Le dernier jour de l'année et d'une vie.


La nuit froide et angoissante comme à son habitude dissimulait en sont sain la tempête blanche qui semblait ravager tout le village, et bien que cela puisse paraître le début d’une sombre histoire, il ne s’agit que d’une simple mais glaciale nuit d’hiver.

La suite en revanche et des plus obscurs, pour la compréhension notamment et pour l’ambiance…

Une nuit de plus dans sa petit vie d’étudiant, cela n’avait rien d’extraordinaire pour Rémi Skwarek, élève en terminal et habitant le petit village de Auxon.

C’est après une longue discussion avec ses amis et voisin que le jeune homme s’endormit devant un paysage ténébreux et enneigé tout en écoutant l’ennuyeux et monotone chaîne d’information qui annonçait une mauvaise météo pour toute la semaine du moins une mauvaise pour tout être n’étant capable d’hiberner et aimant le soleil…

Le lendemain, notre jeune ami s’éveilla mais son ami le réveil n’était pas sortit du sommeil, il n’avait pas sonné et n’affichait même plus l’heure, la télé était allumé mais il n’y avait plus d’image à l’écran, la radio qu’en à elle n’émettait plus.

Il regarda sa montre, celle-ci semblait ne plus fonctionner non plus, à l’extérieur il faisait toujours nuit, mais il ne voyait plus la neige tomber, à vrai dire il ne voyait rien au dehors.

Avec soucie, le lycéen descendit au rez-de-chaussée de sa maison, pas le moindre bruit, il n’entendait plus rien, plus un son, lui même ne pouvait parler, son cœur n’affichait plus le moindre signe de vie.

Il chercha rapidement mais il était seul dans la maison qui semblait encore endormit, où le bruit ne semblait plus exister, le parquet ne faisait plus de bruit, les portes ne se fermait plus à causes des courants d’air, et quand bien même Rémi claquait une porte, pas un son n’en provenait.

Désespéré, notre jeune protagoniste chercha à produire un son qu’elle qui fut, il lâcha un vase sur le sol, il tentait de mettre un CD de music mais plus d’électricité non plus, il tentait de hurler, il sautait dans les escaliers en bois, prit une batte de base-ball et frappait sur tout objet pour obtenir une chose aussi simple qu’un bruit, ou ne serait-ce un murmure, la solitude l’encerclait…

Peu à peu il s’imaginait être devenu sourd, ce qui aurait put tout expliqué et bien que cela soit inquiétant et triste il y trouvait un quelconque réconfort en se disant que tout était normal mais que ces oreilles étaient juste un peu défaillante mais c’est alors que d’autres questions l’assaillirent…

Pourquoi était-il seul ? Pourquoi n’y avait-il plus d’électricité ? Pourquoi était-il devenu sourd, Pourquoi faisait-il toujours nuit alors qu’il avait passé des heures à parcourir sa maison ?

Il se dirigea vers la porte d’entrée, et avec crainte et méfiance il ouvrit la porte, une fois ouverte il ne put contemplait qu’avec crainte et désespoir le paysage qui s’offrait devant lui, c’est à dire absolument rien, que du noire tout autour de lui, il s’avança au-dehors, marchant dans la neige qui n’était même pas froide.
Devant lui s’étendait absolument rien juste du noir dans lequel il hésitait à poser ou non le pied mais c’est alors qu’au loin s’illumina une sorte d’écran géant où se déroula un scène des plus étranges…

Il observait un homme qui lui aussi l’observait comme si Rémi était allongé sur le sol ou plutôt sur un lit, ce dernier dit en regardant ailleurs :

« Désolé Madame Skwarek, nous n’avons rien put faire. »

*De quoi, maman ?*

C’est alors que l’adolescent vit une femme apparaître à son tour sur l’écran, Rémi reconnut sa mère…

« Heure du décès : 6h30 du matin, le 1er janvier 2007 »

*Mais, c’était hier !!*

Le docteur passa sa main devant les yeux du cadavre inerte de Rémi dans notre réalité pour fermer se paupières tandis que le lycéen observait impuissant sa dernière vision sur la vie se refermer.

A notre mort nous devenons prisonnier du dernier lieu ou notre âmes fût, et cela pour l’éternité, qu’y a t-il après la mort ?

Absolument rien, si ce n’est le vide total…