Assise sur son fauteuil... bon, soit, vautrée grâcieusement serait peut-être un terme plus adéquat... Julia observait d'un oeil paresseux les écrans de surveillance qu'elle avait sous les yeux. La base était vraiment un endroit déprimant, presque uniformément gris. De quoi donner des vapeurs à cette chére Valérie Damidot qui aurait certainement rajouté un coup de pinceau anis par ci et des stickers à strass, dont elle avait le secret, par là.

Les pensées de Julia dérivèrent vers le dernier ordre qu'elle avait reçu "Becker, surveillance de nuit". Si à certains endroits on accueillait les nouveaux arrivants avec des cocktails de bienvenue au sein du SGC on leur proposait de faire le planton...assis au lieu de debout ce qui était quand même un peu plus classe. Aprés tout pourquoi pas ? Alors qu'elle allait plonger son petit nez dans le magazine "oh là là" et la main dans le bocal de cookies maison qu'elle avait apporté, une ombre sembla la recouvrire toute entiére telle un gigantesque parasol. La blondinette leva la tête et son regard rencontra un colosse qui la dévisageait comme Goliath avait du regarder David, un filet de bave à la comissure de ses lévres épaisses.

- Julia Becker c'est bien vous ?

Courbé par dessus le fauteuil de la demoiselle Becker, les mains du géant serrant les accoudoirs Julia était plaquée à son dossier et elle était incapable de dire si elle était elle. C'est alors que le colosse décida de les mettre à niveau : d'un coup de reins, il les arracha du sol (Julia et son fauteuil) pour les poser en face de lui sur un bureau. Même dans cette position Golliath continuait à dominer la situation d'une bonne tête. Un sourire vaguement psychopate se colla sur les lévres du colosse.

- C'était pour vous informer que votre collégue allait arriver. Vous serez deux ce soir!

Julia leva le pouce et bredouilla un vague "merci". Satisfait le Géant sortit et la jeune femme se demanda vaguement si ce genre de traitement de faveur était réservé à tous les nouveaux ou si elle était une privilégiée!

Marcus n'était pas vraiment en retard, il était juste chrono-dyslexique ! tentant de courir avec une seule chaussure lassé, déséquilibré a cause de son sac a dos mal arrangé qu'il portait sur une seule épaule, Marcus se cognait indifféremment d'un côté ou de l'autre de l'étroit couloir qui l'amenait au poste de garde dit " le bocal ".

Il avait déjà monté quelques factions dans la police londonienne et ça ne l'enchantait pas vraiment de remettre ça ici.

Devant lui, le couloir faisait un coude a 90° a droite, zigzaguant, mais lancé a pleine vitesse, Marcus se concentra pour le négocier du mieux qu'il put. C'est alors qu'il rencontra un obstacle aussi inattendue que solide. Sur le cul, Marcus secoua la tête pour reprendre son esprit. Puis il leva les yeux vers un truc qui devait être le croisement entre King Kong et un train de marchandise, mais avec un uniforme et des galons de sergent.

- t'es en retard bleusaille - lâcha t'il d'une voix d'outre tombe

Marcus senti bien la température ambiante tomber de quelques degrés et n'ajouta qu'un vague

- ah bon ?

aussitôt une main semblable a une pelleteuse s'abbatit sur son épaule et le releva, lui son sac et sa chaussure délassé, comme un brin de paille. Marcus tenta de protesté vigoureusement, mais une sangle de son sac l'étranglait. Le colosse traina Marcus jusqu'a une lourde porte blindée, l'ouvrir du pied et projeta l'ensemble Marcus-sac au milieu de d'un petite pièce trop éclairée.

- te voilà arrivé, et pas de blague ce soir ...

la porte se referma a la volée, laissant Marcus tel un tas de linge sale en vrac. Marcus rassembla de nouveau ses esprits, ses affaires, puis, son regard fut machinalement attiré par une silhouette, assise dans un fauteuil, le fauteuil lui même posé sur un bureau

- Bwaaaaa !

Marcus fut complètement surpris et déstabilisé par cette vision et recula d'un simple réflexe jusqu'à se retrouver dos au mur, la main sur le cœur palpitant

- mais mais mais ... qui ...qu'est ce que vous faites là ?

Puis, reconnaissant le femme en question, se redressa comme si rien ne s'était passé, l'esprit et le teins clair en disant

- Julia ? c'est bien toi ?

Petit à petit Juila récupérait en plus des cinq sens conventionnels celui du travail qu'elle était sensée accomplir ce soir. On ne la payait pas pour faire des cascades mais pour faire le planton. Mais pour ça il fallait bouger.

- catastrophe ? je ne vois pas de quoi tu veux parler .... et si je suis ici , c'est bien grace a toi ... et a une certaine catastrophe, c'est pas faux ..

Ah Marcus! Ce cher Marcus! Le James Bond de la gaffe pour qui le mot "catastrophe" signifiait vraiment catastrophe. Un accident de voiture toute neuve c'était courant, le fait qu'il l'aie saoûlé et qu'elle lui aie raconté ce qu'elle ne devait pas raconter était normal et enfin ce qui arrivait là, tout de suite, maintenant était banal. Julia finit par conclure

- C'est pas normal. Jamais j'aurais dû te parler de ce projet Porte des Etoiles. Je sais garder les secrets, surtout quand ils sont d'une telle importance. Alors oui. Moi je trouve que c'est une catastrophe parce que ta présence ici signifie que je n'ai pas su tenir ma langue.

- chocolat blanc a la fraise ?

Une barre chocolatée. Julia examinait la sucrerie avec suspiscion. Comme Blanche-Neige
avait dû regarder la pomme que la sorciére lui avait offert. Quoi qu'à bien y réfléchir Blanche Neige était trop naîve et idiote pour s'être posé la moindre questions sur cette pomme empoisonnée. Elle avait croqué dedans confiante. Elle avait dormi et un prince charmant l'avait réveillée. Bref, Blanche Neige n'était qu'une feignasse qui avait dormi jusqu'à ce que quelqu'un la réveille. Et si elle n'avait pas mangé cette pomme elle aurait finit en éternelle ménagére chez les sept nains, à les houspiller si ils ne rentraient pas dans la chaumiére en mettant leurs patins. Au lieu de ça Blanche Neige faisait tapisserie dans un grand château avec un prince. Heureusement Marcus n'était ni une sorciére, ni un prince mais James Bond. Il offrait à Julia le cadeau de la consolation. Elle l'accepta avec un "merci".

- Et si on se mettait au travail un peu ?

Oui parce que ils étaient là pour ça...à l'origine. Julia se redressa et s'étira comme un chat. Elle se sentait courbaturée et elle aurait certainement un beau bleu an niveau de son postérieur. Et tant pis...Alors qu'elle se réinstallait au poste de surveillance elle demanda à Marcus

- Alors ? Tu me racontes ?

- C'est pas normal. Jamais j'aurais dû te parler de ce projet Porte des Etoiles. Je sais garder les secrets, surtout quand ils sont d'une telle importance. Alors oui. Moi je trouve que c'est une catastrophe parce que ta présence ici signifie que je n'ai pas su tenir ma langue.

Marcus resta interdit, il avait peur de comprendre que sa présence ici était synonyme de catastrophe. Le regard fixe, il vécu quelques flashback sur les catastrophes qui avaient parsemés sa vie. Encore une, se dit il, cette vision de lui même l'attrista un peu. Ces retrouvailles avec julia, étaient bien loin de se qu'il espérait. Tout ça lui laissé un goût amer et un sentiment de grande gène.

Une fois la barre de chocolat prise, Julia se redressa et s'étira longuement. Marcus toujours assis en tailleur, resta quelques secondes a 'admirer' sa collègue 'vu d'en bas', puis, il déplia sa jambe pour y remettre consciencieusement sa chaussure.

- Et si on se mettait au travail un peu ?

Trop appliqué a refaire son lacet et un peu perdu dans ses pensées, Marcus ne répondit pas. Julia se dirigea vers un des pupitres de contrôle de quelques caméra ou alarmes diverses qui devait truffer la base. Marcus enfin se releva, redressa le fauteuil qui avait servit de siège éjectable a Julia. L'objet émis quelques son bizarre et son dossier avait une inclinaison bizarre.

- Oup's, va falloir faire un rapport pour destruction de matériel militaire - dit il pour lui même a voix autre.

Julia, de dos, qui inspectait d'un peu plus près les cadrans et les écrans, lui lâcha

-Alors ? Tu me racontes ?

Marcus reposa le fauteuil derrière un bureau, tentant de lui donner une positon conforme ou disons qui limiterais de découvrir la casse par la prochaine relève ... il ramassa aussi son sac, qu'il posa sur le même bureau.

- Que dire ? suite a notre collision, j'ai tout quitté pour intégrer le SGC ... sans trop savoir ou j'allais d'ailleurs. J'ai pu franchir les portes de la base grâce a une erreur de dossier qui a grandement joué en ma faveur. Puis, j'ai eu l'aide de ta soeur - Marcus marqua une pause pour voir la réaction de Julia - qui malgré tout validé mon dossier médical - Marcus, ayant besoin de s'assoir, posa ses fesses sur le fauteuil cassé, qui bascula immédiatement. Marcus se releva comme un ressort, pour ne pas cautionner les dires de Julia. et me voilà - il écarta les bras avec un large sourire toujours pas officiellement intégré, mais j'ai survécu a tous les pièges de l'entrainement. j'attends avec hâte ma première mission... et pour toi comment ça se passe ici ?

Les deux amis étaient parvenus malgré le destin qui ne leur était guére favorable à regagner tranquillement leur poste de travail...pour l'instant. Et Julia se laissait bercer par l'accent so British et donc trés distingué de Marcus qui racontait...

- Que dire ? suite a notre collision, j'ai tout quitté pour intégrer le SGC ... sans trop savoir ou j'allais d'ailleurs. J'ai pu franchir les portes de la base grâce a une erreur de dossier qui a grandement joué en ma faveur. Puis, j'ai eu l'aide de ta soeur- qui malgré tout validé mon dossier médical

Julia tendit au jeune-homme le bocal de cookies maison et s'abstint de toute réaction ou commentaire. Fut-ce la vue de ces innocents mais délicieux gâteaux qui provoquérent la presque-chute de James Bond ? Julia l'ignorait mais par réflexe elle le retira vivement de sous le nez de Marcus qui lui se releva comme un ressort.

- Et me voilà !

Réception parfaite! Julia aurait mit dix sur dix au gymnaste Volco et était à deux doigts de l'applaudir tandis qu'n sourire hilare començait à se dessiner sur ses lévres. Finalement et même si elle savait qu'elle n'avait pas forcément raison elle était heureuse qu'il soit là aussi...et qu'Alicia aie validé son dossier médical.
- Toujours pas officiellement intégré, mais j'ai survécu a tous les pièges de l'entrainement. j'attends avec hâte ma première mission... et pour toi comment ça se passe ici ?

Julia sortit consciencieusement de ses poches son matériel à manucure qu'elle diposa sur le bureau avec une précision de chirurgien.

- Bien! Les gens ici sont vraiment professionnels et sympathiques. Je n'ai fait qu'une mission pour l'instant mais franchement ça a été avec plaisir et exaltation. J'avais confiance en l'équipe et j'avais envie de découvrir, de travailler. Je veux dire...vraiment. Pas uniquement parce que c'est mon devoir et que je suis payée pour ça tu vois ? Et il y avait tellement longtemps que ça ne m'était pas arrivé...J'avais peur de ne plus avoir goût à cela.

Et qu'est ce qu'elle aurait bien pu faire si elle n'avait pas pu continuer ce métier par manque d'amour pour lui ? Car c'était bien d'amour dont il s'agissait pour une profession de ce genre. l'Amour du risques sans Johnathan et Jennifer.Qand l'amour s'en allait et que ce soit dans n'importe quel domaine cela se soldait inévitablement par une catastrophe. En proie à un dilemme intense la blonde montra deux pots de vernis à ongles à Marcus

- A ton avis ? Cerise confite ou framboise givrée ?

Au vu du bocal de cookies, Marcus s’apaisa pour un court instant, avant que Julia, le lui mette hors de portée .... frustration ... Il s'assis précautionneusement sur un fauteuil en bon état, derrière le bureau ou était perché la blonde a son arrivé.

Finalement, ça n'était pas si mal, mis a part la grosse bosse derrière son crâne, Marcus était content de revoir Julia. Il se demandait comme il avait pu faire pour oublier son charmant sourire et ses yeux aaaaaah ses yeux ... déjà Marcus prenait se main. Malgré son regard étonné, elle ne lutta pas pour s'en defaire. Marcus lui sourit et finalement elle lui répondit.
Puis Marcus avança un peu son visage, comme pour l'inviter a faire de même. Elle sourit un peu plus et s'avança un peu aussi .... puis Marcus un peu plus, puis elle, leur visage était si proche que Marcus pouvait percevoir son souffle, elle ferma un peu les yeux et ...

BRUIT SE SAPHIR QUI PARCOURS VIOLEMMENT LA SURFACE D'UN 33 TOURS EN BIAIS

Marcus fut brusquement sorti de son rêve éveillé lorsque Julia fit rouler sur le bureau ce qui semblait être une trousse a maquillage. Il referma la bouche qu'il avait entrouverte par réflexe, lui donnant un air encore un peu plus abrutis que d'habitude

Bien! Les gens ici sont vraiment professionnels et sympathiques. Je n'ai fait qu'une mission pour l'instant mais franchement ça a été avec plaisir et exaltation. J'avais confiance en l'équipe et j'avais envie de découvrir, de travailler. Je veux dire...vraiment. Pas uniquement parce que c'est mon devoir et que je suis payée pour ça tu vois ? Et il y avait tellement longtemps que ça ne m'était pas arrivé...J'avais peur de ne plus avoir goût à cela.

Il ferma fortement les yeux une fraction de seconde pour se reconnecter a la réalité ... il ne se souvenait même plus de la question qu'il avait posé ...

-"euh oui, c'est pas faux" ....

- A ton avis ? Cerise confite ou framboise givrée ?

mécaniquement il répondit

-" non , pas cerise , je suis allergique " puis il baissa les yeux vers la table ou trônait tout un tas d'instruments de torture et plusieurs flacons de vernis a ongle ... il releva la tête vers Julia qui semblait un peu exaspérée mais aussi dans l'attente d'avoir une réponse ... Marcus percuta, accompagnant sa remise en réseau d'un petit bons sur sa chaise ...

-" ben framboise .... c'est bien framboise ... "

Reprenant ses esprits, il lorgna au dessus de l'épaule de sa vis-a-vis, cherchant a localiser le bocal a cookies ...

-"je pourrais avoir un cookie s'teu plait ? "


mais, avant qu'elle puisse répondre, Marcus remarque un voyant rouge qui s'alluma sur le vaste pupitre qui ressemblait a un cockpit d'un avion de ligne ....

-oh oui mon dieu, c'est le transsibérien qui m'a percuté en venant !

Julia se remémora l'entrée magistrale qu'avait fait Marcus tout à l'heure. Il n'était effectivement pas illogique qu'un coup de pieds non dénué d'une certaine...vitalité l'aie aidé à attérir par terre.

- mais qu'est ce qu'il fout cet abruti ?

Tous deux inclinérent la tête du même côté pour mieux observer et tous deux semblérent avoir la même idée au même moment. Julia grimaça "beurk je ne veux pas voir ça!"

- éh vous ... euh sergent ! qu'est e que vous faites là ?

Julia avait de moins en moins envie de connaître la réponse à cette épineuse question. Lorsque l'homme préhistorique se retourna et que des mâchettes apparurent elle eut un mouvement de recul. Marcus était devenu blanc comme un cachet d'aspirine. Elle lui atrappa le poignet

- Euh...On dit qu'on est térorisés non ? Ca me fait penser à un cauchemar que j'avais fait aprés avoir regardé Rambeau quand j'étais petite.

Positiver, il fallait toujours positiver. Julia lâcha Marcus et atrappa le bocal de cookies qu'elle lui tendit

- Non mais t'inquiéte pas ! Je suis sûre que l'on se fait des idées.

Les cookies partirent de nouveau avec Julia avant que James Bond n'aie eu le temps de plonger la main dedans. Elle se pencha sur le micro.

- Euh Sergent on peut savoir ce que vous faites avec tous ces joujous ?

Le Yeti leur offrit un sourire à la dent (oui il n'y avait qu'ne dent) aiguisée et étincellante à souhaits. Rahan aurait pu se faire un collier de toute beauté!

- Non vous pouvez pas!

Julia regarda Marcus se demandant ce qu'il fallait faire.

[... lourd silence ... ]
Est ce que Julia avait mal entendu où la voix venait-elle d'ailleurs que de l'appareil. Retenant son souffle elle n'osait pas se retourner.

- mon petit chat est mort

C'est quasiment en même temps que Marcus que Julia se retourna. En écho à ses pensées, James Bond demanda confirmation.

- euh ... pardon sergent? vous avez dit ?
- mon petit chat est mort

Et ce qui devait arriver, arriva, le géant éclata en sanglots.

- je crois qu'il est fou ... est qu'on va mourir ici ...

Marcus semblait tellement apeuré qu'elle ne savait pas si elle devait le consoler lui ou le mastodonte sanglotant. Elle secoua négativement la tête.

- Mais non, c'est juste un gros chagrin.

Julia s'approcha de lui, posa une main sur sa nuque et l'attira contre elle. Il y eut une bonne seconde de résistance et enfin Goliath s'abandonna. D'une main la jeune femme lui maintenait la nuque dans le creux de son épaule et de l'autre elle lui caressait les cheveux. La mére de Julia savait trés bien faire cela. Il n'y avait aucune raions pour qu'elle n'y parvienne pas.

- Allons, ça va aller. Il est au paradis des petits chats maintenant; avec une litiére tunée d'auto-collants kit-kat et plein de bonnes croquettes.

Entre ses larmes Goliath parvint à articuler

- Il aimait pas les croquettes!

King Kong se vidait dans le col de l'uniforme de Julia qui était trempé jusqu'à la taille. L'air ambiant n'était pas des plus chauds, elle claqua des dents.

- Dans ce cas il y a sa pâté préférée en quantité illimitée.

Tel un océan se déséchant il sembla se calmer un peu. Les soubressauts de son chagrin se faisaient moins rapproché. Malgré la situation inconfortable Julia n"était pas préssée, il fallait du temps pour se débarasser de larmes. Elle regarda Marcus avec un petit sourire désolé. Leur premiére collaboration avait été une catastrophe au final. Enfin, et alors qu'elle ne s'y attendait plus l'heure de la reléve sonna. D'ici cinq minutes un autre binôme viendrait les relever. Elle demanda à Marcus

- J'ai pas de mouchoir...mais j'ai vu qu'il y avait une couverture de survie qui traînait dans le coin ça devrait faire l'affaire! Tu peux me la passer ?

L'homme préhistorique sembla se ressaisir d'un coup. Il allongea le bras et l'enroula autour de James Bond pour l'attirer vers lui et Julia dans une étreinte tellement chaleureuse qu'elle en était étouffante.

-Vous êtes des vrais copains!

A moitié étouffée Julia glissa à son ami.

- Finalement tu as raison, on va mourir ici! Fais quelque chose!

Autant demander à Jack Sparrow de devenir honnête ou à Simon Wolowitch de ne plus être obsédé; Julia savait que la seule chose que pourrait faire Marcus et de manière somptueuse c'était déclencher une catastrophe. Mais après tout une catastrophe pouvait sauver d'une autre....

apparemment, ils n'allaient pas mourir ...

lorsque Marcus vit Julia s'approcher du colosse aux machettes, il cru tout d'abords que s'en été fini de sa collègue ... puis quand le colosse, fondit en larme sur l'épaule de Jula, Marcus senti son corps se relâcher. Sous l'effet de la peur, il n’avait eu ni froid, ni chaud ... mais la tout d'un coup, les nerfs se détendirent. il sentit la un flot de transpiration se libérer le long de sa colonne vertébrale. Il liu sembla que la tamise lui descendais les long des vertèbres.

...

- Il aimait pas les croquettes! là elle est morte se dit Marcus ...

- J'ai pas de mouchoir...mais j'ai vu qu'il y avait une couverture de survie qui traînait dans le coin ça devrait faire l'affaire! Tu peux me la passer ?

- Euh, oui,bien sur ... Marcus se déplaca avec précaution,prisl a couverture et la tendit comme un bout de viande rouge a un tigre. Il voyait les grands bras du sergent autour des épuales de Julia, celle ci ployant sous le poids. L''homme tenait toujours ses machettes dans des mains. Marcus déglutit

-Vous êtes des vrais copains!

A moitié étouffée Julia glissa à son ami.

- Finalement tu as raison, on va mourir ici! Fais quelque chose!

Marcus eu un regain de stress ... mourir ? maintenant ? pas question,il n’avait pas le temps ! vite une diversion ...

-ah ... éh ... vous faites quoi avec ses deux ... canifs ? sergent ?

le géant se redressa, essuyant ses joues du revers de ses manches. le geste ample fit passer les lames a quelques millimètres du haut du crane de Julia, faisant tomber quelques cheveux .La jeune femme fut par la même occasion libérée et repris un peu de couleurs.. Le colosse renifla , fouilla dans la poche de son imper et en sorti un mini-cercueil tout ouvragé, sur le quel était marqué "à Kiki"

- je lui sculptais une boite pour l''enterrer

Marcus eu un rire nerveux, il regarda le sergent puis Julia avec un large sourire, avant de tomber dans les pommes ....

FIN

Voici vos notes :

Julia Becker :
Orthographe / Conjugaison / Structure des posts : 3/4

Cohérence dans les Posts, imagination et originalité : 3/4

Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres : 2/2

Total 8/10


Marcus Volko :
Orthographe / Conjugaison / Structure des posts : 3/4

Cohérence dans les Posts, imagination et originalité : 3/4

Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits des autres membres : 2/2

Total 8/10

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