Tous les membres voulant devenir MJ devront poster leur RP test ici afin d'être évalué par les MJ et le Staff.

C'était le soir, la nuit était tombé sur le paysage depuis un moment. L'équipe se trouvait dans une région de la planète. La neige était tombé abonnement depuis ce matin donc elle devrait usager de la plus grande prudence pour éviter de se faire remarquer. Le chef de l'équipe qui était le Major Marshall Curtis positionna son équipe. Il avait avec lui deux artilleur, un tireur d'élite et un médecin. Il se tourna vers son équipe et montra le déroulement de la mission. Le tireur d'élite devait tout d'abord éliminer les sentinelles qui se trouvaient à chaque tour. Ensuite, ils auront environ un quart d'heure pour effectuer leur mission avant qu'ils s'aperçoivent que les sentinelles soit mortes. En faite, leur mission consistait à sauver un journaliste qui pourrait avoir des infos sur des terroristes présumé dans cette conté de la région.

Voilà, tout le monde était au courant de ce qu'ils devaient faire. Chacun se mit en position. Le tireur attrapa son fusil et se mit à viser. Il avait mit sa mit sous infra-rouge car il n'avait pas assez d'éclairage pour utiliser la visé normale. Il vit enfin sa première cible. Il avait plus qu'à appuyer sur la gâchette mais il devait attendre l'ordre de son supérieur. Celui ci regardait sa montre. Il régnait au sein de l'équipe un silence de plomb. Tous savait que cette mission était très risqué car ils étaient en territoire ennemis et si il échouaient, personne ne viendra les sauver. C'est ça le métier de commando. La montre du Major sonna légèrement, il était enfin l'heure de débuter la mission. Le chef d'équipe fit une petite tape sur l'épaule du tireur et celui ci appuya sur la gâchette pour éliminer sa première cible. Il passa rapidement à la seconde cible et l'élimina d'une facilité déconcertante, puis la suivant et encore une. Il continua comme ça jusqu'à toute les avoir. Après avoir terminé, il se tourna vers son supérieur...

"Toutes les cibles ont était neutralisé Major."

"Bien... allons y maintenant, le plus dure reste à faire."

"A vos ordres !!" disent ils tous en coeur.

Les deux artilleur passèrent devant pour arriver juste devant l'une des tours. Malheureusement, il y avait une caméra posté à l'entrée qui n'avait pas était précisé dans le briefing de la mission. Le Major avait l'habitude de ce genre de surprise et donc il dut improviser pour pouvoir entrer dans l'enceinte du bâtiment. Il ordonna au tireur d'escalader la tours et d'essayer de neutraliser le système de sécurité. Celui ci fit un signe de la tête en guise d'affirmation. Il se précipita donc vers la tour et commença à la grimper. Les prises étaient glissantes ce qui rendait la difficulté encore plus importante mais l'homme réussit néanmoins à monter jusqu'en haut. Arrivé au sommet de la tour, il regarda vite fait le plan pour vérifier l'endroit où se trouve la salle de sécurité. Il vit qu'il n'était pas très loin de celle ci alors il s'y dirigea avec furtivité. Alors qu'il marchait en direction de la salle, il entendit des bruits de pas qui se dirigeait vers lui. Il commença à observer tout autour de lui et vit un placard pas très loin. Il s'y précipita et entra à l'intérieur. Le garde passa devant lui et le soldat infiltré en profita pour sortir et lui briser le coup. Il cacha ensuite le corps dans le placard où il s'était caché juste auparavant. Il se remit donc en marche et arriva à la salle de sécurité où se trouvait toute les caméras. Il entrouvrit la porte légèrement et vit qu'il n'y avait pas grand monde à l'intérieur. Il sortit son 9m avec silencieux et pénétra dans la salle. Il tua tout le monde sans faire de concession. Il vit aussi une femme avec son gosse. Il les pointa de son fusil, il ne devait en aucun cas faire preuve de pitié mais il ne pouvait pas les descendre. Alors il baissa son arme et regarda les écran de contrôle. La jeune femme le regarda apeuré ne savant pas quoi faire tout en serrant son enfant contre elle. Le tireur contacta son supérieur par radio...

[RADIO] Caméra neutralisé Major, vous pouvez pénétrer dans le bâtiment.. Terminé[/RADIO]

[RADIO] Bien joué Sergent, ne bougez pas de là où vous êtes ! Vous allez nous guidez... Terminé[/RADIO]

[RADIO] A vos ordre Major [/RADIO]

Le reste de l'équipe pénétra dans l'enceinte du bâtiment. Ils ouvrirent la porte doucement et en entrent, ils s'aperçut qu'il n'y avait pas de garde à l'entrée. Ils avait donc un grande foi en leur systèmes de surveillance. Mais bon, l'heure n'était pas aux questions. Le groupe se dirigea vers les cellules mais très discrètement et en évitant le plus possible le conflit. Jusqu'à maintenant, ils avaient réussit à éviter les gardes sans se faire voir du moins, ils l'espéraient mais pour l'instant aucune alerte d'intrusion avait été signalé. Le Major avec le reste du groupe descendit dans les cellules. Il y avait deux gardes à l'entrée de celles ci. Le Major fit un signe de la tête et les deux artilleurs les abattis aussitôt mais dans un silence complet. Le médecin en profita pour aller chercher les clef sur l'un des gardes et ouvrit la porte qui menait aux cellules. Ils pouvaient entendre des cris au loin, et d'après les paroles, ça devaient être le journaliste. Le groupe se précipita vers la cellule et il vit qu'ils étaient en train de le torturer pour avoir des infos. le Major ne fit pas dans le détails et tua tout le monde. Le journaliste tomba à terre épuisé et très mal en point. Le médecin l'examina et le soigna autant qu'il pouvait. Le reste de l'équipe attendit mais cela était trop loin alors le Major lui dit...

"Conrad !! Vous pouvez vous dépêcher, on n'a pas toute la nuit !!"

"Avec tout le respect que je vous dois Major, si on le bouge dans l'état qu'il est, autant prendre l'un des gardes à l'entrée ça sera la même chose."

"Arghhhhhhhh.... alors faites le plus vite possible."

"A vos ordres."

Bandage, aiguilles, premiers soin... tous y passa pour tenter de remettre sur pieds le journaliste mais cela ne sera pas suffisant pour le moment. Ils devaient l'amener dans un endroit plus approprié pour le soigner sinon il risquerait de mourir. Le Major ne perdit pas de temps, il saisit le journaliste d'un côté et le médecin le prit de l'autre côté. Ils se dirigèrent vers la sortie lorsque l'alarme sonna. Le Major ne comprit pas ce qu'il se passait, ils n'avaient fait aucun bruit, personne ne s'était fait remarqué mais qui a déclenché l'alarme. Tout le monde était mort autour d'eux alors ça ne pouvait pas être eux. Puis d'un coup, il entendit le tireur à la radio...

[RADIO] Major, il y a une trappe non loin de vous qui peux vous amener dehors, vous ne pourrez pas sortir par l'issu que vous avez emprunté pour aller chercher la cible alors utilisez celle là.[/RADIO]

[RADIO] Sergent... Expliquez moi ce qu'il se passe.[/RADIO]

[RADIO] Je peux pas Major... il est trop tard, ils m'ont.... от она! Войти! [/RADIO]

Le Major se rendit compte de la situation. Il ordonna aux deux artilleurs ainsi qu'on médecin de sortit d'ici et de protéger de leur vie le journaliste. Ceux ci fit un signe de la tête et partit sans discuter, ce n'était pas le moment de bavarder de toute façon. Le Major se dirigea vers la surface et il vit son tireur être amené au milieu de la cour. Il était entouré de garde ennemis. Ceux ci le mit à genou au milieu de la cour. L'un des gardes tenait la jeune femme avec son fils fermement. Puis voilà un haut gradé, sûrement un Lieutenant-Colonel vit toutes ses médailles. Il se tourna vers le garde qui tenait la jeune femme et il lui demanda...

"Она является тот, кто открыл мужчина?"

"Да мой подполковник"

"Очень хорошо ... Таким убийства"

Le garde lâcha la femme et tira d'une balle en pleine tête la femme avec son gosse. Le Haut gradé sourit et il se tourna vers le tireur d'élite. Il lui adressa la parole...

"C'était rien qu'une puta** de toute façon."

Le Sergent ne le regarda pas dans les yeux. Il savait que de toute façon, tout était finit pour lui maintenant. Alors le Lieutenant-Colonel se mit juste en face de lui et il lui dit...

"Maintenant tu vas réponde à mes question sale fils de poute."

"Tu peux toujours aller te torcher le trou de balle sale chien."

"Arhhh... vous les amerloc vous n'êtes pas très coopératif."

"Vous n'obtenerez rien de moi."

"Ah vraiment ?? Dommage alors... tuez le."

Deux gardes se positionna devant lui et posa leur doigt sur la gachette. Deux bruit de coup de feu se fit entendre. Le Lieutenant-Colonel se tourna et vit ses deux homes tomber au sol. Puis d'un coup le Major sortit de nulle part tirant sur tout ce qu'il bouge et se dirigea vers son compagnon. Il le saisit et ils allèrent se mettre à l'abri des coup de feu. Le Major donna un 9m au Sergent et les deux hommes se mirent à tirer sur l'ennemi. Le tireur d'élite trouvait cela totalement étrange de la part de l'officier d'être revenu le sauver. Maintenant, les deux risquent d'y passer et cela n'était pas digne d'un haut gradé alors pourquoi est il revenu ? Le Sergent le sera peut être jamais mais il est tout de même revenu. Mais ce qui devait arriver arriva, ils manquaient de munitions. Les deux hommes ne pouvaient pas fuir sans se faire remarquer alors le Major se tourna vers son compagnon et dit...

"Écoutez Sergent... il me reste un chargeur alors je vais faire diversion et pendant ce temps vous fuirez."

"NON !! Je ne peux pas vous laissez Major, surtout après..."

"JE NE VOUS AIS PAS DEMANDE VOTRE AVIS SERGENT !!! Je vais les distraire et pendant ce temps vous foutez le camps d'ici."

"Mais..."

"C'EST UN ORDRE SERGENT !!!!"

"A vos ordres Major."

Le Sergent ne pouvait pas discuter les ordres de son supérieur. Celui ci d'ailleurs sortit de sa cachette et commença à tirer sur tout ce qu'il bouge alors qu'il est à découvert. Il faisait tout cela pour permettre à son compagnon de fuir. Mais vu qu'il était à découvert, le Major ne tarda pas à se faire toucher à la jambe, puis au bras et également à l'épaule. L'homme lâcha son arme à terre ne pouvant pu rien faire. Le Sergent n'était toujours pas parti et il regardait la scène de loin. Son supérieur ne tarda pas de lui rappeler de déguerpir. Le Sergent fila donc sans se retourner abandonnant sans supérieur mais il n'avait pas le choix, c'était ses ordres.

Alors qu'il était presque sous le poing de s'évanouir, le Lieutenant-Colonel du camps ennemis arriva devant lui et le pointa de son arme. Et dans un murmure le Major dit...

"T'es déjà mort pauvre co*"

Le Major lâcha sa grenade à fragmentation qu'il avait dégoupillé juste avant que le haut gradé ennemis arrive en face de lui. Le Sergent était dehors lorsqu'il entendit et vit l'explosion. Il se retourna quelques secondes pour voir la défragmentation et il reprit aussitôt le chemin. Au bout de plusieurs minutes, il rejoint le reste du groupe. Ceux ci demanda où était passé le Major et il ne leur répondit pas. Ils ne reposèrent pas la question une deuxième fois, il suffisait de regarder les yeux de l'homme pour comprendre. Le groupe se remit donc en route pour amener le journaliste en des lieux où il pourra être soigné.

Quelques jours plus tard, un réseau terroriste fut démantelé et tout cela grâce au sacrifice du Major qui n'a pas hésité de donner sa vie pour mener à bien cette mission.

Des chevrons rouge s’enclenchaient un à un, faisant vibrer les murs du SCG, et s’ouvrit laissant apparaitre une énorme vague blanche meurtrière pour ceux qui oserait s’en approcher… Une fois dissipée, elle laissa place à un reflet bleu miroitant, de couleur cristalline… C’est alors qu’un objet étrange sur roulettes fit son apparition et traversa la porte lentement, faisant par la même occasion s’impatienter l’équipe SG 2 qui devait partir dès que le malp aurait fini son inspection de l’autre coter de l’anneau. Le micro émit un léger grésillement et on entendit la voix du Général Hammond leur dire qu’ils pouvaient y aller. Les quatre membres soudés de l’équipe traversèrent alors l’immense anneau gris, traversant l’étendue bleuté de le la porte…

Une fois arrivé de l’autre côté, le Colonel Ford et chef de l’équipe organisa la mission, dont le but était de récupéré un artéfact goaul’d «sensé être abandonner « dans une ruine, cet objet était très important du faite qu’il était capable de percer les boucliers des vaisseaux ennemis. Pour le colonel se séparer en groupe de deux serait risquer du fait qu’il avait un risque que les ennemis débarquent, il était méfiant sur ses gardes comme toujours. La scientifique de l’équipe qui se prénommait Lucie Mcguire, sortit un petit appareil et dès que celui-ci s’activa, il émit un son particulier qui lui permettait de savoir si il se rapprochait de l’artéfact, qui lui-même émettait de légères radiations.

- C’est par la Mon Colonel lança-t-elle d’un ton calme et sur.

- Aller en route les enfants ! Major, Capitaine assurez nos arrières on reste en contact radio. Ordonna le Colonel en avançant d’un pas sur le regard vert émeraude concentré sur le petit sentier que lui avait indiqué la jeune scientifique.

- A vos ordres lança le Major Davison d’un ton neutre. Le capitaine quant à lui se contenta de suivre du regard ses coéquipiers s’éloignés de la porte en hochant légèrement la tête en signe d’approuvement.

Après de longues minutes de marche, les deux coéquipiers arrivèrent dans l’ancien temple et le petit appareil de la scientifique sonna de plus en plus fort...

- On y est mon Colonel, l’appareil se trouve devant nous pas de doute possible.

En effet, l’appareil ressemblait bien à ce qu’il avait sur les gravures qu’ils avaient étudié pendant le briefing. Cependant ce qu’ils ignoraient est qu’il y’avait une dizaine de jaffas cacher dans un souterrain qui se trouvait sous les ruines, oui l’objet était un danger pour les grand-maîtres goaul’d qui avaient envoyé des soldats récupérer l’arme afin de la détruire… Les jaffas marchaient dans le silence et arrivèrent par une porte dérobée situé derrière le temple en ruine. Les membres de l’équipe SG 2 entrèrent au même moment dans le temple savourant chaque pas d’une victoire sur leur ennemi grâce à cette arme. La Terre était en danger et il fallait la protéger à tout prix tel était l’ordre donner. Au moment ou Lucie voulu prendre l’arme, celle-ci fut transpercée par un rayon lumineux en pleine poitrine, la tuant sur le coup… Un jaffa qui les avaient vus s’étaient planquer derrière les énormes colonnes du temple dans l’obscurité et la discrétion totale. Le Colonel eu juste le temps d’éviter un tir de zat’ qui lui frôla la base du crâne… Il alluma alors sa radio pour prévenir ses hommes du danger et demander du renfort.

- Major, Capitaine ! Appelez la base pour renforts ! On est attaquer, je répète on est attaquer ! Par Une dizaine de jaffas ! Hurla le Colonel dans sa radio qui quelques secondes après répliqua avec son P90 tuant deux jaffas qui s’étaient mis à découvert.

Le major à cette annonce ne prit pas la peine de répondre, et tapa l’adresse de la porte sur le DHD pour prévenir aussitôt la base qui leur envoya SG1 en renfort. Le colonel O’Neill prit alors les choses en main et alla aider son collègue dispersant les hommes sur le champ de bataille. Carter devait s’occuper de prendre l’artéfact ce qu’elle fit avec bryo. Teal’c quand à lui prit les jaffas du côté gauche tuant trois jaffas du coup de sa lance jaffa. Daniel quand à lui s’occupa du côté droit en exécuta deux l’un avec son baréta l’autre avec son P90 d’un coup de rafale. La bataille faisait rage et O’neill rejoint tant bien que mal le Colonel Davison derrière l’autel et trancha la gorges d’un jaffa qui s’était trop rapproché de lui au passage. Carter quand à elle couvert par Teal’c sorta sans égratignure avec l’objet, tuant un jaffa avec un deuxième coup de zat’. Les jaffas qui restèrent fuirent devant leur faible nombre laissant la victoire au terrier. En signe de défaite, ils donneraient leur vie à leur Dieux qu’ils vénéraient tant… Quand a SG2, ils firent honneur à la scientifique morte au combat, elle avait donner sa vie pour sauver sa planète. Mais maintenant le SGC avait une arme redoutable contre les boucliers ennemis…

Cela faisait déjà plusieurs jours que l'équipe SG-11 avait établi un contact amical avec le peuple vivant près de la Porte des Etoiles. Un faible rayon de lune nimbait la Porte tandis que la nuit enveloppait peu à peu le village. Bientôt plus un seul bruit ne se faisait entendre à part les rangers du Soldat Wilks, désigné par le major Hawkins pour surveiller les alentours du village. Bien que le chef des villageois avait assuré qu'il n'y avait aucun danger, Hawkins préféra prendre ses précautions. Son sens de la prudence lui avait de nombreuses fois sauvé la vie ainsi que celle de ses hommes.

Cela faisait maintenant deux heures que la nuit s'était emparé du village quand le Major sortit prendre l'air. Il ne savait pas pourquoi mais le sommeil ne voulait pas le gagner... Il décida de rejoindre Wilks pour le remplacer. Autant que son insomnie serve à quelque chose s'était-il dit... Hawkins arpentait le village et vit finalement Wilks qui s'était assoupi près de la porte.

**Décidément... C'est quoi ces soldats qui s'endorment n'importe où !!! Ca va barder pour son matricule !**

Hawkins se rapprochait peu à peu mais plu sil se rapprochait plus le doute s'emparait de lui. Quelque chose clochait... Mais quoi ?... Ce ne fut qu'en arrivant au niveau du soldat qu'il comprit... Wilks ne dormait pas... Il était assis là, sans vie... Pas de trace de blessures... A part ce renforcement au niveau des vertèbres... On lui avait briser l'échine et laisser de manière à ce que personne ne soupçonne de la mort de l'homme de loin. Le Major avait analysé ce qui se passait en quelques dixième de secondes. Son P90 était prêt à servir. Il observa chaque recoin autour de la porte... Rien.

**Mais qui ? Par par la Porte, on l'aurait entendu... Quelqu'un de cette planète, de ce village ?**

Hawkins n'avait aucune réponse. Il se saisit de sa radio pour prévenir les autres mais aucune réponse de ce côté là non plus... Il se précipita vers le bâtiment central du village, là où ils s'étaient installés. A peine fut-il entré dans la bâtisse qu'un violent coup s'abattit sur son crâne... Un voila noir... Le vide...

Puis une douleur infernale dans les tempes. Il se réveillait. D'abord, un flou total... Puis sa vision lui revenait peu à peu. Ils se trouvait dans une petite pièce légèrement éclairée par la lumière du jour, ses deux autres équipiers non loin.

"Que...
- Major ! Çà va ? Comment vous sentez-vous ?
- Philips... Arghh... Ma tête...
- Oui ils vous ont pris pour un punching ball...
- Que s'est-il passé ?
- J'en sais rien... On s'est réveillé avec des armes sous le nez et ils nous ont assommés tout comme vous... Je ne sais pas ce qu'ils veulent... Et Wilks ?
- Mort..."

Phillips ne répondit pas... Il se doutait déjà de la réponse... Hawkins se releva non sans mal. La porte s'ouvrit à ce moment là. Un homme, tout aussi large que haut, entra dans la pièce accompagné de deux autres hommes. Sans doute leur gardien et ses subordonnés pensa Hawkins. Les trois hommes firent sortir l'équipe SG et les emmena au centre de la grande salle. Hawkins reconnu sans problème Hygnus, le chef du village, qui détourna les yeux devant le regard noir et insistant du Major. D'autres hommes étaient là aussi mais un en particulier attira l'attention d'Hawkins.

**Cette posture... Cette façon d'être, d'agir.. C'est leur chef !**

Le Major ne perdit pas contenance et regarda l'homme dans les yeux. Celui-ci tint son regard et lâcha un petit rire avant de parler à Hygnus.

"De solides gaillards Hygnus... Ton village bénéficie encore d'un sursis grâce à toi." Puis il regarda de nouveau le major.
"Vous ferez de bons esclaves dans les mines de souffre. C'est vraiment dommage que j'ai du tuer le jeune garçon... Mais il nous avait repéré..." lança-t-il comme un défi au Major.

Celui-ci serra les poings et les dents, se promettant intérieurement de tuer cet homme dès qu'il en aurait l'occasion. Mais sa colère diminua quand il vit le chef des esclavagistes manier une de leurs armes...

"C'est une arme intéressante, j'ai passé la nuit à chercher son fonctionnement... Je sais que vous ne me le direz pas de gré mais je saurais vous convaincre de m'expliquer son fonctionnement, " dit-il, un sourire carnassier sur les lèvres.

Hawkins ne répondit toujours pas. Il refoulait sa haine et sa colère afin de garder l'esprit clair.

"Qu'on les prépare.. Nous partons !"

Et ce fut fait. Le Major et ses hommes furent emmenés à l'extérieur et solidement attachés aux esclaves,une vingtaine de jeunes hommes entre 15 et 25 ans environ, qui se trouvaient sur la place du village. Quelques minutes plus tard, le départ fut donné. Ainsi commença un nouveau voyage pour SG-11. Mais Hawkins savait qu'il n'irait pas jusqu'au bout. Il avait bien l'intention de se libérer et de s'enfuir en emmenant ces jeunes gens avec lui ! Ne restait plus qu'à attendre le moment propice...


[HRP : Si vous êtes gentil, je ferais peut-être la fin dans la partie fanfic :p]

(Désoler du double post mais c'est forum actif qui fait pas les cases assez grandes pour moi^^)

2ème partie

Fritts jetait de temps en temps quelques regards vers la jeune femme, cherchant le bon moment pour lui dire de se sauver. La bête était maintenant tout prêt du Sergent, elle leva son bras pour frapper ce dernier qui cria aussitôt :

Fritts : SAUVEZ-VOUS !

Il roula sur le côté tandis que l’énorme main de la bête s'aplatissait par terre. La jeune femme s’était levée et avait couru le plus vite possible vers un endroit plus sur. Fritts se releva et porta son regard sur la bête, furieuse de la feinte faite par le Sergent. Elle avait perdu son repas, mais un autre plus en chair s’offrait à elle. Elle poussa un énorme cri et avança plus vite vers Fritts. Ce dernier n’avait pas énormément de choix, sans arme il ne pouvait pas lutter, seule la fuite pouvait lui sauver la vie. Il recula très vite et se retourna pour partir quand il senti quelque chose le soulever, la bête le maintenait en l’air par un bras. Fritts n’eut pas le temps de trouver une idée pour se sortir de là qu’il fut projeté contre un arbre juste derrière lui. Il fut sonné par le coup et resta assis par terre pendant que la bête arriver jusqu’à lui pour lui donner le coup de grâce. Alors qu’il voyait sa mort proche, sa main effleura un bâton, ce n’était peut-être pas la meilleure arme qu’il pouvait espérer, pensa t-il, mais il connaissait toutes les façons différentes pour tuer quelqu’un avec cette arme. Il se leva avec grande peine et contourna la bête avant que celle-ci n’arrive à lui. Il se plaça derrière elle, prêt à combattre.

Le combat était gagné d’avance pour la bête, des griffes lacérées face à un ridicule bout de bois, seulement avec une bonne utilisation, et une extrémité en pointe, Fritts pouvait facilement renversée la situation. Quand la bête arriva vers lui, il roula sous ses jambes et se releva pour lui sauter sur le dos et s'agripper à elle. Il avait serré ses bras autour de son cou pour se maintenir tandis que la bête se débattait de toutes ses forces pour faire tomber le jeune homme. Ce dernier n’attendit pas plus longtemps, il enfonça le bout pointu du bâton dans la gorge de la bête avant que celle-ci ne réussisse à le faire tomber. La bête s’écroula de tout son poids sur le sol alors que Fritts recula quelque peu pour aller s’adosser à l’arbre, épuisé par ce combat. Il regarda la bête se vidait de son sang et pensa qu’il devait sûrement avoir réussi la première épreuve.

Daniel était toujours face aux gardiens, essayant de trouver la bonne question à posée pour que le gardien lui donne la réponse qu’il attendait. Après quelques minutes de réflexion, il leva son regard vers le gardien de droite et dit :

Jackson : Est-ce que l'autre gardien me dirait que je suis devant la porte du paradis ?

Jackson avait compris, si le premier gardien de droite mentait et qu’il lui répondait non, il saurait que l’autre gardien était bien devant la porte du paradis, de même que s’il avait posée la question à celui de gauche, qui disait toujours la vérité, il lui aurait répondit oui, et donc il prendrait celle de gauche. Comme espérait, le gardien de droite répondit non et Jackson ajouta, un sourire aux lèvres :

Jackson : Je prend donc la porte de gauche.

Les gardiens disparurent en un clin d’oeil et la porte de gauche s’ouvrit, Daniel l’a prit s’en crainte, satisfait d’avoir trouver la bonne réponse.

Stevens se débattait sur la table alors que le bourreau approchait le tisonnier de son torse qu’il brûla en le maintenant quelques secondes pour apprécier les cris du jeune homme. Il recommença son geste sur plusieurs parties du corps du Major puis se lassa très vite de cet instrument. Stevens avait bien résisté à cette torture mais la souffrance qu’il avait ressentie l’avait pratiquement épuisé de toutes ses forces. Le bourreau s’était maintenant emparé d’une pince, Stevens n’avait aucune idée de ce qu’il allait faire avec, mais il savait qu’il souffrirait encore plus cette fois. Il avait vu juste, le bourreau lui prit les doigts de sa main droite et approcha la pince d’un de ses ongles qu’il arracha aussitôt. Stevens hurla de douleur alors que le bourreau continuer son supplice. Il arracha les dix ongles des doigts de Stevens qui ne tarderait pas à perdre conscience. Le bourreau avait posé la pince et s’apprêtait à attraper un autre instrument quand la voix retentit :

Tu peux mettre un terme à tout ceci très vite, il te suffit juste de me dire que tu abandonnes.

Stevens sortit un peu de son état comateux lorsqu’il entendi la voix, il fit un effort surhumain pour lui répondre :

Stevens : Ja...mais...Si..j’ab..andonne, je...je perdrais mon...épreuve.
Tu penses vraiment que l’objet que toi et tes amis convoitez en vaut vraiment la peine ?
Stevens : Peu... importe l’objet, ils comptent...sur moi, et je tiendrais bon.
Même face au chevalet... ?

Le bourreau détacha le Major et l’emmena au chevalet, une sorte d’échelle où il l’attacha en haut par les mains, puis en bas par les pieds. La corde qui maintenait les pieds étaient reliés à une roue que le bourreau empoigna avec force. Il tourna lentement et la corde défila, étirant les pieds du Major qui essayait de retenir ses cris pour enlever un peu de plaisir à cet homme abjecte et cruel. Le bourreau continua de tourner la roue alors que la chair commençait à se déchirer au niveau des chevilles du jeune homme. Le sang coulait à flot mais Stevens résistait encore, c’est alors que la voix retentit une nouvelle fois, faisant stopper le supplice du bourreau par la même occasion.

Il mourra dans quelques minutes...

Richards avait commencé à s’approcher de l’équipe, toujours suspendue et inconsciente, quand la voix l’arrêta par un murmure qui signifiait qu’il ne fallait mieux pas qu’il avance encore d’un centimètre. Il s’arrêta net et se retourna.

Richards : Comment... ? Laissez-les en dehors de ça, c’est mon épreuve !
Justement ! Un chef d’équipe ne doit pas faire tout son possible pour garder ses subordonnés en vie ? Le choix est simple pour vous, vous ne connaissez pas ces gens, et je peux vous assurer que la mort sera une délivrance pour eux.
Richards : Je ne prendrais jamais une vie innocente pour en sauver une autre, peu importe le souhait de cette personne.

Que dois-je en conclure ? Que vous préférez sauver la vie de ces gens plutôt que celle de vos amis ? Très bien...qu’il en soit ainsi...

Les cordes furent coupées d’un coup comme par magie et les trois membres de l’équipe tombèrent rapidement dans la lave. Richards poussa un cri d’horreur, puis s’agenouilla devant le trou, en agrippant de toutes ses forces l’herbe avec ses mains. Il plongea son regard dans la lave puis se tourna dans la direction d’où provenez la voix.

Richards : MONTREZ-VOUS ! Que je puisse venger la mort de mon équipe ! Vous êtes un monstre et ces épreuves n’étaient qu’un prétexte pour assouvir vos désirs sadique !

Aucune réponse ne vint aux oreilles de Richards, il fut transporté instantanément dans la grotte au même moment que le reste de l’équipe. A peine avaient-ils eu le temps de comprendre ce qu’il s’était passer la voix se fit entendre.

Et bien je tiens à vous féliciter, vous avez réussi les épreuves.

Un vieillard apparu devant l’équipe, il avait une grande robe blanche et un halo argenté se dessiner tout autour de sa silhouette. Il s’approcha d’eux et souria. Le Colonel fut étonné de voir qu’un vieillard avait pu leur causer autant de mal, il fronça les sourcils et ajouta :

Richards : Alors c’est un vieillard qui nous à fait subir tout ça...Vous êtes quoi au juste ?
Je suis un Ancien, le bracelet que vous recherchez m’appartient, il porte le nom de ma femme, Alhianna. Mon nom est Elius.
Richards : Alors pourrait-on savoir ce que ce bracelet à de si important pour que l’on est failli mourir à cause de lui ?
Elius : Je ne vous aurez jamais prit la vie, tout ce que vous avez pu voir était tout simplement imaginaire. Ce bracelet est plus important que tout pour vous, il annule le pouvoir des Oris lorsqu’une personne qui possède le gêne des Anciens le porte. Il a cependant une limite, il porte sur un kilomètre, au delà il reste un simple bracelet inutile.
Jackson : S’il peut nous protéger contre les Oris, voir même nous permettre de les vaincre, pourquoi ne pas nous l’avoir donner plus tôt et sans avoir d’épreuves à passer ?
Elius : Dr Jackson, vous êtes le mieux placé pour savoir que les Anciens n’ont en aucun cas le droit d’aider les terriens, par le biais des épreuves il mettait possible de vous faire gagner ce bracelet sans me faire bannir de ce plan d'existence.

Le vieil homme fit apparaître un magnifique bracelet dans sa main et le tendit à Daniel en félicitant l’équipe de nouveau. Cette dernière remercia Elius avec une légère teinte d’amertume dans la voix puis fit demi tour pour retrouver la sortie de la grotte. Après quelques heures à effectuer le chemin en sens inverse, et après avoir raconter ce que chacun avait subit, l’équipe arriva devant la porte, fiere d’avoir réussi toutes les épreuves, et soulager d’avoir maintenant, un objet capable de lutter contre les Oris.

Hé hé les gens, pas besoin de faire un roman loul :/
Enfin, je ne sais pas si tous les autres MJ ont du temps devant eux, mais moi jverrais si je peux donner mon avis sur tout le monde avant les résultats des tests. J'pense pas être le seul à être surchargé mais bon. J'essaierais quand même de voir pour certain d'entre vous (y en j'ai pas besoin de tout lire je sais déjà qu'ils feront de très bons MJ..) Les prochains qui sont interessés pour etre MJ, essayez de faire moins long, tout en faisant une belle historie merci. =)

Nan mais t'facon c'est les votes du Staff qui seront pris en comptes on à pas demandé aux MJ de noter aussi sa aurait prit trop de temps

Avec le thème que j'ai prit je pouvais pas faire plus court, en plus je vois pas en quoi ça pourrait gêné, au final un MJ qui fait une mission écrit encore plus de texte.

Félicitation aux nouveaux MJ ne nous décevez pas ;p

Félicitation aux nouveaux MJ, 4 sont prit en temps que MJ sur 5 est comme par harsard je suis celui qui est pas prit...

Paul, au départ on devait en prendre que deux voir trois, c'est juste sur un point de vu Rp, ne tkt pas

Pour pouvoir être prit Paul il faut que tu:
Relise tes poste pour éviter de changer des mots.
Maitriser l'usage du passé simple et de l'imparfait. Le premier pour les action, le second pour le passif.

C'est les deux points les plus important à changer.

Et si tu veux t'améliorer plus au mission long poste, la partie Fic est ouverte, les membres te donneront pleins de conseils et autres.

*Se fait agresse*

Oh la doucement, je critique pas, je savais déjà que j'allais pas être prit, je sais que j'ai pas un RP exeptionnel, surtout en conjugaison, avec moi sa fait 3000 ...sinan merci des conseils quand même