DOSSIER DE CANDIDATURE DE HALE NATHAN
STARGATE COMMAND
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Carte d’Identité » Nom : Hale » Prénom : Nathan Conrad » Âge : 32 ans » Date et Lieu de Naissance : Huston, Texas, 1 janvier 1978 » Nationalité : Américaine » Etat Civil : Divorcé - Célibataire » Taille : 1m93 » Poste demandé : Militaire
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Personnalité
» Caractère : (minimum de quatre lignes exigé. Détaillez maintenant la personnalité de votre personnage)….
L'homme est-il toujours considéré comme un animal ? Certains diraient que oui, d'autres seraient contre cette idée, mais si la chose avait encore un sens, c'est à cet homme que l'on pourrait attribué ce titre. D'une nature bestiale, un être sauvage sans scrupule et sans pitié qui l'ont menait à des excès de rage sans raison au combat, bien que hors de conflit il soit naturellement calme et posé. Il n'était pas très apprécié, et lui-même n'appréciait pas les gens qui osait la critique sur son état psychologique; il était capable de laisser mourir des innocents ou de préférer accomplir une mission avec succès en dépit d'aider ses équipiers à survivre. De ce faite, il était solitaire, et ceux qu'il considérait vraiment comme des coéquipiers formés avant tout ses vrais amis de longue date auxquels il attachait beaucoup de respect comme si ils étaient sa propre famille. Les rares qui eurent apprivoisé la bête apprirent à mieux le connaître et l'apprécièrent pour son être et non pas pour ses remarques obligeantes, son air hautain et sur de lui-même, il était même très drôle et n’arrêtait pas de sortir des vannes même dans le spires cas; après tout comme avait-il pu avoir une femme...Pourquoi avait t-elle divorcé ? Auprès des femmes ce n'était pas vraiment la même affaire, il leur vouait presque un culte de façon exagérée. Il appréciait leur compagnie, surtout leur corps, et se comportait tel un vrai gentlemen bien galant et doux, un séducteur accomplie ce qui lui valut quelques représailles de son ex-femme à l'époque où ils étaient encore ensemble. Elle avait voulu le divorce car selon elle Nathan était beaucoup trop impliqué dans ses missions, il parlait à longueurs de journées de ses exploits accomplies et de la manière dont il avait tué chacune de ses cibles, de quoi dégoûté quiconque, et puis il délaissait trop à son goût le domicile familiale pour aller faire des choses typiques d'hommes viriles sur sa Harley.
Ce n'était pas un soldat très droit au sein de l'armée, plutôt désinvolte et se fichant totalement de l'autorité, ce qui lui valut quelques reproches par le cadre supérieur. Mais il restait un bon soldat, seulement du fait qu'il accomplissait ses missions avec succès, mais souvent pas par les voies les plus honorable. Pourtant on ne devait pas en dire qu'il était déloyal, il n'avait jamais déserté et c'était toujours battu avec sang-froid pour son pays. Ainsi il avait été chaudement recommandé au SGC non pas pour ses qualités sociales mais par ses faits d'armes.
Histoire
Journal de guerre - 17 juin 1997 - AfghanistanBon voilà je me présente, Nathan Conrad Hale. Je suis née à Huston, dans le Texas, le 1 janvier 1978. Ce jour de fête marqué le départ de mon père en Afghanistan, le monde était plongé en pleine guerre froide mais on ne parlait pas encore d'une troisième guerre mondiale. Les tensions étaient poussées à l'extrême, ma mère, qui à l'époque servait encore de médecin dans l'US Force, redoutée de ne pas revoir son marines de mari revenir entier. Pendant de longues années, elle entendait par le biais des médias, même si certaines informations paraissaient douteuses, que l'Afghanistan était un endroit hostile aux forces américaines, que le nombre de morts dans les deux camps annonçait un bilan catastrophique digne de la guerre qui précéda, elle avait peur mais elle devait faire avec et se contenta d'un maigre salaire pour me faire vivre. A force, elle ne pouvait pas travailler à temps partielle, et elle se résigna à m'envoyer dans un bon vieux pensionnat militaire bien carré et patriote comme on en faisait y a fort longtemps.
J'ai donc grandi sans éducation parentale, sans vraiment appréhender les choses sur les raisons de l'engagement de mon père et le refus de ma mère de vouloir m'élever comme tout mère l'aurait fait, bien que la pension militaire dû à mon père nous permettait de vivre, pas dans la luxure, mais assez convenablement. Je n'avais d'autres choix que de vivre dans ce pensionnat, attendant avec impatience chaque Weekend pour revoir ma famille, en particulier mon cousin qui était comme un frère pour moi. L'école, ce n'était pas forcément ce qui me plaisait le plus, surtout avec notre professeur qui n'était autre quand commandos marines septuagénaire, vétéran de la deuxième guerre. Ce que j'aimais le plus c'était le sport, oh oui ça j'adorais mais si le sergent instructeur qui s'occupait de nous n'était pas vraiment un tendre, il nous comptait comme ses propres enfants, ça faisait toujours chaud au cœur de savoir ça.
Et puis je me suis mis à repenser à mon père, à ce qu'il devait endurer, et puis j'ai commencé à lui envoyer des lettres, et il me répondais avec plein d'affection et toujours avec cette petite déception de ne pas pouvoir me voir grandir, ne pas pouvoir m'élever lui-même, jouer au football...D'ailleurs il n'arrivait pas à comprendre les motivations de ma père à me mettre en pensionnat. Un jour, je m'y attendais pas du tout, c'était mon douzième anniversaire, il avait réussi à octroyer une permission pour nous rendre visite à ma mère et moi. Hélas, comme moi-même, il avait été surpris de voir que sa femme avait rencontré un autre, et que j'avais désormais une demi-sœur. Il avait pleuré, c'était la première fois que je le voyais pleuré, non enfaite c'était la première fois que je le voyais pour de vrais. Et j'avais senti dans son cœur qu'il avait eu honte, honte de s'être engagé et d'avoir laissé sa famille seule derrière lui. Il est reparti quelques temps après, l'armée c'était sa seule famille. Moi dans tous ça, je ne savais que pensé, finalement l'armée aussi c'était ma famille.
Journal de guerre - 19 juin 1997 - AfghanistanDésolé si vous trouvez que j'écris mal, l'écriture ça n'a jamais été mon point fort. Moi ce qui me passionné c'était la Biologie et la Physique Chimie, j'adorais ça par dessus tout. Cela me paraissait d'ailleurs bizarre de savoir que je n'étais pas aussi fort en Maths, mais je faisais avec. Malgré ces deux moyennes excellentes ainsi que celle de sport, mon bulletin était une catastrophe et on me voyait comme un moins que rien. Ce n'était pas de l'avis du Sergent Instructeur qui voyait en moins un soldat née, malgré mes nombreux écarts de conduites et ma fâcheuse manie à désobéir. J'avais enfin pris conscience que l'armée semblait être le choix le plus judicieux dans mon avenir. Quelques années après, bien avant la fin de la guerre en 1991, j'avais appris à mes dépends que mon père était mort en héros en couvrant une mine, en voulant protéger ses camarades. Je ne sais pas, je ne ressentait rien à l'égard de ce type, il était mon père et je semblais l'aimer, peut-être pas assez car je n'avais pas versé une larme en entendant la nouvelle. Ma curieuse vie familiale m'avait bien endurcis au cours de ces années. A mes dix-huit ans je m'engageais dans l'US Navy.
Journal de guerre - 30 juin 1997 - États-Unis d'AmériqueJe suis rentré pour une permission, soi-disant que j'étais troublé mentalement après m'être évadé d'un camp Taliban. Je m'attaches donc à continuer ma biographie jusqu'à qu'on me renvoie là-bas. J'avais intégré plus tôt les Navy Seal, après un entrainement acharné et des formations emmerdantes à ne plus finir. Mais j'étais parmi les 20 %, et j'en étais bien heureux, parce que j'en avais bavé. On m'a fait entrer dans la SEAL team 3, en opération dans l'Ouest de l'Asie, est basé à Coronado en Californie. J'avais choisi comme spécialité l'infiltration et le tir de précision, déjà que je me débrouillais plutôt bien au corps à corps après avoir fait dans ma jeunesse plusieurs sports tactiles comme le football ou le judo.
Dans ma section, on ne respectait pas beaucoup les ordres, on se foutait l'autorité au cul, on se contentait de faire notre travail mais pas souvent dans les règles. Cela nous valut moult reproches mais on s'en fichait. Et puis cela ne s'arrangeait pas beaucoup avec les pires "tarlouzes" de nouveaux SEALs qu'on nous ramenaient à chaque, ils avaient réussi leurs formations pourtant, mais le morale...rien à voir avec des soldats basiques. Moi-même j'opérais la plupart du temps en solo, malgré les engueulades chiantes que me faisait le capitaine de frégate. Alors souvent je m'arrangeais avec trois-quatre types que je connaissais bien et avec lesquels le respect et l'amitié étaient mutuelles et on partait en mission. On n'avait monté notre propre escouade : "Les Bloody Marie", en référence à l'un d'entre nous qui était fan du cocktail éponyme.
Journal de guerre - 6 Décembre 2011 - États-Unis d'AmériqueEt puis un jour on m'a dit que la Navy c'était fini, que j'étais affecté ailleurs. Ça s'appelait Porte des Étoiles. Ça me branchait pas vraiment, en plus que j'allais devoir quitter mes potes, mais bons j'y allais pour prendre l'air...
Informations Médicales
» Groupe Sanguin : AB+
» Pathologie : Durant l'enfance : hyperactivité
» Antécédents médicaux : Décembre 1998 : Blessure par balle de 5.56 à l'épaule, lors d'un intervention dans une villa à Kaboul
Janvier 2001 : Cheville foulé, épaule déboîté, lors d'une rencontre sportive de football durant une rencontre entre Team ONE et Team TWO
Juin 2003 : Légère commotion cérébrale, dû à une porte piégé dans un village pachtoune en Afganistan
Mars 2006 : Plaies multiples sur le corps, après s'être fait torturer par des insurgés
Vous derrière l’ordinateur
» Prénom ou Surnom : Le bourrin, le taré, Superman, Crusher, Eclate-burnes...A vous de voir xD
» Âge : 15 ans 3/4
» Célébrité de votre avatar : Christian Bale
» Comment avez vous connu MS ? J'y suis déjà
» Connaissez vous les séries Stargate ? Da !
» Multicompte ? Non !