La masse physique du Sergent s'engoufra dans le vortex bleu de la porte et cette sensation si particulière l'envahit. Quelques secondes de vide et une violente arrivée sur un autre monde. Comment cela pouvait-il être possible ? Il ne savait pas vraiment, mais en tout cas ca l'était.

Il analysa rapidement les lieux, l'image du MALP était bonne et l'ont pouvait distinguer la fumée apparente au nord est. Argostre passa en revu son équipe et reflechissit.
Devait-il faire deux équipes, partant chacun de leur côtés, ou devait-il rester tous ensemble ? Il s'interrogea, mais il fallait faire assez vite.
Bien que la planète n'avait pas l'air hostile, la possibilité de tomber sur une civilisation non propice au dialogue, voir même sur des gua'uld, était très forte.

Bon, on va faire deux équipes, Henger et Sheridan, vous partirez vers le Champ de blé au Nord Ouest, dit-il avec un ton autoritaire sans pour autant passer pour le méchant de service. Dr Frasier, dit-il sans complésence,pour ne montrer quoi que ce soit, vous viendrez avec moi, nous nous dirigerons vers la fumée ardente, finit-il.
Restez bien en contact, si vous apercevez quelque chose de pas normal, ne vous lancez pas seul, ni à deux, la radio est là pour qu'on se retrouve, ajouta t-il avec un début de sourire. Bonne chance et bonne visite, dit-il en rigolant.

Argostre remit en place son équipement, remettant son sac sur le dos pour avoir la meilleur équilibre possible. Il réarme son arme, vérifia que tout allé bien et regarda Janet dans les yeux, essayant de retenir n'importe quelles mimiques pouvant faire ressortir ses sentiments.

En route Docteur, dit-il d'une voix calme. Eillen, Thom, n'oubliez pas, faites très attention, finit-il en se dirigeant vers le nord est. Un début de mission agréable et cette position de commandant, rendait Argostre assez joyeux, pour une rare fois. Et le fait d'être avec Janet, seul, il aurait aimé discuter avec, mais en avait-elle l'envie...

Argostre écouta Sheridan lui répondre en lui demandant s'il n'était pas préférable pour elle et Thom de se diriger vers les dolmens. Stratégiquement parlant, le champ de blé était beaucoup plus proches de la zone de fumée et donc pour porter secours cela aurait été plus rapide.
Pour le Sergent, l'inspection de cette fumée était beaucoup plus important que de vulgaire cailloux.
Il comprenait cependant l'envie pour les deux scientifques d'éxaminer les pierres.

Avec tout le respect que je vous dois, dit-il en regardant Sheridan, l'inspection de cet épais nuage de fumée est pour le moment plus importante, exprima t-il avec une voix calme. Nous irons examiner ses dolmens tous ensemble, pour le moment on reste sur ce que j'ai dit, finit-il avec autorité.

Il n'y avait aucuns signes de vies sur la planète pour le moment, les scanneurs ne montrait strictement rien d'inquiétant et Argostre pensa que cela pouvait être un bon entrainement pour les deux nouvelles recrues du SGC. Il verait comment ces deux là se debrouillent en mission. Une bonne expérience et le Sergent savait gerer les situations critiques.

Le Sergent se retourna et regarda Janet avec un léger sourire qu'il ne pouvait cacher. Qu'est ce qu'elle pouvait bien penser de lui après toutes ces semaines sans ce voir, l'avait-elle déjà oublié ? Il ne savait pas et aurait vraiment aimer le découvrir, mais la mission était bien plus importante.
Il attendit le départ des deux jeunes scientifiques avant de reprendre sa marche a travers fougères.

Eileen arqua un sourcil. Elle tenta de reconnaître ce langage qu’elle connaissait bien pourtant…

* DU LATIN !!! BIEN SUR !!! *

Elle ferma les yeux et commença à marmonner dans sa barbe.

Caela dei… Caela dei… Dieux du ciel… Euh…

Elle rouvrit les yeux et répondit à la femme qui venait de leur parler.

[Latin] Non, nous ne sommes pas les envoyés des Dieux du ciel. Nous somme des explorateurs venue par la Porte des Etoile, le Shappaï, d’un planète nommée « La Terre »

Elle tourna la tête vers Henger qui n’avait l’air de ne pas comprendre grand chose à ce que les deux paysannes venaient de leur dire.

Bah quoi ? Elles viennent de nous demandé si on était les envoyé des Dieux…

Des envoyés des dieux?

Le scientifique se mit à rire.

Je ne savais pas que tu parlais le latin Eileen. Cela m'étonne. La pratique de cette langue sur cette planète de même. Henger salua d'un geste convivial les nouveaux habitants étant venu rejoindre les deux femmes question de rencontrer ces étrangers. Je vais voir les environs du village, peut-être pourrait-je trouver ce qui pourrait être un chef.

Il alluma sa radio étant maintenant sûr de la situation primitive du peuple mais surtout ayant une multitude de choses à communiquer avec la seconde équipe, particulièrement à propos des échantillons et analyse du sol qu'il avait réalisé en allant vers les champs.

HRP :

/!\ Thom, on est dans les champs nous, pas au village… C’est le deuxième binôme qui y est… /!\

RP :

Eileen fronça les sourcil, se renfrognant un peu.

Cela vous étonne que je parle Latin ? Je suis archéologue et je parle de nombreuses langues tel que le français, le grec actuel et ancien, l'égyptien antique, l'arabe et d'autres langages antiques et courantes. Et d’ailleurs, sachez que cela m’étonnes fort que tout le monde parle l’anglais dans l’univers.

* C’est pas possible comme ces Américains se pensent être le centre du monde… Grrrrrr… *

De plus, moi ça ne m’étonnes pas de les voir parler Latin. Car si ils sont originaire de la Terre, vu que leur migration s’est faite il y a des années, cela peut expliquer le fait que leur langue est resté celle qu’elle était dans le passé. Une langue change si elle est au contact d’autre langue. Par exemple, le Français actuel est issue de racine Latines, Grecques, Germanique et Anglo-saxonnes parce qu’avec les guerres et les conquêtes, la langues a évoluée.

* Un peu de culture, Monsieur le Scientifique ! Hum ! *

Parcourant l'herbe sèche et morte d'une petite plaine, sous un léger vent temperé, Argostre et Janet ne parlèrent guère pendant un moment. Le Sergent ne savait ni comment commencer la conversation, ni si c'était bien conseillé. Il décida de ne pas parler, le temps que le médecin n'est pas dit un mot.
L'air de la planète était très respirable, sans doute non victime d'une pollution humaine de plus en plus dégradante d'une terre qui meurt à petit feu. Cette planète avait l'air preservé de toutes les choses que la Terre pouvait subir. Si ce n'est la fumée qui se dégageait au loin. Argostre espérait bien trouver quelque chose à cet endroit, non pas obligatoirement de l'action, il n'avait pas l'envie de se mettre en situation difficile pour le moment. Une petite forme pour le Sergent si entrainé...
Un sourire toujours en coin des lèvres, pour une raison qu'il ne pouvait pas décrire par les mots, ni même par sa propre pensée. Janet, avancait, d'un pas sec et déterminé, elle était derrière lui et il n'osait pas se retourner pour croiser son regard.
Elle devait sans doute le trouver un peu béta, du moins lui se trouver, en effet, un peu con, à rester là, sans ouvrir la bouche alors qu'il avait lui même constitué les deux groupes pour explorer le rayon de la planète autour de la porte.
Dans un silence de mort, n'entendant que le vent rencontrer les arbres et les bruits de la nature, le son de la voix de Janet vint aux oreilles du Sergent, comme une douce mélodie. Janet lui demandait si cela n'était pas un peu risqué d'envoyer les deux nouveaux seuls pour une première mission.

J'crois que cela ne leur fera pas de mal, dit-il en s'arrêtant. Il vaut mieux qu'il commence à se débrouiller seul, nous verrons ce que cela donnera, ajouta t-il en se retournant vers Janet, laissant échapper un léger sourire accompagné d'un rougissement furtif. Et de toute manière, reprit-il avec un rallement de gorge, hum, nous avons la radio si un problème survient pendant leur exploration, finit-il en reprennant la marche avec fermeté et rapidité.

Quelques instants plus tard, des bruits à la fois sourds et aigus retentirent, comme un fracassement de marteau sur un métal. Argostre prit son arme bien en main, prêt à toute éventualité comme toujours. Il avanca au ralentit, examinant tout autour de lui. Il fit signe à Janet de se mettre à couvert derrière lui. Les bruits se raprochaient, les deux membres du SGC étaient tout proche de ceux ci et ils distinguèrent une présence humaine, apparament innofensive.
Le Sergent se releva et baissa son arme, pour ne pas être menacant face à ses indigènes, pour le moins civilisé à première vu. Les quelques travailleurs regardèrent Argostre avec un air neutre, sans être affolé par leur venu.
Janet chuchota à l'oreille d'Argostre, le besoin de leur parler.

Comprennent-ils notre langue aussi, chuchota t-il à son tour, respirant involontairement le doux parfum de la jeune femme. Je ne pratique pas vraiment toute les langues sur Terre, alors ici, ajouta t-il avec un léger sourire d'humour. Le jeune Sergent s'approcha d'un homme, assis sur un bois, les pieds baignant dans l'eau et travaillant un objet, qu'Argostre n'arrivait pas à définir.

Bonjour, s'exclama Argostre avec une voix des plus audible et compréhensible possible. Il attendit une réponse, ne sachant pas à quoi il devait s'attendre. Le paysan lui répondit dans une dialect plutôt étrange, loin des langues modernes de la Terre. Bien qu'incompréhensible pour le militaire, quelques mots lui sautaient aux oreilles, des mots ressemblant vaguement aux francais. Argostre tourna la tête vers Janet, l'interrogeant du regard.

Il vaut mieux qu'il commence à se débrouiller seul, nous verrons ce que cela donnera.

Je regarda Argostre et lui fit un petit sourire. C'était amusant de laisser des débutants se débrouiller mais en même temps ce n'était pas juste... Bref la communication avait été quelque peu entamée, et j'avais peur qu'il en vienne à un certain point... En était-il capable en mission ? Possible... Le fait qu'il avait toujours ce petit sourire en coin depuis qu'ils étaient ensemble. Peut-être pensait-il que moi et lui étaient toujours ensemble si c'était le cas, il fallait qu'ils ai une petite discution a ce sujet. Moi je ne souriais pas beaucoup et n'avais pas du tout envi de parler de ça, enfin si j'y était obliger je le ferais bien évidement... Je le regardais mais la flamme qui était dans mes yeux était éteinte, mon regard était éteint aussi. Il était neutre... Le ton de ma voix aussi était neutre presque froid, c'était la première fois, que je sentais que j'en voulais a Argostre de m'avoir laissée, j'étais en colère après lui après tout je jugeais cela normal ! Mes sentiments étaient en bataille confus.. Et dans l'éventualité ou il voudrait me reconquérir, il faudrait qu'il tape haut et fort afin de me convaincre... Mon caractère était ainsi et il était devenu plus fort encore lorsque j'avais failli mourir et ça personne ne me l'enlèverais j'avais tuer deux personnes et ça personne ne le savait même pas lui... Une partie de haine que j'avais pour cette organisation était encore dans mes veines, j'étais prête à aller en tuer un encore pour qu'il me fiches la paix, et a priori ils le savaient car je n'avais plus de nouvelles depuis un moment.. étais-je crainte pas ? Rien n'était moins sur avec eux... La voix de Argostre me brutalement revenir à la réalité, d'ailleurs me regard se figea dans le vida et je secoua légèrement la tête pour reprendre mes esprits. Il m'avait chuchoter un truc dans l'oreille,je sursauta quelque peu. Je n'avais pas vu qu'il était aussi prêt. Je souris à sa petite blague mais mes lèvres étaient tout de même crispées par la gêne. J'étais gênée et cela se voyait. Et finalement l'envi de reposer la question de pourquoi il m'avait prise avec lui me repris... Mais l'habitant parla et je cru reconnaître des mots de latin. Médecine oblige je connaissais certains mots. j'ouvrai la bouche pour répondre à Argostre qui me regarda d'un air interrogateur et me mis à l'écart avec le militaire.

- J'ai cru reconnaître des mots de latin mais ne m'en demande pas plus moi j'y pige rien non plus, j'ai juste appris certains mots pour des médocs'

En revanche ma manière de parler elle n'avait pas changer toujours un franc parler et très naturel. Puis je lui chuchota la question qui tue, et oui il en fallait une malgré ma crainte de la réponse de Argostre. C'est avec une grimace que je la posa, mais il du tendre l'oreille pour l'entendre tellement le son qui émanait de ma gorges était faible...

- Pourquoi tu m'a prise avec toi, c'est juste par curiosité, cette question me turlupine depuis que tu a pris les groupes en fait...

Ah ça oui la communication était enfin rétabli et par moi-même qui mettais les pieds dans le plat, mes joues étaient quelque peu rougi par le gêne... Mais en même temps on pigeait rien à ce racontait les paysans... Et je n'étais pas traductrice... Mais vu la tête de Argostre et à mon avis la réponse serait toute prête et a discution continuerais en attandant notre achéologue favorite. ()

(HRP : Argostre poste s'il te plait j'attends ta réponse pour pouvoir continuer la mission... Nyph si tu me dis de poster je posterais )

Thom pensait sérieusement à ce que racontait son équipière, la théorie d'une migration vers P9X1989 était envisageable.

- Effectivement Eileen. Je ne doute point de la qualité de votre latin, mais je préfère toute même brancher mon microphone. Les enregistrements seront cheminés au centre pour une plus profonde analyse.

Une des deux femmes sortit tout à coup de sa veste un médaillon. Quand ils furent soudainement pointés du doigt, et que l’on commença à s'agenouiller devant eux, Thom sentit que la situation pourrait gravement dégénérer. Puis alors qu'il fessait signe à sa partenaire de s'éloigner, Henger vu un homme qui sortit un glaive avec rapidité. Le scientifique devait réagir, même si l'homme ne comptait pas utiliser l'arme.

- Nous sommes une équipe d'éclairage de la SGC, nous venons dans un but pacifique. Baissez votre arme!

Thom pensait qu'Eileen allait réagir mais elle resta immobile, peut-être prise d'étonnement. L'homme continuait toujours sa marche vers le duo.

- Je le répète, baissez votre arme, sinon j'utiliserais la mienne!

Thom prit son arme d'un geste vif et la chargea.

[HRP: Eileen, tu dit que je suis américain alors que toi aussi, sinon comment travaillerais tu sur une base qui est situé aux États-Unis ]

(HRP : Bien à la demande de Nyph, je poste )

J'avais l'impression que en nous enfonçant dans le village, les forges étaient de plus en plus nombreuses comme s'il n'y avait que ça dans ce village. J'observais mieux et me dis que ce village n'était fait que pour cela travailler le fer... Mais pourquoi ? Dans quel but ce village était-t-il ici ? Préparaient-ils quelque chose ? Je remarqua ensuite que les hommes portaient des espèces de tâches noires au niveau des bras... Peut être était-ce un signe d'appartenance à un clan ? Je ne savais pas. En revanche les tatouages qu'ils avaient dans le cou me disaient quelque chose on aurait dit une espèce de runes. Mais cela ressemblait à une rune celtique. Je n'en avait pas la certitude mais avec leur langue que j'avais reconnu comme du latin en du moins je le pensais cela pouvait coller. Y'avait-il des clans ? Je me posais la question... De plus je trouvais étrange qu'ils ne se préoccupent pas plus de nous que ça. Nous étions des étrangers venu dans leur village. Méfiante je serais mon P90 et restait sur mes gardes. Au moindre signe d'hostilité je ferais feu. L'ambiance était pourtant étrangement calme. Je décida donc de demander des nouvelles des autres par radios et leur demander ce qu'il avait vu...

[radio] Eileen ? Ici Janet, de notre côter, ils parlent latin et ils ont des tatouages bizarre ça ressemble à des runes celtiques. Mais je n'en suis pas certaine. C'est bien du latin qu'ils parlent ces gens ? J'ai cru reconnaître certains mots... Et vous de votre côter vous avez du nouveau ? [radio]

J'attendais à présent une réponse de l'autre équipe, avec Argostre je me sentais un peu seule et pas très rassurée par cette ignorance des gens. je me demandais si ils n'étaient pas hostile après tout... Disons que je me postais beaucoup de questions à ce moment là... Mais un petit sourire me vins car quand je rentrerais de mission je verrais une certaine personne... Mais je me concentrais vite sur la mission tenant mon arme serrée et proche de moi. Je ne savais pas ce qu'il se passerais, je regarda Argostre qui ne me répondait pas.. Essayait-il de comprendre le langage où de m'éviter ? Enfin bref la priorité était la mission à l'heure actuelle...

Le village ressemblait fort à une espèce de zone industrielle sur Terre, loin de là notre technologie à nous, mais avec les fondements principals qui sont propres à tous de nos jours. Apparament ne pratiquant qu'une seule et même activité, la forge, une des plus anciennes industrie sur Terre, les hommes avaient tous une sorte de trace noire sur le bras et quelque uns des tatouages.
Pouvoir implanter dans la peau un pigment de cette facon, il fallait plus qu'une technologie forgerienne pour pouvoir faire ca. Argostre trouvait cela extremment bizarre et commencait à se demander ce qu'il pouvait bien se cacher derrière tout ca. Les paroles du Sergent n'avaient pas eu de réponses. Il se mit à reflechir, cherchant quoi faire pour pouvoir entrer en contact avec ses hommes, qui avaient l'air de ne pas prêter la moindre attention aux deux membres du SGC.
La radio vint retentir aux oreilles du Sergent, Janet était entrain de demander des nouvelles des deux bleus, qui étaient partis vers les champs de blés. Argostre n'avait pas répondu à Janet, par abstraction sans doute, mais cela n'était pas voulu. Il ne savait pas comment lui parler, plus qu'autre chose. Il se remit debout sur ses deux appuis et se retourna vers Janet, laissant paraitre un timide sourire.

Je ne sais pas ce qu'il se passe ici, s'exclama t-il dans un léger chuchottement. On va aller rejoindre les deux autres, normalement il n'y avait aucunes traces humaines sur cette planète, hors on vient de rencontrer une civilasition, avec un tatouage extrement bizarre, ajouta t-il en prennant en main son arme. Vaut mieux rester ensemble que d'avoir à subir n'importe quelles situations dangeureuses, fini t-il en regardant Janet dans les yeux, la fixant sans le vouloir, n'arrivant pas à dégager son regard de cette emprise qu'elle avait sur lui.
Il prit la radio, à son tour, et contacta les deux scientifques qui n'avaient toujours pas répondu à l'appel de Janet. Encore une chose bizarre se disait-il à nouveau. Le temps pressait et il fallait se regrouper. Il appuya sur le bouton de la radio pour transmettre son message, esperant avoir une réponse dans l'instant.

[radio] Sheridan, Eileen, on vous rejoins attendez nous à l'abris de quiconque. Ne faites rien de brusques ou qui ne pourrait attiser une hostilitée de la part de ces hommes. Terminé[/radio]

La main relachant le bouton, son regard retourna dans celui de Janet et il lui fit signe d'y aller. L'arme bien en main, il prit la marche pour sortir du petit village, avec un mauvais préssentiment certain. Il avait fait signe à Janet de passer devant, pour la protéger s'il y avait un problème avec les hommes du villages toujours plonger dans leur activité de forgeron.

Eileen regarda le médaillon, reconnaissant de ce fait les symbole des deux divinités gauloises. Elle arqua un sourcil quelques peu étonné et fut surprise de l’agenouillement des paysans qui les entouraient. Une de personnes entama une sorte de chanson et elle put comprendre a peu près ce qu’il était dit.

Mais qu’est-ce que…

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un guerrier bondit, glaive en main. Elle sursauta, un peu tétanisé. Elle tourna la tête vers Henger qui venait de lever son P90.

Thom, baissez votre arme !

La radio grésilla et elle reconnu la voix du Docteur Frasier.

* Ouais bah deux secondes Janet…*

Elle reporta son attention vers le homme qui voulait les attaquer et tenta de traduire en latin les paroles du scientifiques, en un peu plus détaillées.

[latin] Nous sommes des pacifistes. Nous ne vous voulons aucun mal. Nous sommes seulement des explorateurs venus d’une autre planète. Et si nous avons des armes, elles ne nous servent uniquement dans un but défensif.

De nouveau, la radio émit un son et ce fut cette fois-ci la voix du Sergent. Elle appuya sur le bouton du petit boîtier noir, toujours en regardant l’homme armé.

[radio] Je confirme Janet, ils parlent bien latin… Nous venons de rencontrer un groupe de paysans. L’une d’elle m’a montré un médaillon portant le symbole de deux dieux gaulois entremêlés, puis ils ses sont agenouillés et ont commencé à chantonner une chanson, un peu comme un appel ou un rituel à leur Dieu. ET pour ce qui est des hostilité Sergent… un homme muni dans glaive viens de bondir sur nous. Henger à son P90 levé et je tente de faire baisser les armes. Dépêcher vous ! Terminé. [/radio]