[Intrigue V] Rencontre [PV Alekzander]

Arrivé au SGC : 26/04/2007

L'attente dans la salle d'embarquement fût longue, très longue bien qu'en réalité, elle ne dura qu'un quart d'heure, Marie avait l'impression que plus de deux heures c'était écouler. Il faut dire, que l'ambiance entre les jaffas et tok'ras était déjà assez tendu, avec le stress de cette mission en plus, la jeune femme était au bord de la crise d'angoisse. Lorsque le Général O'Neill revient en salle d'embarquement pour expliquer la stratégie, Marie était étonner. C'était bien la première fois qu'elle entendait parler d'une telle opération et cela ne pouvait, probablement, que mené à la victoire. Parmi ses trois assaut, Cruk se trouvait dans le premiers. Elle n'avait pas un rôle principal dans cette assaut puisqu'elle était exceptionnellement dans l'équipage de Prométhée. Il faut dire, que cela était assez logique, puisque Marie avait participer à l'élaboration du vaisseau terrien avec tous les scientifiques de se projet. Elle était donc capable de pouvoir réparer le vaisseau en cas de problème.

Lorsque le briefing fût fini, Marie ainsi que tous les membres affecter au Prométhée et aux vaisseaux cargos, fût téléporter dans l'engin spatial terrien.

La scientifique arriva en salle de commandement, appeler plus couramment la passerelle, où le Colonel Turner donner ses ordres. Le conseiller asgard du vaisseau, Hofaïrt était indisponible pour le moment, prit par le grand conseil asgard, pour la menace réplicateur. Marie était donc la personne sur le vaisseau, la plus qualifier et surtout connaissant le mieux le vaisseau pour pouvoir le réparer. Alors que le voyage commença vers la planète d'Anubis, qu'elle avait d'ailleurs oublier son nom, Marie décida d'aller en salle des machines, pour pouvoir ainsi contrôler qu'il ne se passe aucune anomalie et être là en cas de besoin.

Marchant dans les couloirs du vaisseau, terrorisé à l'idée de savoir, que deux humains ont été et torturer depuis quatre mois et que cela continuer, si elle était à leurs places, Marie n'aurait pas êut cette force. Elle savait que les prisonniers n'avaient pas parler, puisqu'Anubis n'avait pas encore attaquer le SGC. En tous cas, elle voulait tous faire pour les aider. Arrivant dans le couloir adjacent à la salle de contrôle, elle remarqua un homme, qu'elle n'avait jamais vue avant, ni au SGC, ni sur le Prométhée. Cela surpris Marie, qui cela pouvait bien t'il être ? En tous cas, pour qu'il soit là, c'est qu'il devait avoir une autorisation, le scientifique décida donc de l'accoster.

Bonjour, je suis le Docteur Marie Cruk, vous êtes ?

Cela pouvait paraître direct pour le jeune homme en face d'elle, mais Marie était dans cette nature.

Arrivé au SGC : 10/07/2009

Pendant que tout le monde se préparait pour la mission suicide joyeusement organisée par le Général Jack O’Neill, un individu un peu louche fut téléporté un peu en retard par rapport au reste du groupe. Il s’agissait du Comte Schneizel. En réalité, celui-ci n’avait de Comte que le titre (ainsi qu’une belle fortune derrière lui) et ne parlait pas comme un vrai noble. En revanche, s’il y avait bien un trait de la noblesse qu’on pouvait observer chez lui c’était d’être relativement…chiant. Alekzander tenait absolument à participer à cette mission, même en tant qu’observateur ou assistant technique. Il avait en effet non seulement apprit que la célébrissime scientifique Samantha Carter faisait partie du voyage et que cette mission consistait à détruire une base d’Anubis. Voilà une belle occasion pour observer les merveilles de la technologie faites grâce à la Porte des Etoiles…même au péril de sa propre vie. Tout cela s’était décidé à la dernière minute, ce qui faisait de Schneizel un passager imprévu pour le voyage. Ainsi en cas de pépin (comme la destruction des moteurs à hyperpropulsion) il y aurait sans doute un léger problème de rationnement au niveau de la nourriture. Mais Schneizel était un technicien de génie et saurait réparer aisément les moteurs…sauf si la partie du Prométhée contenant les moteurs venait à être arrachée au vaisseau. Alekzander fut téléporté sur la passerelle à son arrivé, quelques instants après tout le monde, il ne put s'empêcher de faire un bref discours:

« Salutation humble guerriers de la justice. J'ai entendu dire que nous étions partis pour une grande mission de sauvegarde de l'humanité tout entière. Voilà pourquoi je n'ai pas hésité une seule seconde à foncer voir le Général pour observer la plus belle mission suicide orchestrer par l'homme. Afin d'augmenter le pourcentage de la victoire, je me propose en tant qu'assistant technique. Voilà voilà...bonne chance à tous!

Il portait sa traditionnelle blouse blanche et ses lunettes ainsi que sa tablette pc et un sac à dos. Mais l’objet le plus étrange se trouvait entre les mains du Comte. Il s’agissait d’une caméra scope dont la sangle était accrochée au cou du chercheur. Vu de loin on aurait dit un touriste…et c’était en partie le cas vu qu’il était à bord du Prométhée en tant qu’observateur et assistant si besoin en est. L’étrange docteur agita la machine au niveau de son oreille droit comme voir s’il marchait. Un technicien à bord lui dit :

« -Je ne sais pas si les caméras sont autorisés ici…c’est une mission top-secrète.
- C’est pour garder un souvenir…vous savez c’est la première fois que je quitte la Terre. Sans doute la dernière fois à ce qu’on m’a dit hahaha. Et puis ça pourrait vous faciliter dans notre rapport quand nous reviendrons…enfin si nous revenons hihi. »

Voilà les paroles que des militaires n’aimeraient sans doute pas entendre avant de partir en mission. Faut croire qu’en plus d’être dingue mais optimiste, Schneizel manquait cruellement de tact. Tout en souriant il déposa ses affaires là on lui avait dit de les poser afin de ne pas gêner les techniciens. Le Comte se dirigea ensuite vers le hangar bâbord du Prométhée. On lui avait dit que c’était là que se trouvait Carter. Le Prométhée était le premier et le seul vaisseau grand envergure de la Terre, il était par conséquent doté des dernières technologies modernes. Schneizel avait même participé à ce projet comme celui du F-302 et du F-301. Le Comte avait tellement hâte de rencontrer Carter qu'il oublia de tourner à gauche et partit donc tout droit en direction de la salle des machines, là il croisa une certain Marie Cruk. Celle-ci ne perdit pas une seconde pour lui demander son nom.

"Salut, moi c'est Schneizel. Mais vous pouvez m'appeller Alekzander...ce prénom étant particulièrement long à prononcer, appellez moi Comte ça ira très bien. Je suis ici en tant qu'observateur, dit-il en agitant sa caméra mais aussi en assistant technique..."

Puis un petit *tilt* se fit entendre dans sa tête. Marie Cruk...c'était bien celle qui avait participé au projet du Prométhée? Oui c'était ça, Schneizel l'avait aperçu à plusieurs reprises...y comprit à la fête du premier vol du vaisseau terrien.

"Mais je vous connais ! Vous avez élaboré ce vaisseau non? C'est aussi vous qu'on surnomme la "Femme Facile"!! A moins que cela ne soit quelqu'un d'autre...Carter peut-être...je sais plus. En tout cas je me rapelle très bien de vous!"

Décidément...Schneizel manquait vraiment de tact.

Arrivé au SGC : 26/04/2007

Marie avait engagé la conversation avec l'homme et celui-ci ne tarda pas à lui répondre. Elle eût la confirmation, que c'était bien un nouveau au sein du Prométhée, il était d'ailleurs ici, en tant qu'observateur et technicien. Un observateur lors d'une mission pareille ? Est-ce bien suicidaire ! Enfin, cette homme venait surement d'un milieu aisé au vue de son vocabulaire, mais aussi de son arrogance, «appelez moi Comte ça ira très bien.» Non mais, pour qui se prend t'il celui-là. Cruk ne perdit pas de temps pour lui faire savoir.

Et bien, je vous appellerez Alekzander, c'est toujours mieux que Docteur Schneizel. Vous ne verrez jamais, vous appelez Comte, votre titre de noblesse, n'a rien a faire sur ce vaisseau.

La scientifique n'avait pas sa langue dans sa poche, sa c'était sur, mais elle évitait tous de même, de ce mettre tous le monde à dos, elle restait donc correct dans on langage.

L'homme qu'elle avait en face d'elle, connaissait visiblement Marie, et aussi Carter, mais il avait raison.

Effectivement, je fais partie de ceux, qui on contribuer à l'élaboration de ce vaisseau.

Le reste de la phrase, ne fît pas sourire la scientifique, même les nouveaux, sans la connaître, savait que Marie était la femme facile du SGC. Une étiquette qui risque de suivre surement la jeune femme longtemps, elle ne peut dire que merci...Sherman ! Mais, elle le nia.

Moi, une femme facile ?

Marie soupira avant d'ajouter.

Ce ne sont que des ragots vous savez, il ne faut pas les croire. D'ailleurs, le Docteur Carter n'en n'ait pas une non plus.

En tous cas, Cruk eût tous de même les joues un peu rouge sur ce coups elle, elle devra freiner un peu ses ardeurs pour ne pas finir avec cette réputation tous le long de sa carrière et de sa vie.

Je vais en salle des machines, jeter un oeil, pour voir que tous fonctionne bien, vous voulez venir avec moi ?

Au moins, Marie aurait l'occasion de connaître mieux, ce cher «Comte», car pour le moment, elle n'a pas une très bonne image de lui, il faut dire, elle ne met pas non plus, beaucoup du siens.

Arrivé au SGC : 10/07/2009

Alekzander éclata de rire devant la réponse de Marie. Cette mission suicidaire commençait à lui plaire. Il y avait beaucoup d’individus intéressant sur le Prométhée et la docteur Cruk en faisait partie. Schneizel ne tenait pas à son titre de Comte, seulement dans les situations qui requéraient son attention dans les plus brefs délais ses assistants préféraient l’appeler Comte car c’était le seul à porter ce titre en Zone 51 et c’était aussi plus rapide à dire que docteur Schneizel ou Alekzander. Outre cela, appeler Comte un être aussi étrange que le Schneizel pouvait être amusant…mais chacun ses délires.

« Hahahahaaa, appelez moi comme bon vous semble docteur Cruk. Je vous donnerais volontiers mon titre si cela n’était pas plus facile pour les gens qui m’appellent. »

En disant cela il s’imagina ses amis, ou du moins le peu d’amis qu’il avait, inscrire le nom d’Alekzander Schneizel sur leur email sur le répertoire de leur portable. Sa consœur embraya ensuite sur le fait qu’elle avait bel et bien contribuer à l’élaboration du Prométhée. Celle-ci sembla d’ailleurs nier qu’elle fut ou qu’elle soit une femme facile. Schneizel s’était sans doute trompé, mais ne regretta pas un seul instant ses propos. De toute façon il était toujours comme ça.

« Oh oui j’ai probablement dû confondre avec une autre personne, vous savez on dit tellement de sottises en ces temps… » comme celle qu’il venait de sortir à l'instant…

Malgré cela, les joues du docteur Cruk virèrent au rouge. Heureusement, Alekzander n’y fit pas attention. Ses yeux se reportèrent sur le vide sidéral et la Terre. Cette dernière était magnifique vu du vaisseau. Marie lui proposa ensuite d’aller faire un tour dans la salle des machines. Schneizel n’oublia pas Carter mais celle-ci n’allait pas s’envoler…quoique… En tout cas elle pouvait bien attendre.

« Je serais ravis de jeter un œil dans cette salle des machines. Il serait dommage que l’on percute de plein fouet une planète en sortant de la vitesse lumière hihihi. Contrairement à ce qu’on dit il y a des chances que ça arrive même avec un moteur en bon état, si par exemple les ordinateurs ont un petit bug, ce qui arrive plus souvent qu’on ne le croit, et calculent mal la trajectoire et la durée…enfin le bon côté des choses c’est que si on s’écrase, l’équipe au sol sera bien vite informé hihihahaha »

Et voilà…encore une bourde à ajouter dans la liste des bêtises défaitistes sorties de la bouche du docteur Schneizel. Heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de technicien dans les parages. Pourtant le Comte n’était pas un défaitiste, seulement il aimait faire peur aux gens ce qui lui causait pas mal de problèmes d’ordres sociologiques. Les deux confrères se dirigèrent donc vers la salle des machines, celle-ci se présenta quelques mètres plus loin après plusieurs virages.
La salle des machines était l’endroit le plus important sur le Prométhée après le mess…Alekzander pria Marie de commencer l’inspection final avant le combat. Tout d’abord parce que c’était une femme qui semblait détester Schneizel et ensuite parce qu’on avait désigné Alekzander en tant qu’observateur. Il savait par-dessus tout que si un pépin survenait on le mettrait sur son dos. Après tout il n’est responsable d’aucun équipement sur ce vaisseau (mis à part le maintient de la caméra) et tout le monde le pensait fou. Malgré cela, le Comte ne put s’empêcher de jeter quelques coups d’œil par-ci par-là pour détecter le moindre signe d’imperfection dans la mise en place des cristaux. Il posa ensuite une question à Marie, pour une fois celle-ci n’était offensante et le surmoi de Schneizel s’en félicita :

« Quels sont objectifs au cours de cette mission mademoiselle Cruk ? »

Le Comte connaissait la réponse mais il voulait en être sûr…et puis pour une fois qu’il prononçait une phrase sans faire de bavure on n’allait pas l’en priver.

Arrivé au SGC : 26/04/2007

Lorsque Marie répondit au question de ce fameux Comte, celui-ci rît. Il faut dire, qu'il ne doit pas avoir affaire à une scientifique n'ayant pas sa langue dans sa poche très souvent. Enfin, maintenant que les présentations étaient faite, il allait pouvoir passer à un stade au dessus.

Alekzandr appelait moi Marie, cela sera plus simple pour nos relations professionnel.

Et amicale, si une se développe par la suite. En tous cas, l'interlocuteur de Marie, n'avait pas, lui aussi, sa langue dans la poche, entre la vantardise et les gafferies, c'était le gros lot ! Les dirigent du programme porte des étoiles, avait t'il trouver un boulet, plus fort que Dean Jonshon ? Même ci se derniers avait fait pas mal d'effort ses derniers temps.

Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude de se genre de rumeur.

La scientifique soupira à la fin de sa phrase, elle en avait marre de toujours entendre ses rumeurs, même si dans le fond, elles ne sont pas fausse. Enfin, pour le moment, elle ne devait pas pensé à se et se concentré sur la mission du Prométhée.

Et bien, on y vas alors.

Il avait accepté de venir en salle des machines, après tous, pour un observateur, c'est quelques choses de normale. Même si ce qu'il avait dît était assez logique, il n'y avait quand même une faible chance que cela se produit, mais c'était tous de même possible.

Tous est prévu pour que cela n'arrive pas Docteur, nous arriverons à bonne destination. Au pire, si on s'écrase, nous aurons fait presque toute la mission, à nous seul.

Marie eût un petit sourire de sadicité, mais elle ne voulait pas que sa arrive. A la vitesse où le vaisseau vas, lorsqu'il sort de l'hyperespace et si près de la surface de la planète, plus de la moitié serrait de la surface, serrait détruite.

Le but de notre mission, est de détruite la fabrique de guerrier kull d'Anubis et de libérés les deux hommes du SGC.

Regardant tous les ordinateurs, pour le moment, il n'y avait pas de défaillance et cela ne devait pas arriver de tous le trajet, normalement.

Dit moi Alekzandr, c'est votre premier vols sur le vaisseau ? Pas trop stressé ?

Arrivé au SGC : 10/07/2009

Son interlocutrice lui demanda de l’appeler simplement Marie. C’était plus amical que docteur Cruk mais surtout moins professionnel. Alekzander remarqua l’erreur que Marie avait faite sur son prénom, ce à quoi il répondit tout en gardant son habituel sourire de malade mental:

« Et vous pouvez m’appeler Alekzander… »

Schneizel suivit ensuite Marie jusqu’à la salle des machines. Pendant le cours trajet elle lui répondit que le fait de s’écraser sur la planète accomplirait une part de la mission. C’était une très belle façon de voir les choses. Mais le Comte ne connaissait pas les objectifs de la mission. A vrai dire il n’était arrivé que ce matin au SGC, ce qui faisait probablement de lui le plus récent scientifique affecté au SGC sur le Prométhée. La docteur Cruk lui parla ensuite de la mission. Il s’agissait de détruire la fabrique de guerriers Kulls d’Anubis et de libérer des prisonniers.

« Ah oui les guerriers Kulls…j’ai étudié le dossier en zone 51. Il faudrait que j’approfondisse la recherche sur leur armure de dernière génération. »

En réalité, Schneizel était impressionné par l’ingéniosité d’Anubis. Le principe même du guerrier Kulls représentait une avancée considérable dans la science. Le seul petit problème que le Comte voyait à ces guerriers c’était leur durée de vie et leur cœur. Si les goa’ulds avaient un minimum de connaissance en intelligence artificiel et en robotique, ils auraient pu revêtir l’armure à une machine humanoïde. En tout cas, c’est ce que Schneizel aurait fait. D’ailleurs s’ils arrivaient à capturer ne serait-ce qu’un seul guerrier Kull pendant la mission, le Comte pourrait poursuivre ses recherches. Mais il n’était pas en mesure de demander quoique ce soit. De plus cela pouvait être particulièrement dangereux. Il aura sa chance une autre fois…dès qu’il aura élaboré un piège permettant de neutraliser un de ces soldats d’Anubis.

En regardant les ordinateurs de la salle de machines, Alekzander remarqua comme Marie que tout se déroulait bien et qu’il n’y aurait pas de problème durant le trajet. Sa consœur lui demanda ensuite s’il n’était pas stressé par le voyage intersidéral. Ce à quoi il répondit avec amusement :

« Oui c’est mon premier vol…et c’est Alekzander mon prénom…c’est aussi la première fois que je vais aussi loin de la Terre. Non je ne suis pas stressé…je ressens plutôt de l’excitation à l’idée de participer à un combat spatial. En plus ça fait toujours son petit effet de voir pour la première fois l’un de ses enfants en fonction. »

Par enfant il entendait évidemment création. Le Prométhée n’était pas sa propre création mais il avait toutefois élaboré le projet avec beaucoup d’autres scientifique. Schneizel ne tenait presque plus sur place et était pressé de voir le vaisseau terrien en action.

« D’ailleurs je vous retourne la question. N’êtes-vous pas stressée à l’idée d’affronter la flotte d’Anubis ? On m’a dit que ce seigneur Goa’uld disposait d’une redoutable armada. Je place une très grande confiance dans le Prométhée, mais que peut faire un vaisseau expérimental contre toute une flotte ? »

Et puis d’ailleurs, pourquoi tant d’hommes pour une mission de sauvetage et de destruction ? Tactiquement, le SGC risquait de perdre plus d’hommes qu’il n’était venu en libérer. Ne valait-il pas mieux envoyer trois ou quatre bombes au naquadriah enrichi sur le site de production de guerriers Kulls ? Toutes ces questions trottaient dans la tête d’Alekzander. Mais ce n’était pas vraiment ce qu’il y avait de plus important. Il poserait ces questions plus tard.

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