Des excuses avant tout [ Pv Franz ]

Sujet: Des excuses avant tout [ Pv Franz ] 31.05.12 17:05

Voila maintenant près de deux semaines que j'évitais, par tout les moyens, de ne pas tomber sur Franz. S'il venait me voir à l'infirmerie, je passais le mot aux réceptionnistes pour qu'elle dise que j'étais en pleine consultation, je m'arrangeais pour ne pas être à la même heure au mess ou à la salle d'entrainement. Bref, un bon deux semaines où nous n'avions pas eu trop trop de communication, mais c'était de ma faute. J'avais disjonctée en revenant de mission et j'avais honte de mon comportement envers lui. Je devais lui présenter mes excuses pour tout cela... tout était de ma faute ...

Après mon service, je quittai l'infirmerie pour aller prendre aux vestiaires et me remettre les idées en place. Que devait-il penser de moi, de mon comportement ? Oui j'étais fautive dans tout cela, mais est-ce qu'il serait prêt à me pardonner pour l'avoir tant évité ? Je voulais le savoir et je voulais aussi m'expliquer avec lui. Aussitôt ce brin de toilette fait, je revêtis mon uniforme pour déambuler dans les couloirs aussi tardivement. Il était près de minuit, il ne devait pas y avoir tant de monde que ça d'éveiller à part ceux qui faisaient leurs rondes.

Arrivée à la croisée entre le couloir qui menait aux quartiers des femmes et celui qui menait aux quartiers des hommes, j'empruntais ce dernier puis trouva facilement celle de Franz et y entrai doucement. J'avais accès à ses appartements comme il avait accès aux miens. Lorsque j'ouvris, la pièce était dans la pénombre et silencieuse, il dormait.

Mais ce n'était pas grave. Je refermais doucement derrière moi et faisant le moins de bruit possible, j'allai à la commode qui se trouvait dans la pièce. Il m'avait donné un tiroir, comme moi je lui en avait donné un dans mes quartiers. Je revêtis donc une simple chemise de nuit puis me glissai doucement contre lui, faisant attention de ne pas le réveiller. Posant ma tête contre son torse, je sentis le bonheur m'envahir. Voila deux semaine que je ne m'étais pas senti bien comme cela ! ....

Arrivé au SGC : 30/05/2011

J’avais passé presque deux semaines à chercher Alicia, partout où j’allais elle me fuyait. Je commençais à prendre peur et me demander si j’avais fait quelque chose de mal. Mais je ne pensais pas avoir raté quelque chose, cela devait être encore à cause de la disparition de sa sœur. Je pouvais la comprendre, aussi depuis quelques jours je n’essayais plus de la chercher, elle savait où me trouver et avais les clés de chez moi dans le cas où elle voulait venir.. Et puis j’avais beaucoup à faire donc je pouvais m’occuper en attendant.

La journée venait de prendre fin et je l’avais passé à faire des travaux dans mon chalet. J’avais enfin eu le temps d’installer ce petit jardin japonais que j’aimais tant. Il était installé dans la cour intérieure juste entre ma chambre et la cuisine. Les travaux avait duré presqu’un mois et j’avais fait venir un entrepreneur local pour remettre à niveau les cloisons et installer une espèce de toit pour la cour intérieure en bois. Cela m’avait coûté un bras mais j’étais content du résultat, j’avais même aidé la construction car cela m’intéressais beaucoup et puis cela permettait d’aller beaucoup plus vite. Heureusement que ce gars était le petit fils d’une amie à ma colloc’, j’avais pu faire des économies. Cela lui faisait bizarre de voir sa maison transformer, mais comme elle sentait la fin venir, elle m’avait autorisé à le faire… Cela me ferait de la peine de la voir partir… Je l’aimais bien cette bonne femme.

Me voila donc dans mes quartiers, presque à dormir quand j’entendis un bruit dans la porte. Quelqu’un entra, vu qu’il avait les clés ce ne pouvait être qu’Alicia, était-elle enfin de retour ? Oui car je l’entendis fouiller dans le placard et se changer. Ne sachant pas trop quoi faire je décidai de ne pas bouger pour attendre la suite…

Quand finalement je la vis venir vers moi et se coller contre moi je m’éveillais complètement…

Hou la mignonette petite squatteuse. Tu m’a manqué…

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Hou la mignonette petite squatteuse. Tu m’a manqué…

J'eus un petit sursaut, pensant qu'il dormait, mais je me rendis compte que je devais l'avoir réveillé ! Encore une chose que j'avais fait de travers cette semaine ! Décidément, je ne faisais plus rien comme tout le monde !

Je suis désolée de t'avoir réveillé ...Toi aussi tu m'a manqué, c'est pour cela que je voulais dormir dans tes bras ce soir ...

Il devait m'en vouloir, j'aurais aimé savoir ce qu'il pensait de moi en ce moment, mais savoir la vérité m'aurais peut-être trop fait mal. Je posai un baiser sur ses lèvres et réalisai que cela faisait bientot deux semaines que je ne lui avait adressé que très peu la parole ou bien que je n'avais pas été dans ses bras. Deux semaines, mais cela avait semblé être une éternité.

Je te dois des excuses, j'imagine ... J'ai pas été très présente ces dernières semaines. Je ne t'ai pas fait confiance et je me rends compte que j'ai nuis à notre relation. Il faut être là l'un pour l'autre dans ce genre de situation et moi j'ai préféré faire l'indépendante plutôt que de ... plutôt que de me laisser réconforter ...

Je le serrais un peu plus contre moi. Je m'étais ennuyée de cette proximité, de ces étreintes qui me faisaient tant de bien.
Ma tête posée sur son torse, je pouvais écouter les battements de son coeur. Ca aussi, ca m'avait terriblement manqué.

Tu me pardonnes ?

Arrivé au SGC : 30/05/2011

J'écoutais la jeune femme parler et je dois avouer que pendant un court instant je me suis demandé si je ne devais pas la faire un peu poiroter pour lui montrer que cela m'avais fait souffrir tout de même. Mais en la voyant je fini par rapidement changer d'avis car je ne pouvais pas lui en vouloir, elle allait mal en ce moment et je ne pensais pas qu'elle allait beaucoup mieux mais bon... Bon en tout cas elle voulait savoir si je lui en voulait ... Mais en la voyant comment pouvais je lui dire oui je t'en veux ? Non c'était tout à fait impossible... Alors je ne pu que la prendre dans mes bras et attendre qu'elle se calme, elle n'était pas venu ici pour que l'on se prenne la tête...

Je lui souris et caressa sa joue.

Bien sur que non je ne t'en veux pas, comment pourrais je t'en vouloir aussi ? Tu n'a strictement rien fait de mal et je comprend parfaitement ta réaction par rapport à la perte de ta soeur. Mais en tout cas je reste convaincu qu'on la retrouvera en vie.... Tu verra....

Oui je le pensais vraiment, de toute façon on ne pouvait que la retrouver puisqu'elle ne pouvait pas mourir, c'était tout à fait impossible. Je l'embrassa un peu avant de m'allonger sur le dos et de la regarder. Elle était belle cette petite infirmière, pas si petite que cela mais tout même. Elle avait prouver son courage et sa volonté au cours des dernières missions. J'avais confiance en les membres du SGC et en ses capacités, mais devant la puissance et la non-humanité des jaffas et des Goa'ulds.... On ne pouvait que s'inquiéter....

Il faudra que tu fasse attention la prochaine fois que tu partira en mission... Les jaffas et les Goa'ulds redoublent de violence et d'action contre nous et d'autres peuples alors bon... J'aimerais pas qu'un jour tu te prenne une boule d'énergie perdue;....

Enfin après je ne veux pas t'interdire de prendre la porte pour aller en mission, mais fait attention.... On a assez de perte comme cela... Dis je en lui caressant la main...

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Je savais que je ne lui avait fait aucun bien, comme à moins d'ailleurs, mais il ne voulait pas me le dire. Il ne voulait pas me tenir responsable de mon comportant et pourtant je l'étais. Comment pouvait-il passer par-dessus tout cela ? J'avais été odieuse avec lui, je m'étais réfugiée en moi, je l'avais éjecté de ma bulle simplement parce que je n'acceptais pas de savoir ma soeur morte.

C'est moi qui est en faute dans toute cette histoire. On bâtit depuis maintenant une relation que nous voulons faire durer et à la première occasion, je gâche tout. Je ne voulais t'impliquer dans cela parce que je savais que tu aurais probablement très mal, mais je crois que je t'en ai fait tout de même en t'ignorant.

Mais déjà qu'il me laissait venir dormir à ses côtés étaient un signe qu'il devait me pardonner un tantinet. J'avais perdu on sang froid et mon "self-control" tout cela parce que je n'avais pas su faire un détachement dans mon boulot et ma vie personnelle.

Puis, il me demanda d'être prudente en mission, cela montrait qu'il connaissait le mauvais coté en moi

Ne ... ne t'inquiète pas ... je ne vais pas en faire quelque chose de personnelle et ne désobéirai pas aux ordres pour organiser ma propre vendetta. Je ne ferai rien de stupide.

J'hésitai un peu à me coller contre lui, alors qu'il s'allongeait sur le dos, puis pris la décision de ne rien faire. Il m'ouvrirait les bras s'il voulait que je sois près de lui, mais une chose était certaine, mon coeur était près de lui ..

Deux semaines sans toi, c'était l'enfer, je ne peux pas continuer comme cela. Il n'y a rien de plus important pour moi que de devenir ta femme, mais je dois d'abord commencer par gagner ta confiance et ton réconfort ... Je ne veux pas te rendre malheureux, et c'est pourtant ce que j'ai l'impression de faire depuis ces dernières semaines ....

Je n'avais pas d'autre choix que de lui avouer ce que je ressentais et surtout, lui exposer mes torts que je reconnaissais.

Je ne veux pas te perdre ... j'ai déjà perdu trop ...

Arrivé au SGC : 30/05/2011

La jeune femme semblait triste, je ne savais pas trop en penser... J’essayais de faire ce qu'il fallait pour la réconforter mais elle ne semblait pas aller mieux depuis la fois où elle avait appris la disparition de sa sœur. Je savais parfaitement qu'elle n'arriverait pas à faire son deuil seule, j'étais là pour cela, nous étions là pour cela... Alors qu'elle me parlait j’essayais de voir ce que je pouvais faire pour la réconforter, elle semblait avoir comprit que je ne voulais pas qu'elle se fasse mal durant les missions.... Ni même qu'elle se fasse tuer ou capturer.... Ce serrait de la folie si cela arrivait un jour.... Nous avions déjà perdu trop de monde en mission ces derniers temps..... Et je ne pouvais pas me permettre de perdre Alicia... C'était hors de question....

Je pris la main d'Alicia et l'attira vers moi tandis qu'elle finissait de me parler... Je la pris longuement dans mes bras pour lui faire comprendre que jamais plus je ne la laisserais me quitter ou se faire du mal. Je serais toujours là pour elle et pourra toujours compter sur moi... Voila ce que je voulais qu'elle comprenne.

Il ne faut pas que tu t'inquiète mon amour... Je resterais toujours là pour toi et je t'aiderais à aller mieux... Tu sais mon petit cœur, je ne pourrais pas me passer de toi et je ne sais pas quoi faire pour être parfait et pouvoir faire le maximum dans ce genre de situation. Ce qui est sur c'est que je resterais toujours à tes côtés et que je ne t'en veux pas d'avoir réagit de cette manière...

Tu sais il y avait beaucoup de mes amis avec ta soeur, et je pense honnêtement qu'elle est encore en vie quelque part. Il nous reste encore énormément de chose à faire avant d'aller plus loin dans notre relation, je sais ce que je veux, mais je ne veux pas te forcer la main. Alors je vais te laisser le temps pour réfléchir à notre engagement et si tu le veux toujours on se mariera quand tu le voudra.

Je laissais le temps à la jeune femme de comprendre ce que je venais de lui dire car cela allait être important pour notre futur commun, mais je voulais aussi qu'elle comprenne que jamais je ne l'abandonnerais, que je serais toujours là pour elle... Je la serra fort contre moi et sentis les battements de son cœur...

Maintenant laisse moi profiter de toi... Cela fait tellement longtemps que voulais t'avoir dans mes bras que maintenant que tu es là j'aimerais en profiter... D'autant qu'un petit câlin avec ma chérie ça fait toujours du bien non ?

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Lorsqu'il m'attira vers lui et que je sentis à nouveau cette proximité qui m'avait tant manquée, ce fut comme un apaisement. J'étais certaine qu'il aurait mis du temps à me pardonner, mais il se montrait compréhensif, il comprenait ce que j'avais pu ressentir en perdant ma soeur. Il le savait lui aussi, il était passé par là et pourtant, il continuait de vivre une vie normale et de plus en plus sereine. Depuis que je le connaissais, il avait fait beaucoup de pas dans la bonne direction, mais moi, je m'étais souvent prise les pieds.

Franz ... tu n'as rien à te reprocher. Tu as tout fait et je le sais. Je ne peux pas t'en vouloir pour cela, j'aurais dû être plus réceptive à l'aide que tu me donnais. J'ai pris la mauvaise décision en voulant régler cela moi-même et maintenant, j'en paie le prix et je te l'ai fait payer aussi ...

Puis, quand il dit ne pas croire que Julia était morte et que lui aussi avait des amis dans les soldats disparus, je compris que non seulement j'avais été, disons-le, sauvage de m'éloigner de lui, mais aussi égoïste en ne pensant que seul moi souffrait entre nous deux.

Je suis soulagée de savoir que je peux avoir foi en ton espérance, parce que mon coeur, lui, ne veut plus espérer, il a trop mal.

Pour lorsqu'il souleva la question du mariage, je me sentis un peu mal à l'aise, mais il ne devait pas s'en faire pour ca.

Je sais, je n'ai pas consacré beaucoup de temps à penser à cela, mais maintenant, je vais le faire parce que je ne te laisserai pas tranquille, je serai ta femme. Mais prenons un peu de temps pour mettre les choses en ordre. Comme par exemple, allez en Allemagne pour régler cette histoire et bien s'établir dans notre couple. Mais avant la fin de cette année, je serai ta femme, ne t'en fais pas.

Dans ses bras, je me sentis tellement bien et ma tête posée sur son épaule, je sentis une pression énorme tomber.

Profites en comme tu veux, parce que maintenant je ne te quittes pas d'un poil. Tu m'as tellement manqué et c'est tellement mieux dans tes bras, bien au chaud que seule dans le froid.

Oui, sa peau etait douce et chaude, ce qui était réconfortant pour moi qui était gelée à cause de toute cette fatigue.

J'ai une chance inouie de t'avoir, Franz ... Je n'échangerais ma place pour rien au monde ...

Arrivé au SGC : 30/05/2011

Je l'écoutais me parler et au plus elle me parlait au plus je comprenais que nous avions un nouveau point en commun... Mais j'aurais largement préféré m'en passer de ce point en commun, car il s'agissait du fait que nous avions perdu tout les deux un membre cher à notre coeur. Elle sa soeur, moi tout ma famille. Mais l'état psychologique qu'elle avait eu avait été le même que le mien. Seule différence ? J'avais été dans cet état pendant environ moins d'une dizaine d'années, peut être plus... Et c'était elle qui m'en avait sortie et c'était à moi de l'en sortir, alors quand j'avais eu l'occasion je l'avais saisie et j'avais tout fait pour l'en sortir.

Et bien tu sais ma chérie tu n'as pas pris de mauvaise décision, tu as pris une décision et j'ai respecté ton choix et aujourd'hui je suis là pour t'aider à aller de l'avant et te sortir de ton état. Tu ne me fais pas payer de prix, je l'ai déjà payer avec les miens j'étais là pour toi et je n'ai pas voulu te faire du mal ni t'envahir. Maintenant tu me semble perceptive à ce que je voulais faire pour toi. Donc ne t'inquiète pas ma petite chérie, quand à ta soeur je farde toujours l'espoir de la revoir un jour alors courage et n'abandonne jamais ok ?

Je voulais savoir plus sur sa réaction, j'allais être servis sous peu alors je m'installais tranquillement et attendis de voir sa réaction. Mais quand elle se mit à me parler des affaires en cours je e pu que sourire.

Tu sais il ne faut pas que tu t'inquiète pour ça. Si je t'en ai parler c'était pour changer de sujet d'autant plus que je ne suis pas pressé, il y a beaucoup à faire et nous avons beaucoup à faire avant de passer la porte et sauter la pas. Donc nous devons aller à Munich mais pour le moment j'ai encore du temps, le commissaire m'a rappelé il y a quelques jours pour discuter de certains points. Mais ayant eu mon ancien toubib j'ai compris qu'il n'y avais rien de pressant pour le moment alors bon...

Je pris sa main et l'écouta me parler... Je savais et comprenais ce qu'elle me disait, il y avait beaucoup à faire... Mais je savais qu'ensemble on allait pouvoir traverser tous les obstacles... Alors en attendant les jours malheureux pourquoi ne pas profiter de l'instant présent ? Je ne voyais aucune raison de ne pas profiter de la jeune femme...

Ha bha j'espère bien que tu veux pas échanger ta place, parce que bon... Je ferais comment sans toi sinon ? Alors bon, courage viens donc me faire un calin...

Je tendais mes mains et attendais la jeune femme d'un pied ferme mais détendu...

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Son invitation à aller dans ses bras, je ne la refusais pas et il n'avait pas besoin de l'offrir une deuxième fois. Je me blottis contre lui, allant l'embrasser comme s'il y avait des mois voire des années que l'on ne s'était pas vu tout les deux. J'avais besoin de cette force, de cet apaisement, il était la chose dont j'avais besoin maintenant. Après un baiser de plusieurs minutes, je posai la tête contre son épaule, reprenant mon souffle. Je me sentais déjà tellement mieux, mais il faudrait certes du temps pour que j'aille bien au maximum.

Tu ne sais pas combien tes paroles me font du bien. Parce que sans toi, je ne serais pas où je serais rendue ... Et puis, je suis contente de savoir que tu espères son retour, parce que pour moi, c'est difficile d'avoir encore espoir. Je veux y croire, mais c'est douloureux ... Tant que je serai avec toi, je ne pourrais pas abandonner parce que je sens que tu seras toujours là pour me retenir si je tombe. Et je te remercie pour cela.

Il fallait que j'aille de l'avant parce qu'un avenir avec Franz m'attendait et je devais me montrer forte pour mon neveu. On avait beaucoup à faire et même s'il disait ne pas être pressé, il fallait accélérer les choses pour pouvoir en concentrer sur nous deux.

Je sais que tu n'es pas pressé, mais tu vois, quand tout cela sera fait, on pourra enfin vivre notre vie tranquille et paisiblement ... Du moins, le jour où il n'y aura pas un grand maitre Goa'uld qui voudra contrôler la galaxie et asservir tous les peuples....

C'était une petite blague, je lui souris d'ailleurs. Il devait comprendre que paisible, pour nous, c'était fort peu probable avec toutes ces menaces Goa'ulds.

Toujours collée contre lui, je sillonnai ses muscles et ses cicatrices, pensant que je pourrais le perdre n'importe quand lui aussi ... Ahhhh .... quelle vie ....

Tu sais, j'ai reçu un coup de fil de cette vielle chez laquelle tu squattes... Elle dit que je vais marier un vrai homme à tout faire et que les rénos sont superbes !

Je posai un baiser sur ses lèvres. Je savais qu'il était le meilleur et qu'il était juste pour moi. Je ne le partagerais pas pour tout l'or du monde !

Arrivé au SGC : 30/05/2011

J'écoutais ce que me disais la jeune femme, elle me parlait le coeur grand ouvert et me disait que ce que je venais de lui dire la touchait et qu'elles étaient importante pour elle, je pouvais le comprendre car, comme elle, j'avais vécu la même chose qu'elle. C'était une partie qu'elle n'avait jamais connu et que je n'avais qu'à peine effleuré à ses côtés. Je ne voulais pas qu'elle sombre dans les limbes qu'avaient étés ma vie durant mes jeunes années avant mon voyage initiatique en Afrique et au moyen orient où j'avais réaliser ma thèse de fin d'étude. Etude que j'avais fini avec un an d'avance du fait de ma motivation à travailler mais aussi du fait que je n'avais que cela à faire.

Je me rappelle encore de cette époque où la seule chose qui me poussait à me lever le matin était l'odeur des livres des archives et les histoires racontés par le bibliothécaire sur la guerre, l'occupation et la séparation entre notre peuple. Étrangement je trouvais en lui une pâle copie de ma famille, lui avait perdu ses enfants durant la guerre et profitait de ses dernières années sur Terre pour partager son immense savoir historique. Mais quand je portais mon regard sur ma vie actuelle je ne pouvais que la trouver bien en tout point. J'avais un job' qui me plaisait, des responsabilités, des gens avec qui j'aimais bien bosser et une fiancée que j'aimais... Alors que demander de plus ?

Je tenais Alicia contre moi et l'écoutais me parler et je ne pu m’empêcher de rire quand elle me raconta sa petite blague sur les Goa'Ulds, oui en effet sans Goa'Uld notre vie serait meilleure... Bien meilleure.

Oui en effet notre vie serait bien meilleure mais que veux tu, nous avons un travail à réaliser et il nous faudra botter le cul à nos amis d'outre espace. Bon je ne veux pas la jouer au petit soldat, mais ce qu'on fait est bien, c'est pour cela que je ne pense pas pouvoir arrêter un jour... Mais il n'en reste pas moins qu'on devrait divulguer l’existence de notre site à la population mondiale... Mais bon on est pas là pour parler de problème n'est ce pas ?

Quand à ma colloc' tu es gentille tu ne l'embête pas d'autant qu'en plus je ne sais pas si tu le sais mais j'ai participer à quelques menues travaux dans la maison pour la remodeler autour d'une petite cour intérieure dans laquelle se trouve un magnifique petit jardin japonais. Je ne voulais pas faire de photo comme cela tu pourra en profiter et le découvrir de tes yeux quand tu viendra chez moi...

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Mais bon on est pas là pour parler de problème n'est ce pas ?

Je souris, il avait tellement raison. Chaque jours, si l'on peut dire, l'on trouvait un nouveau probleme, un nouvel obstacle alors pourquoi en parler alors que dans ce moment tout était bien. POur les fois où nous pouvions prendre un répit et penser à nous un petit peu. Ce que nous faisions, se fréquenter était une mauvaise chose pour la base, mais l'on gardait nos problemes entre nous et une fois au boulot, l'on devenait de bons collègues capable de travailler comme des professionnels.

C'est vrai. Profitons de ce moment pour être bien ensemble, seulement toi et moi parce que demain matin, on va encore se lever et aller sauver le monde !

D'autant plus que j'étais crevée et il devait l'être aussi après tout ce qu'il avait prit en charge pendant la journée. Un vrai homme à tout faire.

Oui, elle m'a tout raconté comment tu te débrouillais comme un chef avec un marteau ! Mais elle est restée très vague sur les changements, quoique maintenant que tu parles d'un petit jardin japonais, j'ai le gout de le revoir ce chalet.

Je n'avais pas de doute sur les talents de mon homme. Bientot un nouveau chez soi, ce serait étrange, parce que maintenant que Julia n'était plus là, la maison à Colorado Springs semblaient vide d'avenir et pourtant remplis de souvenirs ....

Je suis crevée, Franz et toi aussi tu dois l'être. On ferait bien de dormir pour pour jouer les superhéros demain...

Ce ne fut pas long que je tombai dans les bras de Morphée, le torse de mon homme comme oreiller.

Arrivé au SGC : 19/02/2011

Alicia Becker Johansen :
Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 3/4

Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 2/2

Total 8/10

Franz Scorzi:
Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 3/4

Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 2/2

Total 8/10

Sujet: Re: Des excuses avant tout [ Pv Franz ]