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 MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)

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Josh Reynolds
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Josh Reynolds
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MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) 600315barre1645/3200MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) 147995barre3  (645/3200)

MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) _
MessageSujet: MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)   MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) No_new1015.03.15 2:52

D’un brusque mouvement, il essaya de se défaire de ses entraves. Il força à nouveau, il tira encore, mais rien n’y faisait : les sangles tenaient bon. Il lâcha un grognement, et alors qu’un de ses geôliers tournait autour de lui, sa voix résonna bruyamment dans la pièce :

« Il est déjà trop tard. Quand il l’aura trouvée, il vous exterminera. Ce n’est qu’une question de temps. »

Une rangers vint frapper le bord de la chaise, secouant le prisonnier. Sa main droite traînant le long de son holster, l’homme à côté, qui portait une combinaison verte, reprit sa ronde, visiblement contrarié.

« On vous a déjà botté le cul plusieurs fois, on peut très bien recommencer. Et de toute façon, puisqu’on est là, on a aussi les symboles. Comme vous l’avez dit ce n’est qu’une question de temps ; mais si vous préférez qu’on vous remette à nos alliés… Il arrêta sa ronde et tourna les talons, se plaçant face à sa prise. Vous savez ce que font les rebelles Jaffas aux individus de votre espèce, au moins ? »

Nouvel essai – nouvel échec : les sangles résistaient toujours. L’espace d’un instant un vrombissement ébranla alors la pièce, et la conversation reprit :

« Naskao Velsaen, et Kavel Enonassa, lâcha finalement le captif, l’air résigné. Allez-y, précipitez-y-vous… Mon maître vous y attend, et vous écrasera tous, vous et vos semblables ! Car il n’y a qu’un seul Dieu… Anubis ! »

Les sangles sautèrent, et le prisonnier se jeta sur son gardien. Mais il n’avait pas fait un mètre que déjà les trois militaires sortaient leurs armes et faisaient feu à de multiples reprises, l’éliminant instantanément. Le cadavre se figea dans l’effort, se tordit lors de sa chute, et sa tête tomba lourdement sur le sol gris et froid de la salle. Les yeux s’illuminèrent une dernière fois, et la scène s’immobilisa.


>>> Suite <<<


« Voilà. »

Les lumières se rallumèrent, l’écran remonta, et le major Bartlett sortit de l’ombre, télécommande à la main. Autour de la grande table centrale : le général O’Neill, le colonel Fett, les lieutenants Groff et Reynolds, les sergents Mallory et Matheson, ainsi que Smith, Lannan, Boone et Murphy. Enfin il y avait le docteur Anderson, qui avait grandement contribué aux recherches préliminaires à l’origine de ce briefing, ainsi qu’un garde à côté de la porte du couloir, et un autre près d’une grande plaque métallique noire, près des vitres donnant sur la salle d’embarquement.
L’envoyé du Pentagone, l’uniforme impeccable, reprit alors son discours, soucieux :


« Cela s’est passé sur l’Odyssée ce matin-même. L’équipe SG qui était en mission avec le vaisseau a trouvé et capturé ce Goa’uld dans un village moyenâgeux sur P8J-201. Ils l’ont interrogé en orbite, et ont appris qu’Anubis faisait des recherches actives sur des planètes bien précises. Vous le savez sûrement si vous avez lu les rapports de mission ou – malheureusement pour vous – étiez concerné, il y a dix mois Zipacna s’est fait largement botter le derrière par les Coqs rencontrés sur P2A-668 – Leonis. Conséquence : notre équipe était sauve, mais lui a perdu sa base sur Cyster ainsi qu’un vaisseau de classe Ha’tak. Conséquence de cette conséquence – autrement dit, réaction en chaîne : nous nous sommes renseignés auprès des Tok’ras, et il se trouve que Zipacna est retourné sur P5S-901, semble-t-il pour se venger. C’est sur cette planète que votre équipe, mon colonel, a été capturée par les Coqs. Mais c’est aussi sur cette planète qu’on a, pour la première fois, trouvé des ruines remarquables de structures bâties par les créateurs de la Porte des Étoiles : les Anciens. Mais Zipacna, lui, a trouvé mieux… »

Récupérant un tas de dossiers identiques de sa mallette, le major les distribua rapidement aux personnes présentes afin qu’elles comprennent mieux de quoi il parlait. Il indiqua la troisième page, où six glyphes étaient représentés :

MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822202906MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822203236MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822203727MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822201701MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822201736MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822202023

« Six symboles. Six symboles indiquant une adresse, cette adresse menant à une colonie des Anciens, où se trouverait même plus qu’une colonie : si on en croit les Tok’ras, il ne s’agirait ni plus ni moins que d’un avant-poste – pour, sans doute, quelque chose d’encore plus grand. Le docteur Anderson vous l’expliquerait sans doute mieux que moi… mais en fait on n’a pas le temps : six symboles – symboles qu’on n’avait initialement pas, mais en comparant avec l’adresse de P8J-201 on a eu tôt fait de les retrouver – ; six symboles, disais-je, ça fait 720 permutations. Soit 720 adresses, 720 planètes potentielles à visiter… Heureusement, en réalité, seule une quinzaine de ces adresses est associée à une Porte active – notez que toutes les visiter nous prendrait tout de même des mois, et Anubis a dix mois d’avance sur nous. Mais, parce que nos scientifiques ne sont pas non plus complètement neuneus, le docteur Anderson et ses sbires ont remarqué ceci – tournez la page s’il vous plait.

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Vous vous souvenez de comment le Goa’uld a appelé les planètes restantes ? “Naskao Velsaen” et “Kavel Enonassa” – soit les deux adresses en bas de page,  P3X-127 et P3Z-005.

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NasKaO VelSaEn
/ P3X-127 /


MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822202023MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822201701MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822201736MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822202906MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822203727MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) Latest?cb=20100822203236

KaVel EnONasSa
/ P3Z-005 /

Ça, c’était la bonne nouvelle. Maintenant finies les réjouissances : Anubis n’a lui-aussi plus que ces deux planètes à visiter. S’il attend des nouvelles de son espion sur P8J-201 ça devrait nous laisser un léger répit le temps qu’il se rende compte de sa disparition, mais il ne faut pas se leurrer : cette fois-ci la confrontation est quasi inévitable. Etant relativement proche l’Odyssée est déjà en route pour P3Z-005, ce qui vous laisse P3X-127. Par conséquent il y a deux scénarios possibles : ou bien l’Odyssée va devoir batailler ferme avec la flotte d’Anubis – difficile mais on sait que c’est faisable puisque ça a déjà été fait –, ou alors… vous allez avoir un sacré paquet d’individus indésirables sur le dos. Autant vous le dire tout de suite : ce n’est pas la peine de compter sur des renforts. Car s’il n’y a rien à trouver sur P3Z-005, il faudra trois à quatre jours à l’Odyssée pour vous rejoindre… – Sergent ? »

Le garde ouvrit la porte du couloir, puis deux militaires pénétrèrent dans la salle de briefing, portant à eux deux une lourde caisse noire. Ils l’amenèrent à côté du major Bartlett, l’ouvrirent dos aux personnels en réunion, et s’écartèrent, impassibles.

« Une fois n’est pas coutume, on a tout de même un nouveau gadget à vous proposer. La Zone 51, en collaboration avec le SGC, le site Alpha, les Tok’ras et un individu du nom de Shaq’rel, présente… L’officier se pencha, prit quelque chose dans la caisse, et se redressa, découvrant le fameux « gadget » : un P-90 tout ce qu’il y avait d’ordinaire, avec au-dessus un petit bloc lumineux bleu. Bartlett le tourna dans plusieurs sens pour que tout le monde puisse voir. Ceci, expliqua-t-il en désignant la cellule bleue, est le fruit de deux ans de recherches. De très nombreux hommes de valeur sont morts sous les tirs des guerriers Kulls d’Anubis, mais aujourd’hui, enfin, nous avons de quoi nous défendre ! Démonstration – sergent ? »

L’homme à sa droite prit le P-90 des mains du major, se plaça face à la plaque métallique noire trônant devant les vitres donnant sur la salle d’embarquement, et se mit en position de tir. Il ajusta, activa la cellule, et tira. L’énergie projetée par l’arme toucha la cible, s’étendit, et disparut.

« Il s’agit d’un genre de disrupteur. L’énergie déployée est projetée contre l’armure du Kull, traverse cette armure, et s’étend pour neutraliser l’énergie artificielle qui maintient les cellules en vie – vous n’êtes pas sans savoir comment ces… choses, sont créées. Il semble que deux coups suffisent… mais aucun essai n’a été réalisé en situation réelle. Autrement dit, en-dehors des simulations, on ne sait pas vraiment si ça marche. Concrètement, il suffit que la fréquence du bouclier qui entoure l’armure ait été légèrement modifiée pour que ça ne marche plus du tout… Mais c’est ce qu’on a de mieux en la matière. Mon colonel… »

Désignant le P-90, il invita Fett à tester lui-même l’arme, ainsi que le reste des équipes. Cinq minutes d’entraînement ne pouvaient pas être une mauvaise chose si elles permettaient de garder tous ces hommes en vie. Il y avait d’ailleurs dans la caisse bien d’autres P-90 de ce genre pour équiper tout le monde, mais comme Bartlett l’indiqua bientôt, la cellule d’énergie était détachable et pouvait se fixer sur d’autres armes.
Enfin, bientôt, l’agent du Pentagone en vint à la fin du briefing :


« Il faut empêcher coûte que coûte Anubis d’acquérir ce qui se trouve là-bas. Mais si vous pouvez mettre la main dessus… ça nous arrangerait. Si vous n’avez pas de question, je vous souhaite bon courage, et bonne chance. »

>>> Suite <<<


Le lieutenant Reynolds avait suivi les autres aux vestiaires pour s’équiper. BDU vert, rangers, gilet tactique, radio, gants, sac à dos, M16, M320, M9, couteau de combat, lampe tactique, deux grenades, deux grenades fumigènes, deux pains de C4, gourde, rations de survie, kit de premiers secours, une corde, suffisamment de chargeurs pour assurer un siège, et enfin, évidemment, ses lunettes de soleil. Il avait même pris un casque, sachant très combien une mission comme celle-ci pouvait vite dégénérer, et l’avait d’ores-et-déjà mis au moment où on se rassemblait en salle d’embarquement. Et quand il vit Anderson débarquer, ce fut à sa réputation qu’il se fia :

« Docteur, là-bas ne vous éloignez pas s’il vous plait. Si vous voulez voir quelque chose il n’y a pas de problème, mais assurez-vous d’être accompagné par l’un d’entre nous. »

Josh lui sourit, et dès qu’il fut sûr que son interlocuteur eut bien compris le message, il installa soigneusement ses lunettes de soleil. Il réajusta son casque, puis ses gants, et prit son arme en main – arme qu'il avait par ailleurs dotée de la fameuse cellule d'énergie anti-Kull –, prêt à passer à l’action. La Porte des Étoiles s’activa, les chevrons s’enclenchèrent les uns après les autres, et le vortex s’ouvrit. Et enfin, O’Neill autorisa la mission, et Fett donna le top-départ. C’était parti.

Quelques secondes plus tard – plus de trois secondes et demie si on compte le temps de monter la rampe –, Josh se retrouvait, comme les autres, sur P3X-127. Un paysage verdoyant, assurément, de surcroît mis en valeur par un soleil vigoureux – il devait être aux alentours de midi. La Porte des Étoiles se trouvait sur un terrain dégagé, au bout d’un chemin dallé ; au moins leur trajet était déjà tout tracé. Et, plus que cela, deux locaux à proximité pourraient directement les amener à bon port…


« Monsieur, regardez. »

Josh s’était adressé à son supérieur sans perdre une seconde de vue les deux villageois. L’arme abaissée pour ne pas les effrayer, il les surveillait, mais ne ferait pas le premier pas ; d’autres étaient bien mieux placés que lui pour cela. Laissant ses camarades discuter avec eux, il resta à hauteur de son homologue, Groff, et écouta distraitement la conversation.

« […] On peut vous conduire au village, bien entendu. Myrthal sera enchanté de vous voir.  Moi c’est Joe, et voici Philae, ma sœur. »

Quelques mots échangés suffirent à établir un lien. Alors, quand l’équipe fut prête à partir, Groff interpela le colonel Fett :

« On reste garder la Porte ; appelez-nous si vous avez besoin d’aide. »

Amusé, Reynolds fit une petite tape sur l’épaule de son collègue et suivit les autres. Il fallait en fait une dizaine de minutes de marche pour atteindre le village. Sous cette douce chaleur, le chemin, bordé de quelques rares arbres, était plutôt agréable. Très vite on vint à voir les édifices alentours : une tour, une église, ce qui semblait être un manoir, ainsi que bien évidemment les remparts, qui ne pouvaient être ignorés. Tout ceci était dominé par la montagne, non loin du village. Joe et Philae les conduisit à l’intérieur de l’enceinte, les terriens bientôt rejoints par deux épéistes pacifiques, mais vigilants. Le lieutenant les gardait soigneusement à l’œil.

« Mallory, lança Josh quand il fut à la hauteur de la jeune femme. C’est vous le profiler ? – Très bien. Observez-les tous attentivement, cherchez le moindre truc qui sorte de l’ordinaire. Faites-moi un rapport quand on sera au calme ; je veux savoir si vous-savez-qui est déjà là, si vous voyez ce que je veux dire… »

Le marché atteint, ce fut une trentaine de personnes qui s’agglutinèrent autour d’eux. L’une d’entre elles s’en détacha bientôt, et se présenta comme le maire du village :

« Bienvenue, étrangers. C’est étonnant comme parfois les gens se retrouvent, n’est-ce pas ? leur demanda-t-il avec bonne humeur, avant de leur serrer la main un à un. A votre allure, je présume que vous ne venez pas pour le commerce, je me trompe… ? – Pour connaître ce village, dites-vous ? Décidément ! Mais si vous voulez apprendre, je vais vous apprendre, bien entendu – ou pour être plus exact, vous montrer. »

Leur faisant signe de le suivre, Myrthal les mena jusqu’au manoir, la mairie du village. A l’intérieur, l’escalier central qu’ils gravirent les mena devant une grande fresque peinte avec minutie, représentant tour à tour : la Porte des Étoiles, d’où débarquaient une dizaine d’hommes ; la construction d’une cité, aux parois lisses et enluminées ; une vie calme, faite de recherches et de méditation, et le départ pour quelque chose de plus grand et de plus haut ; la construction du village, peu après, et l’exploitation des ressources de la montagne ; et enfin la vie actuelle, faite de Culture et de cultures, et l’héritage pour lesquels les habitants vouaient un culte.

« Comme vous, nos ancêtres sont passés par le Grand Anneau. Il s’agissait d’une civilisation très évoluée, dont aujourd’hui il ne reste guère de réelle trace. Cependant il s’agissait d’un peuple de Culture, et en cela ils nous ont laissé un véritable héritage. Comme je le disais à d’autres hier, l’art, l’architecture, le culte de la connaissance… Tout cela, c’est eux qui nous l’ont transmis. Nous avons hérité d’un esprit, et d’une passion pour le Savoir. Ça, c’est important ; n’êtes-vous pas d’accord ? »
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MessageSujet: Re: MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)   MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) No_new1015.03.15 11:05

Un coup de feu. Je me levai d'u bond pour faire face à mon ennemi qui me prenait ainsi en traître pendant mon repos. Le geste fut trop fulgurant et mon corps trop engourdi par plusieurs heures de sommeil, aussi je basculai par-dessus mon bureau et chus avec lourdeur sur la litière de dossiers habituelle qui jonchait le sol de mon laboratoire. Un dictionnaire que je venais de déranger dans son équilibre instable glissa alors du bureau et vint percuter le sommet de mon crâne.
La douleur fut vive mais eut l'avantage certain de me remettre les idées en place. Je m'étais très malencontreusement assoupi à mon bureau et il fallait croire qu'un mauvais rêve avait été responsable de cette piètre situation.


- Euh… docteur ?

Je relevai la tête et heurtais ainsi le rebord de mon bureau. Tout en me frottant le crâne et me mettant sur mes deux pieds (tout cela sous une pluie de rapport divers… mon dieu que Nina Peters me manquait…), je lançai au nouvel arrivant :

- Personne  ne vous a donc jamais appris à frapper !

- Euh mais monsieur… j'ai frappé mais euh… vous n'avez pas répondu et au lieu de cela j'ai entendu un bruit effroyable… donc euh je me suis permis d'entrer.

Alors que je m'apprêtai une fois de plus à rembarrer ce soldat bien entreprenant, tout se clarifia instantanément dans mon esprit.

- Ah mais c'est vous alors le coup de feu ! Je comprends mieux maintenant !

La plus grande des perplexités se peignit sur les traits du soldat alors qu'il répondit :

- Quel coup de f… ?

- Ah ne changez pas de sujet je vous prie ! J'avais bien précisé que je ne voulais que personne ne me réveill… ne me dérange avant trois heures ! Il y a des gens qui travaillent dans cette base figurez-vous ! On ne peut pas tous se permettre de déambuler aux hasards des couloirs pour venir embêter les honnêtes gens dans leur somm… travail !

- Mais monsieur le briefing a commencé et le général m'a envoyé pour vous prévenir…

- Bon dieu de bois ! Vous ne pouviez pas me prévenir plus tôt au lieu de bavarder pour ne rien dire !

Je rassemblai en hâte quelques dossiers que je ramassai en vrac sur le sol, réajustai ma chemise et sortis en trombe tout en lançant un regard  mauvais au militaire, qui le pauvre, n'avait pas encore eu la joie de me connaitre. Il faisait certainement les frais d'un bizutage de la part de ses collègues. En effet il était maintenant notoire qu'il ne fallait en aucun cas déranger le chef des scientifiques de la base si on ne voulait pas finir happé par un flot de parole continu et sombrer ainsi dans la perplexité la plus totale. Tant pis pour lui. J'avais un briefing à mener !

J'arrivai ainsi en trombe en salle de briefing sous les regards noirs de ceux qui attendaient déjà depuis un sacré bout de temps et m'assis à côté du général.
On nous passa alors une vidéo dans laquelle on nous montrait le passage à tabac à bord de l'odyssée d'un goa'uld sous les ordres d'Anubis qui révélait le nom de deux planètes avant de succomber sous les tirs nourris de mes camarades... Ils n'avaient pas faits dans la dentelle…
A la fin de la projection je croisai les doigts, inspirai un bon coup et lançai :


- Je…

Mais je fus grossièrement interrompu par un homme à ma droite, au costume impeccable, que je n'avais pas encore remarqué, trop concentré sur le discours que j'avais préparé. Il ne faisait aucun doute qu'il s'agissait d'un envoyé du pentagone. Il en profita pour nous rappeler l'effroyable mission que je ne pouvais décemment me remémorer sans un arrière-gout amère… Des aliens redoutables au profil de gallinacés mâles… Certains militaires pouffaient encore en me croisant dans les couloirs et à chaque fois que je débarquais au mess de la base, mon arrivée était toujours accueillie par des "cot cot cot" forts irritants suivis par des éclats de rires…
Lorsqu'enfin la parole me fut donnée par une invitation implicite à enchaîner, je décidai de revenir un peu en arrière dans le discours car des choses avaient été bien trop résumées à mon gout…


- […]Le docteur Anderson vous l’expliquerait sans doute mieux que moi…

- Tout d'abord en débarquant  P5S-901 j'ai tout de suite vu que…

- … mais en fait on n’a pas le temps

Je sentis soudain la moutarde me monter au nez alors que cette abominable interruption à mon exposé était accueillie chez mes camarades par des sourires malveillants et des soupirs de soulagement grossiers.
L'envoyé du pentagone enchaîna et nous conta toutes les découvertes faites par MON équipe, comme s'il avait lui-même contribué à quoi que ce soit dans notre travail. Il en vint même à minimiser notre dur labeur en lançant : "Mais, parce que nos scientifiques ne sont pas non plus complètement neuneus, le docteur Anderson et ses sbires ont remarqué ceci". Ce n'était plus uniquement la moutarde qui me montait au nez mais tout un tas d'autres condiments plus épicés les uns que les autres. Ce type était en train de balayer d'un revers de main tout le travail que mon équipe avait fait en amont…

Lorsque ce grossier personnage nous présenta l'arme anti-Kull et nous proposa de l'essayer, je passai mon tour. J'avais assez fait d'essais comme ça lors de la phase de test. J'avais fait d'innombrables allers-retours entre la zone 51, le site alpha, la base des tok'ra (qui était nouvelle d'une visite à l'autre) et Cheyenne Mountain… Ces derniers mois avaient été entièrement consacrés à créer cette arme anti-Kull et elle fonctionnerait sur le terrain c'était une certitude. J'arrivais tout de même à caser quelques mots alors que l'envoyé du Pentagone parlait des limites de l'arme.


- Shaq'rel nous a fourni les informations nécessaires pour modifier légèrement l'arme sur le terrain au cas où la fréquence du bouclier soit changée. Bon le seul souci c'est qu'il faudra toujours un peu tâtonner mais… Au moins le problème ne se posera pas lors de nos premières utilisations de l'arme.

Lorsque le briefing fut terminé, je quittai la salle la tête basse et me rendis à l'armurerie pour m'équiper. Je tombai alors sur Josh reynolds.

« Docteur, là-bas ne vous éloignez pas s’il vous plait. Si vous voulez voir quelque chose il n’y a pas de problème, mais assurez-vous d’être accompagné par l’un d’entre nous. »

Comme si d'habitude il m'arrivait de faire des gaffes ! Ce manque de confiance en mes capacités allié à la cuisante désillusion lors du briefing gratifia mon très estimé collègue d'une réponse des plus éclairées.

- Mouaif…

Il était de notoriété commune que le contenu de mon sac était composé davantage de livres que d'équipements létaux, aussi pour ne pas faillir à ma réputation je n'emportai qu'un couteau, une arme de main et un dispositif anti-Kull, mon sac étant préalablement rempli d'ouvrages divers et variés mais davantage susceptible de nous venir en aide dans mes mains en cas d'urgence qu'une arme quelconque… ça évitait aussi les dommages collatéraux. Je ne risquais de tirer sur un de mes équipiers équipé de telles armes spirituelles…

Quelques minutes plus tard nous avions traversés le vortex et débarquions sur une planète au climat et à la végétation des plus apaisants. J'en oubliai là toutes mes récentes déconvenues. Deux villageois rencontrés sur place nous menèrent au village.

Arrivé à l'intérieur de l'enceinte, je stoppai nette mon avancée et balayai l'espace de mon regard affuté par des années d'archéologie de terrain.


- Cette cité médiévale me fait penser à certains villages typiques que l'on trouve encore en France, notamment en Dordogne. Regardez-moi ce manoir ! Construit sur une petite hauteur, je parierais ma chemise qu’il a été édifié sur une motte castrale, siège du pouvoir seigneurial. Les lieux des différents pouvoirs ne changent guère au cours du temps. C'est pour cela que l'on trouve des églises construites sur des temples romains eux même construits sur des temples Gaulois. Cela explique pourquoi nous retrouvons peu ces derniers… Eh ! Mais attendez-moi !

Le gros de la troupe que mon exposé ne semblait guère passionner avait décidé de continuer d'avancer. Je les rejoignis alors qu'ils arrivaient au marché et que notre compagnie était présentée au maire de la bourgade.
Nous étions entourés de badauds qui nous considéraient certainement comme l'attraction du moment.
Le maire nous accompagna par la suite à la mairie ou il nous fit découvrir une fresque qui représentait… l'histoire de leur cité. Une cité magnifique… des hommes et femmes aux compétences uniques qui disparaissent… Partis par la porte ? Morts ? Ou… Etions-nous en présence d'une nouvelle existence débarrassée des entraves du corps humain ? Nous nous trouvions définitivement sur une planète un jour occupée par les Anciens…

Mais tout d'un coup un détail dans la phrase de notre hôte balaya toutes les autres questions qui occupaient mon esprit.


- Euh… excusez-moi mais… quels "autres" ? Si ce n'est pas indiscret.
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MessageSujet: Re: MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)   MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) No_new1018.03.15 23:35

Je me tenais devant mon ordinateur, admirant la feuille que je venais de rédiger. Malgré que tout le texte m’était venu spontanément, je réfléchissais encore aux conséquence que cela pouvait avoir sur la base et ma vie. Le SGC risquait de perdre un élément majeur, un officier supérieur qui plus est, et j’allais probablement me retrouver sans le sou dans les rues de Colorado Springs. Je venais de rédiger ma lettre de démission. Cela m’avait beaucoup travailler ces derniers temps. J’approchais de la quarantaine à grand pas, la tête pleine de souvenirs plus atroces les uns que les autres, pas de famille, peu d’amis et je risquais ma vie à l’autre bout des étoiles régulièrement. J’en étais fatigué. Si j’avais mené ma carrière militaire d’une manière quasi-exemplaire, le reste de ma vie n’était qu’un chaos sans nom. Et je voulais rattraper le temps perdu.
Mais je me voyais mal abandonner le SGC, les menaces extérieures se faisant plus dangereuses que jamais. O’neill avait besoin d’officiers performants pour faire tourner la boutique et encadrer nos jeunes soldats débordant d’énergie. Et je bloquais sur cette lettre. Il ne me restais qu’à l’imprimer et la donner au général. Mais j’hésitais encore.
Le téléphone sonna, me tirant de mes réflexions.


-« Colonel Fett. »

-« Mon colonel, vous êtes demandés en salle de briefing. »

-« J’arrive. »

Je raccrochais dans un soupir. Cette probable future démission allait attendre un peu. Je quittais mes quartiers pour me rendre en salle de briefing. Là-bas, le général O’Neill, les lieutenants Groff et Reynolds, les sergents Mallory et Matheson, Smith, Lannan, Boone et Murphy étaient déjà autour de cette grande table, qui au fils des ans ressemblait de plus en plus à un autel sacrificiel. Je pris place en saluant le personnel.

-« Mon général, quel est le sujet de ce briefing ? »

-« Nous attendons d’abord qu’Anderson nous rejoigne. »

J’acquiesçai tout en observant le gradé du pentagone qui tentait de se cacher derrière l’écran de toile du vidéo projecteur. Le docteur entra enfin, confirmant son aptitude pour la ponctualité et le rangement, à en croire le tas de papiers qu’il tenait dans les bras. Bennett, commença alors son briefing, nous rappelant les faits qui s’étaient passés lors de notre dernière rencontre avec les poulets spatiaux. Anderson tenta de prendre la parole mais fut coupé par l’officier du pentagone qui visiblement, s’en foutait totalement du scientifique. D’ailleurs, ce dernier bouillait à vue d’œil, passant du blanc scientifique au violet de la colère en passant par le rouge de la rage.
Il fut ensuite question de chevrons, une histoire qui devait seulement intéresser Anderson. Mais ma curiosité fut attisée lorsqu’on me demanda de tester une nouvelle arme. Avec un plaisir non dissimulé, je me dirigeais vers le prototype en question, un pauvre P90 customisé avec un godemiché lumineux.

-« Intéressant… »

* Les scientifiques ont encore craqué leur slip. *

J’activais le bidule et je visait la cible noire. Puis le coup parti, une belle décharge d’énergie s’écrasa sur la plaque puis disparue. Joli, mais pas super impressionnant. Pas d’étincelles ni d’impact. Je tendais l’arme à Reynolds.

-« Les blasters de la mort, c’est pas pour tout de suite. »

Le briefing semblait fini, je quittais donc la salle de briefing pour aller m’équiper. Un passage au vestiaire pour m’équiper de mon treillis de combat et de mon gilet tactique avant d’aller à l’armurerie. Une fois là-bas, je pris une M249 SAW chargée avec 2 boîtes de munitions, un SPAS 12 avec une cartouchière pleine et un pain de C4. Je pris également le temps de monter l’arme à kull sur ma mitrailleuse. Puis je gagnai la salle d’embarquement avant de franchir le vortex avec le reste de mon équipe.

-« Et c'est reparti… »

Nous arrivions sur une autre planète, et pour une fois, la porte ne se situait pas au fin fond d’une sombre forêt. Une belle plaine avec un joli chemin pavé qui partait vers l’horizon. Un cadre idyllique, qui d’après mon expérience avait toutes les chances de se transformer en décor de scènes d’horreur. Josh m’interpella en me montrant les deux paysans qui s’approchaient.

-« Garder un œil sur eux, je vais établir le contact. »

Contact. A ce mot, je me souvenais d’une fameuse scène dans Predator, ou Schwarzy et ses potes s’improvisaient bûcherons. Dommage, il n’y avait pas un seul arbre ici. Je levai la main droite en guise de salut.

-« Bonjour à vous messieurs, je suis le colonel Fett. Nous venons du cercle, derrière nous, il y a possibilité de rencontrer votre chef ? »

Les deux paysans, une fois proche se révélèrent être un homme et une femme.


-« Bonjour Fett Colonel. On peut vous conduire au village, bien entendu. Myrthal sera enchanté de vous voir. Moi c’est Joe, et voici Philae, ma sœur. »

Un chef qui s’appelle Myrtille, lui Joe et sa sœur comme une sonde spatiale ?! C’est quoi cette planète encore ?

-« On vous suit. »

Groff proposa que son équipe reste garder la porte. L’officier avait deviné mes ordres avant que je ne les prononcent. La 2ème équipe allait ainsi rester en arrière. Pendant ce temps, nous suivions les deux guides à travers cette planète plutôt banale. Nous arrivions enfin à un petit village, très moyenâgeux. Une fois à l’intérieur, deux autres natifs, équipés d’épées vinrent nous escorter. Ils nous emmenèrent à un genre de marché, où une personne vint nous accueillir. Il s’agissait de la myrtille en question. Je lui serait la main quand il se jeta sur nous pour se présenter.


-« Bien le bonjour. Evidemment, nous ne sommes pas là pour commerce. Nous cherchons des signes d’une culture qui pourrait avoir exister ici, il y a bien longtemps, venant d’une planète lointaine, très lointaine… »

Alors que le personnage nous emmenait dans leur mairie, où l’on pouvait admirer une jolie fresque, je fis signe à Anderson de faire son boulot question archéologie, et notre scientifique préféré (ou détesté, c’est selon), ne manqua pas de relever une expression dans les propos de notre hôte. Quels Autres ? Si on nous parle de fumée noire…
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MessageSujet: Re: MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)   MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) No_new1020.03.15 12:57

Depuis un moment, Cara avait réalisé de petite mission d’exploration qui n’avait pas fait trop de grabuge. Pour une fois cela avait été des missions sans que tout dégénèrent. La seule ombre c’est que son coéquipier de toujours était parti en congé sabbatique et Anthony Lang ne risquait pas de revenir avant très longtemps. Cara se demanda si cela n’était pas en rapport avec sa relation avec Julia. La loi de non-fraternisation y était peut être pour quelque chose. De toute façon qui était-elle pour juger les choix de son ex-coéquipier, grâce à ça elle avait été balloté d’équipe en équipe et montré ses capacités de profiler et de soldat de terrain avec brio. De plus sa relation avec Alek avait évolué, tellement que lorsqu’elle avait été appelé pour cette mission, au lieu de les envoyer chez le père, ses enfants étaient au près d’Alek.

Quand elle arriva dans la salle de briefing elle fut ravie de voir des têtes qu’elles connaissaient. Mais voir ces têtes voulait dire aussi une chose, une mission qui allait être pas de tout repos. La vidéo qui passa ne fit que confirmer la chose, bien sûr ce n’était pas la première fois qu’une tête de serpent clamait haut et fort qu’ils allaient tous mourir ou encore qu’ils allaient être réduit en esclavage par un psychopathe ayant un gros complexe d’infériorité. La lumière se ralluma à la fin de la vidéo. Le briefing allait réellement commencer, Cara se concentra alors. Ce fut un envoyé du Pentagone qui ouvrit le bal.

« Encore Zipacna », pensa Cara. Cette mission remontait à loin mais en même temps pas assez.

Elle avait été blessé en plein milieu de la mission et n’avait pu l’achevé avec ces camarades. C’est suite à cette même mission que son équipier, et supérieur, avait décidé de prendre congé du SGC. Le major distribua un dossier et Cara l’ouvrit rapidement pour le lire en diagonale. Elle se souvint d’un de ses collègues du FBI qui avait la capacité de lire très rapidement, mais vraiment très rapidement. Cette capacité avait souvent été utile lors de mission à la poursuite d’un serial-killer. Il lui avait ensuite aidé à trouver une méthode pour qu’elle puisse faire la même chose.

Elle arriva à la troisième page indiquée par le major. Les symboles représentaient ici faisaient penser à une combinaison ou à une adresse, cela se confirma avec l’explication du major. Mais quand elle entendit le nombre de possibilité pour les adresses, elle se demanda comment ils allaient s’en sortir. Même quand il réduisit à quinze adresses, Cara restait dubitative devant ces nouvelles. Si, comme à chaque fois, la Terre risquait de se faire attaquer. Envoyer quinze équipes vérifier chacune de ces planètes seraient beaucoup trop long. Il devait y avoir une autre solution, comme quand elle regardait les indices lors d’une enquête, il y a toujours une ligne conductrice, un lien logique…

Le docteur Anderson avait dû penser la même chose car, le major expliqua qu’il avait trouvé quelque chose. Au lieu de se triturai les méninges, elles auraient tout simplement dû tourner les pages. Parfois elle ne voyait pas au-delà du bout de son nez. En observa la page, elle admira Anderson, c’était un très bon rapprochement et surtout le plus logique.

La major continua, en clair cela se résumé à confrontation assurée avec Anubis sans renfort. La routine au SGC, cette pensée fit sourire la jeune femme. Une grosse boîte arriva, Cara se redressa pour mieux voir. Quand celle-ci s’ouvrit, plusieurs nouveaux joujoux pour militaires s’y trouvaient à l’intérieur. Comme une enfant le matin de noël le regard de Cara s’illumina. Quand le major proposa une démonstration. Elle failli sauter sur place en tapant des mains et en disant « une démo, une démo, une démo ».


« Cool ! », ne pu s’empêcher de murmurer Cara juste après la démonstration du nouveau P-90.
Elle laissa passa Fett pour le premier essai. Ne jamais se mettre entre lui et une nouvelle arme. Quand elle l’eut enfin dans la main, elle l’a soupesa tout d’abord. Même poid qu’un P90 normal, peut être un peu plus léger. Le viseur avait été amélioré. Elle se plaça et tira. Moins de recul aussi. Elle passa l’arme au suivant.


« Très bon boulot, j’ai hâte de voir ce que cela donne sur le terrain », déclara-t-elle.

Le briefing se termina sur cette démonstration et elle suivit le mouvement jusqu’au vestiaire. Etant la seule femme, elle se retrouva séparer du groupe, mais avant d’entrer dans son vestiaire elle entendit la raillerie. Pauvre Anderson pensa-t-elle. Elle passa la tête dans le vestiaire des hommes se fichant des remarques et lança :

« Ne vous en faite pas Anderson, avec moi vous ne risquerez rien, je ne risque pas de jouer les gros bras en me lançant dans une attaques sans oublier les scientifiques qui nous sauve souvent la mise ».

Elle retourna dans le vestiaire sans attendre la moindre remarque des autres. Elle fit son paquetage avec tout l’attirail nécessaire. Mais surtout le couteau de combat. Elle devait toujours en avoir un et en cacha même un dans son gilet. Une fois prête, elle sortie. Elle passa de nouveau la tête et cria :

« Ensuite on dit que c’est les femmes qui mettent du temps à se préparer… »

Tout le monde se rassembla dans la salle d’embarquement et Cara regarda la porte tournée et s’activée. Comme à chaque fois un petit frisson parcouru son dos. Elle passa la porte avec le sourire après l’ordre de Fett. Deux villageois les « attendaient », enfin pas vraiment car ils durent surpris de leur arriver. Cara baissa le canon de son arme, valait mieux pas les effrayer. Cara suivit le mouvement, les deux villageois montraient le chemin et un groupe restait pour surveiller la porte. Sur le chemin Cara observa le paysage, cela lui faisait pensée à un mélange de moyen âge et de renaissance.

« Le paysage me fait penser à Game of Thrones, j’espère qu’on ne va pas avoir nos têtes sur des pics », chuchota-t-elle.

Cara remarqua les deux épéistes les observant, les militaires d’ici en gros. Pas très agressif mais montrant quand même de l’assurance s’ils devaient défendre leurs maisons. Elle tourna la tête quand elle entendit son nom et se trouva face à Josh. Elle devait faire un rapport en cas de comportement suspect.

« Oui le profiler c’est bien moi. Pour le moment je ne vois d’anormale. Si je veux vraiment être efficace il va falloir que je parle avec les villageois ».

Parler avec les personnes et voir comment ils éludent ou pas une question est souvent beaucoup plus révélateur qu’un interrogatoire. Des personnes en otages ou menacées ont des attitudes faciales ou encore gestuelle bien défini. Quand ils arrivèrent sur la place du marché, une trentaine de personnes arriva, Cara se concentra alors plus sur les mouvements de foules et toutes les choses qui vont avec pour déceler la chose qui n’allait. Elle vit un homme à un moment semblant fuir le regard des autres, mais elle comprit rapidement qu’en faite il fuyait sa femme pour aller dans les bras de la jolie rouquine au sourire un peu trop charmeur. Elle rigola et suivit les autres vers le manoir, elle écouta qu’à moitié ce que disait l’homme et se rapprocha de l’un de ses supérieurs pour lui demander quelque chose, le colonel Fett étant légèrement occupé.

« Lieutenant Reynolds, je serais beaucoup plus efficace sur la place du marché à discuter avec les villageois pour voir s’il n’y a pas anguille sous roche. Ai-je votre approbation ? »
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Leon Smith
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MessageSujet: Re: MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing)   MS – SGZ ■ « Ab ante », Première partie (briefing) No_new1021.03.15 17:17

Etre convoqué à un briefing faisait toujours naître une sensation particulière au fond de lui. Même s’il commençait à avoir l’habitude, il avait à chaque fois l’impression de vivre sa toute première mission pour le SGC, comme un nouveau départ sur un nouveau monde, avec une nouvelle culture. Mais ces derniers temps, pour Léon Smith, les briefings s’étaient surtout transformés en réunion tactique de combat pour l’unité des Black Eagles et il avait peu souvent pris part à de simples missions d’exploration. Eliminer une cible dangereuse, il en avait fait son métier. Mais après la mission d’infiltration sur le vaisseau mère de Sok’ar, il ne crachait pas sur un moment de répit où il pourrait effectuer un autre type de mission, plus tranquille, qui demandait moins de coups de feu, moins de cris… moins de morts. Il mettait donc tous ses espoirs dans ce briefing, sachant très bien que cette fois-ci, il allait être déplacé pour une mission qui ne concernait pas les Black Eagles.

Malgré tout, il trouva un membre de cette unité en la personne du Colonel Boba Fett. C’était une bonne nouvelle, Smith avait vécu plusieurs opex avec son supérieur et il appréciait aussi bien l’homme que le militaire. Mais si Fett était resté un officier solide et respecté de tous, on ne pouvait pas ignorer qu’au bout de toutes ces années de bons et loyaux services, il avait perdu de sa motivation et luttait contre un quotidien pesant, assez morbide, lui qui avait connu et vu tant de frères d’armes tomber sous le feu ennemi. En le saluant dans la salle de briefing,  Smith pouvait voir dans ses yeux, dans ses traits fatigués et tirés, une once de résignation et d’abandon, toute étincelle de passion, de joie de vivre et d’accomplir ce métier, s’en était allé de cet homme pas si vieux que ça vu son grade, mais qui avait déjà connu tant de choses ici… C’était un homme d’une ancienne époque. Probablement un jeunot quand il était arrivé au SGC avec O’Neill. Il s’était construit ici une belle histoire et une magnifique expérience. Mais renouveler ça au fur et à mesure des années, recréer des liens pour remplacer les amitiés perdues, retrouver l’énergie nécessaire, parfois son humanité après certaines missions ayant tournées au massacre… Toutes ces épreuves demandaient une énergie qui dépassait l’homme. Une énergie, une jeunesse même, qu’il avait transportée en lui pendant des années mais qu’il ne retrouverait probablement plus jamais. Mais cet homme faisait partie de la branche principale avec O’Neill et les voir tous les deux là aujourd’hui était une très bonne chose. Le regard que Léon avait envers ces deux-là débordait de respect.

Il y avait aussi Mallory, qu’il avait appris à connaître et qui avait eu "la chance" de participer à cette fameuse mission contre Sok’ar, alors qu’elle n’était pas un membre des Black Eables, tout comme Anthony Lang. Mais pour ce dernier, Smith avait appris que l’officier était parti de la base. Une mutation, d’après les rumeurs. Mais sans en savoir plus. Une grande perte pour le SGC, indéniablement.
Et puis étaient présents dans la salle d’autres officiers et soldats qu’il ne connaissait pas mais dont il avait déjà vu les visages dans les couloirs, pour certains. Tapotant des doigts sur la table, l’anglais se demanda ce qu’ils attendaient quand quelques minutes plus tard, le responsable des scientifiques arriva en trombe par les escaliers.


*Je croyais que le retard des blouses blanches à chaque réunion était un mythe, un cliché… Mais non, en fait… C’est bien vrai… Flippant, quand même. Peut-être que cet homme nous fera tous tuer… A garder à l’œil s’il vient avec nous*

En tout cas, vu tout le monde assis autour de la table, cela devait être une belle mission en perspective. Mais pas une simple mission d’exploration non plus. Se balader la fleur au fusil dans de belles prairies vertes, ce n’était pas pour aujourd’hui. Et sagement, ils regardèrent la vidéo lancée par un Major envoyé du Pentagone spécialement pour l’occasion.

La vidéo qui suivit ne fit ni chaud ni froid à Léon, qui attendit les explications. Elles furent claires, précises et fort heureusement, épargnées des longs discours théoriques et remplis d’autocongratulation du docteur Anderson. Les objectifs qui s’en suivirent furent tout aussi concis bien que Smith n’analysait pas vraiment la même situation que ses supérieurs. Si le prisonnier avait donné le nom de ces deux planètes, ce n’était pas pour leur importance mais parce qu’elles proposaient des choses encore bien pires que les autres ! C’était une évidence et l’anglais sentait le piège à plein nez. Mais comme personne ne broncha et vu qu’il commençait à avoir l’habitude des mauvais plans, il acquiesça comme tout le monde et se leva pour aller se préparer.


« Il faut empêcher coûte que coûte Anubis d’acquérir ce qui se trouve là-bas. Mais si vous pouvez mettre la main dessus… ça nous arrangerait. Si vous n’avez pas de question, je vous souhaite bon courage, et bonne chance. »

« Mouais, s’il y a bien quelque chose là-bas, hormis deux-trois cailloux… »

Smith n’y croyait vraiment pas et se voyait bien finir sa journée dans une geôle, pris au piège, ou revenir bredouille au SGC avec un Anderson réclamant plus de temps de recherche. Mais la bonne nouvelle, c’était la sortie du complément d’armement permettant, en théorie, de liquider un guerrier Kull en seulement deux tirs… Cette possibilité renversait le rapport de force. Les Kulls… ces monstres robotiques qui avaient tués tant d’hommes et de femmes du SGC. C’étaient des abominations et s’il pouvait avoir l’opportunité d’en buter un ou deux sur cette fichue planète, il ne s’en priverait pas !

« Vous êtes sûr que ça s’adapte à n’importe quelle arme, ce truc ? » Dit-il en manipulant dans ses doigts la nouvelle cellule d’énergie implantée dans un matériau, qui lui-même venait s’emboîter à l’avant du P90, à ce qu’il avait pu voir.

« Oui, bien sûr. » Répondit le Major Bartlett. « n’importe quelle arme sauf les explosifs, les snipers, les armes lourdes comme les bazooka… »

Smith releva la tête et bloqua sur l’homme.

« Non ? C’est vrai ? »

Léon ne s’attarda pas suffisamment longtemps, n’ayant pas envie de rester sur le carreau pour s’être payé la tête d’un officier.  Il suivit les autres pour se rendre à l’armurerie et de là, il s’équipa comme il se devait avec deux Beretta, des chargeurs, des grenades, son béret, un couteau simple et petit en complémentarité de son poignard fétiche reçu chez les SAS au royaume de sa majesté, dont la lame mesurait pas moins de 30cm. Une fois tout l’équipement (nourritures et outils) de survie sur lui et rangé dans les poches de son gilet tactique, il s’empara de son arme principale : un M16 avec viseur, laser et tube à grenade intégré. Il était chargé tout en gardant un poids et une stabilité raisonnable qui lui ferait garder sa rapidité de mouvement, chose essentielle quand on était éclaireur de spécialité.

Le départ par la porte des étoiles fut une nouvelle fois une épreuve incroyable. Bien que Smith ne comprenait toujours rien à comment ça pouvait fonctionner, il se jeta cœur et â(r)me dans le fameux "horizon des évènements".

De l’autre côté, à l’autre bout de la galaxie, bien loin de son île adorée qu’était l’Angleterre, il arriva sur un monde…peuplé ! Première surprise pour celui qui pensait tomber sur une planète et une civilisation dévastée, abandonnée par les âges. Il campa sur sa position, arme semi-levée, observant les autres terriens dialoguer avec le comité d’accueil.
En tout cas, le peuple présent ne semblait pas très avancé technologiquement. Une équipe pris la décision de rester près de la porte des étoiles en cas de pépin. L’autre, constituée de Mallory, Anderson, le Lieutenant Reynolds et bien sûr, le Colonel Fett, suivit les villageois. Smith entendit leurs prénoms mais les oublia deux minutes plus tard, possédant une mémoire visuelle ultra développée mais une mémoire auditive assez restreintes, même s’il s’agissait de prénoms hors du commun.
Tout en marchant, Smith s’attendit à atteindre un lieu médiéval, assez pauvre et sous développé, avec un château, un roi, des serfs pour le servir et un clergé tyrannique. Mais bien qu’il ait pu voir une église non loin, la première impression qu’il eut en arrivant au marché fut plus agréable. Il fallait toujours se méfier de ce qu’on voyait. Un homme se présenta à eux et leur serra la main. Smith ne put s’empêcher de partager son étonnement envers le docteur Anderson.


« Cet homme est le maire ? Cette culture serait donc démocratique ? Ou est-ce que le terme de "maire" a une signification déviée de celle que l’on peut connaître. En tout cas, il n’a pas l’air d’être considéré comme un roi… Pas même un seigneur… Etrange pour une civilisation aux apparences féodales. »

Il réfléchissait plus pour lui-même qu’il ne parlait au scientifique, et d’ailleurs, quand il se rendit compte qu’il ouvrait la brèche vers une longue conversation avec Anderson, il s’éclipsa rapidement, faisant mine d’avancer et de regarder ailleurs.

Ils furent amenés tout naturellement vers la mairie et Léon fut plus occupé à surveiller les alentours qu’à s’attarder sur tous les gens qui s’attroupaient autour d’eux. Il n’aimait pas être ainsi à découvert, sous le feu des projecteurs. A l’intérieur du bâtiment, ils purent visiter l’édifice et tomber sur une fresque murale et historique, illustrant les moments forts de l’histoire de ce peuple. Cela était une preuve de curiosité, de patrimoine, de respect, de culture… et donc, peut-être, de paix. Mais il fallait vraiment se méfier des apparences, surtout quand tout semblait aller parfaitement bien et était trop beau pour être vrai. C’était l’expérience qui parlait…


« Comme je le disais à d’autres hier, l’art, l’architecture, le culte de la connaissance… Tout cela, c’est eux qui nous l’ont transmis. Nous avons hérité d’un esprit, et d’une passion pour le Savoir. Ça, c’est important ; n’êtes-vous pas d’accord ? »

Smith fit une moue admirative devant une telle ouverture d’esprit. Nul doute que ces gens étaient habités d’une générosité naturelle, comme le prouvait leur accueil spontané et chaleureux alors que les terriens avaient débarqué armés jusqu’aux dents.
Cela sentait encore plus le plan pourri, le piège.


- Euh… excusez-moi mais… quels "autres" ? Si ce n'est pas indiscret.

L’anglais haussa un sourcil attestant le fait qu’Anderson avait mis le doigt sur quelque chose. Au début, il n’avait pas fait gaffe, en pensant que par "autre", le maire parlait sûrement de jeunes enfants du village à qui il fallait apprendre la vie et l’histoire d’une civilisation. Mais ce mot pouvait aussi bien correspondre à d’autres voyageurs venus par la porte des étoiles. Et cette hypothèse, cette interrogation, faisait prendre une toute autre dimension à cette mission.

« Y a-t-il eu d’autres voyageurs de la Porte des étoiles, ces temps-ci ? »

Il ne fallait laisser aucune chose au hasard, aucune question en suspens. Léon regarda tout autour d’eux à la recherche d’un quelconque piège, d’intrus ou de présence de guerriers d’Anubis. En reculant, il entendit la question de Cara pour Reynolds. Si l’officier acceptait, Léon souhaitait aussi retourner à l’extérieur.

« Permission de sortir avec Mallory. » Fit le soldat à son lieutenant avant de rajouter : « Afin de déterminer les intentions de nos hôtes et d’attester de la sécurité des lieux alentours. »

Léon se voyait déjà parler aux habitants avec Mallory, mais aussi prendre de la hauteur sur les collines alentours, avoir une vision globale du village, de ce qui pouvait l’entourer et déterminer s’il y avait des troupes ou une une base ennemie dans le périmètre. Il n’attendait que la permission pour se détacher du groupe et faire son travail.
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