Soins des blessés grave Oslote et Mench' [PRIVER]

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Toujours sous le feu ennemi je vis le Capitaine Oslote Shakalaska Tomber sous une lance jaffa, il avait réussi à fermer l'iris pour le grand soulagement de toute la base et y compris moi... C'est avec rapidité que je le pris en charge le sortant du front pour mieux le soigner. Malheureusement l'endroit était vraiment la choisi et même avec mes connaissances, je n'avais pas assez de matériel, ni assez d'hommes pour le maintenir conscient, juste assez pour lui sauver la vie ce qui à mon avis était déjà bien. Je demanda à un interne de m'aider a le mettre sur un brancard afin d'aller direct à l'infirmerie. Je cria aux autre médecins :

- Je prend en charge les blessés lourd occupez vous des victimes moi grave ! Je veux un rapport sur tout les blessés quand tout sera fini ! Si il y'a d'autre blessés grave envoyez les moi en salle d'op' !

Les médecins acquiesèrent positivement de la tête et allèrent se positioner là où ont avaient besoin d'eux. Les portes de la salle d'op s'ouvrirent à la volée, me laissant passer. Les infirmièrs et anéstisiste m'attendaient grâce des ordres que j'avais donner plus tôt, je leur avais dit de se tenir prêt au cas où... Je débarqua et annonça la situation :

- Bien messieur, dame, nous avons une brûlure de lance jaffa alors je compte sur vous ! Aller sauvons se brave Capitaine !

Je me prépara, mis mes gants et mon masque, la brûlure était assez grave mais, ses jours n'étaient plus en danger j'avais déjà soigner afin de le maintenir en vie jusqu'ici. Je mis du désinfectant afin de mieux nettoyer cette vilaine bessure qui s'étendait au bas ventre... C'était une brûlure au deuxième degré, je lui appliqua une pommade grâce et mis des compresse stérile dessus. Je recousa, les entailles les plus graves. La greffe n'était pas nécessaire, le Capitaine Shakalaska s'en tirait bien... J'enleva mes gants lorsqu'un autre blesser grave fut annoncer. Une blessure profonde à l'abdomen m'avait on dit. Mais on ne m'avait pas dit le nom du blesser et llorsque je le vis mon coeur fit un bon dans sa poitrine. C'était Mench'...

- Bien envoyer le Capitaine en salle de soins, il est hors de danger et passer lui cette crème grasse tout les jours, pendant 2 mois et on verra au fur et à mesure où en ai la cicatrisation. Aller allez ! Ne restez pas planter là ! On a un autre blessé grave la !

Les brancardiers emmenèrent le Capitaine en salle de soins, tandis que je me préparais à sauver le Major Narah de la mort. Je mis mon masque chirugical et de nouveau gants stérile... Le silence était revenu, a priori tout était terminer à mon grand soulagement. Toujours le coeur battant, je regarda la blessure de mon amant, et la jugea grave, j'étais très inquiète pour lui mais, je me concentra de suite sur la blessure et l'ouvra, ce jaffa avait entailler l'abdomen assez profondément mais heureusement pour Mench' l'ennemi avait raté son coup, et loupant les nerfs de peu. J'enleva les chairs abîmer en inscisant précisément d'un cop de scalpel très adroitement et sans hésitatio, nettoyant la blessure aspirant le sang afin que je recouse les muscles toucher de l'intérieur. Ces fils la se dissouderaient quand la plaie sera résobée... Puis je termina mon travail en recousant l'extérieur, il n'aurait qu'une minuscule cicatrice qui se verrait à peine. Je pris un fil et une aiguille et recousa la partie extérieure cette fois... Je mettais un bandage afin de protèger la blessure des attaques extérieur, lorsque la lumière revint à la normal... Je regarda mon équipe d'un air confiant.

- Beau boulot tout le monde bravo ! Encore une vie de sauvée, le Major Narah à la peau dur, il s'en ai bien tirer. Allez tous vous reposer, la journée à été longue, vous méritez du repos. Je vais rester ici pour surveiller l'état du Major..

Lorsque tout le monde fut parti, je pris une chaise, m'assis et attenda le réveille de Mench', je savais très bien la réaction qu'il aurait en voyant où il était, mais bon, il était sauvé et c'était le principal pour moi...

- Dans quel pétrin ta encore été te mettre toi ? Tu m'as fichu une peur bleue...

Lui murmurais-je doucement avant de m'endormir épuisée par ces deux opérations lourde....

Arrivé au SGC : 10/11/2005

Tout alla très vite, trop vite... Les tirs résonnaient, les douilles claquaient le sol, l'inconsience envahissait le Major tandis qu'une seule et unique pensée l'envahissait et résonnait dans son chaotique esprit: "Nyphus m'a abandonné..." C'est sur cette frénétique phrase qu'il laissa l'inconscience le saisir de ses bras froids mais si rassurant, l'obscurité le happa doucement et enfin il allait avoir droit à la paix, celle qu'il avait tant demandée...

~~~~~~

-Mais merde ! T'as fait quoi encore ?!

Menchu se tenait assis dans un canapé, sa jambe gauche pissait le sang, le jeune homme tentait -en vain- de faire arrêter le saignement, la jeune femme couru vers lui à l'aide de quelques pas, elle s'agenouilla à coté de lui et du canapé, le jeune homme était plus pale qu'un cadavre.

-Réponds moi ! Qu'est ce que t'as fait ?!

Menchu appuya plus fortement sur la blessure à l'aide de vieux tissus pour tenter de faire cicatriser mais rien à faire...

"Ils nous sont tombés dessus, j'ai pris une bastos..."

La jeune femme blonde le regarda en soupirant, secouant nerveusement la tête, l'engueulade ce serait pour plus tard, quand il sera un minimum rétabli, il était hors de question de l'achevé maintenant. Elle se leva alors et alla chercher la trousse de secours ranger dans la pièce d'a coté, ses mouvements étaient rapides et précis lorsqu'elle revint pour commencer à le soigner, le jeune homme la regarda un instant avant de lâcher un seul mot, entre deux grincements de douleur:

"Merci..."

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Soudainement Menchu sentit une sensation de chaleur l'envahir, ce fut brusque et assez violent, tout les muscles du jeune homme se contractèrent l'espace d'un instant, ses yeux s'ouvrirent doucement alors qu'il voyait le plafond du SGC, une odeur acre trainait dans la pièce, l'inf ?! Merde ! Le jeune homme voulu se redresser mais ce fut peine perdu, la douleur situé au milieu de son torse le tiraillait bien trop pour lui permettre tout mouvement... Regardant tout autour de lui le militaire Français vit une forme noire se dessiner doucement alors que le décor avait pris la sale tendance de se brouiller régulièrement, un Kage ? Oui, c'était Ibério. La jeune homme posa sa main gantée sur l'épaule de son chef d'équipe déchu. La voix désincarnée du subordonné résonna dans l'esprit chaotique du Français.

-On s'occupe de tout, Kage dans l'ombre...

Menchu aquiesca légèrement et reposant sa tête sur l'oreiller, fermant les yeux, il sentit Ibé lui taper amicalement l'épaule avant d'entendre le frotement de sa bure noire, un sourire naissa contre son gré sur ses lèvres, ce son le rassurait... Ce bruissement le ramena au combat, il revoyait tout rapidement, la phrase de Nyphus revenait dans sa tête, il disait qu'il reviendrait en temps utile, conneries ! Il n'est pas revenu, il a fait passer ses sentiments avant le front, abandonnant ses frères d'armes et la Terre... Non, il devait avoir une bonne raison, oui, il avait intérêt ! Ces quelques pensées furent ces dernières avant une nouvelle période de sommeil troublé par de sombres rêves...

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-Tiens l'coup !

Menchu était allongé sur un lit, dans une chambre baigné dans la pénombre qu'offrait l'entrebaillement des volets allié au crépuscule, le jeune homme vomissa une nouvelle fois, il semblait épuisé: une nouvelle fois son visage affichait une fatigue insuportable, la jeune femme qui était à ses cotés posa sa main dans le dos du jeune Français, voulant le rassurer avec quelques mots:

-Je suis la, tiens le coup, encore un peu...
"Reste pas la, je veux pas..."

Le jeune homme vomit de nouveau dans la bassine posée à coté de lui, la douleur était insoutenable, pourtant, il fallait tenir, oui, tenir encore un peu...

~~~~~~

Le réveil fut une nouvelle fois dur pour le jeune homme, il regarda autour de lui, la douleur avait disparu en grande partie, le militaire alla chercher sa blessure de sa main gauche, un bandage recouvrait tout son torse, il fronça les sourcils et comprit rapidement ce qui avait soulagé sa douleur, il lança un regard mauvais à la poche de perfusion de morphine, si y a bien un truc qu'il détestait, c'était sa ! Alors qu'il allait arracher la perf il sentit un léger mouvement sur sa droite, il jeta un regard qui se voulait rapide mais qui s'éternisa, Janet était la ? Mais quand est ce que ?! Rah il l'avait pas vu tout à l'heure, merde ! Il soupira et regarda la perf... Tant pis, on arrache pas, on enlève, déclipsant doucement la perf le jeune homme laissa pendre le bout, au moins y aurait pas de gicler de sang... Finissant son action le Major se tourna vers Janet, il avait un peu de temps avant que l'effet de la drogue appelé morphine se dissipe. Il se redressa légèrement et passa sa main droite sur le visage de la jeune femme avec une certaine douceur.

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Je m'étais endormie de fatigue après un long boulot, ca faisait longtemps que l'infirmerie n'avait pas été bonder comme ça en tout cas. Les rêves s'alternaient oubliant l'endroit même où j'étais... Je tourna ma tête légèrement comme emporter part les images qui défilaient... Je ne senta pas Mench se reveiller du moins pas de suite et ne le vis pas non plus enlever sa perfusion en douceur. Je ne pu sentir que sa main... Si doucement posée sur ma joue que ça me réveilla. Je releva la tête vers lui, un léger sourire géner sur les lèvres, je pris enfin conscience de l'endroit où j'étais, soit dans la salle d'op... Je m'étais endormie sur Menchu, certes ce n'était pas la première fois ni la dernière... Mais il avait failli mourrir et m'avait flanquée une peur bleue... Mais quel était ce sentiment qui me parcourait le corps, ce frisson des pieds à la tête, comme à chaque fois que son regard se portait vers moi... Ce petit sourire en coin et le regard qui allait avec... J'étais à nouveau en-train de craquer pour le jeune homme qui se tenait devant moi. Les yeux encore endormis, je le fixa pour ne plus quitter son regard sombre, et pris sa main comme me conforter qu'il était en vie ici près de moi et dit :

- Tu m'as flanquer une sacrée trouille toi tu sais... Ca faisait un moment qu'on s'était pas vu...

Je le fixa intensément, était le désir que j'avais pour lui, ou encore cette sensation, ce sentiment indicible qui me poussait vers lui et qui m'avait pousser vers lui dans ce couloir... Moi seul pouvit le savoir, mais je ne pouvais m'empêcher d'avoir ce sourire taquin au coin des lèvres... De plus cela faisait un bon moment que je ne l'avais pas vu il faut dire, depuis la fermeture du SGC... Toujours ma main dans la sienne, je le fixait et lui ne cillait pas non plus, encore ce jeu de regard entre moi et lui. J'étais toujours assise sur ce tabouret et me leva un peu histoire de me degourdir les jambes mais étrangement ma main ne quittait pas celle du Major pour une raison inconnue...

Arrivé au SGC : 10/11/2005

Le fait que Janet soit la lui faisait presque oublié qu'il était dans l'infirmerie du SGC, étrangement la présence de la jeune femme l'apaisait, l'empêchait de se miner le moral en remuant de mauvaises choses, c'était assez... Bizarre... En fait le Major ne cherchait pas vraiment à savoir le pourquoi du comment, il ne voulait pas y réfléchir, il était bien comme sa pour le moment alors pourquoi vouloir chercher à compliqué au risque de brisé ce bien être ? Bien sur ce n'était qu'éphémère mais peut lui importait, après tout ce qu'il avait vécu le jeune homme avait bien le droit à l'illusion d'un quelconque bonheur non ? Le doux visage de Janet reprenait doucement vie, une lueur d'inquiétude siègeait tout de même dans ses yeux, oui, elle avait eu peur pour lui, ça se voyait très bien et cela l'attrista un peu, il ne voulait pas l'inquiéter, en tant que militaire il savait que trop bien ce que c'était que l'inquiétude, la peur de pas revenir, de pas voir revenir ses frères d'armes, de craindre, de faire les cents en pleine nuit... Plongé dans ses pensées, le gradé sentit sa main être serrer par celle que la Doc, il afficha un léger sourire en voyant celui de la jeune femme, elle lui confirma oralement l'inquiétude qu'elle avait eu pour lui.

"J'suis solide, c'est pas un Jaffa qui m'fera la peau."

Pourtant c'était pas passé loin, Nyphus n'était pas revenu pour couvrir le Français qui s'était retrouvé avec ses seuls Kage surpassé par le nombre et la proximité de l'ennemi, surtout que les tirs ricain étaient pas des plus précis hein... La jeune femme se leva sans lâcher la main du Major qui en profita pour la tirer vers lui avec un sourire, il embrassa passionément la Doc, la serrant un peu plus contre le lit, ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu, plus de deux longues semaines, bien trop long...

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Je ne dis pas un mot aux dernières paroles du Major, non deux semaines ca faisait trop long et il m'avait manquer, beaucoup plus que je ne l'avais imaginer... Etais-je en-train de tomber amoureuse de ce militaire si mystérieux mais si doux ? Le bien être qui m'enveloppait à chaque fois qu'il était prêt de moi, ce frisson qui était en-train de me parcourir tout le long du corps lorsqu'il m'embrassa passionnément... Etait-ce donc ça l'amour ? Je n'avais pas ressenti cela depuis bien longtemps, depuis Jack... Mais cette fois c'était plus intense chaque gestes de Mench', chaque baisers, mon corps le ressentait et l'emplifiait... Narah avait gagner mon coeur... Et lorsqu'il m'embrassa passionément, je ferma les yeux et me laissa aller à ses baisers me callant contre le lit mais pas pour longtemps, je m'assis sur le lit me collant à lui répondant fougueusement à ses lèvres, si douce mais en même temps si passionée... Mes lèvres restèrent collées au siennes comme si elles ne voulaient plus quitter celle de Mench'.... J'oubliais presque qu'il était en convalescence, c'est avec un sourire taquin que je lui souffla entre deux baisers :

- Tu m'as manquer tu sais... Faudra faire attention à tes points, j'irais t'osculter si nécessaire...

Phrase à double sens... Oui ! Mais lorsque que je vis le sourire du Major s'allongé, je vis où compris que tout était réciproque, tout cela était bien étrange... Nous n'avions pas besoin de mots pour nous comprendre, un regard, voir un sourire suffisait... Je me laissa aller à la fougue du Major, l'embrassant comme si je voulais manger ses lèvres, puis vint un baiser langoureux fait tendrement. mes mais allèrent encardrées le cou de celui-ci et le caresser doucement... Puis mes baisers descendèrent dans le cou pour revenir encore à ses lèvres, dont je ne pouvais me passer lorsqu'il était aussi près de moi. Tout en l'embrassant j'enleva ma blouse blanche que je laissa tomber sur le sol glacé de la salle d'opération...

Arrivé au SGC : 10/11/2005

Une résistance qui se voulait à toute épreuve mais au final bien limiter, autant les effets néfastes de la morphine le laissait indifférent, autant la douleur qui commençait à réapparaitre entamait déjà sérieusement sa résistance physique et mentale, après la blessure qu'il avait subi, se couper ainsi des anti douleur était complètement fou mais que voulez vous... Malgré cela les baisers de Janet lui faisait oublier la douleur ainsi que le décor -ou presque- puisqu'il était presque détendu, presque... Il sentait que quelque chose n'allait pas, un détail lui trotait dans la tête mais impossible de savoir quoi, la Doc occupait toute ses pensées et réfléchir sainement alors qu'elle était à coté de lui était devenu une chose impossible. Le gradé se laissa donc allez à un rare moment de tranquillité après la bataille qui avait eu lieu, une certaine sensation de paix l'envahissant doucement, il se sentait tout simplement bien. Les quelques mots de Janet le faisant sourire de plus belle.

"T'es la seule à avoir droit de m'osculter, profites en..."

Double sens ? Nooon ! Pensez vous ! La Doc se raprocha un peu plus de lui, s'asseyant sur le lit d'un air tranquille et taquin pour mieux embrasser le gradé, ce qui ne lui déplaisa pas quand brusquement ses sens reprirent le dessus, un frotement rappela le militaire à ses obligations, Ibério venait d'entrer dans la salle, sa longue bure noire le recouvrant intégralement, il avait dans les mains une bure identique à la sienne pour Menchu.

-Le Colonel Nyphus a disparu...

Menchu regarda son frère d'arme d'un air grave, la voix désincarné avait pour habitude de laisser des frissons à ceux qui l'entendait, il porta un instant son regard vers Janet, l'embrassa rapidement et se leva, manquant de peu de tombé, sa blessure au ventre n'était pas cicatrisé, loin de la... Ibério s'avança vers son chef d'équipe pour lui tendre ses affaires de Kage, aujourd'hui c'était le renégat Français qui allait errer dans la base, c'était le bon vieux Fantome, celui que l'on surnomme Le Maraudeur qui allait rôder pour trouver son frère d'arme ricain. Il enfila rapidement ses fringues, sanglant son Sig, il portait à présent une tenue entièrement noire en guise de tenue de combat. Avant de rabattre son capuchon il se tourna vers Janet, lui fit un clin d'oeil, et s'engagea hors de la salle, ne lui laissant pas le temps de dire mot...

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Tout ce bien être m'enveloppais, incapable de résister aux lèvres de Mench', je me laissa aller à ses baisers fougueux, je ferma un instant les yeux savourant la proximité du Major, l'envi approchait et montait comme une flèche... Oui c'était probablement ça l'amour... Comment expliqué ce bien être dans ce cas ? Je souria de plus belle lorsqu'il me dit que j'étais la seule personne à avoir le droit de l'osculter... Cela ne fis que plus me flatter, et augmenta la fréquence de mes baisers qui devenaient sans doute plus rapide... Mais un homme fit son apparition, du même style que mon amant mais en beaucoup plus froid d'ailleurs le son de sa voix me glaça le sang... Mais il annonça une nouvelle des plus déchirantes à mesyeux....

-Le Colonel Nyphus a disparu...

Mon frère avait disparu... Une lueur d'inquiètude alluma mon regard et la peur pris place petit à petit dans mon coeur... Mench' du sentir un tremblement venant de moi, il me regarda et m'embrassa rapidement comme pour me rassurer... Il se leva alors manquant de tomber, je ne pu dire un mot, de toute façon je ne pouvais pas l'empêcher de partir, c'était impossible.. Avant de partir il me regarda me fit un clin d'oeil avant de se fondre dans les couloirs... Seule, la peur m'envahissait de plus en plus et si ? Non je ne voulais pas y croire et pourtant la question résonna dans ma tête...

* Et si il était mort ?*

Je ne pouvais y croire.. Besoin de repos... Oui c'était une sage décision certes mais qui ne calmait pas ma peur... Non je ne pouvais pas croire que j'avais perdu mon frère... Ont venaient à peine de se retrouver... Lentement, je me dirigea vers mes quartiers les bras balant et un sentiment indiscible... Non je ne voulais pas y croire, tant qu'il n'y aurait pas de preuves, je n'y croirais pas non !

Mes quartiers