Geran était au sol, quand il se sentit soulever. Un parfum vint lui caresser le nez. C’était une femme. Il ne savait pas qui c’était mais, pour ne pas la faire succomber de son poids, il fit ce qu’il peut pour marcher. Mais ce n’était pas très brillant, il avait mal, même si il reprenait ses esprits, le couteau c’était planté dans le bas du muscle. Il marchait doucement mais sûrement. Il vit des soldats aller vers l’endroit où il venait de se battre avec l’homme. Quand enfin il aperçut l’infirmerie. Il se souvint très vite que cette demoiselle était médecin, il l’avait vu après c’être pris la ranger de Menchu Narah en plein dans la tête. Il fut déposé sur un lit. La douleur s’amoindrissait, jusqu’au moment ou la jeune médecin, lui mit du désinfectant. Il eut une petite envie de hurler, mais il se retint, du fait se sa bonté en vers les autres patients, qui eux attendaient sagement. Il agonisait quand son bipeur sonna. Il regarda au plus vite son message, en se demandant, ce que ça pouvait être, quand il pu lire que Coprenha allait pas bien. Il commença a pensait que c’était un cauchemar, mais cette idée partit bien vite quand la demoiselle, lui piqua le bras. Il ne comprenait pas pourquoi le lieutenant Marshall était toujours malade, mais a des moment, sa l’énervé comme jamais. En plus il ne pouvait rien faire. La seule chose, c’était regarder les autres se débrouiller. Mais le point positif, c’est qu’il avait enfin fait quelque chose depuis pas mal de temps. Il espérait que la blessure ne sois que superficiel, car, il c’était engagé pour une mission et il ne voulait pas la rater. Il essayait de relativiser, ou de positiver, mais rien. Tout était négatif. En plus, maintenant il avait du se mettre dans le même pétrin que celui du médecin, mais espérait il ne pas avoir aggravé le sien. Quand, deux soldats entrèrent dans l’infirmerie. Il portait l’homme que Geran venait de tuer. Il savait qu’il allait avoir un tas de question, et rien que d’y penser, cela le démoralisa encore plus.
« Merci, doc. Je vais mieux, j’espère que ma blessure n’est pas grave. Si vous voulez après je vous soigne vos bosses et je vous invite à casser la croûte. »