Saleté de Jeep ! Ca n’arrivait qu’à moi. Rendez-vous important au camp d’entrainement, et je me retrouvait sur le bord de la route à changer une roue. Cric en main, je m’afférais à soulever l’avant gauche de ma bagnole. Alors que je moulinais, j’entendais passer derrière moi plusieurs véhicules. J’espérais que ma recrue ne se trouvait pas dans uns et me contemplait à bricoler sur ma voiture. J’entrepris ensuite de déboulonner la roue et de la remplacer par l’autre. Cette opération prit quelques minutes. Une fois terminée et tout le bordel rangé, je pouvais souffler un peu. Un coup d’œil à ma montre. En retard.

-« Et merde… »

Je sautais dans ma jeep et je mis le contact. Elle toussota un peu. Je réessayais une seconde fois, levant les yeux au ciel. Le moteur se mit en route. Manquait plus que je tombe en panne. Je repris ma route, appuyant sur l’accélérateur et dépassant la vitesse autorisée. Je maugréais derrière mon volant. Foutue voiture, foutue camp d’entrainement, foutues recrues. Peu de temps après, j’arrivais à l’entrée du camp, un MP s’approcha de moi.

-« Dépêchez-vous d’ouvrir la barrière ! »

Le garde fit demi-tour acquiesçant de la tête. Aussitôt, l’accès au camp me fut autorisé. Je passais nerveusement la première, lâchant un nuage noir derrière moi. Quelques secondes après, je me garais dans un crissement de freins à coté de mon bureau. Je descendis prestement de ma bagnole, attrapant au passage le dossier du nouveau. J’interpellais au passage un sous-officier qui passait par là.

-« Sergent Jones ! Savez-vous si une recrue est arrivée ? »

-« Elle vous attend dans votre bureau mon colonel ! »

-« Merde ! Merci. »

Je me dirigeais rapidement vers la porte de mon bureau, l’ouvrant avec vacarme. Je pouvais voir que la recrue attendait. Je marchais jusqu'à mon bureau, déposant le dossier dessus.

-« Bonjour. Je suis le Lieutenant-colonel Fett. Je suis en charge de votre instruction dans ce camp. Première question, recrue Scorzi, que savez-vous du projet Stargate ? »

Les présentation étaient faites, nous allions pouvoir rentrer dans le vif du sujet.

Hj : n'hésite pas à décrire le bureau. Montre que ton personnage tue le temps.

Franz était dans le bureau, après être resté à hésiter pendant deux bonnes minutes devant la porte, il s’était décidé à la franchir. Là il rencontra un autre soldat qui lui indiqua, après s’être présenté, d’entrer le bureau d’à côté.

Il entra, sentant le stress monter d’un coup, et ne vit personne dans la pièce. A ce moment là il fut envahit de dizaines de questions, c’était t’il trompé de baraquement ? Était-il en retard ? Qu’allait-il faire à présent. Il tenta de demander à l’homme qui l’avait fait entrer mais celui-ci était déjà repartit dans son travail et Franz ne souhaitait pas le déranger.

Il allait devoir s’occuper en attendant l’homme qui allait le préparer pour ses futures misions, le voici donc à observer la pièce dans laquelle il se trouvait. Un bureau tout ce qu’il y a de simple, une table, qui devait avoir vue des tonnes et des tonnes de dossiers au vu de son état, quelques chaises tout aussi usées à cause des années étaient présentes. De plus des armoires fermées se trouvaient dans la pièce, elle devait contenir des armes ou des dossiers, mais il était trop stressé pour penser à ce qu’elles pouvaient contenir.

Laissant son regard voler vers la seule fenêtre de la pièce il toucha machinalement son tatouage, cela le calmait il se sentait dans la montagne de ses ancêtres. Franz chassa ces pensées de son esprit, regardant les soldats s’entrainer dehors, il espérait être l’un deux d’ici peu de temps.

Tout à coup un bruit de moteur se fit entendre, regardant dans la direction d’où venait le bruit, il vit un Homme arriver dans une jeep similaire à celle l’ayant conduit ici. De qui pouvait t’il bien s’agir, il n’eut pas le temps de le deviner car celui-ci entrait déjà dans le baraquement, entendant des bribes de discussions, il tacha de remettre son uniforme en ordre.

L’homme ouvrit la porte avec vacarme, c’est à croire qu’elle aurait pu lui rester dans la main s’il l’avait voulu, en se dirigeant vers son bureau, il faillit faucher Franz dans sa course si ce dernier ne s’était pas décaler à temps.

*Oula, premier jour et limite je vais un croche pate à mon supérieur, pas bon ça* pensa t’il en plein stress.

-« Bonjour. Je suis le Lieutenant-colonel Fett. Je suis en charge de votre instruction dans ce camp. Première question, recrue Scorzi, que savez-vous du projet Stargate ? »

Se mettant au garde à vous le saluant de sa main à quatre doigt Franz tenta de se présenter, mais le stress eu raison de lui.

-« Bon..Bonjour Monsieur, Recrue Franz Scorzi au rapport Monsieur. Veuillez m’excuser si je n’ai pas respecter l’horaire de mon entretien. Je suis honoré qu’un officier de votre rang vienne s’occuper de mon instruction. »

Franz tenta de se calmer, respirant un grand coup il allait expliquer le peu de chose qu’il connaissait de ce projet Stargate. Se mettant en face du bureau de son Supérieur il s’expliqua.

-« Peu de chose m’on été dite mon Lieutenant-colonel, j’ai été appelé de Berlin il y’ a une dizaine de jour, à mon arrivé j’ai subis tout une batterie de test, physique est psychologique. A la fin d’une semaine j’ai signé un contrat de confidentialité, me proposant un jugement en cour martiale si une seule information sensible sortait de ma bouche. Puis on ma jeté dans un véhicule qui ma conduit ici, mais l’on ne m'a pas expliqué en quoi consister ce projet Monsieur. »

Se mettant au repos, jambes écartées bras dans le dos, il attendait une réponse de son officier responsable. Mon dieu, dire qu’il était allé chercher un officier aussi grader qui lui pour s’occuper de son cas. De plus peut être en saurait t’il plus sur ce projet top secret….

Scorzi semblait stressé, à en juger par l’hésitation de sa voix. J’étais si impressionnant que ça ? Pendant qu’il parlait, j’en profitais pour regarder mes messages sur l’ordinateur. Pas grand-chose hormis de la pub et du spam. Une fois qu’il eu finit, je m’adressais à lui. Visiblement, l’officier qui l’avait recruter, fut un peu radin sur le pourquoi du comment.

-« Vous êtes ici pour intégrer le projet « porte des étoiles ». Il consiste à voyager sur d’aures planètes par le biais d’un artefact, la porte des étoiles, et de prendre contact avec les peuples de ces mondes. Malheureusement, tous ne sont pas accueillant et certains sont en guerre contre nous. »

Je fit une pause, laissant le temps à Scorzi de s’imprégner des informations que je venait de lui transmettre. Nul doute qu’il sera un peu dubitatif au début. Je pris son dossier pour l’éplucher vite fait. Apparemment ce gamin était passé par la Bundeswehr, avant d’intégrer l’université. Etrange. Comment pouvait on être docteur en archéologie et militaire à la fois ?

-« Visiblement, vous savez pas mal de chose sur l’armée à en croire votre dossier. Je ne m’attarderai donc pas sur l’initiation aux armes. Suivez-moi. »

Je laissais son dossier ici, puis je sortais du bureau. Une fois dehors, je lui fit signe de monter dans ma jeep. Prenant la place de chauffeur, je démarrais la voiture pour nous emmener hors du camp. Quittant très rapidement la route, je pris des chemins caillouteux, bosselés, bref pas très confortable. Le voyage dura près de 20 minutes durant lesquels je lui expliquais certaines choses.

-« Ce que vous allez faire est un exercice. Le plus réaliste possible. Vous affronterez des ennemis aussi ressemblant que possible aux Goa’ulds. Les goa’uld sont nos pires ennemis de la galaxie. Ils disposent d’une armée composée de Jaffas. Vous les reconnaitrez assez facilement vous verrez. »

Puis je m’arrêtais, toujours dans un crissement de freins. Je fis signe à Scorzy de descendre. Puis je descendis à mon tour. Du coffre de ma jeep, je sortais un M16 à technologie Intar, une boussole et un vague schéma des environs. Je les donnais à la recrue.

-« Voici dont ce que vous aurez besoin. Le M16 est une arme d’entrainement, vos adversaire ne craindrons rien. Votre objectif est de libérer un prisonnier. Nous savons qu’il se trouve dans une base à 2 kilomètres d’ici, vers le sud. Amusez-vous bien. »

Puis, je quittais les lieux, laissant Franz tout seul avec son M16.

Hj : Ton croquis

Pendant que Franz s’expliquait l’officier l’écoutait à moitié tout en regardant son dossier, une fois son explication terminé l’homme commença à lui expliquer le concept du projet « porte des étoiles »…

-« Vous êtes ici pour intégrer le projet « porte des étoiles ». Il consiste à voyager sur d’autres planètes par le biais d’un artefact, la porte des étoiles, et de prendre contact avec les peuples de ces mondes. Malheureusement, tous ne sont pas accueillant et certains sont en guerre contre nous. »

*voyager sur d’autres planètes ? Comment cela était possible ? S’ils avaient la technologie nécessaire cela se verrait. Mais le fait qu’il tente de prendre contact avec ses gens sans forcement leur tirer dessus est une bonne nouvelle.* Voila ce qu’il ne pu s’empecher de penser durant que le Lieutenant Colonel lui expliquait la situation.

Laissant son officier parler il continua à se demander comment cela était possible, mais son esprit d’archéologue voulait surtout en savoir plus sur l’histoire de ces peuples, surtout celui ou ceux avec qui il se disait en guerre. Cela aurait fait un bon sujet d’étude universitaire s’il en avait eu connaissance avant aujourd’hui.

-« Visiblement, vous savez pas mal de chose sur l’armée à en croire votre dossier. Je ne m’attarderai donc pas sur l’initiation aux armes. Suivez-moi. »

*Ha ça c’est vrai, même si cela n’apporte pas que des bonnes choses.* pensa t’il tout en caressant le doigt qu’il lui manquait.

Franz emboitât le pas à son supérieur et le suivit à l’extérieur, laissant son sac dans le bureau, sentant qu’il ne lui serait pas utile pour la suite. Cet homme, Fett, lui fit signe de monter dans la jeep, au vu de ce qu’il avait vu précédemment il hésita un petit instant avant de monter, puis y alla finalement.

-« Ce que vous allez faire est un exercice. Le plus réaliste possible. Vous affronterez des ennemis aussi ressemblant que possible aux Goa’ulds. Les goa’uld sont nos pires ennemis de la galaxie. Ils disposent d’une armée composée de Jaffas. Vous les reconnaitrez assez facilement vous verrez. »

*Pour résumé je viens à peine d’arriver et déjà une menace galactique pointe le bout de son nez, merde comment vais-je faire ?* se dit il tout en stressant.

Mais Franz se calma très vite, laissant son esprit vagabonder et s’imaginer à quoi pouvait bien ressembler ces peuples d’outre monde, il ne réalisa même pas qu’il avait quitté la route pour entrer dans un chemin bosselé fort désagréable.Après un voyage de près de 20 minutes l’officier descendit de la jeep, fit signe à Franz de faire de même et alla vers son coffre. De celui-ci il sort un M16.

*Purement Américain, mais de bonne qualité* pensa t’il

En plus de cela il sortit une boussole ainsi qu’un croquis bien imprécis de la zone dans laquelle il se trouvait. En même temps il lui expliqua son objectif de la journée.

-« Voici dont ce que vous aurez besoin. Le M16 est une arme d’entrainement, vos adversaires ne craindront rien. Votre objectif est de libérer un prisonnier. Nous savons qu’il se trouve dans une base à 2 kilomètres d’ici, vers le sud. Amusez-vous bien. »

*Amusez vous bien hein ?* Pensa t’il

Il n’y a rien d’amusant dans la guerre, même dans un entrainement, la dernière fois qu’il avait prononcé ces mots, il avait perdu un doigt et avait faillit y laisser la vie. Néanmoins de cette « mission » dépendrait son avenir au sein du SGC, ainsi allait il donner tout ce qu’il avait en lui.

-« Vous pouvez comptez sur moi Monsieur » dit il en le saluant une fois de plus, histoire de faire du zèle.

L’homme remontât dans la jeep et parti, laissant Franz seul, armé d’un M16, d’une boussole et d’une « carte ». En touchant la crosse de l’arme il sentit une sensation bizarre, une sensation qu’il n’avait pas sentit depuis des années. Celle d’exister réellement, l’adrénaline remplaça peut à peut le stress en lui, et c’est un autre Franz qui surgit.Il se mit à genou étudiant la carte puis la boussole, dans son esprit plusieurs plans commençaient à naitre.

*Y aller de front ? Non pas assez d’information. Donc faire le tour, mais par OU ? Il fallait passer par l’Ouest, puis remonter au Sud. *

Franz prit un petit morceau de ficelle et s’attacha la boussole sur l’avant bras gauche, tenant la crosse de l’arme par la main droite cela lui permettrait d’avoir toujours un œil sur la direction à suivre. Franz se releva tout en faisant attention au parage, son officier partit, l’exercice commençait et il pouvait être attaqué à n’importe quel instant, aussi devait il faire attention.Il avança donc vers l’Ouest, ne sachant pas trop ce qui l’attendait, il se sentait néanmoins près à combattre n’importe lequel de ces « jaffas » ou « Goa’ulds » son avenir en dépendait.

Franz se retrouvait maintenant au beau milieu de la forêt du Colorado, seul et devant compter sur ses connaissance apprise lors de son passage à l’armée. Il avait étudié la carte et avait choisit de filer plein ouest. M16 en main, il avançait le long de la pente. Sa vue était bouchée par les arbres, ne lui donnant qu’un champ de vision de 20 mètres. Il s’arrêtait à plusieurs reprise, observant les alentours. Par moment il y avait une trouée dans les arbres lui permettant de contempler la vallée qui se trouvait au nord. Des falaises se trouvaient en face de lui. Pas très hautes, mais ne se prêtant pas vraiment à l’escalade à première vue. La vallée, où coulait une rivière qui semblait calme, était verdoyante, avec quelques gros rochers parsemés ici et là. Une fois toutes ces informations en tête, il reprit sa route. Jusqu’au moment où il tomba sur les lieux d’une ancienne bagarre. Des impacts noirs couvraient les troncs des arbres, des morceaux d’armures de jaffas trainaient ici et là, complètement abimés.

-« Telnak koke ! Kree ! »

Cela ne présageait rien de bon. Se mettre à couvert était surement une riche idée. Peu de temps plus tard, deux personnes sortirent des fourrés. L’un était armé d’une lance, l’autre non. Mais au vu des peau de bêtes qu’il portait, il ne devait pas être le jardinier du coin. Les deux parcoururent les lieux, examinant et échangeant des paroles incompréhensibles. Qu’elle était la meilleure des solutions ?


Hj : court, mais à toi de régir comme tu le sens.

Alors qu’il avançait vers un ancien barrage Franz vu des choses étranges, des morceaux d’armures d’un style inconnu, des impacts noirs couvraient l’intégralité des troncs des arbres présents autour de ces positions. Une bataille avait se dérouler ici, il n’y avait pas d’autre explication.

Alors que le Franco-Allemand se rapprochait pour voir ce qu’il en était, il entendit un bruit étrange provenant d’un fourré, sans réfléchir il se retourna vers le dit fourré et le mettait déjà en joue.

-« Telnak koke ! Kree ! »

*Et merde !!*

A peine eut il entendu cela qu’il se jeta derrière un arbre non loin pour ce mettre à couvert, à ce même moment deux créatures sortirent, habillé et équipé de manière très étrange elles parlaient un dialecte étrange. Néanmoins et après s’être mis à couvert, il repensa à ce dialecte, il lui faisait penser à quelque chose, un langage qu’il avait déjà entendu sur Terre, mais où ?

L’adrénaline qui occupait son esprit ne lui permit pas de se remémorer ce qu’il cherchait, aussi préféra t’il se concentrer sur les deux créatures. L’une d’elle semblait être armée tandis que l’autre non.

Avant d’engager le combat il prit soin de regarder des deux cotés pour vérifier qu’ils étaient bien seul, se mettant en position, à genou, il porta l’arme contre sa joue pour bien viser et être sur de ne pas rater sa cible, il n’aurait pas de deuxième essais. Visant la créature avec l’arme, il espérait que sa stratégie allait fonctionner.

Tandis qu’il s’apprêtait à tirer il se remémora les conseils de son précédent chef instructeur, et tout ce que ceux-ci avait pu lui apporter aujourd’hui, lui qui se trouvait à des milliers de kilomètre.

*Daß dieser Schuß der Scheck ist * fut sa dernière pensée avant d’ouvrir le feu avec son M16 sur la créature armée de la lance.

Le temps sembla éternellement long, la scène se passa au ralentit pour Franz, le tir avait été bon car la créature sembla tomber sous la balle. La deuxième commençait déjà à courir vers Franz, ce dernier sans trop réfléchir courut lui aussi vers elle, profitant de la petite descente pour prendre de la vitesse. Arriver un peu avant sa hauteur il se jeta sur elle pied en avant pour la sonner et l’envoyer au tapis, il la toucha certes, mais il n’avait pas réussit à l’envoyer au sol.

La créature recula un peu sous le choc puis se jeta sur Franz qui se trouvait alors au sol, ce dernier ne prit pas le temps de réfléchir et ouvrit le feu sur la créature, les « bales » fusèrent sur l’être et celui si vacilla puis tomba.

*Balaise la bestiole* pensa Franz en se relevant

* Bon ok ce genre de connerie n’est pas à refaire*

Mais il ne pouvait pas laisser les corps en plein milieu du chemin, il prit son courage à deux mains, vérifia une fois encore les alentours, puis posa son arme contre un arbre. Attrapant la première créature tombée il la trainât contre un arbre pour tenter de la planquer. Il y emmena l’autre créature aussi, puis tenta de décrocher quelques branches pour camoufler les corps.

Cela lui prit une vingtaine de minutes, mais il était satisfait du résultat. Sans être totalement invisible il aurait fallu tomber dessus pour les voir. Une fois cela fini, il récupéra son arme et se remis en route, il fit route vers le barrage espérant ne pas retomber sur d’autre de ces créatures, mais cela était malheureusement fort probable qu’il retombe dessus. Aussi vérifia-t-il son arme en avançant, se préparant tant bien que mal à sa prochaine rencontre.

Une fois les deux ennemis à terre et leurs dépouilles camouflés, Franz reprit sa route. Il avait préféré tiré d’abord. Peut-être que leur poser quelques questions pour leur soutirer des informations n’aurait pas été de trop. Mais ce qui était fait était fait. Il continuait dons sur sa lancée, toujours vers l’ouest. Les lieux avaient de se ressembler. Tout du moins le pensait-il jusqu’au moment ou il tomba sur une clairière. Un peu de verdure pour changer. Sauf que quatre bonhomme en armure étaient là eux aussi. Et surpris de voir un gars débouler devant eux.

-« Kree ! »

Aussitôt les tirs d’énergie fusèrent autour de lui. Il en esquiva certains. Il pu se mettre à couvert derrière un tronc d’arbre. Les ennemis était facilement repérable, vu le boucan qu’ils faisaient en bougeant. Franz s’employa à les éliminer un par un. Les échanges de tirs prirent plusieurs minutes. Au final, il n’en restait qu’un, cacher dans les herbes, Franz le savait. Peut-être était-ce le moment opportun de parlementer.

Hj : profites-en pour détailler la bagarre, fait toi plaisir. Et pourquoi engager une conversation avec le jaffa.

Quand Franz entra dans la clairière quelle fut sa surprise quand il vit quatre créatures, les même que précédemment. Il n’eut pas le temps de réagir que déjà les tirs fusaient dans tout les sens, au premier tir il se jeta à plat ventre en espérant éviter une partie de ces tirs.

En effet, il était dans un champ à découvert, sans soutiens et en infériorité numérique, pour faire simple il était dans la merde. Non seulement ce type d’arme lui était inconnu mais en plus il ne se souvenait plus de l’endroit où il avait entendu ce type de langage.

Bref, le combat se déroulait toujours, les quatre créatures faisaient mouvement vers lui, tout en tirant, autant dire que leur potentiel sympathie n’était pas au plus fort. Il allait donc leur faire part de toutes ses intensions en répliquant, avec gentillesse bien entendu.

Ses premiers tirs eurent raison de l’un d’entre eux mais il en restait toujours trois, se déplaçant tout en tirant, se jetant au sol pour esquiver les tirs énergétiques, mais à ce rythme là il ne pourrait pas tenir bien longtemps. Aussi il se devait d’en élimer un maximum avant de tenter de les faire parler.

*Putin . …Mais c’est … qu’elles sont… collante … c’est bestiole à la con* pensa t’il à chacun de ses tirs , finissant par élimer une autre créature en armure. Celle si s’écroula en avant laissant deux de ses « collègues » attaquer Franz.

Mais Franz ne comprit pas complètement ce qu’il se passa ensuite, la créature qui fut précédemment abattu tomba au sol, en tombant et en se trouvant en pole position, elle bloquait le passage pour les deux restantes. L’une des deux n’eut pas assez de reflexe et se prit les pieds dans l’armure de cette dernière.

Ceci eut pour conséquence de la faire tomber au sol, Ainsi donc l’une d’entre elle était maintenant hors de combat pour un petit moment. Néanmoins la dernière continuait de faire feux sur lui, Franz répliqua et d’un tir qu’il n’aurait jamais cru possible abattit la créature d’un tir en pleine tête.

A ce moment là la créature qui venait de tomber se releva et partit se cacher derrière des fourrés, peut être pour mettre au point un nouvelle approche. Il état peut être tant de discuter, peut être.
Se mettant tant bien que mal à couvert, il tenta de communiquer avec la créature.

-« Hey dites c’est votre manière d’accueillir un Touriste ? Parceque franchement j'ai déjà vu mieux que cela!!! » Hurla-t-il avec un semblant d’ironie.

-« Non bien entendu, il faudrait déjà que tu parle notre langue, non mais vraiment. Plus sérieusement sa te dirait pas qu’on se tape la discute autour d’une bière ? Ou alors tu pourrais m’expliquer pourquoi toi et tes collègues vous me tirez dessus ? »

Il fallait avoir un minimum d’information pour pouvoir continuer à avancer dans cette région et finir la mission. Il fallait donc taper la discute avec l’un de ces créatures, lui arracher des informations ou autres choses.

Tout en continuant de parler il avança discrètement vers la position de la créature bizarre. Il lui fallait trouver un maximum d’information, pour aller vers cette base.

-« Et sinon toi et tes amis vous avez un pied à terre dans la région ? Non parce qu’on pourrai se voir ou faire la fête un de ses quatre matin. »

Franz stressait, n’importe qui dans sa situation aurait fait pareil, mais lui était soldat, et il devait vaincre sa peur. Il allait devoir prouver à ce Fett qu’il s’en sortirait seul.

Le voila, lui, soldat Allemand participant à un projet top secret américain, mais avant cela il devait réaliser une mission et le voila en train de parler à une créature qu’il ne comprenait pas..

Franz avait entamé la conversation avec le jaffa. Il continuait de lui parler, étant à peu près sur que le gars d’en face ne comprenait rien. Se faufilant dans les hautes herbes, Scorzi se rapprochai petit à petit de la position probable du jaffa. D’autant plus qu’il n’avait pas entendu de bruit de mouvement, ni même de réaction à ses blagues. Il fit quelques mètres de plus en rampant, les main serrés sur son M16.

-« Vous les humains, vous êtes vraiment prévisible. »

Franz s’arrêta net, surtout lorsqu’il entendit le bruit caractéristique de l’armement des lances goa’ulds. Le jaffa se tenait derrière lui, son arme pointé sur le dos de l’allemand, prête à faire. L’adversaire, s’était résigné à enlever les pièces les plus encombrantes et les plus bruyantes pendant que le militaire faisait son show. Il avait ainsi pu l’approcher en silence.

-« Je vais me faire un plaisir de t’abattre sur le champ. »

Franz posa son arme sur le sol et mit ses mains sur sa tête, espérant peut être une clémence de la part de son bourreau. Entendant le jaffa rire et sentant la lance toucher son dos, scorzi tenta une manœuvre désespérée. Il se retourna vite fait, saisissant la lance du jaffa. Surprit, celui-ci fit feu, cramant une touffe d’herbe. Scorzi se débarrassa de son ennemi. Toute menace était maintenant écartée. Il avait disposition de lui plusieurs armures. La base devait maintenant se trouver au sud de sa position.

HJ : tu peux décrire ton approche de la base.



Le spoints gris sont des rochers, les verts des buissons.

Scorzi venait de se débarrasser tant bien que mal de ses attaquants, attaquants qui finalement savaient parler sa langue. Bref il avait tenté une méthode ironique et tout ce que cela lui avait apporté c’était plus d’embêtement, aussi il lui faudra rester lui-même à l’avenir.

Il regarda autour de lui, la créature semblait inconsciente du fais qu’il l’ait précédemment frappé à la tête et il ne devrait plus lui poser le moindre souci. Il récupéra son arme, puis s’approcha des créatures déjà au sol, comme précédemment il tacha de tout mettre en œuvre pour les faires « disparaitre ».

Tout en les cachant il laissa son esprit vagabonder et tenter de se souvenir de l’endroit où il avait entendu ce genre de dialecte. Il y’a quelques années il avait lu un livre écrit par un certain professeur d’archéologie. Quel était son nom déjà ? Docteur….. Jackson. A l’époque ce qu’il avait pu lire lui avait semblait surréaliste, pas fou juste étrange.

Mais maintenant qu’il était au SGC, il était bien obliger de reconnaitre que cet homme avait peut être raison, d’ailleurs, et sans raison, il disparu de la vie publique il y’ a quelques années, peut être que quelqu’un au SGC savait où était ce docteur, car il avait plusieurs questions à lui poser…..
Une fois les quatre corps cachés, Franz s’adossa à un arbre et commença à réfléchir, en les fouillant il avait trouvé un complément de la carte qu’il possédait déjà, lui indiquant que la base en question se situait au sud de sa direction. Il avait deux possibilités : y aller comme un brute et buter tout ce qui se mettrai sur son chemin, mais il devait y avoir d’autre de ces créatures, ainsi il tenta une approche plus discrète.

Il allait devoir se camoufler dans les armures de ces créatures, qui en y réfléchissant étaient peut être des Jaffas. Le seul souci c’est qu’il ne parlait pas cette langue bien qu’elle avait des similarités avec l’égyptien ancien qu’il avait étudié lors de sa thèse. Mais surtout il ne savait pas se servir de ces lances, bien qu’elles soient surement bien plus puissante que son M16 il en était incapable.

Il prit le temps qu’il fallait pour s’équiper de ces armures, cela le rendit vraiment bizarre, il se serait cru un jour de mardi gras. Puis pris l’une de ces lances, ainsi que le M16, qu’il tenta de cacher sur lui-même, mais à la première fouille il serrait découvert, aussi tachera t’il de rester discret.

Il fit route vers la base, tout en se cachant entre les rochers et les buissons présents sur le chemin, dans son état actuel la dose d’adrénaline présente l’empêchait de stresser, du moins un peu. Il se sentait surtout ridicule, mais bon cela pourrait lui sauver la vie un jour.

Il faisait souvent des petites pauses, pour vérifier que son arme n’était pas tombée et pour vérifiait qu’il faisait toujours route plein Sud. Son M16 dans le dos et sa lance, très inutile, dans les mains il continua de faire route vers la dite base.

S’il y avait eu d’autres créatures il ne les vit pas, un petit moment après il arriva au bord d’une rivière de là il pouvait voir une construction bizarre. Il tacha de trouver un endroit pour traverser sans trop avoir de problème, car traverser une rivière à la nage avec une armure n’était pas très facile. Mais au bout de 5 minutes il trouva son bonheur et réussit à la traverser sans trop se mouiller.

Une fois traversé, il fit route vers la seule cachette possible dans le coin, un petit buisson, de là il pourrait certainement voir la base et préparer un plan de bataille pour la prendre d’assaut ou alors passer tout en finesse.

Il se met dos au buisson et prit cinq minutes pour réfléchir à tout ce qui s’était passé, tout ce qui l’avait conduit à le mener ici. Il était tranquille en Allemagne, mais rien n’aurait pu lui donner autant d’envie que ce projet…

*Quel con je fais…* Pensa t’il

* Je suis là déguiser en clown, tandis qu’un mec m’attend quelque part dans ce complexe. Même s’il ne s’agit que d’un exercice, je me dois de lui venir en aide, on le laisse pas un Humain dans la merde comme ça.*

Pour mettre fin à cette introspection il se mit une baffe, de quoi lui remettre les idées en place, ce n’était pas la première fois qu’il le faisait. A chaque moment où il se devait de réfléchir vite et bien et que d’autres idées parasitaient son esprit.
Il se retourna et se concentra sur la base qui était si proche et si lointaine en même temps…

Franz se tenait non loin de la base. L’objectif était presque à portée. Seulement, comment l’atteindre sans être repéré ? le soldat resta un petit moment à observer. La construction n’était qu’un petit fortin carré de rondin de bois. Peut-être 250 m². Une tour de guet à la face nord, des palissade, où visiblement il y avait un chemin de ronde au vu des jaffa qui patrouillaient sur la palissade. Ils était environ 5. 5 visibles, combien en restait-il de caché. La porte d’entrée se trouvait à la face ouest. Un garde y était posté. Un e attaque de front semblait suicidaire. Il fallait ruser. Prenant son courage à deux mains, Scorzi sortit de sa cachette, prenant soin de ne pas apparaitre trop louche. Il s’approcha prudemment de la porte d’entrée, il passa devant le garde. Ce dernier l’observa pendant de long instant, l’air méfiant. Franz continua à marcher, pour se retrouver dans l’enceinte du camp. Une vague baraque se tenait en plein milieu de la cour. Des échelles permettaient d’accéder au chemin de ronde. Deux jaffas buvait un verre dans un coin. Deux à boire, un à l’entrée et 5 autres sur le chemin, ça faisait 8.

-« Tel’take ! Klo aste ka ? »

C’était le garde de l’entrée, il s’adressais directement à Franz. Ce dernier marmonna quelque chose. A la vue de la grimace du garde, ce ne devait pas être la bonne réponse. Le doute fut levé lorsqu’il pointa sa lance sur Scorzi. Tous les jaffas observaient la scène.

Hj : Bonne nouvelle, on approche de la fin.

Scorzi sortit de sa cachette, après une intense réflexion entre lui et lui-même, il décida de la jouer rusé. Il du laisser son M16 au rocher car il n’aurait pas pu le cacher sur lui, il n’aimait pas se séparer de la seule arme qu’il savait faire fonctionner, mais il n’avait pas le choix.

Il faisait route vers le petit fortin médiéval, il avait remarqué cinq créatures. Ces dernières étaient en train de patrouiller sur le petit chemin de ronde, et il ne fallait pas s’appeler Einstein pour comprendre qu’une attaque frontale était tout bonnement suicidaire. Il avait bien fait de la jouer subtile….

Franz continuait de se rapprocher, il se mit à réfléchir intensément, car il n’y avait aucune chance pour qu’il passe inaperçu une fois à l’intérieur. Comment réagir si l’on lui pose une question ? La jouer gros bras ? Non au vu de leur physique et du sien ce n’était même pas négociable. Le tenté ironique ? Pour ça il fallait déjà comprendre leur langue et la parler.
Franz commençait à comprendre quelques mots, en mettant en commun ses connaissances et le peu de temps qu’il avait eu pour réfléchir, il était parvenu à faire cela.

*Quel con je suis, j’aurai du être capable de mieux comprendre ce langage, je ne serais pas dans la merde sinon. Faudra que je m’y mette vraiment si je m’en sors vivant… * Pensa t’il en se dénigrant.

Pendant qu’il réfléchissait à cela, il arriva devant la porte d’entrée, là un garde se tenait et surveillait la dite porte, sa faisait six, combien en restait il encore ? En gardant un œil sur le garde et en tentant de rester calme il passa.

A l’intérieur se trouvait deux autres gardes qui buvaient dans un coin, ce qui nous faisait un total de huit créatures, de plus il trouva une baraque au milieu de la cours, s’il avait gardé son M16 s’aurait été faisable, mais là….

-« Tel’take ! Klo aste ka ? »

Ce qu’il savait inéluctable était arrivé, il n’avait absolument rien compris à ce que la créature avait dit. Il mit quelque instant à ce retourné pour faire face à la créature. Le temps et l’espace n’avaient plus cours pour lui, il devait trouver une échappatoire, et vite. Il tenta de mettre en place les quelques mots qu’il pensait avoir comprit…

-« Chel Hol » tenta t’il, en se basant sur ses connaissances égyptiennes..

Mais la seule réponse qu’il obtint vu une lance pointée sur lui…

*Et merde… Bon ben là je peux le dire, je suis dans de sales draps….*

Il n’était plus très loin du baraquement, et même si tout le monde le voyait il aurait le temps d’entrer dedans, mais n’y aurait il pas une autre de ses créatures ? Il devait le tenter car il n’avait pas le choix. Franz se mit à courir le plus vite qu’il le put, toutes les créatures le mirent en joue et commencèrent à ouvrir le feu sur lui.

Les tirs fusaient et Franz espérait que la portait s’ouvrait vers l’intérieur, sinon il serait coincé. Il avait parcouru plus de la moitié de la distance et la porte de la baraque devint visible. Les créatures continuaient de lui tirer dessus.

Au moment où il s’était cru tiré d’affaire, un tir l’atteignit au niveau de la jambe, il ressentit une vive brulure. Ce tir le déséquilibra, et il percuta de plein fouet la porte de la baraque, la puissance du choc et le mauvais état de cette dernière, firent sortir la porte de ses gongs. Il se mit vite à couvert derrière un des murs de la salle et entreprit de la regarder sous toutes ses coutures.


Hrp : J’ai fais ce que j’ai pu xD en tout cas merci parce que je m’éclate

La jambe douloureuse, mais toujours en place, franz se trainait à l’intérieur du baraquement. Reculant de l’encadrement de la porte, où quelques tirs s’écrasaient, noircissant les planches de bois sec. Il réussissait à atteindre une position à couvert quand un jaffa s’engouffra par la porte. Dans un réflexe désespéré, scorzi le frappa à la tête avec la lance. L’ennemi s’écroula au sol inconscient. Profitant de ce répit, il observa rapidement la baraque. Un comptoir derrière lequel il s’était abrité, des chaises vides, deux fenêtres donnant sur la cour du fortin. Il pouvait d’ailleurs voir les jaffas se déployer.

-« Kree ! Tashe Taki ! »

Les mains posées sur la lance, il se préparait à les accueillir, notamment en étudiant la lance jaffa. Un genre de gâchette. Franz s’essaya à plusieurs reprises avant d’obtenir un résultat convenable. Un jaffa s’approcha de l’entrée de la maison, mais il fut vite calmé par scorzi, bien qu’il ne maitrisait pas encore la lance. Un jaffa tenta d’accéder par une fenêtre. Franz s’appliqua à le mettre hors d’état de nuire. Puis au fur et à mesure, il du affronter les jaffas présent dans le fortin. Une fois le combat finis, il pu souffler un peu. Des gémissement retentirent. Franz n’avait pas remarqué une porte qui se trouvait derrière le comptoir. Il l’ouvrit et il vit une jeune femme, en sous-vêtement, ligotée sur une chaise.

Hj : la baraque ressemble à un genre de bar. Je te laisse détailler la baston. Et ne t'avance pas trop à la fin

Le premier jaffa qui tenta de passer par la porte fut rapidement calmé par l’Allemand, un coup de lance eu raison de lui. Aussi profita t’il du peu de répit qu’il avait pour étudier le mécanisme de la lance. Il remarqua une sorte de gâchette à sa base. Il tenta plusieurs fois avant de réussir à obtenir quelque chose…
Un autre jaffa tenta de passer par la fenêtre, plus par reflexe que par envie, ouvrit le feu sur la créature, un tir en sortit et un éclair de feu accueillit la créature qui tomba à la renverse, touché de plein fouet.

Voila maintenant deux créatures hors d’état de nuire, il en restait encore huit à combattre… Il se mit en position tant bien que mal, à cause de sa jambe blessé. Les Jaffas sur le chemin de ronde étaient en train de tirer sur le cabanon, tandis que le garde de l’entrée partait les rejoindre. Sans attendre il lui tira dessus, il tenta trois fois, pour finalement le toucher sur le flanc. Il tomba sans demander son reste.

Les cinq derniers continuaient de lui tirer dessus, au fur et à mesure que Franz ouvrait le feu il commençait à mieux saisir le concept de l’arme. Elle semblait fonctionner par impulsion ou autre type d’énergie, Franz n’en comprenait pas le concept mais il aimait son efficacité.

Le combat dura un bon moment puisqu’il fallut abattre toutes les créatures, celle-ci n’était pas protégé puisqu’elles se situaient du « mauvais » côté de la muraille. Franz, contrairement, était à couvert dans la baraque, et bien qu’il soit blessé il était en position stratégique.

Continuant de tirer sur ses adversaires il en vint finalement à bout au bout d’une dizaine de minutes, en effet les créatures c’étaient lancé à l’attaque de la baraque, espérant profiter de leur avantage numérique. Heureusement pour Franz, il avait finalement comprit le concept de cet arme et pu l’utiliser comme il se devait.

Le combat était maintenant fini, les corps des créatures gisaient sur le sol, il s’assit dos au mur pour se calmer un instant. Toute cette énergie dépensé, tant de créature abattu, pour un simple exercice, décidément ce SGC était ce qui lui avait toujours manqué.

Alors qu’il errait dans ses pensées il avait complètement oublié l’objectif de sa mission, il devait trouver un prisonnier… Tout à coup un gémissement, il se releva tant bien que mal. D’où cela pouvait il provenir ? Il se mit à chercher dans la baraque, qui ressemblait, vaguement à un bar.

Plus il cherchait plus il entendait ces gémissements, d’un coup il trouva une porte cachée, il posa la lance au sol et tenta d’ouvrir la porte. Celle-ci s’ouvrit sans soucis, mais il ne s’attendait pas du tout à ce qu’il allait voir…

Une jeune femme, surement de son âge, en sous vêtement, était ligotée sur une chaise. Mais que pouvait-elle bien faire ici ? Alors que de nombreuse question commençait à l’assaillir, il ressentit la brulure à sa jambe, il poussa un petit grognement et mis son genou à terre , dans le but de reposer sa jambe.

*Que peut elle bien faire ici ?...*

Scorzi se retrouvait devant la prisonnière. La jambe blessée, il s’arrêta pendant quelques secondes pour reprendre son souffle. Une fois les idée plus clair, il alla détacher la jeune femme. Etait-ce la fin de la mission ? Une fois libre de ses mouvements, elle observa la recrue. D’un air radieux d’abord, ensuite d’un air machiavélique. Sans crier gare, elle bondit de sa chaise et se mit à frapper le soldat. Avec une grande rapidité, enchainant plusieurs coups à la suite. Franz essayait tant bien que mal de se défendre, mais la femme avait l’avantage. De longues minutes plus tard, Scorzi était étendu sur le sol, épuisé et le pied de la prisonnière sur la gorge.

-« Bravo ! »

Je me tenais dans l’encadrement de la porte du local, j’vais assisté au dernière secondes du combat. Scorzi avait souffert. Me voyant, la jeune femme libéra Scorzi et se mit au garde-à-vous. Une femme en sous-vêtements était toujours agréable à regarder. C’était ma touche personnelle à l’entrainement.

-« Vous pouvez disposer Sergent Lowe. Ma foi, Scorzi vous vous en êtes bien tiré. La seule erreur commise, fut de se fier aux apparences. Et vous êtes tombés dans le piège du sergent. Mais trève de bavardage ! Bienvenue au SGC ! Une voiture vous attend dehors, et ne vous inquiétez pas pour votre cheville, la blessure reste superficielle. »

Signant une feuille de papier, je quittais la baraque.

Hj : tu peux détailler le combat.

l'entrainement est terminé ! Je te noterai une fois qu tu auras posté.

Franz s’approcha de la jeune femme, lorsqu’il la détacha elle le regarda comme pour le remercier, mais cela ne dura qu’un instant. En quelques secondes elle se jeta sur lui, faisant voler sa lance au fond la pièce lui assena des coups d’une grande violence un peu partout sur le corps.

Visant principalement sa jambe meurtrie il tomba au sol, mais ce ne fut pas la fin pour autant, utilisant ses dernières forces Franz se releva et réplica aux coups de son assaillante. Mais malheureusement pour lui elle avait le dessus, et elle en profitait.

Le combat sembla durer une éternité, il avait affronté toutes les épreuves et le voila maitrisé par une jeune femme, qui il fallait le reconnaitre, était d’une grande force. A bout des siennes, de force évidement, Franz tomba au sol, tandis que son assaillante mettait son pied au niveau de la gorge de Franz comme pour lui assener le coup fatal.

* He bien s'a y' est mon 'tit franzi, tu va y passer....*

-« Bravo ! »

Lorsqu’il regarda dans l’embrasure de la porte, Franz vit le Lieutenant Colonel, dans un moment de faiblesse il parvint quand même à faire le salut militaire, non sans difficulté. La jeune femme enleva son pied mortel, et se mit au garde à vous.

-« Vous pouvez disposer Sergent Lowe. Ma foi, Scorzi vous vous en êtes bien tiré. La seule erreur commise, fut de se fier aux apparences. Et vous êtes tombés dans le piège du sergent. Mais trève de bavardage ! Bienvenue au SGC ! Une voiture vous attend dehors, et ne vous inquiétez pas pour votre cheville, la blessure reste superficielle. »

Franz se releva, utilisant sa jambe encore en bon état, salua le sergent comme pour la remercier.

-« Merci pour cet enseignement sergent, je m’en souviendrais. »

Il se tourna vers son lieutenant Colonel.

-« Merci Monsieur, cet entrainement ne m’a apporté que des bonnes choses et je saurai les mettre en pratique. Je vous suis Mon lieutenant Colonel. »

Il sortit de la baraque et ne put s’empecher de penser qu’il était enfin accepter dans un organisme qui lui occuperait l’esprit et qui lui permettrait de réaliser quelque chose de plus grand…

Hrp : En tout cas merci d'avoir prit du temps pour moi , je me suis bien éclater

La note :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts : 3/4

-Cohérence dans les Posts : 3/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ : 3/3

Total 9/10

On sent l'habitude dans le Rp ! Tu sais t'adapter au MJ, c'est cool.