[C'est très maigre, mais c'est pour déjà te laisser faire un peu du boulot . Et surtout si des gens veulent s'incruster. Sa peut toujours etre marrant =) ]

C’était bientôt noël, et le fait de le passer au SGC sonnait faux aux oreilles de Jack. Les temps changeaient et il n’avait rien de prévu, pour une fois. Autrefois, il aurait été avec sa famille en train de chercher des cadeaux… Mais plus maintenant. Depuis qu’il n’y avait plus de famille, il n’y avait plus de noël. Ne voulant pas être au bar avec deux-trois amis infréquentables, il allait donc passer ces prochains jours au SGC entre quatre murs gris, à trier des papiers et à fumer des cigares cubains offerts en avance par son ami Georges Hammond. Evidemment, la deuxième option était la plus réaliste. Jamais il ne passerait son noël le nez dans la paperasse et d’ailleurs, si ce n’était son ordinateur, aucun ami n’était invité à le fêter avec lui dans son bureau. Après, il y avait des invités surprises du genre aliens, tels que des goa’ulds ou des tok’ras, mais même ça, ça ne suffirait pas pour troubler la tranquillité du Général. Walter allait être en congé, aucune équipe ne serait sur le terrain le jour de noël. Jack allait être seul ici, au calme, rendant parfois quelques visites à l’équipe de garde et aux infirmières célibataires sans vies sociales, cloitrées à l’infirmerie. Voilà quel était le programme de ce réveillon et de cette journée de noël. Il décida donc de profiter de la présence du peu de monde encore présent dans sa base bien aimée pour y diner avec eux. D’autant plus que c’était le repas de noël, avec un menu concocté par le Général lui-même, en accord avec le chef cuisinier.

« Salut chef… » Lui dit-il en passant devant le buffet. Jack le regarda attentivement en se demandant ce qui avait changé chez l’homme… Celui-ci avait décidé de mettre le chapeau et la barbe du père noël…

« Comment avez-vous osé voler sa barbe… C’est complètement ridicule, vous avez pensé à vos gosses ? »

Le chef cuisinier regarda O’Neill sans savoir comment réagir. Le ton sérieux et indigné du Général avait glacé l’ambiance chaleureuse autour de ce buffet. Le cuisto essaya de bredouiller quelque chose mais fut coupé par le commandant du SGC.

« Non je plaisantais… » Ajouta-t-il calmement, sourire aux lèvres. « Joyeux Noel à vous ! »

O’Neill continua son parcours après avoir pris son assiette de poulet spaghetti. Il était heureux de l’effet qu’il venait de provoquer. Ses hommes étaient trop respectueux et sérieux avec lui, ne connaissant pas son humour. Faut dire que Jack avait une drôle d’image qui lui collait aux fesses. Hormis celle du courageux chef qui protégeait ses hommes, il avait aussi la réputation d’un homme fou, lunatique et presque sénile, surtout depuis ses vilaines blessures.
Son personnel pouvait penser ce qu’il voulait, tout avait une part de vérité et il le savait. Il ne s’en cachait pas…
Après avoir pioché une bouteille de bière qui lui était réservée ainsi qu’une assiette de saucisson en entrée, il jeta son regard sur la foule affamée et aperçut la tête d’un blondinet au fond dans la salle.

« Ahhh ! » Il fit le parcours du combattant pour pouvoir passer entre chaises et tables pour se rapprocher de son civil préféré.

« Dablord ! Ca faisait longtemps ! Je peux m’asseoir ? »

Il n’attendit pas la réponse et prit place à la table, à côté de Nathalie Wells. Il sut que c’était une mauvaise idée lorsque sa main frôla celle de la jeune femme dans un moment d’inattention, créant d’étranges sensations et des picotements dans son entrejambe. L’ambiance euphorique de l’approche de noël lui faisait de l’effet, alors si en plus il était assis d’une belle créature… Bref, il devait se reconnecter à son repas. Et c’est sur ses tranches de saucissons qu’il se focalisa.

« Comment allez-vous ? » Il vit que les deux jeunes gens le regardaient d’un air perplexe. Jack se sentit gêné mais leur fit signe de faire comme si rien n’était.

« Allez y mangez, faites comme chez vous ! Héhé ! »

O’Neill enfourcha un bout de charcuterie et l’engloutit rapidement, tel un mangeur professionnel de cette boustifaille. Le goût dans la bouche et l’odeur dans le pif, il eut une pensée pour son fidèle ami Boba Fett…

We wish you a merry christmas. C’était ce qui tournait en boucle dans les haut-parleurs de la base. Hé oui, on était en décembre, vers la fin du mois, à noël. On avait ordonné qu’une ambiance adéquate soit de mise dans les couloirs du SGC. La crédibilité de la dernière défense terrienne en avait pris un coup. Heureusement, mes quartiers échappait à tous ceci. Pas une guirlande, pas un sapin de noël. Seul moi et le calendrier best of des playmates de décembre.

-« Si la Mère Noël pouvait ressembler à ça… »

Y’a pas à dire, de bien belles nanas. Le minimum de tissu sur elles, miam. Quelqu’un frappa à la porte. Je planquais rapidement le calendrier dans un coin avant d’aller ouvrir la porte. Une jeune lieutenant se présenta à moi. Ma fois, elle ferait une agréable mère noël.

-« Bonjour colonel Fett. Le général O’neill m’envoie pour vous informer qu’il vous invite au repas de noël organisé au mess. »

-« Heu… Très bien, merci… Vous pouvez suc… disposer. »

La jeune lieutenant me salua et retourna à ses activités. Je la suivait du regard tant que je le pouvais. Mais trêve de rêverie, le général m’avait invité, je me devais de m’y rendre. Je fermais ma piaule puis je me rendais au mess. La bas, je vis qu’il y avait déjà un peu de monde. O’neill, bien entendu, mais aussi Wells, Eversmann, Dablord et d’autres soldats de la base.

-« Bien le bonjour à tous. Mon général. J’ai bien reçu votre invitation. »

Puis je prenais place à la table pour pouvoir savourer les plats délicieux qui arrivaient les uns après les autres.

« Matt Eversman… » Rectifia de suite Matt avec un sourire.

Celui-ci essaya tant bien que mal de graver le nom de Nathalie dans sa mémoire même si il ne se connaissait que trop bien et savait que d’ici cinq minutes, il était capable de l’avoir complètement oublié. Le Ranger n’avait jamais de mémoire pour les noms, c’était affreux. Celle-ci lui répondit d’ailleurs et il s’empressa de lui préciser qu’elle pouvait tout à fait le tutoyer.
Dablord en profita pour lui piquer son toast au saumon mais Eversman parvient à le sauver de justesse et se dépêcha de mettre un bon coup de dents afin de se l’approprier, le Doc étant bien trop occupé à boire sa bière. D’ailleurs il semblait bien nerveux le Evans, à croire qu’il ne tenait pas fort à l’alcool et si c’était le cas, le repas risquait d’être prometteur. Matt avait même cessé tout mouvement se contentant d’observer celui-ci, il ne parvenait pas à le reconnaître, il était bien énervé et se leva direct pour aller chercher quelque chose.

« Vous lui avez fait quoi là ? »

Il ne put s’empêcher de regarder les trois autres avec un sourire avant d’ajouter

« J’ai l’impression que notre cher doc’ ne tient pas à l’alcool… »

Evers recula un peu la chaise du médecin mais celui-ci revient avec des bouteilles de vin dans les mains pour en poser deux sur la table et une sur son plateau sans s’asseoir dans le vide pour autant.

« Tu as des goûts de vieux Evans… Oups pardon mon Général ! »

Il aurait mieux fait de réfléchir un peu avant de parler mais là il bloqua complètement en voyant son pote boire au goulot l’observant jusqu’à ce qu’il reposa la bouteille de vin sur son plateau. Le Ranger ne put s’empêcher de rire, il n’en croyait vraiment pas ses yeux et se tourna vers Nathalie.

« Vous lui avez donné quelque chose avant pour qu’il soit comme ça ? »

Jack était heureux. Il ne passait pas la soirée seul comme il avait pu le croire. C’était bon à prendre même si la compagnie restait à désirée : avec Evans Dablord, Matth Eversman et Nathalie Wells, il avait l’impression de revenir en enfance, à la cantine, avec les trois pipelettes de service qui parlaient pour dire tout et n’importe quoi. Chose que le Général allait expérimenter lui aussi. Nathalie lui avait demandé s’il allait être gâté et il lui fit son plus beau sourire, ne pouvant empêcher son unique œil de briller lorsqu’il posa son regard sur cette créature.

« Je ne sais pas trop… Je n’ai pas été très sage, mademoiselle… »

Cela ne dura que quelques secondes mais tout était dans le regard. Implicitement, c’est comme s’il lui demandait d’avoir une fessée, d’être attaché à un lit et de faire du Olé olé toute la nuit. Il méritait sa punition et il comptait sur la jeune Wells pour en arriver là. Seulement, cet instant magique fut gâché par les arrivées d’Eversman et de Fett. Cela posa deux problèmes au Général. Le premier, c’était qu’il ne se souvenait pas du tout d’avoir invité le Colonel à venir manger, mais cela était le moindre de ses soucis. Il n’avait plus peur d’Alzheimer désormais. Le second était plus dérangeant. Le Sergent Eversman avait provoqué une réaction chez le soldat Wells et Jack en fut presque victime de jalousie.
Pour oublier ce revers, il voulut se servir en bière mais malheur de mille Dablord, le blondinet se servit sans demander ni même lui jeté un regard de remerciement, versant le contenu dans son verre et gardant la petite bouteille pour lui seul. Jack n’en crut pas ses deux yeux, le réel et le fantomatique, tellement cela semblait surréaliste. Comme dans un mauvais rêve plaisantin. Il voulut se lever et bondir sur l’interne du Daedalus, tranchant ses cheveux au couteau à pain, mais au lieu de ça, il se mordit violemment la langue à la place du morceau de charcuterie qui trainait dans sa bouche depuis un bout de temps. Tel un bon bifteck bien saignant, ses dents plantèrent sa chaire en l’espace d’une demi-seconde et le firent souffrir durant une éternité.

« AAAhhhh mamaaarrakesh hachiiich kebab ! »

N’ayant plus de carburant à porté, il prit le Coca de Nathalie à sa gauche et but une grosse gorgée, avant de remuer le tout dans sa bouche et de recracher dans le verre vide de Boba Fett, assis de l’autre côté. Le sang mélangé au coca, voilà un bon cocktail protéiné que même Chewbacca aurait pu apprécier. Cependant, dans l’orifice sud-faciale du Général, c’était l’apocalypse. Tel le Vésuve entrant en irruption aux portes de Naples, la coupure à sa langue grillait et pétillait de milles feux au contact avec le Coca-cola.
D’où un manque de réaction étonnant suite au geste insouciant et provoquant d’Evans, qui venait de siffler toute la bouteille pendant que lui souffrait le martyr.

*Doux Jésus ! Ce gosse… J’vais lui faire la peau…*

Mais le Billy the Kid des temps mordernes revint avec plusieurs bouteilles, alors que Boba avait commandé un service à table impeccable, de quoi dégoûter tous les autres clients de la cantine. En parlant de cantine, il était tant de faire une connerie digne de cette vieille époque, celle de la jeunesse, de la bêtise et de l’insouciance. Jack coupa un bout de cornichon qui se baladait dans son assiette de charcuterie et posa le petit morceau à l’extrémité de sa fourchette.
Pendant qu’Evans buvait comme un trou, O’Neill se transforma en artilleur de première classe et calcula la trajectoire de tir, visa et fit feu. Le bout de cornichon toucha Dablord entre les deux yeux mais cette attaque ne l’empêcha pas de continuer de boire, ce qui alerta le Général sur la vitesse à laquelle le bon vin allait partir.
Il s’empressa donc de prendre une bouteille pour lui, sans oublier d’en servir un verre à Nathalie Wells pour se faire pardonner de tout à l’heure avec le Coca.

« A votre santé, beauté fatale… »

O’Neill fit son plus magnifique sourire. Elle craquerait c’était sur. En même temps, il envoya un regard éclair à Matt qui voulait dire : *T’as vu, pour un vieux comment je gère la fougère…*

« Regarde et apprend, jeune vierge ignorant ! »

Mince ! La bourde ! Il avait terminé sa pensée à voix haute. Trop tard, il était grillé, tout comme sa langue meurtrie dans sa bouche, et aucune échappatoire ne se présenterait à lui.
Il était encore sobre qu’il sombrait dans le n’importe quoi. De quoi passer une bonne soirée en compagnie de tous ces zinzins de l’espace…

Le diner avait commencé, de bons petits plats arrivaient les uns après les autres. Foie gras en entrée, avec les toast qui vont bien avec. Viande rouge exotique, petites patates sautées mélangées avec divers fruits, pour un bon mélange salé-sucré. Evidement, la célébrissime dinde de noël farcie attendait son tour. Non, je ne parle pas de la secrétaire du général mais bien du volatile. Vint ensuite les fromages, de toutes les sortes et bien entendu, la buche de noël, visiblement saveur chocolat, avec un glaçage dessus, baignant dans un coulis de framboise. En guise de décoration, de petits sapins de plastique et un petit Père Noël unijambiste ornaient la buche. La cuistots avaient de l’humour en ce si beau jour.

-« Non, Wells, je n’ai pas eu de nouvelles de Smith. Je suppose qu’il est parti en Angleterre chez sa famille. »

Je me saisissais de toast et d’un morceau de foie gras pour l’étaler comme du beurre du beurre de cacahuète. Puis je croquais à pleine dents dans ma tartine. Savoureux, ils font de bonne choses en France. Je m’apprêtais à me servir un verre quand j’entendis un grand bruit de cracha en face de moi. Je pu voir O’neill, tirant un tronche bizarre, avec un peu de sang dégoulinant de ses lèvres et mon verre, vide cinq secondes plutôt, rempli par un liquide répugnant, mélange de sang et d’autre chose.

-« Je vais me passer de boisson ce soir je pense. »

Disais-je sans lâcher des yeux mon verre. Je me resservis en foie gras pour le faire une autre tartine, agrémentée d’un peu de ketchup cette fois-ci. Dégustant mon toast, je pouvais contempler Jack o’neill lançant un bout de cornichon sur Evans tel un écolier en manque d’action, et Jack o’neill avouant tout haut qu’il comptait draguer Wells tout le long de la soirée. Le summum du ridicule. Et il pouvait encore faire mieux.

-« Alors comme ça vous êtes encore puceau Evans ? »

Question conne il est vrai, mais vu comment était partie la soirée, ce n’était pas dérangeant. Puis je repensais à cette jeune lieutenant qui était venue me faire part de l’invitation du général. Ce soir, j’irai bien lui rendre visite pour lui offrir son cadeau de noël.

La tension était montée d’un cran. Tous les regards étaient braqués sur Evans, les cornichons étaient chargés, les bouteilles de bières débouchées… Alors, puceau ? Pas puceau ? Cette question existentielle trottait dans la tête de chacun. L’intéressé lui-même ne savait peut être pas la réponse. Tout le monde attendait le geste de l’un pour agir. Action et réaction… Tel un mauvais perdant au poker dans un pur Western, Dablord avait perdu des points et allait agir. Et comme un ivrogne frustré par la défaite, il allait tenter avec le diable. Jack ne sut que trop peu ce qui s’était passé, trop occupé à garder chaudement (mais pas trop quand même) le vin à portée de verre. Il vit Evans cracher quelque chose dans les cheveux à la demoiselle de l’Ouest pendant qu’il lui faisait le fameux doux regard du Don Juan esseulé. Calamity Jane en avait plein la crinière et avait perdu tout son charme, le vin coulant sur son corps étant déjà un lointain souvenir. Tandis qu’O’neill pouffait d’un rire gras en attendant les conséquences de cet acte, Dablord contourna la table et embrassa la jeune française.
Pris d’un hoquet de surprise qui aurait pu lui couter la vie, Jack s’étouffa dans son verre de vin et crut s’étrangler avec sa propre pomme d’Adam. Le sourire laissant place au rictus et l’œil en orbite jackostationnaire, le Général laissa sa cible disparaître avec le blondinet.

« Phoque ! »

Des regards surpris le visèrent, faut dire que tout le mess les regardaient comme un public devant une scène de théâtre. Jack décida de reprendre ses esprits et laissa Calamity « Nathalie » Jane régler son problème. Il jeta un œil devant lui et vit Matthew Eversman, un autre vierge insolent du Mid-Ouest.

« Œil pour œil, Eversman ! » Il prit une goutte de vin et lui servit un verre, tout comme à son ami Boby.

« Ahh ! Vous savez, les femmes… C’est comme les duels au revolver… Y a pas trente six milles solutions ! Soit tu dégaines et tu touches la cible dans le mille, ou dans le tas selon le physique de la demoiselle… Soit tu te fais griller avant… Et si tu te fais toucher en plein cœur t’a plu qu’à mourir dans les bras de ta mère ! »

Pris de cours par une attaque venue du ciel, O’Neill se jeta en dessous de la table, perdant sa jambe de bois dans cet exercice périlleux. Deux cornichons le touchèrent, dont un dans à l’épaule.

« Ahh !! J’suis touché ! »

Il fallait reprendre des forces et contre-attaquer. Le Général s’accrocha à une chaise et attrapa dans les airs le dernier corniflar volant pour l’enfermer dans sa bouche et le croquer comme jamais il avait croqué un membre de son espèce. Malgré ce revers, Jack savait que le plus important ce n’était pas de tomber le premier, mais de se relever le dernier. Ainsi avec son mental de warrior, O’Neill prit la chaise en dessous de son bras pour pouvoir marcher avec deux appuis et de son autre main, il agrippa une famille de cornichons tout droit achetée du marché du dimanche, dans un stand djiboutien à deux pas d’ici.
Tel Pat Garrett avant d’affronter Billy the Kid, Jack se mit en position de duel. Il souffla sur une mèche de cheveux imaginaire devant son œil de lynx et se prépara à appuyer sur la détente.

*Acquisition de la cible…*

« Abandonne ! Ta hargne juvénile ne peut rien contre moi ! Tu as beau réussi à l’embrasser, tu restes aussi vierge que ta sœur… Et tu n’y peux rien ! »

La pression était à son comble. O’Neill avait provoqué Evans en duel et était prêt à dégainer. Une pluie de cornichons dévastateurs s’abattrait sur lui s’il ne déposait pas les armes…

Eversman ne comprenait plus rien au fil de la conversation et avait l’impression qu’il était bien le seul avec le Colonel à n’être pas complètement ivre car les autres se donnaient en spectacle comme jamais il n’aurait cru en vivre dans le SGC. Il n’avait pas encore bougé depuis le début observant comme les autres membres de la base présent, les différentes scènes les unes après les autres qui en était au bombardement de cornichons de la part du médecin. Cette fois, Matt ne restait pas sans réagir car l’un d’eux, surement le plus vicieux était parvenu à glisser dans son sol laissant une trace glacée de vinaigre dans le dos au fur et à mesure de sa progression.
Eversman se leva de suite de sa chaise, si rapidement qu’elle vola en arrière avant de choper son t-shirt par le col pour le retirer faisant tomber son bonnet de Noël pour la peine. L’infâme cornichon tomba au sol, Matt l’écrasa comme si il s’agissait d’un vil insecte avant de lancer un regard vers Fett qui avait été bombardé lui aussi puis le duel qui était démarré entre O’Neill et Dablord pour la conquête de la Princesse Nathalie. Autant dire qu’on se croyait au tournoi de la Zamzibar !

Mais c’était sans compter sur Matt qui n’avait pas apprécié du tout cette attaque lâche de la part du Doc et se mit à courir en direction des deux bousculant le Général sur le passage avant d’effectuer un magnifique plongeon de gardien de football sur le frêle et boutonneux médecin.

"Tayooooooooooooo"

Ce dernier venait de signer son arrêt de mort en l’attaquant, celui-ci s’empressa de bloquer son adversaire avant d’hurler.

« Amenez-moi n’importe quoi ! Dab’ a très faim !! »

Autant dire qu’il comptait lui faire avaler tout ce qui était possible et imaginable en testant pas mal de combinaisons comme mayo foie gras, cornichon vin etc… Et il comptait sur ses collègues pour être un peu imaginatif.

Les notes :
Evans Dablord :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts 2/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ 3/3

Total 8/10

Nathalie wells :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts 2/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ 3/3

Total 8/10

Jack O'neill :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts 3/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ 3/3

Total 9/10

Matt Eversman :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts 2/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ 3/3

Total 8/10

Boba Fett :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts 2/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ 2/3

Total 7/10