Jason regardait les réactions de chacun des membres. Certains parlaient, d’autres non. Cela se faisait naturellement, et Turner espérait qu’ils allaient vite trouver la faille dans le plan des réplicateurs. Certains posèrent des questions, d’autres répondirent ; plus ou moins faux ; mais Menchu fût le plus explicite.

« En effet, comme l’a dit le Colonel Narah, si nous arrivons à détruire leur planète mère et cette machine, on ferait d’une pierre deux coups. Ce plan me semble bon, je vais en référer au président. En ce moment même, une bombe enrichie au naquadah est crée, par ordre du président elle devait servir à détruire le gros de la flotte des réplicateurs lors de l’attaque de la Terre, mais je pense que c ette attaque change son utilisation première. Nous avons toujours le Cargo récupéré par le site Beta il y a 3 mois. Ils l’ont reconstruits, mais il n’est pas tout neuf. Je vais demander à l’Odyssé de vous embarquer à son bord et de vous lâcher sur une planète proche de celle des crabes. Je pense aussi que nous devrions avertir Yû de nos plans... Même en mode furtif, nous ne sommes pas sur que le Cargo, vu le niveau technologique des réplicateurs, puisse passer inaperçu... du moins j’en doute. Si on peut contacter ce Goa’uld et le convaincre de nous aider, en envoyant l’Odyssé et l’Apollo en soutiens, cela pourrait créer une très bonne diversion. Solnek, essayez de faire savoir à Yû en quoi consiste notre plan. Avant tout, je vais appeler en haut lieu, et leur proposer notre idée... Sa peut marcher. Je n’en ai pas pour longtemps. »

Jason se leva rapidement, laissant partir son siège qui frappa rapidement la table derrière lui. Solnek limita, suivit de ses 8 Tok’ras, qui apparement repartaient immédiatement afin de faire savoir à Yû ce qui allait ce passer. Ils n’avaient même pas attendu la réponse du Président...
Jason entra dans le bureau, ferma la porte et tapa rapidement le numéro de téléphone du Président. Les secondes passèrent, les minutes, au bout de 40 minutes de conversation avec son supérieur, il revint, le regard plein de questions.

« Il à dit oui. Il suit le plan, en même temps nous n’aurons pas d’occasions comme celles là. Il faut détruire cette arme, et nous avons tout pour y arriver. Narah, vous irez avec le Colonel Naidu, le Major Ocelot et le Capitaine Kaïger. J’en ai profité pour contacter la zone 51, leur bombe est prête depuis des semaines et moisie dans un placard. De plus.. le président m’a demandé de leur ordonner d’ajouter le Primius à cette mission. Il n’est pas totalement fini, mais les meilleurs scientifiques de la zone 51, ainsi que vous Docteur Kawalsky, devrez faire de votre mieux une fois entré en hyperespace vers P5S-204 ; la planète mére des réplicateurs. Vous embarquerez sur le vaisseau, et tacherez de le finaliser au maximum durant le trajet... L’Odyssé est en orbite, et l’Apollo est déjà allé chercher le vaisseau Cargo. Il reviendra d’ici 2 heures. Si Yû veut nous épauler, nous aurons une réponse d’ici là.. théoriquement. Vous embarquez tous dans une heure sur l’Odyssé. Des questions ? » Jason les regardait tous un par un. Le moment était bien choisit pour poser les dernières questions. Une fois sortit de cette salle, ils seraient seul contre une flotte de vaisseaux réplicateurs.

Une fois les questions (ou pas) posées, Jason s’avança vers Jack et Boba.

« Messieurs, j’espère sincèrement que vous pourrez rejoindre votre réalité sain et sauf. Comme l’a dit Menchu, une fois sur la planète, la bombe s’enclenchera automatiquement. Là, vous n’aurez que peu de temps pour rejoindre l’appareil et l’activer afin de repartir... Bonne chance à vous. »

Turner tourna les talons après les avoir longuement regardés. Il s’enfonça dans les couloirs du SGC, attendant de voir si ils avaient réussis leur missions ou non...

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Tous s’étaient préparés en prenant des armes au SGC. L’équipe d’Oneill allaient repartir, du moins essayer. Il ne faudrait pas merder... Selmak allait mieux, il allait pouvoir marcher, mais était encore très faible. Narah, Naidu, Ocelot et Kaïger allaient être le seul support de l’équipe alternative, eux seuls pourraient les aider... Équipements et armes en mains, ils se furent téléportés sur l’Odyssé. Pour les nouveaux venus (principalement l’équipe à Jack), tout ceci était nouveau. Cela ressemblait au Prométhée intérieurement, mais une fois que l’Apollo sortit d’hyperespace, tous furent stupéfaits par sa configuration extérieure. Il était plus... futuriste, plus... plat que le Prométhée. O’neill se demanda qu’il devrait demander au commandant de bord sa configuration, afin de faire de même dans sa réalité... Ici, ils avaient une avancée technologique plus flagrante que dans leur réalité, et cela était assez encourageant.
Une transmission se fit entendre du Colonel Evrett, aux commandes de l’Appolo.

« Nous avons récupérés le cargo et la bombe, seulement le vaisseau est en mauvaise état... Mes ingénieurs de bord sont déjà sur le coup. Je vais téléporter l’équipe d’intervention à bord de l’Apollo de tel sorte à ce qu’ils puissent l’aborder une fois fini et partir à la sortie d’hyper-espace en mode furtif. La bombe est prête à être activée, nous n’attendons plus que le Primius... »

Aussitôt dit, le troisième vaisseau Terrien fît son apparition. Le groupe de trois vaisseaux était au complet désormais. Janet et Nyphus avaient apparement abordés le vaisseau avant qu'il ne parte, et venaient d'être téléportés sur l'Odyssé. Janet avait embarquée sur l'Apollo avec le reste de l'équipe, et avait insisté pour les accompagner sur la planète malgré les énormes risques. Nyphus, quand à lui resterait sur l'Odyssé afin de défendre l'engin en cas d'abordage probable des crabes.. Tous attendait patiemment l’ordre de passer en hyperespace, en attendant la réponse positive ou négative du Seigneur Yû. En attendant, chacun vaquait à ses occupations sur les vaisseaux en orbite... Tous avaient été envoyés sur l’Apollo, le docteur Kawalsky avait déjà commencée les finalisations sur le Primius avec des dizaines d’autres scientifiques. Après plus de deux heures et demi d’attente, une communication fût envoyée vers les engins. Yû avait accepté leur requête, et avait rassemblé le gros de sa flotte afin d’envoyer un assaut lourd et puissant contre les crabes, qui lui causaient aujourd’hui bien plus de mal que ses congénères Goa’ulds. Tandis qu’ils allaient passer en hyperespace pour rejoindre une petite planète non loin de P5S-204, une autre communication arriva simultanément sur les trois engins.

« Attendez nous Colonels. Nous partons avec vous. »

Tous se regardèrent dans les vaisseaux. D’où pouvait provenir ce message, et surtout de qui ?

« Identifiez vous » ordonna le Colonel Ciris, commandant du Primius.

« Je suis le Colonel Chekov, du vaisseau Russe Korolev. Le gouvernement américain à cru bon de nous cacher ses plans, mais votre président l’a dit au mien. Il à aussitôt ordonné le lancement de notre vaisseau qui n’est pas totalement fini, tout comme le Primius si j’ai bien compris. Quoi qu’il en soit, les Russes veulent aussi leur part de gloire de cette bataille. Les chinois ont commencés un vaisseau, et sont déçu de ne pas pouvoir se joindre à nous. »

« Notre gouvernement ne vous a rien caché Colonel... » ajouta le Colonel Blane, la seule femme commandante d’un vaisseau, de l’Odyssé dans ce cas là.

Aucune réponse ne provint du Korolev, qui attendait entre le Primius et l’Apollo. Après quelques secondes de silence, l’Odyssé entra en hyperespace, suivi du Korolev, de l’Apollo et enfin du Primius...

Le voyage fût long. Tous réfléchissaient à ce qui allait se passer. La plupart avaient parlés entre eux. O’neill s’était dirigé vers le Colonel Evrett, et lui avait gentille ment demandé les plans de ce type de vaisseau, ainsi que ses armements et ses défenses. Ce dernier, après une demande à la Terre avait accepté de lui donner ses informations, sur une dizaine de disques dur externes, soigneusement enfermés dans un petit sac qui serait transportés par les voyageurs.
Au bout d’une trentaine d’heures en hyperespace, les quatre vaisseaux terriens sortirent d’hyperespace, se retrouvant si petit dans toute cette flotte de vaisseaux Goa’ulds. Une communication s’ouvrit rapidement après leur sortie. Le visage de Yû apparût...

- Vous voila enfin. Ma flotte s’impatientait... Je suis dégouté de devoir combattre à vos côtés, mais séparément ces vermines ne seront jamais détruites. Ma flotte les tiendra à distance le temps que vous irez sur la planète... Sachez qu’une fois la bataille finie, nous serons surement supérieurs à vous en flotte... Ne faites aucun faux pas...

La connexion s’interrompit. Les Colonels, les arrivants et l’équipe de Narah avaient tout vu. Ils en parlèrent rapidement, mais le temps était au combat. Le vaisseau Cargo avait été réparé, mais il était assez.. « bancale ». Après quelques discussions, les scientifiques de l’Apollo avouèrent que le vaisseau n’avait pas été réparé convenablement... Le site beta n’avait rien fait pour, et ils n’avaient pas eut assez de temps. Un savon leur fût passé, le Colonel était dans une colère noire, il était très stricte. Ils durent opter pour une autre solution... Après quelques discussions, Boba et Menchu eurent l’idée de se faire téléporter sur la planète, une fois que la diversion aurait commencée. Cela impliquait donc que les vaisseaux devaient d’abord entrer dans la bataille, le temps de quelques minutes puis téléporter les membres sur la planète... Le pari était risqué mais c’était la seule solution. Le nouveau plan fût transmit à Yû, qui approuva. Toute la flotte se mit en route vers la planète mère des Réplicateurs qui n’était qu’a 5 minutes d’hyperespace... la tension était à son comble. Tous se demandaient sur la situation allait se dérouler comme elle devait le faire, dans le cas contraire ils auraient essayés.
Au bout de 5 minutes, l’Apollo sortit d’hyperspace, suivit de l’Odyssé, du Primius (qui avait été quasiment fini à part pour quelques systèmes, principalement grâce au docteur Kawalsky) et enfin du Korolev (en moins bon êtat technologiquement que ses frères spatiaux). La bataille avait déjà commencée. Un bout de la flotte de Yû était arrivée avant eux, et avaient fait feu à peine sortie. La flotte ennemis était composée de vaisseaux Asgards, Goa’uld, Réplicateurs et même de certains vaisseaux inconnus. De toute part, les tirs fusaient. Les quatre vaisseaux terriens avaient déjà été séparés de plusieurs kilomètres. Des Hataks (plus souvent) explosaient, mais impossible de savoir si ils étaient alliés ou non. Étrangement, ceux qui protégeaient la planète étaient bien moins nombreux à se faire détruire. Les crabes avaient dût les adapter des technologies des autres vaisseaux. Le Colonel Evrett annonça que l’équipe allait être téléportée avec la bombe sur la planète. Après avoir accordé un bref mais intense regard à l’équipe alternative et de soutien qu’il ne reverrait probablement pas, il ordonna à son second de les téléporter aux coordonnées convenus...


Un flash de lumière blanche, puis une vision assez flou. L’équipe, en formation venait d’arriver dans un couloir. Apparemment, et à première vue les murs étaient fais de réplicateurs inactifs. Aucun bruit, à part quelques bombardements au loin (surement les retombés des débris ou des tirs de la bataille spatiale qui se déroulait). D’après les informations des relevés énergétiques, l’arme était à 6 niveaux au dessus. Le téléporteur n’avait pas pût les rapprocher plus, un brouilleur avait été installé autour de l’arme... Étrange qu’ils n’aient pas protégés le reste de la planète. Bref, les murs étaient ornés de plusieurs lumières accrochées, des portes se trouvaient parfois à quelques endroits, mais apparement construits avec des métaux autre que du Réplicateur (un peu comme sur Atlantis pour les portes mais en moins design). Avançant prudemment, les relevés s’affolèrent soudainement sur l’appareil de Pierson, puis plus rien. Ils étaient désormais « aveugles » et ne savaient plus ou ils allaient. La bombe était transportés juste derrière eux par Evans et Kaïger. En cas d’affrontement, ils devraient tout faire pour la protéger... Arrivant à l’angle d’un couloir, ils remarquèrent que la décoration changeait d’un couloir à l’autre. Ici, les murs avaient été colorés, et cela paraissait un peu plus chaleureux... A part la troupe de crabe qui se dirigeait vers eux, sa aurait pût être sympa ici. Posant leurs affaires, se mettant accroupis pour certains, ils ouvrirent le feu sur les crabes, qui avançaient rapidement...

[5j pour répondre les n'amis ]
[Dans ce post, décrivez le plus gros de ce que je dis, pour le reste parlez avec les membres de ce que vous ressentez vis à vis de la situation, rester 36 heures sans parler c'est chaud... lol décrivez aussi des situations passés (juste avant le départ), sachant que certains ne reviendrons surement pas...]

*Flash- Back*

Une mission… Probablement la dernière…. Janet était là debout impassible devant le Général l’implorant de la laisser partir pour les aider ! Même Menchu n’avait pu l’empêcher d’aller dans le bureau de Jason…

- Janet j’ai dis non ! Tu as ton fils ici bon sang t’y as pensé ?!

La jeune femme resta imperturbable devant l’inquiétude de son ami. C’était son devoir et il se savait aussi bien que lui !

- Jas ! Il faut que je les aide… Je ne peux rester là sans rien faire ! Je serais plus utile là bas que ici sachant qu’ils se font massacré ! Je suis militaire aussi ne l’oubli pas ! Ce sont mes camarades… ce sont mes amis ! C’est mon devoir de protéger notre planète et en y allant je protège aussi mon fils…

Le général ne pu faire grand-chose face à l’obstination de son amie, et dans un sens il la comprenait, lui aussi aurait aimé venir démolir ces espèces de saloperies…

- D’accord… Mais fais attention bordel…

Frasier sourit au Général et dit d’un ton plus que grave, son sourire s’effaçait déjà…

- Merci… Mais promet moi que s’il m’arrive quelque chose, que tu veilleras sur Junior, tu es la seule personne en qui je peux avoir confiance.

Il suffit d’un hochement de tête du militaire pour que la doc comprenne la réponse de celui-ci… La jeune femme tourna les talons et alla voir son fils et tenter de lui expliquer pourquoi maman partait en voyage et qu’elle ne reviendrait peut-être pas… Ce fut un moment plus que difficile pour la jeune femme et ses yeux brillaient à cause des larmes qui lui montaient aux yeux… Janet s’accroupit pour se mettre à la hauteur de son fils et lui dit la voix brisée par le chagrin.

- Mon chéri, maman va partir très loin pendant un petit moment, alors promet moi d’être bien sage avec tonton Jason…
- Mais m’man, pourquoi tu t’en va et pis il est où tonton Menchu ?

La jeune femme soupira, et une larme tomba lentement le long de son visage…

- Tonton Menchu part avec maman c’est pour ça que tu ne l’a pas vu aujourd’hui. Je m’en vais très loin, mais je te promets de revenir. Je vais aider tonton Menchu et ses amis à se battre contre des méchants crabes…
-Mais pourquoi tu pleures, y’a papa qui viendra des étoiles pour te sauver !

Un sourire naissait sur les lèvres de Janet… Si cela pouvait être vrai… IL avait vraiment la pureté d’un enfant lorsqu’il voulait… Il ressemblait tant à son père… Chaque jour qui passait le rendait si craquant, si innocent qu’il ne se doutait pas encore de ce qu’il l’attendrait plus tard, dans la jungle de la vie… Ca paraissait si simple pour lui…

*Rêve encore pendant que tu peux mon ange…*

- Tu as surement raison mon chéri… Bon te me promet d’être sage avec tonton Jason ?
- Oui maman, j’essayerai de pas trop l’embêter…
- Bien mon chéri, saches que je t’aime très fort…
- Tu es la maman la plus belle du monde, je t’aime très très fort maman !! T’es la meilleure des mamans !!!

Janet ne pu s’empêcher de fondre en larmes devant de telles paroles… Elle prit son fils dans ses bras et le serra très fort contre elle avant de le laisser à sa nourrice la mort dans l’âme…

* Fin du flash-back *

La doc en chef écouta d’un air distrait le discours de Jason. Le visage renfermer, les bras croiser, elle regardait chaque réaction des protagonistes présent y comprit Jack… Enfin son double du moins… Frasier n’avait pas de question à poser, tout était clair pour elle. Et pour sa planète et son fils elle serait prête à tuer une armée de ces saloperies quitte à en crever… Au moins, sa mort servirait à la paix de la Terre et que ses habitants ne connaissent jamais ces horreurs…

Son regard s’arrêta sur son frangin… Ban sang elle espérait que tout se passerait bien pour lui… Il avait été si présent pour elle lors de la mort de son mari… Janet aimait son frère plus que tout et elle s’inquiétait pour lui…

*Nyph’ fait gaffe à ton cul…*

Ses yeux balayèrent la pièce observant tout le monde réunis en espérant qu’il s’en sortira… Si ce n’était pas le cas ils se retrouveraient tous en enfer ! Il fallait qu’ils crèvent ces enflures de crabe…
Tout à coup, l’alarme résonna annonçant une ouverture non prévu de la porte…

*Et merde… C’est quoi ça encore ?!*

Les Tork’ras… Tout ça pour ça !!! Une poignée de cousin goaul’d… La vache… Qu’est-ce qu’il venait foutre ici eux ! Ils s’étaient lâchement enfuit à son dernier souvenir… Enfin tout du moins pour elle c’en était une ! Elle sentait le mal de tête arriver… Janet Frasier O’neill passa une main dans ses cheveux coupés courts et soupira…

* Mon cœur si tu vois ça tu dois être ulcérer…*

Puis quelques temps plus tard ils furent tous téléporter sur les vaisseaux… Janet quant à elle, s’équipait dans l’armurerie de l’odyssée prête à intervenir… L’infirmerie était prête à accueillir des blessés ce qu’elle ne souhaitait pas… Lorsqu’elle entendit une voix masculine derrière elle, une voix bien familière d’ailleurs… Son frère…

- Qu’est-ce que tu fiches ici la vieille…
- Nyph… C’est mon devoir commence pas…
- Et ton fils ? C’est MON neveux !
- Bla bla bla… J’suis la plus qualifiée pour soigner les gens ici… Qu’est-ce que tu viens me les péter ?
- Tu ne changeras jamais hein… Et qui s’occupe de lui ?
- Jason… Nyph fait attention à toi… Je ne supporterais pas de perdre mon frère préférer…

Et ils se mirent à parler de tout et de rien jusqu’à ce que l’heure soit venue pour eux… L’ultime bataille allait commencer et Janet avait peut d’espoir d’y survivre…

*Que dieu nous garde… *

Leur objectif était clair : aller sur la planète mère des Réplicateurs, activer l’arme et détruire la planète en même temps. La mission était approuvée par le président. Hormis la mort de Gallagher, tout semblait sourire à l’équipe de Jack. Du moins pour l’instant… La mission qu’ils allaient effectuer était plutôt dangereuse et O’Neill se doutait que Narah ferait tout pour détruire la planète mère, même s’il devait y laisser sa peau. D’ailleurs, ça aller être probablement le cas, cette mission puait le voyage sans retour et Jack ne pourrait se pardonner s’il venait à fuir dans sa réalité pendant que d’anciens camarades se feraient exploser sur ce cailloux, à l’autre bout de la galaxie. D’un dernier regard qui en disait long, il remercia le Général Turner et s’en alla du briefing, direction l’armurerie.
Une fois prête, toute l’équipe fut téléportée à bord de l’Odyssé. Une heure plus tard, un regard par la baie vitrée et Jack s’aperçut comme tout le monde que dans cette réalité, la Terre possédait non pas un mais trois vaisseaux de guerre, plus grands, plus esthétiques, plus beaux et probablement plus performants. Un flash, ils furent ensuite téléportés sur l’Apollo, là où le vaisseau cargo les attendait pour la mission. O’Neill avait horreur de se faire téléporter sans être prévenu. Mais leur trajet s’arrêta à l’Apollo et à partir de cet instant, le groupe put prendre congé.

« Ok tout le monde, profitez bien du voyage. Ne vous éloignez pas trop ! Je vous veux tous au rapport et en forme quand nous serons arrivé à destination. »

Sur ses mots, O’Neill commença à s’éloigner dans les couloirs. Pour sa part, il était intéressé pour faire une sieste. Il aimait se reposer avant de partir à l’action et le voyage allait être assez long. Il entendit dans les haut-parleurs qu’un autre vaisseau, le Korolev, s’était joint à la flotte. Un appareil russe tout juste sorti du garage. Au détour d’un couloir, le docteur Evans l’attrapa et lui parla de la conception des vaisseaux.

« C’est justement ce à quoi je pensais docteur. Cette réalité est technologiquement plus avancée et tôt ou tard, le Prométhée à lui seul ne suffira pas à défendre notre planète. J’irais voir le commandant pour en discuter avec lui. » Jack salua le doc d’un signe de la tête puis continua sa route vers les quartiers du personnel.


Il marchait d’un pas lent mais distingué. Le regard perdu dans les couloirs, ses doigts frôlaient le mur et ses pieds ne causaient aucun son de frottement sur le sol. Le vaisseau était étrangement silencieux, lugubre… vide. Il avait en tête le refrain d’une musique douce et interminable, presque nostalgique. Cette mélodie qui le rendait heureux et triste à la fois. Il n’arrivait pas à se souvenir quand il l’avait entendu pour la première fois. Il ne se souvenait de rien, il ne pensait plus à rien. Il marchait dans les couloirs sans réel but, juste pour satisfaire un lointain désir de liberté. Percevoir le monde qui l’entoure comme s’il était une créature divine, un fantôme ou un démon, peut être les deux à la fois. Pouvoir dépasser les limites que son corps lui imposait. La vue, l’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher. En finir avec tout ça. Changer sa vision du monde et trouver enfin la paix.
Dans ce sas, il s’arrêta et regarda à travers la baie vitrée. L’immensité de l’espace juste devant lui et seule cette coque le séparait d’un éventuel paradis. Il sortit la clef de sa poche, la tourna dans la serrure et le voyant rouge disparût. L’alarme résonnante, les portes se verrouillèrent dans un bruit métallique et le Colonel Jack O’Neill observa une dernière fois cet immense flot d’étoiles. Bercé par le crescendo de cette étrange cacophonie, maîtresse des lieux et de son corps, il se tourna vers les commandes du sas. La lumière verte, il appuya sur ce bouton clignotant.
Et la musique s'arrêta.
L'air encore présent dans la pièce fut aussitôt aspiré vers l'espace, entraînant le Colonel avec lui. Jack ressentit une vive douleur au niveau du thorax, et l'instant d'après…
Son corps gelé flottait maintenant dans cet océan d’étoiles, le visage vide de toute expression. Dans cette mort certaine, en compagnie de n’importe quelle puissance divine, son âme avait enfin trouvé ce sentiment de bien être. La paix…


Il se réveilla en sursaut, le visage en sueur. Jack se redressa et quitta sa couchette, se ressuyant le visage et le cœur battant la chamade. Il avait fait un putin de cauchemar. Un rapide coup d’œil à sa montre et il remarqua qu’il n’avait dormi que quelques heures. Le voyage était loin d’être fini… Il s’étira les bras, les jambes, le cou, puis marcha et se regarda dans la glace. Il se sentait mal dans sa peau. Il ne savait pas si c’était surtout dû à ce cauchemar… Probablement. Il soupira longuement et attrapa son cache-œil, qu’il attacha autour de sa tête avec beaucoup de mal, comme d’habitude. Néanmoins, ce bandeau occlusif cachait la partie mutilée de son visage, raison pour laquelle il ne s’en séparait juste pour aller dormir. Il renfila ensuite son gilet et prit ses armes. La casquette sur la tête et un dernier regard dans cette glace poussiéreuse, O’Neill quitta ensuite les quartiers.
Dans les couloirs, le souvenir du cauchemar lui tortura l’esprit. Il essaya alors de penser à autre chose. Pour ce faire, il partit en direction de la passerelle. Il devait avoir une petite discussion avec le commandant, concernant la structure et toutes les configurations de son vaisseau. Il mit un moment avant de trouver le bon chemin, et plusieurs fois il se perdit. Regardant sa montre, il s’aperçut qu’il avait bien mis une heure pour trouver la passerelle. Durant tout ce temps, il avait fait une ou deux fois le tour complet du vaisseau avant de ce décider à demander à des marines le bon chemin.
Sur le pont, le Colonel Evrett était assis sur son siège et donnait ses ordres. Plusieurs hommes, militaires et scientifiques, veillaient sur les appareils et les commandes du vaisseau. Jack s’approcha du Colonel et se le salua. Evrett rendit son salut et l’invita à s’asseoir sur un des sièges libres.

« Colonel. »

La vue par la baie vitrée était magnifique. Bien qu’ils étaient en hyperespace et qu’il y avait peu de chose à voir, ça restait néanmoins impressionnant de se retrouver aussi prêt du vide spatial. Lors des batailles, se retrouver ici à commander le vaisseau devait être très excitant. Jack comprenait mieux pourquoi son doublon avait voulu aller se battre sur l’Olympius, et mourir pour la Terre. Cette expérience changeait complètement des voyages par la porte des étoiles.

« Vos vaisseaux sont très différent de celui que nous avons, dans notre réalité. Nous, nous ne possédons que le Prométhée. Vous savez… Le vaisseau en forme de grosse boîte volante. »

« Le premier appareil terrien. » Ajouta calmement Evrett.

« Oui voilà… Eh bien, je me suis dis que tôt ou tard, c’est notre réalité qui souffrira de l’invasion des Réplicateurs, ou même des Goa’ulds. Et ce n’est pas qu’avec le Prométhée qu’on réussira à nous défendre. » Jack fit une pause, s’appuyant sur l’accoudoir et fixant le commandant du vaisseau. « J’ai vu que vous aviez une technologie plus avancée, surtout concernant vos vaisseaux de combats. J’aimerais jeter un coup d’œil sur vos configurations et, si cela est possible, enregistrer les informations confidentielles de votre vaisseau. C'est-à-dire sa structure, ses fonctions, son armement, sa défense, ses moteurs… »

« Comme vous l’avez dis, ces données sont confidentielles Colonel. »

« Nous sommes du même camp, Evrett. Envoyez un message au SGC, demandez à Turner la permission de nous donner une copie de vos plans. »

« Et que gagnerions-nous en retour ? Nous ne connaissons même pas votre réalité, on ne sait même pas ce que vous feriez avec de telles informations entre vos mains. » Les paroles du Colonel étaient toujours directes. Jack sembla lire sur son visage un sentiment las, comme si le vieux commandant était fatigué et démotivé par toute cette tuerie. Ce qui était normal, sa réalité était saignée par les génocides des Réplicateurs et aujourd’hui, ils allaient tout droit sur la planète mère des crabes. Soit le plus dangereux endroit de toute la galaxie…

« Je… Je suis désolé. Si vous ne voulez pas me les donner, je vous comprendrais. Ca n’est pas ma galaxie, et vous ne me devez rien. »

Il y eut un long silence. O’Neill regardait en dehors de la vitre et Evrett semblait méditer, ses mains soutenant son menton comme s’il s’agissait d’un lourd fardeau. Le calme fut soudain brisé par la voix du commandant de l’Apollo, qui s’adressa à son second de bord d'un air décidé.

« Envoyez un message au SGC, demandez leur la permission de donner les plans de nos vaisseaux à nos invités. » Puis, Evrett se tourna vers O’Neill. « S’ils acceptent je vous les donnerais, mais s’ils refusent… »

Jack hocha la tête et le remercia d’un sourire. Une dizaine de minutes après, un message de la Terre arriva au vaisseau. Le Colonel Evrett alluma un des écrans qui planait au dessus de sa tête et lut les quelques lignes qui avaient été envoyées par le SGC.

« Leur réponse est favorable à votre demande. Je vais demander à mes hommes de vous donner ce dont vous avez besoin. »

« Merci… Vous nous avez rendu un grand service. » Répondit Jack, pensant que le docteur Evans serait satisfait lui aussi.

« A quoi ai-je droit en retour ? » Demanda ensuite Evrett, d’un sourire qui n’avait rien de joyeux. O’Neill réfléchit un instant, puis glissa sa main dans une des poches à l’avant. Il en sortit finalement deux barres de chocolat qu’il avait sur lui depuis son départ pour la planète d’Heru’ur.

« Kit Kat ? »

« Merci mais je ne mange pas sur mon pont. Et encore moins du chocolat. »

« Vous avez des enfants ? »

« Affirmatif. »

« Eh bien, vous leur donnerais. Ils adorent ça. »

Evrett fit un vrai sourire cette fois-ci. Sûrement le souvenir de ces gosses qui le rendait ainsi.

« Peut être que je ne rentrerais jamais chez moi… »

O’Neill reporta son regard sur l’homme. Il pouvait voir au fond de ses yeux que le Colonel était presque sûr qu’un jour, les crabes auront sa peau. Surtout aujourd’hui, c’était tellement dangereux, comme une mission suicide pour le bien de la galaxie…

« Nous vaincrons, Colonel Evrett. Ensemble… Vous sur votre vaisseau et mon équipe sur la planète, nous allons réussir… Et vos enfants seront sauvés. Je vous le promets. »

Jack se pencha vers lui et le commandant approuva la poignée de main. Les deux hommes restèrent assis à discuter de plusieurs choses pendant le reste du voyage. On lui donna un sac contenant les disques durs, que Jack garda soigneusement sur lui.
Au bout d’un moment, le vaisseau entra en contact avec le Goa’uld Yu, puis ils continuèrent leur trajet. Peu de temps avant de sortir de l’hyperespace, le Colonel quitta Evrett et se prépara, rejoignant tous les membres de son équipe et celle de Narah. Ce dernier était déjà avec Boba. Les deux hommes avaient proposés de se faire téléporté sur la planète vu que le cargo n’était pas complètement réparé. Cette idée fut retenue et les deux groupes se préparèrent à partir.
La flotte de vaisseaux terriens et Goa’ulds sortit de l’hyperespace et commença à tirer sur les vaisseaux Réplicateurs. De nombreuses explosions embrasaient déjà l’espace. A cet instant, Evrett leur souhaita bonne chance et les avertit de leur départ.

« Bonne chasse Colonel ! » Répondit Jack avant de se faire téléporté sur la planète mère.

Il y eut un flash et un bruit sourd. Ils étaient à présent dans un couloir. Tous les membres des deux équipes prirent positions et sécurisèrent la zone de débarquement. O’Neill ne vit rien, si ce n’était que les murs et même le sol étaient faits de Réplicateurs.

« RAS. »

L’appareil que tenait Pierson disait que l’arme était située à plusieurs niveaux au dessus d’eux. Cela rappela au Colonel leur infiltration à bord du vaisseau d’Heru’ur. Tenant le P90 principalement dans son bras gauche, vu que le droit était encore faible, il commença à avancer en faisant le moins de bruit possible. Toujours aucun crabe vivant sur leur route.
La machine à Pierson commença à déconner et ils durent continuer leur chemin, aveugle. Arrivé à un endroit où le décors changea quelque peu, notamment au niveau des couleurs. Jack entendit soudain des bruits métalliques au fond du couloir.

« Merde ! Ca arrive ! »

Le Colonel voulut tout d’abord balancer une grenade dans le tas, histoire de faire du ménage, mais après un instant de réflexion il se dit que ça n’était pas le moment d’utiliser des explosifs, pas dans des couloirs faits de Réplicateurs. De plus, si le plafond venait à s’écrouler, ils seraient coincés et devraient prendre un autre chemin.
O’Neill se mit à tirer des rafales tout en s’assurant que Evans et Kaiger était en sécurité. Ils avaient la bombe et ils devaient les protéger à tout prix…

Une fois la décision prise, tout s'accéléra mais un choix de Jason fit grimacer son second: il envoyait l'équipe de Naidu avec lui ? Envoyer l'équipe phare du SGC dans ce qui ressemblait franchement à une mission suicide... Qui plus est, cette mission scellerait le sort de l'équipe de soutien alors pourquoi envoyer sa propre fille dans ce merdier ? Et merde Jason, tu deviens trop militaire !

Il avait peu de temps. Les six mois qu'il s'était accordé lors de la discussion avec Janet s'évaporaient devant lui, maintenant il ne lui restait qu'une journée, une trop longue journée...

Première chose à faire, passer à l'inf pour récupérer les injections dont il aurait certainement besoin pendant la mission. Du fait du mélange de substance que la Doc en Chef fut obligée de faire, ces injections avaient une seconde utilisation découverte par le militaire bien par hasard... Une injection en dehors des crises donnait les mêmes effets que les amphétamines de guerre, ce qui pourrait être des plus utile quand les Réplicateurs humanoïdes leurs tomberaient dessus mais -car il y a toujours un mais- si le produit n'est pas rapidement enlevé par une dialyse, sa le tuerait : ses fonctions vitales seraient bien trop surmenées et il mourrait au combat, après un bon quart d'heure de puissance... et de gloire ?

Une fois cette tâche réglée, le militaire alla jusque dans ses quartiers, un vieil ami l'attendait. Il referma la porte et resta dans le noir le plus complet, un léger souffle rapide et puissant résonnait à présent dans les oreilles mais ce n'était pas le sien.

*Je viens mes frères, je viens...*

Alors qu'il ne s'y attendait pas, ses jambes arrêtèrent de le porter, le fier militaire s'écroula sur le sol sans pouvoir se rattraper dans un bruit sourd, il secoua nerveusement la tête et sentit de la sueur froide dans son cou, sa respiration s'accéléra et son cœur sembla se déchirer se violemment qu'il ne pu empêcher un cri de douleur de s'échapper de sa bouche. Les dents serrées et les mains prises de tremblements incontrôlées, il ne pu rien faire d'autres que d'être spectateur de son propre esprit.



Un drapeau américain était posé sur un cercueil brun, ces cercueils qu'il avait tant vu depuis son entrée dans l'armée... Mais cette fois-ci était spéciale, ce n'était pas à un de ses frères d'armes qu'il allait devoir survivre, non, c'était à la femme qu'il aimait. Cette femme qui réussissait à lui faire oublier toutes les cicatrices qui ornaient son corps meurtri et par dessus tout qui arrivait à lui faire oublier que tant de ses hommes étaient morts et que lui, malgré toutes ces tentatives indirectes, n'arrivait pas à les rejoindre. Avec elle, il se sentait bien.

Alors qu'un des soldats en uniforme de cérémonie allait enlever le drapeau de sur le cercueil, le bout de tissu fut emporté par une rafale de vent puissante, quand le jeune militaire se tourna vers Menchu, ce dernier lui fit signe -d'un regard- qu'il ferait mieux de récupérer ce drapeau, et ce, au plus vite. Quand ce dernier revint avec, il le plia avec soin et le tendit à son supérieur.

-Colonel.

Le français baissa la tête sur le drapeau, ce tissu représentait tout ce pour quoi elle s'était toujours battu, une chose si infime et fragile était vraiment le reflet de ses croyances ? De ses espoirs ? Au final peu importait au gradé qui le prit d'un geste las, il l'avait perdu, elle, c'était tout ce qui comptait pour lui maintenant, il était de nouveau seul dans un monde d'obscurité. Il était redevenu une ombre dans un monde lumière...

Tout sa parce qu'il avait été incapable de tenir le coup lors de l'attaque du SGC ! Merde ! Cette fichu épée était impossible à utiliser convenablement, même pour lui.

-Mench' ? Ça va ?

Cette voix, à qui appartenait-elle ? Calme mais pourtant pleine de chagrin et d'angoisse, c'était celle de Jason. Avalant sa salive avec peine, Menchu releva la tête vers son frère d'arme, le regard triste et les traits tirés, non pas par la fatigue comme d'habitude, mais par la peine.

"Ouais, t'inquiète pas pour moi, retourne au SGC."
-Ne me mens pas, je vois bien que t'es mal. Tu sais je peux te comprendre, quand j'ai perdu Vertiga...
"Jas' ne t'inquiète pas, tu es Général et énormément de taf t'attend à la base, retournes-y, je vais bien."
-Tu mens très mal des fois mais...

Le Général se fit téléporter par l'un des vaisseaux humains, sauvé. Le jeune homme regarda les militaires enterrer celle qu'il aimait...



-Narah ! Appeler une équipe médical, vite !

Doucement les choses se remirent en place dans son esprit, la sensation extrême de chaud-froid constant lui permit de savoir qu'il n'était pas encore mort. Le militaire ouvrit faiblement les yeux mais la lumière l'aveugla immédiatement, sa bouche était pâteuse et sa respiration était difficile, ses mains et ses jambes étaient trop lourds pour qu'il tente de les bouger. La douleur lui rappelait à quels points son corps était en sale état. Son bras droit et sa colonne vertébrale étaient en feux... Il voulait mourir.

-Bouge pas Mench' ! Tu m'entends ? Cette voix n'était pas dure à reconnaitre, c'était Devans, le Colonel français affecté au SGC dans le but de la coopération internationale.
"Fait moi une injection..." La voix de l'assassin était faible et tremblante, il atteignait ses dernières limites.
-Non, désolé, je peux pas. Frasier à spécifié que t'en avais reçu une y a peu de temps, je peux pas t'en refaire une maintenant, sa pourrait te tuer !
"Et qu'est-ce que tu crois qu'il va m'arriver si tu me fais pas cette injection ?"

Il voulait mourir, oui, mais pas encore, pas ainsi... Il voulait crever sur le champ de bataille, il voulait sentir la mort l'envahir par et pour ses convictions. Il était né pour tuer et voulait mourir de cette manière. Sa respiration se faisait plus faible à chaque inspiration, bientôt il mourrait...

-Mench' ? Mench' ? Devans commença à crier le nom de son frère d'armes, il l'allongea sur le sol et tira sur le col de son T-shirt pour alléger au maximum ses voies respiratoires. Merde ! Ou sont tes injections ? Mench' ? Il ne répondait pas, il ne répondrait plus... Le vieil homme se tourna vers la porte et cria le plus fort possible au soldat qui regardait bêtement la scène. Allez me chercher une injection pour le Colonel Narah ! Magnez vous l'cul merde !

Le jeune Caporal ne perdit pas de temps et partit en courant vers l'infirmerie. Devans se tourna de nouveau vers Narah, les dents serrées et le regard grave il entreprit de vérifier son pouls, la, une boite métallique attira son attention, l'homme l'attrapa de sa main puissante et vit avec la plus grande des joies que c'était des injections, les injections. Il en retira rapidement une de son logement et l'injecta directement dans le cou de Snake. Pas de réaction.

-T'as eu ton injection alors ramène ton cul dans notre monde merde !

Quand l'équipe médical arriva -enfin- Devans se recula et s'assit dos au mur, les larmes aux yeux, était-ce ainsi qu'il allait mourir ? Était-ce ainsi que Solid Snake allait perdre la vie ? Dans ses quartiers, loin de la guerre ? Bien sur que non !

Soudainement le corps inanimé du jeune militaire fut prit d'un violent spasme, il prit une grande inspiration et don dos claqua lourdement le sol. Les yeux grands ouverts, le regard affolé, le militaire commença à remuer pour se dégager de l'étreinte des médecins qui voulaient le maintenir au sol.

-Colonel, restez calme, vous en sécurité, au SGC ! Colonel !
-Mench' ! Calme toi ! La voix dure et autoritaire de Devans calma net le jeune français qui arrêta immédiatement tout mouvement, la respiration haletante.
"Devans ?"
-Ouais, on s'occupe de toi, t'inquiète pas.

Les muscles du militaire se décontractèrent sensiblement, il était en sécurité...

Quand il rouvrit les yeux, le militaire était allongé sur son lit, il était désarmé... Il se sentait nu. Remuant légèrement pour tenter de se redresser, des mains appuyèrent fermement sur ses épaules pour le maintenir allongé.

-Du calme Mench'.
"Combien de temps je suis resté inconscient ?"
-Une heure et demie.
"Je vais être téléporté pour allez en mission, donne moi mes armes, faut que je m'équipe."

Devans ne contesta pas, il était au courant pour la mission et savait que rien n'empêcherait Menchu d'aller combattre, il avait fait une promesse à Jack. Le jeune français se redressa et attrapa à la volée ses deux Socom, il sangla les holsters à ses jambes et s'étira, sa vision était encore trouble et ses jambes le portait mal mais avec le temps du voyage, il pourrait récupérer assez pour la mission, tout du moins c'est ce qu'il espérait... Il attrapa sa radio et appela le vaisseau.

[Radio:]"Ici le Colonel Narah, téléportez moi directement dans les quartiers."
-Bien reçu Narah, on vous téléporte immédiatement.[Radio]

Dans un dernier signe de tête, les deux hommes comprirent qu'ils se voyaient pour la dernière fois, puis Menchu fut téléporté.

Dès qu'il arriva dans ses quartiers, son paquetage en main, Menchu le posa sur le sol et alla s'allonger sur le lit, il avait besoin de dormir, ce qu'il fit. Quand il rouvrit les yeux, le militaire vit qu'il venait de faire le tour de l'horloge. Il se leva, enfila son épée et alla vers la passerelle. La, il vit Evrett assit sur son fauteuil de commandement. Les deux hommes se connaissaient peu mais leur réputation respective les forçaient mutuellement au respect.

-Le tueur de Réplicateur humanoïde... Le Colonel Menchu Narah.
"Le Colonel sans peur, Evrett, l'homme qui à massacré une flotte Réplicateur avec seulement trois vaisseaux..."
-Que puis-je faire pour vous Narah ?
"Les Réplicateurs ont placé un brouilleur autour de l'engin mais si je le détruit, vous pourrez nous téléporter ?"
-Bien sur mais si on laisse la bombe sans protection, les Réplicateurs vont la désactiver non ?
"Exact mais vous téléporterez l'équipe de Naidu seulement, je resterais pour protéger la bombe."
-Seul ?
"Moins y a de mort, meilleur ce sera pour nous tous..."

Evrett acquiesça, Narah avait raison, un mort c'était plus que suffisant. Sur ces mots, Narah repartit dans ses quartiers, il avait besoin de vérifier son équipement. Le temps passait lentement, trop lentement... Alors qu'il polissait la lame de son épée, Menchu entendit un appel demandant à son équipe et à celle de Jack de se pointer sur le pont, attrapant le fourreau de sa lame qu'il remit à l'intérieur rapidement en sortant, il couru vers le pont et vit Yu se plaindre, pitoyable... L'heure approchait.

Les hommes allèrent ensuite se préparer, après qu'Evrett ai passé un savon à l'équipe de scientifique parce qu'il n'avait pas fait leur boulot correctement, pitoyable aussi.

"Evrett, la téléportation devrait pouvoir nous amener assez près pour qu'on transporte la bombe, deux de nos gars pourraient porter la bombe."

L'idée venait de Boba mais Menchu fut le premier à la formuler, Evrett confirma l'acceptation du plan et tous allèrent se préparer. Le chemin vers la salle d'équipement se fit en silence, tous savaient que cette mission pouvait être la dernière. Quand ils arrivèrent, son paquetage complet avait été porté jusque la, une fois arrivé, Menchu sortit une clé USB d'une des poches de sa veste tactic et la tendit à Jack.

"Toutes les données sur l'épée, sa conception, son fonctionnement, ses avantages et ses... inconvénients..."

Sacré euphémisme que celui ci, l'utilisation de l'arme était -pour le moment- mortelle mais avec un peu de chance, les scientifiques de la réalité de Jack pourront l'améliorer pour qu'elle soit un jour utilisable. Tout le reste ne fut que calme et silence pesant.

"Sortez vite de la Evrett, pas de risque inutile."

Les hommes furent téléportés et tout le monde se mit rapidement en position pour sécuriser la zone.

"On s'bouge ! O'Neill, Fett, avec moi en tête. Pierson et les porteurs de bombe, derrière nous. Ocelot, Naidu et Calvario couvrez nos arrières. Les autres restez vigilant."

La seule chose qu'il espérait, c'était que Naidu ne conteste pas son autorité, c'était pas le moment... Marchant d'un pas rapide mais mesuré, le groupe passa dans un couloir, droite ou gauche ? Forcément la machine se mit à déconner et alors qu'il allait prendre la parole, le cliquetis des Réplicateurs l'interpella dans le couloir de gauche, tous se mirent en position de tir.

"O'Neill prenez votre équipe et escortez la bombe dans le couloir de droite, on va les retenir le plus longtemps possible !"

J'avais totalement décroché du briefing, laissant parler les grandes pontes terrestres et extra terrestres entre eux. J'étais peut être gradé, mais, là je n'en avais plus rien a branler de ce qu'il se disait. Inconsciement, je sélectionnais des brides de briefing, surement l'essentiel. Il étit apparament question d'une bombe, d'un placard et de deux vaisseaux. Autant la bombes et les deux casseroles volantes je peux comprendre, mais la signification du placard m'échappait. Puis, comatant légèrement, j'essayais de poursuivre le fil du briefing, ou apparament la dite bombe se metterait en marche toute seule comme une grande fille. Puis tout le monde se leva. Le briefing était finit. On allait pouvoir passer a la suite. Je sortis de la salle et j'allait directement a l'armurie m'équiper. Une M16 fera amplement l'affaire contre des crabes.
Puis une fois prêt on nous envoya sur l'apollo. La bataille avait commencée, je suivais narah avec o'neill pour escorter la bombe, ça chauffait dur.

hJ :j'en ai ras le bol des post de 4 mètres de long, j'éditerai quand bon me semblera

[HJ : Heu... Bob je veux bien que t'aime pas les longs posts mais honnêtement là c'est de la merde pur et simple ton machin, si c'est pour faire ça c'est pas la peine de poster... dit le si sa te fait chier de poster, mais met pas des trucs comme ça...]

Une fois que Davis eu prit la parole dans la salle de briefing, d'autre membre, du SGC de cette réalité prirent la parole dont le Colonel Narah, un homme très bon tactiquement, et cela manquait beaucoups dans la réalité de Paul. Le Général Turner fîni par reprendre la parole et le plan du Colonel allait être adopter, si le président accepte. Paul eu une question à ce moment, mais il ne l'a posa pas, celle-ci été mineur, c'était juste, de savoir, qui été président dans cette réalité. Au moment, où Turner partie dans son bureau, les tok'ras partirent eux sur la planète, envoyer les plans à Yu, ils n'avaient même pas attendu l'accord du président, mais bon, rien que le fait de savoir que c'était des tok'ras les excusés.

Au bout de 40 minutes, dans le plus grands des silences, car la decision du président allait jouer sur l'avenir des deux univers, la réponse se fît savoir. Comme s'en doutait le Capitaine, le président avait répondu favorablement. Personne ne posa de question, Davis se leva et se dirigea vers l'armurerie. Il prit un gillet tactique et son équipement, avec entre autre un P-90. Quelques minutes après, l'équipe fût téléporter sur l'Odyssey. Un nouveau vaisseau terriens, à l'intérieur, il ressemblait au Promethée, mais avec des équipements plus perfectionner. Quelques secondes après, ce fût autour de l'Apollo d'arrivait. Là, Davis, comme toutes l'équipe de sa réalité, puent voir le vaisseau de l'exterieur. Et là, rien ne ressemblait au Promethée, celui ci était plus fin, plus design. Tous simplement Mieux. La technologie de cette univers été plus importante que dans celui de Paul, mais un jour, eux aussi aurait des vaisseaux. Le derniers vaisseau de la flotte américaine arriva, le Primus, si Paul avait bien comprit, car il avait été teleporter sur l'apollo entre deux, le vaisseau cargot, en mauvaise état si trouvait, il fallait espérait que les scientifiques puissent le reparer, ainsi que la bombe.

En salle de commandement du vaisseau, on attendait le feu vert de la surface, et ce feu vert mit du temps a arrivé. En attendant, le Capitaine avait été au quartier qu'on lui avait assigné pour poser son équipement, avant de revenir en salle de commandement. Dans cette salle, Paul s'assit au sol, près du hublot, attendant le feu vert, il regardait le vide spatial, la terre, la lune, mars, le soleil...Dans son monde, il n'avait eu qu'une occasion de monté sur le Promethée, mais celui ci était rester que quelques secondes en orbite, alors Paul en profita pour admirer la vue. C'était quelques choses de magnifiquer.

Plus de deux heures après leurs arrivait sur le vaisseau, Paul toujours assit au sol, commençait à s'endormir, quand le feu vert de la surface vient enfin. Il allait pouvoir partir. Paul se releva et alors que le vaisseau allait entré en hyperespace, il reçu un message radio. Qui sela pouvait t'il bien être ? La réponse dût donné rapidement, c'était le vaisseau des russes. Il allait se joindre au américain, cela donnerait un force de frappe plus grande, même si leur vaisseau n'était pas encore tous a fait prêt.

*Les russes ont un vaisseau et les chinois bientôt, c'est quoi se monde ?*

Cela surprit Paul, mais il n'a pas du être le seul. La flotte terrienne passa donc en hyperespace et le voyage allait etre long et Davis allait passer le debut de se voyage a dormir...Le Capitaine avait dormi presque dix heures, et le vaisseau n'avait fait qu'un tier du voyage. Il alla donc, a ce qui été l'équivalent du mess sur l'Apollo. Il prit un plateau avec une assiéte de pain de viande et une petite bouteille d'eau. Tous le monde le regardait, plus ou moins discretement, il faut dire que dans cette réalité, c'est un goa'uld ! Le Capitaine s'approcha d'une table, ou se trouvait une jeune femme. Clara Kleman, sa secretaire au camps d'entrainement. Paul prit la parole :

Bonjour, puis-je me joindre à vous ?

La jeune femme, surprise, répondit favorablement. Paul s'assaya donc et tous en mangeant, il allait parler avec elle.

Alors Clara, comment allez vous ?

Plutôt bien, vue le combat qui nous attent et vous Major ? Mais, comment connaissez vous mon nom ?

Et bien, sa peut aller, tous ce qui c'est passer m'a un peu boulverser. Comment je vous connais ?

C'est vraie quand la voyant le Capitaine avait un instant oubliez qu'il était dans une autre réalité. Buvant de l'eau et avant de reprendre son repas, Davis ajouta :

Et bien, dans ma réalité, vous êtes ma secretaire, au camps d'entraiment. Mais vous me connaissez vue que vous savez mon nom. Et, je ne suis pas encore Major, je suis Capitaine.

Moi secretaire ? La jeune femme eu un sourrire, et reprit : Je suis le Docteur Kleman, en archéologie. Je sers de traducteur sur l'Apollo. Si je vous connais, avant que vous êties un goa'uld, nous fesions partie de la même équipe.

Lorsque la jeune femme rappela à Paul qu'il était un goa'uld, celui ci eu un leger regard dégouter sur son visage.

Un Goa'uld, je ne m'y suis pas encore fait.

La conversation entre les deux personnes, dura plus de trois heures, entre la fin du repas au mess et une petite visite guider du vaisseau, durant lequelle il avait parler de tous et de rien, de comment c'était dans cette réalité et celle de Paul. Pour finir le trajet, Paul était partie en salle d'entrainement, il y avait faire un peu de musculation. Il passa les derniers heures de vole dans ses quartiers, avant de rejoindre la paserelle avec son équipement. A sa sortie de l'hyperespace, le visage de Yu apparut sur l'écran, il était toujours aussi aimable, mais le vaisseau cargot n'était pas en état de voler. Mais heureusement, Fett et Narah avaient trouvé une alternative. Ce téléporter directement dans la base des réplicateurs. Le plan étant approuvé, la flotte terrienne et de Yu rentrérent en hyperespace, pour rejoindre la planète mère des réplicateurs. Cette fois si, il ne restèrent pas plus de cinq minutes dans l'hyperespace. Dès leurs arrivaient, le combat commença contre divers vaisseaux controler par les réplicateurs. Quelques secondes après, l'équipe de soutien et alternatif, dont fesait partie Paul fût téléporter dans la base ennemis, 6 niveaux sous l'arme, celle-ci étant proteger.

Paul arriva, tous comme les autres, dans un couloir, c'était lugubre. Les murs étaient fait de bloque de réplicateur inactif et il n'y avait que des lumières. Kaiger et Evans transportaient la bombe, Paul était a leurs hauteurs, pour les sécuriser. Marchant dans le couloirs, ils arrivèrent a la fin de celui-ci, prenant la porte, ils arrivèrent dans un autre couloir, différent du précédent, celui-ci était en couleur, on se demandait presque, ci c'était bien les réplicateurs qui avaient construit ce vaisseau. Mais malheureusement, des bruits métaliques se firent entendre. Une armer de crabe arrivèrent sur les terriens. Paul prit son arme entre ses deux mains, se tourne vers les crabes, couvrant la position de ceux qui transporter la bombe, il tira de toutes ses forces, pour faire le plus de degât possible, en attendent les ordres.

Les balles fusèrent dans tous les sens, chacun vidait son chargeur sur l’ennemi, ne pensant qu’a une chose : les détruire. Au bout du couloir, l’amat de réplicateurs semblait enfin se finir. Ils savaient apparement que le groupe ne les laisserait pas arriver jusqu'à eux, et avaient donc décidés de passer par un autre chemin... Un piège ? Peut être, ces saloperies étaient réputés pour leur côté stratège dans les situations les plus banales tel qu’une fusillade. Se redressant pour la plupart, l’équipe se regarda. O’neill demanda si tout le monde allait bien, puis une fois les réponses positives amorcées, la troupe se remit en marche. Marchant sur des débris de réplicateurs, ils arrivèrent devant des escaliers... Pas pratique pour monter une bombe nucléaire enrichie au naquadah deux étages plus hauts. Couvrant le couloir derrière eux, Narah, Kamala, Pierson et Janet n’avaient encore rien signalés. Kaïger, Evans, Boba montaient la bombe très prudemment, comme si toute vie en dépendait.. En haut, Vertiga, Jack, Ocelot et Davis allaient partir en éclaireurs, histoire de voir ce qui allait les attendre une fois en haut...

Arrivés au sommet des escaliers, ils avaient environ franchit 2 étages sur les 6 qu’il fallait franchir. Il n’y avait pas de portes, juste un petit couloir qui semblait s’enfonçer dans le cœur de la tour. Au loin, on pouvait distinguer une porte assez petite, mais qui leur permettrais néanmoins de passer aisément de l’autre côté. Une fois la bombe presque arrivée, l’oeil de lynx du Lieutenant Pierson perça une bribe de crabe... ils arrivaient. Le second assaut venait d’être donné. Ocelot, Kaïger et Boba lâchèrent la bombe, tandis que Davis et Vertiga prirent le relais. Jack resta lui aussi en haut afin de couvrir le couloir devant lui. Dévalant les marches, le jeune Capitaine, le Major et le Colonel Fett arrivèrent pour épauler Pierson, Narah, Kamala et Frasier qui n’avaient pas vraiment ralentis les crabes. Par radio, Jack demanda un rapport de la situation, Fett lui répondit rapidement qu’ils faillaient faire avancer avec la bombe plus rapidement, sinon ils n’auraient pas à se soucier de la monter... Tirant en rafales sur les crabes, ils jetèrent un coup d’oeil en haut, apparement l’engin était presque arrivé à destination. Commençant à monter, Fett ordonna aux autres d’en faire de même tout en tirant. Kaïger lui passa devant, suivi de Pierson, de Kamala et de Narah... Il aperçu au bas des escaliers Janet qui continuait de tirer, n’ayant apparement pas entendu les ordres de ses coéquipiers. Etant la plus rapprochée du couloir, la jeune femme ne les avait pas vu grimper rapidement. Voulant redescendre avec Menchu, plusieurs crabes sautèrent sur ces deux derniers mais furent détruits par les tirs précis et coordonnées de Kaïger et Pierson. Reportant son attention vers Janet, ils la virent bloquée par une trentaine de crabe, elle se posa contre le mur qui s’ouvrit subitement à son contact, et la laissa passer, s’engrouffrer quelque part ou elle serait seule... Une fois passée, le mur se referma, et les derniers réplicateurs repartirent comme ils étaient venus.

Sur l’escalier, le regard vide comme ses deux coéquipiers essoufflés derrière lui, Boba Fett venait de voir Janet Frasier disparaitre... Se résolvant à l’idée qu’elle n’était plus avec eux, Menchu et Boba remontèrent les marches, plus lentement que précédemment, précédent les autres membres de la mission pour enfin arriver en haut ou la bombe venait d’être amenée. Jack les regarda, et comprit de suite que quelque chose n’allait pas... Ou était Frasier ? Lui expliquant ce qui venait de se passer, le Colonel Fett, le Colonel Narah et les autres se sentaient un peu responsable de ce qui venait de lui arriver... Un membre venait déjà de disparaitre alors que la mission n’avait fait que commencer. Se résolvant à avancer, la mission n’allait pas s’arrêter pour autant. Ils espéraient tous retrouver Janet sainte et sauf...

Ouvrant la seule porte du couloir, ils arrivèrent dans une grande salle circulaire, ou était apparement envoyé une énorme quantité d’énergie vers une sorte de gros générateur posté contre le mur du fond. L’énergie semblait partir et revenir en permanence, tandis qu’autour étaient disposés plusieurs caissons de stase ou plusieurs personnes étaient emprisonnées... S’avançant prudemment vers ces caissons, ils virent plusieurs tableaux de commandes, ce qui semblait être les commandes du générateur et des caissons d’après Calvario et Selmak, qui suivait le groupe et plus précisément la bombe, toujours assez mal en point. Ces personnes avaient l’air endormies, ou plutôt congelées. Les cellules de stase étaient presque de bout, longeant le générateur juste derrière. Servait-il à les alimenter, afin qu’ils puissent survivre ? Menchu, regardant ces derniers, reconnus les vêtements typiques de réplicateurs humanoïdes.. Il ne pouvait pas les oublier. Parmi les visages, Kamala reconnu un soldat d’une équipe portée disparue il y avait de cela plusieurs semaines... Evans, traversant lui aussi la rangée, reconnu celui qui était mort ici depuis plusieurs mois, mais pour sa réalité en venant dans celle ci.. ; Tinann Gallagher. Se reculant de quelques pas sous le choc, il se rendit compte qu’il n’était pas le seul... Pierson, Kaïger, O’neill, Fett, Vertiga et les autres venaient de trouver des visages connus au SGC. Tous les morts en missions par les réplicateurs étaient là, visiblement ils voulaient les copier afin de les utiliser à des fins subtiles... Il y avait même un autre Boba, une autre Pierson, mais au bout de la rangée, Kamala trouva une cellule vide... Elle avait été visiblement ouverte. Mais quand ? Et qui était à l’intérieure ? Selmak, après quelques rapides recherches annonça que le faux Jack avait été libéré (ou s’était libéré) de stase, et était sortit il y avait de cela quelques heures... Il pouvait se trouver n’importe ou. Chacun tournèrent les yeux vers le Colonel O’neill, comme ci ils pensaient qu’il pouvait être leur ennemi, prêt à leur sauter dessus au moindre instant. Voyant son air ébahi, ils revinrent à la raison... Reculant des caissons, s’apprêtant à avancer, la plupart des radios s’allumèrent en même temps.

« Colonel O’neill, ici le Colonel Evrett de l’Apollo ! Le Korolev perd tout son air et est à la dérive ! La flotte de Yû se fait éclatée ! L’Odysée tir toujours, et le Primius a été détruit ! Un vaisseau ennemi l’a percuté de plein fouet ! Nous n’allons plus tenir longtemps, nous allons essayer de nous.. Ils nous attaquent !! L’abordage a été lancé ! O’neill vous...................... » Un grésillement laissa place à la voix du Colonel Evrett.

Tous se regardèrent... Que se passait-il la haut ? Même si ils le voulaient, ils ne pourraient pas le savoir... Selmak et Vertiga annoncèrent que le brouillage de téléportation n’était pas intentionnel de la part des réplicateurs, il provenait simplement de la quantité massive d’énergie envoyée et réceptionnée par ce gros générateur, afin de maintenir en stase les Réplicateurs Humanoïdes. Que se passait-il si ils décidaient d’ouvrir les capsules de stase ? La question ne se posa pas... la troisième vague de Réplicateurs fit son apparition dés que la porte par laquelle ils étaient venus s’ouvrit rapidement. Des dizaines de crabes firent leur apparition, et il fallait vite aller à l’autre porte, apparement la sortit de cette salle qui débouchait sur d’autres escaliers. Couvrant la position, Jack ordonna d’avancer. Tous couvrirent Kaïger, Evans et Boba qui faisaient rapidement avancer la bombe. Un crabe sauta violemment sur Kaïger qui reçu une giclée d’acide sur le bras droit, voulant se protéger le visage. Il tomba lourdement sur le sol, et fût ramassé par Jack après avoir explosé le crabe. Tenant Paul du bras droit, l’aidant à marcher, il attrapa une grenade de sa main gauche qui dégoupilla avec la bouche. Crachant la goupille sur un crabe, il jeta l’explosif dans la salle, une fois la porte franchit. Celle ci se ferma, tandis que la déflagration se faisait ressentir juste derrière... Ayant déjà commencés à monter la bombe devant ses escaliers qui semblaient plus petits et plus doux (dans le sens de la montée, elle est moins raide), Jack s’abaissa vers Kaïger qui avait le bras gauche totalement rongé par l’acide.. Dans sa réalité son Paul Kaïger était mort bravement, mais ici il n’allait pas le laisser mourir... Soutenu par Pierson et Narah qui suivaient la bombe (transportée par Evans, Davis et Selmak), juste derrière Vertiga, Kamala, et Boba, Jack et Menchu fermaient la marche, les sens aux aguets sur ce qui les attendaient par la suite... Si la bataille spatial n’allait pas tarder à se finir, les crabes en orbite allaient se ramener pour les assaillir complètement... Il fallait faire vite.

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Janet Frasier cessa de tirer. Elle se retourna rapidement... Devant elle se tenait le noir total. Le mur venait de se refermer juste devant elle, et la situation était critique. Elle tenta de contacter l'équipe.. En vain. Apparemment, les ondes ne passaient plus à travers cet amat de crabes métalliques. Allumant sa lampe accrochée au P-90, elle semblait être arrivée dans une petite pièce, sans issue... La respiration haletante, elle entendit toussoter... Derrière elle? Non devant. Elle tourna la tête à droite, à gauche mais rien n'y faisait. Elle ne voyait rien... Alors, lentement, calmement elle entendit son prénom être prononcer par quelqu'un. Une voix d'homme, masculine... Jack. Jack O'neill sortit de la pénombre pour arriver devant Janet Frasier. Avec un sourire, il la regardait calmement...

"Enfin te voila."

Était-elle morte? Non... surement pas. Elle n'y comprenait plus rien. Apparemment, il avait les vêtements qu'il portait la veille de son départ sur l'Olympius, et donc de sa mort. Clignant des yeux longuement sous l'émotion, elle les réouvris... Une immense prairie s'étendait devant elle. La maison que Jack avait acheté il y avait de cela plusieurs années était un peu plus loin. Elle avait changée, le toit avait été refait. Elle abaissa le regard, et remarqua qu'elle avait une robe rose très claire sublime, qui flottait dans le vent. Derrière elle, deux mains lui entourèrent la poitrine. Sursautant, elle se retourna rapidement. Jack se tenait là, un sourire s'effaçant devant sa réaction précipitée.

"Sa ne va pas ma chérie?"

[5j pour rép, soit jusqu'a vendredi ]

Un chargeur fut vidé. Une trentaine de coup de feu plus tard, un autre chargeur fut éjecté. Nous défendions la position comme nous le pouvions, et M16 accomplissait comme elle pouvait cette tache, crachant ses petits rejetons sur ces saloperies métalliques. Tous le monde faisait de même. L'action m'avais reboosté et sortit de ma torpeur. Le fait de pressé la détente, augmentait mon taux d'adrénaline, mon pouls augementait, enfin j'étais moi même ! Puis après un feu nourrit les crabesbattirent plus ou moins en retraite, mais cela ne valait rien qui vaille. Ils allait surement revenir en force et par autre part. O'neill demanda si tout allait bien. Comme tous les autres membres je répondit par l'affirmative. Puis je me remit au travail avec Kaïger et Evans, trimballer cette putain de bombe de mes deux, dans des escaliers qui plus est.

-"Allez les mecs ! Du nerf !"

Plusieurs coéquipiers parirent en éclaireur et nous commencimes l'ascension. Cling clang, clong. Incesamment, ces bruits métallique nous martellait la tête, en plsu que la bombes nous éclatait les bras, et les pieds par certaines occasions. Deux étages plsu haut, nous nous arrêtames, stoppés par Pierson qui avait repéré du mouvement. Effectivement, des crabes montrèrent les pinces multifonctions.

-"Et c'est repartit pour un tour !"

Le trio lacha la bombe et nous nous mîmes a faire feu quand nous avions rejoint Narah, Frasier, Kamala et pierson. A ce rythme là, j'aurais bouffé toutes mes cartouches. Nous peinions a retenir le flot de mécaniques, ils avaient l'avantage du nombre. Puis O'neill me demanda un rapport. Pas compliqué pourtant !

-"C'est la grosse merde ici mon colonel ! Faut monter cette putain de bombe en haut de ce putain d'escalier. Et rapidement ! On en chie grave ici !"

Et une rafale dans le tas et je me mis a recharger ma M16 qui commençait a fumer de partout. M'énerve ce bordel ! Je me remis a faire feu, en essayant de ralentir la consomation d cartouches tout en empêchant le flot de réplicateurs de nous submerger. Je jetais un coup d'oeil en haut des escaliers et je vis que la bombe était arrivé a destination.

-"On décroche ! Repli tout en arrosant les réplicateurs ! Narah Go ! Kamala, Evans go ! Kaiger, pierson go ! Fraisier go !"

Puis a mon tour je commençais a battre en retraite vers les escaliers, montant les marches les unes aorès les autres en tirant sur les réplicateurs. Mais un truc clochait, ou était frasier ? J'intérompis mon feu quelques secondes et le la vis seule en bas, elle n'avait pas dut m'entendre.

-"Janet ! On décolle ! Janet !"

Mais il n'y avait aucune réaction de sa part, elle continuait a faire feu de son coté, seule. Il fallait aller la chercher.

-"Narah avec moi ! Kaiger et pierson en couverture !"

Puis je me précipitais vers frasier avec menchu. mes deux crabes sautèrent vers notre direction. Mais il furent abattu grace a des tirs précis de Kaiger et pierson. Mais il se produisit quelque chose d'incroyable. Janet, encerclé part les réplicateur dos a un mur, disparut mistérieusement dérrière ce mur. Nous en pumes que rester bouche bée devant ce fait. Mais le temps pressait.

-"On s'en va..."

j'aidais menchu a se relever et nous rejoignimes O'neill en haut des escaliers, ou tous nous attendaient. Oneill nous interrogea de son seul regard et ils comprit vite fait.

-"Désolé colonel, mais elle a disparut, un mur s'est ouvert et s'est refermé aprsè qu'elle est franchit. Elle est surement toujours vivante. Merde de merde de merde..."

Puis nous reprimes le cours de la mission, la culpabilité au ventre. Nous ouvrimes une porte et nous nous retrouvîmes dans une grande salle circulaire, couvert de caissons, alimentés par un générateur d'énergie. Nous approchâmes de ceux-ci et nous vîmes qu'il contenaient des humains, des répliques d'humains, des réplicateurs humanoides. Mais ces humains étaient tous ceux qui furent tué par les réplicateurs dans cette réalité. Pierson, O'neill, Gallagher et.. Moi.
Je ne pu qu'admirer ce travail de réplique, mais ce n'était pas moi, il n'était même pas biologique.

-"c'est très troublant... c'est écoeurant même..."

Puis en continuant la fouille de la salle, nous nous rendimes compte qu'il y avait plusieurs exemplaires de nous. C'eétait éffrayant.

-"C'est l'attaque des clones !"

Mais il y avaitune cellule vide. Une réplique était donc en liberté, se promenant librement. Mais qui était-ce ? Après une rapide recherche, nous apprimes que c'était un double d'o'neill. Tout, le monde d'instinct se retourna vers lui, le suspectant.

-"Qui a un aimant ?"

« Colonel O’neill, ici le Colonel Evrett de l’Apollo ! Le Korolev perd tout son air et est à la dérive ! La flotte de Yû se fait éclatée ! L’Odysée tir toujours, et le Primius a été détruit ! Un vaisseau ennemi l’a percuté de plein fouet ! Nous n’allons plus tenir longtemps, nous allons essayer de nous.. Ils nous attaquent !! L’abordage a été lancé ! O’neill vous...................... »

En plus de cette alerte, une autre vague de réplicateurs fit son apparition. Avec kaiger et evans, je me mis a faire avancer la bombe, mais un réplicateur sauta dans notre direction et aspergea le bras droit de kaige d'acide. Jack explosa le crabe et aida kaiger. Nous reprimes notre marche, le temps pressait.

Le combat avec les réplicateurs allaient toucher a sa fin dans le couloir, le Capitaine vida son chargeur sur les crabes métallique et l'assault fût rapidement contrôlé. Se relevant doucement, Paul fît un signe de tête à O'Neill, montrant a celui-ci, que de son côté, il n'y avait pas de blessure. Tous était en grande forme et la marche pouvait continuer. Au bout du couloir, un escalier. Avec le Colonel O'Neill et d'autre membre de sa réalité, Davis prit la tête, pour detecter toute présence hostile. Montant les esclaliers, sur deux niveau, il n'y avait rien a signaler.

La bombe monté dans les escaliers, lorsque Pierson detecta l'arrivé de réplicateur vers leurs positions. Le premier réflexe de Paul fût de tire, comme ses compagnons, mais quelques secondes plutard, il du arrêté de faire feu sur l'assaillant, étant en train de prendre le relais au niveau de la bombe, pour la transporter jusqu'au deuxiéme niveau, laissant les transporteurs individuelles se defouller sur les crabes, surtout qu'ils étaient de bon tireur comme Fett ou Pierson. Le poid de la bombe était assez consequent, mais avec l'aide de Calvario, il parvient à l'amené au deuxiéme niveau et put rependre les tirs, contre le reste des réplicateurs. Alors que l'assault se terminer, Janet Frasier qui couvrait les arrière se fît prit au piége, Paul aurait aimé la secourir mais il ne pouvait lachait la bombe pour le moment. Les Colonels Narah et Fett s'en chargèrent, mais ils arrivèrent trop tard. C'était la première fois que Davis voyait sa, le mur de bloc que réplicateur s'ouvrit et Janet disparue dedans. Le Capitaine fût sous le choc quelques secondes, mais il dê reprendre la route. Il avait redonner la bombe au porteur habituelle et avancer en tête dans le couloir.

Au bout du couloir, une petite porte, l'équipe l'empreinta. a l'intérieur, des enormes flux d'energie y été envoyer. Paul se demanda pourquoi et eux la réponse rapidement. Il y avait des caissons de stase. Au debut, Paul n'y préta pas attention, mais les hommes et femmes dedans, étaient des réplicateurs humanoides à l'apparence des terriens de cette réalité morte. Cela choqua Paul, comme beaucoup d'autre de ses coéquipiers. Mais un danger rodait autour de, déjà de retrouvé Janet en vie, mais aussi le fait que le faux Jack O'Neill était en liberté. Davis, comme toute l'équipe se retournérent vers Jack, mais cela ne pouvait pas être le faux, il avait toujours était en contact avec au moins un membre de l'équipe. A ce moment la, la porte s'ouvra et des dizaines de réplicateurs rentrèrent. Paul leva son arme et tira tous en avancant vers la sortie, situer de l'autre côté de la pièce. Encore une fois, le Capitaine ne participa que très peu au combat, devant transporter la bombe, il y avait encore quatre niveau à monté, pour enfin arriver au niveau de lappareil pour espérait pouvoir rentré chez eux.

De nouveau dans un couloir, le Capitaine entendit l'explotion provoquer par la grenade de O'Neill tous en avançant vers l'escalier. Davis put aussi voir, le Docteur Dablord demandé à Jack pourquoi il devait pousser la bombe, ce n'était pas son travail. D'un côté il avait raison. Les escaliers en vue, il allait maintenant falloir monté la bombe en haut et espéront le, sans encombre.

« Rapport ! »

L’appel radio de Jack reçut presque immédiatement une réponse. De là où il était, au deuxième étage, il pouvait entendre la cadence des tirs et les bruits métalliques venant des crabes. Ils avaient lancé un autre assaut et le groupe avait du mal à faire remonter la bombe. Fett lui envoya une réponse par radio comme quoi ça chauffait. O’Neill resta en position en haut pour couvrir l’arrivée de ses coéquipiers aux côtés de Ocelot et Calvario. Il avait confiance en Boba et les autres pour faire le nettoyage qu’il fallait…
Puis, peu de temps après, tout le monde arriva à l’étage. Mais après un long regard sur tout le groupe, il remarqua l’absence de Frasier et comprit qu’ils avaient déjà perdu un membre de leur équipe pendant les affrontements. Ca n’était pas une surprise, depuis le début… Tous savaient que la mort régnait dans ces lieux. De plus, ils avaient toujours un objectif à accomplir !
O’Neill se remit à avancer avec Narah dans un étroit couloir, suivis par tout le reste de la colonie. Ils arrivèrent alors dans une salle qui semblait importante, vu sa forme circulaire et le gros générateur qui pompait de l’énergie sur des caissons de stases réplicateurs… Une sorte de laboratoire faut croire…

« Ne touchez à rien. » Grogna le Colonel, éclairant chaque caisson avec sa lampe torche pour bien observer les visages des réplicateurs humanoïdes…

Gallagher… Tinann Gallagher était en stase derrière cette putin de vitre, mais ça n’était pas lui en fin de compte, juste une réplique… Pour l’honneur des deux vrais Gallagher, O’Neill aurait pu prendre son arme et vider un chargeur sur ce corps métallique juste devant lui, pendant qu’il dormait, autant fallait en profiter ! Mais il n’était même pas sûr que ça suffirait à le détruire, probablement pas vu ce que lui avait dit Narah au SGC… Donc, valait mieux qu’il continue à dormir le temps qu’ils étaient là ! Jack se mit à sourire quand Boba fit une blague en comparant la situation à un épisode de Star Wars… Rien de mieux pour détendre l’atmosphère.
Soudain, Selmak annonça que la réplique humanoïde de Jack n’était pas présente et que c’était pas net… Le Colonel constata en effet qu’un des caissons était vide et il put sentir sur lui les regards méfiants de son équipe et de celle de Menchu. Certain même avaient pointé leur arme sur lui et il leva alors ses mains par réflexe, une expression naturelle sur le visage.

« Ehhh !! »

L’équipe revint à la raison très rapidement au grand soulagement de Jack. Mais un bruit de radio perturba le silence. Le Colonel reconnut la voix du commandant de l’Apollo, qui avait de sérieux ennuis, quelque part là-haut…
Calvario et Selmak leur firent ensuite un speech concernant le brouillage sur la téléportation asgarde. C’était intéressant mais pour le moment, ça ne les aidait en rien !

« On bouge ! » Ordonna-t-il, prenant conscience que le temps n’était pas un luxe qu’ils avaient dans un tel endroit.

Au même moment, la porte se déverrouilla, laissant une marée de crabes entrer dans la salle dans un bruit métallique répugnant. O’Neill fut content de les voir arriver, il avait encore trop de chargeur sur lui et il sentit le besoin d’appuyer à nouveau sur la détente de son P90. Cette arme était pratique dans ce genre de ménage, les crabes explosaient dans tous les coins et n’arrivaient pas à les atteindre. Jack crut même entendre les machines poussaient des cris quand elles se faisaient démembrer par les rafales de son P90.
L’un d’eux réussit cependant à arroser Kaiger d’acide et le jeune homme s’écroula par terre en poussant un cri de douleur. Jack n’avait pas perdu ses réflexes, détruisant juste après le réplicateur qui avait blessé l’un des leurs. Il se baissa ensuite vers Kaiger et l’aida à se relever.

« Allé mon garçon, tient bon ! »

Jack sortit avec le blessé et balança une grenade juste avant que la porte ne se ferme. Un boum se fit entendre et d’un coup, les bruits de métal se faisaient moins nombreux dans la salle… Puis, ils commencèrent à se diriger vers les escaliers en prenant bien soin de Kaiger. Ils avaient déjà perdu Frasier peu de temps avant, c’était pas maintenant qu’ils allaient abandonné le jeune militaire à son sort. Le doc Evans vint se joindre prêt du Colonel et lui demanda pourquoi il ne s’occupait de Kaiger. Jack ne le regarda pas et continua à marcher d’un pas prudent.

« Eh bien allez le voir si ça vous chante ! Vous êtes assez grand pour décider de vos propres actions, non ? Merde Evans ! Arrêtez de blablater pour rien et agissez ! »

O’Neill le poussa de son chemin et alla rejoindre Menchu. Au passage, il s’arrêta, puis se tourna vers Davis et Selmak. Les deux hommes s’occupèrent de la bombe pendant que Evans commençait à voir l’état de Kaiger.

« Un peu de courage les enfants ! On y est presque… »

Arrivés donc deux étages plus haut, ils n’ eurent aucune difficulté à franchir les deux seconds, qui montaient en pente douce, parfois des couloirs adjacents menant à d’autres direction se faisaient voir. De temps à autre, des crabes arrivaient, se faisaient détruire puis repartaient ou ne revenaient plus. Cela était t-il fait exprès ? La facilité pour arriver à l’engin était étonnante, d’autant plus sur la planète mère des Réplicateurs... Il ne fallait pas hésiter et en profiter ! La pente se finit par une entrée dans ce qui semblait être une sorte de salle de contrôle auxiliaire. Personne ne la gardait, puisque personne n’était censé arriver jusqu’ici vivant, du moins en ce moment. Parcourant les fichiers internes, Calvario et Selmak découvrirent plusieurs choses. Tout d’abord, la bataille en orbite était presque fini. D’aprés le noyaux central des Réplicateur qui était directement lié à cet ordinateur qui géré les informations avant de les renvoyer à leur frères, primo le Korolev avait été envahi par les réplicateurs, et avait commencé l’invasion sur l’Apollo. Le Primius avait été détruit comme annoncé par le Colonel Evrett, et l’Odyssey était l’un des derniers vaisseaux à résister, dû à son apport d’énergie donné par un appareil ancien (surement un ZPM). Secundo, les humanoïdes n’étaient pas programmés pour se réveiller dans l’imédia, et n’étaient pas encore fini à 100%, sauf pour O’neill... Tertio, leur intrusion dans le système avait été programmé. Derrière eux, l’entrée par laquelle ils étaient entrés s’était rebouchée subitement par un amas de réplicateurs qui s’étaient rassemblés.

C’est alors qu’il se produisit quelque chose d’inattendu... Le mur avançait vers l’équipe. L’amat de réplicateur semblait bien décidé à les prendre au piège en son sein, et continuait son ascension vers ces derniers. Se regroupant toujours plus prêt de l’équipe (qui avait commencée à décamper rapidement), le mur prenait de l’expension au fur et à mesure que l’équipe s’éloignait. C’était comme ci il voulait les emmener quelque part de particulier. Il arpentait les couloirs aléatoirement, rebouchant les passages. Les militaires avaient beau tirer dessus, il se réassemblait toujours, et poursuivait son ascension... Au bout de quelques minutes, ils finirent enfin par voir ce mur stopper, et eux arriver dans une pièce assez lugubre en soit. Elle était faiblement éclairée, et plusieurs taches de sang étaient éparpillées un peu partout... Lentement, des bruits de pas se rapprochaient. Ils venaient d’une direction, puis d’une autre... Alors, immergèrent de l'ombre deux personnes totalement inconnues à l’équipe. Les braquant, ils ne faisaient rien. Jack leur demanda de décliner leur identité, et lorsqu’il comprit qu’ils étaient réplicateurs, les balles fusèrent instantanément.
Avec un sourire narquois, celui en face de l’équipe prit la parole.

« Vos armes n’ont aucun effet sur nous... Si nous sommes ici, c’est pour vous empêcher d’aller plus loin, et de vous prendre la seule arme capable de nous blesser... Cette épée. » termina t-il en désignant Menchu.

S’avançant de plusieurs pas le bras tendu, il voulu attraper Narah qui recula de quelques pas et sortit sans autres choix son arme. Les autres tirèrent instantanément sur les deux ennemis, qui se régénérèrent aussi rapidement. Dans l’ombre, les balles avaient éclairées une porte, qui se refermait déjà à vu d’oeil, mais plus lentement que l’autre. Jack, ordonnant à l’équipe de passer et de faire passer la bombe, entreprit avec Davis (qui était le plus proche) de sauter sur le premier humanoïde venu afin de le déstabiliser. Entreprenant son action, il dût se résoudre à l’idée que cela ne marcherait pas en voyant son jeune subordonné éjecté contre le mur de derrière. La machine se retourna alors vers O’neill, et le saisi rapidement au cou, le plaquant au sol sans que le Colonel ne puisse rien faire. Fett fonça sur ce salopard mais fût tout aussi propulsé que Davis dans le sens opposé. Les autres, déjà derrière la porte qui se refermait encore, tiraient sur les assaillants. Certains voulurent y retourner, mais durent s’y résoudre en voyant une ordre de crabe arriver par le couloir qu’ils s’apprétaient à emprunter, après la porte qu’ils venaient de franchir (ceci comprend Kamala, Cassandra, Kaïger, Evans, Selmak, Vertiga). Ouvrant immédiatement le feu sur ordre de Kamala, ils continuaient à arriver par vague successives.

En parallèle, Menchu avait sortit son sabre et le faisait tournoyer. Il avait frappé une première fois la machine qui avait facilement esquivée son coup. Une seconde fois, toujours en vain... Voulant frapper une troisième fois, son coup fût stoppé net par la main du réplicateur qui l’éjecta contre le mur de derrière en un coup de poing sur le torse. S’écrasant sur la paroi, il releva la tête, puis lança un juron. Le réplicateur, arme en main la jeta plus loin avant de se diriger vers Narah un sourire aux lèvres. L’attrapant, il le souleva d’une seule et même main, puis le plaqua contre le mur, avant de l’attraper au cou, comme O’neill quelques secondes plus tard. A ce moment là, Davis fût propulsé contre une paroi, et retomba lourdement sur le sol... tout proche du sabre ! Levant la tête, il vit Menchu en difficulté. Attrapant l’arme blanche, il se précipita sur l’humanoïde et le frappa de toutes ces forces, découpant le bras de l'humanoïde!. Le sabre s'arrêta net, lorsque le membre tomba à terre, en lambeau. Apparemment, Menchu n’était plus le seul à savoir l’utiliser. Plus loin, Fett venait d’être lui aussi éjecté. Menchu, relevant la tête aperçu Jack face contre terre, se faisant étrangler. Attrapant son arme, il se précipita sur le réplicateur, qui releva la tête et eu juste le temps de voir la lame lui arriver en pleine face... Il tomba sur le côté, inerte. Relevant Jack et Fett, Narah leur annonça qu’il fallait décamper et vite. Davis était mal en point, tout comme Menchu qui avait été affaiblit par la décharge de l’arme. Achevant leur long périple quelques centaines de mètres plus loin après s’être fait un passage à travers la nuée de crabes métalliques, ils débouchèrent sur une grande salle, infestée de réplicateurs en tout genre... Plus loin, posé sur un socle, la plupart des arrivants dans cette réalité s’éxprimèrent, comme pour annonçer une grande nouvelle, et s’en était une.. L’appareil des anciens était là ; à plusieurs dizaines de mètres dans la salle, il faudrait franchir une marré de réplicateurs. Evans se retourna vers le couloir par lequel ils venaient d’arriver... Les deux réplicateurs humanoïdes venaient de revenir, et les regardaient... L’un deux avait une large fente sur le torse, qui descendait un peu plus bas, et l’autre un trou au niveau de l’oeil gauche, qui apparement ne s’était pas régénéré...

Les munitions manquaient, et il fallait trouver quelque chose pour se débarrasser de ces deux salopards. Mais quoi ?

[Je vous laisse faire votre tactique entre vous, je m’adapterais à ce que vous allez faire, après ce post il n’en restera plus que 2 normalement, alors essayez de développer un maximum, tout en suivant les recommandations des chefs de mission (plus que Boba et Jack apparement qui continuent à poster). Bon RP ;p]

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Jack semblait assez surpris par les dires de sa femme. Il devait être mort ? Non, pas du tout. Le regard rond, le visage inquiet, il s’approcha de Janet, et tendit une main pour lui caresser le visage. Il fallait la rassurer...

« Mais, janet ne dit pas des choses comme ça.Tu sais très bien que nous avons pût nous échapper de l’Olympius avant qu’il ne se fasse détruire, et puis nous avons gagnés cette guerre... Cela fait presque2 ans. Tu as dût faire un mauvais rêve ma chérie... »

S’approchant d’elle, il la tira dans ses bras puis l’enlaça tendrement. Un baisé sur le front, un câlin affectueux, Janet sentit un plus petit être la serrer contre lui. Abaissant son regard, Jack Junior se tenait là. Il.. était différent, mais à la fois si familier. Il ressemblait tant à son père... Ce dernier l’attrapa dans un grand rire avant de le lancer doucement en l’air et de le rattraper rapidement. L’enfant se jeta alors dans les bras de sa mère, puis la caressa doucement, le visage, puis les cheveux.

« Maman, tu m’a manquée... »

Janet sentait l’expression de ses sentiments ressurgirent. Elle était heureuse, comblée, pour la première fois depuis longtemps elle l’était. Elle sentit alors l’étreinte de son fils se resserrer assez fortement, jusqu’a ce qu’il la lâcha soudainement, avant de repartir jouer, lui accordant un sourire qui ne lui ressemblait pas... Quelque chose n’allait pas au fond, son raisonnement était le bon. Mais et si tout ceci était bien réel, et elle avait imaginée cette dernière année.. ? Elle était totalement perdue dans ses pensées...

[Jusqu’à Jeudi soir pour répondre ]

L’équipe montait d’étage en étage, rencontrant des crabes par-ci par-là sur les murs, mais qui n’étaient pas assez nombreux pour vraiment ralentir le groupe. A part ceux qui portaient la bombe et qui la poussaient de toutes leurs forces, ceux qui étaient en première ligne comme jack, couraient dans les couloirs pour pouvoir arriver à leur objectif sans perdre de temps. Cela semblait même être trop facile malgré la blessure de Kaiger et la disparition de Janet. Selmak et Calvario, se conduisant toujours en bons scientifiques, fouillèrent dans une base de données réplicateur à la recherche d’indice pendant que les porteurs de la bombe s’épuisaient à faire montrer l’engin le long d’une pente. Jack se posta en avant et attendit que l’équipe se regroupe dans la salle. Ils apprirent pendant ce temps que les vaisseaux terriens étaient tous dans un sale état là haut en orbite, soient détruits soient abordés par les réplicateurs. Ensuite, Jack crut entendre que les humanoïdes n’étaient pas complètement finis, d’où leur hibernation…
Soudain, quelqu’un annonça que leur intrusion avait été repérée, ce qui n’étonna pas le Colonel.

« On continue allé ! »

Des bruits de crabes. Une marrée de réplicateurs s’était rapidement regroupée, prête à leur foncer dedans. O’Neill se tint prêt à tout dégommer, comme d’habitude… Mais tout à coup, il crut voir le mur bouger comme pour les obliger à se rendre dans un autre endroit. Par réflexe en voyant l’expansion du mur réplicateur, le Colonel tira et fit de large trou dans le mur, mais celui-ci se reconstitua peu de temps après…

« On bouge !!! Go, go ! »

Fallait pas parler, se poser de question, juste courir. Trouver l’arme et partir de cet endroit. Jack fut coupé dans ses pensées quand ils furent finalement emmenés dans une salle sombre, mystérieuse et silencieuse…

« Personne n’est blessé ? » Demanda-t-il avant d’entendre des bruits de pas suspect pas loin de lui.

Deux hommes sortirent des ombres et Jack leur demanda qui ils étaient. Pas de réponse, ok. Le groupe se mit à tirer et les réplicateurs humanoïdes reçurent une pluie d’acier. L’un d’eux parla aussitôt en déclarant que ça ne leur faisait rien. Jack aurait bien voulu lui répondre que c’était de la triche, mais ce n’était pas le moment pour pleurnicher. Plus loin, une ouverture s’était créée suite au déluge de feu et O’Neill fit signe de passer en force et de sortir de ce trou à merde. Sans réfléchir à ce qu’il faisait, il s’avança vers l’humanoïde, Davis à ses côtés. Le jeune Capitaien fut envoyé au tapis quelques mètres plus loin et bizarrement, Jack s’arrêta soudain, se demandant ce qu’il ferait face à réplicateur avec autant de force… Trop tard, la machine s’occupa de lui et d’une force incroyable, le jeta par terre, manquant de peu de lui tordre le cou. Crachant sur le sol, il entendit des cris venant de Fett. Son second chargea et eut le droit au même sort. Ils étaient impuissants face à cet unique humanoïde…
O’Neill se releva et vit que Narah était aux prises avec l’autre réplicateur. Il se tourna alors vers le reste du groupe et cria, juste avant de se faire attraper par l’autre humanoïde.

« Cassez-vous !! »

Un coup sur la tête et Jack crut perdre conscience. Les doigts du réplicateur se resserrèrent sur sa gorge et il essaya de se débattre. C’était bien une mort que le Colonel n’aurait pas vu venir, il était hors de question que ça se finisse comme ça !! Il essaya soudain de se redresser et réussit à donner un coup de tête à l’humanoïde. Jack entendit un « bing » quand sa tête cogna contre le métal et cette fois-ci, il s’étala par terre et ne bougea presque plus, un gros bobo au crâne…
C’est alors que les doigts du réplicateur se desserrèrent. Levant sa lourde tête, il s’aperçut que Narah lui avait porté secours. Il l’aida à le relever et Jack tapota sur l’épaule de son vieil ami en guise de reconnaissance.
La bombe déjà partie en avant, ils rejoignirent le reste du groupe. Boba était un peu secoué comme Jack, mais Davis ne pouvait presque plus bouger…

« Evans !! Occupez-vous de Davis ! » Ordonna-t-il, entrant en même temps dans une immense salle remplie de crabes et de machines vivantes…

« …Merde ! »

Toute l’équipe put voir l’appareil des anciens au loin, posé tel un trésor de guerre. Mais le plus dérangeant était de voir ce qu’ils devaient traverser pour y accéder. Un cri de surprise venant du Docteur, Jack se retourna et remarqua comme tout le monde le retour des Terminators. Ca commençait sérieusement à l’énerver. Ils étaient invincibles, forts et intelligents… Jack n’était peut être qu’un humain mais il fallait en finir maintenant avec ces conneries. Il s’approcha de Fett, son second, dans le but de lui donner ses ultimes ordres qui iraient parfaitement au lieutenant-Colonel.

« Passez dans le tas ! Faites une percée avec vos hommes et allez jusqu’à l’arme. Je compte sur vous pour protéger les porteurs de bombe. Et ne m’attendez pas pour partir. » Il fit une pause, puis tourna son regard vers Menchu et son épée, et enfin sur les humanoïdes. « On se retrouve de l’autre côté… » De se main droite, il sortit le sac contenant les informations sur les vaisseaux terriens et celles sur l’épée et le lui mit dans sa poche, le fixant bien droit dans les yeux comme il ne l’avait jamais fait auparavant… En échange, il piqua une grenade à ce cher Boba. Il en aurait très probablement besoin vu ce qu’il l’attendait…

Jack avait donné ses ordres et se sépara alors de son coéquipier. Il avait un compte à régler avec les deux autres guignols. Pendant que Fett irait menait le groupe jusqu’à l’appareil… Eh bien, il n’avait encore aucune idée de ce qu’il allait faire face à ces deux humanoïdes. De toute évidence, l’épée était un bon début dans la technologie contre les réplicateurs, mais quand il s’agissait d’un combat comme celui-ci, les chances de survies restaient tout de même faibles.
Et il fallait pourtant se débarrasser d’eux une bonne fois pour toute, merde !
Il remarqua les fissures causées par l’épée et fixa celui qui avait un trou dans l’œil gauche… Un peu dans le même genre que Jack mais en moins beau…
Ceux qui voulaient rester avec lui étaient libres de le faire mais il espérait que… Que son seul sacrifice suffirait à retenir les humanoïdes le temps qu’il fallait…
A cette pensée, il avala difficilement sa salive et soupira longuement.
Alors, il détacha sa ceinture et y accrocha les dernières grenades qu’il avait sur lui, plus celle qu’il avait prise à Boba. Une bonne vieille tactique pour provoquer un gros boum sans se casser la tête… En enlevant qu’une seule goupille, ça suffirait pour réduire cet endroit en miette, espérant en même temps emporter le duo de Terminators dans le chaos. Quand ça arriverait, l’équipe de Fett serait déjà partie et hors de danger…

« Cassez-vous ! » Dit-il une dernière fois.

Les humanoïdes s’avancèrent et O’Neill mit la ceinture d’explosif sur son épaule, reculant sur la gauche pour attirer les hommes machines vers lui et tirant en rafales au P90. D’un seul coup, Jack se souvint de la discussion qu’il avait eu avec Menchu à propos des missions suicides et autres sacrifices pour la patrie… Il se souvint de ses paroles, de celles de Turner au briefing et de celles du Colonel Evrett sur l’Apollo.
Pour Jack, cela semblait évident. Son aventure se terminerait ici et il espérait plus que tout qu’il ne partirait pas seul en enfer… Il fixa les deux adversaires tout en gardant une distance de sécurité, un fin sourire sur le visage.
Dans quelques instants il se ferait exploser au sens propre du terme…
Pour ses hommes et tous ceux qu'il aimait.
Pour leur réalité et la sienne.
Pour la Terre et la galaxie.
Et tout simplement... Pour la bonne cause.

« Alors boîtes à conserve, venez !! Vous attendez quoi là ? »

Montant la suite des étages a porter la bombe comme précédament, Davis n'avait pas a se pleindre pour le moment, les réplicateurs fesaient de tant à autre des apparition, mais c'était de plus en plus rare. Rapidement, l'équipe avait progresser dans les rangs ennemis jusqu'a arriver dans une salle, une sorte de salle de controle auxiliaire. Mais visiblement, on avait voulu les laissers arrivé jusque là, c'est du moins, ce que pensa le Capitaine, lorsqu'un amas de réplicateurs boucha la porte par laquelle était arrivé les terriens. La lumière de la salle où ils se trouvaient était faible et d'autre sortie invisible. Par reflexe, Paul lacha la bombe et prit son P-90 dans ses deux mains. Quelques secondes après, le mur se mit à avancé. Paul remit rapidement ses mains sur la bombe pour la transporter. Le mur avancé de façon a amené les terriens là ou il voulait. Marchant rapidement dans les couloirs, ils arrivèrent dans une pièce lorsque le mur disparue.

Au loin, des bruits de pas, suivit de quelques secondes après par l'arrivé de deux hommes. Le Colonel O'Neill demanda son identité, mais ils ne répondèrent pas, et rapidement, tous le monde comprit, que c'était des réplicateurs humanoide. Paul, comme tous le monde, tira sur eux. Mais sans aucun effet. Un des deux répliquant, expliqua pourquoi ils étaient là, chose simple, empecher les terriens d'arriver à leurs but, mais récuperer l'épée du Colonel Narah, la seul arme capable de les menacer. Une chose que Paul ignorait, mais cela pouvait etre utilie d'avoir une telle arme dans ses rangs. Alors qu'O'Neill ordonna au autre de partir, de fuire avec la bombe, il prit Davis avec lui, pour sauter sur le répliquant le plus près. Mais le Capitaine eu a peine le temps de déployer son bras pour donner un coup, qu'il se retrouva de l'autre côté de la piéce. D'ailleur, c'est le sort qui était reserver aussi à Jack, Boba et Menchu. Le reste de l'équipe, lui, avait eu le temps de partir.

Mais, le Capitaine eu le courrage de se relever, pour une nouvelle fois, partir au combat corp a corp contre les machines, mais encore une fois, il fût rapidement projetter contre une paroit. Mais cette fois, il tomba prèt du sabre de Menchu, voyant celui-ci mal en poin et malgrès la douleur qu'il avait. Davis se leva, prit le sabre et se mit à courrir vers le réplicateur humanoide le plus rpet, en criant de souffrance.

Aieeee !

Il entra l'épée dans le réplicateur, avant de la retirer rapidement, ce qui provoca un gros choc chez le répliquant. Mais dans son action, Paul reçu une décharge de l'autre ennemis. avant de tombé au sols, Menchu eu le temps de récupere son sabre des mains du Capitaine. Après quelques secondes, le courrageux Paul se releva, avec beaucoup de difficulter, mais il devait partir, tant que les deux adversaires étaient au sols. Marchant avec grande difficulter, Paul et les trois autres militaires, arrivèrent à rejoindre le groupe qui était partie en avant. Il avait retrouvé l'appareil des anciens. Et c'était une grande nouvelle. Le seul probléme, c'est qu'une armé de réplicateurs sépare cette appareil des terriens.

Sur ordre de O'Neill, le docteur Dablord vient regarder les blessures de Davis, mais celui-ci devait faire vite, car Paul avait eu le temps de voir qu'O'Neill allait défier seul les deux réplicateurs humanoide, qui étaient de nouveau sur pied, mais que le groupe aurait besoin de Paul et Evans pour éliminé les crabes pour récuperer l'appareil.

Tout s'enchaînait trop vite pour le militaire qui devrait être en ce moment même dans l'infirmerie du SGC et pas en mission et le groupe du se résoudre à la perte de Frasier quand celle-ci, aveuglée par sa haine, n'entendit pas l'ordre de repli et se fit encercler avant de disparaître... Lui, il savait très bien ce qui allait se passer pour la doc en Chef et c'est pour cela qu'il tourna les talons et chassa immédiatement ses propres souvenirs de capture. La mort plutôt que la torture. Le militaire se consola en pensant qu'elle mourrait quand la bombe exploserait, elle ne serait torturée que peu de temps, même si ce peu de temps serait une éternité pour elle...

L'équipe arriva enfin dans une salle un peu plus grande, dès l'entrée dans la salle Menchu lâcha quelques mots.

"On sécurise la salle !"

Rapidement les militaires se mouvèrent pour s'assurer qu'aucun Réplicateur n'était en embuscade et qu'ils ne seraient pas surpris, pas question de perdre un autre membre... Alors que Calvario et Selmak analysait les informations à leurs dispositions, il fut révélé que la situation dans l'espace n'était pas brillante. Il saisit vivement sa radio.

[Radio:]Colonel Narah aux vaisseaux humains encore en état, repli immédiat ! On s'en sortira maintenant, si vous me recevez, repliez vous immédiatement ! C'est un ordre ![/Radio]

Il lâcha sa radio et le grésillement persistant reprit dans son oreille droite, jamais il n'avait tant détesté ce lugubre son, jamais...

Alors qu'il allait dire à l'équipe de se magner, le "mur" se referma derrière eux, le militaire lâcha une insulte et ouvrit le feu, une dizaine de balle vinrent percuter les blocs Réplicateurs réactivés, sans effet... Et comme si sa suffisait pas, le mur commença à avancer vers eux. Immédiatement, et avant qu'il est lui même pu le dire, Jack ordonna à tout le monde de dégager, toujours aussi efficace... Personne ne se fit prier et tous décampèrent rapidement, une course effrénée commença pour l'équipe qui se vit guidée à travers des couloirs, ne leur laissant aucun choix possible, on les menait droit dans un piège...

Quand enfin le mur s'arrêta, une salle se dessina devant le militaire, une ambiance lugubre, du sang partout... Une salle de torture Réplicateur !

"Tenez vous prêt !"

Un frisson glacé remonta le long de la colonne vertébrale du militaire quand il entendit ces bruits de pas qui le plongèrent dans un état second, immédiatement il leva son arme et envoya trois projectiles de feu dans la tête du Réplicateur humanoïde de droite, il fut imité par le reste des hommes une seconde après... Ça y est, Solid Snake était là !

Quand il fut évident que l'ennemi était toujours insensible aux balles, les tirs cessèrent et l'un des deux Réplicateurs prit la parole, ils voulaient l'épée... Qu'est ce que c'est original !

"Viens la chercher enfoiré !"

Snake rangea son M4 dans son dos et sortit son épée, la lame vibra sous le frottement contre son étui, un calme intérieur l'envahis, tout devint immédiatement clair: Deux Réplicateurs humanoïdes, il ne pourrait en abattre qu'un, une seconde utilisation le tuerait à coup sur, il fallait fuir et... Un Réplicateur humanoïde fonça sur lui, par réflexe le militaire donna un large coup vertical pour éloigner son adversaire, il fit quelques moulinets pour retrouver le poids de l'arme entre ses mains et enchaîna ensuite quelques attaques, sans grand succès...

Feignant une attaque sur la droite, le gradé tenta une attaque sur l'épaule de son ennemi qui lui saisit le poignet et le serra assez fort pour lui faire lâcher l'arme, quand le bruit sourd du choc résonna, Menchu sentit un coup de poing d'une puissance phénoménale le propulser contre le mur, il se tapa violemment la tête contre le mur et resta quelques instants sonné. Secouant frénétiquement la tête pour tenter de reprendre ses esprits, le militaire vomi un mélange de bile et de sang, quand il releva les yeux, le Réplicateur l'attrapa par le cou et le souleva, ses pied quittèrent le contact du sol si rassurant -malgré le fait qu'il soit fait de Réplicateur inactif- et l'air commença à peiner à rejoindre ses poumons. La fin était-elle arrivée ?

"Enfoiré ! J'vais te détruire ! Comme tout tes p'tits frères !"

La prise se resserra sur son coup et alors qu'il allait tourner de l'œil, sa lame vint trancher le bras de l'ennemi qui se décomposa en petits morceaux inanimé, il prit une grande inspiration et tomba à genou, il releva la tête, sortit ses deux Socom et vida les deux chargeurs sur son ennemi, sa le ralentirait assez pour fuir ! Il rangea ses armes en voyant O'Neill aux prises avec l'autre humanoïde.

"Davis, mon arme !"

Le ton autoritaire et froid du militaire ne laissa aucune réponse possible, le Capitaine lui donna l'arme et Menchu fonça vers le second adversaire, un cri de rage sortit du tréfonds de son âme, il coupa net les deux bras du Réplicateurs qui recula et la vision qui s'offrit aux yeux du militaire le rempli d'une joie malsaine: la peur envahissait le regard de la machine. De sa main gauche armée de l'épée il coupa net la tête du Réplicateur, sa le ralentirait ! L'humain tomba à genou, la respiration haletante, il était au bord de la mort, les effets de l'injection commençaient à se dissiper.

"On bouge !"

O'Neill l'aida à se relever, Menchu lui fit un sourire franc. Ils commencèrent à tous décamper. L'engin des anciens était bien là mais... Une armée de Réplicateur les séparaient de leur objectif... O'Neill ordonna à ses hommes de partir, il comptait rester la à combattre ? Non mais il est dingue !

Pivotant pour faire face aux deux Réplicateurs humanoïdes qui s'étaient reformés et étaient de nouveaux prêts à l'attaque, Menchu lâcha un long soupir, il devait rassembler ses forces... Ou ce qu'il en restait... Une dernière injection ?

"Calvario, je vous donne 10min, pas une seconde de plus ! Alors bougez vous."

Le Français sortit une injection et la planta directement dans son cou, il trembla pendant quelques secondes, retira la seringue et la jeta par terre, 15 minutes, pas plus... Il commença à avancer vers les Réplicateurs en effectuant des moulinets rapides et puissants, fouettant l'air avec cette arme de mort.

Jack partit sur le coté et commença à tirer pour espérer attirer les humanoïdes vers lui mais il était clair que Menchu ne le laisserait pas se sacrifier, ce n'était pas à lui de mourir, il avait son propre monde à défendre !

*Barre toi Jack... Je peux les retenir assez longtemps seul.*

Un dernier moulinet, une seconde, pas encore... Il arrêta net son mouvement quand une grenade fumigène passa devant lui et troubla les deux Réplicateurs, rapidement le nuage de fumée fut plus épais qu'une purée de pois, c'était le moment ! Dablord attrapa O'Neill et le fit dégager de là, bonne initiative de sa part... Mais la fumigène ne servait pas à grand chose, les Réplicateurs humanoïdes pourraient voir la position des humains via leur connexion avec les crabes... M'enfin sa ferait gagner un peu de temps, une minute tout au plus...

[Radio:]Jack, je m'occupe des Réplicateurs humanoïdes, dégage de là et protège ton équipe, emmène Kaïger et Ocelot avec toi ! Naidu vous couvrira, tu dois vivre pour raconter tout ce que tu as vu et honorer la mémoire de Gallagher, fonce ![/Radio]

Chacun appréhendait la suite. Les événements allaient désormais se passer très rapidement... A partir du moment ou Jack avait posé la ceinture sur son épaule et c’était mit à courir, les deux réplicateurs changèrent de ton. Celui avec le bras en moins tandis l’autre vers Menchu qui avait déjà sortit l’arme et prêt à leur bondir dessus, quand à l’autre il ignora totalement O’neill, se dirigeant vers le reste du groupe. Jack, voyant que son plan n’avait pas marché s’apprêtait à retourner vers eux lorsqu’une main saisit le Colonel par l’épaule, lui arrachant la ceinture des mains en l’envoyant rapidement plus loin. Jack s’accroupi n’ayant toujours pas vu celui qui avait fait ça, et sentit quelqu’un le recouvrir rapidement. La déflagration fût puissante, et toute l’équipe cru bien que de leur Colonel ne restait qu’un tas de cendre.. la fumée était épaisse, et les crabes s’était agités. Fonçant vers l’équipe qui se frayait un chemin, poursuivis par l’autre réplicateur, ils n’allaient pas tarder à être prit au piège. Evans avait lancé les fumigènes quelques secondes auparavant, ce qui avait bloqué la vue à l’équipe sur ce qui se passait vers O’neill...

En parallèle, Menchu avait foncé vers le Réplicateur astrofié. Ce dernier n’avait pas beaucoup de jugeote, mais essayait de choper le Colonel avec son dernier membre. Tournoyant autour, Narah esquivait la plupart de ces attaques, en même temps il n’avait pas vraiment le choix... Si il l’attrapait s’en était fini de lui. Tentant une attaque, le réplicateur s’abaissa avant de faire tomber Menchu à terre. Se relevant rapidement, reprenant son arme, il réactiva la plus grande peur des crabes en activant l’arme à énergie. S’élançant pour frapper, Menchu roula sur le côté et lança un ultime coup qui coupa la jambe de ce dernier en deux... Elle ne se reforma pas, mais les forces de Narah le quittaient déjà. Il tenait encore debout, mais ne tiendrait pas plus longtemps. Se redressant, il aperçu son ennemi qui tentait de ramper jusqu'à lui, en vain... Le regard empli de haine, il fit tournoyer son arme derrière lui avant d’achever d’un coup mortel son ennemi... Lâchant l’épée, il se sentait très faible. Levant son regard vers l’équipe, il voyait flou. L’accumulation des coups l’avaient épuisés, un humain n’était pas fait pour endurer tant de souffrance. Sa vue lui revint petit à petit, et il entrevit le dernier humanoïde qui pourchassait toujours l’équipe. Chacun se relayait pour tirer sur les crabes, et sur l’humanoïde en même temps, mais ceci ne le ralentissait pas trop... Les attirant contre un mur comme il avaient fait pour Janet, ils allaient bientôt se retrouver coincés et n’auraient d’autre choix que de se rendre, ou mourir...

Dans l’épaisse fumée plus loin, O’neill releva la tête. La personne qui s’était mise sur lui pour le protéger de la déflagration n’était plus au dessus, mais devant lui. Toussotant rapidement, il se releva... Il se tenait là. Ce fût comme un coup de poignard lorsqu’il vit son visage, tout le monde se demandait ou il était passé, et il était juste devant lui... Son double. Le regard impassible, il le fixait simplement. Jack se retourna lentement, pour voir ce qu’il en était lorsque son double le poussa sur le côté brusquement. Tombant lourdement sur le sol, O’neill se leva la tête une fois de plus... La fumée se dissipait au fur et à mesure, mais il ne parvenait pas à voir ce qui se tramait devant lui. Il voyant netement deux personnes se battre, sans pour autant savoir qui était qui. Il ne comprit la situation que lorsqu’il vit un membre de réplicateur tomber jusque devant lui, un bras, puis une jambe... Enfin la tête de son poursuivant de tout à l’heure tomba juste devant lui, avant de tomber en poussière comme le reste du corps. Se relevant rapidement, la fumée s’était presque dissipée. Essayant de l’écarter par un simple geste de la main, O’neill entendit sa propre voix juste devant lui.

« Vous allez bien ? »

Ouvrant la bouche pour répondre brièvement, il vit son double partir et se diriger vers une autre direction. Il décida alors de le suivre de manière plus que confuse, espérant qu’il pourrait aussi aider ses amis...

Pendant ce temps, un peu plus loin dans la salle, l’équipe était quasiment à court de munition. Seul Fett, Kaïger, Pierson et Davis en avaient encore. L’étreinte se ressaierait, et chacun ne savait plus par ou aller. Un cri se fit entendre, lorsque tous (ou presque) virent le réplicateur qui avait attrapé le Colonel Naidu. Celle ci tira ses dernières balle dans la poitrine de la machine qui la regarda avec un sourire malsain... Sortant son couteau, elle lui planta dans le cou, mais seul le manche retomba, se régénérant il mit le cou de la jeune femme sous son bras et la souleva, cherchant à lui couper la respiration. Les autres ne pouvaient rien faire, soit parce qu’ils étaient coincés par des crabes qui tenaient de les écarter, soit parce que si ils tiraient ils toucheraient obligatoirement kamala dans la rafale de balles. Alors, dans un élan machiavélique, le regard du réplicateur se tourna vers Fett, Ocelot, Paul, et ainsi de suite. Kamala ne semblait plus pouvoir respirer...

Derrière eux, Menchu venait de se rendre compte de se qui se tramait devant. Accélérant le pas, il vit de dos que l’humanoïde tenait quelqu’un, et que ce quelqu’un était soulevé au dessus du sol, apparement inerte. Attrapant l’épée, il s’apprêtait à frapper une ultime fois avant que ses forces ne le quittent. Vertiga, Evans et Davis avaient vus Menchu, et regardèrent derrière lui. Se retournant, le français aperçu non pas un mais deux jack qui le talonnaient. Le premier attrapa l’épée, et d’une force surhumaine lui tordit légèrement le poignet pour lui faire lâcher l’arme avant de la jeter au loin. Un regard toujours aussi froid auquel Jack avait eu droit fit son apparition... Continuant son ascension vers ; apparement le dernier humanoïde ; Jack bis toucha la tête de son confrère, qui tomba comme l’autre en poussière au bout de quelques secondes... Les crabes s’arrétèrent, reculant de quelques pas pour la plupart, attendant surement de recevoir de nouvelles instructions. Evans se précipita vers Kamala mais.. il était trop tard. Cette jeune femme, qui avait servit son pays avec tant de bravoure et de passion, la fille du Général Turner, la seule femme qui avait l’autorité nécessaire, celle qui faisait tant redouter les missions aux hommes, cette guerrière née s’en était allée... Sur son coup, la marque rouge sang se faisait encore voir, tandis que le corps sans vie, d’une couleur violacé était étendu sur le sol... Pierson avait été blessée au dos, une longue griffe descendant jusqu’au bassin. Evans avait été agrippé par un crabe au niveau de la cheville, ce qui le faisait boitait quelque peu. Tous étaient assez choqués de ce qui venait de se passer, et tous regardèrent Jack, surprit de ce qu’il venait de faire. Fett et les autres militaires avaient déjà levés leurs armes, mais malgré cela il restait calme. Enfin, lentement derrière lui, arrivèrent un autre Jack ainsi que Menchu. Les crabes semblait s’écarter sur leur passage. Plus personne ne comprenait rien, même le vrai O’neill ne parlait plus. Le calme fût rompu lorsque le nouveau venu prit la parole.

« Je suis désolé. Je n’ai pût sauver votre ami, ainsi que le docteur Frasier. Nous ne sommes pas beaucoup, mais notre petite faction de réplicateur comprend certains à qui on a voulu introduire des émotions humaines. Résultats, les machines à tuer n’ont plus lieu d’être. Quelqu’un à réécrit notre code, nous rendant inoffensif contre les humains. Malheureusement, nous sommes trop peu par rapport aux autres. Sachez qu’il vous faut tous quitter cette planète, au plus vite. Nous avons sondés l’esprit de Janet Frasier, et nous savons tout ce qu’il y à savoir. Cette appareil vous renverra d’ou vous venez. Sachez que la Terre a été attaquée, et désormais il n’en reste plus rien. Mes semblables ont détruits ce qui restait de la flotte en orbite, et ne vont plus tarder à arriver. Il faut que vous partirez, et vite. »

Tous se regardèrent. Prenant le corps de Kamala, Evans retourna avec le groupe, suivit de Jack et Menchu. Les crabes s’écartaient toujours, jusqu'à ce que explosion retentisse par l’entrée ou ils étaient venus. Une horde de réplicateurs firent leur apparition, fonçant sur l’équipe en fuite.

« Partez ! Je peux contrôler ces réplicateurs pour quelques minutes, et le temps que les autres « humanoïdes arrivent » vous serrez partis ! »

Les crabes qui les entouraient foncèrent sur ceux qui venaient d’arriver, commençant à se battre. Le spectacle fut assez perturbant en soit, voir ainsi des centaines de crabe se battre entre eux, et Jack O’neill au centre regarder l’équipe s’éloigner était déroutant. Arrivant devant l’arme d’Heru’ur sans autre obstacle, Kaïger annonça la pire nouvelle qui pouvait arriver... la bombe ne marchait plus. Elle avait dû être endommagée par les Réplicateurs pendant la bataille précédente, car la mise à feu automatique était HS, et le minuteur mort. Menchu se rappela alors du plan de Vertiga, surcharger l’engin afin de le faire exploser. L’explosion atteindrait la bombe qui serait détruite par le souffle de la déflagration, et le Naquadah liquide à l’intérieur détruirait toute la planète.. C’était la seule solution, mais, il y avait un mais.. Il faudrait entrer des symboles dans un ordre précis une fois l’équipe partie, ce qui surchargerait l’engin, l’obligeant à emmagasiner toujours plus d’énergie, et à exploser au bout de quelques petites minutes... Ceci impliquait donc que quelqu’un reste sur place... Il fallait faire vite, le groupe de crabes d’Oneill bis semblait diminuer au fur et à mesure que de nouveaux assaillants arrivaient...

Jack, Menchu et d’autres s’étaient immédiatement portés volontaire, malgré le fait que Menchu ; et il le sentait très bien ; dût à ses innombrables blessures et aux événements récents, ne vivrait plus que quelques jours tout au plus...


[Bon, je vous laisse débattre entre vous et choisir qui va rester lol même si j’ai moi même une petite idée. Ceci est l’avant dernier post, le prochain sera le post de fin. Surpassez vous, vos idées précédentes étaient très bien ]

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Janet avait marché. Il le fallait pour son éventuelle survie. Jack semblait ravi, il l’attrapa par le cou, avant de se diriger vers la maison. L’enfant jouait devant avec le chien, le vieux Sam qui avait du mal à courir aujourd’hui. La vie était paisible, mais quelque chose n’allait pas... De jour en jour Jack paraissait plus froid, plus distant. Chaque jour qui passait devenait bien moins agréable que le précédent. Au fur et à mesure, Janet se sentit exclue, comme si Jack ne l’aimait plus. Elle tenta plusieurs approches, mais en vain. Il disparaissait même des fois, revenant quelques heures plutard sans aucune raison... Alors, elle en eu marre. Cinq jour après ce cauchemar, elle lui parla face à face. Toute esquive était impossible pour lui... Cherchant à savoir ce qui se passait, il ne lui accorda qu’un bref sourire avant de disparaitre littéralement sous ses yeux. Tout d’un coup, tout disparu aussi... Sa cuisine, son salon, la vue sur le jardin. Tout. Tout redevint comme avant, la pièce sombre dans laquelle ils étaient initialement avait refait son apparition.

« Je suis désolé... Mais ils ne veulent pas que cela continu. » dit Jack en se reculant, un regard nostalgique s’élançant vers Janet.

Frasier sentait que quelque chose n’allait pas... Doucement, la main de Jack se transforma en une lame, grisâtre, plutôt argentée... Janet comprit alors.. Sa vie allait s’arrêter ici, et maintenant. Elle n’aurait aucune réponse, rien, qui pourrait distinguer cette situation d’une autre. Elle voyait juste que ce Jack était triste, très triste. Il ne voulait pas faire cela, mais il y était obligé. Quelqu’un l’avait forcé à faire quelque chose contre nature, tuer un être que l’on aime ne devrait pas arriver. Mais c’est pourtant ce qui venait de se passer. La lame transperça Janet Frasier, qui dans une ultime larme de peine, tomba sur le sol tel une âme en détresse, cherchant le réconfort, avant de commencer un nouveau voyage... La mort.


[5 j pour répondre, soit jusqu'à Jeudi soir ]

Alors qu'O'Neill se dirigea avec Menchu vers les deux réplicateurs, ou plutôt mega robot, le reste du groupe, dont Paul était dedans, s'avança vers l'appareil d'Heru'ur, qui dans cette réalité, était aux mains des réplicateurs. Alors qu'il n'y avait aucune vue sur ce qu'il se passait du côté de O'Neill, Paul avançait vers l'arme, P-90 en main, il tira. Davis était l'un des derniers du groupe, a avoir encore des munitons. Bien que les siennes était presque fini aussi.

Un des deux robots dont Paul avait combattu précédament était en train de poursuive le groupe de Davis, qui tirait sur les crabes métalliques. Mais, le robot, avait réussit à attraper le Colonel Naidu, et malgrès les tirs des humains, rien ne put sauver la jeune femme. Tous le monde fût attrister de voir cela. Après Janet Frasier, Kamalas Naidu était la deuxiéme victime des réplicateurs.

Au loin, Paul avait vue le Colonel Narah, qui s'avançait doucement pour éliminé le réplicateur humanoide. mais celui-ci allait s'ecroulait avant. Mais à ce moment là, non pas un, mais deux Jack O'Neill arrivèrent. Paul se demanda si il était devenu fou, mais il en avait bien deux. Le premiers attrapa l'épée pour éliminé le réplicateurs qui avait tuer Naidu et le second, appuia sur le front du second réplicateur, qui s'écroula. Surement la clé d'activation. Davis avait arrêter de tiré sur les crabes métalliques, car ils ne bougeaient plus et s'ecarter d'eux. Cela permettait aussi au Capitaine d'économiser ses balles et aussi de reprendre des forces, car il était encore sous le coups de l'affrontement précédent.

*C'est quoi ce bordel ?*

Un des Jack prit la parole, c'était un réplicateur humanoide, auquel avait été ajouté la sensibilité humaine. Heureusement pour les terriens, sinon ils auraient déjà était tuer. Le groupe d'humain devait donc aller à l'appareil, pendant que lles réplicateurs allaient se battre en eux. Arrivant quelques secondes après, Paul apprit que la bombe n'allait jamais exploser, celle-ci étant morte, il l'avait transporter pour rien, en gros. Mais bon, ce n'était pas le plus grave. Pour détruire se monde, la planete mére des réplicateurs, qui d'ailleurs, avait éliminé la terre et tous ses habitants, il fallait qu'un d'entre eux reste, mais il n'aurait pas le temps de partir avant l'explosion. C'était donc du suicide. Paul alla se mettre à côté d'O'Neill et lui dis doucement.

Je suis volontaire mon Colonel.