Davis arriva à l'infirmerie, le Général venait d'y être amené. Pour le moment, le commandant intérim du SGC ne pouvait entré et ni avoir de nouvelle, les médecins étant occuper sur O'Neill. Ne pouvant rester en place dans l'attente, le Major décida de se rendre à la morgue, du moins, une salle dans le niveau de l'infirmerie, où on été placé les corps du Soldat O'Bryan et un jaffa rebelle, tous les deux morts au champs de bataille. Une troisième personne avait trouvé la vie sur ce champs aussi, c'était le Sous-Lieutenant Kelgi, mais son cadavre avait été aspiré dans le vortex.
Paul regarda les cadavres, bien qu'il était recouvert d'un drap blanc, il savait comment était leurs blessures mortelles, les ayant vue en salle d'embarquement à leurs arriver. Se recueillant sur eux, le Major fût interrompue par une infirmière. Il avait fini d'opéré le Général et le docteur voulait voir Davis. Marchant à grand pas, il arriva quelques secondes après dans le couloirs, juste à côté de la salle où se trouve Jack. Il alla vers le docteur qui venait de l'opéré et demanda :
Quel est l'état du Général ?
«Nous somme parvenu à stabilisé son état et il est maintenant hors de danger.»
Cette nouvelle ravie le Major, qui retrouva son sourire, même si il avait toujours en tête les images d'horreur de l'arrivée des cadavres et du Général par la porte. Le Docteur continua de parler :
«Il est actuellement toujours dans un coma profond, nous ne savons pas encore quand il va en sortir, mais cela ne devrait plus tarder.»
Et pour sa jambe gauche ?
«La coupure de sa jambe était juste en dessous du genou et heureusement, grâce à sa l'artère principal n'a pas été toucher. Cela permettra au Général, de pouvoir remarcher un jour.»
Paul ne comprenait pas tous, le Général n'avait plus rien en dessous du genou, comment pourrez t'il marchait ? La solution était pourtant simple, mais Paul ne s'en rendit pas compte, ses pensés étant sur Nebek, espérant qu'il n'y aurait d'autre victime mais le docteur lui donna la solution.
«Un nouveau système de jambe artificiel permettra au Général de marchait. D'ici deux semaines nous pourrons lui mettre. Avec un peu de rééducation et de la volonté, il y arrivera rapidement.»
Merci Docteur, vous avez fait du bon travail. Je peux allé le voir ?
«Si il n'avait pas eût les soins nécessaire sur Nebek, je n'aurais rien pût faire. Vous pouvez y aller Major, mais pas longtemps, il doit se reposer.»
Remerciant encore une fois le docteur, le Major entra dans la salle d'opération. Le Général se trouvait sur le lit, au milieu de la pièce et recouvert jusqu'au bas des épaules par un draps bleu ciel pour pas que l'on puisse voir sa jambe et c'était surement mieux ainsi. Se rapprochant de son vieille ami, il posa les mains sur le bord du lit et dît :
Ah Jack ! Tu ne changera jamais, tu nous fera toujours aussi peur.
Ce n'était pas ce que Davis disant dans ce genre de situation d'habitude, mais c'est la seul chose qui lui venu. Paul resta quelques minutes au chevet de son ami, pensant à tous les bons moments qu'ils avaient passé à deux. Le Major serrait bien rester plus longtemps, mais il ne pouvait pas, il avait un coups de fils important à passer.
Quelques minutes plutard, le Major était dans le bureau du Général. Assis sur le fauteuil, il prit le téléphone rouge et appella.
Messieurs le Président, ici le Major Davis. Le président fût étonné d'entrendre la voix de Davis sortant de ce téléphone. Paul connaissait le Président, il avait travaillé avec lui, lorsqu'il était encore agent de liaison. J'ai quelques choses de très importants à vous révéler. En matière de porte des étoiles, le Président était maintenant habituer à ce genre de chose. Grâce à la tok'ra, nous avons retrouvé la trace de deux de nos hommes, disparue au combat, ils sont retenu sur la planète mère d'Anubis. Le Président réagit de suite, demandant si Davis voulait envoyer une équipe pour les sauver. A ce moment là, il demanda également où était O'Neill, le Major fronça les sourcils et répondit : La mission a déjà été lancé et si le Général n'est pas la, c'est parce qu'il commande cette mission et m'a nommé à sa place. Le ton monta dans le téléphone et arracha limite l'oreille de Paul. Je sais bien que votre autorisation n'a pas été demander messieurs, mais ce n'est pas tous, le Général O'Neill a été toucher. Au bout du fil, le Président ne dit rien pendant quelques secondes et demanda ensuite si il été mort. Non, il n'est pas mort mais a perdu une partie de sa jambe gauche, il est actuellement dans le coma. Laissant le représantant du peuple américain parler, le Major fini par dire : Je vous tiens au courant dès que j'ai des nouvelles.
Une fois qu'il a raccrocher le téléphone, Davis retourna de suite au chevet de O'Neill.