Secrétariat

Arrivé à m’armurerie, Nyphus ouvrit la porte à la volée et s’engouffra dans la pièce qu’il alluma rapidement. Il attrapa un gilet pare-balle qu’il jeta sa douce, que cette dernière rattrapa de justesse à une main, tandis qu’il en prenait déjà un pour lui même. Il l’enfila et à peine mis, le voilà qui choppe une petite besace dans laquelle il mets le maximum de grenades offensives et de C4 qu’il puisse prendre. Cela fait, il pris un gilet tactique qu’il endossa également, avant de se tourner, d’empoigner un M249 SAW ainsi qu’un sac qu’il remplit de 6 chargeurs et des lunettes pare-éclats. Il chargea son arme, la mettant prête à faire feu. Après s’être vite équipé, il se tourna et regarda Aurélie qui finissait à s’équiper avec peine, un peu normal quand on a qu’une main de disponible… Elle avait récupérer une besace avec quelques grenades, un Zat'Nik'Tel qu'elle accrocha au holster sur sa cuisse ainsi que quelques chargeur préparé pour son revolver sur le second holster, prêt à être mis en cas de panne. Leur regard se croisant, il l’observa quelques secondes avant de s’approcher d’elle et de lui parler avec un brin d’amertume dans la voix…

« File… File le plus vite possible ! »

Il lui vola un baiser avant de partir dans les couloirs en direction de la salle d’embarquement. Aurélie, quand à elle, regarda quelques instants son bel amour jusqu’à ce qu’il bifurque et disparaissent dans un couloir. La jeune femme fit rapidement de même, partant à l’opposé du Lieutenant Colonel.

Salle d’embarquement pour Nyphus
Couloirs pour Aurélie

La poignée d’hommes qui accompagnaient Jason, avaient peur. Il le voyait dans leurs regards et dans leurs démarches. Une démarche hésitante, la même qui les avaient conduit en salle d’embarquement afin de défendre leur planète. Jason avança prudemment… il entendit quelques pas lourd dans un couloir proche. Les Jaffas avaient réussis à passer les portes de la salle d’embarquement…
Jason s’arrêta net. Les pas s’éloignaient dans une direction lointaine. Mais ou allaient les Jaffas ? L’armurerie n’était pas très loin d’ici. Jason repris la marche, suivi par ses hommes. Il avança prudemment jusqu'à un couloir ou il entendit un petit *clic*. Il s’arrêta à nouveau puis regarda derrière lui. Une petite boule de métal lumineuse venait de tomber juste derrière le dernier soldat, elle faisait des bruits inquiétants…

« A COUVERT ! » dit il en courant au couloir perpendiculaire le plus proche.

Tandis qu’ils venait de se réfugier dans un coin de mur avec quelques hommes, une lumière aveuglante provint du couloir dans lequel ils s’étaient trouvés quelques secondes auparavant, succédant les cris des soldats n’ayant pas eu le temps de se cacher. Jason jeta un bref regard en leur direction, ils étaient étendus sur le sol, visiblement inconscient.
Le colonel connaissait bien ce type d’arme, elle provenait des Goa’ulds et assommait quiconque était dans son champ d’action. Après cela, elle était une simple boule en ferraille.

Des voix de l’autre côté du couloir le firent revenir sur Terre. Il passa doucement la tête pour voir qui arrivait, même si il le savais déjà… une dizaine de Jaffas arrivaient par le couloir, leurs lances brandis, ils fixaient les 3 hommes à terre. Jason regarda à sa droite, 6 hommes avaient réussis à le rejoindre avant d’être assommé par la bombe. Jason leur fit signe de se mettre en position… ils allaient devoir intervenir sans blesser les leurs.

Attendant qu’ils soient tout proches, Jason sorti du couloir en tenant fermement son P-90 des deux mains, il tira dans le tas prenant toujours garde à ne pas viser trop bas. Les balles pénétrèrent les armures des premiers Jaffas qui tombèrent comme des masses. A ses côtés, les autres militaires l’avaient imités. Ils avaient dégainés leurs armes et tirés comme des dératés sur les ennemis. Plus de la moitié des assaillants succombèrent aux balles terriennes, quand aux autres ils se replièrent derrière les murs des couloirs adjacents. Ils ripostèrent immédiatement touchant deux hommes à la gauche de Jason. Deux des autres allèrent chercher les trois hommes inconscients devant eux. Avec une chance étonnante, ils arrivèrent à les ramener sans autre blesser. Ils étaient désormais tous du même côté et l’armurerie était derrière eux. Mais les quatre Jaffas n’allaient probablement pas les laisser partir comme ça… Le colonel devait agir en conséquence. Il ne voulait pas abîmer la structure mais il n’avait pas le choix. Ils se replièrent derrière un mur, puis Jason fouilla dans une de ses poches de vestes. Il pris une grenade à fragmentation, la dégoupilla, la garda quelques petites secondes rapides dans sa main puis la lança d’une main forte et déterminée de l’autre côté du couloir. Il se replia rapidement puis entendit une forte explosion suivi d’une déflagration qui remonta le couloir sur le bas plafond… quelque chose n’allait pas. Il entendait encore de petites explosions au loin… Il se leva prudemment, regardant autour de lui les débris causé par sa grenade, puis s’avança vers les 4 Jaffas apparemment morts. Il regarda autour de lui. Une légère fumée se dégageait des murs… il avait sûrement percé une conduite de gaz avec l’explosion. D’où les multiples explosions…

« Bon les gars prenez les blesser on dégage de là aller on se dépêche ! »

Il aida un blessé (par tir Jaffa) à se relever puis accéléra la marche. Il leva les yeux. Ils n’étaient plus très loin de la salle des armes.
Tandis qu’ils continuaient d’avancer, des cris et des coups de feu provenaient de partout dans le SGC. Beaucoup de soldats étaient déjà mort, d’autre n’allaient pas tarder à succomber devant la force des Jaffas. Et ils avaient toujours ce problème d’iris... La porte allait se fermer dans quinze petites minutes. Il fallait donc retourner au niveau 28, tuer les multiples Jaffas sur leur route, arriver en salle de contrôle, puis réactiver la porte au bon moment avant que les Jaffas ne le fassent de l’autre côté… une partie de plaisir. Mais que faisaient les renforts bon sang ?

Enfin en vue, la salle tant recherchée était fermée. Jason posa le soldat blesser par terre à côté de la porte. Il espérait qu’aucun ennemi n’était entré avant eux… il passa sa carte d’accès dans la fente puis ouvrit brusquement la porte. Apparemment tout allait bien, personne n’avait pénétré dans la salle. Beaucoup d’armes étaient encore présentes, ainsi que des Zat et des explosifs. Jason fit rentrer ses hommes à l’intérieur pour plus de sécurité… la résistance allait commencer.

Les couloirs semblaient bien plus attrayant d'un coup, aujourd'hui c'était la guerre dans les couloirs du SGC, la base la mieux gardés de tout les Etat-Unis et pour une base gardé par les meilleurs la ligne de défense principale avait vite laisser place à un massacre des deux cotés et puis ou ils sont les renforts Français ?! Bordel ! Jamais la quand il faut ! Alors que le gradé allait passé un angle de couloir il sentit une respiration lente et profonde, un sourire éttira les lèvres du militaire, les Kage étaient la...

"Toujours à la bourre..."

Trois hommes tout vêtu de noir passèrent l'angle, dos légèrement courbé et arme pointé vers leur chef, ils se redressèrent et enlevèrent le capuchon qui masquait leurs visages dans l'ombre alors que Menchu se mettait face à eux.

"On fonce vers l'armurerie, les renforts ricain ont du s'y précipité, on tappera la discute plus tard, masquer vos identités."

Les trois hommes aquiescèrent et tirèrent leurs capuchons sur leurs visages déjà bien sombre et devenu à présent une simple forme noir sans ociliation d'une quelconque nature. Menchu en tête le groupe de quatre hommes s'engouffra dans les couloirs éclairés par la seule lumière donnée par l'alarme rouge. la course des quatre hommes étaient régulière, tout aussi régulière que le résonnement des armes automatiques terriennes dans les couloris du SGC, une unité combattantes étaient en prise avec des forces Jaffas... Se plaquant au mur Menchu jeta un regard rapide, il discerna plusieurs personnes dont Chanie Hannigan qu'il avait rencontré peu de temps avant l'arrêt du projet, enfin, l'arrêt... C'est un bien grand mot parce qu'au vu de ce qu'il se passe en ce moment dans cette base, elle est loin d'être un simple projet dormant ! Faisant signe à deux Kage d'allez de l'autre coté du couloir, Menchu activa sa radio.

[Radio:]Hannigan arrêtez de vous tordre ainsi dans tout les sens, sa éveil mes sens...[Radio]

Avec sa, pas de soucis elle allait deviné que c'était Menchu ! Malgré sa le Major et ses hommes restèrent dans l'ombre de la base, invisible aux yeux de tous, prêt à faire feu à la moindre menace...

(Je vais jouer les guide pour l'unité de renfort après )

[Mais ils devaient normalement me rejoindre mdr à moins qu'on ai changé les plans xD?]

( HRP : Ben, oui, Jas... No comment !)

Aodhan haussa les épaules à la remarque quasi méprisante du caporal Hannigan . Toujours les mêmes, ces militaires ! Ils croyaient toujours la première évidence, même s'il n'y avait aucun fondement scientifique !
Il suivit les autres, son malaise allant grandissant . Le SGC paraissait désert, comme une tombe . Ils avançaient collés au mur, comme des tiques sur un chien, et Aodhan sortit maladroitement son pistolet, et le garda dans la paume de sa main . C'est fou comme le simple contact de l'acier pouvait être rassurant ! Aodhan sentait sa paume devenir moite, alors que des bruits trés reconnaissables se faisaient entendre dans le couloir . Des jaffas !
Aodhan regretta de n'avoir que peu de connaissance en tir, si ce n'était du tir au pigeon, le dimanche, avec ses collègues du Trinity . Son estomac était devenu en plomb, et il esquissa un sourire poli à la trés mauvaise blague de Kaiger . Mauvaise, car elle faisait un exact écho aux angoisses d'Aodhan .

Les deux femmes commençaient à canarder en tous sens, et Aodhan eut l'impression que tous se déroulait à une vitesse stupéfiante . Il n'eut que le temps de se détourner quand Brynneth hurla " Flash !!" . Aodhan, bien que mort de peur, tendit un bras tremblant, et se mit à viser comme il le pouvait, et presque en fermant les yeux, appuya sur la détente . Il eut la bonne surprise de voir que son tir avait touché un jaffa au genou . Il voulait viser la tête, mais quelle importance ?
Se campant comme il pouvait, contre le mur, afin de tenir face au recul de son arme, il appuya encore et encore, étonné lui même de sa réaction . Il ne tremblait presque plus, et sentait monter en lui une drôle de sensation .

* Ce doit être l'adrénaline, je suppose, quoique je ne me souviens guère des conférences du Dr Finn !*

Aodhan fut surpris d'être capable d'analyser froidement ses réactions biologiques, et se demanda, en un accés d'humour, si Finn avait testé ce genre de situation, dans son labo de neurobio, à Cambridge . Sûrement pas ! Les tirs ne s'arrétaient pas, et Aodhan se demanda combien de temps cela allait durer avant que leur reserves s'épuisent . D'ailleurs, il fut obligé de recharger son ame, et dut s'y reprendre à deux fois, tant le stress noyait sa dextérité .

(Euh... fait gaffe... les ascenseurs ont été détruits avant que le groupe d'aide n'arrive...)

[C'est Arrangé ]

Jason était avec les hommes survivants de l’assaut des jaffas. Ils allaient arriver encore plus nombreux et la situation ne cesserait d’empirer sauf si ils arrivaient enfin à fermer la porte et à réinitialiser l’Iris. Le Pentagone devait déjà être au courant de la situation et des dizaines, voir des centaines d’hommes se tenaient prés devant la base à faire un assaut frontale, l’ultime et seule contre attaque des humains contre les Goa’ulds.
Pendant son petit séjour au NID, Jason en avait appris plus sur eux qu’en plusieurs années au SGC. Ils n’étaient certes, pas doués pour réussir les missions entreprit, mais ils s’y connaissaient énormément sur les races extra-terrestres alliés ou ennemis, ainsi que sur la position actuelle des rivalités entre grand maître dans la galaxie… Il aurait dû rester infiltré chez eux.

Bien qu’il éprouvait des remords sur ses agissements, la situation n’était pas aux regrets. Des bruits se firent entendre non loin devant la porte de l’armurerie… Jason et trois soldats prirent des armes puis se placèrent de chaque côtés de la porte, attendant que le(s) ennemis entrent à l’intérieure. Quelques secondes après, la poigné se tourna lentement puis la porte s’ouvrit. Jason, le P-90 tendu, posa son doigt sur la gâchette mais l’en retira lorsqu’il vit l’un des soldats entrer. Il le connaissait de nom, Oslote Shakalaska avait des états de service remarquable pour un Capitaine. Celui-ci lui adressa un rapide sourire avant de le saluer, et de l’entraîner discrètement au fond de la petite pièce.

« Mon Colonel, Capitaine Shakalaska! Le Colonel Nyphus veut vous voir au plus vite près de la salle d'embarquement, pour ma part, j'ai reçu des ordres direct pour une mission de contre-attaque par le puit d'aération du silo, où se trouve la porte. Vous avez des nouvelles qu'un quelconque renfort extérieur ? »

Jason le regarda longuement avant de prendre la parole.

« Capitaine, savez vous pourquoi Nyphus veut me voir ? »

Si Nyphus voulait le voir c’était sûrement pour parler du NID. Lui et Jason n’avaient jamais eu une très bonne entente surtout lors des mission intergalactiques ou Nyphus n’avait cessé de considérer, malgré son repentis, Turner comme un traître.

« Pour ce qui est des renforts, j’ai rencontré un petit groupe commandé par le Lieutenant Kaïger, dit il en montrant Paul. Je pense que d’autres équipes, voir un assaut, va être lancé dans les plus brefs délais. Le Pentagone ne doit pas nous laisser tomber dans un moment pareil… il ne doit pas, il ne peut pas ! Votre insertion dans le silo va être très dangereuse en raison des nombreuses dispersions de gaz renvoyés dans les ventilations… vous n’arriverez pas à respirer beaucoup la dedans Capitaine. »

Il se retourna, posa une main sur sa bouche. Il allait devoir aller voir Nyphus afin de subir certainement un interrogatoire. Les vaisseaux n’allaient pas tarder, et ils ne savaient toujours pas comment fermer la port des étoiles… la situation n’avait jamais été aussi critique qu’en cet instant. Jason fit quelques pas dans la petite salle faiblement éclairée par des lampes miteuses, puis se retourna vers tous ces soldats. Leur courage et leur bravoure lui renvoyait un élan d’espoir, une folie tel qui lui donnait envie de s’élancer contre les Goa’ulds et remporter cette bataille. Jason reposa son attention et son regard vers Shakalaska… lentement il ouvrit la bouche et annonça son plan.

« Capitaine, je veux que vous soyez très prudent lorsque que vous serez là haut. Je vais aller voir Nyphus, pendant ce temps, l’équipe de secours va venir avec moi, puis ils iront vers Olorin. Il essaye apparemment de réparer ce problème avec l’Iris. Je veux le silence radio pour l’instant… Nos ennemis pourraient très bien avoir avec eux une radio ou des prisonnier afin de connaître nos plan d’action et notre stratégie, dit il en rechargeant son arme. Il se tourna vers l’équipe de secours. Je veux que vous preniez tous des grenades à fragmentations ainsi que des chargeurs de P-90. Prenez également un pain de C-4, il ne faut pas trop nous charger. Quand à vous Capitaine, si vous avez le moindre problème, rompez le silence radio et nous viendrons vous secourir… Nous allons voir Nyphus près de la salle d’embarquement. »

Jason se retourna, ouvrit la porte, regarda puis avança devant le calme du couloir. Il partit à droite tandis qu’Oslote partit à Gauche… le timing allait être séré.

[ Ok ok dsl, je vais le retirer alors. En fait, j'voulais tricher un peu comme je suis en retard !!! Genre j'étais là avant, mais suis un peu a la bourre... Bon bah re dsl ]

(Désolé de vous pressez les enfants, mais faut pas que sa dur trop longtemps...)

Restant masquer dans l'ombre Menchu et ses Kage ne se firent pas remarquer plus que sa, seul Chanie savait que le Major était la, par contre, personne savait que ses trois hommes étaient la, tout droit venu de France, tout droit venu de l'ombre... Laissant tout le monde recharger et sortir les quatre hommes entrèrent à leur tour, s'assurant que les Jaffas étaient bel et bien mort et rien de mieux pour sa que sectionné la gorge de manière violente avec un couteau de combat. Une fois cette tache finit Ramirez prit la parole.

-Pourquoi on aide les ricains ?

Menchu leva la tête vers lui, chargeant son M4 d'un revers de main.

"Parce que j'en ai donné l'ordre."

-T'as oublié ?! C'est eux qui ont descendu l'unité de renforts !

Intervint subitement Ibé, Menchu soupira en marchant doucement vers la porte, ses rangers claquant, tel quelques années plus tôt, lorsqu'il avait dissout l'escadron Français nommé Ghost.

"Nyphus, Jason, O'Neill, tout ces mecs se battent depuis déjà un bout de temps pour défendre la planête, les intérêts de la planête, sans eux vous seriez déjà mort ou en pleine guérilla dans les rues de paname, à vous de voir s'ils méritent ou non de l'aide aujourd'hui..."

Menchu passa la porte, regarda de chaque coté et s'engagea à toute vitesse dans les couloirs, les trois Kage restèrent dans l'armurerie un moment, ils se regardèrent, Brahma soupira et les trois soldats d'élites chargèrent leurs armes avant de passer brusquement la porte, courant après l'ombre formé par leur chef qu'ils suivraient jusque dans la mort, jusque dans l'honneur !

(Désolé pour la qualité minable...)

L’équipe venait de terminer avec sa horde de Jaffas, après avoir put enfin entrer dans l’armurerie, l’équipe de sauvetage ce retrouva nez à nez avec des hommes déjà en train de s’équiper. Il s’agissait du Turner avec quelques hommes. Le Colonel pris la parole

- Je veux que vous preniez tous des grenades à fragmentations ainsi que des chargeurs de P-90. Prenez également un pain de C-4, il ne faut pas trop nous charger.

Puis le colonel Kaiger la prit à son tour …

- Vous avez entendu ce qu'a dit le Colonel ?? Alors maniez vous le cu* et prenez tous des munitions ainsi qu'un zat et un pain de C4.

A ce moment là Alexandre fit comme ses coéquipiers, il prit des chargeurs, ainsi que des grenades à fragmentation et un pain de C4. Alexandre ne pouvais pas ce charger autant que les autres, son gilet tact-tic était déjà bien remplis par du matos médical et son sac lui était overbooker par des ampoules, des seringues, des bandages ….

Enfin les nouveaux ordres ne tarda pas, l’équipe se remit en route. Son P-90 toujours à la main, Alexandre était prés à faire feu sur tout ce qu’il bougeait …

(Désolé, c'est court, mais c'était pour montré que j'était toujours présent )