Fergie Finucane ----------------  ----------------  ----------------
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Arrivé au SGC : 24/09/2010
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 |  Sujet: Fergus Roland Finucane 24.09.10 23:47 | |
| Votre Personnage Nom : FinucanePrénom : Fergus "Fergie" RolandAge : 38 ans (Né le 16 juillet 1972)Description physique En dépit de son passé militaire, Fergus ne possède pas un physique hors-du-commun. Même s'il se met facilement en avant (comme tout bon pilote), il n'est pas une brute de muscles et arrive à se fondre facilement dans la masse. Malgré tout, un corps sculpté par des années de course de fond, mais aussi par le pilotage font de lui un homme apte à se défendre. Une silhouette taillée, une grande taille (plus du mètre quatre-vingt-dix) il ne lui manquait plus qu'un visage d'ange. Et même cela, Fergus l'a récupéré. De grands yeux gris, surmontés d'une tignasse d'un brun foncé, le tout épaulé par un sourire qui met à l'aise n'importe lequel de ses interlocuteur. Bref, un véritable tombeur... Description psychologique Doté dès son plus jeune âge d’un caractère bien à lui, Fergus se distingue par une certaine aptitude à rêvasser et une certain détachement envers ce qui se passe autour de lui. Mais il reste un britannique pure souche, possédant un flegme à toute épreuve et une stature égale à son statut. Une certaine idée de l’honneur, de la fraternité et de la cohésion,mais aussi un entêtement et un courage à toute épreuve caractérisent ce « chasseur aux yeux bleus ». Mais le malencontreux incident vécu en Irak a un peu atténué ces aptitudes caractérielles. Il ne peut (ou veut ?) plus s’attacher à quelqu’un et il n'accorde que rarement sa confiance, surtout envers ses soi-disant alliés. Mais il reste malgré tout un excellent compagnon d’armes et une personne fiable sur laquelle on peut toujours compter.
Histoire D'origine noble, Fergus Roland Finucane l'est certainement. Baignant tout petit dans l'aristocratie londonienne, Fergus se démarque malgré tout par un tempérament bien à lui. Un père banquier et anobli par la reine, une mère institutrice dans une prestigieuse école de droit, le destin du jeune Fergus semblait tracé. Mais c'était sans compter sur le passé glorieux de son nom; qui le dévia dans une voie à laquelle personne ne songeait.
Le petit Fergus vit le jour le 16 juillet 1972, à Greenwich dans une banlieue aisée de Londres. Dernier enfant d'une lignée de quatre, le petit Fergus s'épanouit largement dans un milieu aisé et quelque peu coupé du monde extérieur. Son père, financier à la City, gagne extrêmement bien sa vie et sa mère l'instruit bien plus que certains jeunes de son âge. Le petit Fergus fréquente le grand monde de la finance, la famille royale et autres personnes influentes de ce monde.
Son éducation se fait dans les meilleures écoles de Londres, suivant la même scolarité que Clara et Nathalie, ses sœurs et James, son frère. Malgré tout, le jeune Fergus ne se passionne pas pour les études. Depuis tout petit son regard a toujours été tourné vers le ciel, et il regarde les nuages avec une folle envie de folâtrer. Ce que le jeune Fergus ne sait pas, c'est que son nom est un grand nom de ailes de la Royal Air Force. Son grand-oncle était en effet un as britannique, mort au combat en 1942, au dessus de la France occupée. Lorsque le jeune Fergus apprend cela, il décide une seule chose : devenir pilote comme son grand-oncle, afin d'honorer sa mémoire.
Mais pour cela, Fergus doit se mettre à travailler dur, chose qui est très compliqué pour ce jeune garçon qui se base sur ses acquis. Mais en complément de son travail scolaire, Fergus doit aussi apprendre à voler. Il apprend alors en douce à piloter, son père ne souhaitant pas que son fils pratique cette activité de « casse-cou ». Et s'il se révèle assidu et appliqué dans le pilotage (son moniteur dira de lui qu'il n'avait jamais vu un jeune garçon avec une telle science du vol), ses résultats scolaires sont eux plus que moyens. Il obtient son A-level sans se distinguer (excellent en mathématiques, physique et informatique mais plus que moyen en langues) et intègre de justesse l'Imperial College de Londres. Il y passe deux ans, obtenant une licence en aérodynamique et science du vol , avant de plaquer ses études en première année de master. Il a alors 20 ans.
C'est un jeune homme renié par son père qui pousse la porte du bureau de recrutement de la Royal Air Force. En ce matin de septembre 1992, le recruteur porta l'annotation suivante à un dossier d'incorporation tout neuf : « Élément de forte valeur, à suivre ». Fergus venait de s'engager définitivement dans une voie désapprouvée par son père, rejoignant la RAF en tant que technicien en armement. Ce grade de sous-officier ne sied guère à son niveau de connaissance, mais avoir abandonné ses études lui a porté préjudice. Il intègre donc l'école des spécialiste d'Halton, où il sort premier du cours d'instruction, malgré un dossier entaché pour indiscipline. Il est affecté (un peu de manière disciplinaire) au sein du 2nd EOD Flight. Au sein de cette unité, le jeune Sergeant Roland Finucane (nom sous lequel il s'est engagé) participe à de nombreuses opération de déminage et de démolition mais aussi à de nombreuses campagnes de tir aériennes.
Malgré cette vie plus qu’intéressante en unité, Fergus continue de regarder vers le ciel. Poussé par son commandant d'unité, il passe le concours interne d'officier, qu'il réussit (pour une fois) avec brio. Fergie laisse donc ses anciens collègues, et intègre le RAF College de Cranwell avec le grade de Flight Sergeant. Il y passe 9 long mois, y apprenant le métier d'officier, mais aussi le pilotage basique. Il sort deuxième de sa promotion, derrière une jeune lieutenant, destinée à être astrophysicienne.
Diplômé du RAF College, il est affecté le 1er janvier 1994 à Coningsby et intègre le 56(R) Squadron pour y suivre le cours de conversion sur Tornado F.3. Il y reçoit aussi ses galons de Pilot Officer. Il apprend donc son tout nouveau métier de chasseur, maniant un appareil parmi les plus perfectionnés au monde. Il est détaché 6 mois à Istrana (Italie), afin d'assurer quelques missions au-dessus des Balkans avant de rentrer en Angleterre. Lors de la cérémonie de retour de l'escadron, il recevra des mains du Chef d’État-major de la RAF ses galons de Flying Officer ainsi que la Distinguished Flying Cross pour une mission toujours classée confidentielle.
La routine reprit peu à peu ses droits au sein du 56(R) Sqn et après avoir obtenu la qualification de chef d'escadrille, Fergus est muté au sein du 111 'Treble One' Squadron. Il continue d'effectuer quelques missions de routine, mené depuis la base de Leuchars des interception de Bear russes et escortant des avions égarés. Sa carrière se poursuit doucement, passant au rang de Flight Lieutenant en 1998. Il part en fin d'année pour faire un échange avec l'Armée de l'Air française et est affecté en tant que pilote au sein de l'escadron des Cigognes, basé à Dijon. Il y reste 3 ans, et y acquière une certaine maîtrise de la langue de Molière, qu'il continue d'entretenir, et rencontre aussi une jeune mécanicienne qu'il recroisera un peu plus tard...
Il revient en Angleterre début 2001 au sein du prestigieux 617 Squadron, les Dambusters. Mais les attentats du 11 septembre sont passés par là et très vite Fergie se retrouve propulsé pour un premier tour d'opération en Afghanistan. Il y recroise Alexandra Hirtsch, une jeune sergent, qu'il avait connue lors de son détachement à Dijon. Leur relation évolue très vite jusqu'à l'amour fou, au point que les deux amants se marieront en mai 2002. De cette union naitra une fille, Nina, qui aura le pur bonheur de voir son grand-père, celui-ci ayant repris contact avec Fergus. Malgré une certaine froideur, les deux hommes reprennent contact et très vite renouent des liens, malgré la déception qu'à « infligé » Fergus à son père.
Mais la reprise de contact ne sera que de courte durée. Le père de Fergie décède en mars 2003 léguant à celui-ci une grande demeure dans le Kent, ainsi qu'une fortune colossale (par rapport à sa solde de pilote). Mais le deuil est de courte durée et Fergus est très vite à nouveau détaché à l'étranger, puisqu'il part pour assurer la campagne aérienne au-dessus de l'Irak. C'est au cours de cette campagne qu'il est abattu avec son WSO, le Flying Officer Park, au dessus de Nasiriyah. Capturé, ils sont exhibés devant le monde entier par le biais d'Al-Jazeerah et de Sky News, tandis que leurs ravisseurs exigent l'arrêt de l'invasion en Irak contre leur libération. Une opération de sauvetage est montée par l'US Army, qui tourne au désastre total. Fergus est blessé par des tirs fratricides mais plus grave, le jeune Park, que Fergus supervisait depuis son arrivée dans l'unité, est tué sous ses yeux. Fergus gardera depuis ce jour une certaine réserve vis-à-vis des américains plus spécialement les gens de l'US Army.
Il termine son tour d'opération et rentre au Royaume-Uni, où il reçoit la Distinguished Service Order pour acte de bravoure en Irak. Il soigne tant bien que mal ses séquelles psychologiques auprès de sa femme et de sa fille, mais ne peut oublier les images difficiles de sa campagne irakienne. Il se plonge alors dans le travail, négligeant un peu sa vie de famille. Il est promu Squadron Leader au début de l'année 2005, tout en recevant une nouvelle affectation au 17 Squadron, en qualité de chef d'escadrille. Il participe à la mise au point du tout nouveau chasseur de la RAF, le Typhoon. C'est d'ailleurs au cours d'un vol de mise au point qu'il s'écrase à bord d'un Typhoon, lors d'un atterrissage. L'équipe médicale retrouvera Fergus inanimé parmi les débris de l'appareil, ceux-ci étant éparpillé sur plus de 500 mètres. Il restera pendant 5 mois à l'hôpital, enchaînant séances de thérapie et rééducation.
C'est un homme nouveau qui sort de l'hôpital en novembre 2007. Ré-affecté au sein du 17 Squadron, il continue d'accumuler les heures de vol (et de paperasse). Il refusera de prendre le commandement du Squadron, au prétexte qu'il « préfère laisser les tracasseries administratives de côté et continuer à voler ». C'est en juin 2008 qu'il est sélectionné pour suivre un programme d'échange avec l'US Air Force, dans le cadre du programme « Crossroads ». Cette mutation, bonne sur le plan de la carrière, détruira sa famille. Les deux conjoints se sépareront à l'amiable, Alexandra comprenant qu'elle avait quelque peu perdu l'homme qu'elle avait aimé par le passé. Même s'ils sont toujours amoureux l'un de l'autre, les missions répétées de Fergus ne laissent guère de chances à une vie de couple épanouie.
Il reçoit son affectation en novembre 2008 et Fergus part donc pour les USA divorcé et surtout avec un moral en berne. Son affectation au 1st Fighter Wing de Langley, avec son côté « meilleur escadron de l'USAF », le laisse de marbre tout comme les avions qu'il pilote, des F-22 flambant neufs. Mais, petit à petit, l'ambiance de l'escadron et la bonne humeur communicative des Yanks finissent par lui remonter le moral (le fameux moral-lifting) et c'est un homme heureux, qui retrouve sa fille lorsqu'elle vient le voir aux USA. Fergus emmagasine l'expérience américaine, radicalement différente de celle de la RAF et retrouve l'Angleterre (et son brouillard) le 6 janvier 2010. Il est alors convoqué expressément par le chef d’État-major des Armées pour une conférence pour le moins spéciale...
Il y apprend l'existence d'un programme top-secret, appelé « Porte des Étoiles ». Ce programme consiste en un anneau circulaire fait d'un matériau inconnu sur Terre et capable d'ouvrir un vortex entre deux mondes. Les Américains entretiennent ce programme depuis 10 ans. Fergus est sollicité afin de prendre le poste d'agent de liaison au sein du SGC en tant que membre du programme. Plus officieusement, il est aussi chargé d'espionner pour le compte de sa gracieuse Majesté, mais ça personne ne le sait. Bien qu'incrédule, Fergie accepte. Il a conquit le ciel, maintenant à lui l'espace. C'est donc maintenant que le sous-sol du Colorado lui ouvre ses portes blindées anti-souffle...
Type : MilitaireSituation sentimentale : Divorcé, une fille.Test Role Play Le jour venait à peine de se lever. La matinée était fraîche et la brume étirait sa pâleur fantomatique au dessus de la plaine. Sur la plaque chauffante terminait de chauffer l'habituel thé de l'escadron, la bouilloire émettant maintenant son sifflement strident. Délaissant la fenêtre, j'observais mes pilotes. Ils dormaient d'un sommeil profond, fatigué par cette nuit passé en alerte. Mon WSO était sorti pour prendre la température comme on disait, à savoir chercher le bulletin météo. La porte s'ouvrit doucement, laissant apparaître une petite bouille malicieuse couverte de tâches de rousseur.
- 'D Morning, Sir...
- Hello Melanie. Quoi de neuf à la météo ?
- Légère brume sur la mer du Nord, couche de 4/10 d'altostratus à angels ten mais météo idéale pour un vol de recce à haute altitude. Espérons qu'on ait un petit quelque chose à se mettre sous la dent.
- Oui... Espérons, ces readiness sont d'un ennui mortel.
- J'aurais bien une occupation... mais elle nécessite un peu de temps. Elle me sourit doucement.
- Je ne relèverai pas cette remarque.
La bouilloire termina de porter l'eau à ébullition. Je versais quatre tasses de thé et préparais le reste au profit des mécaniciens. Je m'installais dans un des fauteuils de la salle d'alerte et entrepris de manger un de ces biscuits militaires dur comme le roc. A peine avais-je commencé à savourer mon thé que la sirène d'alerte retentit. Et ce fut, dans la salle d'alerte, une avalanche de thé, de biscuits et de pilotes... Je courus vers le hangar, en hurlant
- Scramble, scramble !!
Les mécaniciens nous attendaient déjà au pied de l'appareil tandis que Melanie et moi-même grimpions à toute vitesse les échelles pour nous installer dans le cockpit. Tommy me sangla et me signala par son habituel pouce en l'air que tout allait bien. Un coup d’œil dans le rétro pour voir Melanie, indicatif « Cyclops », dont les yeux riaient à l'approche de cette mission. Tommy verrouilla la verrière sur le cockpit puis je baissais les yeux vers le tableau de bord. L'instinct et l'entraînement opèrent. Réacteurs démarrés, je surveillais les indicateurs de température et de vitesse moteur, craignant une alerte. Les voyants au vert, je libérais le frein de parc puis le test des freins de roulage et nos deux Tornado F.3 commencent à rouler vers la piste.
- Treble Red 1, pour Leuchars control. Puis-je décoller ?
- Treble Red 1, décollage. Passez sur Kenway après décollage.
- Red 1, Roger.
Je poussais doucement la manette des gaz, puis dépassais le cran de la postcombustion. Poussé par les quatorze tonnes de mes deux réacteurs, l'appareil accéléra rapidement puis quitta le sol.
- Treble Red 1, train rentré. Je passe sur Kenway, out.
Je commutais ma radio, puis observa mon ailier, indicatif « Maverick », bien positionné à 500 mètres, légèrement en dessous de moi.
- Kenway, ici Treble Red 1.
- Bonjour, Treble Red. Joli décollage. Le bogey se trouve au 0-9-8, angels thirty, distance 65 nautiques.
- Bien compris, Kenway. Nous sommes en montée pleine pc, angels twelve.
- Reçu, rappelez en visuel de l'objectif.
Je me concentrais sur l'HUD, me laissant hypnotiser par le défilement régulier de l'indicateur d'altitude. Seule une voix enjouée vient interrompre ma rêverie.
- Dis moi, Fergie... Tu crois qu'Ivan vient nous faire coucou ?
- Écoutez-moi bien chère Melanie... Ivan n'est plus le méchant d'avant, il vient chercher des zones de pêche et il est normal qu'on vienne lui dire bonjour.
- Alors bonjour Ivan... Fergie, j'ai un contact radar, portée estimée 45 nautiques. Vitesse 550 km/h en rapprochement par nos onze heures.
- Okay... Je tournais la tête vers mon ailier, même si il était impossible de se voir distinctement. Icecube, ton WSO a notre bogey ?
- Affirm, Fergie. Procédure habituelle ?
- Procédure habituelle. Kenway pour Treble Red 1. Le bogey est un Bear, apparment en simple balade.
- Reçu. Ramenez le à sa maison.
- Roger.
Je me glissais sur le côté de notre visiteur, un gros Tu-95 Bear. Tandis que Red 2 se glissait dans ses six heures, je m'avançais à hauteur du cockpit. Je battis lentement des ailes et le contactais sur la fréquence de veille internationale.
- Tupolev, ici la Royal Air Police. Vous êtes actuellement entrain de violer une zone privée de sa gracieuse Majesté. Veuillez présenter les papiers du véhicule et le certificat du pilote.
Tout le monde pouffa de rire dans les intercom. Un léger moment de flottement puis une voix déformée par la radio nous parvint.
- Désolé monsieur policier. Nous avons oublié papiers sur base en mère patrie. Nous faire demi-tour pour récupérer.
- Vous avez de la chance, je suis dans un bon jour. Ca ira pour cette fois, mais qu'on vous y reprenne plus. Sinon la prochaine fois, ce sera la grosse amende. Da svidanya, tovaritchi !!
- Da svidanya.
Le gros bombardier s'inclina sur l'aile et mit le cap sur la Russie. Nous le suivîmes par principe, histoire de le surveiller, mais aussi pour s'ajouter des heures à notre carnet de vol. Je repris contact avec Kenway pour annoncer que notre camarade était maintenant dans l'espace aérien international. Nous reçûmes l'ordre de décrocher vers Leuchars pour nous poser. Le soleil était maintenant haut dans le ciel, et je songeais à la journée de repos qui s'annonçait, une fois posé. Vous Avez vous déja joué sur des forums type Jeu de role (role play)? OuiComment avez-vous connus le forum ? Top SitesRegardez vous l'une des séries Stargate? OuiLe nom de la personne sur votre avatar: Josh Duhamel, trouvé en galerie.
Dernière édition par Fergie Finucane le 25.09.10 23:49, édité 6 fois |
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