Début de mission et premiers entretiens

Arrivé au SGC : 24/02/2012

J'entrais dans le bureau du lieutenant Dablord, et honnêtement je ne savais pas quoi penser de la décoration de ce bureau, elle semblait vraiment.... Militaire. Ce n'était pas pour me déplaire mais j'aurais préféré quelque chose de plus sobre, de plus en rapport avec quelque chose de plus professionnel quoi. Enfin bref, je m'installa dans la chaise en face du bureau et déposa tout un ensemble de dossier ayant un rapport avec les personnes que je devais voir dans les instants suivants...

J'ouvrais le premier dossier et commença l'étude de la personne à qui appartenait le dossier, j'étudiais le cas d'un certain Millerand Benjamin, un français ayant servit dans la DGSE et ayant rejoint le SGC peu de temps après, effectivement je n'arriverais pas à botenir grand chose de lui, donc il fallait que je commence par un tout autre niveau et par un autre gabarit...

Je continuais de travailler et d'étudier tranquillement et c'est à ce moment là que je suis tombé sur un dossier tout à fait aléchant, Alelsandr Lekaterina. Un officier ayant été muté à l'administration pour des raisons obscures qui n'était pas indiqué dans son dossier, enfin pas totalement indiqué dans son dossier... Bon du moins c'était ce que disait la seule note présente dans son dossier, ce qui en faisait un dossier très vide...

Il font chier à l'administration à jamais donner de dossier complet... Fait chier. En plus c'est un Ruskov.... Bref, passons à un autre et voyons ce que nous avons sous la main.

Je conitnu à farfouiller dans les dossiers, mais la majorité de ceux que je voulais voir avait été bloqué ailleurs sur le seul vaisseau humain que nous avions perdu.... Fait chier, bon tant pis commençons par le commencement. Je pris le premier dossier. Miles Quartich.... Je fini par m’emparer du Microphone présent ici pour convoquer ce cher Miles.

Soldat Quaritch veuillez vous rendre le plus rapidement possible dans le bureau du Lt Dablord, merci

Arrivé au SGC : 02/04/2010

J’étais tranquillement dans mes quartiers à bouquiner un livre sympathique sur la guerre du Vietnam, des témoignages d’ancien soldat qui avait survécue à cette guerre. J’avais un moment de détente a moi et j’allais bien en profiter pour sans aller faire du sport ou cribler de balle de pauvre cible en carton.

Je venais tous juste de m’assoir confortablement dans mon fauteuil en cuir et a commencer le deuxième chapitre du livre que le haut parleur se mi à fonctionner.

Soldat Quaritch veuillez vous rendre le plus rapidement possible dans le bureau du Lt Dablord, merci

« Putain, quesqu’il me veut se con, on peu pas être tranquille dans cette putain de base. »

En posant mon livre sur mon bureau, je pris une dernière gorgée de café et me leva, mi ma chemise et sorti de ma chambre en la boutonnant et en ronchonnant et en étant d’une humeur massacrante avec tous ce que je croisé, soit en les ignorants soit a répondre d’un ton sec.

En prenant l’ascenseur, je me préparer à l’envoyer chier, je savais qu’il n’avait pas apprécié mes insulte et mes menace quand le NID avait pris le contrôle, mais cette petite pute avait retourné sa chemise et moi, les traite, ils me sortent de la tête, surtout quand une demi douzaine de gorille me tombe sur la tête pour me la fracasser.

La porte de l’assesseur s’ouvrit et je me dirigeai vers son bureau, devant sa porte je frappai avec insistance et entra sans sa permission et je ne vis pas Dablord mais un autre mec que je n’avais jamais vu, un mec en costard cravate, putain, encore un trou du cul qui vient me poser des questions, sa commence bien.

Arrivé au SGC : 24/02/2012

J’étudiais l'homme qui venait d'entrer et compris beaucoup de chose par rapport à ce qu'il y avait d'écrit dans son rapport et son dossier. Il semblait de très mauvaise humeur, j'enlevais ma cravate et la place dans mon sac, pas la peine de la jouer formel avec un homme de cette trempe. Je me lève et m'approche de lui pour lui serrer la main, je savais qu'il allait jouer de la force, mais je devais prendre le risque...

Colonel Quartich, du moins c'est votre grade dans les Bérets verts n'est ce pas ? Bien j'avais quelques questions à vous poser à propos de la base, de vos missions, votre parcours et avoir votre opinions sur les personnels de cette base ainsi que la chaine de commandement.

Beaucoup de question beaucoup de question mais que voulez vous les ordres viennent d'en haut.... De tout en haut, et pas du commandant de la base si vous voyez ce que je veux dire.

Je pris place derrière le bureau de Dablord et invita le soldat à s'asseoir face à moi. J'avais fait de la place sur le bureau et avait sortit le dossier de l'homme et l'ouvrait devant lui. Après moult recherches j'avais réussi à tout obtenir concernant l'homme. Vraiment tout. Une grande partie des rapports de missions qu'il avait effectué. C'était un grand soldat, et aujourd'hui il devait être dans son élément...

Mais avant il fallait que je me présente, c'était tout à fait normal.

Mais avant je vais me présenter, je vous connais mais vous non alors ce n'est que la moindre des choses n'est ce pas. Je m'appelle Edgard Roover, responsable du cabinet ayant la responsabilité politique du projet SGC. Mais je ne suis pas un politique, je suis ingénieur industriel de formation et est fait toute ma carrière chez Loocked martin dans la conception et la gestion des chaines de fabrication des appareils militaire de l'Us air force, notament du Black Bird et de bien d'autre.

Maintenant que vous en savez plus sur moi, je vous laisse répondre à mes questions. Ceci est un entretien formel mais parlez avec votre cœur je me fiche totalement des insultes ou autres, dites ce que vous pensez sans restrictions.

Arrivé au SGC : 02/04/2010

L’homme se leva et s’avançai vers moi en me tendant la main.

Colonel Quartich, du moins c'est votre grade dans les Bérets verts n'est ce pas ? Bien j'avais quelques questions à vous poser à propos de la base, de vos missions, votre parcours et avoir votre opinions sur les personnels de cette base ainsi que la chaine de commandement.

Beaucoup de question beaucoup de question mais que voulez vous les ordres viennent d'en haut.... De tout en haut, et pas du commandant de la base si vous voyez ce que je veux dire.

Je lui serais la main en mettant un peu de pression pour une bonne poigné de main virile, il venait de m’appeler par mon vrai grade. Cela faisait une éternité qu’on m’avait pas nommé comme cela et il avait réussi a désamorcer ma mauvaise humeur. Au moins, il n’allait pas me regarder de haut, enfin si il aurait fait cela, je lui aurais fait comprendre et n’aurait jamais recommençais.

« Ouai je vois, mais vous êtes qui ? »

Il se mi a son bureau et avait l’air décontracté, j’avais remarqué mon dossier sur son bureau.

Mais avant je vais me présenter, je vous connais mais vous non alors ce n'est que la moindre des choses n'est ce pas. Je m'appelle Edgard Roover, responsable du cabinet ayant la responsabilité politique du projet SGC. Mais je ne suis pas un politique, je suis ingénieur industriel de formation et est fait toute ma carrière chez Loocked martin dans la conception et la gestion des chaines de fabrication des appareils militaire de l'Us air force, notament du Black Bird et de bien d'autre.

Et bien, il m’a donné son CV en a peu quinze secondes, il est fort lui. Enfin je m’en fout complètement de ce qu’il a fait et a qui il torche les culs, qu’il me pose ces questions et que je puisse aller me reposer un peu par la suite. Je m’installai dans le fauteuil qui était devant moi et me mi a l’aise. Ce qui me manqué c’est une bonne tasse de café.

Maintenant que vous en savez plus sur moi, je vous laisse répondre à mes questions. Ceci est un entretien formel mais parlez avec votre cœur je me fiche totalement des insultes ou autres, dites ce que vous pensez sans restrictions.

« Pas de souci, je ne vais pas faire dans la dentèle, mais avant de commencer, il me faudrait un bon café. »

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Bien entendu, un café.... Bon et bien pourquoi pas, de toute façon j'en voulais un aussi. Je me dirigea vers la machine proche et envoya deux cafés en route, un pour moi, un pour lui. Tout en faisant cela je l'écoutais parler de ce qu'il voulait, c'était un béret mais il n'en restait pas moins un homme n'est ce pas ?

Une fois les cafés fait je lui portais le siens et reprit place à mon bureau avant de relancer la conversation.

Sinon je me suis laissé dire que vous aviez des problèmes avec l'agent de liaison du NID, Mr Dablord. Pourriez vous m'expliquer pourquoi ? Je sais que vous avez eu des problèmes avec le NID et je peux comprendre votre réaction avec cet homme. Mais je ne suis pas là pour vous juger je veux juste comprendre ce qu'il s'est vraiment passé lors de la rébellion qui à couté la vie à quelques personnes je crois....Sans parler du fait que des agents du NID se sont enfui par la porte des étoiles n'est ce pas ?

Arrêtez moi si je me trompe. Je veux juste comprendre pourquoi cela s'est passé ainsi. Je veux comprendre pourquoi ces hommes se sont retrouvé au commandement de cette base.... Mais ce que je veux savoir par dessus tout c'est qu'est ce que vous pensez de Dablord et de la chaine de commandement actuelle....

Ne vous inquiétez pas je ne suis pas là pour évincer le Général O'neil.... Je dois juste faire un compte rendu complet à la direction. Et pour cela je dois passer par vous, les membres des équipes SG....

Arrivé au SGC : 02/04/2010

Il se leva pour aller nous sortir deux cafés, pendant ce temps je commençais à raconter ce que je pensais de la base.

« Ho l’ambiance est sympa par ici, enfin sauf quand je croise des jeunes officier ou sous officier qui veulent faire péter leur grade devant moi, je les remballe direct. Apres tant que je part botter le cul a E.T. sa me va. »

Il me donna mon café et je pris deux sucres et touilla ma tasse et les questions sérieuse débutèrent.

Sinon je me suis laissé dire que vous aviez des problèmes avec l'agent de liaison du NID, Mr Dablord. Pourriez vous m'expliquer pourquoi ? Je sais que vous avez eu des problèmes avec le NID et je peux comprendre votre réaction avec cet homme. Mais je ne suis pas là pour vous juger je veux juste comprendre ce qu'il s'est vraiment passé lors de la rébellion qui à couté la vie à quelques personnes je crois....Sans parler du fait que des agents du NID se sont enfui par la porte des étoiles n'est ce pas ?

« Dablord, je ne peux pas le voir ce mec, il change de camp comme on change de chemise. La première fois que je l’ai vu, il était entouré de cinq gorilles pour m’arrêter, cela faisait même pas une semaine que j’étais arrivé au SGC que j’avais déjà dans une cellule, a mon avis, ils ont voulu m’écarté et me mettre hors d’état de nuire pour que leur rébellion se passe s’en souci, si vous avez pu voir dans mon dossier, j’ai toujours été un électron libre qui pouvais foutre un bordel du feu de dieu. »

Je pris une gorgée de café, qui était très bon, ce n’est pas celui qui est servi au mess.

« Enfin, quand je suis tombé né a né devant lui et ces hommes, il me lança dans la figure que j’étais arrêté pour des conneries, bien sur je me suis pas laissé faire, j’ai explosé la gueule a deux trois des ces larbins avant qu’il me braque mon arme et me tienne en joues. Il a eu de la chance car si je l’avais attrapé il ne serait plus de ce monde. Bien sur je n’ai pu m’empêcher de l’insulter et de le menacer a ce moment la et il n’a pas apprécier et ne l’apprécie pas encore.»

Arrêtez moi si je me trompe. Je veux juste comprendre pourquoi cela s'est passé ainsi. Je veux comprendre pourquoi ces hommes se sont retrouvé au commandement de cette base.... Mais ce que je veux savoir par dessus tout c'est qu'est ce que vous pensez de Dablord et de la chaine de commandement actuelle....

« Dablord suivait les ordres de ce Riedel ou un nom de ce genre et il n’a pas hésité à arrêter d’autre personne et obéissait au ordre comme un petit chien. Et après la fin de la rébellion, il était toujours a son poste sur son trône comme si rien ne s’était passé. »

Ne vous inquiétez pas je ne suis pas là pour évincer le Général O'neil.... Je dois juste faire un compte rendu complet à la direction. Et pour cela je dois passer par vous, les membres des équipes SG....

« Je n’ai rien contre le General O’neil, c’est un héro et un excellant commandant, mais il y a certaine personne qui mérite qu’on cherche dans leur dossier pour fouiller leur passé. »

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Hum, effectivement en écoutant ce que disait Miles je comprenais que la situation avait été plus que tendu, peut être pendant pas très longtemps mais elle l'avait été suffisamment longtemps pour que de nombreuses personnes aient les boules au point de s'entre tuer quelques semaines après la prise de commandement du NID... Dans une partie du dossier de Miles j'avais noté les notes que m'avais fait parvenir Rasmussen... Et je tenais à dire que ce qu'il avait dit sur Miles était... Choquant, je veux dire qu'il semblait avoir le verbe assez acerbe, il n'y avait qu'à lire l'intégralité de son rapport pour comprendre qu'il semblait mépriser une bonne partie des membres SG que je comptais voir...

J'écoutais petit à petit ce que disait Miles et je comprenais qu'il avait vraiment la rage contre Dablord, mais je n'étais pas comme lui. Si l'homme était un traitre, ou s'il avait retourné sa veste je devais prouver à Miles que je n'étais pas comme ce gars là... Je devais lui prouver qu'il pouvait me faire confiance. Quand il me parla du général O'neil je souris car il n'était pas le seul à me dire cela, le professeur Scorzi m'avait dit exactement les mêmes termes à quelques mots près... Cela faisait deux à un pour O'neil VS Rasmussen.

Je comprend, en tout cas je peux vous dire que tout ce que j'ai à dire je le dis de face, tout ce que j'ai à faire je le fais. Je n'ai rien à cacher et je reste fidèle à mes convictions, aussi les gens qui retourne leurs vestes.... Et bien je n'ai qu'une envie, leur botter le cul. J'imagine que vous fonctionnez pareil?

Concernant Général O'neil vous êtes déjà le deuxième à me dire cela, le Pr Scorzi est passé hier et il m'a dit la même chose sur lui.... Donc je veux bien vous croire.

Bon continuons, je vois ici que vous avez participer à une mission SG il n'y a pas si longtemps. Pourriez m'expliquer ce qu'il s'est passé ? Avec qui vous étiez et ce que vous pensez de vos coéquipiers ainsi que de l'équipement mis en place durant vos missions...

Je fini mon café et pris mon aise dans mon fauteuil, l'homme en face de moi était franc. Moi aussi, au moins nous ne tournerions pas autour du pot... Scorzi avait été pareil, j'espère juste que cette franchise va continuer et que tout les membres des équipes SG étaient aussi franc, comme cela je pourrais bien faire mon boulot...

Arrivé au SGC : 02/04/2010

Je comprends, en tout cas je peux vous dire que tout ce que j'ai à dire je le dis de face, tout ce que j'ai à faire je le fais. Je n'ai rien à cacher et je reste fidèle à mes convictions, aussi les gens qui retourne leurs vestes.... Et bien je n'ai qu'une envie, leur botter le cul. J'imagine que vous fonctionnez pareil?

« Moi quand je veux dire quelque chose, je le dis, quand j’ai envi de faire quelque chose, je ne peux pas toujours le faire, car c’est souvent des solutions extrême, mais efficace et beaucoup de personnes n’apprécie pas cela, une balle ce n’est pas chère, et les enculé, les traitres, je fini souvent a me les faires. »

J’étais radical dans certaine situation et j’hésite jamais à tuer l’ennemis et j’ai aucun remord. C’est soit moi, soit lui et je ne laisse aucune chance c’est ce qui m’a valu certain problèmes pendant la prise de pouvoir avec Eversman qui était trop sensible sur certaine chose du combat ou la guerre, si tes trop sentimental et te laisse submerger par tes émotions tu deviens problématique surtout quand on dirige un groupe au combat.

« La dernière fois qu’on m’a fait chier j’ai failli tuer ce mec, car il me braquer son arme sur moi, j’ai juste failli car j’ai loupé mon coup, il a maintenant une belle cicatrice sur sa tempe. »

Concernant Général O'neil vous êtes déjà le deuxième à me dire cela, le Pr Scorzi est passé hier et il m'a dit la même chose sur lui.... Donc je veux bien vous croire.

« Et je ne serais pas le seul à dire sa. »

Bon continuons, je vois ici que vous avez participé à une mission SG il n'y a pas si longtemps. Pourriez m'expliquer ce qu'il s'est passé ? Avec qui vous étiez et ce que vous pensez de vos coéquipiers ainsi que de l'équipement mis en place durant vos missions...

Puis je me suis remémorer cette mission sur une planète jungle pleine de boue et une pluie incessante. Il y avait c’est putain de chasseur de prime et d’Alien. Putain de mission sa me rappelé le Vietnam ou l’Amazonie.

« Ma dernière mission, je suis partie avec le Colonel Fett, Alicia Becker Johansen, Tyler Fields et Paul Kaïger. On est arrivé sur une putain de planète envahi par une jungle étouffante remplis de créatures qui voulaient nous bouffer. Sans parler de ces enculés de chasseur de prime qui on décapité a coup de machette devant moi et Fett un de nos homme et malheureusement, je n’ai pas pus me faire le bourreau, enfin les trois quart des chasseurs de prime se sont fait bouffé les tripes par ces Alien qui grouillé de partout, puis on les a massacré a leur tour. Une belle boucherie en gros. Tous doit être dans le rapport de mission, on a décrit tous ce qui c’est passé dans les moindre détails. »

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Et bien tout ce que me disait Miles était une bonne partie du rapport qu'il aura mis en bonne et due forme j’imagine. En temps qu'ancien officier il n'aurait pu en être autrement n'est ce pas ? Enfin bon je sais je sais, il n'avait pas la tête d'une personne réalisant un travail d'administration mais bon, on ne sait jamais, peut être qu'il le faisait quand même.... Même s'il ne rédigeait pas des rapports en bonne et due forme comme un chef de mission SG il devait au minimum rédiger des notes de retours de mission... Dans un projet comme celui ci la bureaucratie était très présente. Cela semblait déranger certaines personnes ici bas, et notamment le général qui commandait cette base.

Je pris possession de mon crayon et commençait à noter deux trois mots et remarques sur ce qu'il me disait.[Des rapports que j'avais lu ainsi que des diverses notes du Dr Jackson j'avais cru comprendre que beaucoup de planète dans la galaxie avaient des paysages presque identiques au notre. Cela devait être assez étrange les premières fois, cela devait vraiment faire bizarre. Se croire sur terre alors que nous étions à plusieurs années lumière du soleil et de notre berceau.

J'écoutais avec un intérêt particulier ce que me disait l'homme, il semblait avoir de l'expérience dans la guerre, peut être pas assez au sujet du programme SG, mais l'expérience se gagnait au fil des missions et des rencontres. Il y avait du potentiel en chacun d'entre nous, aussi je le sentais capable de remplir sa mission. Peut être fallait il mieux l'utiliser pour des missions de recherche et destruction que de diplomatie. Mais le programme avait besoin de gens comme lui car quand nous sommes en guerre avec un peuple qui veut nous exterminer nous n'avons pas d'autre choix que de jouer selon nos règles et pour pouvoir créer ces règles il faut des gens capable de faire ce qu'il faut quand il faut sans se poser de question... Et Miles Quaritch était de cette trempe.

J'étais sur de mon Analyse et c'est ce que je noterais dans mon rapport... Mais avant de le laisser partir il fallait que je lui demande quelque chose... Quelque chose qui m’intéressais en temps qu'industriel de l'armement.

Au niveau des capacités militaires et de la puissance de feu de nos ennemis... Qu'est ce que vous pouvez me dire à ce sujet ? Et qu'en est il de notre armement par rapport à eux? Je veux dire les balles perforante ou incendiaire suffise t'elle à percer les armures des Jaffas ? J'en ai déjà parler avec le Pr Scorzi et il pense qu'une amélioration de la charge explosive contenue dans nos cartouches pourraient être plus efficace contre nos ennemis. Qu'en pensez vous ? Que pouvez vous proposer pour qu'il y ait une amélioration des capacités destructrices de nos armes contre nos ennemis ? Je me fiche de savoir combien ça pourrait couter, je veux savoir si cela pourrait être possible.

Je sais que l'on peu tuer les jaffas et les autres avec de bon M16, mais je sais aussi que leurs armures, de cérémonie ou non, protège leurs corps un peu comme le ferait une bonne couche de Kevlar ou un bon petit bouclier anti-émeute... Alors il faut que nos ingénieurs trouvent un moyen de transpercer leurs armures sans aucun problème... J'avais proposé une solution qui ne fut pas retenue au dernière nouvelle, une balle perforante de 9mm avec une charge d'explosif condensé deux fois supérieure à ce que l'on trouve actuellement dans une balle de 5,56mm.

Mais bon c'était qu'une petite étude rapide et puis c'était un bon coup d'essais... Bref, répondez à cette question et je vous libère, il est inutile de vous garder ici plus que de raison n'est ce pas ?

Arrivé au SGC : 02/04/2010

J’avais répondu à ces questions sans retenue, ce que je faisais tous le temps, j’avais un franc parlé très directe et ne mâchais pas mes mots. Même si je choquais dans mes propos, mais je suis ainsi, et on a toujours besoin d’homme comme moi pour des situations de crise extrême, je sais ce que je dois faire et je n’ai aucune limite a mes actions. J l’ai déjà fait et je le referais sans hésitation et rien ne m’arrêtera.

Puis il me posa des questions pour des informations que j’ai peu être collecté pendant mes missions.

Au niveau des capacités militaires et de la puissance de feu de nos ennemis... Qu'est ce que vous pouvez me dire à ce sujet ? Et qu'en est il de notre armement par rapport à eux? Je veux dire les balles perforante ou incendiaire suffise t'elle à percer les armures des Jaffas ? J'en ai déjà parler avec le Pr Scorzi et il pense qu'une amélioration de la charge explosive contenue dans nos cartouches pourraient être plus efficace contre nos ennemis. Qu'en pensez vous ? Que pouvez vous proposer pour qu'il y ait une amélioration des capacités destructrices de nos armes contre nos ennemis ? Je me fiche de savoir combien ça pourrait couter, je veux savoir si cela pourrait être possible.

« Hum et bien je n’ai pas encore combattu ces Jaffas, mais j’ai pu essayer leur arme, c’est ases puissant sur le coup, mais pour la précision c’est un grand problème. Les lances son pas très maniable, le plus redoutable c’est les Zat qui tu une personne au deuxième coup et désintègre au troisième. Je préfère nos bons vieux flingues. Au moins on peu toujours des adapter et les améliorer. »

Je sais que l'on peu tuer les jaffas et les autres avec de bon M16, mais je sais aussi que leurs armures, de cérémonie ou non, protège leurs corps un peu comme le ferait une bonne couche de Kevlar ou un bon petit bouclier anti-émeute... Alors il faut que nos ingénieurs trouvent un moyen de transpercer leurs armures sans aucun problème... J'avais proposé une solution qui ne fut pas retenue au dernière nouvelle, une balle perforante de 9mm avec une charge d'explosif condensé deux fois supérieure à ce que l'on trouve actuellement dans une balle de 5,56mm.

Mais bon c'était qu'une petite étude rapide et puis c'était un bon coup d'essais... Bref, répondez à cette question et je vous libère, il est inutile de vous garder ici plus que de raison n'est ce pas ?

« Moi je préfère utiliser des fusils d’assaut donc un calibre 5.56, qui a un meilleur pouvoir de pénétration avec une excellente porté de tire et les dégâts sont beaucoup plus grave qu’avec du 9 mm, c’est une munition ases faible avec un pouvoir d’arrêt pas ases important pour transpercer un blindage. Il vaut mieux pour du 9 mm des balles blindée a tète creuse. Des balle perforante ou explosif pour du 5.56 est une bonne idée, sinon si on veut vraiment faire du dégât c’est de passer a du 7.62, mais on change d’armement, mais de nombreux fusil d’assaut y sont muni. La prochaine fois, je prendrais une gatling avec du 7.62 ou 5.56, la je découperais totalement mes ennemis. »

« Voila, après si il faut d’autre réponse a vos questions je suis votre homme et pour essayer de nouveaux matériels et arme aussi, j’aime avoir de nouveau joué entre mes mains. »

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Et bien en voila des réponses claires et précise, Miles était clair direct franc. Bon c'était une bonne chose, mais ce qu'il me disait sur les lances jaffas et les Zats était assez intéressant. Un de ses quatre il faudrait que je m'occupe un peu de cette question et que j'observe avec attention armure et arme des aliens... Pour plusieurs raison cela allait être intéressant...

Une fois que tout fut fait et qu'il finit de discuter et de m'informer sur les armes et ses aspirations je me leva pour l'accompagner dehors et lui souhaiter un bon retour à la vie de la base. Je lui serrais la main avec un sourire amical avant de lui dire les derniers mots avant de le quitter.

Et bien écoutez pour moi c'est bon, je vais donc vous laissez faire ce que vous avez à faire ok ? Concernant les armes je n'y ai pas accès pour le moment donc je ne saurais vous dire, mais si quelque chose se profile à l'horizon je vous tiendrez au courant dac ? Sur ce je vais m'occuper du cas d'une autre personne d'accord ?

Bon retour j'espère vous revoir en d'autre occasion d'accord ?

Bon je vais maintenant m'occuper du cas d'un autre dossier maintenant. Alors que je fermais la porte je mis de côté le dossier de Miles et me relança dans ma recherche du dossier suivant, je les étudiais tous pour arriver à attraper le bon et je vis celui du Docteur Becker Johansen. Oui pourquoi pas varier les plaisir, passer d'un gros dur à une doc allait pouvoir me fournir un autre point de vu. Surtout que j'avais deux trois questions à lui poser sur sa relation naissante avec le Pr Scorzi, je lui en avait déjà parler et il avait été honnête très rapidement alors maintenant il fallait que lui explique ma façon de penser quand à sa relation naissante... Je n'avais rien contre cela mais je voulais être sur qu'elle le faisait pour les bonnes raisons et qu'elle en comprenait toutes les conséquences.

Dr Alicia Becker Johansen vous êtes attendue dans le bureau du Lt Dablord, merci.

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Dr Alicia Becker Johansen vous êtes attendue dans le bureau du Lt Dablord, merci.

Je relevai la tête. Voila qui tombait à un très moment. J'assistai un chirurgien dans une opération au bras. Le soldat en question s'était fracturé la clavicule et on lui insérait des vis pour qu'il puisse être correct. Je stoppai ce que je faisais et regardai le chirurgien.

C'est une demande officielle ca, dit-il d'un ton monotone.

Oui, mais je peux pas partir, on est en pleine intervention.

Oh, je sais, mais ce n'est pas bien grave, de toute façon, nous étions sur le point de finir, répondit le Dr Kramer. Allez filez voir ce qu'ils veulent. Je vous laisserez les post-op

Soupirant, je sortis de la salle d'opération et me nettoyai les mains. Je retournai au vestiaire puis stoppa sur une question. L'uniforme militaire ou celui de Doc ? Hésitante, je choisi de porter les deux comme j'avais souvent l'habitude de le faire. Puisque je ne savais pas de quoi allait parler cette si soudaine convocation, j'étais mieux d'afficher mes deux fonctions.

En chemin, je me demandais qui pouvait bien me convoquer dans le bureau du Dr Dablor parce que c'est certain que ce ne serait pas lui, puisqu'il était disparu avec le reste du Dédale. Lorsque j'ouvris la porte, je vis un homme, la cinquantaine, pas si pire, veston et cravate. Pas un type de l'administration j'espère !

Je vins m'asseoir en avant de lui .

Je suis le Dr Johansen. On m'a convoqué ici .

Arrivé au SGC : 24/02/2012

J'observais la Doc s'asseoir devant moi et ne pouvait mettre de côté sa beauté.... C'était sur qu'avec elle ce cher Franz devait être bien, même très bien.... Elle me dit en quelques mots qu'elle avait été convoqué ici et je ne pu m’empêcher de sourire à cela. Je le savais Alicia, puisque c'est moi qui t'avais appelé...

Après quelques instants je sortis son dossier et commença à l'ouvrir à l'une des notes que j'avais surlignée, elle parlait d'un problème survenue lors d'une précédente mission qui avait entrainé la mort d'un pirate de l'espace. Même si elle avait été convoqué par le Général, le Pr Scorzi avait lui même écrit une lettre à son commandant pour couvrir les arrières de la doc. J'en aurais fait de même à la suite de la mission et d'après ce que j'avais compris du rapport de mission. Aussi il était de mon devoir de savoir si elle avait comprit ce qu'on lui avait reproché et si elle avait tourné la page. En plus de cela je devais lui demander si elle s'était bien intégrée, si elle avait des choses à dire à propos de la chaine de commandement et tout ce qui allait avec, mais il fallait d'abord commencer par le commencement.

Je souris à la jeune femme et croisa les bras sur mon bureau pour me mettre toute à mon aise dans le but de lui répondre tranquillement.

Pour commencer Doc Becker, je me présente, Edgard Roover. Si je suis ici c'est pour interroger chacun des membres des équipes SG partant en mission pour en apprendre plus sur eux. Aussi j'aimerais que vous répondiez honnêtement, si l'une de mes questions vous choque ou vous pose des problèmes je voudrais que vous y répondiez quand même. Même si cela doit prendre du temps je dois avoir un maximum d'information sur chacun d'entre vous. Le Pr Scorzi a bien comprit cela et il s'est confié à moi...

Donc pour commencer, qu'est ce que vous pouvez me dire sur le déroulement de votre première mission, réalisé avec Franz Scorzi, Simon Wolowitz, Julia Becker et le Capitaine Shepard. Essayez de me dire tout ce que vous savez, je sais que vous avez été convoqué à la suite de cette mission et je sais aussi que le professeur Scorzi à écrit une lettre au général pour vous couvrir et vous protéger. Je veux comprendre pourquoi.

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Edgard Roover ... Un autre type de l'administration, c'était certain. Je ne les aimais pas ceux-la. Ils ne pouvaient pas comprendre ce que c'était d'être militaire et d'avancer les yeux fermés dans des univers inconnus. On risquait notre peau pendant qu'eux se pavanaient avec leur complets signés des plus grands designers !

Seulement, je ne pouvait pas me lever de cette foutue chaise et partir continuer mon opération. Ces interrogatoires étaient probablement des ordres données par des gens plus hauts placés que ce Edgard. J'écoutai le pourquoi de ces interrogatoires et restai accrochée sur le "Le Pr Scorzi a bien comprit cela et il s'est confié à moi..."

C'était un test ? Une facon de voir si je réagissais nerveusement maintenant qu'il avait dit cela ? Et bien, Roover devait être déçu puisque je restai de marbre. Et puis, ce n'était pas un crime que d'avoir une vie personnelle avec un archéologue civil, beaucoup de gens étaient au courant et trouvaient cela correct.

Je n'ai rien à cacher, je répondrai à toutes vos questions d'ordre professionnelles, bien sûr

J'avais le mérite d'être claire au moins. Le prendrait-il en considération, je ne sais pas. Puis, il me posa des questions sur ma première mission. Oh oui, je m'en souvenais encore ...

On ne devait pas avoir de mission, ce n'était qu'un vol à bord du Dédale, mais le vaisseau à repérer quelque chose et on est partit sur un vaisseau extraterrestre. Là-bas, on a trouvé un massacre total et les auteurs de ce massacre. Après quelques échanges de tirs, des prises d'otages, un désarmement de bombes, on a les a eut, sauf un.

Mais j'imagine que ce que vous voulez m'entendre dire, c'est que j'ai tué un homme. Il était avait reçu une balle dans le torse, j'ai diagnostiqué une hémorragie interne, perforation d'un organe, donc impossible de le sauver. Au lieu de le laisser souffrir, je l'ai achevé par compassion et surtout pour honorer une partie du serment d’Hippocrate : "Je ne prolongerai pas abusivement les agonies".

J'ai eu une convocation du Général O'neill et une suspension de mes fonctions militaires pour un certain temps. Après, ce que le Pr Scorzi a fait, c'est de la solidarité entre militaire, je ne lui avais rien demander.

Je voulais atténuer le plus possible la relation entre moi et Franz.

Arrivé au SGC : 24/02/2012

J'écoutais la jeune femme parler de sa mission et je ressentais bien au travers de ses paroles qu'elle n'appréciait pas du tout les administrateurs.... Dans cette base beaucoup de personne semblait détester les Administrateurs... Mais je n'étais pas là pour les juger bordel. Ne pouvaient ils pas tout simplement me parler et m'expliquer tout sans aucun problème. Tss Je vous jure parfois les militaires étaient des gens incompréhensible...J'écoutais ce qu'elle me disait et quand elle me parla de l'histoire de l'homme, elle semblait en avoir bavé et je le voyais bien, alors pas besoin d'en parler plus que cela. Mais avant d'aller plus loin il fallait qu'on mette au point deux trois petites choses.

je me lève et me met face au tableau que j'avais installer sur lequel j'avais écris les noms de toutes les personnes que j'avais vu pour mes entretiens individuel. Et chacun d'entre eux avait comprit son intérêt pour le programme....

Docteur Becker, je vais être franc avec vous. Je ne suis pas ici pour vous causer des problèmes à vous, à Franz ou à Milles ou à n'importe qui d'autre. Comprenez moi bien je suis ingénieur industriel spécialisé en chaine de montage d'avion de chasse de catégorie spéciale. Je suis ce que les administrateurs appelle un technicien, je ne suis pas là pour faire de la politique. Je ne suis pas là pour juger les gens, je ne suis pas là pour causer des problèmes à des gens comme vous qui font leur boulot avec amour et avec une motivation sans faille.

Je sais ce qu'il s'est passé lors de cette mission, je sais aussi ce qu'il s'est passé à votre retour avec le général. Ce que je veux savoir c'est si vous, en temps qu'être humain pensez avoir fait le bon choix à ce moment là. Si vous me dites être sur que votre choix à été le bon alors je ne vous emmerderais plus la dessus. Je veux voir de quoi son fait les membres des équipes SG pour que plus jamais nous n'ayons de problème et pour cela je n'ai pas le choix. Il me faut vous parler.

Je m'approchais d'elle et l'observais, je comprenais de plus en plus pourquoi il était avec elle, elle avait le caractère en plus du savoir et du charme... Un peu comme ma femme, mais en plus jeune.

Docteur Becker, je ne suis pas votre ennemi tout ce que je veux c'est réaliser ma mission en montrant un autre visage de vous et de vos collegues que celle qu'en dépeint notre cher agent de la CIS Mr Rasmussen... Et je peux vous dire qu'il n'est pas très élogieux à vos égards, tant auprès du général que de vous ou des autres. Comprenez moi bien, je sais déjà tout ce que je veux savoir sur vous, votre passé, votre vie avant d'arriver ici et tout ce que vous avez fait ici... Mais un dossier ne fait pas tout et je voulais comprendre votre façon d'être et de penser avant d'écrire mon rapport à la direction.

Alors je vous le redis une dernière fois, m'aiderez vous à vous comprendre pour que je puisse écrire le rapport le plus juste possible sur votre sujet ?

Pendant que je finissais de lui parler je me dirigea vers la machine à café, je l'observais et lui en proposa un, avec un grand sourire franc et amical, peut être est ce que cela détendrait l'ambiance.... Peut être..

Voulez vous du café ? Il est très bon vous savez.

Arrivé au SGC : 05/07/2011

C'est vrai que j'avais partit le bal de la mauvaise façon en venant ici à reculons, ne voulant rien savoir d'un convocation de ce genre et surtout lorsqu'on me sortait d'une salle d'opération alors que j'apprenais. Roover n'était pas le genre d'homme que j'avais imaginé, il se montrait bien compréhensif.

Seulement, il venait de déterré une histoire que j'essayais d'oublier, mais finalement, un geste comme ça, ça rattrapait tout le temps ... Comment en aurait-il pu en être autrement ? Je frissonnai, mais je restais gardienne de mes émotions pour ne pas que Roover sache que cette histoire me faisait plus de tort. Encore des fois, je me réveillais avec des sueurs froides.

Quand il me proposa un café, je dis oui volontiers, cela me ferait du bien. Puis, je répondis à ses questions.

Je comprends votre rôle et je trouve honorable que quelqu'un vienne prendre notre défense face au CIS. Ils ne savent ce que l'on vit et il ne feraient probablement la moitié de ce qu'on a fait.

En ce qui concerne cette mission, on peut dire que j'ai foiré totalement. En tant qu'être humain, je n'accepte pas moi-même ce que j'ai fait, mais en tant que militaire, j'ai seulement fait mon boulot en tuant un ennemi et en tant que médecin, j'ai empêché un homme de souffrir plus longtemps qu'il ne le faut.

Je souris, en marquant une pause.

J'imagine que maintenant, vous allez me poser d'autre questions nécessaires parce que je ne suis plus certaine de mon choix ...

C'était bien légitime maintenant.

Et puis, pour le le Pr Scorzi, je crois qu'il se sentait redevable envers moi. Je lui ai sauvé la vie deux fois lors de cette mission. À la suite de cette mission, il a été mon patient, je le traitais pour problèmes psychologiques et ensuite ... enfin ... vous savez ...

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Enfin elle s'ouvrait à moi, ce n'était pas trop tôt... Non il fallait que je me calme, je n'avais pas à me braquer avec elle. Elle avait déjà suffisamment de problème pour que je lui en cause de nouveau. J'écoutais tout ce que me disais la jeune femme sur la mission et sur ce qu'elle pensait. Sa réponse était honnête et je devais la rassurer et rassurer l'administration pour ne pas qu'elle ait d'autre problème à cause de cette histoire de fou.

Je lui tendis le café que je venais de faire pour elle et me replaça en face d'elle pour lui parler convenablement et tranquillement. C'était en construisant des bases simples et solides que l'on pouvait avoir des discussions saines.

Bon, je comprend ce que vous ressentez, à votre place j'aurais envoyer valser ce bonhomme par dessus la vitre du premier hublot à porté de main. Mais ce que je veux savoir si cela va ou peut vous poser des problèmes durant les missions. Dites moi quelques mots, parlez moi de ce que vous en pensez, si quelqu'un peut vous aider et vous soutenir. Je voudrais tout savoir... Ou presque.

J'écoutais la jeune femme me parler de tout ce qu'elle savait et de tout ce qu'elle voulais me dire à ce sujet, et quand elle revint sur le sujet de Franz elle me parla de son suivit psy, je le savais déjà, il me l'avait dit...

Je suis au courant de tout cela, il doit d'ailleurs passer une série de tests et d’entretiens avec le Général O'neil et un docteur spécialisé. Je ne peux pas vous en dire plus parce que je ne suis pas au courant de tout ce qu'il se trame dans le haut de la pyramide.

Outre vos sentiments pour lui, oui je le vois bien, que pouvez me dire sur lui ainsi que sur les autres personnes partant en mission. En plus de cela pourriez vous me parler de l'équipement médical disponible lors des missions ou ici même. Est il suffisant ? De quelle qualité est il ? Pensez vous qu'il faudrait des améliorations à cela ou l'achat de nouveaux équipements ?

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Je gardais mon calme et je me repassais cette scène dans ma tête. Comment j'avais pu poser un geste comme celui-ci ? Avais-je fait le bon choix, je ne le savais plus. Ce que je savais par contre, c'est que cela avait été considéré comme un acte meurtrier et je porterais ce sang sur mes mains jusqu'à la fin de ma vie.

Oui, cela est difficile pour les autres missions. Avoir été considérée comme une meurtrière, c'est assez troublant et depuis, je réfléchi à deux fois avant de presser la détente, mais vous comprenez qu'un simple moment d'hésitation peu faire courir un risque énorme pour moi et mes collègues.

Je ne disais pas que je n'étais pas apte à partir en mission, mais plutôt qu'une simple erreur faisait maintenant douter mon doigt appuyé sur la détente. J'étais seulement plus hésitante qu'avant, de peur de devoir subir des représailles de mes supérieurs. Étant maintenant sergent, j'avais le droit de prendre des décisions, mais je en pouvais pas tout me permettre non plus.

Je peux encore aller sur le terrain sans problème, mais une fois que je reviens ici, c'est plus difficile maintenant. Je pourrais vous mettre au défi de tuer un homme, même en pensant que c'est une bonne chose et ensuite revenir sans aucune séquelle, c'est pratiquement impossible.
Mais je ne veux pas que l'on croit que je suis plus faible parce que je suis une femme et je veux être traitée comme tout les hommes qui sont dans ce programme, sans avoir aucun passe droit, ni aucune faveur. J'assume ce que je fais et ce que je dit.

Puis il parla de Franz et de son suivit psychologique mais il ne m'en dit pas plus. Franz ne m'avait pas encore parler de cela, j'espérais qu'il le fasse bientôt.

Ce sont tous des bons soldats et les civils qui nous accompagnent parfois sont aussi qualifiés. on a tous notre spécialité et chaque force est exploitée au maximum. C'est un honneur pour moi de servir ainsi avec des militaires et des spécialistes qui ont à coeur leur travail et qui prennent chaque jour des risques énormes.

Je crois que le commandement du SGC, ainsi que le Général O'neill, sont conscients que nous avons fait une croix sur notre vie passée pour tout consacrer à la défense de notre planète. Ils nous fournissent tout ce dont nous avons besoin et coté médical, je ne peux pas dire grand chose.

On a les meilleurs équipements à l'infirmerie de la base et pour ce qui est des missions, les médecins sont autorisés a voyager avec un sac à dos plein de matériel de première qualité et en grand quantité. C'est certain que l'envirronnement de la mission va influencer nos capacités à traiter les blessés, mais en général, tout se passe bien, du moins, de mon humble avis.

C'était tout de même mieux qu'en Afghanistan lorsque j'y étais !

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Cette jeune femme semblait vraiment sure d'elle, elle savait ce qu'elle voulait et ce qu'elle ne voulait pas. Et ce qu'elle ne voulait pas s'était être avantagé ou désavantagé par rapport à ce qu'elle avait fait durant sa toute première mission. Mais aussi elle voulait être traité de la même manière que l'était les hommes dans ce programme... S'il y avait une chose à remarquer chez cette femme c'est qu'elle avait bien comprit le fait de réagir dans l'urgence pour assurer la sécurité de son équipe et de ses coéquipiers. Je l'observais et remarquais qu'elle avait le même tempérament que mes deux jumelles de filles. Et elle me faisait passer parfois de salle quart d'heure.

Je voyais bien que notre discussion la mettait mal à l'aise alors il fallait que je la détende pour ne pas qu'elle se braque et que je ne puisse pas récolter plus d'informations sur elle et sur sa volonté à poursuivre sa mission dans le programme SG. Mais quand elle dit qu'elle me mettait au défis de tuer quelqu'un et de revenir sans séquelle je la regardais avec amertume. Oui c'était le cas mais bon rien ne servait de se morfondre et de se gâcher la vie avec toute ses questions...

Je comprend ce que vous dite et en effet il n'est pas normal que vous soyez traité différemment que les autres membres de ce programme et j'ose penser que vous êtes traité de la même manière que d'autres personnes. En tout cas il n'y a pas de raison à ce que vous soyez traité différement n'est ce pas ?

Vous savez Alicia, tuer un homme, le voir mourir dans le blanc des yeux, être près de lui lorsque cela c'est produit c'est quelque chose que l'on n’oublie jamais. Lorsque je travaillais sur la chaine de montage d'un avion classé il y eu un accident grave. La soute à munition à pris feu pour des raisons obscure et le tout à exploser en envoyant voler des kilogrammes de munitions dans tout les sens, mais je ne parle pas de munition de 5,56 mais bien de munition des canons d'avion.

Lorsque je repris conscience de ce qu'il se passait je m'étais pris une balle dans le gras de la cuisse gauche, j'avais eu de la chance, mais mon aide de camp, un ingénieur d'une vingtaine d'année s'en était prit une dans l'estomac... Pendant la demi-heure qui à précédé l'arrivé des secours j'ai eu le temps de le voir mourir tout en se vidant de son sang. Alors je peux vous dire que je comprend ce que vous pensez....

Vraiment.

J'avais été plus que franc puisque peu de personne était au courant de cette histoire, l'ingénieur qui était mort s'appelait Andy, il venait tout juste d'être engagé et il n'avait pas encore eu le temps de s'émerveillé dans son couple et son travail que la mort l'avait fauché. Laissant sur le carreau une femme et un enfant de 2 ans... Et cela on ne vous l'apprendra jamais, on ne vous apprendra jamais à rester fort et solide devant la mort de ceux qu'on aime qu'importe la formation.....

On changea de sujet pour parler de l'équipement disponible, la jeune femme semblait comblée par l'équipement et le personnel mis à la disposition du programme. C'était compréhensible parce que le programme recrutait les meilleurs dans tous les domaines quelque soit leurs origines nationale.

J'avais déjà eu le temps de passer voir l'équipement disponible mais je ne suis pas médic donc bon, il est utile d'avoir l'avis d'une médecin qualifié pour ce genre d'histoire. Et je sais que vous êtes formée à tout. Vous avez servie dans de bien pire condition n'est ce pas ? Afghanistan... Cela ne devait pas être une partie de plaisir... Vous avez servit dans quelle région ?

Bon maintenant que nous avons traité une partie des questions pratiques on va s'attaquer aux questions personnelles. Mais avant de nous attaquer à cette partie je voulais vous dire que tout ce qui vous allez me dire ici ne sera pas consigné dans mon rapport. Je veux être sur que, comme le Pr Scorzi, vous serrez capable de faire normalement votre travail. On est d'accord ?

Bien, je vois que vous avez été marié et que vous avez divorcé récement, il y a à peut près 5 ou 6 mois. Je ne veux pas savoir le pourquoi du comment, mais peut de temps après vous commencez à entretenir une relation avec le soldat de 2nd classe Franz Scorzi élément au pédigrée notable mais à la psyché instable. Peu de temps après et au retour d'une mission il change de section pour prendre une place à plein temps dans la section archéologie du programme.

Ce que je veux savoir, Mademoiselle Becker, c'est est ce que cette relation ne va pas vous posez des problèmes dans votre travail de tous les jours et pendant les missions ? Je ne veux pas créer des doutes en vous mais je veux être sur si vous êtes sur de ce que vous pensez....

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Cette discussion était mieux que je ne le croyais. Roover se montrait compréhensif et il était à l'écoute de ce que j'avais à dire. C'était bien de pouvoir parler librement quelques fois. Parce qu'on ne se le cachera pas, devant nos supérieurs, on se taisait quelque peu. Au moins, maintenant j'avais l'impression que je pouvais dire ce que je pensais vraiment.

Je comprend ce que vous dite et en effet il n'est pas normal que vous soyez traité différemment que les autres membres de ce programme et j'ose penser que vous êtes traité de la même manière que d'autres personnes. En tout cas il n'y a pas de raison à ce que vous soyez traité différemment n'est ce pas ?

Oui je suis traitée de la même façon, du moins, pour mes fonctions de militaire. J'ai acquis mon poste de Sergent de manière équitable et j'ai dû travaillé comme les autres. Lorsque je dois répondre à une situation qui nécessite une intervention médicale, on me laisse gérer les situations et prendre en charge les choses.

Sur ce point-là, je ne pouvais pas me plaindre, ca c'est certain ! Puis, il me parla de la tragédie qu'il avait vécu et j'eu un frisson. Je comprenais maintenant qu'il savait ce que j'avais pu ressentir lors de cette mission et même, ce que j'avais pu ressentir depuis le début de ma carrière médicale.

Je suis désolée, j'aurais dû avoir un peu de réserve en disant cela ...

Le changement de sujet se faisait juste au bon moment puisque je sentais un léger malaise entre nous.

J'ai été postée huit mois à Kaboul et six mois à Kandahar. Le matériel était très limité, je devais la plupart du temps utiliser des bouts de vêtements pour faire des bandages.

Lorsqu'il dit que la discussion qui suivrait ne figurerait pas dans son rapport et qu'il s'agissait, j'anticipai le genre de questions. Toutes en rapport avec moi et Franz ... Je l'écoutai dire quelques infos en rapport avec ma vie personnelle et souris à sa question. Elle revenait souvent, y faut croire ...

Nous sommes fiancés depuis peu, si cela peut vous démontrer la véracité de notre relation et de notre choix. Je sais que cela peut être difficile durant les missions, parce que mes sentiments peuvent affecter mon jugement, mais je jure de restée professionnelle dans mon travail.

Nous avons fait une mission où ... où j'ai cru le perdre parce qu'il était tombé du haut d'une falaise, mais j'ai continué ... non sans difficulté !

Qu'en pensez-vous ?

Arrivé au SGC : 24/02/2012

Ma mission en elle même était de juger le personnel du SGC, au sein personnel mais pas comme un psychologue. Non plutôt comme autre chose, je ne sais pas trop comment expliquer cela. Disons pour faire simple que je voyais la base comme une chaine de production. A l'entrée de celle ci se trouvait les recrues tandis qu'à la sortie, en temps que produit fini, se trouvait les technologies dont nous avons fait acquisition depuis quelques temps maintenant. Les militaires et autres scientifiques servaient de matière première tandis que les goa'ulds et consort étaient des contraintes plus ou moins importante dont on ne pouvait malheureusement pas se passer.

Et en écoutant Alicia Becker je compris qu'elle était, comme les autres membres des diverses équipes SG. Tous étaient des éléments indispensables dont on ne pouvait pas se passer. Même si certain avait de légers problèmes tous comprenaient l'importance de ce programme et ce qu'il représentait pour notre monde. Une chance inouïe de faire un grand pas dans l'univers.... Un pas de la même porté que celui fait par Neil Amstrong en 1969. Tellement de choses s'étaient passé depuis ce glorieux jours... Et pourtant pas grand chose avait changé dans nos mentalités...

Mais ici, chacun avait l'objectif commun en tête. Tous avaient les yeux rivés vers l'objectif fixé par la direction et le commandement du Pentagone... Et alors que j'écoutais le Docteur Becker qui finissait d'expliquer sa relation avec le Pr Scorzi, je compris que ce genre d'histoire ne pouvait que lui être bénéfique. Dans toute cette violence il lui fallait quelqu'un à qui s'accrocher et sur qui compter lorsqu'elle en aurait besoin. Comment pouvais je lui enlever cela ? Alors que moi même avait fait de même avec ma femme il y a tant d'année ? Bon ok nous n'étions pas dans les mêmes conditions mais bon;..

Je comprend ce que vous ressentez et le Pr Scorzi à su lui aussi garder son professionnalisme, j'ai d'ailleurs le rapport qu'il à remit au sujet de cette mission. Il ne tarit pas d'éloge à votre sujet mais arrive à garder son sérieux pour exprimer des reproches quand à votre comportement. Il a bien vu votre réaction et à pensé que ce fut sa faute si vous avez été blessée. Je vous fais grâce des détails mais bon. Ce fut très drôle à lire en tout cas si vous me permettez.

Bon soyons sérieux un instant. Votre dossier me plait Miss Becker, je ne vois rien qui pourrais vous mettre des battons dans les roues pour vous empêcher de monter encore en grade. j'ai eu les réponses que j'attendais. Il ne me reste plus qu'à vous demandez si vous voulez encore me dire quelque chose, par rapport à la chaine de commandement, au Lt Dablord ou à propos de qui que ce soit d'autre sinon je vous libère. Vous avez surement beaucoup à faire n'est ce pas ?

Arrivé au SGC : 05/07/2011

Cela faisait bizarre pour moi de parler comme cela, ouvertement parce qu'en général, je gardais tout pour moi et je ne me confiais que très rarement à ma sœur. Mais je sentais que cet homme en avant de moi ne me voulait pas de tort alors je me sentais en confiance avec lui.
Bon, c'est vrai que pour débuter, je m'étais vraiment méfiée de lui et j'avais été assez sèche, mais j'avais compris par la suite qu'il ne me voulait pas de mal et qu'il voulait simplement discuter.

Oui, je comprends qu'il m'ait des reproches et sincèrement je les accepte, bien que je n'ai jamais eu connaissance de son rapport. Par contre, dans le mien, je ne limite pas mes erreurs également parce que j'ai eut un moment de faiblesse. J'ai vidé le trois quart d'un chargeur sur l'ennemi pour faire évacuer ma rage, ce n'était pas professionnel ca et surtout, pas très intelligent de ma part. Tout était dans mon rapport.

Bon soyons sérieux un instant. Votre dossier me plait Miss Becker, je ne vois rien qui pourrais vous mettre des battons dans les roues pour vous empêcher de monter encore en grade. j'ai eu les réponses que j'attendais. Il ne me reste plus qu'à vous demandez si vous voulez encore me dire quelque chose, par rapport à la chaine de commandement, au Lt Dablord ou à propos de qui que ce soit d'autre sinon je vous libère. Vous avez surement beaucoup à faire n'est ce pas ?

J'étais contente d'avoir pu répondre à toutes ses questionnements, mais en ce qui concernait la chaine de commandement, je n'avais pas grand chose à dire.

Je n'ai jamais eu affaire avec e Lt Dablord, mais pour ce qui est de la chaine de commandement, je ne vous dirai qu'une seule chose : le Général O'neill fait un boulot extraordinaire. Il n'enverrait pas ses hommes à une morts certaine. C'est un bon commandant et personne ne ferait mieux ce travail que lui.

Je reposai ma tasse sur le bureau et lui sourit.

Si cela ne vous dérange pas, j'ai des patients à voir dans une demi-heure.

Arrivé au SGC : 18/03/2006

Les notes :
Alicia Becker :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 4/4

-Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 3/4

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 2/2

Total 9/10

Miles Quarritch :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 3/4

-Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 3/4

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 2/2

Total 8/10

Edgar Roover :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts 4/4

-Cohérence dans les Posts, imagination et originalité 3/4

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres 2/2

Total 9/10

Sujet: Re: Début de mission et premiers entretiens