Le soleil venait de se lever sur le camp. Sa lumière chaude baignait les quelques bâtiments aux alentours : les baraquements, la cantines, les latrines. Et le bureau des formateurs. Je restais debout, devant la fenêtre, contemplant le camp qui s’éveillait, sans vraiment m’y intéresser. Mes pensées étaient tournées vers ma dernière mission effectuée. Puis je me reconcentrais sur le moment présent, saisissant le dossier qui m’avait été confié peu de temps avant. Une jeune scientifique, Tracy Murggeo. Je lisais les nombreuses feuilles qui composaient son dossier à la lumière du jour, découvrant sa vie, son parcours. Les minutes passèrent et quelqu’un frappa et entra. Je me retournai, découvrant Tracy en chair et en os.

-« Repos, Murggeo. Je suis le colonel Fett et je serai en charge de votre instruction. Vous êtes ici au camp d’entrainement du SGC. Par ici passe toutes les recrues avant leur incorporation au service actif. Vous allez devoir faire vos preuves, montrer que vous en voulez. Mais passons à vous. Française, doctorante en biologie, un passage dans l’armée de terre française, avant d’atterrir ici. Vous ne vous sentez pas un peu perdue ? »

Je posais son dossier sur le bureau poussiéreux, pour observer ma nouvelle recrue. A la vue de son CV, je me demandais ce que j’allais pouvoir en faire. Au moins elle avait l’avantage d’être passée par le métier des armes.

-« Que savez-vous sur le projet portes des étoiles ? parlez librement, vous ne risquez rien ici. »

Je laissais Tracy exposer rapidement ce qu’elle savait à ce sujet.

Après un salut auprès de son supérieur, elle s'était assise comme, il lui avait demandé. Elle avait lu le dossier en long et en large, mais ne comprenait pas ce qu'elle venait faire dans cette section. Elle était spécialiste des animaux mais surtout des plantes. Elle ne comprenait pas en quoi ses travaux pourrait leur être utile. Mais elle avait une chance de sont côté malgré qu'elle ne soit pas une combattante aguerrit comme la plupart des soldat. Elle avait appris au moins les base de l'armement et en cas de besoin elle saurais se défendre. Elle écouta le Colonel parler.

Repos, Murggeo. Je suis le colonel Fett et je serai en charge de votre instruction. Vous êtes ici au camp d’entrainement du SGC. Par ici passe toutes les recrues avant leur incorporation au service actif. Vous allez devoir faire vos preuves, montrer que vous en voulez. Mais passons à vous. Française, doctorante en biologie, un passage dans l’armée de terre française, avant d’atterrir ici. Vous ne vous sentez pas un peu perdue ?

Elle expira calmement, remplaçant ses lunette sur son nez, bien qu'elle parlait couramment l'anglais elle gardait un accent français. Qu'elle désirait ne pas perdre pour garder une trace de ses origines.

Je eut l'occasion pendant mon voyage de lire en long et en travers le dossier que l'on m'as fourni lors de ma mutation. Si j'ai bien comprit, et j'avoue quand même avoir un peu de mal a y croire. Que vous auriez trouvé une certaine porte qui vous permettrais de voyager a travers l'espace et de découvrir de nouvelle planète.

Elle arrêta sa tirade pour remettre une de ses mèche de cheveux derrière l'oreille avant de reprendre.

Je doit avouer qu'en tant que scientifique, si on m'en aurait parler avant d'avoir eut le dossier sous les yeux. J'aurais bien rigoler, mais avec ces photo et ces rapport, je ne peut que y croire. Il me semble aussi avoir compris que vous avez des ennemie du nom de.. Goa'ulds. En voyant les photo on peut se demander vraiment qu'elle différence entre nous et eux.

Elle s’arrêta a nouveau cherchant ses mots ayant encore un peu de mal parfois quand elle était troublé avec l'anglais.

Je doit avouer que je ne comprend pas réellement ma venue ici. Je me suis spécialiser dans la faunes et la flore. Le bienfait et les méfait de plantes. Je ne comprend pas en quoi mes compétence seront utile. car je doute que vu la situation que décrit le dossier... Que les qualité des plantes soit le cadet de vos soucis.

Elle s’arrêta a nouveau se rendant compte qu'elle n'avait pas répondu a la première question.

Je ne me sent pas perdu. J'ai souvent voyagé, soit changeant de région soit en changeant de pays. ce ne fut pas toujours facile, mais je m'adapte très vite. Pour l'instant, j'aimerais bien en savoir plus sur ma présence ici, et a mon utilité. Car je doit avouer que malgré que j'ai suivit un entrainement aux combats... Je n'ai jamais eut l'occasion d'aller sur le terrain.

Elle s’arrêta a nouveau dans son discours en attendant la réaction du colonel et surtout ses réponse. car après tout, il avait son avenir dans cette base entre ses mains.

Tracy me déballa tout ce qu’elle avait apprise grâce aux dossiers qu’il lui avait été fournis. Bon nombre de recrues étaient étonné de l’envergure du programme, de ses missions et de ses dangers. D’où l’intérêt de cet entrainement, s’y préparer, du mieux que l’on pouvait. Mais cela se révélait parfois insuffisant, surtout en voyant le nom d’une jeune recrue sur le tableau des KIA.

-« A la vue de votre formation, et de ce que je sais sur la flore extra-terrestre, vous serez d’une aide précieuse. J’ai vue bien des plantes sur les autres planètes. Certaines sont en tous points identiques à celles de la Colombie-Britannique, d’autres n’ont absolument rien de « terrestre ». Mais passons au chose sérieuse. Vue que les armes ne sont pas votre passion, nous allons revoir les fondamentaux, après exercice grandeur « nature ». Suivez-moi. »

J’invitais la belle française à sortir de mon bureau. Une fois à l’extérieur, nous traversions le camp, où déjà beaucoup plus de monde s’afférait à leurs activités quotidiennes : footing, marche au pas, garde-à-vous, popote. Bon nombre de militaires du rang et de sous-officier nous croisèrent et nous saluèrent. Je devinais que certains se retournaient pour mieux observer ma nouvelle recrue, et d’autres s’esclaffèrent un peu trop bruyamment.

-« J’espère que vous êtes habituée à fréquenter des hommes en rut. »

Après quelques minutes de marche, nous arrivions au champ de tir, où l’habituel duo de militaires s’entrainait au tir avec le fusil de précision Barett calibre 50. de grosses détonations résonnèrent de temps à autres, et des cibles volaient en morceaux à mille mètre de là. Je portais l’attention de Tracy sur un râtelier, où patientaient un M4, un P90 et un zat. Plus loin, espacées sur des distances raisonnables, des mannequins fringués avec des armures jaffas attendaient leur heure venir.

-« Voici trois arme différentes, M4, P90 et un zat’nik’tel. Pour le dernier, nous verrons cela plus tard. Entrainez-vous sur les deux premières, vous choisirez ensuite avec la quelle vous êtes la plus à l’aise. N’oubliez pas que régler vos organes de visée. »

Je laissai libre cours à la recrue Murggeo de s’exercer. Je jetais un coup d’œil aux deux militaires qui avaient cessé de tirer et observaient minutieusement Tracy, avec un grand sourire jusqu’aux oreilles, se pinçant mutuellement, croyant rêver.

-« Vous pouvez reprendre vos exercices de tirs messieurs. »

Mes paroles n’avaient guère d’effets.

Hj : pour la séance de tirs, n'oublie pas que ton personnage, si j'ai bien compris, n'est pas très à l'aise avec les armes.

A la vue de votre formation, et de ce que je sais sur la flore
extra-terrestre, vous serez d’une aide précieuse. J’ai vue bien des
plantes sur les autres planètes. Certaines sont en tous points
identiques à celles de la Colombie-Britannique, d’autres n’ont
absolument rien de « terrestre ». Mais passons au chose sérieuse. Vue
que les armes ne sont pas votre passion, nous allons revoir les
fondamentaux, après exercice grandeur « nature ». Suivez-moi.

Elle l'écouta attentivement. Par entrainement grandeur nature, il supposait surement par un entrainement au tir. Elle retint un soupire, elle se doutais qu'elle devrait passer par cette cas un jour ou l'autre mais ne se l'imaginais pas aussi rapide. Ils croisèrent beaucoup de monde en activité, cela semblait déjà un peu plus réveiller que quand elle était passé le matin même. Elle les salua tous comme le voulait les règles de l'armée, elle en entendit certain siffler a son passage, d'autre pensait trop fort. Elle en vis même un se cogner contre quelqu'un parce qu'il la regardait.

J’espère que vous êtes habituée à fréquenter des hommes en rut.
Je ne pense pas que l'on peux vraiment être habitué a ce genre de chose. Je dirais plutôt que l'on apprend vite a faire avec. Dans mon ancienne base je déclenchait les même réactions...

Après quelque minutes de marche, dans un centre d'entrainement de tir. Elle observa les alentour et découvrit des armes qu'elle avait déjà vu et d'autre qui lui était totalement étrangère. Surement des armes qui ne venait pas de cette planète. Peut être une connaissance extraterrestre. Elle vit une cible exploser en millier de morceau a mille mètre de la ou elle se trouvait. ce qui était sur c'est qu'il ne fallait pas attendre de sa part de son bon tir. Il rapporta son attention sur un râtelier. Elle appercut au loin des cibles en armure, qui ne semblait qu'attendre leur tour.

Voici trois arme différentes, M4, P90 et un zat’nik’tel. Pour le
dernier, nous verrons cela plus tard. Entrainez-vous sur les deux
premières, vous choisirez ensuite avec la quelle vous êtes la plus à
l’aise. N’oubliez pas que régler vos organes de visée.
Très bien.

Elle s'approcha doucement des armes, elle vit les deux hommes, la détaillé du regard avec de grand sourire. Si il pouvait lui sauter dessus, il ne se serais surement pas gêner pour le faire. Elle fit abstraction de leur présence et se concentra sur les armes présente en face d'elle. Sur les trois armes, elle en connaissait déjà deux, c'était déjà pas mal, la troisième lui était totalement inconnu. Elle devait faire bonne impression, mais avec le tir, ça commençait plutôt mal. Elle aurait aimé testé la troisièmes mais ne la connaissant pas, elle y renonça et porta son choix sur le P90.

Vous pouvez reprendre vos exercices de tirs messieurs.

Ils ne devaient surement pas l'avoir encore lâcher du regard. Mais qu'importe il pourrait la fixer autant qu'ils le désirent, cela ne la dérangerais pas plus que cela. Elle attrapa l'arme, s'approcha de la table et le posa dessus, enfila le casque. Elle reprit l'arme en main. Dans ses souvenir, elle semblait lui peser moins lourd. Peut être que se remettre au sport quotidiennement ne serais pas une si mauvaise idée. Elle retira ses lunette, heureusement pour elle, elle n'en avait besoin que pour voir de prêt. Elle soupira doucement pour laissez sortir tout le stress et se décontracter.

Elle tira une première rafale, et comme elle s'y attendait, aucune de ses balles ne toucha la cible. De toute façon, elle ne s'attendait pas à la toucher directement. Elle soupira une nouvelle fois, cette fois-ci prenant le temps de viser, de se concentrer sur sa cible. Sa mutation se jouait ici, si elle voulait rester ici, elle se devait de réussir. Avant d'être scientifique elle se devait de devenir une recrue parfaite. Si elle n'était pas capable de tirée correctement, personne ne pourrait lui faire confiance par peur de se faire touché eux même par erreur. Si ces mondes était réel alors elle se devait de faire partit de l'aventure, elle devait. Non elle désirait plus que tout étudier ses plantes.

Elle se concentra une nouvelle fois, puis tira une nouvelle rafale. Cette fois ci, elle avait réussit a la touché au jambes. Certes ce na serait rien de mortel, mais au moins elle avait réussit a la toucher. Elle grimaça, mais persista une nouvelle fois. A la troisième rafale, elle toucha sa main. Bien, elle n'arrivait toujours pas a toucher un endroit convenable mais ne perdait pas espoir, et était déterminer a réussir. Comme chaque chose qu'elle entreprenait, elle se donnait a fond pour la réussir.

Il faut croire, que j'ai besoin de m'entrainer a nouveau au maniement des armes...

La recrue se débrouillait tant bien que mal lors de sa séance de tir. Bien que pour moi le P90 était une arme relativement facile à dompter, il semblait que bout un bout de femme comme Murggeo, c’était tout autre chose. Je pris le P90, pour lui faire une démonstration. Le poids de l’arme me semblait ridiculement faible entre mes mains. Je me mit en position, réglant le sélecteur de tir sur le mode semi-automatique.

-« Si vout avez du mal avec les rafales, essayez en mode semi-auto. Il est plus facile d’ajuster son tir en coup par coup et d’en caisse le recul de l’arme. »

Je tirais quelques cartouches pour lui faire une démonstration. Chaque balle atteignit sa cible. Je redonnait l’arme à Tracy pour qu’elle puisse s’exercer à nouveau. Il valait mieux maitriser une arme, si l’expérience m’avait appris une chose, c’était de bien gérer ses munition et de faire mouche à chaque fois. Que ce soit un jaffa, un réplicateur ou une autre créature des profondeurs intergalactiques. Ce coup-ci, Murggeo réussi à maitriser son arme, faisant mouche à chaque fois. Bien plus prometteur. Je pris le M4 pour lui présenter.

-« Même chose avec le M4. Commencez directement en semi-auto. C’est un fusil d’assaut, le recul est plus important. Et visez des cibles un peu plus lointaine, l’arme ayant plus de portée. »

Je laissais donc Murggeo tirer avec cette nouvelle arme. Je jetais un coup d’œil aux deux militaires, toujours aussi heureux de voir une femme prêt d’eux. Apparemment, l’entrainement était secondaire pour certains. Après quelques minutes pétaradantes, Tracy en avait finit avec le M4. Elle s’était mieux débrouillée qu’avec le P90, ayant appris de ses erreurs. On pouvait enfin passer au zat.

-« Ceci est un zat’nik’tel. Une des armes utilisées par vos ennemis. Elle tire un fin rayon d’énergie bleutée. Une décharge provoque une paralysie temporaire, la seconde, la mort. Pour l’utiliser c’est très simple : Prenez l’arme par le bas, appuyez une fois et elle s’arme. Ensuite appuyez pour tirer. »

Je fis une petite démonstration sur un mannequin des alentours. Un rayon le toucha et des éclairs le parcoururent. Puis je tendais l’arme à ma recrue.

Hj : Pense à décrire tes sensation face au zat.

Sans grande surprise, Tarcy se révéla à l’aise avec le zat. Celui-ci était en effet une arme légère et sans aucun recul. Elle était très utile comme arme de poing, même si personnellement je ne l’utilisais jamais. Maintenant que la recrue semblait à l’aise avec les armes, l’entrainement allait pouvoir enfin commencer.

-« Les zat sont fait avec un métal extra-terrestre, le naqquadah. Après, pour son fonctionnement, je ne sais pas. Maintenant suivez-moi, nous allons passer à un exercice plus que pratique. »

Nous quittions le champ de tir, laissant les eux militaires reprendre leur entrainement, bien qu’ils discutaient entre eux sans nous lâcher des yeux. Nous parcourions quelques centaines de mètres, pour arriver près d’un hangar. Devant l’entrée se tenait deux militaires, équipé comme en mission. Ils me saluèrent, salut que je leur rendirent.

-« Recrue Murggeo, je vous présente le lieutenant Jones, le sergent Martin et le caporal Webster. Ils seront vos coéquipier pour cet entrainement. Messieurs, et dame, votre objectif est simple : dans ce hangar est caché une espèce très rare de plante. D’où votre présence ici Tracy. Voici une photo de votre objectif. Ramenez-le. Murggeo, équipez vous avec ceci.»

Je donnais à Tracy une caisse contenant un gilet pour mission, un P90 équipé d’un intar ainsi que d’un zat. La porte d’entrée s’ouvrit d’elle-même, laissant apercevoir un genre de sas. L’équipe s’y engouffra, puis la porte se referma, laissant l’équipe dans la pénombre.

-« Encore les foutus entrainements à Fett, il me les brise ! »

-« Taisez-vous sergent ! Murggeo, votre arme est équipez d’un dispositif d’entrainement. Ne craignez rien, ça tire un rayon rouge sans danger. »

Soudain, les autre portes du sas s’ouvrirent sur un genre de forêt. Il y avait de tout, des sapins, des frênes et quelques plantes plutôt pas normales. Le lieutenant fit signe de rester groupé puis d’avancer.

Hj : on va faire une sorte de mini-mission. je serai ton MJ.

Voici la photo de ton objectif :

Tracy avançait doucement dans cette reproduction de forêt qui paraissait bien réaliste si on oubliait de regarder les pots qui tenaient encore les plantes. Il n'y avait pas été de main morte pour son épreuve et finalement ils la prenaient au sérieux. Elle suivait ses partenaires en observant les plantes qui l'entourait en essayant de trouver leur nom ou de trouver une quelconque ressemblance avec celle de la terre. Elle remarqua que certaines plantes avaient exactement la même ressemblance que celle sur terre si on oubliait leur taille. Heureusement pour les humains, les plantes carnivores restaient encore de petite taille comparé a celle-ci.

Voila pourquoi j'aime mon appart' avec mon banzaï.

Tracy rapporta son attention sur son collègue. Il semblait être nerveux, peut-être n'était-il pas habitué à ces ballades en pleine nature. Elle sourit en coin, si il devait encore une fois l'accompagné, il devrait se faire à l'idée de se retrouver perdu en plaine cambrousse. Le lieutenant leur ordonna de s’arrêter ce qu'ils firent tous. Tracy continuait d’observer les plantes autour d'elle tout en écoutant son supérieur.

Le hangar est vaste, on va se diviser en deux. Sergent avec Murggeo, Webster avec moi. Contacte radio régulier, au moindre pépin appelez.

Le temps de trouver un pommier.

Elle en était sur, ces partenaires n'aimait carrément pas la nature, enfin elle n'avait pas encore visité d'autre végétation que celle de la planète Terre. Peut-être changerait-elle aussi d'avis quand elle en auras vu autant qu'eux. Mais sans cherchez à discutez sur leur choix un peu répétitif de quitté au plus vite cette végétation, elle suivit le sergent. Elle lui aurait bien aimé lui expliquer la différence d'intelligence entre lui et une plante. Mais après une légère réflexion, elle ne pensa pas que ce soit une bonne idée, ni le bon moment. Ce n'était surement pas dans les capacité d'un sergent et surtout un non scientifique de comprendre la beauté des plantes. Ce n'était déjà pas son boulot, il ne fait surtout pas trop en demander non plus.

Elle sentit quelque chose frôler sa jambe, elle étouffa un cri de surprise et regardait ce qui avait bien put bouger mais rien ne semblait réagir. Mais à peine avait-elle relevez la tête qu'elle vu les images bouger bizarrement, Une plante venait de l'attraper par la jambe droite et la soulevait sans le moindre mal. A le surprise générale, elle avait lâchée son armes et un cri, elle commençait à regretter amèrement sa maladresse. Par chance, le sergent réussit à l'attraper juste à temps avant qu'elle ne soit hors de porté.

Bougez pas !

Facile à dire quand ce n'est pas vous la cible d'une plante qui a la bien bonne idée de vous attraper pour vous bouffer. Tracy tapait de toutes ses forces sur la liane pour essayer de la faire lâcher. Mais rien n'y faisait celle-ci tenait bon et ne désirait pas la libéré.

Mais lâche moi foutu plante ! Je ne suis pas comestible !

Essayez d'enlever ce truc ! Dit-il assez fort pour que les autres puisse l'entendre.

Vous croyez que j’essaie de faire quoi la.. ? Que je tricote peut être.. ?

Sa voix trahissait la panique qu'elle ressentait. Elle continuait de s'acharner sur la plante. Celle-ci continuait de soulever Tracy, certes avec un peu plus de mal mais continuait tout de même. Plus, elle s'élevait plus la panique s'intensifiait, elle continuant de s'acharner sur la plante. Elle n'avait pas fait tout ce chemin pour se laisser bouffer aussi facilement. Elle regardait autour d'elle cherchant un truc qui pourrait l'aider mais rien... Le néant tout semblait si loin à ce moment, le sergent commençait à avoir du mal à la retenir. Est ce déjà sa fin alors qu'elle n'avait même pas commencé à visité d'autre planète.. ?

Ce n'était pas encore le moment de pensé à ça, pour le moment, le sergent la tenait encore malgré qu'il commençait à avoir du mal. Jones et Webster arrivèrent enfin en courant pour venir les aider. Jone attrapa l'autre bras de Tracy. A eux deux, il réussir à la faire redescendre juste assez pour que Webster s'occupe de la liane. Le voyant faire, elle cessa de lui taper dessus voyant que cela n'avait aucun effets sur cette plante. Il sortit son couteau de sa poche et la coupa.

Pour ceux qui connaisse la loi de la gravité, tout ce qui monte finit tôt ou tard par redescendre. Cette régle n'échappa à Tracy qui vint s’écraser lourdement au sol laissant échapper un cri de douleur, quand son dos vint frapper le sol. Par réflexe elle s'allongea sur le côté et vint se massez légèrement le dos pour faire disparaitre la douleur. Le choc lui avait fait perdre son souffle quelque instant, Avec l'aide de jones, elle se releva bougeant son dos en reprenant son souffle. A la fin de la mission, elle gagnerais le droit de faire un tour à l'infirmerie pour vérifier qu'elle n'avait rien de grave.

Voila pourquoi je préfère les banzaï

A peine avait-il finit sa phrase que la plante vint l'attraper et le soulever dans les air. Mais il fut plus rapide que Tracy pour réagir, il coupa rapidement la liane avant de retomber au sol. C'est a sa que l'on voyait son expérience. Sa rapidité a réagir.

Heuresement que je l'avait sur moi.

On bouge d'ici. Muggeo, d'après-vous où pourrait vivre cette plante ?

Plein sud. D'après ce que j'ai put voir, je dirais qu'elle aime beaucoup le soleil et la chaleur.

Tracy ramassa son armes puis l'équipe s'éloigna de la zone de la plante carnivore. Subitement, après avoir vu ce que les plantes des autres planètes pouvaient faire, tracy comprit pourquoi, il n'appréciait pas les plantes. Elle continuait à se masser le dos en avançant.

Tracy Murggeo courait à toute allure à travers la fausse forêt, les arbres défilaient devant ses yeux, tout comme les tirs de l’ennemi. Heureusement pour elle, il n’était pas très bon tireur. Elle continua de courir, et les tirs s’éloignèrent. Visiblement, il avait lâché prise. La recrue s’arrêta à coté d’un bon vieux chêne bien terrien. Du bruit parvint à ses oreilles. Ennemi ou ami ? Un homme sortit d’un bosquet bleu fluo. Il s’agissait de Martin. Mais il semblait différent, complètement à l’ouest. Ses yeux semblait rouge.

-« Les goa’ulds, les goa’ulds… »

Il fit quelques vagues pas, puis il vit Tracy. Il cria et ouvrit le feu. Murggeo réussit à esquiver et se trouva un abri. Elle l’observa puis elle sentit qu’on la chatouillait au niveau de sa cheville droite. Une liane tentait de s’enrouler autour de sa cheville. Tracy vit également que nombreuse autres lianes approchaient, comme si, sortie de nulle part elles n’envoulait qu’a la jeune recrue.

Hj : court, mais on approche de la fin

HRP :

j'arrête l'entrainement là, je suis à bout d'idées.

Ta note :
-Orthographe / Conjugaison / Structure des posts : 3/4

-Cohérence dans les Posts : 3/3

-Respect des Règles de RP, de l’Intrigue Générale et des écrits du MJ : 3/3

Total 9/10

Bienvenue au SGC !

Merci bien pour ce rp !