Toutes histoire a son commencement et aujourd’hui, une nouvelle page allait s'ouvrir pour Harold. Tout c'était enchaîné plus ou moins rapidement depuis la réception de son mail. Très étrange, attirant par ça simplicité et excitant de par son envoyeur. L'USAF ne possédant que peu de postes dit civil, surtout en Archéologie. Si bien qu'Harold n'avait pas tergiverser pendant des heures pour envoyer ça réponse et ce rendre à la convocation.

Bêtement lors de son entretient, il avait salué l’adjudant qui le recevait, vieux réflexes des ces années de services. Bien qu'il eut crus ne jamais avoir à le refaire... Le militaire quand à lui, non sans un sourire en coin lui indiqua de s’asseoir après lui avoir rendus son salut, par politesse sans doute. L'entrevu se déroula en deux temps, une première période fort agréable qui consistait en un monticule de paperasse à remplir. Et la seconde, une discutions ouverte sans nul but apparent que celui d'échanger sur l'actualité de l'archéologie. L'adjudant, un certain Andy dont Harplayer avait mangé le nom, connaissait son sujet. Entre la place de l'archéologie dans l'armée et les récent événements d'Irak où encore la communauté internationale des archéologues pleuraient la disparition de nombreuses collections des musées. Mais étrangement, la discutions pris une tournure moins fréquentes. Les thèmes furent plus orientés autours de récentes hypothèses demandant au jeune homme ce qu'il pensait de l'évolution global des religions sur terre durant les premières phases historiques. De l'apparition de l'écriture et nombres d'autre petits sujets qui pris de façons disparates n'impliquaient rien mais tous réunis dans une seul discutions, Harold n'était pas passé par quatre chemins. Directement il avait demandé qu'elles récentes découverte permettent aux militaires d'avancer un adjuvant extérieur dans le développement historique de l'homme ? Après tout il s'agissait bien de cela. La zone 51 appartenait a l'USAF et tout les allumés d'extraterrestres de la terre la pointait comme un endroit « sensible ».

Pour ça il n'avait pas été déçus ! Contrat signé avec une liste de clause de confidentialité longue comme son bras voir même plus et transporté presque immédiatement dans la si mystérieuse zone 51. Sur place on le vissa presque sur un fauteuil face à une télévision ou fut lancé un reportage. Ce qu'il en apprit lui coupa le souffle et il le revisionna deux fois pour être sur de tout bien comprendre. Les données transmise en si peu de temps avec la nature totalement artificiel du support vidéo l'avait bluffé. Durant les trois jours suivant, il eut droit à une visite des laboratoire de la base où quelques collègues prirent le temps de lui expliquer la situation plus calmement. Il sentit bien de temps à autre une pointe de jalousie dans leurs voix quand il expliqua que son affectation serait le SGC et non la zone 51. Mais qu'importe leurs réactions, lui ce retrouvait tel un gosse, redécouvrant un monde plein d'opportunités.

Après ces quelques jours très théorique un sergent vint le chercher pour le conduire sur base d'affectation. Il pris donc son équipement du parfait archéologue, à savoir son netbook, un carnet de croquis, sa plume de plomb, son GPS, son canif et une gourde porte bonheur. Il enfonça son chapeau sur la tête et suivi le sergent. Le militaire le mena sur une des nombreuses pistes de vol de la zone et tout deux montèrent dans un avion de ligne. Une fois a l'intérieur il lui fut fournis un bardas basique du parfait Boy's, bien que le holster présentait quelques particularités qui lui était inconnus. Le temps du vol il eut le loisir d'enfiler son uniforme et de ce restaurer tout en suivant le briefing du sergent. On lui expliqua qu'il ce rendait au camps d’entraînement du SGC pour ce familiariser avec son nouvelle environnement et qu'il ne fallait pas s'inquiéter huit personnes sur dix en sortaient vivantes. Harold espérait que le sergent voulait juste faire une blague pour les bleus...

A atterrissage, un Humer noir banalisé autant que pouvais l'être ces monstres l'attendait. Le sergent lui fit signe d'entré a l'intérieur en lui faisant une petite tape sur l'épaule tout en murmurant un « Ravi de vous avoir connue monsieur, j’espère vous revoir entier. » Harold Déglutit non sans mal, finalement était ce une bonne idée que de travailler avec l'armée ? Le goût de l'aventure, c'était encore de son age ? Et signer un nouveau contrat militaire après tant d'années enfermer dans ses recherches a parcourir les chantiers de fouilles... Le Humer ne lui laissa pas le temps de réfléchir, a peine embarqué il démarra en trombe laissant sûrement de la gomme au sol. Le pauvre bougre d’archéologue s’agrippa comme il le pouvais repensant au mur des disparus qu'il avait pus voir dans la zone 51. Il y avait tant de photographies... Y aurait il la sienne un jours accompagné d'une brève épitaphe ? Une vingtaine de minutes plus tard le véhicule s’arrêta et il pus descendre, le soleil de l’après midi l'éblouit un peu, il ne bénéficiait plus de la protection des vitre pare-balles fumé du Humer. Le temps d'acclimaté ça vision il pus voir une grande façade de type hangar qui lui faisait face avec une silhouette qui attendait. Un garde ? Son instructeur ? Il n'en savait rien et décida de s'avancer en faisant un signe de la main tout en l’interpellant.

« Heu excusez moi madame ou monsieur ? Je viens d'arrivé et je cherche quelques renseignement, je doit suivre un entraînement ou je ne sais quoi. »

Il fit passer son sac sur le coté pour récupérer une paire de lunettes de soleil qu'il passa rapidement sur ces yeux. Son fidèle chapeau n'était pas du goût du sergent qui lui avait remis sont uniforme et avec le soleil il le regrettait encore plus. Il espérait par la suite pouvoir l'utilisé durant ces missions.

« Mon nom est Harplayer, Harold Harplayer, Matricule 79634HH462... »

Le sergent observa Harplayer de la tête aux pieds. Il en avait vu des biffins et des civils passer par ce camp, mais c’était la première fois qu’il voyait un mix des deux. Uniforme militaire combiné avec le chapeau d’Indiana Jones, quel blasphème ! Il fit patienter la recrue un instant, le temps de passer un coup de fil à partir du poste de garde qui se trouvait non loin de là. Il revint 5 bonnes minutes plus tard le sourire aux lèvres. Il se planta devant harplayer pour lui indiquer le chemin à suivre.

-« Votre instructeur sera la colonel Fett. Il se trouve au bureau des formateurs, le bâtiment qui se situe a l’est de la cour de rassemblement. Bonne chance. »

Fit-il avec un clin d’œil. Harplayer s’en alla suivant les indications que lui avait indiqué le sergent. Peu de temps après, il arriva au bâtiment proprement dit. Il se trouvait juste entre les cuisines et le baraquement pour femmes. Dans la cour des soldats s’entrainait au pas, d’autres parlaient entre eux, prenant le temps de jeter un regard au cow-boy archéologue qui venait d’arriver.

* Magnifique *

Je me tenais debout devant la fenêtre, celle qui donnait sur le baraquement à gonzesses, en particulier sur une fenêtre du braquement. Une jeune recrue se rhabillait devant mes yeux, me tournant le dos, et ne se doutant pas que je l’observais. Un magnifique dos, légèrement bronzé, barré par les bretelles d’un soutien-gorge. La face cachée devait être encore plus belle. Soudain, quelqu’un frappa à ma porte. Je criais haut et fort d’entrer. Je revenait tranquillement au niveau de mon bureau. Le sergent de l’entrée m’avait appelé plusieurs minutes auparavant, me signalant que ma recrue était arrivée. Cette dernière entra dans mon bureau se mettant au garde-à-vous et se présentant.

-« Je suis le colonel Fett et je serai en charge de votre instruction. J’ai eu le temps d’éplucher votre dossier avant votre venue, vous connaissez le milieu militaire. 5 ans dont un séjour en Astan, pas mal. Vous connaissez le projet Stargate ? que savez dessus ? »

Pendant qu’il m’énonçait ses connaissances sur le sujet, je pris quelques affaires dont deux talkies.

La sentinelle qui accueillit Harold s’avéra être un sergent à la bonne mine bien que certainement moqueur derrière son visage accueillant. L’entraînement s’annonçait mouvementé. Cinq minutes a faire le piquer et finalement il lui fut transmit son premier ordre de mission, rejoindre le colonel Fett... Suffisait juste qu'il s’appelle Boba et il ce retrouverait en plein star wars. La guerre des étoiles faisait elle partie du projet top secret du SGC ? Les film n'aurait ils étés que de simples œuvres de propagande fait pour préparer le publique à de futur révélations ? Bref il retint un sourire qui tentait de naître pour suivre les indications de son supérieur. Il suivis le chemin pour débouler dans une coure d'entraînement tous ce qu'il y avait de plus basique. Quelques hommes marchaient au pas, d'autre flemmardaient clope au bec et ragots au bout des lèvres. En soit une base militaire des plus commune pour un projet de cette envergure ce qui ne manqua pas de rassurer le jeune homme. Il finit pas trouver rapidement la porte de bureau, la plaque portait bien l'identification du colonel qui ce nommait... Boba...

Il inspira un grand coup, redressa les plis de sa veste vérifiant brièvement si tout était en place et présentable avant de toquer à la porte. Trois coups bref mais pas trop fort. Il fallait jauger la puissance pour faire bonne impression sans paraître arriviste. Ce mettre un officier sur le dos des les premières minutes c'était pas vraiment une bonne idée. A l'affirmatif reçut, Harold entra dans le bureau enlevant ses lunettes de soleil qu'il passa rapidement dans la poche cargos avant de ce fendre d'un salut digne des bleus. Pieds aligner, jambes bien rapprocher, le dos droit et un regard fixe. Parfait, ou presque.

« Capo... heu Recrue Harplayer Harold, matricule 79634HH462 au rapport pour l'entraînement mon Colonel ! »

Dans la précipitation il avait presque gaffé sur son ancien grade de réserviste qui n'avait plus lieux d'être. Nouveau contrat, nouveau corps d'armée, tout à refaire. Mais sa il s'en fichait éperdument, ce qui comptait pour lui c'était la recherche, les promotions et compagnies, sa il les laissaient aux parfaits Boy's de l'oncle Sam. Fett le décortiqua d'un bref regard, sans doute était il habituer a voir passer de nouvelles recrue et ne prenait plus le temps de faire du cas par cas complet. C'était compréhensible. Le timbre de ça voix était plutôt neutre et éfficasse, comme on s'y attendrais d'un colonel. Il rappela Harplayer a la réalité par un bref et subtile résumer de ça carrière militaire qui tinté comme un avertissement. Il avait son dossier et l'avait lus. Cet homme était certainement au courant de tout sur la vie d'Harold même de choses que l’archéologue ignorait sans doute sur lui même. C'était toujours le cas avec les dossiers de la sécurité intérieur, il sont capables de vous diagnostiquer un cancer du colon sans que vous en soyez avertis. Et pour un tel projet... L’enquête avait due être longue.

« Mes respects mon colonel. Je suis au courant du projet Stargate depuis maintenant 8 jours. J'ai eut droit aux petites vidéo d'explication ainsi qu'aux visites des laboratoire de la Zone 51. J'ai eut accès à certains rapport de missions ainsi qu'au longue listes d'ennemis potentiel. Je vous avouerais bien mon colonel que mon attention c'est plus précisément porté sur les données archéologiques que sur les données militaires. Il y a des gens plus à même que moi de les comprendre. Je suppose que mon programme d’entraînement portera sur l'utilisation des technologies xenos et sur la compréhension de mon futur environnement de travail ? »

Harplayer observait son officier supérieur qui l'écoutait d'une oreille tout en cherchant quelques menus objets sur son bureau et dans les tiroirs, il en sortit notamment deux émetteurs récepteurs radio de moyenne portée. Dommage Harold s'attendait presque à un système de communication extraterrestre révolutionnaire, mais quelques chose en lui, lui disait qu'il n'était pas au bout des surprises et que bien des découvertes l'attendais.

« A votre disposition mon colonel, j’attends vos ordres. »

Harplayer m’avait dit tous ce qu’il savait sur le projet Stargate. Visiblement les officiers n’avaient pas changés en leur passant toujours les mêmes vidéos, assez avares en informations. Bon nombre de recrues terminaient leurs acquisitions de connaissances sur le terrains et bien souvent au péril de leur vie. Même moi, en tant qu’officier il m’arrivait de me faire surprendre à l’autre bout de la galaxie. Alors imaginez pour un bleu.

-« Je peux vous affirmez que vous ne savez même pas le dixième du quart du cinquième de ce qu’il y a à savoir. Mon entrainement palliera une partie de ces défauts, le reste, vous le découvrirez à la base et sur le terrain. Vu que vous avez quittez l’armée depuis petit bout de temps, on va se faire une remise à niveau au stand de tir. Je vous réserve le meilleur pour la fin. Suivez-moi. »

Emmenant les objets avec moi, je sortis du baraquement, renvoyant le salut de quelques soldats. Nous traversions la cour, qui débordait toujours d’activités, pour suivre un chemin menant à l’extérieur du camp. Le stand se trouvait à 200 mètres de la baraque la plus proche. Un talus d’une dizaine de mètres de haut se tenait au fond d’un stand, où des cibles à silhouettes presque humaines étaient disposées à des intervalles irréguliers.

-« Voici le stand. C’est ici que l’on forme les non-initiés au maniement des armes. Pour vous, ça ne devrait pas poser trop de problèmes. »

Un sergent et un soldat occupaient déjà un emplacement. Il me saluèrent avant de reprendre leur exercice, dégommer les cibles les plus lointaines, cachées derrière des obstacles à l’aide d’un fusil Barett de calibre 50. J’indiquai à ma recrue un emplacement vide, où étaient posés un zat et un P90. Je pris d’abord en main le P90 pour en faire une rapide présentation.

-« P90. Pistolet mitrailleur de petit calibre. Il à un meilleur pouvoir de pénétration qu’un MP5 du fait des ogives des balles. Chargeurs de 50 cartouches. Semi automatique ou Full auto. Exercez vous avec. »

Harplayer prit le P90 en main, ajustant son tir à sa manière. Alors qu’il restait une dernière cible à 50 mètres, Harold n’eu que le temps de la voir disparaitre dans un nuage de copeaux. Le sergent nous observa fier du tir de son soldat.

-« Evidement, avec un arme précise. Bon la suivante. Cet arme n’est pas de chez nous. Ni des USA, ni de la Terre. C’est une arme utilisée par les goa’ulds. Un zat’nik’tel, ou zat pour les intimes. Il tir une décharge d’énergie. La première paralyse, la deuxième tue. C’est le tazer de l’espace. Son maniement est identique a un pistolet. »

Je lui donnait l’arme en question. Trois mannequins fringués comme des jaffas sortirent d’un cachette dissimulées dans le sol. Je laissais Harold s’exercer dessus.

HJ : l'objectif est de détailler tes performance avec le P90 et le zat. Vu que ton perso a quitté l'armée, on peut supposer que ses réflexe ne sont plus au top.

*Un dixième du quart du cinquième de ce qu’il y a à savoir... *

Merde alors, on peut dire que ce colonel savait mettre ces recrues en confiances pour ne pas leurs faire sentir a quels points ils n'y connaissaient rien. Sûrement les années de service et tout ce qu'il a put voir a du le blasé. Harold déglutit brièvement tout en tentant de garder un minimum d'aplomb. Chose peu aisé dans ce nouvel environnement. Mais les choses commencèrent directement si bien que l'homme n'eut pas vraiment le loisir de reculer. L'officier le conduisait personnellement jusqu'au centre de tir, et il était rare de voir un colonel prendre soin des bleus. Après tout il s'agissait peut être au fond d'un brave gars. Il lui emboîtât le pas, a ses six heures comme ont dit chez les volants. Harplayer posa un regard neuf sur la cour qu'ils traversaient, cherchant des signes de technologie extraterrestre sans véritablement en voir a ça grande déception. Mais une fois parvenus au pas de tir, la donne changea et les choses intéressantes commencèrent. Deux militaires étaient déjà présents s'évertuant au tirs de précision avec un fusil anti-matériel. Décidément il y avait des choses qui ne changerait jamais. Et Harold aurait parier que le tireur avait un problème de proportion duquel il cherchait a ce rassurer...

Sur la servante ce tenait deux armes, une identifiable comme étant le FN P90 9*19 parabellum, Harold ne s'en était jamais servis mais certains pseudo commandos en Afghanistan en portait. A coté, il y avait un... Truc... A première vus on aurait dit un jouer ou un accessoire de mauvaise série de science-fiction. Petit et compacte, bref pas vraiment jouissif...

Boba fit signe de prendre en main le pistolet-mitrailleur tout en expliquant rapidement les caractéristiques de l'arme. La prise était agréable, sans doute gênante pour des personnes aux trop grand bras mais ce n'était pas son cas. Les trois kilos était imperceptible même. Il appliqua calmement la crosse sur son épaule, laissant ces doigts trouver la sécurité, très intuitive elle ce trouvait sur la gâchette. Il aligna la première cible cherchant à fixer son axe. La mire était atroce, petite et pas vraiment pratique en cas de tir visé en opération. Mais la prise en main le rassurait. L'archéologue attrapa une paire de protection auditive tout en cherchant le bac à sable qu'il trouva à sa droite.

*Oui... Quelques heures en tête à tête et je pense que l'on doit pouvoir effectuer une série de tir intuitif sans aucunes difficultés. Mais mon beau, un red-dot te ferait le plus grand bien... *

Il fit passer la gueule du canon dans le tuyaux de sécurité pour armer délicatement le P90, la mécanique était parfaite et la balle s'engagea dans la chambre sans incident. Il aurait était bête de foiré ça première minute de tir par une mauvaise manipulation.

« Mon colonel, balle engagée, demande permission de tir. »

Fett inclina la tête en signe d'approbation et Harold ce remis en position de tir. De son index il fit glisser la sécurité en position coups par coups et entama une première série de cinq balles en tir rapide. Une simple et légère pression, les armes de guerre étaient redoutable l'éjection des douilles par dessous le surpris tout de même un peu. Le recule de par l'architecture Bullpup était ridicule. Les deux premiers projectiles filèrent un peu trop à droite mais le reste fut dans la cible sans difficultés. Il lui restait 4 cibles à engager et d'un coups sec il fit passer le coups par coups en mode automatique. Une légère torsion de son bassin l’aligna avec ça cible. Deux seconde de pressions, 900 coups/minutes, la bestiole cracha les balles un peu plus rapidement que le M-16 qui avait servis à former Harold. Les dégâts sur la cible furent impressionnant, à 50 mètres, un enfant n'aurait pas réussi à manquer la cible. Quand il voulu aligner la dernière pour finir la série, la silhouette disparue dans un éclat de poussière de et panneau de bois pulvérisé.

* Putain de cow-boy... *

Une fois ces tirs finit il désarma le P90 vérifiant la chambre avant de le poser sur la desserte, chargeur à coté. Boba lui tendis alors l'arme xenos qu'il prit en main sans vraiment savoir comment cela fonctionnait. Nul trace de gâchette apparente. Pas de sécurité, pas de puits de chargeur... Pas de mire. Harold leva un regard embarrassé vers son supérieur.

« Sauf votre respect mon colonel mais ça fonctionne comment ? C'est une farce pour les bleus? On leur donne un artefact bidon en leurs disant ceci est une arme et on les laisse batailler pendant une dizaine de minutes avant de leurs faire la morale sur ce que l'on connaît ou pas ? Si il s'agit bien d'une arme je vous demanderais de me faire une démonstration de l'utilisation... Je ne sais même pas comment la tenir... »

Harplayer ce fendit d'un air désolé tout en tendant l'arme a son supérieur. Mais ce « S » compacte, ne lui disais rien et surtout, manipuler une arme sans même savoir ou ce trouvait la bouche du canon était un peu trop risqué à son goût. Même si l'USAF promettait une belle assurance vie et une couverture maladie plutôt intéressante, il comptait en profiter le plus tard possible.

A mon grand étonnement, Harold ne souhaitait pas utiliser en premier le zat. D’habitude, une telle arme excitait la curiosité des scientifiques. Ils étaient prêt à le démonter pour piger son fonctionnement. Toujours surpris, je pris l’arme, chose que je n’avais pas fait depuis des lustres, pour faire une démonstration. Vraiment, je me sentais con sur ce coup là. Te plante pas sur tes explications boby.

-« Et bien, vous empoignez l’arme par le segment du bas et vous le pressez. L’arme s’active et vous rappuyez pour tirer. »

Je fit une petite démonstration sur le premier mannequin venu, le faisant briller d’une petite poignée d’éclairs bleus. Je tendais ensuite l’arme à Harplayer pour qu’il puisse s’exercer. Une fois qu’il eu fini, je l’invitais à quitter le stand de tir.

-« Maintenant, on passe au plus intéressant. Le site se trouve un peu plus à l’écart. Suivez-moi. »

J’ouvrais la route, l’emmenant bien à l’extérieur du camp. Autour de nous, quelques militaires faisaient leur footing. Plusieurs minutes plus tard, nous arrivions près d’une enceinte grillagée où attendaient trois autres soldats.

-« Je vous présente le sergent Killer, le caporal Bunny et le soldat Chuck. Ils seront vos coéquipiers pour cet exercice. L’objectif est très simple : derrière cette grille se trouve un artefact à retrouver, il ressemble à un gobelet en or. Votre but est de le retrouver. Pour cette mission, vous utiliserez un P90 modifié Intar, un zat, et un claymore factice. A vous de jouez messieurs. »

Puis je les laissais là, à élaborer leur tactique.

-« Ok les mecs ! Je prends la tête avec Chucky. Bunny t’es avec le rookie. On localise le bibelot et on le ramène à Tonton Fett. »

-« Merde, encore nous qui nous tapons ses foutus exercices à la mort moi le nœud. »

-« On s’en fout. »

-« Sarge à raison. »

Les quatres militaires franchirent l’enceinte pour s’engouffrer sur le terrain d’exercice.

Hj : Killer
Bunny
Chuck

Tu peux taper la discute avec les PNJ

[HRP] Sachant que tu prend ici le rôle du MJ, je te laisse gérer l'environnement, je communiquerais plus tard peut être avec les pnj, pour le moment, vus la situation je me vois mal taper causette surtout que tu leurs a tirer un trait de caractère ravis de m'avoir:). [/HRP]

Le colonel regarda Harold d'un air étonné avant de prendre l'arme extraterrestre en main. D'un geste sure et rodé par les années de service, il activa le... pistolet... Harplayer l'observait, comme un croyant assistant à une messe du Pape. Petite mais apparemment très pratique. Il ne put empêcher un sourire en coin en repensant à une scène du mythique Men in Black et fut presque déçus de ne pas découvrir un recul impossible. Un simple jet d'énergie bleuté en sortis, pas de quoi faire tout un cinéma et pourtant. Quand Boba lui tendit l'arme il l'attrapa avec révérence tout en la soupesant de nouveau. Le fonctionnement en lui même ne l'importait que peu. Toutes ces histoires plus mathématique les une que les autres... Mais les ornementations prirent un nouveau jours. Surtout au niveau de la symbolique du serpent. Le serpent, animal décrier par la chrétienté mais surtout une allégorie de la vie éternelle depuis la première épopée de Gilgamesh, récit sumérien. Il était étrange de constater qu'une arme prenne ces formes, peut être les bons hommes verts avaient d'autres référence. Notamment la forme du Gao... Gloa... Enfin des ennemis. Il ce pencherais sans doute sur cette questions plus tard avec d'autres collègues.

La prise en mains de l'arme n'était pas si simple, la visé haute et décalé ne permettait pas de tirer de façon intuitive des la première utilisation. Mais si les effets annoncés étaient réels, chose dont il ne doutait pas. Cela devais être un petit bijou d'utilité. Sont index glissa cherchant la gâchette qu'il trouva presque sans le vouloir. Le recul était nul, même inexistant tendis que le rayon filait droit. Bon à quelques mètres de la cible certes mais tout de même dans la bonne direction...

* C'est déjà ça... *

Il enchaîna une petite série sans beaucoup plus de réussite et finit par ce dire qu'il passerait un peu plus de temps sur base pour acquérir une bonne maîtrise de l'arme. Il la posa donc sur la servante avant de ce tourner vers son supérieur. Ce dernier lui indiqua la route à suivre et tout deux partirent.

« Je me demande si l'on peut faire cuire des saucisses avec une tel arme... » Marmonna t-il dans ça barbe bien qu'inexistante.

Les deux hommes s’éloignèrent du corps principale du camps pour atteindre la bordure, là ce trouvaient trois hommes, tranquillement accoudé contre un grillage d'enceinte. Il les salua rapidement comme tout bon petit soldat tendis que le colonel faisait les présentation. Un sergent, un capo et un première classe. Harold avait l'habitude durant sont service d'agire en unité de dix a quinze hommes maximum et ce retrouver a quatre pour un exercice de type opération, cela le changeait.

* déjà ils ont l'air ravis de me tenir compagnie... *

Les trois militaires se connaissaient bien apparemment et établir rapidement une stratégie qui, en deux trois mots ce résumait à ; Un ouvreur, une nounou et une arrière garde si il avait bien compris. S'en était presque insultant de ce voire attribuer le rôle du colis encombrant, mais il ne leurs en voulait pas après tout, il n'avait pas leurs expérience. Un plan basique, mais pourquoi pas. En aucun cas il n'avait sont mots à dire vu son grade et sa situation. Il opina du chef brièvement tout en récupérant sont matériel dont un P90 Intar. Il ne savait pas vraiment à quoi cela correspondait. A première vue la seule chose qui changeait du FN P90 standard, était une petite lueur rouge orangé sur la crosse. Il passa sa sangle avant de mettre le Zat dans sont étuis. La claymore qu'il examina rapidement disparue dans un replis de sont gilet tactique qu'il venait d'enfiler. But de la mission rapporter un artefact. Et une petite voix au fond de son être lui disait que ça ne ce passerait pas comme sur un chantier de fouille.

Il souffla un coups, bue une gorgé d'eau avant de faire le vide dans son esprit. Lui revint alors en flash back, ses classes, suivie des différentes missions. Jamais il n'avait fait face à ennemis, même en Afghanistan, le conflit c'était résumé pour lui à une suite d’explosions plus ou moins lointaine. Il vérifia son armement trouvant une munition en chambre de son P90, le Zat, pour ce qu'il savait s'en servir, valait mieux le laisser à sa cuisse tendis que la claymore... Bas il verrait bien.

« Sergent je suis fin prêt j'attends vos ordres. Je me doit de vous avertir de mon inexpérience du front mais j'ai tout de même fait 5 ans dans la réserve du génie. Je pense plus honnêtement que mon contrat même si il dépend de l'USAF peut être considéré comme étant un contrat civil. Je serais à vos six heures et opinerais à vos ordres sans broncher. »

Il fit un signe de la tête tout en observant la petite équipe. Pas de quoi fouetter un chat. D'autant plus que tous semblaient de plus en plus ravis par leurs missions loin du mess et de la salle de repos. Les quatre hommes passèrent la grille pour venir ce mettre en position, Harold était au sommet de ça concentration, cherchant la moindre trace d'adversaire ou de signe de son leader. L'équipe ne disposait pas de moyens radio pour communiquer ce qui empêcherait toute division du groupe. Cela pourrait devenir gênant par la suite mais pour le moment, l'archéologue analysait le terrain en cherchant des traces de leurs opposant si jamais il y en avait.

Le rythme de marche était soutenue sans pour autant être un pas de charge, son arme bien en main, Harold suivait sa nounou, finalement les hommes devinrent plus amicales. Ils ne semblaient pas vraiment prendre cette exercice avec un grand sérieux. Sûrement une routine pour eux et Harplayer joua le jeu de la conversation bien que pour lui il était clair que ce n'était ni le lieux ni le moment.

«  Fait pas le plus con que tu ne l'est mec. Je suis protohistorien spécialiste du développement social de l'homme durant la protohistoire. Sa ce trouve après les hommes préhistorique et avant l'écriture si tu veux situer. Et rassure toi pour la balle dans le cul, je tien bien ma gâchette enfoncer et la bouche du canon dans ta direction, c'est comme ça que ça marche ces engins non ? »

Il laissa échapper un petit fou rire bien vite contrôlé, en Afghanistan, il avait fait à peut prêt les même vannes foireuses à l'équipe que son unité escortait. Devant eux un buisson pouvant fournir un couvert visuel faute d'être matériel ce rapprochait et l'officier comptait bien les y emmener. Cela leurs fournirait un abris pour faire rapidement le point au niveau de la zone et surtout vis a vis de la carte si ils en avaient une. Mais la surprise fut de taille, au moins deux fois un mètres quatre-vingt-cinq, enchâssé dans une armure et portant de longue lance qui de par leurs factures faisaient penser aux Zats. Bien qu'il furent dindon de farce, les trois militaire bien rodé parvinrent a prendre rapidement le dessus. Pas encore véritablement assuré de son tir, Harold préféra couvrir contre de potentiel renfort plutôt que d’envoyer une volée dan la masse au risque de toucher un de ses collègues.

« Bien joué... » Un cor ce fit entendre dans la pénombre proche, et là, pas besoin d'être un vétéran pour en déduire la signification. « Je vote pour le mouvement rapide ! » Il réfléchit à toute allure a la demande du sergent concernant le point potentiel ou l’artefact pouvait être. « Vous êtes marrants vous, un artefact, la seule chose que je sais dessus c'est que c'est un gobelet en Or. De ce terme, je ne peux en déduire que la taille potentiel à moins que le colo ait fait une approximation de langage. Et là ça serait la merde. Si c'est une relique, faut chercher une zone de sépulture, si c'est un objet liturgique, un temple, si c'est un trophée, il faut un lieux de pouvoir ou un lieux de passage, si c'est un artefact technologique puissant il faut chercher la ou il y aura le plus de garde. Donc en gros, sergent, tu me passe un carte et je te fait le topo en fonction des potentiel lieux de sépultures, lieux de cultes et ensuite, va falloir improviser sur place. »

Sur une carte topographique, un archéologue peut en fonction des lignes de terrain, des niveaux et des lieux d'implantation d'habitation déduire différent éléments. Du moins, le pouvait il sur terre sans aucun problème, là, dans un environnement reconstitué, encore fallait il qu'ils aient des gens intelligents qui préparent les terrains et qui ne mettent pas un sanctuaire a pile ou face. Les béatement de son cœur s'affolaient, laissant plus d’oxygène parvenir a ses muscles. En un premier temps sa vue ce brouilla pour finalement s'affiner, sa y est, il était en situation de stress de combats.

L’équipe filait droit devant, prenant leurs jambes à leur cou. La végétation du bois défilait devant leurs yeux à toute vitesse, avant de changer brutalement par un petit champ de ruine au milieu d’une clairière. Le sergent killer ordonna l’arrêt, ce qui ne manqua pas de susciter quelques protestations dans les rangs.

-« On à un objectif de mission à remplir. Harplayer, filer moi votre claymore ! Ensuite, cherchez l’artefact, il est peut-être dans le coin. Les autres, on établit la défense du périmètre. »

Harplayer se mit en route, slalomant entre les tas de pierre qui ne semblait pas digne d’intérêt. Il vit une première bâtisse, prête à s’écrouler. Il y jeta un œil, mais il n’y trouva rien. Il continua sa route, passant à une deuxième bâtisse, qui se révéla aussi vide que la première. Il s’attaqua enfin à la dernière bâtisse, qui fut tout aussi vide que les autres. Ni une ni deux il alla informer le sergent.

-« Tant pis, et c’est trop tard pour dégager ! Ils sont juste en face. »

Si les quatre hommes s’étaient mis en position derrière des abris, une bonne vingtaine de jaffas leur faisait face. Il attendait à la lisière du bois, prêt à charger. Un cor retentit, et ils passèrent à l’action.

-« J’espère que la claymore va péter ! »

Son vœu fut exaucé, une légère détonation et trois jaffas furent au sol, comme assommés. Ce qui n’empêchait pas les autres de foncer tête baissée. Killer donna l’ordre de tirer. Des rayons rouge fusèrent vers les rangs jaffas, paralysant certains d’entre eux. Ils finirent par trouver des postions pour répliquer. Des tir d’énergies passaient au-dessus des têtes des terriens.

-« Prenez ça dans la gueule ! »

Chuck s’excitait avec son arme, et n’avait pas vu les deux jaffa qui commençaient à contourner se position.

Hj : encore désolé pour le retard.

Courant comme si le diable lui même était à ses six heures, Harold tentait de ne pas perdre de vus son équipe, Ils slalomèrent entre les arbres évitant de percuter ces derniers. Souffle court l’Archéologue pouvait sentir la différence de condition physique entre lui et les autres. Mais ce ne fut pas pour autant qu'il lâcha l'affaire. Brusquement ils débouchèrent sur un petit champs de ruine. Quelques murs encore debout tendis que plus loin ce dressaient trois bâtisses en bien meilleur états. La fine équipe s’arrêta sous l'impulsion de leurs supérieur et ils manquèrent de ce percuter dans un remake plutôt impromptue de Dominoday. Harplayer fit glisser son arme pour ce mettre en position de couverture avant de donner sa claymor à son officier. Pas de soucis, il ne savait pas vraiment comment s'en servir.

Puis Killer lui ordonna de parcourir les ruines tel un lapin pour trouver l’artefact. Harplayer leva un sourcil en signe d’étonnement, celons lui ce n’était pas la bonne marche a suivre. Mais les ordres étaient les ordres. Il prit son courage en main et ce lança tel un sprinteur lors d'une final des J-O. Il ne cherchait pas vraiment la gloire, juste à préserver son cul des décharges rouge, quelques chose au fond de lui, lui disait que ce faire toucher n'était pas vraiment quelques chose d'agréable. * j'ai plus l’impression d'être un foutue pilleur de tombe qu'un Archéologue là... * Il dénigra les murs effondrés pour ce concentrer sur les bâtiments encore sur pied. P90 à l'épaule il les inspecta rapidement en cherchant des signes visible qui lui indiquerait la fonction de ces ruines mais rien ne lui sauta au yeux si ce ne fut un pigeon qu'il dérangea. * Vide, vide et encore vide. * En sortant de la dernière ''maison'' il remarqua les adversaires qui ce rapprochaient. Il accéléra sa course pour rejoindre son équipe qui commençait à ouvrir le feu.

« Rien à faire sergent, ce sont des murs, des murs et encore des murs, pas de trace du foutus gobelet d'or. »

La mine explosa, faible puissance et heureusement, tuer une équipe lors d'un entraînement ne serait pas rentable pour l'armée et les tirs fusèrent de tout côtés. Le repli s'organisa tant bien que mal pour trouver une position plus simple à défendre. Et bientôt les autres s’excitaient comme des gosses avec leurs armes. Harold n'était pas un cow-boy, savoir qui avait la plus grosse ou qui parviendrait a descendre le plus d'adversaires ne faisait pas partit de son registre. Il en profita donc pour observer et analyser. L'artefact qu'ils devaient trouver était peut être garder ? Après tout le briefing avait été expédié en quelques secondes et il n'avait aucune autre info que la description plus que basique de l'objet.
« Sergent, j'vous proposerai bien de bouger, décaler sur deux ou trois cents mètres avant de pousser sur leurs cantonnement. Ils ont peut être ce que l'on cherche? » A peine eut il terminé sa phrase qu'il remarqua deux ennemis qui tentaient un contournement. Il aligna sa mire avant de lâcher deux séries de trois tirs pour les faire baisser. « Contournement à 9 heure ! » Il ce cala contre un murs tout en cherchant un angle de tir et en ce protégeant de ceux de leurs camarades de jeu en face. Il fallait vraiment trouver un moyen de contourner leurs adversaire et de trouver ce gobelet à la mord moi l'noeud...

Harold renseignait ses coéquipiers tant bien que mal. A l’annonce du contournement, Chuck se retourna et tira sur un des jaffas. Par réflexe, le deuxième se mit à couvert, tirant quelques salves d’énergie au hasard. Chuck dégoupilla une grenade au plâtre et l’envoya sur la position du jaffa. Celui-ci ne manqua pas de la renvoyer à son propriétaire.

-« Et merde ! »

Blaf ! La grenade libéra sa charge de plâtre. Le nuage blanc se dissipa laissant apparaitre un Chuck tout blanc, crachant un peu de plâtre. Il avança un peu, désorienté pour être paralysé à son tour par un tir d’énergie.

-« Fait chier ! Repli ! Harplayer et Bunny !»

Bunny ne tarda pas à faire signe à Harold de se positionner derrière un mur, accolé à l’une des bâtisse. Une fois en place, après avoir esquivé quelques tirs, ils crièrent au sergent de se replier. Se dernier se précipita vers leur position, mais un tir de barrage l’obligea à se réfugier dans la bâtisse. L’archéologue et le caporal répliquèrent, abattant quelques jaffas supplémentaire. Des tirs partaient de la maison, signe que le sergent était encore en jeu.

-« Faut aider le sergent. Je reste ici faire diversion, fait le tour de la baraque et sort-le de là ! »

Harplayer s’exécuta, laissant Bunny à son post. Le civil fit le tour de la baraque, où aucune entrée n’était visible. En revanche, cinq jaffas étaient bien visible, slalomant entre les vieux murs de leur position précédente, ne portant aucune attention envers Chuck, toujours dans les vappes.

Hj : décris le repli, et je te laisse décider du sort des cinq jaffas

Tout s’enchaîna plus ou moins rapidement, Chuk lança une grenade en direction des Jaffas mais il tomba face a un champion de Base-ball qui récupéra le projectile pour finalement renvoyer au banc le pauvre militaire. Il ressemblait à une caricature de vieux film comique, blanc de la tête au pied tachant tant bien que mal de savoir ou il était avant qu'un de ses sympathique collègues mais adversaire ne l’envoie au tapis d'une décharge bien placé.

Un de moins sur la table, l’étau ce resserrait sur nos joyeux drills ! D'une voix forte et clair le sergent ordonna un nouveau replis stratégique qui ressemblait plus à une débandade qu'à une retraite professionnelle. La preuve en fut que l'officier ce trouva rapidement dans l'obligation de plonger dans une des bâtisses pour sauver son arrière train. La situation commencée vraiment a sentir le roussit. * Sa devais ressembler à ça en Irak, heureusement que j'ai fait l'planqué en Afghanistan moi... * Pensa Harold tout en acquiesçant aux directives de Bunny. Il devait trouver un moyen de faire sortir le sergent, rien de plus simple, les bâtiments de type habitat du XIII éme siècle étaient pourvue de fenêtres, d’ailleurs il ce demandai pourquoi l'autre n'était pas tout simplement passé par l'une d'elles pour les rejoindre. Mais du coin de l'oeil il compris en voyant arriver des renforts, cinq costaud en armure ridicule mais non moins effrayante. Ni une ni deux Harplayer plongea entre deux murets pour venir ce mettre à couvert. Les tirs fusèrent autours de la fine silhouette jouant à superman. L'action aurait mérité sa place dans un film gros budget, y avait pas chier. Mais une petite voix intérieur résonna comme un avertissement pour l’archéologue qui, durant cette fraction de seconde en apesanteur, put voir le sol jonché de petit cailloux qui l'attendaient patiemment. L'atterrissage fut mouvementé et un bon gros jurons vint ponctuer l’entraînement. « Bordel de merde ! Par tout les mythes cosmogoniques qui a eut l'idée complétement conne de foutre des pierres ! » La scène valait son pesant d'or. Une série de mouvement aussi rapide qu'inélégants permirent à notre apprentis lombric de s'éloigner tandis que son corps hurlait ça douleurs et son indignement. L'amoure propre de l'homme venait d'en prendre un coup aussi mais ça c'était une autre histoire.

Il ce redressa lentement tout en pointant son arme en direction des nouveaux arrivant, ces derniers cherchaient l’archéologue non loin de son point de chute alors qu'il avait rampé sur une quinzaine de mètres. *J'ai tiré deux rafales courtes, six balles, avec l'action peut être dix... Il me reste donc quarante bastos rien que pour eux.* Il n'était pas un grand mathématicien et le calcul mentale lui faisait horreur mais compter les munitions restantes, ça il l'avait apprit et retenue des le jours ou on lui avait annoncé son départ pour l'Afghanistan ! Bunny, dans son coin, tirait comme un buffle sur tout ce qui bougeait. On ne pouvait pas lui reprocher de ne pas faire de diversion ça c'était sur ! Le dit militaire remarqua les nouveaux joueur et ne ce fit pas prier pour les invité dans son opéra martial. Une série de tir en direction des cinq Jaffas qui cherchaient Harold retint leurs attention. L'un d'eux bascula même touché à la gorge. Les quatre dernier ce baissèrent pour répliqué mais Harplayer était finalement parvenu, tel un serpent vicieux, a ce glisser sur leurs flan si bien qu'il ce trouvait dans leurs axe. La bouche du P90 cracha ses boule d'énergie rougeâtre qui furent accueillis gracieusement par les Jaffas s’effondrant. * Bande d'enfoiré ! Ça c'est pour m'avoir fait sauter dans les cailloux ! Ils font mal... * Débarrassé du contre temps il retourna en direction du bâtiment protéger par la façades des adversaire qui s'échanger copieusement les tirs avec Bunny. Arrivé au pied de la fenêtre il ce plaqua contre le mur avant de ce raclé la gorge.

« Sergent voilà la cavalerie ! Ne me remerciez pas c'est tout naturel. On est là pour faire notre jobs ! » Il avait pris sur la fin de sa réplique un faux accent à la Rambo. La situation était tellement incongrue qu'un brin d'humour lui permettait de tenir le cap. Il écouté toujours les tirs de Bunny craignant qu'ils ne finissent par stopper pour manque de munition ou pire. Il pivotait légèrement son bassin surveillant doigt sur la détente une potentiel arrivé des ennemis. Mais autours de lui, tout était plutôt calme un fois abstraction faites du fou de la gâchette et de ses petit camarades de jeu. Le soleil presque au zénith apparaissait comme un rappel de la faim du jeune homme. Il aurait mieux fallut pour lui prendre un petit déjeuné dans l'avion mais ce foutue petit mal de l'air l'avait quelques peu ballonné. Un avion de l'USAF pouvait bien être de gros tonnage que le pilote ce faisait toujours un malin plaisir à jouer le chronos.

Harplayer avait décidé d’éliminer les jaffas un à un. Cela avait prit un peu de temps, mais cela fut fait. Il surveilla pendant quelques instants les environs. Aucun jaffa ne montrait le bout de son nez. Bunny arrosait les derniers jaffas encore présent. Puis son arme se tut. Il observa également les environs. Plus personne ne bougeait, tous étaient assommés. Le caporal, sortit de sa planque ,arma contre l’épaule. Un tir passa près de lui, il pu voir un jaffa s’écrouler par terre.

-« Bien joué Harold ! Hey sergent ! Ca va ? »

Ce dernier ne répondit pas tout de suite. Harold et le caporal entrèrent dans la bâtisse pour voir ce qui le retenait. Ils découvrirent le sergent pencher au dessus d’un trou, observant le fond. Puis il se retourna vers ses deux compagnons.

-« Venez voir ! Un bloc de pierre de la maison est tombé et percer le toit de cette cavité ! »

Les deux s’exécutèrent. Le trou était profond d’au moins deux mètres et un tunnel semblait mener à un point situé plus loin sous le champ de ruine. Il n’y avait pas le moindre signe de glyphes. Juste de la terre.

-« Harold et Bunny allez-y. Je monte la garde. Revenez dès que vous trouvez le bibelot. »

Bunny fut le premier à sauter dans le trou, suivit par Harplayer. Ils allumèrent leurs lampes, et commencèrent à parcourir le tunnel. Bien sombre, mais pas trop long. Une trentaine de mètres plus loin, ils arrivèrent à une salle, ronde, baigné dans une lumière naturelle, s’écoulant du plafond par un puits de lumière. Au milieu de ce torrent de photons se tenait un piédestal supportant une coupe d’or serti de rubis rouge.

-« La voilà la coupe ! On la prend et on se casse ! »

Harold s’approcha observant la coupe et son support de pierre. Il pu voir une phrase gravée sur ce dernier.

ROMANI ITE DOMUM

Qu’est-ce que cela pouvait signifier ?

Quel merveilleux enchaînement, un vrai film d'action. Sans véritablement s'en rendre compte, Harold chantonnait dans ça tête la musique d'Indiana Johns. Il ne put véritablement effacer ce petit sourire des lèvres, le SGC avait quelques bon côté dans son programme d’entraînement. Le pauvre bougre fit tout de même rouler un peu ses épaules endolories par la cascade improbable qu'il avait du accomplir pour éviter de ce faire sortir de la partie. Quand le caporal vint le rejoindre, tout deux s’inquiétèrent du sort de leurs supérieur qui ne répondait pas encore aux appels. Mais quand ils passèrent la tête par la fenêtre du bâtiment ils découvrirent le militaire penché au dessus d'un trous. Harplayer, tenta de ce remémorer rapidement les lieux lors de son inspection, cette cavité n'y était pas quelques minutes avant. L'explication suivit, une bloc de maçonnerie était tombé, dévoilant un niveau souterrain. Une chance ! Sans doutes pas prévus par les officiers qui avaient crée ce test d'ailleurs. Mais comme toutes occasions étaient bonne à prendre, l'archéologue et Bunny ce retrouvèrent dans un tunnel à jouer les spéléologues amateur.

Harold fit jouer interrupteur de la lampe de son gilet tactique tendis que le caporal balayait les ombres du vaisseau de sa lampe tactique. Pas après pas, ils approchèrent tout deux d'une salle plus importante dotée d'un oculus. Au centre de cette pièce un piédestal laissait entrevoir une coupe baignée par la lumière du puits de jours. Une chance qu'ils soit arrivés pile a la bonne heure de la journée pour prendre le spectacle de la mise en scène. Un véritable scripte de film ! Le jeune homme laissa ses yeux s'habituer à la pénombre des bas côté pour tenter d’apercevoir de potentiel signe ou indication de dangers. Mais il n'y avait rien de tel apparemment. Il s'approcha donc un peu plus du centre vaillant à ne pas déclencher de potentiels pièges et pour observer plus attentivement la coupe. Une inscription était lisible, « ROMANI ITE DOMUM » Ni plus ni moins que du latin. Ce n'était pas ça langue favorite mais il avait les notions de ''bases'' si l'on peut dire pour un archéologue de ça trempe. « Caporal, nous avons affaire à des fans des Montypithons ! » Il laissa échapper un petit rire avant de ce retourner pour observer plus attentivement l'entré du tunnel. « Je ne suis pas Romain, et je ne pense pas que vous le soyez, cette inscription ne nous regarde pas trop mais bon... » Il posa la main sur la paroi a la recherche d'une potentiel cavité qui pourrait laisser passé une grille qui fermerait la pièce en cas de vol. « En temps normal, sur un chantier de fouilles nous ne procédons pas comme cela. » Il posa son regard sur le militaire. « Mais comme je ne sais pas à quels points les architectes de ce test sont pervers, je préfères mettre toutes les chances de notre cotés. » La coupe portée clairement ces revendication nationaliste et anti envahisseur et comme Harold aimé tout particulièrement le vielle adage du mieux vaut prévenir que guérir, il prenait plus de précautions.

[Radio] Sergent ? Ici Harplayer, nous sommes tombés sur l'artefact ou du moins ce qui ressemble à la description. Je demande la permission de le prendre. Pour cela il faudrait que vous nous rejoignez sur position par l’extérieur, un accès est présent et je compte le sortir par le haut pour éviter toute sorte de piège foireux. Un système de ficelle avec nœud coulant et hop le tour est joué. Sinon, on le prend directement et on vous rejoins. J'attends vos ordres, à vous ! [/Radio]

Le jeune homme fit glisser sa radio qui retomba dans son emplacement tout en continuant d'observer la coupe. Il pouvais tout de même y avoir un système de sécurité bien qu'il en douté fortement. Cette pièce ressemblait à un sanctuaire et rare était les sanctuaires piégés. La crédulité et la peur de la colère divine étant généralement suffisantes pour éloigner les voleurs. Au moins au moment de la construction. Il eut une petite pensé peinée envers les sites outrageusement violés par les chasseurs de trésors qui détruisaient tout et empêchaient des découvertes primordial.

L’objet de leur quête était à porté de main, ils n’attendaient que l’autorisation de leur sergent pour pouvoir saisir cette coupe. Le message radio avait été passé. Le sergent mettait un peu de temps à répondre. Bunny observa la coupe d’un peu plus près, comme essayant de comprendre ce quels secrets elle pouvait refermer. Harplayer lui fit signe de reculer pour éviter de déclencher un piège.

[Radio] Bien reçu. Je fais au plus vite.

Les deux compères patientèrent encore pendant quelques minutes. Puis, il y eu du mouvement au niveau de l’oculus. Les deux hommes purent voir brièvement la tête de leur sergent, qui n’avait pas l’air de sourire. Il leur envoya une corde, qui atterrit non loin de Bunny. Il la passa à Harplayer, qui pris soin d’y accrocher la coupe. L’archéologue fit signe au sergent de remonter l’objet. Celui le remonta rapidement, et aucun piège ne se déclencha. Killer renvoya la corde.

-« Dépêchez-vous à remonter ! »

Bunny fit signe à Harplayer de grimper le premier. Une fois à l’extérieur, les deux hommes extirpés de leur caverne au trésor, ils purent voir qu’il se trouvait à l’opposé du champ de ruine, près de la lisière.

-« Regardez qui voilà ! On s’en va dans les bois ! »

Le sergent leur indiqua des jaffas qui fouillaient les ruines, dont la bâtisse ou se trouvait le tunnel. Les trois hommes prirent leurs jambes à leur cou et s’enfuirent dans les bois. Ils coururent pendant quelques minutes. Une fois sur d’être à l’abri, killer ordonna un arrêt.

-« Bon, il faut retourner à l’entrée de l’enceinte grillagée. Mais je suppose que les jaf’ pullulent entre nous et elle. Le plus discret serait de retrouver le grillage et de le suivre en direction des jaffas. Avec un peu de chance ça va passer. En route ! »

les trois hommes reprirent leur marathon, à un rythme moins effréné. Avec un grand sourire, le sergent montra la clôture devant eux. Il bifurqua vers la gauche, direction la sortie. Quelques minutes passèrent, quand soudain, killer s’effondra dans un éclair bleu.

-« A terre ! »

Bunny posa un genoux au sol et épaula son arme. Un groupe de six jaffas, sortit des plantes aux alentours.

-«Déposez vos armes ! Nous sommes plus nombreux ! Et donnez nous la coupe !»

Une si belle aventure ne pouvais se finir comme ça. Bunny hésitait longuement, puis il posa son arme au sol. Il se retourna vers Harplayer, lui disant de faire la même chose. Il fit un rapide clin d’œil.

L'officier supérieur opina et le plan d'Harold ce mit en branle. Bien que le sergent parus mettre quelques minutes de réflexion avant de répondre. L’archéologue pouvait sentir le stress monter a mesure que les secondes s'écoulaient. La présence d'un piège à cet endroit pourrait mettre en péril toute la mission. Mais les précautions s’avérèrent superflue car aucun mécanisme diabolique ne ce déclencha et tant mieux ! Quelques effort et une ampoules plus tard, Harold émergeait de la salle souterraine aidé par le sergent. Non loin de là, les Jaffas cherchaient les traces des fugitifs et heureusement qu'ils étaient sortis par ici et non par leurs point d'arrivé sinon ils auraient eut le plaisir de tailler bavette avec leurs adversaires.

L'ordre fut donner d’effectuer un ''replis stratégique pour réorganisation des forces en vus d'une prochaine victoire'' si bien que les trois hommes filèrent a toute jambes en direction des bois et de la sécurité discutable qu'offrait ce couvert. Poumon au bords des lèvres et t-shirt trempé, ce fut un Harold haletant tel un chien qui s’arrêta sous la directive de son supérieur. La pause était la bienvenue et il en profita pour s'affaler contre un arbre. Tout en écoutant le speech de Killer, Harplayer fit glisser l’embout de sa gourde dans sa bouche pour trouver un brin de réconfort dans l'hydratation. Il avait au moins perdus 5 kilos dans cet histoire, il en était persuadé. Mais le répits fut de courte durée et bientôt ils repartirent de plus belle cherchant le grillage qui délimitait la zone pour retrouver par la suite l'entré. Un plan simple et efficace. Un de ceux que l'archéologue prisait par dessus tout, encore plus du fait que la course était moins rapide. Il profita de ce calme relatif pour faire glisser la coupe qu'il avait récupérer quelques minutes auparavant dans son gilet tactique, caché dans la poche contenant la gourde, l'artefact n'était pas repérable au premier coups d’œil.

La folle équipée vira sur gauche en direction de la sortis, la fin était presque palpable et les dégâts minime, deux sortis sur une équipe de 5. Pour un entraînement sa allait mais en situation réel. C'était certainement inadmissible. Au moins il avait fit de son mieux, jouant d'astuce et de cascade pour compléter l'équipe. Mais la douce rêverie de fin d'acte fut brutalement coupé par le corps de Killer s’effondrant sous l'effet d'une boule bleuté. La chute fut presque comique dans la façon ou le corps pris dans son élan s'affala tel une marionnette a qui l'on venait de couper les cordes. L'arrivée des adversaires fut bien moins plaisante au goût d'Harold. Il serra nerveusement la poignet de son P90 tout en cherchant une ouverture mais a vrai dire ils étaient plus que cuit. Il ne put retenir le petit « Merde... » qui s'échappa de ses dents serrées. Il y eut un instant de flottement, ou les esprits fonctionnaient à plein régime cherchant a anticiper tel ou tel réaction puis Bunny abdiqua en laissant son arme au sol et en indiquant à l'archéologue de faire de même. La partie semblait finie, ils avaient perdus et les autres gagner. Mais le comparse du jeune homme semblait avoir une idée derrière la tête et Harold lui fit confiance. A son tour, lentement il fit glisser la bretelle de son arme tout en ce penchant. « Bunny ? C'est quoi la coupe qu'il demande ? » lança t'il dans un faux air innocent qui laissait pensé qu'il n'était au courant de rien. « C'est l'truc qu'on a pas réussi à trouver ? » Son arme toucha le sol sans bruit alors qu'il relevait lentement les mains pour montrer qu'il était bien sans défense. *Quoi que tu face mon vieux Bunny, fait pas le con...* L'inquiétude était palpable, la scène baignée d'un suspense intenable laissant les héros à la merci des tisseuses, qu'allait donc faire le caporal ? Comment réagiraient les Jaffas ?
La suite au prochain épisode... (On a tous le droit de craquer ><)

Bunny récupéra l’arme de Harplayer, sous le regard méfiant des jaffas. Il la posa devant lui, juste à coté de la sienne. Leurs ennemis reposèrent une nouvelle fois leurs questions, se doutant légèrement que Harplayer devait les baratiner.

-« Je vous jure que l’on a rien avec nous, on à fait choux blanc. Juste une inscription. Romani ite domum. Pas vrai sergent ? »

A cette phrase, killer bondit sur un garde, le plaquant au sol. Bunny attrapa les deux armes devant lui et tira dans le tas.

-« Fuyez Harplayer ! »

L’archéologue décampa sur le champ, laissant la bataille derrière lui. Il couru aussi vite que lui permettaient ses jambes, suivant cette foutue clôture. Dans cette course folle, il put voir une forme se mettre en travers de son chemin. Harold ne s’arrêta pas pour autant et lui fonça dedans, puis il reprit sa course. Il vit l’entrée se rapprocher. Et quelqu’un le bousculer. Un jaffa tenta de l’assommer, mais Harplyer se défendit. Une fois son combat remporté, il franchit la barrière, où je l’attendais.

-« Vous voilà enfin ! Où est le reste de votre équipe ? »

Harplayer me fit son rapport, ne sachant trop ce qui était arrivé aux autres. Puis il me remit la coupe.

-« Bravo ! Vous avez rempli votre objectif ! Me ramenez un gobelet à $10. Votre entrainement est fini, bienvenue au SGC ! »

Juste derrière harplayer, apparaissaient ses coéquipiers, tous plus au moins recouvert de bleus.

HRP : Voilà c'est fini ! Je te noterai une fois que tu auras posté. En espérant que cela t'as plu

Situation de merde, journée de merde comme l'on aurait pus dire. Mais Harold s'empressa de positiver, un entraînement était le lieux même ou l'on ce devait d’enchaîner les connerie les plus énormes. On apprend de ses erreurs est ici, ils risquaient tout au plus un bon bleu... Ce fut ce moment de remise en question que Bunny choisit pour intervenir avec la célérité du métier. Il en avait dans le pantalon l'type ! Killer qui ce remettait de ses émotion bondit tel un kangourou sur un des jaffas créant la diversion parfaite pour que Bunny s'empare des deux fusils d'assaut. Le tempo était donné. Ouverture grandiose de ce nouvel opéras qui ce jouait par un magnifique duo d'arme automatique. Cette envolée instrumentale peu courante fut délicatement accompagner par les grognement persistant du sergent qui tel un baryton occupé l’arrière scène. Ce prologue improbable laissa place au solo d'Harold introduit magistralement par l'ordre du caporal. Ni une ni deux, l'archéologue tourna les talons, poussant un cris d'encouragement qui le fit passer du ténor au castra et pour finalement ce finir par un souffle bruyant d'alto sur la fin. La clope ne l'aidait vraiment pas dans cette situation.

Il longea la clôture tel Thésée cherchant son chemin dans le labyrinthe. Confiants en ses jambes de part sa motivation accrue de ne pas ce faire botter l'cul des sa première sortie il accéléra le rythme de course. Avalant les mètres qui le séparaient de la libération. Derrière lui, il n'entendais plus les tirs, le calme complet c'était emparer de la zone. Seul son souffle et le bruit plus ou moins gracieux de ses foulées s'échappaient. Une boule de stress ce forma dans son estomac alors qu'il s'attendait a tout moment à recevoir une décharge perverse dans son arrière train. * Plus vite ! Plus vite ! Plus vite !* Dans son corps l'acide lactique ce mélanger a l'adrénaline dans une étrange alchimie d'euphorie douloureuse. Dans son cerveau repassait les quelques événement marquant de sa vie en rapport avec les courses, des entraînement militaire au jours stupide ou il avait participer a la reconstitution du parcours de Marathon qui donna quelques siècles plus tard son nom à la discipline.

« Rha par tout les saints ! Je maudits les enfers et les cieux ! Bordel de merde ! » Rapidement, tous ces jurons ce perdirent en faibles grognements ponctuer d'expirations bruyante. Soudain, face a lui une forme sombre tenta de s'interposer, le bougre sans doute alerté par la furtivité incroyable de la course de l'archéologue essaya de l’arrêter. Mais cette apparition eut un effet assez étrange sur notre sportif du dimanche car il entra dans une colère noire quand lui vint en tête qu'il venait sans doute de faire tout ces effort pour finalement ce faire sortir une trentaine de mètres avant la sortie. Ni une ni deux, il ce pencha tel un première ligne. Le contacte fut violent quand son épaule percuta le plexus solaire de son adversaire, poussant son élan Harplayer imprima une légère rotation du torse qui envoya valser l’inconscient qui avait osé lui faire face. « Connard... » Un nouveau jurons venait de chuinter des lèvres d'Harold qui perdait toute sa bonne éducation. Il dérapa brièvement sur les gravier en reprenant son équilibre sans pour autant ralentir mais un nouveau joueur ce présenta bien mieux préparer car quand l'archéologue tenta de réitérer son déblayage à coup d'épaule il finit le cul par terre avec la certitude de s'être déboîté l'épaule et retourné une bonne dizaine de fois chacune de ses vertèbres.

*Alors là mon gros, compte pas sur moi pour perdre à dix mètres de la sortie !* Ce redressant non sans mal, il finit par fatalement ce retrouver au sol une fraction de seconde plus tard avec une mâchoire plus que douloureuse et quelques taches lumineuses très désagréables qui jouaient dans son champs de vision. Plus énervé que jamais le pauvre homme chercha un appui pour ce remettre sur pied quand sa main toucha une barre de métal.  « C'est dommage du con, je suis un tés mauvais joueur ! » Il ce releva en attrapant sa nouvelle arme improvisée ainsi qu'une poignée de sable qui s'envolant directement en direction du visage de l'agresseur. D'un moulinet de sa main il fit siffler sa matraque qui vint tout simplement ce lover dans l'entre-jambe du ''Jaffas'' qui dans un cris de douleur à vous déchirer l'âme s’effondra. * Outch tu l'a pas volé * Courageux et combatif comme pas deux, l’archéologue reprit sa course pour enfin parvenir à sortir de la zone.

Totalement mort de fatigue, avec plus de courbature et de bleu qu'il n'en avait eut depuis longtemps, Harold ce retrouva face à Boba. Ce dernier lui demanda où ce trouvait le reste de l'équipe et Harplayer tenta entre deux reprises de souffle de lui faire comprendre qu'il était le survivor de la partie. Puis tout en tentant de reprendre ses esprit il narra plus en détaille l'aventure et ce qu'il savait des autres. Après ces quelques minutes à bafouiller son rapport il sortie l'artefact tant convoité qu'il tendis à son supérieur. « voilà votre foutue gobelet en toc. » Chose que confirma le colonel en le congratulant et en annonçant qu'il pouvais officiellement intégrer le SGC. Un légers rire nerveux sortie de la gorge sèche de l’archéologue alors qu'il comprenait que l'entraînement était fini. Il avait réussit. « Merci... » Aucun autre mots ne put sortir par la suite. Il fit quelques pas en direction d'une cloison contre laquelle il s'affala avant de sortir ça gourde. De tout le temps qu'avait duré le débriefing, il n'avait eut qu'une seule envie, celle de boire tout son saoul d'eau.

En face de lui, apparurent alors petit à petit les autres participant de l’entraînement, dans des états proche du sien. Il ce soutenait mutuellement, ancien adversaire mais tous membres du SGC. Prêt à s'en mettre plein les dents lors d'un test mais incapable de renoncer à la camaraderie. Harold aperçu les militaires qui formaient son équipe, il reconnus aussi son dernier adversaire à qui il fit un signe de la main avec un sourire désolé. Finalement ce fut une bonne expérience pour lui, une mise en bouche plutôt pimenté mais apte à ouvrir l’appétit. Il laissa passer une trentaines de minutes avant de ce relever, les muscles endoloris par sa soudaine inactivité pour partir en boitillant rejoindre une voiture qui le conduirait à la base. Bien qu'un passage par les vestiaires et les douches avant ne le dérangerais pas. Il ferait en fonction du moment.

La note :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts : 3/4

-Cohérence dans les Posts : 3/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ : 3/3

Total 9/10

J'ai adoré de bout en bout ! avec le peu d'indications que je te fournissais, tu arrives à faire des putains de récits, c'est ça qui est bon !

Fait gaffe à l'orthographe, il y a quelques fôte qui trainent ici et là, mais rien de bien méchant.