Votre Personnage
Nom: Smith
Prénom: Léon
Age: 32 ans
Description physique: Depuis l’adolescence et notamment grâce à sa pratique de la boxe, Léon a su développer sa musculature au plus grand plaisir de la gente féminine. Il a l’allure d’un garde du corps. Cette envie d’un corps musclé lui vint après un complexe lors des années lycée où il faisait parti des plus petits de sa classe, ayant le droit à n’importe quel surnom dévalorisant. Mesurant 1m76 aujourd’hui et débarrassé de tout complexe, il compte quand même beaucoup sur sa musculature comme moyen de valoriser son corps. Mais hormis le bien-être psychologique, il est important qu’il se tienne en bonne forme physique dans son métier de militaire. Pour la même raison, il se rase souvent la barbe et le crâne pour ne laisser qu’une fine couche de cuir chevelu, soit la coupe du parfait petit soldat.
Description psychologique: Honnêteté et maturité sont les deux mots les plus appropriés pour quelqu’un comme Léon. Il ne pratique pas la langue de bois. D’abord discret et très réservé, il n’empêche pas qu’il possède une psychologie très ouverte, sans pour autant vouloir se mêler des affaires des autres. C’est quelqu’un de très confiant dans ce qu’il fait mais aussi de très prudent, une grande force qui l’aide dans son travail. Avant même le physique, Léon sait qu’il est nécessaire de garder un mental d’acier pour réussir dans toute épreuve. De moins en moins social au fur et à mesure des missions qu’il a accomplies, il reste néanmoins une valeur sûre de la confiance et du courage. Ce sont ce genre de qualités qui l’ont menées si loin dans sa carrière.
Histoire: Son père était un riche publicitaire travaillant à Londres pendant l’après-guerre. Sa hargne et sa motivation ont été son seul héritage, préférant ensuite aller à New York pour commencer une nouvelle vie, bien loin de la femme avec qui il a conçu un enfant en 1978 : Léon. Ce dernier fut donc élevé par sa mère et n’eut aucune sœur ni frère. Enfant unique ayant un parcours correct mais pas extraordinaire au lycée, il a été attiré par l’armée britannique et ses valeurs, fier d’être anglais et incollable sur l’Histoire, en particulier quand il s’agissait de vendre les mérites de la résistance anglaise pendant la seconde guerre mondiale. S’engageant dans l’armée dès ses 18 ans, il fait sa formation dans un régiment de parachutiste britannique qui est déployé sur plusieurs théâtres d’opérations, sans qu’il ne soit vraiment sollicité pour des objectifs de grandes importances. Une seule exception : l’Irak, où il s’est démarqué suite à une mission de reconnaissance au front réussie avec succès, permettant d’avoir des informations fiables sur l’ennemi irakien. Ce genre de distinction lui ouvrit la voie vers une autre branche de l’armée : le SAS, une unité des forces spéciales britanniques tellement prestigieuse et impressionnante que Léon se jura de servir cette unité jusqu’au bout, une telle occasion ne pointait pas son nez à deux reprises. Ayant de bonnes relations avec un officier haut gradé de l’armée anglaise, son vieil oncle, il douta pendant plusieurs années d’un éventuel traitement de faveur et cela le poussa à se surpasser lors de ses premières missions et de prouver qu’il avait sa place dans les SAS. Dans cette unité, il fut spécialisé dans les techniques parachutistes et les infiltrations terrestres, le pied pour Léon qui réussit à écarter une once d’arrogance et d’orgueil pour se consacrer entièrement à son job. Plusieurs mois avant de partir en mission, il avait rencontré une fille avec qui il eut une relation. Malheureusement, sa vie professionnelle prit le dessus et il abandonna toute idée de former une famille. La seule fois où il fit exception, ce fut le jour de la mort de sa mère, décédée d’un cancer. Il était toujours posté au pays et accompagna celle qui l’avait élevé, restant à son chevet jusqu’à son dernier souffle. Une telle tragédie le bouleversa car au fond de lui, Léon était un doux gaillard avec un grand cœur. Mais une fois l’uniforme enfilé, il avait une habileté surprenante de se séparer de ses sentiments et de devenir le soldat Smith, celui qui ne craignait pas grand-chose, si ce n’était de mourir dans l’oubli. Entouré de très peu d’amis, s’il faisait ça c’était surtout pour préserver un certain nombre de valeur et d’idée sur planète, comme les Droits de l’Homme, quelque chose de qui le tenait très à cœur.
Enfin, après une rude période basé en Afghanistan où il a connu le pire moment de sa carrière, il fut réaffecté et médaillé pour ses services rendus. Il garda sa spécialité, surnommé « L’éclaireur » par ses coéquipiers, jusqu’à ce que son oncle, encore une fois, vienne lui parler en personne pour lui annoncer qu’il serait transféré à la base de Cheyenne Mountain, aux USA, dans la perspective le symboliser l’alliance entre les ricains et les rosbifs. Cette mutation n’intéressa pas Léon qui devait quitter ses quelques amis anglais et après l’instance de son oncle, c’est presque avec à contre cœur qu’il accepta. Ne sachant pas grand chose à part que c’était sous le monopole de l’armée de l’air américaine, il fut persuadé qu’il étai envoyé là-bas pour apporter son expérience à de jeunes recrues, car il ne voyait pas ce qu’il pouvait faire d’autre. Il pensait alors que ça serait un moyen de l’amener tout doucement vers une retraite anticipée et retourner dans la vie civil, l’Afghanistan étant très loin derrière lui maintenant malgré le nombre de souvenirs douloureux importants qu’il gardait.
Voilà tout ce que Léon pensait, jusqu’au jour où on lui parla du projet Porte des Etoiles…
Type: Militaire
Situation sentimentale: Non, pas le temps pour ça.
Test Role Play:
Afghanistan, 2001
Cinq personnes marchaient le long d’une crête menant à une colline rocailleuse, 105 km au sud de Kaboul. Elles étaient armées, avançant en formation avec prudence. Dans l’ombre d’un passage montagneux, Léon sortit son couteau en main sans émettre un son et avança rapidement et silencieusement, la combinaison des deux ne pouvant être réussie qu’après une formation et des années d’entraînements sérieuses et difficiles. Ce genre de paysage avait ses points positifs et négatifs. L’avantage, c’est que qu’il n’y avait pas de nature dense et bruyante qui vous ferez repéré facilement. L’inconvénient, c’était que n’importe qui pouvait être à découvert sur un tel terrain et qu’il fallait savoir ou mettre les pieds, dans quelle direction aller pour se replier si on voulait déguerpir rapidement. Et si on regroupait les deux caractéristiques de ce paysage, on en déduisait que c’était l’endroit idéal pour tendre une embuscade. Ce lieu pouvait être tout à la fois : un désert, un champ de bataille, un refuge, un cimetière…
Doucement et accordant une dernière prière, Léon s’avança vers sa cible. Il prit soin de mettre de la poussière et du sable sur la lame de son couteau afin de minimiser les reflets de la lumière du soleil sur l’acier. Encerclant le groupe d’individus, il repéra que l’un des homme avait pisté quelque chose. Léon savait qu’il avait fait un mouvement trop brusque, au moment de passer par le renfoncement de la montagne à leur gauche. Il profita alors de cette diversion pour parcourir la distance qu’il lui restait entre sa position et celle de sa cible principale. Sur les derniers mètres, il ne fit pas exprès d’émettre un bruit et cela le trahit.
Sa cible se retourna soudainement et eut un hoquet de surprise en voyant Léon, couteau à la main, suffisamment proche pour lui trancher la gorge. L’homme soupira, le visage en sueur et ses yeux prouvant la peur qui l’avait submergé pendant un bref moment.
« Putin de merde, Léon ! » Rugit le Lieutenant Dansfeld. « J’ai failli chier dans mon froc ! Prend moi par derrière tant que tu y es. » Ajouta-t-il en tentant de faire sourire. Mais son humeur ne plaisait pas à Léon Smith, qui rengaina son couteau et qui ignora les paroles de son incapable de supérieur. Le fixant d’un regard méprisant, il fit son rapport.
« La voie est libre. Jusqu’à ce sommet avant la descente. » Dit-il en montrant l’endroit du doigt.
« Je pars en avant ? » Demanda-t-il, préférant sécuriser le terrain seul plutôt que d’avoir à se coltiner une unité entière qui pourrait tomber dans une embuscade.
« Ouais tient, pourquoi tu ne ferais pas ça… Et prend un de tes sbires avec toi, ils sont là pour s’entrainer un peu, non ? » Répondit Dansfeld en reprenant un air plus digne.
« Y paraît. » Fit simplement l’éclaireur.
Léon n’aimait pas Dansfeld. C’était une petite tâche de merde insignifiante pour le régiment, et même si peu osaient lui demander, c’était son avis. Et à partir du moment où Léon avait un avis, il était rare de le convaincre du contraire. Aujourd’hui, c’était le Lieutenant qui commandait la troupe mais c’était occasionnel. Au retour au camp de base, cette mission de reconnaissance basique serait oubliée et envoyée aux archives.
Léon prit Fred pour l’accompagner et les deux hommes partirent au loin. Ils sécurisèrent une partie de la zone, soucieux du danger qui pouvait rôder selon les renseignements qu’ils avaient reçus. Mais tout ça, cette mission et cet écœurement envers Dansfeld… C’étaient des choses insignifiantes que Léon avait appris à regretter, notamment lorsque même pas 48h plus tard, la moitié de l’effectif y compris de l’unité actuelle, y compris Dansfeld et Fred, serait tuée dans un attentat à la bombe a à peine 5 km de là…
Vous
Avez vous déja joué sur des forums type Jeu de role (role play)? Oui
Comment avez-vous connus le forum ? Me souvient plus
Regardez vous l'une des séries Stargate ? Oui
Le nom de la personne sur votre avatar: Jason Statham
Sujet: Léon Smith 
