûmes autorisés à rentrer.
Tracy s’occupa alors de récupérer le numéro de chambre de la taupe en quelques minutes en discutant avec les agents d’accueil de l’hôtel. La manière dont elle s’y prit nous laissa, Anthony et moi, comme deux ronds de flan. C’était peu conventionnel, mais efficace.

Arrivés à l’étage où logeait la taupe nous nous étions déjà mis d’accord sur la marche à suivre. Anthony Lang, seul militaire du groupe s’était occupé de trouver une stratégie pour neutraliser l’homme sans qu’il ait le temps de déclencher la bombe. Dehors le brouhaha cessa peu à peu… en effet nous ne pouvions l’observer pour le moment mais les gardes du corps du président étaient en train de s’installer à la tribune, fait qui augurait de l’arrivée prochaine du chef de la nation… La taupe elle, n’en manquait pas une miette, postée devant la fenêtre de sa chambre.

Quelques minutes plus tard, j’envoyais un texto…



***


- Ne me lâchez pas d’une semelle tous les deux, avec cette foule on risquerait de se perdre. Je ne pensais pas à avoir à vous le dire, d’habitude vous me collez aux miches comme une MST.

Les trois hommes avançaient difficilement à travers la foule compacte et bruyante, malgré l’air peu amène de Quaritch qui en faisait s’écarter plus d’un. Ils avaient dû laisser leurs armes à la voiture et retirer les menottes des poignets de Brad car ils s’étaient doutés de ce qui se passerait s’ils cherchaient à se rapprocher au plus près de l’estrade du président : une fouille en bonne et due forme. Cela n’avait pas manqué. Les milliers de personnes réunis sur la place avaient été examinés de la tête aux pieds et des barrières en métal accompagnés d’un cordon de policier assuraient la protection du périmètre.

Mais Brad avait la situation en main et il se faufilait à travers la foule entrainant les deux autres hommes derrière lui. On aurait dit qu’il avait fait ça toute sa vie.


- Pardon… Excusez-moi… ma fille, elle s’est perdue dans la foule… excusez-moi… pardon… c’est ma femme elle va avoir un bébé… excusez-moi… je cherche mon portefeuille, vous ne l’auriez pas aperçu ? …

Et ainsi de suite.

Les trois hommes essayaient de se rapprocher un maximum des journalistes amassés devant l’estrade où le président tiendrait son discours. En effet ils avaient supprimés de la liste le boucher (ils ne recherchaient pas Dexter) et l’informaticien (il ne s’agissait pas d’un piratage informatique du Pentagone) et avaient opté pour le journaliste politique. Il ne restait plus qu’à le trouver. Alors que les gardes du corps du président arrivaient sur l’estrade, l’agitation de la foule commença à retomber ce qui facilita l’avancée des trois hommes.

Brad, étant arrivé contre la barrière de sécurité qui les séparait des journalistes, jeta un coup d’œil à la trentaine d’interviewers, photographes, caméramans et preneurs de son, puis se retourna vers Narah, agacé.


- C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin… On ne sait même pas à quoi il ressemble ce type… Tiens, au fait colonel moutarde, où est passé Demolition Man ?

En effet, Quaritch avait disparu, probablement absorbé par cette foule à l’appétit insatiable. Le portable de Brad vibra. Il le sorti de sa poche et vérifia ses messages.

« Bébé couché, bonne chance avec le papa. Michael. »

- Cet homme a vu trop de mauvais films d’espionnage. C’est à nous de jouer maintenant.

Ce fut alors que Quaritch réapparu comme par enchantement. Et avec lui, une bonne nouvelle : il avait trouvé l’homme parmi la meute de journalistes. Menchu Narrah fit part alors de son plan d’attaque et les trois hommes passèrent à l’action au moment même ou un tonnerre d’applaudissement retentissait. Le président venait d’entrer sur scène…



***


Le président était en retard, mais il s'en moquait comme de sa première chemise. Ce n'était aucunement de sa faute, la circulation avait été dense, à cause de la foule qui s'amassait pour cette conférence de presse. Heureusement son secrétaire respirait la compétence. Comment aurait-il bien pu faire sans lui ?

- Monsieur le président, nous avons beaucoup de retard. Passez au maquillage pendant que vos gardes du corps prennent place sur la tribune.

Pendant qu'il se faisait badigeonner de fond de teint, il révisa son discours. Il avait beaucoup de chance d'être présent ce soir. Il allait une fois de plus pouvoir rendre hommage à l’histoire de sa nation.

Il entra enfin sur scène sous les hourras de la large foule rassemblée. Des photos fusaient de part et d'autre, faisant scintiller la tribune sur laquelle il se tenait. Il resta un moment les mains levées pendant qu'on l'acclamait. Il était très populaire et il aimait ça. Après quelques secondes de brouhaha, il put débuter son discours.


- Nous sommes réunis ce soir pour rendre hommage aux hommes qui ont rendus possible…

Alors qu'il parlait, un photographe s'écroula, sans connaissance. Il y eut du remue-ménage parmi les journalistes et les forces de sécurité, mais le président ne s'interrompit pas pour autant. Les gardes du corps du président, aux aguets et ne voyant pas de raisons de s’inquiéter firent signe au chef d’état que tout allait bien.

De toute façon, personne ne pourrait l'empêcher de finir son discours.

Lorsqu'il eut terminé, il fut copieusement acclamé. Son intervention avait été forte, émouvante et juste. Il était curieux de savoir ce que pourrait bien trouver le parti adverse pour discréditer ce discours. Mais une chose était certaine : ils trouveraient. La mauvaise foi est à la politique ce que la morale est à la religion : indissociable. Il sortit telle une rock star sous les applaudissements. Il crut même apercevoir une petite culotte en dentelle voler dans sa direction. Son secrétaire fut le premier à le féliciter.


- Bravo monsieur le président, beau discours.

- Merci, mais je ne pouvais pas être mauvais ce soir avec un sujet comme celui là. Qu'en est-il du photographe qui s'est évanouit ?

- Il a été accompagné à l'hôpital monsieur. Apparemment quelqu’un en a profité pour lui voler son appareil photo.

- Si ce n'est pas malheureux ! Envoyez-lui un mot pour lui souhaiter bon rétablissement.



***


- Où est Brad ?

Notre équipe entière s’était réunie dans un bouge mal famé de Philadelphie qui servait des pizzas pâtes extrafines… ce dernier adjectif s’associant aussi parfaitement à la garniture. Mais c’était le seul endroit de la ville qui n’avait pas été squatté par le vaste auditoire du président. De plus nous avions deux heures à perdre avant de prendre notre avion pour Colorado Springs.

Narah et Quarich me répondirent que l’ex agent du NID avait disparu dans la foule avec l’appareil photographique qu'ils soupçonnaient abriter la bombe, après la mission effectuée.

Il n’y eut pas d’autres commentaires à son sujet. Nous savions tous ce qu’il avait fait à Cheyenne Mountain, mais il s’était largement racheté à nos yeux en sauvant le président des Etats-Unis d’Amérique d’une mort certaine.


- Je pense que la branche véreuse du NID à la suite de cette défaite va nous laisser tranquille un bon moment. Ils vont être très occupés à couvrir leurs traces. J’ai confiance en Dablord pour remettre de l’ordre dans l’agence… ou en tous cas pour tourner le dos à cette branche pourrie.

Un silence sceptique s’installa. Tout le monde ne semblait pas aussi optimiste que moi.

- Messieurs je lève mon verre à notre président. Que son mandat soit long… tant qu’il soutient notre programme bien entendu…

Nous rîmes à ma boutade et la soirée se termina dans la bonne humeur et dans la satisfaction du travail bien fait.


***


Pendant ce temps, près d’une petite forêt de Virginie, une voiture explosait, faisant s’illuminer les arbres alentours qui prirent une teinte automnale, alors que les premières étoiles apparaissaient dans le ciel rehaussant l'éclat de ce merveilleux spectacles. L’impression dégagée était digne des œuvres des meilleurs impressionnistes de l’histoire. Le propriétaire, jouissait du spectacle aux commandes de son vaisseau. L’homme apprécia la mise en scène subtile de son décès puis s’envola vers d’autres cieux…




FIN





[HRP] Narah et Quarich il faut que vous trouviez une solution pour neutraliser le photographe et lui prendre son appareil photo sans attirer trop l’attention sur vous et sans arme. Une fois de plus vous pouvez vous servir de Brad.

Tracy et Lang à vous de voir comment neutraliser la taupe sans qu’il déclenche la bombe à distance.

Les deux équipes, n’hésitez pas à vous envoyer des MP entre vous pour discuter de vos différentes tactiques.

Narah, tu peux rattraper ton post si tu le souhaites Wink

Vous avez une semaine pour répondre à ce dernier post. Bon courage à tous et n’hésitez pas à me contacter par MP si vous avez des questions. [/HRP]
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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1021.10.11 22:33

Lorsque Michael expliqua pourquoi il pensait que l’attentat était pour aujourd’hui, Anthony se frappa la tête de la paume de la main. 17 septembre, indépendance, Philadelphie, les termes se remirent en place dans son esprit comme les pièces d’un puzzle. Comment avait-il pu ne pas capter ça ? Il avait quand même fait des études sur les relations internationales et avait eu sa dose d’histoire pendant ces années-là. En tout cas, ce Michael avait beau être un scientifique, ces connaissances ne se limitaient pas à E=MC2, d’autres formules complètement hermétiques et résoudre un rubixcube en une minute ! Anthony se réjouit intérieurement de l’avoir dans leur équipe, il leur a épargné un temps précieux dans la résolution de cette affaire.

« Bravo Michael, belle deduction. Effectivement c’est trop beau pour n’être qu’une coïncidence. On fonce là-bas. Tracy, passe un coup de fil à l’autre groupe pour leur dire ce qu’on vient de découvrir. On en profitera pour savoir où ils en sont. »

Lorsqu’ils arrivèrent à Philadelphie, ils s’aperçurent vite qu’ils pourraient difficilement progresser en voiture dans la ville. Points de contrôle, barrage routier, barrières. C’était un vrai parcours du combattant. C’est pour ça qu’ils préférèrent laisser la voiture un peu en dehors du centre-ville. Ils trouvèrent un petit parking tranquille à une distance raisonnable du centre, une bonne demi-heure de marche. En quittant la maison de la taupe, Tracy avait tout d’abord raconté leur découverte et la manière dont Michael avait fait le lien entre l’hôtel et l’attentat avant de passer le téléphone à Anthony. Narah voulait lui parler pour convenir de la marche à suivre. Ils avaient convenu que chacun continuerait sur la même piste qu’actuellement. Le groupe du colonel irait intercepter le poseur de bombe au cœur de la foule pour l’allocution présidentielle tandis que qu’Anthony et ses coéquipiers iraient neutraliser discrètement la taupe à l’hôtel. Anthony fit un dernier point avant qu’ils ne laissent la voiture.

« Bien, pas besoin de vous rappeler l’importance de la mission je pense. Et si vous vous posez la question de la récompense, je pense que le président pourra vous faire sauter deux ou trois PV et peut être même vous envoyer une photo dédicacée… Vous avez bien compris aussi qu’on était là incognito, donc on reste discret et on va laisser les armes et tout ce qui peut nous faire repérer dans le coffre. Avec tous ces flics et contrôles, on est quasi sûr de se faire choper, sinon. Pour le plan, on avisera en temps voulu… Si quelqu’un à une idée maintenant ou en cours de route, n’hésitez pas. Et maintenant, go ! »

Ils marchèrent ainsi quelques temps dans la ville. Anthony la connaissait un peu, il y était déjà venu en vacances quand il était plus jeune. Il lui semblait même que son premier amour avait été une fille de Philadelphie rencontrée à cette occasion. Elle s’appelait Sandra si sa mémoire ne lui faisait pas défaut. Pendant leur excursion, il retrouva donc certains points de repères : tel parc, tel bâtiment… A un moment, Tracy demanda à un passant s’il connaissait l’ « Indépendant Hotel ». Apparement assez pressé, il leur donna malgré tout quelques indications et effectivement, cinq minutes plus tard, ils se retrouvèrent nez à nez avec le bâtiment.
Situé dans une rue fréquentée, l’hôtel avait assez fier allure si on exceptait cet horrible néon rouge et vert qui clignotait lentement au-dessus de la porte. Juste en dessous, deux policiers filtraient les entrées. Il était temps de passer aux choses sérieuses…


« Bon bah nous y sommes. Donc on reste calme, pour le contrôle y aucune raison de s’inquiéter, on a pas d’armes, rien de louche sur nous. Une fois à l’intérieur, Tracy tu peux aller chercher le numéro de la chambre de René ? » Devant l’air interrogateur de ces équipiers, Anthony rougit un peu « René… Vous voyez pas ?? René la taupe… Euh… passons, vous éviterez de mentionner ce léger bide lors du débriefing, hein ? Pour en revenir à nos affaire, Tracy, je te laisse trouver une manière discrète et délicate d’avoir cette info. La suite plus tard. Bonne chance à nous ! »

La fouille se passe sans problème, Anthony montra sa carte d’identité, eu une rapide fouille du manteau et du pantalon puis, les deux flics le laissèrent entrer. Idem pour Michael et Tracy. Une fois à l’intérieur, les deux garçons laissèrent faire Tracy, restant un peu en retrait. Au vu de la méthode qu’elle employa pour avoir le numéro de la chambre, et qui fut plutôt efficace, les deux hommes échangèrent un regard étonné et admiratif.
Chambre 612. Ils prirent donc l’ascenseur jusqu’au 6è. Durant le trajet, ils firent la mise au point du plan en prenant évidement garde à ne pas parler trop fort…


« Quelqu’un à une idée ? Vu que je suis avec des scientifiques je vais résonner de manière rationnelle et scientifique. Deux étapes, on entre et on le neutralise. Le meilleur moyen d’entrer, à l’hotel, je pense que c’est le room service. Tracy, si tu veux bien nous faire le service d’étage. Si c’est une femme, il sera moins suspicieux. Dis-lui que le champagne qu’il avait commandé est arrivé, que quelqu’un le demande à la réception ou toute autre idée qui te vient à l’esprit. Deuxième étape, le neutraliser, ça vous me laisser faire. Vous vous contenterez de vite refermer la porte dès que nous serons rentré dans la chambre pour ne pas ameuter tout l’hôtel »

L’équipe alla se positionner derrière la porte. Le couloir était désert, heureusement pour eux. Anthony fit signe à Michael de se plaquer contre le mur et fit de même de l’autre côté de la porte. Tracy se retrouvait seule face à la porte et toqua…
Elle sut là aussi être convaincante puisque la taupe finit assez rapidement par ouvrir légèrement la porte. La rapidité était la clef de la réussite de la mission, ils n’avaient pas le droit à l’erreur. Aussitôt qu’Anthony entendit le bruit de la porte qui s’ouvrait, il fonça dedans, finissant de l’ouvrir complètement, ce qui eut pour effet de faire perdre l’équilibre à l’homme. Anthony s’engouffra dans la chambre sauta sur l’homme et après un ou deux coups évités ou donnés, il lui fit perdre conscience quelques temps grâce à une technique des forces spéciales. Se retournant, il vit Tracy et Michael qui se tenaient dans la chambre avec l’air « qu’est ce qu ‘on doit faire ».


« Tracy, regarde si tu trouves de la corde ou de chiffons pour l’attacher et le baillonner avant qu’il ne se réveille. Michael, prévient les autres qu’ils ont la voie libre. »


Quelques minutes plus tard, ils reçurent un texto de l’équipe de Narah qu’ils avaient eux aussi fait leuer part de la mission. Le président était sauvé et le NID encore une fois défait. Michael proposa d’aller fêter ça en mangeant quelque part en ville. Ils se retrouvèrent ainsi tous , hormis Brad qui s’était éclipsé dans la foule, dans une pizzéria pour évacuer la tension des dernières heures.


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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new1022.10.11 17:37

Apres avoir fait un carnage dans la petite maison de banlieue, Miles avait trouvé des vêtements pour se changer et avant de prendre la voiture, il se passa un petit coup d’eau pour enlever les dernières traces de sang qu’il avait sur son visage et ces mains.

Le petit groupe eu le message d’Anderson qui avait dit que l’attenta serait pour aujourd’hui.
Miles sentait que la journée était pas prêt a ce terminer et ce sentait comme dans un épisode de 24heure chronos.

Ils reprirent la voiture en direction Philadelphie, la ou le président devait faire un beau discourt devant des millier de personne.

En arrivant a Philadelphie, Miles du déposer ces armes dans la voiture, il n’aimait pas sa, mais cela ne l’empêcherais pas de se servir de ces main qui était aussi très dangereuse, Brad fut libéré de ces menottes, Miles le regarda avec un sourire sadique dans Brad se massé les poignés.


« Alors, on a mal à ces petit poignés. »


Puis ils partirent s’engouffrer dans la foules qui grouillé dans la ville pour pouvoir se glisser jusqu’au podium.

Miles marchait d’un air décidé et d’un regard qui voulait dire *Si tu te pousse pas, je t’écrase et fait pas chier*, et cela marchait mais plus la foule fut dense plus cela devenait difficile de progresser.
Puis avant d’arriver à proximité du podium, Miles entendu une voie familière.


« Colonel, Colonel Quaritch !! »

Miles se retourna et reconnu un de ces ancien officier, un Capitaine Béret vert qu’il avait formé et fait plusieurs mission ensemble.

« Oh putain Cohnor, quesque tu fais ici ? »

Les deux hommes se serrèrent la main.

« Je suis maintenant de la garde rapproché du président et toi quesque tu deviens depuis que tu es parti, ta nouvelle affectation te plait ? »


Miles essayait de regarder vers le podium pour trouver un indice pour déceler le Kamikaze.

« Et bien je suis venu acclamer notre président, mais j’ai du mal à approcher, tu le sais bien j’aime être devant. »

« Si tu veux je peux te faire passer le cordon de sécurité tu seras avec les journalistes. Tien vien suis moi, prend se badge. »

L’homme l’invita pour passer de l’autre coté du cordon de sécurité. Cohnor l’amena avec les journalistes, Miles regardait partout et ce fut au moment ou il posa par hasard les yeux sur un journaliste qu’il vu un photographe qui changer sa pellicule et ce fut cela qui l’interpela car de nos jour tous bon photographe a un appareil numérique, il observa et vit que l’homme en question ne mettais pas une autre pellicule mais un petit objet rectangulaire, surement du C4 ou CINTEX.

« Attend, je vais prévenir mes amis que je passe de l’autre coté, je reviens, je les vois la. »

Miles retrouva Narah et Brad et leur dit qu’il avait identifié l’homme et qu’il avait un passe pour aller avec les journaliste grâce a une bonne connaissance qu’il avait eu la chance de croiser dans la foule.

Narah donna ces ordres et la mission de Miles était de s’occuper du photographe et de prendre son appareil et le donner a Narah.
Miles reparti voir son ami qui l’attendait devant l’entré de la zone des journalistes et la foule commençais à applaudir et a crier.


« Cohnor, faut que je t’avoue, je suis en mission secrète en ce moment, un photographe, enfin un espion a un appareil photo que je dois récupérer, alors il me faut ton aide pour faire diversion quand je vais le neutraliser, invente n’importe quoi un malaise ou un truc de ce genre. »

« Miles si tu me dis que c’est un espion, je te crois, je t’ai toujours fait confiance, va y on fait comme en Corée, tu bourre je te couvre. »

Miles commença à s’approcher du fameux kamikaze pendant que Cohnor le suivait de prêt, la folle explosé dans des applaudissements. Il passa devant le photographe et lui mi un rapide coup de coude dans le sphincter qui coupa net la respiration de ce dernier et pour couronner le tous Miles lui chopa les couilles et les compressa pour forcer l’homme a tomber a terre, il arracha l’appareil photo et mi l’homme a terre, puis Cohnor entra en jeu et venu pour faire dégager le photographe en faisant passer cela pour un malaise.
Miles quitta les lieux en donna l’appareil à Narah qui était de l’autre coté du cordon de sécurité, puis il sorti pour s’évanouir dans la folle en furie, pendant que le président continuer son discourt.

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MessageSujet: Re: MJ test by Michael Anderson : Haute trahison.     MJ test by Michael Anderson : Haute trahison. No_new10

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