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 MJ Fiction by Alek

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Aleksandr Lekaterina
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MessageSujet: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1002.09.10 12:13

Les voilà arrivé de l'autre côté de la porte. Sans surprise, un paysage de végétation dense s'offrit à eux. Tout autour d'eux, il y avait des arbres qui semblaient tout de même assez haut. La porte était donc dans la forêt. Il y avait également ce Soleil de couleur bleu qui rendait la vision quelque peu changeante. C'était étrange et bizarre à dire mais la lumière bleu troublait quelque peu la vue des Tau'ri. Ils leur faudra un peu de temps avant de s'adapter à la luminosité.

Enfin bref, il fallait sécurisé le périmètre. Le Lieutenant-Colonel donna ses ordres. Chacun d'un côté des points cardinaux. Il donna de sécuriser sur 50 mètres, histoire d'être bien sûr d'être tranquille. Chacun des militaires s'exécuta et Alix resta sans savoir trop quoi faire, en même temps, elle n'avait pas trop comprit ce que venait de dire Fett. Du coup, elle se mit à observer cette nature et toute cette végétation. Elle voulait se mettre à courir mais elle ne savait pas où aller pour le moment et puis après tout, si il y avait des autochtones ici, les Terriens lui seront une aide précieuse en cas d'affrontement.

Périmètre sécurisé. Aucune présence de vie hostile. La seule chose aperçut fut par Nathalie, elle avait vue une espèce de biche à 6 jambes fuir dans la direction opposé. A part cela, c'était tout. Bon, il n'y avait plus qu'à se mettre en marche. Le Lieutenant-Colonel Fett tenta une dialogue avec Bailey, Boba gesticula les bras dans tout le sens pour se faire comprendre. Il voulait que la jeune femme essaie de trouver des traces de vie humaines ici. Alix fut surprise de voir le Chef d'équipe gesticuler comme ça, elle ne s'y attendait pas et elle avait presque envie de rire. Mais elle s'exécuta, on lui laissait la liberté qu'elle voulait pour aller n'importe où, ça se refusait pas. Enfin, pas totalement libre puisque les autres membres de l'équipe la suivait comme un toutou. De son côté, la Recrue Smith ne pu s'empêcher de dire au combien il se méfiait de cette sauvage. Il sentait venir le coup fourré de sa part. Boba tenta de calmer le Soldat mais au fond de lui, il sentait également la même chose.

L'équipe était donc en route, Alix en première ligne marchant gaiment, limite à sautiller un peu tout en chantonnent. Juste derrière, il y avait Davis qui comme il l'avait dit, gardait un oeil sur la jeune femme mais surtout se mit à discuter avec elle. Un rang en arrière, c'était le Soldat de 1ère Classe Wells. Elle observait tout autour d'elle, se disant que n'importe qui pourrait se cacher facilement dans toute cette végétation. Mais elle repensa également à ses nouvelles chaussures qu'elle avait acheté. Elle commençait à avoir un doute sur l'une d'elle, la jeune femme se demanda si elle aurait pas mieux fait de les acheté en blanc. Derrière elle, c'était le Lieutenant-Colonel Fett. L'homme se demanda combien de temps aller durer cette mission. Il ne voulait surtout pas louper l'épisode de ce soir, il parait qu'Homer fait quelque chose d'énorme et super hilarant. Boba n'avait pas envie de voir mort de rire le Général tandis que lui sera dans l'ignorance la plus totale, non surtout pas. Enfin, en derrière ligne, il y avait la Recrue Léon Smith. Lui, c'était bien le seul à rester au aguets dans tout les côté. C'était sa première mission et il voulait faire bonne impression. Il se retournait à chaque fois qu'il entendait du bruit et lui même commença à se dire qu'il avait l'air stupide d'être tendu autant. Il avait fait le S.A.S et l'exploration d'une planète étrangère l'effrayait autant ? Non !!! Il ne pouvait pas s'en convaincre. Petit mouvement des épaules pour se décontracter un peu et le voila un peu moins tendu.

Toute l'équipe avança donc. En file indienne le long d'un chemin assez sinueux. Il était assez difficile de marcher mais il sera encore plus difficile pour eux de marcher vue que la pluie commença à montrer le bout de son nez. Au début, ce fut quelques gouttes qui tombèrent, les autres semblaient être retenu par les feuillages des branches d'arbres. Mais cela ne dura pas longtemps. En effet, au bout d'un certains temps, les feuilles n'arrivent plus à retenir l'eau abondante et celle ci commença à se déverser sur l'équipe SGC. Et pour de la pluie, c'était de la sacré pluie, pas des gouttes d'eau de PD !!! En moins de temps qu'il en faut pour le dire, tout le monde se retrouvait trempé jusqu'au os. Tant pis se dit Boba, faudra juste faire sécher tout cela en rentrant. Soudain, Alix commença à s'agiter dans tout les sens. Elle semblait apeuré voir même effrayé par quelque chose. Fett tenta de la calmer elle lui disant que ce n'était que de l'eau et qu'il ne fallait pas avoir peur. Seulement, ce n'était pas ça qui effrayait la jeune femme et Nathalie le fit gentiment remarquer à son supérieur. Le Lieutenant-Colonel demanda alors à Davis de calmer la jeune femme. Cependant, celle ci se mit à parler dans son langage et le Major ne comprenait absolument rien. Lorsqu'il entendit le mot "Goa'uld" tout en montrant un Zat partiellement enseveli dans la terre, sans l'intervention de la pluie, personne ne l'aurait vue... MErde c'était pas bon ça !!!! Davis expliqua la situation avec des traces de Goa'uld. Boba décida de ne pas tenter le diable et ordonna de faire machine arrière. Trop tard expliqua Smith, des personnes venaient en leur direction. Il fallait faire quelque chose et rapidement.



[Voilà voilà, font chier ses satané Goa'uld hein !! Bon, des Goa'ulds qui arrivent, la pluie qui rend le déplacement plus difficile à cause de la formation de boue. Vous avez tout les ingrédients pour passer une excellent journée. Very Happy
Enfin bref, comme toujours, une semaine pour répondre. BON RP.]
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1002.09.10 19:23

Le vortex brillait de mille feux. Le général nous souhaita bonne chance. Plus qu’a traverser. Je montais silencieusement la rampe d’accès. Mon arme était prêt de moi, je la tenais en pointant le canon vers le bas. C’était pas dans la salle d’embarquement que j’aurais à m’en servir. Un vague souvenir de conversation, me rappela que je devais voir les Simpson avec O’neill dans quelques heures. Cette mission ne devait donc pas trainer. Ne face de la porte, je contemplais pendant quelques secondes ce voile bleuté qui cachait bien des surprises. Avant de remarquer, a coté de moi, Bailey qui faisait mumuse avec le vortex.

-« Heu… Enfin… Equipe SG en avant ! »

Découragé par la naïveté d’Alix, je traversai la porte. Puis je me matérialisais de l’autre coté. Vision étonnante ! Que de la verdure et du bleu ! Mes yeux du mettre un temps à s’habituer. Pas le temps de trainer, j’épaulai mon arme, genoux à terre, en attendant l’arrivée du reste de l’équipe. Pendant qu’ils traversaient, je scrutais la forêt devant nous. De gros arbres et de grandes plantes, pas d’animaux en vue encore moins des indigènes. Une fois tout le monde arrivé, je balançais un ordre supplémentaire.


-« Sécurisation du périmètre dans un rayon de 50 mètres. Wells au nord, smith au sud, Davis a l’est avec Alix. Je prend l’ouest. »

Puis je m’écartais du groupe, me faufilant dans les herbes. Je cherchais du regard une menace quelconque, mais il n’y avait rien. Au bout de 50 mètres, je m’arrêtais. Définitivement rien.

[Radio] Ok à l’ouest !

Puis, j’attendais confirmation de mes coéquipiers. Wells nota qu’elle avait juste vue une biche à 6 pattes. Dommage, je préférais le bœuf, le barbecue sera pour plus tard. Je retournais sur notre position initiale, à la porte.

-« Bon, on va se lancer à la recherche des indigènes, si il y en a. »

Je m’adressais par la suite à Alix. J’avais cru comprendre qu’elle était douée pour pister des être humains. Elle pouvait surement nous aider à trouver nos indigènes.

-« Bailey, essayer de trouver une piste de population locale. »

Alix me regardait avec un air vague, elle ne devait surement pas comprendre ce que je lui disais. Peut être que le langage des signes fonctionnerait avec elle. Je me mis donc à mimer La senteur, les traces, la vision. Bref, je venais de perdre toute crédibilité envers le reste de mon équipe. A mon grand soulagement, elle semblait avoir compris. Je la laissais donc faire son travail. Elle suivit une direction dans les fourrées, le reste de l’équipe se mit à la suivre. Un seul grognait dans son coin, Smith. Je ne connaissais pas ce soldat, donc je ne pouvais pas vraiment connaitre ses réactions. Je m’approchais de lui pour le calmer.

-« Vous semblez tendu Smith. C’est Bailey qui vous dérange ? Il faudra faire avec. Je vous confie l’arrière garde, soldat. »

Puis, je suivis le reste du groupe, laissant Smith derrière moi. Gardant un œil sur Bailey, son statut d’extra terrestre m’obligeais à être méfiant, je me remettais à penser a ce qu’il allait m’attendre au SGC en rentrant. Regarder un épisodes des Simpson avec O’neill. Me taper une bière avec la même personne et surement aller courtiser les demoiselles. Je repensais une fraction de seconde à la folle soirée que j’avais eu avec Amelia. Un sourire s’esquissa sur mes lèvres. Puis je repris mon sérieux, serrant un peu plus mon SPAS 12 dans mes mains. Un tigre à 10 pattes pouvais toujours sortir des fourrés sans prévenir. Voilà que la pluie commençait à tomber. De petites gouttes au début. Puis des gouttes digne d’une tempête tropicale par la suite.

* Putain, quelle merde… *

Le joli paysage se transforma en moins de deux en porcherie géante. On est assez con pour faire une mission en pleine mousson. Ca commençais à ressembler au Veit Nam, mais en bleu. Ou étais les viets ?
Puis je vis que Bailey s’était arrêtée net et semblait légèrement affolé. Fallait tirer ça au clair.


-« Tenez vos positions ! Bailey ! Qu’est-ce qu’il y a ? »

Qu’avait-elle trouvée ?! Une autre biche à 7 pattes ?

-« Ce n’est que de l’eau, Bailey. »

Wells me fit remarquer gentiment que cela devait être autre chose qui la tracassait. Dépité par ce manque de communication, je la confiais à Davis. Puis elle se mit à parler dans la langue maternelle, que personne ne comprenait. Soudain je saisis un mot, comme tout le groupe surement, « Goa’uld ». Avec Davis, je vis qu’elle désignait un zat à moitié enfoui. Il expliqua la situation au reste du groupe.

-« C’est bon ! On se casse d’ici avant de se faire chopper ! »

Mais Smith me corrigea rapidement, en indiquant de personne venaient dans notre direction. Il manquait plus que ça.

-« Poste de combat tout le monde ! Intervalle de 10 mètres entre vous ! Davis, prenez Alix avec vous ! Mettez les en joue mais ne tirez que sur mon ordre ! »

Le groupe se mit en position. Je me mis à genoux derrière un bananier géant. J’épaulais mon spas, et j’enlevais la sécurité. Patiament, j’attendais que l’ennemi se montrait, pour lui mettre une pluie de plomb dans la tête si c’était les jaffas.
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Nathalie Wells
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1003.09.10 20:50

Avec l'ouverture du vortex s'ensuivit un léger recul de la part de la recrue, ce qui la fit sourire. Cette réaction était normale, et tous les êtres-humains qui avaient assisté à ce spectacle pour la première fois l'avait eu. Nathalie se souvenait d'avoir peiné pour faire le premier pas tant ses jambes avaient été lourdes. Elle s'engagea sur la passerelle, aux côté de ce jeune homme, et lui jeta quelques regards pour essayer de déchiffrer ce visage apparemment crispé.
Là, Xena la guerrière passa entre-eux pour aller se mettre à côté du lieutenant colonel et plonger sa main dans le vortex. Cette attitude attira l'attention de toutes les personnes présentes, mais le chef d'équipe ne s'attarda pas dessus.


-« Heu… Enfin… Equipe SG en avant ! »
Alors les trois de têtes s'élancèrent dans l'univers ni-une ni-deux. Elle, se retourna et marcha à reculons.

«Vous êtes Anglais non ? On le reconnaît à vôtre accent. » Il la regarda, surement étonné qu'elle lui adresse la parole en cet instant. Elle ne le laissa pas répondre. «Ne vous en faites pas, nous serons surement rentrés pour l'heure du thé. » Elle lui adressa un clin d'œil. « Et.. vous n'avez rien à craindre de ça, elle montra du doigt le vortex, sauf si vous êtes une fiote ou avez trop mangé. » Second clin d'œil.

Elle se retourna à la limite de cette immense flaque bleue éblouissante et y pénétra. Pour en ressortir à l'autre bout de la galaxie, face à une jungle bleuie par les rayons solaires. Nathalie ôta son écouteur, et posa un genoux à terre après avoir fait quelques pas pour sécuriser les alentours. La forêt était dense, les arbres immenses, et les buissons touffus ce qui rendait le risque d'une embuscade considérable. Elle sentit l'anglais la frôler; le chef allait pouvoir donner ses ordres.


-« Sécurisation du périmètre dans un rayon de 50 mètres. Wells au nord, Smith au sud, Davis a l’est avec Alix. Je prend l’ouest. »

Sur cet ordre, l'espagnole s'avança à pas de loups sur 50 mètres. Elle essayait de discerner tout bruit étrange au milieu de ceux naturels, et était à l'affut de n'importe quel mouvement suspect. Droite! Elle se tourna, posa le genoux à terre, le doigt sur la gâchette, empoignant son arme de toute ses forces. *Qu'est ce qu'une salope de biche vient faire là ! Bordel ! * Elle relâcha sa respiration et desserra sa prise sur son FAMAS.
Les yeux dans les yeux, l'animal jaugeait cet étrange être qui se trouvait face à lui. Pouvait-il faire face ? Il mit ses défenses en avant, s'avança lentement, analysait les moindre gestes de son vis-à-vis et...

« BOUH ! » D'un trait Nathalie s'était relevée en hurlant, et la bête détala.
*Bon assez joué, on retourne à la porte.*

« Rien à signaler, mis à part une biche à 6 pattes... »

-« Bon, on va se lancer à la recherche des indigènes, si il y en a. »

Cet ordre déclencha le début de la mission. Nathalie se rapprocha de l'anglais à petit pas, et ainsi du chef pour entendre ce qu'il disait à l'étrangère.
« Vôtre traversée s'est bien déroulée ? »
Apparemment il désirait qu'elle piste toutes traces d'indigènes. Du moins c'est ce que Nathalie en conclue en voyant le Lieutenant Colonel faire le pitre.
« Depuis quand êtes vous au SGC ?  Comment vous appelez vous ? »
Le major Davis se trouvait à côté de son supérieur et n'intervenait pas.
« Nathalie Wells, enchantée. » La blonde avait enfin compris. Ou du moins avait enfin fini de prendre Boba Fett pour un idiot. « On est reparti. »

Le groupe se remit en marche derrière Xena qui semblait savoir ce qu'elle faisait. L'espagnole suivait le major et scrutée l'horizon. Elle trouvait cet environnement finalement bien triste: il n'y avait que deux couleurs dans cet environnement, le vert et le bleu, et on s'en lassait vite. *D'ailleurs, j'aurais peut-être pas du les acheter de cette couleur. Cette vendeuse, avec sa grande gueule et ses yeux espiègles, à coup sur elle m'a fait acheté les mauvaises. La conne !* Elle examina un buisson qui bougeait légèrement. *Quoi que... Il paraît que cette couleur est à la mode, mais... * Elle resserra sa prise sur son arme; quelque chose de froid venait de heurter son front.
« Il pleut... » Murmura-t-elle en lâchant un long soupir...

Le chef avait l'air autant dépité, mais ne décidait pas de renoncer. Et pourtant, plus ils avançaient, plus la pluie était forte. Bientôt ils se retrouvèrent sous un déluge qui rendit la casquette de Nathalie Wells bien inutile. Ils s'arrêtèrent. Elle entendit à peine la voix de l'anglais.
« Je ne sais pas. Xena est apparemment perturbée. Et le Chef galère pour comprendre. Comme d'habitude quoi... » Elle le regarda un instant. « Faites gaffe à nos fesses. J'ai un mauvais pressentiment. »
Devant la conversation n'avançait pas, et Nathalie se sentit obliger d'intervenir.
« Chef, je crois que ce n'est pas la pluie qui la dérange... Je vois pas ce que c'est d'ici avec ce rideau de pluie, mais c'est quoi à ses pieds ? »
*Goa'uld... Le mot résonna dans sa tête. Encore... ENCORE !* Les articulations de ses mains blanchirent, tandis que l'Anglais alertait le Lieutenant Colonel de la présence de Jaffa derrière-eux.

-« Poste de combat tout le monde ! Intervalle de 10 mètres entre vous ! Davis, prenez Alix avec vous ! Mettez les en joue mais ne tirez que sur mon ordre ! »

Sans réfléchir, la française obéit et se déplaça en pas-chassés sur 10 mètres et s'accroupit derrière un imposant buisson; ses chaussures s'enfonçaient dans la boue, parmi d'énormes vers de terre qui sortaient de plus en plus nombreux et qu'elle essayait d'écraser avec sa semelle. Elle mit son doigt sur la gâchette. Ils se débattaient et continuaient à se multiplier. Elle épaula son arme et scruta l'horizon. Ils subissaient de lourdes pertes. Elle était prête à cracher l'enfer dès qu'elle entendrait l'ordre.
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Leon Smith
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1004.09.10 11:36

Chaque membre de l’équipe partit s’engouffrer dans le vortex et Léon attendit un moment, contemplant cette technologie avec un peu d’appréhension et de fascination. Ce petit moment d’égarement profita à la femme soldat du groupe, qui ne put s’empêcher d’envoyer une pique à l’anglais. Il sourit, mais celui-ci n’était en rien à sourire chaleureux. Heureusement, Smith avait l’habitude de ces clichés et se retint de lui répondre une bêtise de mauvais goût. Il se concentra donc sur ce qui les attendait de l’autre côté du passage bleuté et prendre le temps de s’arrêter, il traversa la porte d’une marche déterminée mais prudente à la fois.
Le voyage dura très rapidement et fut terminé lorsqu’une lumière l’aveugla quelque peu à son arrivée, celle du soleil, et il s’empressa de se mettre sur le côté, adossé contre un tronc d’arbre et balayant du regard le paysage qui les entourait. On lui ordonna d’aller au sud et Léon hocha faiblement de la tête avant de regarder en arrière et de choisir un coin à emprunter où il ferait le moins le bruit possible, comparé aux autres qui ne cherchaient pas spécialement à être discrets. L’habileté de l’anglais lui permet de parcourir plusieurs dizaines de mètres sans émettre un son percutant à l’oreille humaine, seuls les insectes étant vraiment alertés par la secousse de ses mouvements. Il n’y avait rien en vue, pas d’indigène ni ruine ni quoi que se soit à part de la végétation, mais quelque chose d’étrange le perturbait quand même ici. Cette forêt était sombre, obscure, et semblait cacher bien des choses… Léon trimballa ce sentiment pendant un moment quand il revint vers son groupe.


« R.A.S. » Fit-il à son supérieur avant que celui-ci n’ordonne le déploiement de l’équipe, en file indienne.

La brune insolente leur apprit qu’elle avait rencontré une biche au passage, un moindre détail qui ne méritait aucune spéculation quant à la présence d’indigène ici, n’étant pas au courant des habitudes et modes de vies des animaux sauvages extraterrestres. L’équipe commença à partir en expédition avec la blonde devant, une bien mauvaise idée de la mettre en avant-garde, autant par son comportement imprévisible que par son langage limité en cas d’urgence, ainsi que ses capacités à « ouvrir le feu » avec le matériel dont elle était équipée. Si elle était si intelligente, elle devrait savoir qu’il était plus pratique de se couper un bout de sein pour tirer à l’arc plus rapidement et être libre de tous mouvements brusques, sauf si évidemment, son tour de poitrine était des moindre pour ressentir une quelconque gêne, ce que l’anglais n’avait pas essayer de savoir jusqu’à maintenant. Il se concentra à nouveau sur toute la mission. Une étrange décision donc de la part d’un supérieur à peine pressé de rentrer à la maison et qui semblait accorder peu de crédit à cette mission. La blonde allait les faire tuer et Smith s’approcha à grande enjambée pour vouloir se mettre à ses côtés, lui étant habitué à être devant, mais son supérieur l’arrêta en plein marche pour lui en tirer deux mots.

« J’ai pas confiance. » Au moins, ça avait le mérite d’être clair. « Si on tombe sur du lourd, elle fera pas le poids… »

Smith n’était pas du genre à prendre les gens pour de la merde mais il sentait à plein nez l’orgueil et l’excès de confiance chez cette femme écervelée. Fett lui dit de faire avec et d’aller en fin de file, ou comment passer pour l’idiot méfiant du groupe et être écarté à l’arrière… Smith n’était pas trop cette situation et l’autre femme soldat lui adressa la parole.

« Ca va. » Répondit-il simplement, n’étant pas très à l’aise à l’idée de faire causette ici.

« Léon Smith, j’suis nouveau au SGC… Ca se voit, non ? »

Fini de parler, les autres se remirent en route avec l’autre folle en première ligne. Suivait ensuite le Major, discret jusque là mais qui semblait prendre à cœur son rôle de nounou. Léon espérait que ce rôle ne lui couterait pas la vie le moment venu, si jamais la fille venait à se fourrer dans la merde, en pleine embuscade ou sur un champ de bataille, entrainant tout le monde avec elle dans la perte.
L’anglais devait donc s’occuper de l’arrière et il jeta des regards fréquents vers le sud, n’étant pas à l’aise à l’idée de laisser la porte des étoiles sans surveillance ici. Après tout, c’était leur seule garantie d’être de retour sur Terre, il ne fallait vraiment pas la perdre. Cette petite possibilité le rendit nerveux et Smith remua les épaules et se secoua un peu la tête, étant habitué à des situations bien plus délicates durant sa carrière. Là, ils n’avaient qu’à trouver des indigènes.
Son regard revint vers l’avant et s’arrêta sur le postérieur de la brune, la dénommée Wells. Sa démarche était classe et séduisante, et ce petit moment d’inattention disparut lorsqu’il entendit un craquement de branche sous ses pieds.


*N’importe quoi, Smith… Vraiment n’importe quoi.*

Il se reprit en main en continuant de marcher discrètement, évitant de regarder devant lui mais plutôt sur les côtés et bien sur, ne cessant de jeter des coups d’œil au-delà de son épaule. La pluie commença à tomber abondamment, ce qui allait ralentir un peu leur mouvement et augmenter le volume sonore de la zone, pas évident s’il pour entendre les bruits de pas suspects dans le secteur.

*Putin, manquait plus que ça.*

Soudain, l’autre blondasse s’agita et Léon craignit le pire. Fett essaya de la consoler, en vain, avant de la refourguer au deuxième supérieur du groupe. Wells s’était approchée pour leur montrer quelque chose et l’anglais resta à l’arrière, aux aguets, ses mains prises de petits picotements et de démangeaison lui annonçant un mauvais présage, comme un signal d’alarme biologique qui lui avait souvent sauvé la vie. Il s’avança un peu pour aller voir ce qu’il se passait et voulut calmer la fameuse Bailey d’une baffe énergisante, mais un regard furtif lancé par réflexe derrière lui capta quelque chose de suspect dans la nature, la lumière du soleil bleutée reflétant sur une armure en mouvement et se dirigeant vers eux.

« Merde on a de la compagnie ! » Adressa-t-il à ses coéquipiers, s’écartant sur la droite et posant un genou à terre, prêt à faire parler son M16 dans tout ce merdier.

Seulement, le terrain boueux le fit s’enfoncer dans un petit trou de terre et Léon profita du petit instant qu’il leur restait avant l’arrivée imminente d’un ennemi potentiel pour prendre un peu de boue dans ses mains et l’étaler sur son visage, toujours mieux pour camoufler la pâleur de sa peau dans ce paysage verdâtre. C’était un vieux réflexe qui se passait de commentaire, lui ayant sauvé la mise plusieurs fois chez les SAS. Il activa ensuite le laser de son M16 et le pointa droit devant lui afin de bien montrer aux autres dans quelle direction il allait tirer et de ne pas concentrer tous les tirs au même endroit, il fallait être vigilent sur les côtés, la pire des situations serait d’être pris à revers par un ennemi bien trop nombreux…


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Paul Davis
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1008.09.10 21:21

Le dernier chevrons s'enclencha et le vortex s'ouvrit. Bien que le Major était a sa énième traversé, il avait toujours une petite appréhension lors du passage du vortex. Il faut dire qu'avec ce que lui avait expliquer les scientifiques de la base sur la démolécularisation, rien n'y donne envi. Cependant, traversé la porte des étoiles était une expérience fabuleuse et rien au monde ne pourrait empêcher le Major. Surtout, que pour cette mission, il se retrouvait avec des gens qu'il appréciait comme Boba et Alix.

Suivant Fett sur la rampe métallique, Paul traversa juste derrière Bailey, comme pour lui donner du courage, dans sa première mission avec les terriens. Arrivant de l'autre côté, le Major fût comme éblouie et n'eût pas de suite une très bonne vision. Si des ennemis étaient face à lui, et c'est surement le cas pour le reste de l'équipe, il se serrait rapidement fait tuer. Heureusement, se ne fût pas le cas. Rapidement, il distinguait plusieurs formes et le temps de s'habituer au soleil bleu, Paul mit ses lunettes de soleil noir. Cela l'aida un peu dans sa phase de transition.

Sur les ordres du supérieur et ami de Davis, le Major parti à l'est en compagnie de Alix et ceci le ravi. Il était un peu son protecteur, bien qu'il n'avançait pas beaucoup à deux, c'était juste, histoire de vérifier qu'il n'y a aucun danger. Son P-90 en mains, le Major se tenait prêt à tirer au cas où, un œil sur d'éventuelle attaque, un œil sur Alix. Après la confirmation d'aucun danger venant de Fett, et que fît de même Wells et Smith, le Major ne tarda pas lui non plus.

R.A.S à l'est.

Cela fessait bizarre. C'était bien, la première mission depuis plus d'un an, où le Major ne se retrouvait pas à la tête d'une équipe et avait un supérieur. Enfin, avec Boba, il n'avait pas a se plaindre, mais ne marcherait toutefois pas sur les pas de son ami.

La route a travers la forêt à la recherche de civilisation pouvait donc commençait et le Lieutenant-Colonel demanda à Alix de prendre la tête, comme si c'était un chien de garde, reniflant toute trace de vie. Paul était un peu consterner de voir sa et décida, tous en restant silencieux, de rejoindre la tête de la marche. Alors Smith et Fett étaient en train de parler sur Bailey, le Major ne put s'empêcher de faire un regard noir et leurs dit :

Ne critiquons pas quelqu'un sans la connaître. Elle sera très utile à notre équipe, c'est moi qui vous le dit.

Un peu consterner par ce qu'il avait entendu sur la charment Alix, le Major décida d'augmenter l'allure pour arriver à la hauteur de celle-ci. Il la regarda avant de lui dire :

Restez concentrer sur votre objectif et ne vous laissez pas distraire par ce qui se dit. Vous êtes très compétente.

Alors que l'allure était tous à fait raisonnable et la pluie fessait doucement son apparition, d'abord à petite goutte et rapidement, une grande averse et en moins de deux minutes, le Major était tremper de partout. Regardant Alix, il lui murmura :

Une douche sous la pluie, a deux, sa devrait être magnifique.

Lorsqu'il fini sa phrase, la jeune femme se mit à s'agiter. Elle n'avait surement pas du aimer la réflexion du Major et celui-ci s'en voulu sur le coup. Paul la prit dans ses bras, essayant de la rassurer, mais pas moyen. Elle parlait dans son langage, bien qu'il en avait apprit les bases, sa allait trop vite pour lui et il n'eût le temps que d'entendre le mot «goa'uld». Surement le mot de trop, quand en plus, il vit un zat au sol. Non, sa n'allait pas recommencer, encore les méchants à serpent.

Les goa'ulds, ils sont sur cette planète.

Dît-le Major dans la précipitation, tous en calmant Bailey. Alors que Fett donnait l'ordre de retour, c'était trop tard et Smith le souligna. Prenant Alix sous son aile, il se mit à l'abri avec elle derrière un arbre, tous en positionnant son P-90 afin de tuer, au signale de Fett, les ennemis, il dit à Bailey.

Ne vous inquiétez pas, je vous protégerais au prix de ma vie.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1009.09.10 12:39

Des Goa'ulds, encore eux et toujours eux. Même quand les terriens pensaient faire une mission tranquille, ils tombaient encore sur ses foutu serpent. Fett plaça ses hommes, chacun à un endroit bien stratégique pour faire feu en cas de problème et Boba le signala nettement, faire feu seulement si c'est nécessaire. Personne ne connaissait exactement le nombre de jaffa qui arrivait et cela serait dommage de se faire submerger alors qu'il y avait trop de jaffa. Une petite montée d'adrénaline commençait à faire son apparition en chacun des membres de la mission au fur à mesure des pas qui se faisaient de plus en plus entendre. Les terriens étaient bien silencieux dans leur plaque, essayant de faire le moins de bruit possible pour éviter de se faire repérer. Mais malheureusement, ce n'était pas le cas de Alix qui semblait extrêmement nerveuse en savant des Goa'ulds aussi proche d'elle.

La jeune femme n'arrêtait pas de bouger sur elle-même, observant les horizons. Davis essayait tant bien que de mal de la calmer, surtout pour la rassurer mais également parce que l'homme ne voulait pas se faire tuer. Le Lieutenant-Colonel observait la scène de loin, espérant fortement que le Major aura assez d'influence sur elle pour éviter qu'elle bouge de trop. Seulement voilà, la jeune femme ne cherchait maintenant pu à se cacher mais un moyen de partir en courant et s'en fuir loin d'ici. Elle regardait tout autour d'elle pour voir le chemin à prendre qui sera le plus sûr.

De leur côté, Smith et Wells ne bougeaient absolument pas. A travers son petit buisson, Nathalie pouvait voir les jaffas se rapprochait de plus en plus et elle vit une longue file indienne d'ennemi. Si combat il y a, ça sera vraiment dur pour les pauvres terriens. De son trou, Smith vit seulement les pieds des jaffas qui arrivaient. Il vit un grand nombre de jambe également et se dit que le combat sera dur également. Toujours en train de calmer Alix, Davis jetait des petits coups d'œil sur le positionnement des jaffas pour voir combien de temps il lui restait et là, ça devenait vraiment critique et il fallait absolument que la jeune femme arrête de bouger. Finalement, Alix se calma et prit une grande bouffé d'air. Davis était heureux de la voir zen. Enfin, c'était avant de la voir subitement partir en courant à vue de tout le monde. Et bien sûr, les jaffas la virent se mettre à courir.

Dans un semblant de courage ou de stupidité aller savoir, Davis se leva et décida de la poursuivre. Forcément l'alerte se fit entendre et les jaffas allaient commencer à faire feu sur le Major et Alix. Le Lieutenant-Colonel savait très bien que si il ne ferait rien, c'était une mort assuré pour les deux, touché par des dizaines de tirs jaffas. Alors Boba ordonna l'ordre de faire feu sur l'ennemi sans plus attendre. Smith et Wells maudit cette extraterrestre et les craintes de Smith s'était finalement réalisé.
De son petit trou, il commença à faire feu et les jaffas tombèrent. Nathalie fit de même à travers son petit buisson mais décida de ne pas rester très longtemps car cela ne la protègera suffisamment, surtout quand un tir d'énergie traversa le buisson comme du beurre et alla s'écraser sur un arbre plus loin.
Avec son petit jouet préféré, Boba dégomma également quelques jaffas et l'ennemi se trouvant en première ligne tomba rapidement mais il y en avait encore pas mal derrière et même beaucoup trop. Le Lieutenant-Colonel faisait feu autant que possible mais il remarqua rapidement qu'ils étaient tombé sur un important détachement de jaffa et que la victoire sera difficile, voir presque nul.

La Major courait toujours après la jeune fille qui commençait à le distancer, en effet le pauvre Davis devait courir après Alix mais également se défendre des rafales d'énergie envoyé par des Jaffas à leur poursuite. La jeune femme vit bien qu'elle prenait de la distance sur le terrien et cela la ravie amplement, elle l'aimait bien certes mais bon, rien ne valait la liberté pour la jeune femme. Cependant, alors qu'elle sauta au dessus d'un tronc d'arbre, il y avait de l'autre côté un morceau de branche avec un bout assez pointu. Alix le vit au dernier moment et ne pu l'éviter, elle posa son pied dessus et s'enfonça la branche qui traversa la peau jusqu'au sang. Elle se mit à hurler de douleur. En entendant ce crie horrible, le Major se mit subitement à courir en direction d' Alix ne se préoccupant plus du tout des jaffas à sa poursuite. Mais par malchance, il ne la voyait pu et ne pouvait absolument pas savoir où elle se trouvait. La Major se mit donc à crier le nom de la jeune femme pour que celle ci lui réponde mais sans savoir pourquoi, il s'était arrêtait. C'était comme ci il avait besoin d'être sur place pour bien entendre d'où proviendrait la voix de la jeune femme. Malheureusement, il en avait complètement oublié les jaffas derrière lui et Davis se prit un tir derrière la cuisse gauche. Cela le rappela immédiatement qu'il y avait des ennemis à ses trousses et le Major posa les deux genoux à terre sous la douleur. Il se tourna pour faire feu sur l'ennemi mais celui ci fut plus rapide et le terrien se prit un deuxième tir au niveau de l'épaule droite. Le Major s'écroule donc par terre, inconscient à cause de ses blessures. Alix vit toute la scène car elle s'était relevé pour voir le Major et donc, elle le vit se faire toucher à deux reprise et cela lui rappela de terrible souvenir de jeunesse qu'elle voulait absolument oublié. Avec pénibilité, elle se leva et avait beaucoup de mal à marcher. Elle était lente, trop lente même. Mais pour les jaffas, cela ne faisait aucune différence et ils lui tirèrent dessus. Alix prit un tir dans le dos avant de s'écrouler par terre, complètement inconsciente également.

De leur côté, Boba et les autres commençaient à se faire déborder et le Lieutenant-Colonel le voyait bien. Il ordonna à Smith et Wells de reculer de leur position car l'ennemi se rapprochait d'eux. Nathalie observa rapidement derrière elle pour voir où elle pourrait aller et elle vit un petit rocher un peu plus loin. Y arriver ne sera non sans difficulté mais il le fallait bien et la jeune femme commençait à se précipiter vers le rocher. Elle courait en zigzag pour éviter d'être une cible facile, d'ailleurs, un tir s'écrasa sur un arbre prêt d'elle mais pas le temps de constater les dégâts. Elle était proche du bout et arrivant non loin du rocher, elle fit un saut au dessus pour se réceptionner en roulade et se positionner derrière ce fameux petit rocher.

De sa position, la Recrue Smith voyait beaucoup trop de jambe de prêt et il fallait rapidement dégager de là. Il se leva et se mit à courir. Malheureusement, à peine il prit appuie avec son pied que celui ci glissa dans toute cette boue et pluie. C'était vraiment de la merde ce terrain et Smith injuria tout ce qu'il lui passa par la tête. En passant par Alix et le SGC. Maintenant, il fallait bien se défendre car des ennemis arrivaient prêt de lui. Il faut dire que l'homme avait de la chance dans son malheur car depuis le début de sa position, aucun des jaffas ne l'avaient vue. Alors quand ils arrivaient par la droite et la gauche de la recru, ils étaient extrêmement surprit de le voir couché par terre avant d'être extrêmement mort, tué par la Recru. Un moment de calme et Smith en profita pour se relever et aller se planquer. Mais soudain, il vit comme des éclairs bleu tout le long de son corps avant de s'effondrer sur le sol inconscient.

Le Lieutenant-Colonel avait légèrement reculé et essayait de faire une couverture assez efficace pour permettre à ses hommes de se mettre à l'abri. Cela fonctionna pour Wells mais Smith fut visiblement touché par un tir de zat. Merde !!! Enfin ça peut aller encore car le zat n'était pas mortel au premier coup. Mais il fallait tout de même arriver à ce libérer de ce merdier. Et surtout que faisait Davis, l'imbécile était parti à la poursuite de l'extraterrestre. Il avait sûrement cru bien faire mais maintenant, il foutait dans la merde Boba et les autres. Fett voyait Wells derrière son rocher et tirait comme elle pouvait sur l'ennemi sauf que l'ennemi venait aussi par sa droite, juste derrière elle. Boba portait un spas sur lui et à cette distance, son arme risquait d'être aussi dangereux pour l'ennemi que pour la jeune femme. Alors le Lieutenant-Colonel sortit son beretta et se leva pour bien prendre appuie et viser l'ennemi. Il avait très peu de temps et fit cela le plus rapidement possible. Heureusement, l'homme était un bon tireur mais dû tout de même vider un chargeur sur le jaffa pour l'éliminer. Fett venait de sauver la vie de la jeune femme mais cependant, il savait que la sienne était en grand danger. En ce levant, il le savait pertinemment et il espérait que Nathalie les occuperait assez longtemps pour se remettre à l'abri. Malheureusement, il y en avait beaucoup trop et Boba fut touché deux fois, une fois sur le bras gauche et l'autre au niveau de la hanche gauche. L'homme bascula sur le côté, la douleur était assez forte mais surmontable. Enfin, c'était sans compter sur ce putain de cailloux sur lequel la tête de Boba tomba, provoquant chez lui une vision floue avant de sombrer dans l'inconscience.

Smith était à terre, le Lieutenant-Colonel venait de se faire avoir et Davis ne répondait pas à la radio. Wells était donc toute seule contre une meute de jaffa assoiffé de sang. Elle essaya de faire face autant qu'elle le pouvait, savant que leur nombre était encore trop élevé pour pouvoir les compter. Si seulement il y avait pas toute cette pluie, elle aurait surement pu fuir à toute enjambé. Mais elle aurait laissé en plan ses compagnons et ça, elle ne l'aurait jamais accepté. Etant dans l'armée depuis quand même un moment maintenant, elle savait qu'il ne fallait jamais abandonner des compagnons. Alors elle faisait feu, jusqu'à ne plus avoir de munition. Elle avait encore son beretta mais le temps de le prendre, des dizaines de lance jaffa se pointèrent et visèrent son visage. Aucun ne fit feu, la jeune femme vit juste arrivé un prima avant de se faire zater.



[Voilà, la mort vous attends ? Avec un peu de chance, non. Mais surtout, qu'est ce qu'il vous attend après ? Pour le savoir, il faut répondre rapidement. Et bien sûr, je vous laisse 1 semaine pour répondre. Et n'hésitez pas à développer le comportement de votre personnage durant l'action.]


[Pour une meilleur MJ et que cela soit beaucoup plus fun, je vous demanderai d'éviter de lire ce qu'il y a en dessous. Cela est juste un conseil, pas une obligation. C'est juste pour que votre mission soit plus fun.]








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Yann Al'kalaï :

Le Tok'ra infiltré avait réussit à faire preuve de discrétion au sein des troupes de Hathor. Au fur à mesure du temps, il était devenu quelqu'un de confiance pour la Fausse Déesse et il usait de cela pour transmettre des informations à son peuple. L'homme se trouvait dans les quartiers des disciples lorsqu'il apprit qu'un patrouille jaffa s'était fait attaqué mais au final, ils avaient remporté le combat. Yann fut un peu déçut en apprenant qu'il s'agissait de Tau'ri. Les pauvres avaient déjà subit pas mal de pertes mais de nouvelle n'était pas chose plaisante. Cependant, l'homme apprit qu'il n'était pas mort mais seulement pas mal amoché et la Déesse voulait soutirer des informations à ses Tau'ris avec une toute nouvelle technique de torture. D'ailleurs celle ci le fit appeler et Yann se dépêcha de rejoindre sa fausse Déesse.

Le Tok'ra arriva donc dans une grande pièce. Abordant des murs gravé d'or et d'inscription Goa'uld. Il y avait également de large pilier avec un tapis rouge au milieu qui menait au trône. Sur le côté, il y avait des statut de personne représentant les divers Goa'ulds que la Déesse appréciait fortement mais la plus imposante fut celle se trouvant derrière le trône et qui représentait forcément Hathor. Yann arriva devant la Déesse et se courba pour la saluer et lui montrer sa fidélité envers elle...


-El'toc. Te voilà enfin mon fidèle disciple.

Yann se courba de nouveau devant sa Déesse. Hathor l'avait appelé El'toc car bien évidemment, quand une personne était en infiltration, elle n'allait pas utiliser son véritable nom...

-J'ai besoin de tes services. Nous avons capturé des Tau'ri et je compte bien leur soutirer des informations capital sur leur planète. Malheureusement, certains sont mal en point et je voudrais que tu les amènes voir le guérisseur avant de le mettre dans la salle de torture. Nous testerons la nouvelle machine de torture avant qu'ils soient réveillé, j'aimerais voir si elle marche vraiment. Maintenant va !!!

Yann se courba de nouveau et parti en direction des cellules. Il se demandait ce qu'il devait faire, griller son couverture et libérer les Tau'ri ou les laisser à leur sort et continuer son mission d'infiltration. Et puis de toute façon, il ne les connaissait absolument pas alors pourquoi se faire du soucis pour eux. Le Tok'ra se dirigea donc vers les cellules avec plusieurs Jaffa. Il vit donc cinq Tau'ri dont trois d'entre eux avec de sacré blessure. Il espérait que le guérisseur ne pourra rien faire pour eux car si ils survivent, ce qu'il les attend était encore pire que la mort.

Yann amena en compagnie des jaffas les plus gravement blessé tandis que les deux autres étaient amené en salle de torture. Le Tok'ra s'était dirigé vers le guérisseur pour que celui ci les guéri. Le pronostic n'était pas bon mais il essayera de faire de son mieux pour les désirs de sa Déesse. Le Tok'ra infiltré ne resta pas sur place, préférant aller voir comment se porter les deux autres en salle de torture. Les jaffas les avaient déjà installé sur une table et attaché ceux-ci pour qu'ils ne bougent plus en cas de réveil soudain. Yann les observa, il s'agissait d'un homme et d'une femme, la jeune femme était d'ailleurs d'une beauté resplendissante. Il aurait tant aimé pouvoir les aider mais sa mission consistait avant tout à se rapprochait le plus possible d'Hathor pour en connaître le plus possible sur ses intentions futurs.

Soudain, voici que Hathor venait d'arriver de Yann en bon disciple se recula et se courba devant la Fausse Déesse. Celle ci se rapprocha des deux Tau'ri, les observa de très prêt et on pouvait voir dans ses yeux une petite lueur d'espoir et surtout un sadisme extrême. Yann espérait de tout coeur que les autres avaient périt car sinon, les souffrances ne sera que plus grande. Et ce fut avec reget qu'il vit les trois autres être amené ici et Hathor jubila sur place...


-Placez les chacun sur une table et activait la torture des rêves. Je veux voir le potentiel de cette nouvelle machine.

A contre cœur, Yann relia chaque membre à une machine bien étrange. Il plaça comme un électrode, plus évolué que ceux des terriens bien sûr, à chaque tempe des Tau'ris. Yanna retourna à chaque machine avant de l'activer, la souffrance des Tau'ri allait donc commencer, pauvre d'eux.


[Voilà, te voilà enfin de la partie. N'hésite pas à développer ce que tu faisais avant et tout le reste. tu inventer tout ce que tu veux précédent l'attaque.
Sinon, tu as 1 semaine pour répondre.]
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1009.09.10 22:01

L’attente était assez troublante. On savait que quelqu’un se rapprochait. Des personnes. Peut être des jaffas, peut être des autochtones. Qui que c’était, ils faisaient du bruit. Brièvement, je jetais des coups d’œil à mes coéquipiers. Wells ne bougeait pas. Smith non plus. Davis tenait sa position. Par contre, Bailey n’arrêtais pas de bouger. Elle était aisément repérable, et elle dévoilait don la position de tous. Je vis Davis essayer de la calmer.

* Il à intérêt de réussir.*

Je reportais donc mon attention sur les bruits de pas de nos visiteurs. Combien pouvait-il être ? Quel était leur armement ? Ami ou ennemi ? pas ma l de question passaient par ma tête. Je commençais à me demander si je n’aurais pas du mettre un peu de C4 dans un trou. J’en aurai peut être l’utilité. Au pire, je pouvais toujours le récupérer.
Un grand bruit de course me sortit de mon raisonnement stratégique. Je tournais la tête en direction de ce bruit et je vis Alix partir en courant, Davis sur ses talons.


* Les imbéciles !*

Notre position était dévoilé. Je me rendis compte que nos invités étaient des jaffas. Fait chier. On devais ouvrir le feu pour nous protéger.

-« Feu ! »

Je pointais mon canon vers la tête d’un jaffa. Celle-ci explosa. Je réarmais mon fusil et j’ouvris le feu sur un autre jaffa. Il vola en arrière. Je tirais d’autres plombs sur les autres jaffas, qui tombaient sous les balles de mes deux autres équipiers. Bordel ! Ils étaient nombreux. Je n’arrivais même pas à faire une estimation.

* On est pas dans la merde. Putain de C4… *

Je ne pouvais qu’ouvrir le feu sur le jaffas qui arrivaient. Pour l’instant en file indienne. Mais cela ne durerais pas. Je vis un jaffa qui tentait une échappée sur la droite. Il fut stoppé net dans course par une volée de plombs. Mon fusils commençant à être a sec, je dut vite fait le recharger avec d’autres cartouches, à plomb unique cette fois-ci.

-« Ca vaut pas un AA-12, mais bon… »

Un jaffa s’approcha de moi. Un plomb le traversa de part en part pour blesser un autre jaffa au final. Je tirais encore deux autres plombs, qui firent autant de dégâts, pour jeter un coup d’œil à Wells et Smith. La situation devenait intenable. Il fallait battre en retraite.

-« Retraite ! Wells ! Smith ! Repliez-vous, je vous couvre. »

J’achevais ma phrase en explosant une tête supplémentaire. Il était temps de balancer une grenade dans le tas. J’en pris une, que je dégoupillais. Puis je la balançais. Il y eu une détonation suivi de cris et de morceaux qui volèrent un peu partout. Durant ce court laps de temps, je cru voir Smith à terre, le corps recouvert brièvement d’éclairs bleus. Zaté. Merde. Fait chier. Et l’autre imbécile qui s’est fait la malle suivi de l’idiot du village ! Merde ! Je portais mon attention sur Nathalie. Un jaffa s’apprêtait à la dépasser par sa droite. J’épaulais mon arme. Mais je me ravisais. J’allais surement blesser wells à cette distance. Sans attendre, je sortis mon beretta et j’ouvris le feu. Le jaffa tomba raide mort, une demi douzaine de balles dans le torse.

* Tu me remerciera plus tard. *

En arrêtant mon tir de barrage contre la première ligne de jaffa, je leur avais permis de se rapprocher un peu plus de moi. Je tirais les cartouches restantes de mon chargeur de pistolet, touchant un ou deux jaffas. Un tir de lance m’atteignit à l’épaule droite. Je serrais les dents de douleur. Je pris mon spas à une main, explosant la tête d’un jaffa à bout portant. Un autre tir m’atteignit à la hanche. Je tombais à la renverse.

-« Bordel… »

Puis, ma tête heurta quelque chose de très dur. Tout devint noir.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1011.09.10 19:09

L’équipe s’était positionnée de sorte à bien accueillir les troupes ennemies, mais l’état du terrain et le nombre d’adversaire élevé allait rendre le combat plus rude. Smith craignait particulièrement de se faire prendre à revers, notamment du côté de la blonde et de son toutou l’officier. Ce coin là était plus vulnérable comparé à celui qu’il partageait avec Wells, et Fett entre deux qui guiderait le groupe de ses instructions en cas de repli ou autre mouvement tactique, bien que l’anglais doutait de pouvoir manœuvrer dans des conditions pareilles de pluie et de bouillasse collante. Il fallait donc tenir cette position autant de temps que possible et ne pas tenter de faire les héros.
Mais ce fut le contraire qui se passa. Même si Smith avait émit ouvertement des réserves sur les capacités de Bailey, il ne pensait pas qu’elle leur ferait un coup comme ça. Au lieu d’aller se battre fièrement avec son arc et de mourir « en héros », elle prit la fuite pas vraiment discrètement, suivit peu après du Major Nounou, laissant l’autre côté un peu vide du coup.


*Que des crétins !*

Smith ne détourna pas son regard pour autant, se concentrant sur les mouvements hostiles. Il y voyait des jambes et des pieds, les entendaient s’approcher malgré la pluie, et pouvaient même sentir le choc de leur pas contre le sol boueux. Il ouvrit le feu sans attendre une minute de plus, faisant cracher des petites rafales de M16 en levant un peu le viseur afin de ne pas tirer uniquement dans les jambes ennemies. Il fallait les tuer sans leur laisser le temps d’approcher. Smith aperçut une ombre derrière des feuillages sur sa droite et il tira plusieurs balles avant de voir le corps d’un colosse en armure s’écrouler à terre, du sang dégoulinant de son crâne troué. Il fit feu à nouveau tout en sachant le chemin, prévisible, qu’allaient parcourir les jaffas les plus proches pour venir à eux. Quelques tirs ennemis s’écrasèrent aux alentours de sa position mais cela n’effraya même pas l’anglais, qui continua à appuyer sur la gâchette tout en notant avec un brin de surprise les éclats de balles contre les armures ennemies, facilement repérable comparées aux tenues de camouflages terriennes.
Mais cela ne suffirait pas pour autant, ils n’étaient plus que trois à tenir ce bout de terrain et les gémissements ennemis laissaient croire qu’ils étaient encore nombreux à les charger, n’ayant apparemment pas peur du tir défensif de son équipe. C’était à cet instant là qu’il se souvint qu’ils avaient affaire à des fanatiques, et qu’il ne fallait pas attendre d’eux une très grande lucidité tactique. Ils allaient continuer de charger à la barbare et s’ils étaient assez nombreux, cela allait être fatal pour les terriens à partir d’un moment.
Comme pour confirmer ses pensées, le déclic de son arme lui prévint qu’il devait changer de chargeur. Il ne se cassa pas la tête, profitant de l’occasion pour tester le bijou qui était accroché sous le canon de son M16. Posant un genou sur le peu de sol dur qu’il y avait, il régla son lance-grenade et tira en direction des guerriers en armures. Des hurlements affolés rassurèrent Léon sur l’efficacité de son acte. Un tir passa près de lui en représailles mais l’anglais ne broncha pas, tirant une nouvelle fois avant de finalement se remettre à couvert. L’explosif éclata contre le tronc d’un arbre, qui se brisa en deux. La partie supérieure se détacha du reste dans un orchestre de bois brisé et éclaté, pour s’écraser sur au moins deux jaffas qui passaient par là juste à ce moment. Ou tout du moins, Smith en avait déduit par les cris de souffrances qu’il y en avait minimum deux, mais il ne leva pas la tête pour le savoir. Wells avait dégagé pendant qu’il avait fait son petit ménage, et c’était à lui de trouver une solution pour se barrer avant de finir submergé.
Son pied glissa et il ne put sortir de son trou pourri. Il nota inconsciemment la forme du trou qui faisait penser à celui d’Alice aux pays des merveilles, mais il savait qu’aucun lapin blanc ne viendrait à son secours. Tout ce qu’il avait, c’était de la boue et de la pluie qui diminuait son champ de vision, ainsi qu’une ouïe fine qui ne cessait de l’alerter sur la présence des ennemis de plus en plus proches.


*Quelle mission de merde ! Avec cette poufiasse de merde ! Et puis merde bordel de…*

Il ne bougea pas, laissant les premiers jaffas arriver vers sa position. Il y en avait trois, deux à gauche et un à droite. Sa main prit un caillou bien taillé sur le sol et d’un mouvement rapide, il le balança dans la tête du guerrier à droite, qui bascule un peu en arrière juste pour laisser le temps à la recrue de se jeter sur les deux autres. D’un coup de crosse, il décrocha la mâchoire au plus proche. Mais son arme étant trop lourde pour un combat rapproché, il la lâcha pour sortir son poignard avant d’esquiver un vilain coup de lance jaffa qui aurait pu lui être fatal. Il bloqua le bras de l’ennemi et lui enfonça une dizaine de centimètres d’acier dans le haut du corps, et ce n’était pas l’armure peu efficace du jaffa qui empêcha la lame de lui trancher la gorge. La vue du sang dégoulinant rassura Smith et lui redonna confiance dans ce combat alléchant. Il donna un nouveau coup et le guerrier tomba à la renverse. Le SAS fit une roulette sur le côté, un peu foiré à cause du terrain glissant, mais qui surprit par chance l’autre adversaire qui s’était relevé après le coup dans la mâchoire, d’où une cascade de sang sans fin s’échappait de sa bouche. L’anglais profita du moment où il se redressait pour lui cisailler la chaire juste en dessous du genou, et le jaffa perdit ses appuis pour finir au sol. Léon se chargea de le finir d’un dernier coup porté à la gorge, partie du corps très fragile face aux armes blanches, avant de se relever et de sentir la présence d’un des fanatiques derrière lui. C’était celui qui avait reçu un caillou dans la tête et une grosse bosse le faisait grimacer de douleur. Mais le lancer de pierre qui aurait pu assommer n’importe quel humain semblait faire moins d’effet à cet extraterrestre.
Smith vit celui-ci lever sa lance jaffa et l’activer dans sa direction. Dans un mouvement vif et précis comme il adorait faire, il lança le couteau et se jeta sur le côté juste après afin d’éviter le tir ennemi. Le jaffa lui n’eut aucun réflexe, la lame du terrien s’enfonça entre ses deux yeux.


*Fais moins le malin hein ?* Pensa-t-il en observant le cadavre ennemi s’écrouler de tout son long au sol.

Smith jeta un rapide coup d’œil aux alentours et entendit toujours la fusillade toujours très importante, mais il semblait avoir réussi à tenir son côté. Il ne savait pas si c’était le cas pour les autres, surtout Bailey et le Major qui n’étaient pas revenus apparemment.
L’anglais ramassa son arme et son couteau, le décrochant du crane ennemi dans un craqua immonde d’ossement. Il ressuya le sang et les bout de cervelets avec un bout de tissu qu’il gardait toujours sur lui, tout en se cachant discrètement afin de refaire le coup à d’autres jaffas qui viendraient par là.
Un coup d’œil sur la droite et il vit un couvert de luxe à quelques mètres de lui. Il ne dit rien par radio, ne voulant pas être repéré avec sa voix bien portante. Il décida de se glisser entre les feuillages pour se retrouver dans un endroit qui lui permettrait de recharger son M16.
Mais l’ennemi en décida autrement.
L’un d’eux avait décidé de se battre intelligemment et d’attendre le bon moment avant d’attaquer le terrien. Caché quelque part dans la forêt, Smith ne le repéra qu’au dernier moment et vit un rayon bleu lui foncer droit dessus.
Depuis le début de sa carrière il avait pu goûter aux blessures d’armes de corps à corps, de balles qui l’éraflaient ou d’explosif enclenché à proximité. Mais jamais il n’avait gouté à ce genre de tir.
Paralysé de douleur, il essaya de luter mais son corps chuta en avant. Il se vit à terre et à la seconde où il réfléchit inconsciemment à un moyen de s’en sortir, il était trop tard. Touché, sonné et livré aux mains de l’ennemi, voilà à quoi il pensa juste avant de sombrer dans le néant…


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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1012.09.10 0:34

Alix était totalement paniquée. Elle venait de trouver ce qu'elle avait espéré ne plus voir au monde : Une trace de vie des Goa'ulds. La visite d'une nouvelle planète qui devait être une joie immense pour elle tourna finalement au cauchemars. Y avait il pire épreuve pour elle qui avait été leur prisonnière durant de nombreuses années de découvrir qu'elle se trouvait sur une planète visitée par l'un des grands Maitres qui avait tout autorité pour lui faire revivre son calvaire ? Non, il n'y avait surement pas pire que cela au monde, sauf peut-être que toutes ses craintes se réalisent. Ce qu'elle craignait le plus était de revivre les souffrances qu'elle avait déjà du endurer. Elle avait été enfermée, affamée, torturée, ressuscitée pour mieux recommencer de nouveau. Et encore... Elle devait être un corps de rechange avant que celui qu'occupait son Dieu ne s'affaiblisse trop et qu'il n'y passe aussi. Elle n'osait même pas imaginer quelles tortures allaient lui faire subir ce Grand Maitre. Auparavant, celui qu'elle servait n'avait aucune information à obtenir d'elle et ne la torturait que par frustration. Alors, quelles sortes de tortures pouvait lui faire subir un Grand Maitre qui voulait obtenir des informations de sa part. Informations qu'il pourrait ensuite utiliser pour conquérir plus de monde encore. Elle ne pouvait pas permettre cela et ne voulait en aucun cas subir de nouveau toutes ses souffrances. Ses cicatrices, nombreuses et reparties sur l'ensemble de tout son corps, la brulaient littéralement. Elle se souvenait de toutes leurs origines, provenant de différentes formes de torture, et ne souhaitait pas que d'autres viennent s'ajouter.
D'un autre côté, la jeune femme ne souhaitait pas que d'autres mondes soient détruits comme le sien l'avait été ni même que d'autres personnes n'aient à souffrir comme elle avait souffert. Elle trépignait sur place et s'énervait alors que personne ne la comprenait. Davis essayait bien de la calmer mais comment pouvait il seulement y parvenir ? Ne comprenait il pas à quel point elle avait peur ? Non, et après tout c'était tout à fait normal qu'il ne comprenne pas. Comme même le pourrait il alors qu'elle n'avait pas parlé de tout cela à aucun d'eux. Les seules paroles relative à ce peuple de parasites qu'ils lui avaient dites n'étaient qu'autres qu'ils n'étaient pas Dieux, et cela, elle ne le croyait pas. Alix ne craignait rien n'y personne mais des Dieux, elle avait peur. Des hommes capables de détruire un monde entier avec son peuple ne pouvaient être de simples mortels. Absolument impossible. Ah, ça, elle s'était bien fait avoir par leurs belles paroles ! Quelle conne ! Elle ne méritait pas mieux que le sort qu'on lui réservait, c'était certain. Elle avait eu tort, à un point inimaginable, de faire confiance aux Tauris. Elle aurait mieux fait de les tuer lorsqu'elle en avait eu l'occasion, quitte à y laisser sa propre vie. Si seulement elle avait su.... Mais là était toute la question. Bien qu'elle soit dotée de capacités plus poussées que les Tauris dans certains domaines, elle n'était pas capable de voir dans l'avenir comme certains Tauris le prétendaient d'après ce qu'elle avait pu voir à la télé où le truc avec pleins d'images qui défilaient et auxquelles elle ne comprenait absolument rien. Si elle avait eu la capacité, elle ne les aurait pas laissé l'embobiner par de belles paroles. Ça lui apprendra.

Davis semblait avoir réussi à calmer la jeune femme, du moins en apparence. Le tout était de savoir combien de temps cela allait durer et pour être tout à fait honnête, pas longtemps du tout. Alix regardait dans tous les sens, elle ne cherchait pas à savoir d'où allait arriver les troupes de Jaffas mais plutôt le chemin le plus dégagé mais le plus sécurisé aussi pour s'enfuir. Elle tenait vraiment à ne pas avoir à souffrir de nouveau. Plus comme ça, jamais plus. Si elle devait être prisonnière, elle se tuerait pour ne plus avoir à souffrir de la sorte et de cette manière, les nombreux mondes qu'elle avait visité ne seraient pas en danger, ou moins. Qu'adviendrait il des Tauris si elle partait ? Elle s'en foutait royalement. Mise à part Davis, aucun ne voulait d'elle dans l'équipe, elle le sentait bien et même si elle ne comprenait pas pourquoi ils avaient une telle animosité contre elle, elle n'allait pas faire l'effort de les comprendre. Elle était déjà tombée dans un piège mortel par leur faute, elle n'allait pas en plus essayer de s'en faire des amis. Il y avait des limites à la bêtise et cette limite, elle en ne voulait pas la dépasser de nouveau. La première fois s'avérait être des plus périlleuses. Il n'y avait que deux choses qui allaient la déranger. La première, c'était Davis, elle l'aimait bien, autant qu'elle pouvait apprécier encore un Tauris dans une telle situation, et se voyait mal l'abandonner à son triste sort. Mais elle ne l'appréciait pas assez pour risquer les informations qu'elle avait et sa vie par dessus le marché. Disons qu'elle aimerait fuir avec lui si c'était possible mais étant un Tauris, il n'allait pas abandonner les autres membres de son équipe ce qu'elle pouvait comprendre, en partie. Davis pouvait toujours la suivre et fuir avec elle, elle n'allait pas refuser sa présence mais il allait falloir qu'il court vite pour la suivre. Il était vrai que les armes de Alix semblaient primitives par rapport à celle des Tauris mais elles avaient un avantage sur celles-ci, elles sont bien plus légères que les leurs ce qui facilitait les mouvements. Les vêtements que la jeune extraterrestre avait choisi répondait également à ce critère de choix. Ils lui permettaient de courir et de bondir aisément. Idéal pour la fuite. Étant habituée à courir dans les bois, elle était devenue rapide et il allait falloir que Davis tienne la cadence....dans l'hypothèse où Davis fuirait avec elle. Ce n'était pas gagné du tout, loin de là.
Son second regret lorsqu'elle aurait pris ses jambes à son coup pour fuir loin de cette embuscade qui allait mal finir était qu'elle n'aurait pas eu le plaisir de tuer cet homme étrange qui avait peur du vortex. Il dégageait un tel dédain envers la jeune femme qu'elle ne souhaitait que le tuer de ses propres mains. Savoir pourquoi il la détestait tant ne l'intéressait pas le moins du monde. Elle n'aimait pas, certes, mais n'était assez intéressée par lui pour essayer de comprendre son animosité à son égard. En revanche, l'idée de le tuer lui plaisait bien. Laisse ce plaisir à quelqu'un d'autre et surtout à un Jaffas ne l'enchantait pas du tout. Il fallait néanmoins faire des sacrifices et cet homme serait celui là. Il ne valait pas la souffrance.
Alix prit une grande bouffée d'air pur et s'enfuit à toute jambe. En étant le moins discrète possible, elle attirait les Jaffas vers elle. C'était sans compter sur Davis qui se lançait à sa poursuite également. Bien, au lieu d'être la seule à se faire tuer, voilà qu'ils allaient tous y passer. Ça ne remontait pas l'estime des Tauris dans son esprit. Ce qui l'abaissa plus fut l'attaque des trois restants contre la troupe Jaffas. Ils n'avaient pas compris les attentions de la jeune femme et voilà qu'ils étaient tous en danger. Elle n'avait pas eu le choix dans le sens où tenter de communiquer avec eux pour expliquer son plan risquait de découvrir leur position. Elle aurait du demandé à Davis d'être son intermédiaire et sa voix masculine aurait trop portée. Maintenant, il était trop tard pour y songer de nouveau. Il ne restait plus qu'à sauver leur peau et à souhaiter qu'ils en ressortent tous vivant. Tous ou presque. Ce n'était pas obligé que Léon en réchappe... Quoique, si elle pouvait le tuer elle-même, elle en serait des plus heureuses !

Davis ne courait pas assez vite pour la rattraper mais elle ne lui serait d'aucune utilité si elle ralentissait. Bien au contraire, plus elle avançait, plus elle repérait un chemin sans ennuis et si ennemis il y avait, tué un était. Son arc et ses flèches en joue, elle était prête à tirer sur n'importe quoi, ce qui ne l'empêchait en rien de détaler comme un lapin pourchasse par un chasseur et son fusil, surtout par le fusil d'ailleurs. Sans chaussures, elle ne laissait presque aucunes traces sur le sol tellement boueux que ses traces disparaissaient au fur et à mesure. Elle aurait très bien pu fuir sans Davis mais maintenant qu'il la suivait, elle ne pouvait pas l'abandonner. L'équipement terrien n'était pas des plus adapté pour courir et elle le regrettait. Alix repéra à cent mètre un tronc d'arbre, qui à cause de sa grande taille, allait lui demander un effort supplémentaire pour être franchi. Par moment, elle maudissait sa propre petite taille. Alors qu'elle accéléra l'allure pour se donner une bonne détente, elle se demanda si Davis allait pouvoir le franchir à son tour. N'en étant pas certaine, elle décida de se servir de ce tronc comme bouclier d'appoint pour protéger Davis en tuer ses assaillants afin de lui permettre de passer le tronc à son tour sans trop de problèmes. Alors qu'elle bondissait, elle pensait que son plan était le plus adéquat vu la situation. Un bête morceau de bois vint tout gâcher. Lorsqu'elle l'aperçue, il était trop tard et Alix ne put l'éviter pour son plus grand malheur. Alix s'empala le pied dessus. La douleur fut tellement fulgurante qu'elle en hurla. Bien qu'elle n'aurait sans doute pas du le faire, elle arracha le morceau de bois empalé. Un flot continu de sang se mit à sortir de sa blessure. Lorsqu'elle trouva la force de surmonter cette douleur pour se relever, ce qu'elle vit la fit hurler de nouveau. Davis avait été touché par deux fois et il s'écroulait au sol. A cette vision vint se superposer une image tout droit sortie de ses souvenirs d'enfance, celle de son père, mort de cette même manière suite à une offensive Jaffas. C'est cette double vision d'horreur qui fit hurler la jeune femme et qui lui donna la force manquante pour reposer son pied meurtri au sol et essayer de courir vers Davis. Son arc toujours prêt à tirer, elle abattit froidement un Jaffas. Tandis qu'elle avait armé de nouveau son arme 'primitive' mais au résultat meurtrier, elle s'apprêtait à viser lorsqu'elle sentit une brulure lui parcourir l'ensemble des nerfs de son dos. C'est fou comme une petite décharge dans un point localisé du corps s'étendait à toutes les autres parties. Comme s'il n'y avait pas que le point d'impact qui devait souffrir mais l'ensemble entier. C'était peut-être cela un organisme vivant finalement. Alors qu'elle était blessée en plein milieu du dos entre les deux omoplates, Alix sentait également des picotements de douleur au bout de ses doigts et de ses orteils. Des milliers de messages électriques parcouraient des chemins à n'en plus finir pour prévenir son cerveau que quelque chose d'important et de grave était arrivé. Comme s'il n'était déjà pas au courant... D'ailleurs, celui ci ordonnait à la jeune femme de crier sa douleur mais aucun son ne s'échappait d'entre ses lèvres. Son dernier souvenir fut le contact froid mais doux du sol de cette étrange foret bleue. Elle ne ressentait plus aucune douleur et se sentit partir dans un autre monde... un de plus à visiter.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1012.09.10 14:56

Les secondes devenaient des minutes; les minutes devenaient des heures. La tension était maintenant palpable, et Nathalie Wells noyait sa peur dans une concentration totale. Comme à son habitude, elle tâchait de faire le vide dans son esprit, d'oublier ce risque, poignant, de perdre la vie, de perdre des êtres chers, de ne plus pouvoir déguster un bon sunday au caramel... Seule la pluie rendait son corps vivant; elle n'entendait plus que l'ennemi et ses coéquipiers, ne sentait rien d'autre que cette boue mouillée et voyait seulement cette tête à travers le viseur de son arme. Elle ressentait la présence de l'anglais à quelques mètres, et celle de Xena dans son dos qui s'agitait: il fallait qu'elle cesse avant qu'elle ne cause leur perte, et le major essayait de la calmer. Une envie fit vaciller son calme; pourquoi ne pas la tuer d'un bon coup de couteau dans la jugulaire ?
Comme si la blondinette avait entendu cette pensée, elle prit soudainement ses jambes à son cou, et s'enfuit sans la moindre discrétion dans la forêt.


*Que Puta ! Si yo te vuelva a ver, te mataré !*

Nathalie s'était crispée durant ce court laps de temps, et avait perdu sa cible de vu. Elle prit une grande goulée d'air qu'elle expira lentement, tandis que le chef hurlait l'ordre d'ouvrir le feu. Se fut alors un dé-clique, le premier coup étant toujours le plus dur à tirer. Elle venait d'abattre un deuxième jaffa quand les ripostes commencèrent à frapper près d'elle. Elle tirait par courtes rafales, et faisait en sorte que chacune d'elles soit meurtrière pour économiser un maximum de balles. Sur sa gauche, elle remarqua que son chef devait recharger, et se mit alors à le couvrir en vidant son chargeur sur les ennemis qui tentaient de s'approcher de lui. Tching. A son tour de recharger.

« J'suis à sec!! » Hurla-t-elle pour prévenir Léon Smith qui intensifia sa cadence de tir pour la couvrir.

En 2,5 secondes son arme était rechargée, et elle n'en perdit pas une de plus pour rouvrir le feu. Un tir jaffa rendit son abri quasi-inutile ce qui l'obligea à bouger; elle prit son arme de la main gauche, attrapa une grenade dans son gilet, la dégoupilla, et la lança loin devant elle. La Française utilisa l'explosion comme couverture pour se déplacer jusqu'à un autre buisson, plus près de l'anglais. Elle lui jeta un coup d'œil pour voir son état: il faisait sa part du boulot malgré sa petite taille. Dans un tel un moment, cette pensée la fit sourire; elle s'accroupit et joua de la gâchette. Les jaffas étaient de plus en plus nombreux, et ils ne pouvaient pas les retenir à trois, ainsi ils allaient bientôt être submergés, et connaitraient alors le goût de la mort.

Un coup d'œil à droite, à gauche.
« RECHARGE ! » L'action se répéta.

Ses habits étaient trempés d'un mélange d'eau, de sueur, de sang et de boue; elle avait été légèrement blessée à diverses endroits par des éclats dus aux impacts dévastateurs des tirs ennemis. Elle entendit alors l'ordre de se replier du chef.

*Comment veut-il nous couvrir avec un Spas 12 ?!*
Mais elle ne s'attarda par sur cette pensée et marcha à reculons le temps de trouver un abri convenable. Là! Elle jeta un coup d'œil à Smith qui n'avait toujours pas bougé, avant de se lancer dans une course folle à travers les buissons qui lui arrachaient des bouts de peau au passages; les tirs ennemis ne passaient vraiment pas loin d'elle, tandis que Nathalie s'efforçait de zigzaguer un maximum. Enfin ! Elle sauta au dessus du rocher et se réceptionna dans un roulade boueuse.
Elle prit position, la gueule et les cheveux couverts boue, et ouvrit le feu en hurlant pour évacuer sa frustration.

*Où est Smith ?!*
Elle le chercha du regard; et vit ce jaffa armé d'un zat qui le visait. Elle tourna brusquement son arme, ne réfléchissant plus: en cet instant seul le temps comptait. Elle tira une fois. Elle le rata. Il tira, il le toucha. Elle hurla. Elle tira une seconde fois, et troua son crane, d'où sang et cervelle giclèrent.
Frustrée et rageuse, elle rechargea à toute vitesse et r-entreprit la décimation des hommes serpents. Face à elle un groupe courrait espérant pouvoir l'atteindre. Mais l'instant d'après,ils étaient tous morts, se vidant de leurs sang dans la boue de cette splendide planète bleutée; ils avaient coûté un chargeur à l'état Américain. Elle rechargea, et avant d'avoir pu rouvrir le feu, elle sentit des tirs humains la frôler. Elle resta sur le cul tandis qu'elle vit sur sa droite ce jaffa s'écrouler.
Le chef lui avait sauver la vie, et elle ne put pas lui rendre la pareille: il était entrain de chuter. Encore une fois elle avait été trop lente ! Elle cria à s'en faire saigner la gorge, et tua les Jaffas qui avaient osé s'en prendre au colonel. Soudain elle comprit.


*Seule.*

Son chargeur était vide, et le temps de le remplacer, des jaffa étaient sur elle. Elle se jeta sur le plus proche, dégainant son poignard qu'elle lui enfonça violemment dans la tempe. Elle le retira et reçu du sang en prime sur son visage. A droite un Jaffa allait lui tirer dessus, elle lui envoya son couteau dans la gorge.
Derrière!
Elle se releva, se retourna, mit la main sur son beretta; mais elle n'eut pas l'occasion de le sortir de son holster. Une lance jaffa était posée entre ses deux yeux. Elle avait perdu. Elle le savait, mais elle montrait quand même les crocs...
Un prima s'avança vers elle, du dédain dans le regard. Il ne perdit pas une seconde, et la zata.

Cette envie de résister, mais cette impossibilité de faire quoi que se soit. Se voir chuter, se sentir partir dans le néant.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1014.09.10 10:21

Les jaffas approchaient et la jeune femme n'était toujours pas calmer. Le Major était juste à côté d'elle. Il avait mis son bras gauche autour d'elle, tandis qu'il tenait son P-90 de l'autre. Il l'a regardait droit dans les yeux et fessaient tous son possible pour la rassurer. C'était une question de vie ou de mort maintenant. Paul lui dît des mots doux et rassurent, car ils savaient que c'était possible de s'en sortir, il avait déjà vécu bien pire dans d'autre mission, ce n'est pas maintenant qui baissera les bras.

Je vous en pris Alix, vous n'avez rien à craindre, calmez vous.

Mais pour le moment, rien à faire. Davis jeta rapidement un coup d'œil sur le sentier, les jaffas n'étaient plus très loin et visiblement en nombre. Il devait calmer Bailey maintenant, où jamais. Et alors qu'il allait prononcer une phrase, celle-ce ne bougea plus. Visiblement, le Major avait réussit à la calmer et ce n'était pas trop tôt. Paul posa son genou droit au sol et mit son P-90 contre son torse. Si combat, il y a, au moins il été prêt. Tournant la tête vers Alix, il vît la jeune femme se lever et partir en courant.

Merde !

En l'espace que quelques secondes, il devait réfléchir. Rester ici ou partir rejoindre Alix. Si il partez rejoindre Alix, il condamner les reste de l'équipe, mais sa propre vie aussi. Si il reste ici, Alix est condamner. Dans tous les cas, leurs positions étaient vue. Il n'avait pas trop le temps de réfléchir, il se leva donc et partie en courant la rejoindre. Ceci serrait certainement prît pour un acte insensé au près des autres membres de l'équipe, mais il avait promis de protéger la jeune femme, protéger celle qu'il aime...il ne voulait pas revivre, une nouvelle fois, la perte de l'être aimer en mission.

Le Major courrait le plus vite possible derrière la jeune femme, mais il n'avait plus la fouge de ses vingts ans et ne rattrapait rien sur elle. Il faut dire qu'il perdait même du terrain, puisqu'il devait en même temps, tirez des rafales sur les jaffas et faire attention de ne pas prendre un tir.

Il courrait avec toutes les forces qu'il avait, non, il ne pouvait pas laisser partir Alix. Paul zigzagua entre les arbres et tirait des petites rafales à intervalle régulier. Il ne savait pas si il touchait l'ennemi, mais au moins, sa le protéger.

Il courrait toujours sans rattraper la jeune femme, quand il entendu un cri de celle-ci. Il était surement blesser et le Major se précipita pour essayer de la rejoindre. Malheureusement, elle n'était plus apparente et il se mit à crier son nom :

Alix !

Où pouvait-elle bien être, il ne le savait point, mais n'abandonnerai pas la recherche.

Alix !

Malgré ses appelles, il ne parvenait pas à savoir où été la jeune femme, il s'arrêtait donc. Il ne bougeait plus et se concentra sur son ouïe. Cependant, il n'eût pas le temps d'entendre le moindre bruit, qu'il se fît toucher à la cuisse gauche. Dans se moment de peur pour autrui, il avait complètement oublier les jaffas et c'était de sa faute. Le militaire c'était laisser dépasser par la situation et par ses sentiments. Il posa un genou à terre et essaya de répliquer avec son P-90 rapidement, mais il se fît toucher une seconde fois à l'épaule droite et tomba au sol...ses yeux se fermant et tombant dans l'inconscience...il s'en voulait terriblement d'avoir été si naïf et d'avoir laisser tomber ses camarades au combat, mais il ne regretta pas son geste, pour secourir la femme qu'il aime. Si c'était sa dernière heure...il était heureux de ce qu'il avait accomplit, bien que dessus de n'avoir été plus loin.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1014.09.10 13:26

[Vous avez chacun un partie bien à vous. Si vous voulez rester dans l'ambiance de la MJ, ne lisez pas la parti des autres. Comme précédemment, ce n'est qu'un conseil, pas une obligation. Et désolé pour les fautes, pas pu tous les voir xD]


Léon Smith

Léon se réveilla, il se trouvait allongé dans un lit. L'homme se redressa, complètement en sueur. Il venait de faire un rêve complètement étrange. Il était dans une unité spéciale des Etats-Unis et il partait à la découverte d'autre planète. La mission avait légèrement dégénéré et l'homme avait été touché. Et après ce fut le réveil. Léon était dans sa chambre, accompagné par sa femme qui dormait paisiblement. Le matin commençait à faire son apparition et Smith ne voyait pas pourquoi il allait se recoucher. Alors il s e posa sur le bord du lit, observant la photo de lui et sa famille. Il avait tant donné pour eux et avait travaillé vraiment très dur.

Soudain, la porte s'ouvrit et Léon vit arriver avec un plateau son gamin de 6 ans. Celui ci voulait faire une surprise à ses parents en faisant tout seul le petit déjeuner. L'homme le regarda faire, souriant en voyant l'intention de son fils. Le gamin le posa sur le lit et se tourna vers Léon...


-Pour toi mon papa, dit il d'une voix tendre.

Léon sourit et remercia son fils d'un bisou sur le front. Puis, il lui demanda d'aller prendre sa douche comme un grand. Le gosse sauta sur place et se précipita en dehors de la chambre. Derrière lui, sa femme venait de se réveiller et de se redresser. Elle fut agréablement surprise de voir le petit déjeuner servit au lit. Celle ci sourit à son mari et l'embrassa d'un baiser tendre et doux à la fois. Léon se disait à chaque fois qu'il avait bien fait de choisir sa famille au lieu de l'armée et cela chaque jour. Rien ne lui pourra lui faire autant plaisir que sa femme et son enfant.

Les deux parents mangèrent ce petit déjeuner plutôt délicieux. Smith en profita pour lire les nouvelles du jour dans le journal. En hollande, la Famille Bailey est en deuil, elle aurait perdu trois de ses fils dans une éboulement causé par la cadette de la famille. C'est vraiment con. Une jeune femme part en dépression après avoir loupé son examen de médecine. Le divorce du Grand actionnaire Paul Davis avec sa femme Carla fut annoncé. Enfin, un Lieutenant-Colonel laisse un de ses amis de longue date se suicider alors qu'il savait que l'homme était en dépression ces derniers temps. Mouais... pas de quoi s'extasier . L'homme préféra ce que son gamin avait préparé car l'enfant avait fait un vrai effort et Smith comptait bien le récompenser en lui achetant un nouveau jouet dès qu'il rentrera du boulot ce soir. D'ailleurs l'homme devait se dépêcher un peu si il voulait pas arriver en retard à son travail. Léon se leva donc et se dirigea vers la salle de bain. Il prit une douche rapide histoire d'être bien en forme pour cette journée. Puis, il retourna dans la chambre où sa femme commençait seulement à se lever. Léon lui fit remarquer qu'elle devait se dépêcher si elle voulait amener leur fils à temps pour l'école...


-Ne t'inquiète pas Léon, je sais ce que je fais. Occupe toi plutôt de t'habiller, tu as un RDV important aujourd'hui.

En effet, l'homme devait négocier un gros contrat pour son entreprise et il se devait de ne pas le rater. Cela sera mauvais pour l'entreprise. Alors il enfila son plus beau costume, sera parfaitement la cravate et partit chercher les documents qu'il avait besoin. Il jeta un rapide coup d'oeil vers sa femme qui s'était levé et elle était parti en direction de la salle de bain. Léon entra dans son bureau, chercha pendant un ptit moment les papiers qu'il avait besoin. Une fois tout bien préparé, il plaça le tout dans une mallette ressemblant à celle que possèdent les commercial. Puis il se dirigea pour aller embrasser sa femme et faire un câlin à son fils. Il l'encouragea également car le gamin avait un match de football cet après midi. Une fois tout cela fait, il quitta la maison pour rejoindre sa voiture.

Le voilà dans sa voiture, sa journée avait été vraiment dur et le contrat à presque faillit lui échapper. Il avait dû faire quelques remises et par conséquent, l'homme devra étudier le tout calmement demain. Mais bon, c'était pu l'heure de penser du boulot mais de sa petite famille. Léon observa la maison tandis qu'il refermer sa voiture, la lumière du salon était allumé et donc, sa femme et son fils devait se trouver dans cette pièce. Il marcha d'un pas joyeux jusqu'à la porte, content de retrouver sa famille. Mais il s'arrêta soudainement en voyant la porte forcé. Qu'est ce qu'il s'était passé ? Léon lâcha sa mallette et se précipita à l'intérieur en appelant sa femme et son enfant. En arrivant dans le salon, il le vit dans tout ses états, quelqu'un avait tout retourné. Mais aucune trace de sa femme ou de son fils. Il se dirigea donc vers la cuisine et là, se trouvant au sol, sa femme dans un mare de sang. Premier réflexe, vérifier si elle allait bien. Elle avait un couteau dans la main et Léon lui prit immédiatement. Elle était inconsciente et ne répondait pas. Smith commença à prier le seigneur, lui implorant de pas lui faire ça. Des sirènes de police se faisaient entendre au loin, signe de quelqu'un l'avait entendu crier d'horreur.

Mais il manquait également son fils et l'homme partit immédiatement voir si il allait bien. Il chercha dans toute les pièces de sa maison et au final, il le retrouva dans le jardin, gisant au sol. Léon supplia encore le seigneur de surtout pas prendre son fils. En arrivant prêt de lui, il remarqua que le gamin avait était poignardé à plusieurs reprise dans le dos. Smith tenta de faire revenir à lui le pauvre enfant. La police arriva enfin sur les lieux et les agents pointèrent leur arme sur l'homme. Il n'avait absolument rien fait alors pourquoi se méfier de lui...


-Posez votre couteau monsieur sinon on sera obligé de vous abattre, expliqua l'agent de police.

Smith remarqua alors qu'il avait obligé de jeter le couteau et que désormais, cela faisait de lui le coupable idéal. L'homme tenta d'expliquer la situation mais il ne sortait de sa bouche que des sons et la détresse se lisait sur son visage.


-POSEZ VOTRE ARME MONSIEUR !!!


Léon avait tout perdu en une journée. Sa femme, son fils et sa vie. Quelqu'un lui avait prit ce qu'il avait de plus cher et ce quelqu'un allait s'en tirer tandis que lui payera pour cette personne qui avait tué sa famille. Smith ne pouvait imaginer une vie sans sa famille, alors il se précipita en courant vers les policiers. Il savait que son geste était complètement vain et qu'il se fera abattre sans même les atteindre, mais c'était là l'idée. Voyant l'homme se diriger vers eux, les flics n'eurent pas d'autre choix que de tirer sur leur agresseur.

Smith se réveilla en sursaut et surtout très affecté. Il se trouvait dans une salle étrange, complètement blanche et allongé. Il ne pouvait se mettre debout car l'homme était attaché. Pourquoi était il ici ? Il avait fait un rêve très éprouvant, c'était comme ci il s'agissait de la réalité, Il avait vraiment eut l'impression d'avoir vécu cette autre vie. Quel phénomène étrange. Quelqu'un entra alors dans la pièce. Vu l'accoutrement, ce n'était pas une personne amicale. Celle ci fit le tour de Smith avant de se mettre à sa droite...


-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Enfoiré de Goa'uld !!! Léon comprit leur petit manège immédiatement, ils étaient en train de le torturer mais psychologiquement. Une torture bien plus forte que celle physique. Mais comment pouvaient ils faire cela ? Smith ne pensait absolument pas que ses serpents avaient de telles technologie. Mais de toute façon, il ne dira absolument rien, même sous le torture et il le fit remarquait en crachant à la gueule du Goa'uld.

-Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Le Serpent se dirigea donc vers une machine un peu plus loin et appuya sur un bouton, Léon se sentit soudainement tomber en arrière, c'était reparti.

[Voilà, plongé dans tes pires cauchemars, aura tu la force nécessaire pour résister à cette torture ? Sinon, une semaine pour répondre, Bon RP]

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Alix Bailey

La jeune femme était sur sa planète d'origine, revenu parmi les siens. Enfin, elle ne les avait quitter en faite. Alix venez de se réveiller d'une sieste plutôt effrayante, elle n'aurait jamais pensé qu'un rêve pouvait être aussi intense. Enfin bref, se trouvant allongé en dessous d'un arbre tandis que le soleil donnait un temps magnifique. La jeune femme se leva, s'étira les membres pour bien se réveiller. Une fois cela finit, elle quitta son arbre pour rejoindre ses frères en train de travailler. Ils étaient en train de ramasser des pierres en bas d'une falaise pour construire des maison au village, surtout une pour des futur jeunes mariés. Chacun avait un rôle bien prédéfinit dans ce village, il y avait bien évidemment les chefs, ceux qui commandait et de l'autre côté ceux qui obéissaient. Et contrairement à ce qu'on pourrait en penser, personne ne se plaignait de ce système. Chacun avait été éduqué dans l'esprit d'être soit un leader, soit un suiveur et ils savent tous que tout le monde à un rôle important dans ce village pour le bien être. Surtout après les petits malheurs qu'ils avaient rencontré ces derniers temps. Un homme, nommé Smith aurait tué à sa famille à coup de couteau avant de se faire abattre. Vraiment pitoyable de faire cela à sa famille. Une jeune femme part en dépression après avoir loupé son examen de médecine. La séparation du Leader Paul Davis avec sa femme Carla fut annoncé. Et au final, un des leader laisse un de ses amis se suicider sans même lui venir en aide. Que de tragédie à oublier.

Alix se dirigea donc vers la falaise, d'un pas sautillant et joyeux. Son rôle à elle était de chassé, un rôle assez rare pour une femme mais les leaders avaient vu sa capacité à tirer juste et personne ne voyait d'inconvénient pour qu'elle soit une chasseuse. Durant son parcours jusqu'à la falaise, la jeune femme croisa sa mère, qui cueillait des fruits pour le repas de ce soir. Chacun faisait son travail sauf Alix, elle n'avait pas été convié aujourd'hui pour aller à la chasse, c'était son jour de repos. Mais la jeune femme fut appelé soudainement...


-Alix! Wanneer zal je dat willen? (Alix ! Où vas tu comme ça ?)

La jeune femme répondit qu'elle partait voir ses frères travailler et les narguer parce qu'elle ne travailler pas elle. Sa mère lui répondit de faire attention et d'arrêter d'embêter ses frères, mais cela était plus fort qu'elle, impossible de s'en empêcher. Après quelques minutes de marche, Alix arriva au bord de la falaise et vit en bas ses frangins en train de bosser. La jeune femme avait trouvé une pomme auparavant et avait prévu de la lancer sur ses frères. Aussitôt dit, aussitôt fait, la pomme alla s'écraser à quelques centimètres d'eux et ses frères levèrent la tête immédiatement...

-Alix! Fool ons de vrede! (Alix !! Fous nous la paix !!!)
-We weten dat je werk niet na (On sait que tu ne travail pas)
-Dus laat ons het werk (Alors laisse nous bosser)

Alix répondit par le classique « nananère » et cela énerva ses frangins. La jeune femme était à quatre au bord de la falaise en train de se marrer comme pas possible. Mais un petit bout de la falaise se décrocha, pas plus gros qu'une pièce de 2euro. La pierre commença à dévaler la pente, embarquant avec elle d'autre petit pierre. Soudain, les petites pierres firent bouger des plus grosses pierres et au fur à mesure, plusieurs pierres assez grosses commercèrent à se retirer. Un éboulement commençait à prendre forme. En voyant cela, ses frères tentèrent de s'enfuir, ils avaient très peu de temps pour prendre leur jambe à leur coup. Mais les pierres étaient les plus rapide et les frangins furent englouti par les pierres.

La jeune femme se trouvant en haut de la falaise vit toute la scène, complètement effrayé de voir ses frères se faire prendre par cet éboulement. Alix se leva d'un coup et se dirigea immédiatement voir son père. Elle courait aussi vite que possible pour aller prévenir son père de la catastrophe. L'homme était en train de superviser la récolte quand sa fille arriva, haletante et en sueur. Pourquoi un tel état ? Se demanda t il en voyant Alix. La jeune femme voulait tout lui raconter mais elle manquait de souffle tellement elle venait de courir. Au final, elle réussit à sortir quelques mots pour prévenir son père. Celui ci lâcha immédiatement ce qu'il avait dans la main et prit plusieurs hommes avec lui. Alix les suivi.

Ils se dirigèrent donc vers la falaise et se précipitèrent tout de suite en bas. Une fois arriver, les personnes présente crièrent les noms des frères. Mais aucune réponse, pas le choix, il fallait retirer des pierres pour chercher. Chacun se mit à retirer pierre par pierre, les plus grosse était retiré à plusieurs. Alix était avec sa mère, toute les deux soucieuses de ce qu'il venait de se passer. La jeune femme encore plus car cet éboulement était tout simplement sa faute. Si elle ne serait pas venu narguer ses frangins, cette petite pierre de départ ne serait pas tombé et personne ne serait sous des tonnes de pierres maintenant. Un dès frère venait d'être trouvé, la mère et la fille furent content d'apprendre cela mais la joie s'estompa quand elles apprirent qu'il n'avait pas survécu... ainsi que le deuxième... et même chose pour le troisième.

Voilà, ils étaient tous mort. La troisième avait été sortit vivant mais ses blessures trop nombreuses avaient eut raison de lui. Il avait eut juste le temps de dire que c'était la faute de la jeune femme tout cela. Alors, la jeune femme croisa le regard furieux et plein de haine de son père, toutes les autres personnes présente la regardèrent également, le regard vide. Elle venait de tuer ses héritiers, en un seul coup. L'homme se leva et se dirigea vers la jeune femme. Celle ci était en larme quand son père s'avançait d'un pas grave et menaçant vers elle. Mais Alix ne bougea pas, acceptant quelque ce soi son sort. Arrivant en face d'elle, Alix regarda son père avant de se prendre un sacré coup de visage.

Alix se réveilla en sursaut et surtout très affecté. Elle se trouvait dans une salle étrange, complètement blanche et allongé. Elle ne pouvait se mettre debout car la jeune femme était attachée. Pourquoi était elle ici ? Elle avait fait un rêve très éprouvant, c'était comme ci il s'agissait de la réalité, elle avait vraiment eut l'impression d'avoir vécu cette autre vie. Quel phénomène étrange. Quelqu'un entra alors dans la pièce. Vu l'accoutrement, ce n'était pas une personne amicale. D'ailleurs, Alix connaissait très bien ses vêtements... Goa'uld.


-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Alix comprit quelques mots seulement. Pourquoi ils parlaient tous le même langage que les Tau'ri ? Enfin, là n'était pas sa plus grande peur. Elle avait un de ses rats juste à côté d'elle et la jeune femme ne pouvait s'empêcher de se débattre dans tout les sens. Rien le fait de le savoir à ses côtés la rendait nerveuse et complètement effrayé. La Goa'uld vit bien qu'elle était beaucoup trop agité alors il reprit la parole...

-Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Le Serpent se dirigea donc vers une machine un peu plus loin et appuya sur un bouton, Alix se sentit soudainement tomber en arrière, c'était reparti.

[Voilà, plongé dans tes pires cauchemars, aura tu la force nécessaire pour résister à cette torture ? Sinon, une semaine pour répondre, Bon RP]

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Nathalie Wells

C'était le grand jour, elle attendait cela avec impatience. Nathalie se réveilla, légèrement bouleversé par un rêve qu'elle venait de faire. Elle avait rêver faire partit d'une base secrète des Etats-Unis et voyageait sur d'autre planète grâce à un grand anneau. Cela devait être le fruit du stress causé par les résultats de son examen de médecine qu'elle attendait avec impatience. Il faut dire qu'elle pensait s'engager dans l'armée après l'avoir eut. D'ailleurs, son père plaçait tellement d'espoir dans ce diplôme que la jeune femme ne voulait pas le décevoir, lui, cet homme qui avait une grande importance dans sa vie.

Enfin, Nathalie se leva d'un bon et partit immédiatement prendre sa douche. Là, elle repensa dans quelle matière elle avait foiré et dans lesquelles elle avait réussit. D'après ses estimations, elle devrait l'avoir. Alors, elle sortit de la douche totalement confiante et partit s'habiller. Elle s'habilla correctement, pas besoin du l'uniforme car aujourd'hui n'était que les résultats, pas la remise des diplômes. Jean's plus T-shirt simple suffisait amplement. Elle attacha ses cheveux avec un élastique et se dépêcha de descendre.

En bas, ses parents étaient déjà levé. Sa mère préparait le petit déjeuné tandis que son père lisait le journal. Elle les embrassa comme tout les matins et s'assit à sa place pour déguster ce merveilleux petit dej préparé par sa mère. Son père parla alors d'un fait divers assez pitoyable, un homme prénommé Smith aurait tué sa femme et son fils avant de se faire abattre par la police. La jeune femme se demandait comment on pouvait faire ça à sa famille. Cet homme devait être un monstre. En hollande, la Famille Bailey est en deuil, elle aurait perdu trois de ses fils dans une éboulement causé par la cadette de la famille. C'est vraiment con. Le divorce du Grand actionnaire Paul Davis avec sa femme Carla fut annoncé. Et pour finir, un Lieutenant-Colonel laisse l'un de ses amis mourir sans même réagir, sachant que le militaire connaissait l'état de dépression de son ami. Enfin, son père rangea le journal car sa femme avait finit de lui faire à manger et ils mangèrent tous les trois...


-A quelle heure sont tes résultats ma fille ? Demande la père.

Nathalie lui donna l'heure exacte. Le père répondit alors qu'il ne faudra pas être en retard. Même si les notes seront affiché durant toute la journée, l'homme ne voulait pas arriver en retard, sûrement un manie de militaire tous cela. Enfin, chacun mangea son plat et discuter de la pluie et du beau temps. Une fois tout cela finit, le père se leva et alla posé son assiette dans levier. Nathalie fit de même avant de remonter dans sa chambre car on venait de l'appeler sur son portable. C'était l'une des ses camarades qui lui demandait quand elle ira voir les résultats. Nathalie lui dit dès qu'ils seront affiché. Mais pas le temps de bavarder trop longtemps, son père l'appelait pour descendre car ils allaient bientôt partir. Mais avant, petit maquillage discret pour être jolie. Cela prit 5 minutes à la jeune femme mais beaucoup trop long pour son père qui lui fit remarquer dès que Nathalie fut en bas. Même le jour des résultats, il ne lui fera jamais de cadeau. Cet examen, elle l'avait fait surtout pour que son père soit fier d'elle. La jeune femme voulait que son père voit en elle le garçon qu'il n'avait jamais eut, qu'il soit fier d'elle au moins une fois dans sa vie.

Les voilà devant l'université. Il y avait déjà du monde devant les panneaux d'affichages, observant oui ou non si ils avaient réussit. Elle en vit certains éclater leur joie tandis que d'autre semblait bien triste...


-Voilà !!! Sans ce foutue camion, on serait arrivé à temps et tu n'aurais pas eut à jouer des coudes.

En effet, maintenant Nathalie devra pousser quelques uns pour arriver et tentait de voir son noms. Par chance, Wells devra surement être en bout de liste et donc devra pas chercher au milieu de la liste de nom. Elle sortit de la voiture et se dirigea alors vers les résultats. Soudain, toutes les personnes devant s'arrêtèrent et s'écartèrent pour laisser passer la jeune femme. Ils l'observaient tous tandis qu'elle avançait d'un pas hésitant. Sur les affiches, tout était devenu blanc et il restait plus qu'un nom, le sien...


Nathalie Wells......................................................................................... Fail

A l'instant qu'elle avait vue qu'elle était recalé, toutes les personnes la pointèrent du doigt et se mirent à se moquer d'elle. Nathalie se tourna rapidement, se fichant complètement de leur moquerie, ce qui lui importait, c'était l'expression de son père. Et lorsqu'elle le regarda, elle le vit complètement anéanti et triste de voir qu'elle venait d'échouer. Elle ne sera jamais cet enfant qu'elle voulait, que son père l'aime et qu'il soit fier d'elle. L'homme repartit donc dans la voiture avec sa mère, laissant ici la jeune femme. Nathalie voulut aller les rejoindre mais les personnes l'entourèrent et la pointèrent du doigt tout en riant fortement. Sa honte et son ridicule n'était que plus grand tandis qu'ils se rapprochaient d'elle de plus en plus. Elle leur demandèrent de stopper tout cela, d'arrêter !!! Mais rien à faire, ils riaient tous de bon coeur et se moquaient d'elle quand la jeune femme se sentit soudainement basculer dans le vide.

Nathalie se réveilla en sursaut et surtout très affecté. Elle se trouvait dans une salle étrange, complètement blanche et allongé. Elle ne pouvait se mettre debout car la jeune femme était attachée. Pourquoi était elle ici ? Elle avait fait un rêve très éprouvant, c'était comme ci il s'agissait de la réalité, elle avait vraiment eut l'impression d'avoir vécu cette autre vie. Quel phénomène étrange. Quelqu'un entra alors dans la pièce. Vu l'accoutrement, ce n'était pas une personne amicale. Celui ci fit quelque chose derrière elle sans qu'elle puisse voir avant de revenir à sa gauche.


-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Alors comme ça, c'était lui qui allait la torturer ? Cela lui disait rien qui vaille, surtout avec sa tête affreuse...

-Quelles sont les coordonnées de votre planète ?

Nathalie le regarda d'un air hautain. Comme ci elle allait lui dire. Elle n'était pas stupide à ce point pour donner des informations et puis, on torture d'abord avant de poser des questions. D'ailleurs, elle fit mine de bailler pour montrer son ennui devant le Serpent. Celui ci le prit très mal et répondit.

-Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Le Serpent se dirigea donc vers une machine un peu plus loin et appuya sur un bouton, Nathalie se sentit soudainement tomber en arrière, c'était reparti.

[Voilà, plongé dans tes pires cauchemars, aura tu la force nécessaire pour résister à cette torture ? Sinon, une semaine pour répondre, Bon RP]

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Boba Fett

TUDU !!! TUDU !!!! TUDU !!!!

Boba ouvrit les yeux lentement. Il était dans ses quartiers et il se redressa péniblement. L'homme avait fait un drôle de rêve. Cela lui avait déjà arrivé de rêver qu'il était en mission mais jamais aussi intensément. Enfin bref, pas de quoi s'extasier dessus non plus. Fett se leva donc, avec un petit gène au niveau de l'épaule gauche. Il prit ses affaires et s'habilla tranquillement, sans se presser.

L'homme se dirigea vers le mess, histoire de déguster un petit déjeune même si il se doutait que celui ci ne sera pas le meilleur au monde. Boba prit de quoi manger et pour une fois, le journal se trouvant se le côté. N'ayant rien à faire aujourd'hui, il décida de prendre son temps pour lire les actualités de ses derniers temps. Ce n'était pas parce qu'il se trouvait sous terre qu'il ne devait pas s'intéresser à l'actualité. Il commença à le feuilleter tout en buvant son café. Un homme, nommé Smith aurait tué à sa famille à coup de couteau avant de se faire abattre. Vraiment pitoyable de faire cela à sa famille. En hollande, la Famille Bailey est en deuil, elle aurait perdu trois de ses fils dans une éboulement causé par la cadette de la famille. C'est vraiment con. Enfin, une jeune femme part en dépression après avoir loupé son examen de médecine. Enfin, le divorce du Grand actionnaire Paul Davis avec sa femme Carla fut annoncé. Cela faisait toujours marrer Boba car lui-même connaissait un autre Davis qui avait eut une femme qui même nom, comme quoi, le monde était petit.

Enfin bref, que des conneries et des couillons qui savent pas vivre correctement. Fett plia son journal avant de la poser à ses côtés et but tranquillement le reste de son café. Il n'avait rien de mieux que de profiter d'une journée pépère. L'homme finit son café et alla poser son plateau de tel sorte que celui ci parte à la plonge. Fett décida de profiter de son temps libre pour aller faire un peu de sport. Il se dirigea donc vers ses quartiers, il marchait tête haute et pas fier. Aujourd'hui, il avait vraiment envie de se la péter devant tout le monde. Il passa devant les quartiers d'un de ses collègues et entendit un léger bruit à l'intérieur.

Boba hésita et décida finalement de laisser son collègue et ami tranquille, il devait sûrement être en train de dormir. Fett retourna donc dans ses quartiers et prit des vêtements décontracté pour pouvoir faire du sport. Soudain, un grand bruit se fit entendre dans le couloir, comme un coup de feu. Le Lieutenant-Colonel sortit dans le couloir et observa les agitations. Il y avait un regroupement devant la porte de son collègue de toute à l'heure. Le Général était même là et visiblement très furieux. Boba décida donc de aller lui demander ce qu'il se passait...


-C'est le Major Davis... Il s'est suicidé.

Merde... Fett était passé devant ses quartiers et n'avait absolument rien fait. Il aurait pu lui sauver la vie sa se trouve. Boba prit appuie contre le mur du couloir et se laissa tomber. Il connaissait bien Davis et il était vraiment dessus par lui même et son flair pour n'avoir pas vue la détresse de celui ci. Surtout après la soirée de hier soir mais comment il aurait pu imaginer que celui ci irait se tuer pour une déception de cœur. Boba se releva et alla dans ses quartiers.

L'enterrement avait eut lieux sous la pluie, à croire que même le ciel pleurait ce brave homme partit. Fett s'en voulait toujours de ne l'avoir pas aider et surtout d'avoir accepté les avances de cette femme ce fameux soir. Davis était vraiment un con... mais un con au grand cœur. Le Général en personne était là et il fit lui même un discours en faveur du Major. Le coup de feu en l'air traditionnel furent tiré et le drapeau des Etats-Unis fut donné à son ex-femme Carla. Boba se sentait vraiment affecté par la mort de son ami. Une partie de lui se sentait responsable de sa mort et il pu s'empêcher de prendre un peu de temps pour lui adresser quelques mots. Le cercueil était au fond du trou et les croques-morts commencèrent à reboucher le trou. Le Lieutenant-Colonel était en train d'adresser quelques mots quand il entendit une voix famillière derrière lui, celle de Davis...


-Bobbaaa... Pourquoi tu... m'as.... pas aider ????

Davis était derrière lui, complètement défiguré par son acte. Fett reste planté là, effrayé de voir son ami décédé revenir à la vie et lui en vouloir. Puis, Fett bascula dans le trou tandis que les croques-morts continuait à le remplir. Le cercueil se mit à bouger et la voix de Davis se fit de nouveau entendre. Boba était complètement apeuré et il ne savait absolument pas quoi faire. Il jeta un regard au dessus de lui et à ce moment, un morceau de terre censé remplir le trou le percuta au visage.

Fett se réveilla en sursaut et surtout très affecté. Il se trouvait dans une salle étrange, complètement blanche et allongé. Il ne pouvait se mettre debout car l'homme était attaché. Pourquoi était il ici ? Il avait fait un rêve très éprouvant, c'était comme ci il s'agissait de la réalité, Il avait vraiment eut l'impression d'avoir vécu cette autre vie. Quel phénomène étrange. Quelqu'un entra alors dans la pièce. Vu l'accoutrement, ce n'était pas une personne amicale. Celle ci fit le tour de Fett avant de se mettre à sa droite...


-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Il fallait s'en douter. Rien à le voir à sa gueule, L'homme voyait déjà qu'il puait le Serpent. De plus celui ci voulait des réponses et Boba n'était certainement pas le mieux placé pour tout lui révéler. Il ne dira rien à ce Goa'uld et i lui fit remarquer par une gentille blague histoire de bien le mettre en colère et qu'il montre toute sa puissance. D'ailleurs, Fett avait toujours pensé que les Goa'uld était des Sado-maso refoulé.

-Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Le Serpent se dirigea donc vers une machine un peu plus loin et appuya sur un bouton, Boba se sentit soudainement tomber en arrière, c'était reparti.

[Voilà, plongé dans tes pires cauchemars, aura tu la force nécessaire pour résister à cette torture ? Sinon, une semaine pour répondre, Bon RP]

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Paul Davis

Lentement, Davis ouvrit les yeux. L'homme était dans sa voiture. Dehors, le blizzard s'abattait et la neige tombé. Paul avait fait un rêve étrange, comme quoi il faisait partit d'une base secrète des Etats-Uni d'Amérique et qu'il traversait un grand anneau pour visiter d'autre planète. Il devait manquer de sommeil pour faire ce genre de rêve. Il faut dire que ces derniers temps, ce n'est pas la joie avec sa femme Carla. Ils ne se parlaient pratiquement pu et sa femme ne restait plus dormir à la maison. Davis voulait savoir où elle allait et en la suivant, il vit qu'elle allait dans un motel en périphérie de la ville.

L'homme était sur le parking, les feux allumé et attendait. Davis écoutait la radio en attendant, il entendit par exemple qu'un homme, nommé Smith aurait tué à sa famille à coup de couteau avant de se faire abattre. Vraiment pitoyable de faire cela à sa famille. En hollande, la Famille Bailey est en deuil, elle aurait perdu trois de ses fils dans une éboulement causé par la cadette de la famille. C'est vraiment con. Une jeune femme part en dépression après avoir loupé son examen de médecine. Enfin, un Lieutenant-Colonel aurait laissé son ami se suicider tout en connaissant l'état avancer de dépression de celui ci. Paul éteignit la radio et resta là, il ne savait pas ce qu'il devait faire, si il devait aller la voir. Paul se rongeait les ongles tandis qu'il réfléchissait à ce qu'il devait faire. Finalement, il décida d'aller voir le propriétaire du motel et lui demander qui se trouvait dans la chambre 126...


-Je peux pas vous le dire monsieur. Par respect de la vie privée des gens.

Davis comprit parfaitement et recula donc du comptoir. Il regardait dehors, il y avait sa voiture et sur sa droit, au loin, la porte où se trouvait sa femme. Paul observa le propriétaire, il était en train de s'occuper de quelque chose et avait le dos tourné. Sans y réfléchir, Davis se pencha pour attraper le double des clefs de la chambre de sa femme et se mit à marcher vite vers sa voiture. Cependant, le propriétaire le vit et commença à lui demander de s'arrêter mais Davis n'écouta pas et se dirigea vers sa voiture. Une fois dedans, il mit le contact et roula jusqu'à la chambre de sa femme qui se trouvait à quelques mètres, il manqua au passage d'écraser la propriétaire.

Une fois arrivé devant, Paul descendit de sa voiture, laissant la porte ouverte et le contact allumé. Il entra la clef dans la serrure et tourna celle ci pour ouvrir la porte. Il pénétra dans la chambre et là... il vit quelque chose d'affreux. Sa femme, sa douce et tendre, le trompait avec son meilleur ami. Dans un premier temps, on pouvait lire de la détresse sur le visage de Davis, ainsi que de l'incompréhension. Lui qui avait tout donné pour le bonheur de sa femme, la voilà maintenant qu'elle le trompait avec ce qui se rapprochait le plus d'un frère pour Paul. Mais rapidement, l'expression de son visage changea et on vit maintenant de la colère et de la haine contre son ami.

Davis se jeta alors sur son ami, le planquant au sol. Celui ci ne voulait pas se battre contre Paul mais n'eut pas d'autre choix quand au final, Davis commençait à le frapper au visage. Il mit toute sa rage dans ses coups, ne se posant pas de question sur l'effet qu'ils feront. Pour Paul, il ne devait avoir aucun quartiers et s'acharna sur son ami, enfin, son ex-ami désormais. Ne pouvant supporter cela, Carla arriva derrière Davis et tenta de le séparer. Mais dans un élan de rage, Paul se retourna et mit un sacré coup à la jeune femme. Ce fut une fois le coup partit qu'il remarqua qu'il venait de frapper sa femme. Son meilleur ami se leva et alla voir immédiatement Carla pour savoir si elle allait bien. Davis resta là, complètement abasourdi par ce qu'il venait de faire. Paul se leva, complètement anéanti de savoir qu'il avait été trompé et sortit de la chambre de motel tandis que le propriétaire arrivait au loin.

Ils étaient tous les trois dans une grande salle. Davis, sa femme et son meilleur ami. Carla décida de divorcer avec Paul. Et dire que cela faisait plusieurs années qu'ils étaient marié et voilà que tout disparaît avec un simple document. Davis jeta un regard à sa femme, elle tenait la main de son meilleur ami et cela l'écœuré au plus haut point. Et dire que cet homme avait été son ami, presque un frère pour Davis. Comme quoi, n'importe qui pouvait vous poignarder dans le dos sans même avoir de remord. Le juge tandis le document à Davis et un stylo. Sa femme avait déjà signé et il ne manquait plus que sa signature. Paul observa le document et regarda autour de lui, tout le monde l'observait. Même les personnes travaillant dans d'autre bureau l'observait. Tout le monde attendait de voir si l'homme allait signer ou pas. Il n'y avait absolument aucun bruit, juste des regard fixé sur lui.

Davis signa finalement mais à contre cœur. Il redonna le document et le stylo en le balançant légèrement au juge. Le voilà désormais divorcé, lui qui avait tant placé d'espoir dans son mariage. Désormais, il ne savait pas ce qu'il allait faire. Paul s'installa au fond de son fauteuil pour être le mieux possible installé mais il se sentit basculer en arrière. Et soudain, il commença dans tomber dans le vide et vit le regard de sa femme complètement neutre et impassible. Voilà donc la dernière image qu'il aura d'elle, une femme qui le méprisait.

Davis se réveilla en sursaut et surtout très affecté. Il se trouvait dans une salle étrange, complètement blanche et allongé. Il ne pouvait se mettre debout car l'homme était attaché. Pourquoi était il ici ? Il avait fait un rêve très éprouvant, c'était comme ci il s'agissait de la réalité, Il avait vraiment eut l'impression d'avoir vécu cette autre vie. Quel phénomène étrange. Quelqu'un entra alors dans la pièce. Vu l'accoutrement, ce n'était pas une personne amicale. Celle ci fit le tour de Davis avant de se mettre à sa droite...


-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Davis était donc vivant, malgré les tirs qu'il avait reçut, il était vivant. Il aurait préféré cependant être mort au lieu de se faire torturer. Enfin, il en était ainsi et à la phrase du Goa'uld, Paul lui répondit par un grand sourire et haussa les sourcils, ce genre de sourire qui voulait dire « Va te faire foutre » et le Serpent le comprit immédiatement.

-Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Le Serpent se dirigea donc vers une machine un peu plus loin et appuya sur un bouton, Davis se sentit soudainement tomber en arrière, c'était reparti.

[Voilà, plongé dans tes pires cauchemars, aura tu la force nécessaire pour résister à cette torture ? Sinon, une semaine pour répondre, Bon RP]


Dernière édition par Aleksandr Lekaterina le 15.09.10 16:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1014.09.10 19:56

Le noir se fit lumière. Surtout quand le bip électronique de mon réveil, me sortit des bras de Morphée. J’observais autour de moi. C’était mes quartiers, qui baignaient dans une lumière grisâtre. Tout était là, mon bureau, mes fringues en bazar sur une chaise, un poster de Dark Vador côtoyant celui d’une pin-up. Rien à voir avec le rêve, plutôt le cauchemard, dans lequel j’étais. Plus de pluie, plus de boue, plus de jungle, ni de jaffa. Juste mes quartiers, encore silencieux.

* Bordel. C’était… immersif !*

C’était le mot. Jamais un rêve ne m’avait semblé aussi réel, cohérent. Il m’arrivais de rêver de mission, mais généralement il étai question de délivrer une pornostar des griffes d’un goa’uld. Là, on aurait dit la réalité. Mais je laissais tomber, ce n’était qu’un cauchemar.
Je me levais, m’habillais puis je sortais de mes quartiers pour me rendre au mess. Mes émotions m’avaient ouvert l’appétit. Je croisais plusieurs gradés et subordonnés sur mon passage, que je saluais ou à qui je rendais le salut. Il y avait une conquête d’il y a six mois, qui me fit un clin d’œil, une rouquine, surement pour que je la culbute un autre soir.

* Pour toi, c’est quand tu veux.*

J’arrivais au mess, il était à moitié rempli. Je repérais un endroit tranquille, puis je prenais un plateau pour le remplir. Pain et café, ce serais suffisant. Plateau en mains, je me rendais à la place que j’avais repéré, assez éloigné des personnes qui occupaient le mess. Je m’installais, et je vis qu’un journal attendait à coté de moi. Je le pris. C’était le Washington post.

* Et bien, il y en a qui on de l’argent à jeter.*

Un des journaux les plus prestigieux au monde, lâchement abandonné sur une table, 250 mètres sous terre. Je lisais les actualités. Toujours le même bordel en Afghanistan. On se barrait d’irak en laissant le pays à feu et à sang. Le petit nain français n’en faisait qu’a sa tête. Tiens, les fait divers. Un gars avait buté sa femme et s’est fait abattre par la police. Léon Smith qu’il s’appelait. Trois fils d’une même famille, les Bailey, furent tués lors d’un éboulement causé par la sœur cadette, Alix. Une étudiante, Nathalie Wells, était tombée en dépression après avoir raté son examen de médecine. Le businnessman Paul Davis divorçait de sa femme, Carla.


* Paye tes déchets de l’humanité…*

Le fait concernant le businessman, me fit marrer. Connaissant un militaire et ami qui s’appelait Paul Davis également, qui avait une ex-femme appelé Carla également, la situation me paraissait loufoque. Un avait raté une marche dans sa vie, et pas l’autre. Je refermais ce tissu d’ânerie pour me concentrer sur mon petit déjeuner. Une fois fini, je quittais le mess, laissant le journal à sa place. J’avais du temps libre aujourd’hui, du sport ne me ferais pas de mal. En me rendant à mes quartiers, je passait devant ceux de Paul Davis.

* Je m’arrête ou je passe mon chemin ?*

Je cogitais de petites secondes, puis je continuais d’avancer. Il devait surement dormir à cette heure-ci. J’arrivais devant la porte de ma piaule, quand, au moment ou je posais ma main sur la poignée, un coup de feu résonna dans tout le couloir. Je fit demi-tour, et je vis un attroupement devant la porte des quartiers de Davis. Quelqu’un me barra le passage, je ne pu voir qu’une gerbe de sang sur le sol. On m’informa que Davis s’était suicidé. Mon esprit mit du temps à comprendre. Puis l’émotion s’empara de mon corps. Je portais ma main droite à mon visage. Mes jambes commençaient à ne plus supporter mon poids. Je m’appuyais contr un mur, et je finis par m’asseoir. Il s’était tué.

BANG !

Nous étions au cimetière militaire. Le peloton tiraient ses salves d’honneur sous les ordres de l’officier en présence. Il pleuvait. Il y avait plusieurs personne. Le général, qui avait fait un discours, l’ex-femme de Davis, du personnel du SGC et sa famille. Lui était dans son cercueil, qui était recouvert de la bannière étoilée. Une fois les coups de feu tirés, deux soldats plièrent le drapeau et le remirent à son ex-femme. Les personnes des pompes funèbres commencèrent à descendre le cercueil.

-« Tu sais. J’aurais pu te sauver. Si c’était cette misérable soirée qui t’avais chamboulé, fallait en parler. Je suis passer devant tes quartiers, le matin. J’aurais pu m’arrêter. Je ne l’ai pas fait. Pourquoi ? Je… »

Une voix se fit entendre derrière moi. Il s’agissait de Davis. Je le vis avec horreur devant moi. Il avait le trou d’entrée de la balle parfaitement fait sur la tempe droite et la tempe gauche faisait place à un trou béant.


-« C’est quoi… c’est quoi se bordel ? »

Puis je chutais, dans le trou fait dans la terre. Je tombais lourdement sur le cercueil de Davis, qui se mis à trembler. Il me parlait toujours. J’étais affolé, ne comprenant pas ce qu’il se passait. Au moment ou je levais les yeux au ciel, un motte de terre me recouvrait le visage.


-« HAAAAAAAAAAAAA ! »

Je le levais en sursaut. Mais je fut retenu par quelque chose, ce qui m’obligea de me rallonger. Je me calmais, me rendant compte que je n’étais plus dans le trou du cimetière mais dans une salle entièrement blanche. Comme dans un hôpital. Si je me réveillais ici, cela signifiais que c’était un cauchemar. Encore un putain de cauchemar ! Des bruits de pas résonnèrent. Une personne s’approcha de moi. Il se présenta comme Untraque, serviteur de Hathor. Un putain de serpent.

-« T’espère quoi face de boa ? Que je te livre des informations sur ma planète ? Tu peux crever connard ! Et ça me fait plaisir de savoir que j’ai à faire à un bâtard sado masochiste dans ton genre qu’a… autre chose. »

J’espérais bien lui faire comprendre qu’il perdait son temps avec moi. Le goa’uld s’empressa de répondre qu’il pouvait me faire revivre mes cauchemar. J’avais peut être été trop insistant.


* Salaud !*

PAF !

J’étais dans la maison de mes parents, à Modesto. J’étais dans le couloir de la maison, cacher derrière le mur. J’entendais mon père tabasser ma mère. Il insistait ce fils de pute.

-« Où est rendu cet imbécile qui nous sert de gosse ? Réponds connasse ! »

Je pu l’entendre lui asséner un autre coup de poing. Ma mère lui disait qu’elle ne savait pas où j’étais. Il la menaça de plus belle. Elle l’envoya chier. Puis j’entendis un bruit plus dur, comme une bouteille frappant un visage. Hors de moi, et surtout haut comme trois pommes, je sortais de ma cachette. Je me jetais sur mon père dans l’espoir de le faire lâcher prise. Mais il m’envoya au plancher et commença à me donner des coups de ceinture.

-« Nonnnn !! »

Une fois de plus je me réveillais dans la salle blanche, en sueur. Untraque me demanda si ça suffisait, pour pouvoir me cuisiner après
.

-« Va te faire mettre par Hathor ! »

VROUM !

Le ciel bleu sans nuage. Le désert jaune pâle. Les douilles qui volaient dans les airs. Les balles qui transperçais les villageois et les combattant. Le gosse que je voyais dans les organes de visée de mon pistolet. Le coup qui part. le gosse qui s’éffondre.

-« Yahhhh ! »

Le goa’uld me posa la même question, si j’étais prêt à subir l’interrogatoire au nom de la divine Hathor.

-« Je me la tape tout les soirs ta déesse ! Tu peux remettre ça connard ! j’en ai des tas de cauchemar ! Mais je ne parlerais pas ! »

Puis je me sentais partir encore en arrière, souffrir un peu plus.
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Leon Smith
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1017.09.10 19:25

« Ahhhh !! »

Léon se réveilla en sursaut, libéré de l’affreux cauchemar qu’il venait de faire. Sa respiration était haletante, regorgeant ses muscles en oxygène. Mais malheureusement, il était tout en sueur et ce n’était pas la peine de retourner au lit se coucher, surtout que la lumière du soleil filtrait par la fenêtre. Une nouvelle journée venait de commencer. Au contact de ses pieds sur le sol, une étrange sensation de bien être s’empara de l’anglais, comme lors d’une de ces pub pour moquette qui passait à la télé. La porte s’ouvrit doucement pour permettre à un bout de chou de faire passer un plateau déjeuner. Un sourire grandit sur les lèvres du père en voyant une telle scène.
Quelques secondes venaient de passer seulement qu’il avait déjà oublié la quasi-totalité de son cauchemar. Il était maintenant revenu à la réalité, chez lui avec sa famille. Il fit une bise à son fils et l’invita à aller prendre sa douche avant de partir à l’école, le laissant seul avec la créature qui occupait le lit à ses côtés. Celle-ci se réveilla en douceur avant de lui faire un de ses baisers matinal dont il aimait tant avoir à heure ci. Tout ça le mettait de bonne humeur pour la suite. Prenant le petit déjeuner, il lit rapidement le journal que son fils, vraiment adorable, avait pris soin de ramener avec le plateau. Il jeta un coup d’œil sur chaque page et retint l’essentiel de l’info. La famille Bailey était en deuil en cette période de coupe du monde, où l’équipe nationale hollandaise était en finale. Quel mauvais sort du destin. Pour sa part, Léon aurait bien aimé que l’Angleterre aille plus loin dans la compétition même s’il n’avait pas vraiment était séduit par leur jeu cette année. Avant d’arriver à la page des Sport, il vit que les autres articles traitaient tous des faits divers et autres drames de la vie courante : dépression, divorce, suicide… L’anglais était fier et heureux, éloigné de tous ces problèmes et gagnant bien sa vie. Il termina assez rapidement ce bon petit déjeuner puis se leva pour se diriger vers la salle de bain. Son fils allait préparer son cartable pour l’école et sa femme faisait toujours la carpette, comme d’habitude. Ils ne se parlaient pas beaucoup de matin et c’était bien là ce qu’il aimait chez sa famille : chacun appréciait le calme de l’instant présent quand il le fallait, surtout le matin. Ca rendait son humeur nettement meilleure. Cinq minutes après, il était déjà ressorti presque séché.


« Tarde pas. Il va être en retard pour l’école. » Fit remarquer Léon, qui savait très bien que si leur fils avait ramené le petit déjeuner au lit, c’était pour réveiller la mère à temps et la presser un peu.

Elle lui répondit comme à son habitude et lui ne répondit pas, sachant très bien qu’elle gérait son temps. D’ailleurs, elle le connaissait bien plus que lui ne se connaissait lui-même et il avait presque oublié son rendez vous de la journée. Il enfila son costume d’homme d’affaire et se prépara à rejoindre le centre de Londres. A cette heure-ci, il devait déjà y avoir des bouchons. Il entra dans son bureau en vitesse et regroupa toute la paperasse nécessaire à l’obtention de son contrat à l’intérieur de sa valise de businessman. Léon travaillait dans l’agence publicitaire Powell and Lowe dont le siège était en plein quartier d’affaire de Londres. Aujourd’hui il devait tout faire pour décrocher un contrat avec une grosse société Irlandaise spécialisée dans le pâté pour chat. Il allait devoir leur proposer les diverses pubs et coups de génies sortis tout droit de l’imaginaire des créatifs de l’agence travaillant en étroite collaboration avec Léon. C’était à lui de convaincre le client de signe le contrat, ce qui était souvent le plus dur car ceux-ci se prenaient soit pour des divas, soit ils n’étaient jamais satisfaits par les pubs proposées. Une fois la précieuse valise fermée, il mit un petit stylo porte bonheur dans sa poche avant, le même stylo qui servait à chaque fois pour signer des contrats en or. Absorbé par son travail fascinant, l’homme d’affaire quitta rapidement sa famille sans oublier de leur dire au revoir. Il savait qu’ils seraient là à son retour et ça lui faisait chaud au cœur, partant au travail avec le sourire. Encore une belle journée qui s’annonçait…

Et cette journée passa vite, très vite aux yeux de monsieur Smith qui avait réussi à avoir ce contrat, non sans laisser quelques grosses goûtes de sueur. Il avait failli manquer d’argument pour convaincre des industriels mais finalement, ça c’était bien passé suite à une boutade à l’humour English fort appréciable. Après avoir reçu les félicitations de son patron par téléphone, le voilà maintenant qui retournait chez lui pour finir la journée.
Il arriva devant la porte le sourire aux lèvres quand il remarqua que la porte avait été forcée. Pénétrant dans la maison sans aucune difficulté, il fit un pas timide en avant. Son cœur battait de plus en plus fort au fur et à mesure qu’il avançait. Il avait un très mauvais pressentiment et il savait que quelque chose de grave s’était passé. Balayant toute prudence d’un revers de la main, il lâcha sa mallette et courut, d’abord dans le salon où il le découvrit saccager, avant d’aller dans la cuisine et de voir son épouse au sol, baignant dans son propre sang. Cette vision d’horreur fit un déclic à l’intérieur de l’anglais qui crut sentir son cœur lâché, meurtri autant que l’était la femme qui avait partagée sa vie depuis tant d’année. Et voilà qu’elle était morte maintenant, Léon en fut sûr quand il vérifia le pouls. Ses prières ne servirent à rien, seule sa détresse fut entendue d’assez loin pour alerter une patrouille de police qui s’approchait déjà de la demeure.
Il pensa à son fils et se mit à sa recherche, les larmes aux yeux. Son regard vit une forme humaine allongée dans le jardin. Il défonça la sortie à coup de pied et se précipita vers le cadavre de son petit, poignardé à plusieurs reprises et parti vers les cieux lui aussi, pour ne plus jamais revenir.


« Nooooonn !!!! »

Tout avait basculé. Sa vie ne signifierait plus rien à présent. Son travail et son nouveau contrat, il l’avait déjà oublié. Seule la détresse et l’incompréhension l’avaient assiégée en l’espace de quelques minutes.
Des bruits de pas furent entendus derrière lui, signe que la police était déjà arrivée. Celle-ci ordonna à Smith de lâcher le couteau, celui qu’il avait enlevé des mains de sa femme dans son désespoir. D’ailleurs quand il toucha la poignée de l’arme du crime, il sentit ses doigts se resserrer autour comme si ça lui était familier. Une terrible idée lui traversa alors l’esprit : il ne voulait pas être en prison pour ça, il devait résister. Sa famille était partie aujourd’hui et il allait les rejoindre.
Léon se releva rapidement, comme jamais il aurait cru pouvoir le faire, et bondit en avant pour lancer le couteau vers le flic le plus proche, avant qu’un bruit résonnant n’annonce le tir d’une arme à feu.


C’est alors qu’il se réveilla pour de bon, découvrant la réalité et tous ses souvenirs avec : le SGC, la mission, les goa’ulds… Dont un goa’uld, qui à première vue s’était amusée à le torturer psychologiquement en jouant avec ses rêves. L’extraterrestre lui demanda de répondre à des futures questions et la réponse du SAS ne se fit pas attendre. Il attendit que son bourreau s’approche d’assez près pour lui cracher au visage. S’il n’était pas attaché, il lui aurait fait la figure en deux temps trois mouvements.

« Va te faire mettre ! » Dit-il non sans colère, mais avec une pointe d’assurance dans la voix.

Le goa’uld parut légèrement énervé et se prépara à le faire replonger au prise avec son subconscient. Chose qu’il détestait, savoir qu’il rêvait sans pour autant réussir à en sortir. Surtout que la plupart du temps il s’agissait plus de cauchemar que d’autre chose. Mais depuis l’Afghanistan il était habitué et ce n’était pas cet alien qui allait lui faire peur avec des scénarios à la Barnaby.
Durant un bref instant il se demanda comment il pouvait trifouiller et jouer avec ses rêves. Il essaya de sentir s’il avait une quelconque électrode ou objet posé sur sa tête permettant de contrôler son espace onirique, mais il sombra à nouveau dans ses rêves avant d’en avoir la réponse, privé de ce qui l’avait de plus cher : sa conscience.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1019.09.10 19:09

Alix se réveillait doucement d'un rêve étrange qu'elle venait de faire. Comme c'était étrange de rêver d'actes et de personnes qui semblaient aussi réels ! D'autant plus qu'elle avait même imaginé des hommes et des femmes de son village dans ce rêve, ils avaient changés d'apparence un peu, ou peut-être que cette impression venait du fait que leurs vêtements étaient totalement différents de ceux de son village. Les armes n'étaient pas les mêmes non plus, leurs postures, leurs façons de parler différaient elles aussi. Non, décidément, ce rêve avait été des plus étranges, il paraissait tellement réel qu'Alix en vint à se demander si elle avait seulement rêvée...Non ! Elle avait forcément rêvé ! Jamais l'un des chefs de son village, le dénommé Paul Davis, n'avait manifesté le moindre intérêt pour elle. Il était plus vieux qu'elle et en plus, depuis peu, encore marié ! Et puis, il y avait des Jaffas qui les attaquaient ! Vraiment impossible, le peuple de Alix vivait en paix avec les Jaffas. Enfin, en paix, c'était bien vite dit. Disons que jusqu'ici, les Goa'ulds ne leur pensaient pas de grands problèmes. Les quelques éclaireurs Jaffas étaient ou tués ou bien porteur d'un nouveau message provenant de leur conseil et à destination de leur souverain. En général, c'était quand même la deuxième option, mais il arrivait que la première soit demandée... Alix aimait bien la première même on ne le lui laissait pas le loisir d'accomplir le travail elle-même. Elle n'était qu'une femme et le fait qu'elle soit nommée chasseuse au sein du village était déjà une grand révolution. Elle en était d'ailleurs très fière.
Dans son village régnait encore un système patriarcal. Les femmes possédaient bien moins de droits que les hommes et n'avaient pour tâches quotidiennes que tout ce qui avait attrait à la famille et à l'habitat. Elles avaient pour mission, en somme, de prendre soin des hommes et d'élever les enfants. En gros, c'était un peu ça. Et personne ne trouvait rien à y redire, le village perdurait depuis des siècles avec cette mentalité et jusqu'ici, il n'y avait presque aucune alerte à signaler. Presque aucune, c'était un petit mensonge. Ces derniers temps, le village avait connu de nombreux bouleversements dans son organisation interne. L'un des hommes, Smith, avait tué sa famille à coup de couteaux, ce qui, même dans ce mode de vie, représentait un crime grave, d'autant plus qu'en tuant sa famille, il enlevait au village, une femme et un fils qui aurait pu être un grand chasseur ou un grand guerrier. Le village ne possédait pas le culte des hommes, et les naissances féminines étaient tout aussi bien acceptées, mais chacun vivait avec les autres comme une grande famille. Par cet acte, le village avait perdu une partie de cette famille de manière violente et irréversible. Ce drame était une chose mais savoir, qu'en plus, l'un des chef du village avait tenté un suicide suite à sa séparation d'avec son épouse, et savoir qu'en plus il avait réussi son essai était une autre chose terrible. Ajouter à cela que l'un des autres chefs aurait pu l'en empêcher et que l'une des plus brillantes femmes du village était en pleine dépression après avoir raté ses études de médecine n'ajoutaient pas de grand bonheur à la donne. Le village se remettait doucement de toutes ses mauvaises nouvelles.

Penser à tout cela ne lui rappelait que trop à quel point le village était encore fragile. Elle se leva et s'étira afin de se dégourdir. Ce rêve étrange la perturbait un peu quand même, elle devait le reconnaitre. Ordinairement, elle aurait chassé ces mauvaises pensées afin de ne pas se laisser distraire, mais comme c'était son jour de congé, elle se dit qu'elle pouvait bien prendre le temps d'y réfléchir en faisant deux trois bêtises par ci par là. Notamment, aller embêter ses frères qui eux travaillaient sur la construction d'une future maison pour un couple de jeune marié. Aussi se mit elle en route pour rejoindre la falaise, là où les trois jeunes travaillaient. Alix pouvait se montrer très immature de temps en temps et embêter ses frères étaient l'un de ses passes temps favoris ! Il fallait aussi savoir que les jeunes hommes faisaient de même envers la jeune femme lorsqu'ils en avaient l'occasion. C'était à qui embêterait le plus l'autre. Mais la jeune femme se trouvait bien désarmée et perdait souvent puisqu'elle devait affronter non pas un frère mais les trois à la fois. C'était totalement injuste d'ailleurs mais les jeunes hommes avaient une telle imagination qu'à chaque fois, elle avait droit à une torture différente. Torture non méchante bien entendu. Cela pouvait aller au petit doigt mis dans un verre d'eau pendant son sommeil au fait de lâcher un pot de confiture, couvercle ouvert, sur sa tête. Rien de bien méchant et tous s'en amusait. Leurs petites querelles ne lui empêchaient pas de bien accomplir leur devoir envers le village ce qui était le principal.
En cours de route, elle croisa sa mère qui ramassait des fruits pour en faire des réserves et pleins d'autres bons déserts dont elle pourrait se délecter le soir-même. Elle lui emprunta, sans intention de la lui rendre, une pomme en passant à proximité de son panier.


En waar jij dus als dat Alix gaat?
( Et où vas tu donc comme ça ? )

Aïe, la jeune femme était découverte. Bon, ce n'était pas comme si sa mère n'avait pas l'habitude de leurs petites disputes. Elle se retourna en stoppant sa progression pour crier au loin à sa mère qu'elle allait embêter ses frères à la falaise. Alix savait pertinemment bien que sa mère n'aimait lorsqu'elle se trouvait près de la falaise. Cette falaise était particulièrement belle puisque d'en haut, il était possible de voir toute la vallée dans laquelle le village s'était construit. Mais, cette falaise était aussi très dangereuse puisque friable, aussi n'était il pas conseillé de s'y aventurer. Alix, n'ayant cure de tout cela, se mit à courir pour combler son retard potentiel, c'est qu'il s'agissait de ne pas rater ses frères ! Elle n'entendit que de loin la réponse que sa mère lui formulait :

Alix!! Let en ophouden d' op; jouw broers pesten!
( Alix !! Fais attention et arrêtes d'embêter tes frères ! )

Pour toute réponse, elle fit de grand signe de la main à sa mère tout en poursuivant sa course. Alix n'avait pas été nommée chasseuse pour rien. Elle courait vite et ses réflexes étaient vifs et alertes. Elle ne mit pas à longtemps à parcourir la distance qui la séparait de la falaise et lorsqu'elle y arriva, elle aperçue qu'elle arrivait à temps. D'en haut, elle voyait ses frères en plein travail qui ruisselaient tous de sueurs suite à leurs efforts et à la chaleur étouffante. Ils ne semblèrent pas avoir remarqué sa présence. La pomme qu'elle tenait dans sa main droite trouva une utilité toute nouvelle. Elle la lâcha et celle ci alla s'écraser à quelques centimètres des têtes de ses frères. Alix riait tandis que ses frangins protestaient :

Alix ! Fool ons de vrede !
( Alix ! Fous nous la paix ! )

We weten dat je werk niet na
( On sait que tu ne travailles pas )

Dus laat ons het werk
( Alors laisses nous bosser )

Eh bien ! Il semblerait qu'ils n'étaient pas d'humeur pour jouer avec elle. Quelle bande de rabat-joie ! Pour toute réponse, Alix, qui s'était installée à quatre pattes en haut de la falaise, leur tira la langue en leur citant le très célèbre " Nanananère !! ". C'est qu'elle était très, mais alors là, très puérile quant elle s'y mettait. Ses frères s'énervèrent, comme de juste. Seulement, tout ne se passa pas comme Alix l'avait prévu. Elle voulait simplement les embêter un peu mais pas provoquer la catastrophe qui allait suivre. Sous son poids, un petit caillou se décrocha de la paroi de la falaise et en dévalant la pente en entraina d'autres, de tailles plus importantes, dans son sillage. Une simple petite pierre venait de créer l'un des plus impressionnants éboulements que le village eu à déplorer. En moins de deux secondes, Alix venait de créer une catastrophe à son tour, néanmoins, elle n'en mesurait pas encore l'ampleur. Alix attendit avec tout l'espoir du monde que le nuage de poussière se dissipe. La jeune chasseuse priait en silence, faites qu'ils s'en sortent, plusieurs fois de suite. Jamais elle ne pourrait se remettre d'une telle perte ! Jamais, jamais !! Il n'y aurait pas pire pour elle que de savoir ses frères morts, ils représentent tout à ses yeux. Le moment tant attendu arriva enfin et le nuage de poussière se dissipa pour ne rien laisser apparaitre qu'un amont de pierre et de gravât. Tout son espoir avait été tué dans l'œuf par la mort et le désespoir. Tétanisée, il lui fallu quelques secondes pour comprendre ce qui se passait. Lorsqu'elle réalisa enfin que ses frères n'en avaient réchappé, elle se mit à courir en direction du village. Elle couru le plus vite possible pour contourner la falaise afin de rejoindre le reste des hommes si bien que lorsqu'elle les rejoignit enfin, elle fut sans voix. Son père, affolé de voir sa fille dans un tel état, n'attendait qu'un mot d'elle pour donner l'ordre aux autres d'agir. Lorsqu'elle reprit suffisamment de souffle pour s'exprimer, elle le fit de façon concise.

Klif….Instorting
( Falaise....Éboulement )

Lorsqu'ils comprirent, tous les hommes, femmes et même enfants, se mirent en route vers la falaise. Tous se mirent à déblayer les rochers les uns après les autres. Pendant ce temps, Alix qui courait d'envie d'aller les aider tenait compagnie à sa mère. Elle trépignait sur place et n'avait qu'une envie, c'était de serrer ses frères dans ses bras. Alix se mettait de nouveau à prier mais cette fois ci, elle citait le nom de ses frères les uns après les autres en serrant les mains de sa mère.

Shaun, Neil, Sony.... Shaun, Neil, Sony.... Shaun, Neil, Sony...

Enfin !! L'un de ses frères avait été retrouvé. Alix put souffler. Mais pas longtemps. Il n'était pas en vie ? Comment était ce possible ? Non, c'était absolument impossible. Il ne pouvait pas être mort. Pas ça !! Shaun !! Ce n'était pas possible, ce n'était pas vrai. Elle rêvait encore, c'est ça ! En fait, c'était là le rêve et elle se trouvait réellement sur cette planète bleue avec pleins de Jaffas à côté ! Mais alors, comment expliquer que cette douleur au fond de sa poitrine, qui broyait littéralement son cœur et lacérait ses poumons pouvait elle être une simple imagination ? Oh non !!
Puis, ce fut au tour de Sony d'être retrouvé. Mort, lui aussi. Alors Alix se sentit partir et tout le reste ne fut qu'un vague souvenir. Devant tant de douleur, son esprit avait tout déconnecté. Il ne restait plus que sa conscience qui, au loin, lui permettait de rester debout et de respirer. Elle ne comprenait plus ce qui se passait, où elle était et qui elle était. Elle était même à cent milles lieues delà dans les tréfonds d'une souffrance sans nom. Elle ne pleurait pas, ne sanglotait pas non plus. Sa douleur était passée au delà de tout cela. Et même lorsque les autres villageois retrouvèrent Neil, elle ne réagit pas.


Alix….Instorting….Zijn fout…
(Alix...Eboulement...Sa faute )

Telles furent les dernières paroles de Neil avant qu'il ne quitte ce monde pour rejoindre ses deux frères dans un univers inaccessible des autres êtres vivants. C'est lorsqu'elle croisa le regard furieux puis mort de son père qu'elle se mit à pleurer, en silence et sans sanglots. Elle ne fit pas un geste lorsqu'il s'approcha d'elle. Elle n'avait pas peur, ne le craignait pas ni lui ni sa punition. Elle ne méritait que cela d'ailleurs. Mourir pour avoir été la cause de leur mort. Mourir pour les rejoindre et se faire pardonner d'eux, si seulement était possible. Elle en doutait, mais elle voulait essayer. Aussi, quand le coup partit, elle l'accueillit et espéra même qu'il serait suffisant.

Alix se réveilla, en larmes. Elle ne comprenait pas, qu'est ce qu'il se passait ? Où était son village ? Avait elle finalement réussi à rejoindre ses frères ? Ah... non... C'était ça le rêve. La planète bleue, les Goa'ulds, l'attaque et les blessures, c'était ça la réalité. Ses frères étaient bien morts mais ce n'était pas de sa faute et ils n'étaient pas mort comme cela. Enfin... Elle le croyait. Elle ne savait pas, ou ne savait plus. Ne voulait pas se rappeler était le plus exact et même son esprit arrivait encore à résister contre les tortures de ce côté. Elle n'avait rêvé de la vraie mort de ses proches, elle le savait mais n'en était pas heureuse pour autant. Un garde Goa'uld arriva dans la pièce et se dirigea vers eux. Elle remarqua alors que ses compagnons d'infortune étaient là aussi. Smith, Wells, Fett et Davis. Elle essaya de se délivrer mais chaque geste l'irradiait de douleur. Elle était peut-être vivante mais ses blessures n'étaient pas guéries pour autant. Celles ci avaient été soignée suffisamment bien pour le maintenir en vie, le strict minimum en somme.


Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.

Alix fut très surprise. Un Jaffa qui parlait la langue des Tauris ? Comme c'était étrange. Il devait s'en sentir offenser lui même de s'adresser dans la langue de ses ennemis. La déesse Hathor. Voilà bien longtemps qu'elle n'avait pas entendu ce nom. Malgré cela, elle frissonnait toujours autant en attendant prononcer le nom d'un Dieu ou d'une Déesse. Même si elle n'avait pas bien compris ce que Jaffa leur avait dit, elle savait que les ennuis ne faisaient que commencer et qu'elle allait devoir payer le prix pour s'être échappée même si Hathor n'était pas la Déesse qu'elle servait.
Alix n'avait que faire de la douleur qui le tiraillait. Elle ne voulait pas être ici et se débattait comme un diable pour se débarrasser de ses chaines. Ses articulations étaient très fines, ce qui était due à se petite taille, ainsi, si elle se tailladait suffisamment les poignets pour se faire saigner, peut-être qu'elle pourrait se libérer en se servant de son sang comme lubrifiant. C'était une idée comme une autre, stupide certainement, mais il fallait agir.


Bien... J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.


Suite à ses paroles, Alix se sentit repartir dans les tréfonds de ses souvenirs. Elle se retrouvait sur une autre planète, proche de la planète bleue qu'elle avait visitée avec une équipe Tauris...Hein ? Mais de quoi elle parlait là ? Enfin bref. Etrange aussi qu'elle se sentait petite, vraiment petite, elle avait au moins perdu 15 années et n'avait maintenant plus que 5 ans, ou quelque chose dans le genre. Elle se trouvait sur le perron d'une tente en peau d'elle ne savait quoi et jouait avec l'un de ses frères aînés. Elle s'amusait bien et riait de bonheur. Du moins, jusqu'à ce que la porte ne s'active pour laisser le passage à une troupe de Jaffas. Alors son frère la prit de ses bras et alla se réfugier derrière l'aîné des quatre enfants.... Sans le savoir, elle allait revivre tous les scénarios possibles et inimaginables qui expliqueraient la mort de ses proches mais il semblerait que ce scénario là soit très, très proche de la réalité...


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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1021.09.10 10:58

Un anneau servant de porte dont Paul traversait pour rejoindre d'autre planète au sein d'une équipe d'exploration appartenant au programme porte des étoiles. Voilà ce qu'était les rêves de celui-ci. De grand rêve et rien de vraie. Cette vie là, aurait peut-être était belle, plus belle que l'actuelle. Davis était dans sa voiture et attendait le départ de Carla, sa femme. Depuis un petit moment, leurs mariage étaient en train de batte de l'aile et rien ne semblait pouvoir le relancer, pourtant, c'était le plus grand souhait de Paul. Sa femme, il l'aimait et voulait tous faire pour la reconquérir.

Sa femme quitta la maison, comme tous les soirs ses derniers temps, en début de soirée. Paul mit sa voiture en route et resta à une bonne distance de celle de sa femme. Il ne voulait pas être vue et voyait cela comme une mission d'espionnage. Un rôle, dont inconsciemment, il sentait fait pour sa.

*Ce soir je serrais de tous de ce que tu fais.*

Cette obsession, Davis l'a depuis un moment et ne l'abandonnerait que lorsqu'il sera. Carla alla jusqu'un motel au abord de la ville. L'homme gara sa voiture sur le parking et resta dedans, attendant de voir ce qui se passer. Il avait mit la radio en route et écoutait les informations. Il s'était passer bien des choses étranges ses derniers temps. Ceci était assez bizarre, mais sa lui passer au dessus de la tête, il était concentrer dans Carla. Bien que lorsqu'il entendu le nom d'Alix Bailey, ceci lui paru familier, mais il en été rien pourtant.

En ayant un peu mare d'être dans sa voiture a attendre, il en sortie et alla voir le propriétaire. Sa femme était entrée dans la chambre 126. Il voulait aller la rejoindre et avait besoin de la clé. Regardant le propriétaire, il lui dît :

Pourrais-je avoir la clé de la chambre 126, s'il vous plaie.

Le propriétaire refusa, bien que Davis lui expliqua qu'il s'agissait de sa femme. Mais il ne voulait rien entendre. Il ne pouvait rester sur un échec et cherchait donc un autre moyen. Par un moment de folie, et sans réfléchir, il prit la clé de la chambre lorsque le patron eût le tête ailleurs. Celui-ci s'en rendit compte rapidement et demanda à Paul de lui ramener, rien à faire, il était décider et se mit à courir jusqu'à sa voiture. Il mit le contact et alla a toute vitesse jusqu'à la chambre 126, en passant à quelque centimètre du propriétaire, sans s'arrêter.

Arrivant devant la porte, il sortie de sa voiture laissant tous allumer et ouvrit rapidement la chambre. Avançant de quelque pas, il avança et la se fût le choc. Il vit sa femme dans les bras d'un autre homme...de son meilleur ami. Son cœur se déchira et en l'espace d'une seconde, tous les moments merveilleux qu'il avait passer avec elle, passèrent en image. Les larmes au yeux, il cria :

Comment ta put faire sa ?

Sans réfléchir et fou de colère, il sauta sur son meilleur ami, maintenant il ne l'ait plus et lâcha toute sa colère sur lui. Il était fou d'avoir donner tous ce qu'il avait pour la rendre heureuse et de recevoir ceci en remerciement. Il frappait sans s'arrêter et si il devait aller jusqu'à le tuer, cela ne lui aurait fait aucun mal. Devant la scène, Carle intervenu pour essayer d'interrompre le combat, mais dans sa rage, Paul la repoussa avec force avant de s'arrêter subitement. Non, comment avait-il put tomber si bas, il venait de frapper sa femme, celle qu'il aime plus que tous, c'est la déchéance absolu pour lui.

Sans ajouter un mot, le regard vide, il quitta la chambre et reprit sa voiture, passant devant le propriétaire, qui n'arrivait que maintenant. Paul ne dormait plus et ne fessait plus rien, il se laissait partir doucement, mais devait cependant se rendre au divorce. Dans une grande salle, il se trouvait en face du juge, Carla juste à côté, avec son nouvel homme. On lui présenta le papier de divorce et un stylo. Sans prendre le temps de réfléchir et contre toute attente de certains, Paul signa sans faire la moindre réclamation. En une seconde et avec une signature, c'est plusieurs années de sa vie qui partait en éclat...tous comme lui. Il n'avait plus rien...que ses larmes pour pleurer, assit dans son canapé. Soudain, il eût l'impression de tomber dans le vide et ceci se produit. Il se demanda si c'était encore un de ses rêves, mais visiblement c'est ce qu'il venait de passer qu'il avait rêver.

Une personne, visiblement de type goa'uld ou jaffa lui parla. Il ne comprit pas tous étant encore sous le choc. Il était revenu à la réalité et malgré les blessures qu'il avait eût, il était vivant. Mais vivant dans sa propre vie, on lui fessait une sorte de torture interne avec ses souvenirs, pour lui soustraire des informations. L'homme lui posa des questions au nom d'Hathor. A cette cher Hathor, rien qu'a son nom, le Major n'était pas très gaie. Qu'avait-elle encore inventer ? Enfin, il ne répondit pas au question et sourit au jaffa. Jamais, non jamais, il ne donnerait la moindre information. Il donnerait sa vie pour la terre.

Le Major allait retomber dans ses souvenirs, mais juste avant, il eût une pensée pour Alix et le reste de l'équipe. Qu'était-il devenu ? Il aurait aimé le savoir, mais pour le moment, il était prit autre part...dans un nouveau souvenir.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1021.09.10 21:06

«Un cauchemar!» Elle inspira longuement. «Rien qu'un cauchemar...» Elle expira lentement. Elle remua légèrement et trouvait son lit drôlement inconfortable. De brefs souvenirs d'une mission ayant tourné au calvaire refirent surface.*Que se passe-t-il ?* Elle remarqua que le lieu était étrange, semblable à la base qu'elle avait investi sur Vorash.*Non... Pas ça...* Elle essaya vainement de bouger ses bras et ses jambes, mais son corps était solidement attaché à ce support spartiate. *Comment ai-je pu dormir ? Et encore plus rêver d'une chose si étrange ?* Elle se remémora se rêve qui avait semblé si réel. Ce rêve au cours du quel elle avait déçu les êtres qui lui étaient le plus cher, et dans lequel elle avait échoué à ce qui aujourd'hui donnait un sens à sa vie et lui permettait de traverser la Porte des Etoiles. Le seul point positif était qu'elle avait pu revoir son pays natal, revoir cette chambre dans laquelle elle avait grandi: avec ce grand lit à la couette rose et blanche, ces rideaux blancs, son bureau rosé, les murs couverts de posters et de photos, et les différentes touches masculines comme un Famas sur sa commode.
Elle entendait des pas s'approchaient.
*Étrange quand même. Pourquoi un tel rêve ? Pourquoi imaginer que j'ai raté cet examen ?*
Une personne entra alors sur sa droite. Nathalie n'arriva pas à distinguer son visage, mais elle était d'une taille plutôt moyenne,et avait une démarche hautaine, provocatrice. Ses vêtements étaient quant à eux significatifs. La française essayait de voir ce que l'autre faisait, mais sa tête était bloquée.

-Bonjour à vous Tau'ri. Je suis In'trac, humble serviteur de la Déesse Hathor et votre Bourreau. J'ai quelques question à vous poser.


Ces craintes étaient donc vraies; la frayeur l'envahie et lui noua les tripes. Captive, elle savait déjà ce qui l'attendait: de la torture, des questions, un peu de torture, d'autres questions, un peu plus de torture. *Pas ca... s'il vous plait... non...*Elle ne savait pas combien de temps elle pourrait tenir. Encore sur l'émotion de son rêve, elle sentit l'envie de pleurer monter.

-Quelles sont les coordonnées de votre planète ?

Le fait qu'il lui pose une telle question sans la moindre menace dissipa toutes ses craintes ni-une ni-deux, pour laisser la place à de l'assurance. L'homme était maintenant face à elle, il la fixait. Il écarquilla soudain les yeux, étonné de la voir se moquer si facilement de lui. Elle baillait.

-Bien...J'espère que vous serez plus causant après un autre petit tour dans vos cauchemars.

Toutdevint alors net. Voilà comment elle avait pu rêver d'une telle chose. Mais depuis quand une telle technologie existait ?

«C'était donc vous ? Coño ! Voy a matarte !» Tandis qu'elle s'adressait à lui, il s'approchait d'une machine. «Hijo de puta ! Dejame irme !» Elle forçait de plus en plus sur les liens qui la retenait, mais rien n'y faisait. «Vous ne saurez rien ! Je ne dirai rien !» Elle se sentait partir dans un sommeil profond. «Détachez-moi qu'on voit ...» Elle succomba au vide emplie de terreurs.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1022.09.10 13:39

[Comme précédemment, ne lisez que votre parti si vous voulez que la mission sans plus fun. Ce n'est pas une obligation mais un conseil. Pour toute réclamation, par MP, bon RP ]



Léon Smith


Léon ouvrit les yeux, il se trouver dans une pièce, ailleurs que dans la salle blanche précédemment. Bizarrement, il était conscience qu'il s'agissait d'un rêve et il se rappelait de ce qu'il s'était passé avant. Mais Léon observa quand même cette pièce, elle lui était très familière. Il connaissait cette endroit, normal après tout lorsqu'on avait vécu dans cet endroit pendant plusieurs années. Il s'agissait donc de la maison de sa mère. Quel était donc le but de tout ça ? Léon savait pertinemment qu'il s'était un rêve et tombera pas dans le panneau cette fois-ci. Mais revenir ici lui faisait tellement de bien aussi.

Smith était donc dans ce qu'il semblait être son salon. La cheminé était éteinte tandis que les photos de son enfance trônaient fièrement au-dessus. Le Fauteuil qu'occupait sa mère était vide, cela lui rappela la tristesse encouru durant sa mort. Léon n'avait pas beaucoup de famille et la seule personne qui comptait à ses yeux était parti il y a déjà bien des années. Mais la souffrance était toujours encore un peu présente. Smith tentait de faire sans mais il lui était difficile de combattre ses démons par moment.

Soudain, la porte derrière lui s'ouvrit, du moins, il l'entendit s'ouvrir et quand il se retourna, il vit arriver le petit chien de sa mère. C'était lui même qu'il lui avait offert pour l'aider à combattre sa maladie et qu'elle ne soit pas seule durant ces moments durs. Smith s'en voulait toujours de n'avoir pas était assez là pour sa mère et aurait vendu ciel et terre pour prendre un peu de temps avec sa mère.

La porte s'ouvrit de nouveau et Léon vit une infirmière, celle de sa mère. D'ailleurs, l'infirmière fut très surpris en voyant l'homme dans la pièce et se demandait ce qu'il faisait là. Smith la rassura en lui expliquant qu'il était le fils de la propriétaire de la maison. Cela marcha et la femme devint moins méfiante et alla chercher le petit chien avant de donner les dernière nouvelle à l'homme...


-Votre mère est pas très bien ces derniers temps. Il semblerait que la maladie s'est aggravé mais elle refuse d'aller à l'hôpital. Les médecins ont fait tous ce qu'ils pouvaient pour la convaincre mais elle veut rester ici visiblement.

Léon fut attristé d'entendre une nouvelle fois cela. Sa mère ne voulait pas de l'aide des médecins, pensant qu'elle pourra vaincre la maladie toute seule. Mais cette fois-ci, il lui faudra de l'aide pour pouvoir y survivre. Alors Léon demanda à la voir et l'infirmière accepta tout naturellement. Elle conduit donc l'homme jusqu'à la chambre de sa mère. Smith passa par le couloir, le même que dans ses souvenirs. Rien n'avait changé de la dernière fois qu'il était venu ici. Les même objet à la même place, pas étonnant quand on sait que tout cela vient de ses souvenirs.

L'infirmière ouvrit la porte et laissa entrer l'homme seul dans la pièce. A l'intérieur, il y avait sa mère branchait à plein de machine pour la maintenir en vie. Cela fendit le cœur de son fils en voyant sa propre mère dans un état pareil. La mère tourna la tête en voyant sa fils arriver et il n'y avait aucune expression sur son visage. Léon s'assit à côté d'elle tendit qu'elle tournait la tête pour regarder son fils. Se souvenait elle de lui ? C'était la question que se posait Léon car il avait l'impression qu'elle ne le reconnaissait pas...


-Lé...on.... dit la vieille dame d'une voix fatigué.

Smith sourit, au final, elle l'avait reconnu et cela fit chaud au cœur à l'homme d'être de nouveau à côté de sa mère. Mais il y avait une pointe de tristesse en la revoyant ainsi, il aurait préféré la revoir dans ses belles années. Mais ce n'était pas finit, elle reprit la parole...


- Pourrrrquoi....

Léon ne comprit pas la question de sa mère. Après tout, elle était vraiment subjective et l'homme dût demander des précisions si il voulait répondre correctement. Du coup, sa mère se remit à parler...

- Pourrrrquoiii... tu m'as.... laissé.... toute seule !!!!


Plus maintenant ! Léon était désormais là et il ne comptait pas la laisser partir seule et sera là dans les derniers moments. Mais sans comprendre pourquoi, tout s'emballa d'un coup. Des membres du S.A.S pénétrèrent dans la pièce, défonçant vitre et porte. Le chef agrippa par le col Léon et lui expliqua...

-Vite Smith, on a une mission d'urgence !!!!

Mais Léon voulait pas partir, il voulait rester avec sa mère. Il tenta de se débattre mais il était comme impuissant, il avait l'impression de plus rien connaître en technique de défense. Il fut donc tirer tandis qu'il essayait de rejoindre sa mère mais en vain. Smith la vit s'éloigner au loin dans un couloir qui semblait durer une éternité. Il l'avait peut être abandonné après tout. Léon n'avait été là que durant les derniers moments et il se dit qu'il aurait peut être du la voir plus souvent. Le regret et le chagrin commença à le ronger quand soudain, il se sentit basculer en arrière, tomber dans un vide profond.

Smith se réveilla. Il n'était plus attaché mais était désormais dans un prison. Forcément, sans équipement. Léon tapa du poing contre le sol, furieux envers ses serpents de lui avoir fait revivre ce moment difficile. Mais également furieux contre lui, il savait que s'était un rêve mais il s'était laisser berner comme un débutant. Il faut dire que cela semblait tellement réel qu'il avait presque cru revivre ce moment.

Enfin bref, il n'était plus sur la machine et pouvait se déplacer librement, du moins, pour le peu qu'il pouvait circuler. Smith entendit un bruit derrière lui et quand il regarda, il vit la Lieutenant-Colonel. L'homme avait sûrement été torturé comme lui. Léon alla le voir pour prendre des nouvelles. Mais il entendit quelque bouger non loin de lui et vit sortir de la pénombre Nathalie. La jeune femme commença à pleurer. Visiblement, la torture avait été dur pour tout le monde.


[Donc, vous êtes en cellule pour le moment. Il y a avec toi Boba et Nathalie. Alix et Davis sont dans une cellule un peu plus loin. Chacun a subit une torture aussi douloureuse que toi.
Une semaine pour répondre, Bon RP]


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Alix Bailey


La porte des étoiles s'activa. Des jaffas apparut et la jeune femme savait ce que cela voulait signifier. Contrairement à la première fois, elle était pleinement consciente qu'il s'agissait d'un rêve, ou plutôt d'un cauchemars. Son frère l'attrapa comme d'un coup, Alix se sentait totalement impuissante dans ce corps de gamine. Elle aurait tellement préféré avoir son corps d'adulte pour pouvoir se battre. Mais visiblement, ce rêve reflétait la réalité.

Les jaffas passèrent donc la porte et à peine arrivé, ils tirèrent sur la population locale. Des amis, des proches, des compagnons tombèrent sous les tirs des jaffas. Alix totalement impuissante, ne pouvait que rester impassible devant cela, tentant de se convaincre qu'il s'agissait juste d'un rêve, quelque chose qui n'était pas vrai, enfin, qui s'était passé il y a des années. Soudain, son regard se posa sur son oncle et tante, les deux demandèrent pitié à un jaffa mais celui ci les exécuta sans aucune retenu. Alix resta sous le choc en voyant cela, elle se souvenait pas que ça s'était passé comme ça. Il faut dire qu'elle était vraiment trop petite pour comprendre ce qu'il se passait à l'époque.

Tout d'un coup, elle sentit qu'on la bascula pour la remettre à terre et la jeune femme vit devant elle toute sa famille, frère et parent réunit. Son père donnait les consignes à ses frères et à sa mère. Les mâles de la famille allait partir se battre tandis que les femelles allaient se cacher. Mais Alix vit le regard que lança le père à sa mère. L'homme était prêt à tout pour protéger sa famille et partit donc au combat même si celui ci semblait perdu d'avance...


-Kom Alix! U moet vliegen door snel. (Viens Alix !!! Il faut fuir d'ici rapidement.)

La mère prit la fille par la main et se mit à courir rapidement vers la falaise. Là-bas, elles ne sauront pu en danger et pourront attendre les garçons tranquillement. C'était la consigne d'ailleurs du père, qu'elles attendent leur retour à la falaise. Elles se mirent donc à courir, Alix semblait être gêné dans ses mouvements, elle n'avait pas la totalité de ses mouvements, pas étonnant avec un corps d'enfant. Derrière elle, la gamine entendait les cris et les hurlements de détresse des gens de son village. Elle voulut se retourner pour voir ce qu'il se passait mais sa mère la pressa un peu plus...

-We moeten opschieten Alix! blijft con... (On doit se dépêcher Alix ! reste con...)

La mère n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'un tir d'énergie la toucha dans le dos, elle tomba par terre, les yeux encore ouvert mais il n'y avait plus aucun souffle de vie. Alix remua sa mère, la suppliant de se relever et de l'aider à avancer. Pourquoi ?! Pourquoi il avait fallut que ce soit ce rêve là qui soit revenu ? Même si il y avait des différences, il n'y avait rien de pire que de voir ses parents mourir. D'ailleurs, tandis qu'elle essayait de réveiller sa mère, le jaffa coupable du tir se rapprocha de la gamine et arma sa lance juste au niveau du visage de la gamine. Aller !!! Qu'elle meure et qu'elle se réveille pour terminer ce cauchemars. Mais ce n'était pas encore finit pour la gamine.

En effet, au moment où le jaffa allait tirer, ses frangins et ainsi que son père arrivèrent pour tuer le jaffa à coup de couteau. D'ailleurs, Alix resta complètement choqué par la violence que faisait part ses frangins envers ce jaffas, ne lui laissant aucune chance d'en réchapper. Lorsqu'ils eurent finit, chacun alla voir la mère de la famille et tous se mirent à pleurer cette mère ou femme perdu trop vite. Mais ils ne pouvaient pas rester là sans rien faire, il fallait agir vite...

-Hun kracht is veel te machtig voor ons. (Leur force sont beaucoup trop puissante pour nous.)
-We moeten vluchten. We kunnen niet net vader! (On doit fuir. Nous ne pouvons pas les battre père !)
-Er is een manier om mijn zoon ... je zus. (Il reste un moyen mes fils... votre sœur.)

Que voulait il dire par « Votre soeur » ? Soudain, tout lui revint en mémoire à Alix. Elle ressemblait à la Déesse qui jadis vivait ici et elle lui fallut pas longtemps pour faire le rapprochement. Ils voulaient l'échanger pour la paix du village. Et quand cette pensée lui traversa la tête, plus aucun bruit. Tout le monde s'était arrêté et la regardait. Ses frères et son père se levèrent et l'entourèrent. Alix se mit à pleurer, ils ne pouvaient pas faire ça ?! Ce n'était pas comme ça que cela devait se passer. Ils devaient tous la défendre, pas la vendre comme une esclave...

-Je bent een last voor ons zusje. (Tu es un fardeau pour nous petite soeur.)
-Te veel mensen zijn gestorven als gevolg van je ... door de gelijkenis. (Trop de gens sont mort par ta faute... par ta ressemblance.)
-Het wordt tijd dat je je straf subisses. (Il est temps que tu subisses ton châtiment.)
-Ga weg! En niet nog eens langs kom bij ons langs! We wilden meer van jullie hier Alix. (Vas t'en !! Et ne reviens plus jamais nous voir !! Nous voulions plus de toi ici Alix.)

Non... ce n'était pas possible qu'ils pensaient cela d'elle. Mais le doute s'installa au plus profond d'elle, et si c'était vrai. Après tout, ils avaient essayé de la protéger et avaient tout fait pour elle. Alix se dit qu'elle avait sûrement été un fardeau pour eux durant toute ses années. Ses frères s'écartèrent et un jaffa se rapprocha d'elle. Il l'attrapa et il se dirigea vers la porte des étoiles. Alix voyait ses frères et son père la regarder, tout le monde la regardait partir, ils avaient tous plus ou moins un sourire sur les lèvres, même les jaffas qui ne bougeaient pas la regardèrent se faire emmener. Puis, lorsqu'elle fut emmené près de la porte, la gamine fut jeté dedans et Alix se sentit tomber, mais dans le vide cette fois-ci. Elle vit la porte des étoiles s'éloigner ainsi que la jaffa tandis qu'elle plongeait dans le vide avant de se réveiller en sursaut.

La jeune femme se réveilla d'un coup, complètement affolé et surtout très marqué par ce rêve. Elle tremblait, de tout son être et respirer fortement. Elle essaya de voir autour d'elle. Des barreaux, des murs de pierre. Tout cela semblait être une prison et plus à une salle de torture. Mais comment savoir qu'il ne s'agissait plus d'un rêve. Elle entendit du bruit et vit Davis se réveiller, immédiatement, la jeune femme se dirigea vers lui pour prendre des nouvelles et peut être trouver du réconfort.


[Donc, vous êtes en cellule pour le moment. Il y a avec toi et Davis. Boba, Nathalie et Smith sont dans une cellule un peu plus loin. Chacun a subit une torture aussi douloureuse que toi.
Une semaine pour répondre, Bon RP]


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Nathalie Wells


Nathalie ouvrit les yeux et elle se trouvait sur la terrasse d'un café. Habillé en tailleur, comme une femme d'affaire. Mais contrairement à l'autre fois, elle savait qu'il s'agissait d'un rêve. Mais pourquoi l'amener dans un tel endroit ? Une terrasse de café, pourquoi là ? La jeune femme resta méfiante, observant tout autour d'elle. Soudain !!! Le serveur lui apporta sa commande et l'homme haussa un sourcil devant la nervosité de la jeune femme. Mais pour Nathalie, c'était à rien n'y comprendre, que voulait signifier ce rêve ?

Alors qu'elle se posait pas mal de question, elle vit marcher dans la rue quelqu'un qu'elle connaissait parfaitement puisqu'il s'agissait... d'elle-même. Au loin, Nathalie se vit alors qu'elle n'avait que 15 ans à peu près. La jeune femme ne comprit pas pourquoi elle était en dehors et non dans ce corps là-bas. Puis finalement, son double prit visiblement une ruelle et disparut du champs de vision de Nathalie. La jeune femme resta là, à essayer de comprendre quelle sera sa torture quand elle fit le rapprochement. La ruelle... 15 ans....

Non... C'était pas possible ? Comment il pouvait lui faire revivre cela. La jeune femme décida donc de se lever et de partir en courant aider son double. D'ailleurs, le serveur gueula un coup en la voyant fuir sans payer. De toute façon, le jeune femme s'en foutait royalement, plus qu'une chose comptait pour elle désormais. Alors, elle se mit à courir et il y avait en elle un point de terreur mais également d'humanité. Elle voulait à tout prix éviter que cela se reproduise et fera tout pour arrêter cet homme, surtout que maintenant, elle pouvait le mettre en déroute. Enfin, la voilà à quelques mètres de la ruelle et lorsqu'elle arriva dedans, personne... Juste son double qui s'éloignait au loin en train de chantonner.

Nathalie ne comprit pas ce qu'il se passait. Elle était pourtant sûr d'elle. Mais voyant qu'elle avait fait erreur, la jeune femme se retourna et là... elle vit l'homme qui l'avait agressé des années avant. Sourire machiavélique aux lèvres, couteau à la main, Nathalie resta tétanisé devant l'homme...


-Salut !! Dit il d'une voix pervers et effrayante.

Il était juste devant elle, Nathalie pensait pouvoir le mettre en déroute mais la peur la prenait tellement au tripe qu'elle était incapable de bouger. L'homme attrapa la jeune femme et la colla contre le mur. La française était complètement effrayé pour ce qu'il se passait, incapable de se défendre face à cet homme. Elle avait suivit un entrainement militaire et maintenant, face à ses démons, elle était dans l'impossibilité de faire quelque chose. Cela eut pour effet de faire pleurer la jeune femme tandis que l'homme retirait petit à petit les boutons du chemisier de Nathalie.

Couteau sous la gorge, elle sentit la main de son agresseur montait progressivement le long de sa cuisse. Le dégout, la peur, l'incompréhension se mélangeaient au sein de la jeune femme. Nathalie se mit à pleurer encore plus fort quand elle sentit la main de son bourreau toucher son entre-jambe. C'était encore pire que la dernière fois et personne pour l'aider. Son père devait arriver normalement mais là, absolument personne. Les passants dans la rue faisaient semblant de rien, préférant éviter de s'en prendre à un agresseur. D'ailleurs, l'homme jeta Nathalie au sol et descendit sa braguette pour pouvoir se satisfaire à l'encontre de la jeune femme. Mais alors qu'il allait s'abaisser pour la violer, un homme arriva et bouscula l'agresseur. Celui ci fit tomber son couteau avant de prendre la fuite comme un lâche. Finalement, il y avait son sauveur, son père qui était arrivé un peu en retard. Mais quand Nathalie regarda son sauveur, elle fut très surpris de voir qu'il s'agissait du Général O'Neill.

Le Général se tenait là, juste devant elle. La jeune femme ne comprit pas pourquoi le Haut-Gradé se trouvait dans cet endroit et pourquoi lui ? Soudain, son père arriva également, mais également sa mère, puis ses amis, ses compagnons d'armes, les personnes faisant la mission actuelle étaient là aussi. Tous l'entourèrent tandis que Nathalie restait au sol, en parti dénudé. Elle pouvait lire dans les yeux de chacun du mépris, voir du dégout envers elle.


-Incapable !!
-Laidron !!!!!!!!!
-Bonne à rien !!
-Tu es la honte de la famille !!
-On est mort à cause de toi !!!!!
-Tu m'as déçut !!!!
-Tu vaux rien au final !!
-Je veux plus te voir !!!!
-Salope !!!
-Je pensais qu'on était ami !!!!
-J'ai toujours voulut un fils !!!!!
-Tu me dégoutes !!!!!

Toutes ses voix, toutes ses personnes qu'ils la détestaient. Nathalie se boucha les oreilles pour ne pas entendre tout cela mais rien n'y fait. Tout résonnait dans sa tête et le sol se mit à tourner tandis que les gens continuaient à l'injurier. Était ce vrai ? Avait elle fait honte à toutes ses personnes ? Depuis le début, elle n'avait cesse de donner le meilleur d'elle même et au final, tout le monde la voyait comme un boulet. Sa famille la reniait, ses amis ne l'aimait pas et le reste n'avait aucun respect pour elle. Soudain, la jeune femme se sentit partir en arrière et tomber dans un gouffre noir.

La jeune femme se réveilla en sursaut. Elle lâcha quelques larmes à cause de se rêve affreux qu'elle venait de faire. Mais si c'était vrai ? Et si elle décevait vraiment les gens autour d'elle. Tout cela avait vraiment perturbé la jeune femme. Elle finit par lever les yeux et vit Léon en train de parler avec le Lieutenant-Colonel. Tout deux avait dû être atrocement torturé comme elle.


[Donc, vous êtes en cellule pour le moment. Il y a avec toi Boba et Smith. Alix et Davis sont dans une cellule un peu plus loin. Chacun a subit une torture aussi douloureuse que toi.
Une semaine pour répondre, Bon RP]


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Boba Fett


Boba ouvrit les yeux et le voilà dans un hélicoptère de l'armée. Il observant autour de lui, des soldats prêt à l'action tandis que l'homme devant lui mâchait énergiquement son chewing-gun et fit un signe du pouce envers le Lieutenant-Colonel. Mais cette fois-ci, Fett savait pertinemment qu'il se trouvait dans un rêve. D'ailleurs, il savait à quoi servait ses hélicoptères. C'était cette fameuse mission en Afghanistan où il devait détruire une ville contenant des menaces potentielles. Boba avait fait cette mission sans aucun problème alors il ne comprenait pas la difficulté de celle ci. Peut être que leur appareil de torture n'avait pu de quoi exploiter.

L'hélicoptère se posa, et Boba descendit en même temps que les autres de l'appareil. L'homme se mit en rang avant de recevoir les informations du Colonel. D'ailleurs, Boba se frotta les yeux en voyant qu'il s'agissait du Colonel Turner. Fett ne se souvenait pas qu'il était là alors pourquoi il se trouvait ici ?


-Soldat !! Dans ce putain de village, des civils normaux comme vous et moi. Mais également comme les personnes du World Trade Center. Alors, on va leur foutre sur la gueule et leur montrer ce qu'il arrive quand on s'en prendre au USA. Pas de pitié soldat, qu'ils crèvent tous en enfer.


Alors là, c'était vraiment différent de ce qu'il s'était vraiment passé. D'ailleurs, Boba n'avait pas fait la deuxième guerre du golf mais seulement la première. Soudain, il se fit engueuler par le Colonel car Boba n'avait toujours pas bougé de sa position. Turner lui passa un savon comme jamais Fett en avait eut un et cela le déstabilisa un peu. Le Lieutenant-Colonel finit par se mettre en route et se dirigea vers le village. Des coups de feu se faisaient déjà entendre mais également des cris de détresses, de douleur ou de haine. C'était vraiment intense d'entendre tout cela mais Boba devait faire son travail. Alors, il défonça une porte et là, il vit un gamin au milieu de la pièce, en train de jouer avec des mini voiture. Ce gamin, Fett l'avait déjà abattu des années avant et cela avait été très dur pour lui. Alors, il hésita, il ne pouvait recommencer ce geste horrible.

Le petit garçon se leva soudainement et se tourna vers le Lieutenant-Colonel. Le gamin regarda l'homme avec des yeux tout ronds, ne comprenant pas ce qu'il se passait et au final, Boba l'abattu froidement, telle était les ordres. Le garçon tomba au sol, troué par une balle en pleine poitrine. Le Lieutenant-Colonel fit demi-tour et alla dans une autre baraque pour essayer d'oublier tout ça. Il défonça la porte et là, vit deux gamins. Exactement le même que celui qu'il avait tué dans la maison d'à côté. Mais cette fois-ci, ils étaient deux. Les petits garçons se levèrent donc et regardèrent Fett dans les yeux. C'était irréel et Boba ne pouvait refaire ce geste. Certes c'était un bourrin de base mais pas un assassin d'enfant. Alors, il lâcha son arme mais celle ci ne bougea pas et tira d'elle même contre les deux gosses. Le Lieutenant-Colonel crie, horrifié par ce qu'il venait de se passer.

Son arme venait d'abattre deux gosses sans même qu'il tire lui même. Le Lieutenant-Colonel quitta donc la maison à toute vitesse et se dirigea vers une autre maison mais en entrant, la même chose, trois enfants identique se trouvaient dedans en train de jouer. Boba voulut faire machine arrière mais la porte était fermé et impossible de l'ouvrir ou de la défoncer. Pourtant, l'homme avait prit pas mal d'élan pour la défoncer mais rien n'y fait. Même les carreaux résistaient aux balles du Lieutenant-Colonel...


-Pourquoi monsieur ?? demanda un des enfant.

Tout les trois se trouvaient maintenant par terre, il avait reçut une balle dans le ventre. Quand Boba regarda son arme, il vit sa main sur la gâchette et son arme encore fumante. Fett lâcha son arme, complètement horrifié par lui-même. Il n'était pas comme ça, il ne tuait pas les enfants pour le plaisir. La voix des enfants résonné dans sa tête et Boba se prit donc la tête et hurla aux voix de se taire, de le laisser tranquille. Quand soudain, plus un bruit, mais juste une voix familière se fit entendre...


-Boba.... PouRquoi tU m'As lAiSSé seUle pEtiT meRdEUx de meRdE !!!

Il s'agissait de sa mère qui se trouvait dans un fauteuil au bout milieu de la pièce. Elle baignait dans l'alcool et l'urine. Des bouteilles de bières gisaient sur le sol tandis qu'elle lança celle dans sa main contre son fils. Bien sûr, elle n'avait pas assez de force pour atteindre son fils et Boba décida de quitter la pièce sans même adresser un mot à sa mère. Il allait l'abandonner encore une fois. Le Lieutenant-Colonel ouvrit donc la porte de sortie et là, se présentant à lui, son père.

-Boba... OU VAS TU COMME ÇA ?!

L'homme frappa son fils au visage qui eut pour effet de le faire tomber au sol. Cet homme qui lui avait causé tant de mal était de retour. Rien qu'à le voir, le Lieutenant-Colonel était complètement effrayé. Lui, l'homme considéré comme le plus robuste du SGC, celui à qui les balles ne lui font rien. Finalement, même Fett avait ses cadavres dans ses placards et son père en faisait parti. Boba tenta de ramper le long du sol pour échapper à son père tandis que sa respiration augmentait progressivement. Mais devant lui, se présenta sa mère qui se mit à uriner sur place. Mais d'autre commencèrent à l'entourer.

-ReGardE cE quE Tu Asss FaIt !!!
-Pourquoi monsieur !!!!!

-Espèce de petite merde !!!
-Par pitié !!! épargnez nous !!!!
-Tu n'es pas l'homme qu'il me faut!!

-Ramener... mon corps... au SGC...SVP !!!
-הבן שלי לא !!!
-On a perdu MULLER !!!!
-למה אנחנו הורגים !!!
-Vous ne méritez pas cette médaille !!


Toutes ses voix résonna encore plus dans la tête du Lieutenant-Colonel. Était il vraiment une machine à tuer sans cœur ? Il faisait son boulot mais les gens ne voyaient en lui qu'un monstre sans cœur qui tue pour le plaisir. Boba avait fait son possible pour être l'un des meilleurs, des plus respecté mais au final, il était l'un des plus craint, voir le plus détesté. Fett se sentit soudainement partir en arrière et tomber dans le vide.

Boba se réveilla, très affecté par ce rêve plus intense que le premier. Il savait pourtant que c'était qu'un rêve mais au final, tout cela l'avait complètement perturbé. Avait il vraiment cette réputation de monstre au sein du SGC ? La question lui trottait dans la tête tandis que Smith arriva le voir. Fett observa autour de lui, il n'était plus dans cette foutue pièce à la coin mais dans une cellule. Bien, cela permettra de se remettre de ses émotions et trouver un moyen de sortir de là.


[Donc, vous êtes en cellule pour le moment. Il y a avec toi, Smith et Nathalie. Alix et Davis sont dans une cellule un peu plus loin. Chacun a subit une torture aussi douloureuse que toi.
Une semaine pour répondre, Bon RP]



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Paul Davis


Un tir atterrit non loin de la tête à Davis. Merde c'était quoi ça ? Paul observa autour de lui, des tirs dans tout les sens, une forêt dense et des tireurs posté dans les arbres. Mais que faisait il ici ? L'homme savait très bien qu'il s'agissait d'un rêve contrairement à la première fois. Alors Davis se demanda pourquoi il était ici à ce moment même. Mais rapidement, il comprit pourquoi quand il vit en train de tirer Talia, Rosevelt. La jeune femme tirait dans les arbres et au final, tout revint en tête. C'était cette fameuse mission où Talia perdit la vie. D'un regard noir, Paul ne pouvait laisser cela se reproduire alors il se mit à tirer à son tour. Faisant feu contre celui qui devait tuer la jeune femme. Davis était pourtant sûr de toucher sa cible mais celle ci continuait à faire feu. Et finalement, ce que craint Paul arriva. Un tir alla en direction de la jeune femme quand soudain...

-ATTENTION !!!!!!

Un jeune homme, que Davis ne connaissait absolument pas poussa Talia et se prit le tir en plein tête à la place de la jeune femme. Talia se leva et fit feu sur l'auteur de ce tir et celui ci tomba de son arbre. Paul alla voir le sauveur de la jeune femme mais en arrivant, il vit qu'il avait reçut le tir en plein visage, le défigurant. Davis voulut voir ses plaques mais elles avaient également disparut...

-Un soldat courageux qui n'a pas hésité à risquer sa vie pour moi. Tu devrais le remercier Paul.

Il s'agissait de Talia, sa voix douce et mielleuse rappela à Davis au combien elle lui manquait. Mais pas le temps de rester là à se regarder, ils avaient une mission. Accompagné par O'Neill et un scientifique, les quatre se dirigèrent vers la base ennemi pour faire détruire un appareil Goa'uld. Rapidement, ils se trouvaient prêt du campement et O'Neill donna ses instructions. Davis devait poser du C4 sur leur citerne d'eau tandis que Talia devait s'occuper de l'armurerie. Sur ce coup, Paul ne pourra pas la protéger et espérait de tout cœur qu'elle s'en sorte vivant.

Chacun se mit en route. Davis fit preuve de discrétion et réussit à poser son C4 sans aucun problème. Les jaffas ne s'attendaient sûrement pas à une attaque surprise contre eux. Paul partit donc en direction du point de ralliement et là, il y avait déjà O'Neill et le scientifique. Mais pas de Talia. Ils devaient attendre son retour pour tout faire exploser et l'attente fut très longue pour le Major. Les secondes étaient des minutes, les minutes des heures et au final, il la vit arriver en pleine santé. Un sourire de réjouissement se lit se le visage de l'homme tandis qu'elle les rejoignaient. Parfait, tout était en place et le spectacle allait commencer. Malheureusement, du bruit derrière eux et en se tournant, un jaffa se trouvait juste à côté. Le serpent ne les avait pas vue au début mais quand tous se retournèrent, il pu les voir alors il prit sa lance mais les terriens furent plus rapide. Seulement, les tirs allaient alerter les autres et O'Neill ne perdit pas de temps avant de toute faire sauter et ordonner de fuir.

Les quatre ses mirent à courir en direction de la porte des étoiles tandis que les jaffas ne savaient pas où donner de la tête avec toutes ses explosions. Davis garda un oeil sur Talia, se postant derrière elle en cas de besoin. Il ne voulait pas la perdre une seconde fois. O'Neill ordonna l'arrête en voyant aucun jaffa à leur poursuite. Cela leur permettra de respirer un peu. Tous était essoufflé et prit cet instant avec plaisir.


-... C'était... rigolo tu trouve pas Da...

Pas le temps de finir sa phrase que Talia se prit un tir jaffa sur la hanche droite. Davis la vit tomber au ralentit tandis que les autres sortirent leur arme pour abattre le jaffa qui avait été la cause de cela. Paul s'accroupit et prit la jeune femme dans ses bras. Elle était encore vivant mais dans un triste état. Elle regarda dans les yeux Davis, complètement effrayé et sous le choc du coup. Mais contre attente, Talia dit quelque chose d'où Paul s'y attendait pas...

-Pourquoi ?!.... Pourquoi tu ne m'as pas protégé Paul ?

Soudain, une femme apparut également de derrière un arbre, c'était Carla. Sa première femme et Davis ne comprit pas pourquoi elle était là également.

-Nous étions tes femmes Paul... et tu n'as rien fait pour nous venir en aide.

Non c'est pas vrai, il avait au contraire tout fait pour les aider et les rendre heureuse. Il ne voulait que leur bonheur et les voir sourire tout les jours. Mais visiblement, ce n'était pas les seuls car O'Neill arriva mais également Boba, Turner ou même Janet.

-Tu n'as pas l'étoffe d'un leader.
-Je ne t'ai jamais considéré comme un ami.
-Je suis bien content de pas te voir sur le Dédale.
-Tu ne sais rien au femme, d'ailleurs, tu ne sais rien faire de bon.


-INCAPABLE !!!

Tous le crièrent et le répétèrent plusieurs fois. Davis les regarda paniquer avant de poser son regard sur Talia, elle s'était changé en squelette et Paul la lâcha subitement. Était il vraiment ce qu'ils disent ? Un incapable qui rate tout ce qu'il fait ? C'était vraiment dur pour l'homme d'entendre cela de la bouche de personne qu'il estimait beaucoup. Il tenta de se boucher les oreilles avec ses mains mais rien n'y fait, les voix résonné dans sa tête et cela lui fit atrocement mal au crâne. Davis hurla d'arrêter tout cela mais rien n'y fait. Soudain, il se sentit basculer en arrière et tomba dans un vide profond.

Davis se réveilla. Quel rêve atroce et surtout intense. Il avait été plus dur que le premier et surtout plus marquant. Les questions et le doute se mélangèrent dans sa tête tandis qu'une personne se dirigea vers lui, il s'agissait d'Alix visiblement très marqué également par cette torture mentale. Paul prit donc un moment pour observer l'endroit, il était en prison visiblement mais avant tout, il devait connaître la position de Boba et les autres.


[Donc, vous êtes en cellule pour le moment. Il y a avec toi et Alix. Boba, Nathalie et Smith sont dans une cellule un peu plus loin. Chacun a subit une torture aussi douloureuse que toi.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1023.09.10 19:38

Je repris conscience une nouvelle fois, dans un nouveau rêve. Je le savais car j’étais dans un hélicoptère, survolant des montagnes marrons d’un pays désertique. Je le savais car en observant les personnes autour de moi, il y avait des différences d’uniformes qui étaient très récents. La dernière fois que j’étais dans un pays désertique, on avais pas tout ce matos électronique en plus.

-« Le serpent s’est lamentablement planté. »

Mes « coéquipiers » ne prêtèrent même pas attention à moi. D’ailleurs, en observant leur manche de veste, je pu voir le patch indiquant : ISAF – NATO OTAN. J’étais en Afghanistan. Je n’y avais jamais foutu les pieds. La dernière fois que j’ai vu le moyen orient, c’était en Irak, en 1990. Je baissais le regard, dépité.
L’hélicoptère se posa, je suivis les autres en descendant de l’appareil. Nous nous mettions en rang en attendant les instruction. Un arriva et beugla des ordres. C’était le colonel Turner. Qu’est-ce qu’il foutait là ? Le serpent devait foutre une sacrée merde dans mon esprit. Les ordres était simple, tirer sur tout ce qui bouge et qui n’était pas de l’isaf. Tout mes camarades se mirent en mouvement.


-« Merde… »

Soudain, quelqu’un me secoua violement. C’était Turner. Il gueula contre moi, parce que je n’avait pas suivi le reste du groupe. Voilà qu’il faisait attention à moi maintenant ! après m’être prit un savon comme je n’en avais pas prit depuis longtemps, je me mis en route. Des coups de feu résonnèrent. Le massacre avait déjà commencé.
Une fois dans le village, je voyais des gens au visages anonymes se faire tuer dans de grands cris. Je vis une maison devant moi. Je défonçais la porte. Dedans se trouvait un gamin.


-« Non ! »

c’était le même gamin que j’avais abattu il y avais des années de cela en Irak. J’avais mon arme braqué sur lui. Mais je ne pouvais pas lui tiré dessus une nouvelle fois. C’était tellement trop pénible. J’entendis au loin Turner gueuler des ordres. Puis je me disais qu’il était déjà mort. A contre cœur, j’appuyais sur la détente. L’enfant s’effondra sur le sol. Je l’observais quelques secondes encore, puis je tournais les talons. Je rentrais dans une autre maison et deux autres gamins m’attendaient. Les mêmes que celui que j’avais abattu.


-« C’est quoi ce bordel ! »

Je ne pouvais recommencer ça une autre fois ! De colère je jetais mon arme au sol. Enfin c’est ce que je croyais avoir fait. Mais elle resta en l’air, puis elle tira deux fois, tuant les deux enfants. Horrifié, je sortais de la baraque en courant. Dehors c’était le même chaos. Il y avait des cadavres partout. Perdant tout mes repères, je rentrais dans une autre maison, pensant pouvoir m’y abriter. Malheureusement, trois enfants, toujours le même m’y attendaient. Il me demandèrent pourquoi. A bout, je fonçais sur la porte, qui n’avait pas l’air très solide. Elle résista sans broncher. Je me retournais pour trouver une autre échappatoire. Avec horreur, je vis les trois enfants a terre, abattu par mon arme encore fumante, qui avait réapparu dans mes mains.

-« Non !!!!! »

Je jetais mon arme, qui valdingua un peu plus loin. Les voix des enfants résonnèrent dans ma tête. Je n’en pouvais plus. Je m’effondrais sur le sol. Sans prévenir, le silence revint, pour être à nouveau brisé par une voix, une voix qui m’était très familière. Ma mère. Elle se tenait devant moi, dans son fauteuil qui puait le whisky bas de gamme et l’urine. Elle me réprimanda et m’envoya sa bouteille vers moi. Elle me rata. Ce qui me conforta dans l’idée de quitté cet endroit très rapidement.

-« Non…. Non… »

J’essayais une nouvelle fois d’ouvrir la porte. Cela réussi. Mais à ma grande stupeur, mon père se tenait dans l’encadrement de la porte, il m’insulta et me colla un poing. Je valsais en arrière et je tombai sur mes fesses. Affolé, je me mis à ramper pour trouver une cachette, comme je le faisais quand j’étais petit. Plusieurs personnes m’entourèrent. Des camarades morts, que ce soit sur Terre ou sur une autre planète. Des jaffas, des choses que je ne saurai nommer. Mes victimes directes et indirectes.

-« Arrêtez ! Arrêtez ! Arrêtez… »

Je commençais à pleurer. Qu’est-ce qu’il se passait ? Qu’avait-je fais ? Je pleurais sur mon sort.
Puis, la sensation de basculement revint. Je rouvris les yeux. La salle blanche avait disparue pour laisser place à une cellule sombre et froide. Je repensais un moment à ce que je venais de vivre
.

* Suis-je vraiment un monstre ?*

Quelqu’un s’approcha de moi. C’était Smith. Je me demandais, furtivement, si il avait cet opinion sur moi.
Revoyant la cellule où nous étions, je chassais cette pensée d’un grande respiration. Il fallait sortir d’ici.


-« Smith ! Vous savez où sont les autres ? »

Je me levais péniblement, comme fatigué par ce que j’avais vécu. J’observais la cellule pour réfléchir.

-« Je ne sais pas ce qu’il vous est arrivé de votre coté, mais j’ai une envie folle de commettre un meurtre sur le propriétaire de ces lieux. Trouvons une solution pour sortir ! »

Puis je me mettais à la recherche d’une faille qui me permettrai de sortir d’ici et de ramener mes hommes sur Terre. Et d’égorger le Goa’Uld si j’en ai l’occasion.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1025.09.10 12:29

C’était un autre endroit dans sa tête mais en réalité, il n’avait pas bougé. Il le savait. Quelqu’un jouait avec son esprit et lui faisait revivre des moments douloureux, Smith n’avait aucun doute là-dessus. C’était de la torture psychologique pure et simple. Il reconnut l’endroit la seconde d’après, une boule d’émotion dans la gorge. Un regard par la fenêtre et ses doutes furent confirmés : il se trouvait dans la maison familiale, dans une de ces rues londoniennes typiques et historiques de la ville. A l’intérieur comme à l’extérieur, rien n’avait changé.

« Tout ça est irréel… Tout ça… Tout est faux… »

Et pourtant… Une étrange sensation de bien être l’avait submergé, comme à chaque fois qu’il se trouvait dans cet endroit. Il aurait bien allumé la cheminée pour réconforter ce sentiment agréable d’être chez soit, mais ses muscles lui interdirent de bouger pour le moment, sachant très bien que tout ça était une manipulation. Il avait subi un entrainement psychologique contre l’hypnose et autres techniques du genre, mais là c’était différent. Son regard se posa sur la vieille chaise de sa mère, auparavant en mouvement constant avec un bruit de bois froissé sur le parquet. Sauf que là il était immobile car sa propriétaire s’en était allé pour ne jamais revenir.
Du moins c’est ce qu’il croyait avant d’entendre une porte s’ouvrir derrière lui. Il avait oublié l’existence d’une chambre à cet endroit et son subconscient le mit en garde pendant un instant. Un petit chien comparable à un jeune chiot dévala de l’ouverture pour se ruer à ses pieds et les renifler comme pour vérifier son identité. Le cœur de Léon se mit à battre de joie. Ca faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu et bon dieu, que ça lui faisait du bien ! L’anglais s’abaissa et prit le petit animal dans ses mains, le souleva jusqu’à hauteur de son visage pour le regarder dans les yeux. La bête lui lécha le bout du nez, remuant systématiquement de la queue. Un long sourire se dessina sur le visage du militaire. Revoir ce chien lui faisait un bien énorme, adorant les animaux qui lui rappelaient une certaine stabilité, une certaine paix, dans l’entourage familial. Une infirmière arriva à son tour et parut surprise. Sans prendre le temps de la saluer et toujours le sourire aux lèvres, Smith tourna son regard vers elle.


« Où est-elle ? Où est ma mère ? Je veux la voir… »
Dit-il en ne lui laissant pas le moindre choix dans le ton qu’il prenait.

Le chien avait été pris pour tenir compagnie à sa mère après son départ en Afghanistan. S’il était là, elle aussi devait se trouver dans les parages. C’est alors que l’infirmière lui donna des nouvelles sur la santé du dernier de ses parents encore en vie. Léon fut pris d’un malaise en entendant que la maladie s’était aggravée. Elle précisa qu’elle voulait rester ici, ce qui était triste mais pas du tout surprenant. Sa mère avait toujours habité à cet endroit, elle s’était toujours occupé de cette maison et n’était jamais partie, pas même lors des bombardements incessants de la Wehrmacht en 41. Elle avait toujours résisté et tenue position et ce n’était pas maintenant qu’elle allait céder. Elle combattrait la maladie pour vivre ses derniers instants… C’est sur cette pensée que Léon suivit l’infirmière vers la chambre, après lui avoir rendu le chien. Son sourire avait peu à peu disparu après ça, redoutant une fois de plus ce qui allait se passer mais ne pouvant faire marche arrière, la tentation étant trop forte. Il repéra les divers tableaux peints par son propre père avant de mourir, de véritables œuvres dont Léon n’avait jamais vraiment compris la signification si ce n’est pour faire beau. Lui n’était pas un artiste, il était un combattant, fin tacticien qui avait les pieds sur terre, avec un cœur de guerrier comme sa mère… Sa mère qui agonisait dans son lit de mort… L’atmosphère de la pièce était lourde, l’éclairage sombre et ça sentait le renfermé. Léon avait envi de se retourner et de partir en courant et pourtant, quelque chose l’en empêcha, curieux de savoir la suite de la scène comme s’il était simple spectateur de ce qui se passait.


« Mère… » Répondit-il après qu’elle l’ait reconnu.

Il s’assit à son chevet et prit sa main dans la sienne. Jamais il n’aurait cru pouvoir vivre ça, être là pour l’accompagner dans ses derniers moments de vie. L’accompagner dans cette dernière ligne droite, s’occuper d’elle, la guidait vers un endroit où il lui serait impossible de la suivre. Un endroit qui l’emmènerait aussi loin de tout, de la vie et de ses problèmes… Aussi loin qu’il était possible de l’être.
Pendant un instant, il lut l’expression sur son visage : celle d’un sentiment de paix et de tranquillité. Elle souriait à la mort, lui tendant les bras comme quand elle accueillait son fils Léon de retour de ses classes. Elle semblait si sereine, acceptant cette fatalité avec tellement de beauté, à l’image du petit sourire tracé sur son visage ridé. Une larme coula sur la joue du fils Smith, la première depuis bien longtemps. Même quand il était triste, il n’arrivait pas à pleurer. Le fait que ça soit le cas maintenant lui fit tellement de bien qu’il était prêt lui aussi à dire au revoir à sa mère une dernière fois.
Mais voilà, tout ne se passa pas comme prévu. Toute la beauté de cet instant disparut, tel un coup de vent sur les plages nordiques de l’île britannique. Tous ses sentiments de bien-être s’envolèrent.


- Pourrrrquoiii... tu m'as.... laissé.... toute seule !!!!

« Que… Quoi ?? »

L’expression du visage de sa mère changea complètement, devenant hostile, déçu mais surtout haineux. Puis la porte céda sous un coup de pied violent et une équipe des SAS pénétra dans la pièce. L’un d’eux, apparemment le chef, attrapa Léon pour le faire sortir et l’emmener sur un théâtre d’opération. Mais lui ne voulait pas, il souhaitait rester ici pour passer ses derniers moments avec sa mère. Il essaya de se débattre mais maladroit avec ses mains, il assista avec beaucoup de peine à son propre enlèvement ! Ils le firent s’éloigner de sa mère et lui tenta de se dégager avec peine. Mais la distance entre lui et la chambre s’agrandissait inéluctablement tandis qu’il criait et se débattait, mais pas avec assez de forces, comme s’il était paralysé. Il ne pouvait empêcher ça de se reproduire. Encore une fois, il abandonnait sa mère aux portes de la Mort. Pris par un immense sentiment de regret et de chagrin, il se laissa emporter loin de tout ça…

C’est le cœur lourd qu’il reprit connaissance dans une cellule. L’ambiance avait bien changé mais la dure réalité semblait être plus agréable que ses rêves mélancoliques. Au moins ici il se sentait vivant, réel… Cependant, il eut quelques doutes pendant un moment. Et si c’était toujours un putin de rêve pour le faire parler ? Léon tapa du poing sur le sol, de rage, et sentit une phalange de son index craquer, comme si elle avait été sur le point de se briser. Il hurla de rage et fut désormais sûr qu’il était revenu dans le monde réel. Et il n’était pas seul…

« Co… Colonel. » Fit-il en se relevant difficilement et s’approchant de l’homme. « Je n’en ai pas la moindre idée… »

Il n’avait plus aucun équipement sur lui. Il commença à réfléchir pour trouver un moyen de sortir d’ici, mais trop perturbé émotionnellement, il n’arriva pas à se concentrer sur cet objectif. Il leur fallait du temps. Des petits gémissements le firent tourner la tête pour voir la dénommée Nathalie Wells à moitié en pleurs. Elle avait subie un traitement de choc, tout comme lui et les autres. Cependant ils n’avaient aucune nouvelle de Davis et de Bailey, les deux boulets de l’équipe.

« Ca va aller. » Tenta de dire Léon en y mettant autant d’assurance que possible dans sa voix. « Courage, ca sera bientôt terminé… »

*D’une manière ou d’une autre…* Pensa-t-il en imaginant plein de scénarios possibles.

Il passa un bras autour des épaules de Wells qui apparemment, avait été la plus traumatisée des trois après la séance de torture. Mais elle s’en remettrait bientôt, il lui fallait juste un peu de temps pour se reprendre. Même s’il n’était pas habitué à faire ce genre de geste, vu les circonstances, il la serra contre lui pour lui montrer qu’il la soutenait et qu’elle n’avait rien à craindre, que la torture était finie… du moins, pour le moment…



Dernière édition par Léon Smith le 10.10.10 18:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1026.09.10 19:42

Cette fois ci le rêve semblait étrangement réel. Alix n'avait aucune sensation d'être endormir, elle regardait tout autour d'elle et ne comprenait pas ce qui se passait. Où donc était passé les autres Tauris, ceux de son équipe de fortune pour cette mission sur cette planète bleue qui s'était révélée plus dangereuse que prévue ? La salle de torture, l'espèce de machine étrange sur laquelle elle était allongée et ligotée...Les Jaffas de la Déesse Hathor avait eu aussi disparus d'ailleurs... Il ne restait rien, ni personne, aucune douleur, aucun soldat, aucune arme... Absolument rien de ce qu'elle connaissait. Ou bien au contraire même. Tout ce qu'elle avait devant les yeux étaient on ne peut plus réaliste. Mais ce qui dérangeait le plus Alix s'était que le monde lui paraissait grand. Tout était exactement comme dans ses souvenirs, du moins, ceux dont elle essayait de se rappeler. Cet aspect de sa planète, elle s'en souvenait parfaitement bien, comme si elle ne l'avait jamais quitté, c'était après que tout se gâchait et qu'un voile apparaissait, empêchant toute progression dans ses souvenirs. Mais il y avait quelque chose de différent par rapport à avant et elle fini par mettre la main dessus au bout de quelques secondes de réflexions. C'était lorsqu'elle dormait qu'elle rêvait de nouveau à son passé, sa famille et sa planète, mais lorsqu'elle rêvait, Alix voyait ses souvenirs d'un point de vue extérieur et en adulte alors qu'à l'instant présent, elle vivait tout de l'intérieur et dans son corps d'enfant. Celui qu'elle avait à approximativement cinq hivers après sa naissance. C'était incroyable ce que ses mains étaient petites à l'époque. Alix les regardait et ne s'en remettait toujours pas d'avoir réintégré le corps de ses cinq hivers. Comme c'était étrange. Elle bougeait ses bras et ceux ci répondaient mais elle avait l'impression d'être encore empotée dans ses mouvements. Ses muscles ne réagissaient pas aussi vite qu'auparavant, elle avait perdu ses réflexes semblait il. Elle aurait du s'en douter, c'était une réaction normal après tout. Depuis cet évènement, Alix avait beaucoup grandi et pour survivre, avait du acquérir une vitesse capable de lui permettre de fuir mais aussi de traquer. Ses réflexes s'étaient adaptés à son mode de vie. En retombant dans son corps d'enfant, elle les avait perdu. C'était totalement logique mais cela la dérangeait, sachant très bien ce qui allait suivre. Seulement, elle se savait aussi dans une sorte de souvenir même si tous les détails semblaient incroyablement réels. Par conséquent, elle devait être aussi faible qu'alors et donc incapable de défendre son peuple, son village et sa famille. Elle en était frustrée et en colère. Cependant, ces deux sentiments firent place à la curiosité. Les souvenirs que la jeune femme gardait de cette période étaient tellement flous qu'elle regardait partout. Elle ne pensait pas qu'il y avait autant de détails qui lui avait échappé. La couleur des épices, les autres enfants qui jouaient, les rides d'inquiétude et de fatigue sur le visage de son père, la couleur des cheveux de sa mère.
Devant un bout de miroir qu'elle tenait entre ses mains, pour jouer certainement, elle remarqua la différence qu'il existait entre elle et le reste de son peuple. Comment ses parents avaient ils pu avoir une petite fille blonde aux yeux bleus alors qu'eux-même était brun aux yeux noirs et que leurs propres parents étaient de même. En fait, en regardant tous les autres autour d'elle, ils étaient tous semblable les uns aux autres. Même ses trois frères étaient semblables à ses parents. Tous les trois bruns aux yeux foncés, noirs ou marron, ils avaient même la peau dorée par des heures de travail au soleil alors qu'Alix était d'une pâleur presque morbide. Adulte, elle était plus bronzée, mais enfant la différence entre elle et ses frères étaient absolument flagrante. Elle n'en avait pas gardé des souvenirs aussi précis. Elle se souvenait bien qu'il existait une différence sur ses cheveux et ses yeux, mais pas sur la couleur de sa peau. Surement celle ci était elle moins importante que les autres.

Et c'est alors que la porte des étoiles s'activa. Les yeux écarquillés par les horreurs à venir dont elle se souvenait, Alix fut empoignée par l'un de ses frères, Shaun en l'occurrence, qui partit à toute vitesse en direction de la foret afin de protéger leur vie. Les Jaffas passèrent la porte, les uns après les autres, dans un ordre quasi-militaire. Quasi-militaire puisqu'ils n'ont attendu aucun ordre pour commencer à tirer sur les villageois qui fuyaient comme elle et son frère. Dans ses petits yeux, elle fit passer des éclairs, des boules de feu et des villageois tomber après avoir été touché. Alors, cela s'était passé comme ça, elle s'en souvenait, de cette attaque mais fut quand même choquée lorsqu'elle aperçue son oncle et sa tante un peu plus loin derrière eux. Ils ne couraient plus et étaient menacés par un Jaffa. Bien qu'ils demandèrent pitié, ce qui devait arriver arriva et ils furent exécuter devant ses yeux ébahis de stupeur. Elle ne se souvenait pas de ce détail. Son cerveau, devant une telle violence, s'était fermé à ce genre de souvenir et les avaient enfermé loin, très très loin dans son subconscient.
Après été porté tel un fardeau pendant encore quelques mètres, elle fut balloté pour revenir les pieds sur terre, entourée de toute sa famille ou ce qu'il en restait : sa mère, son père et ses trois frère, Shaun, Neil et Sony. Son père s'agitait et parlait fortement, il donnait comme consigne à ses trois fils de retourner avec lui se battre tandis que Alix et sa mère devraient aller sa cacher plus loin près de la falaise. D'après lui, les troupes Jaffas n'allaient pas s'aventurer jusque là et elles seraient en sécurité pendant un moment. Du moins, le temps qu'ils repoussent l'ennemi. Il était vrai que leur civilisation n'était pas du tout évoluée par rapport au monde Tauris, maintenant que Alix était capable de faire une comparaison, néanmoins, le monde d'où elle venait comptait d'excellent guerrier qui, de part leur technique, pouvaient rivaliser avec des Jaffas. De là à tuer une troupe... Elle ne savait pas, les forces étaient égales en nombre mais pas en armement.


Kom Alix! U moet vliegen door snel
( Viens Alix !!! Il faut fuir d'ici rapidement )

Alors les deux femmes se mettent à courir vers la falaise comme le leur avait ordonné le chef de leur famille. Là-bas, elles seraient en sécurité pendant un moment. Alix avait du mal à avancer, sa mère courait vite alors que sa portée de jambes était courte. La petite entendait les cris de détresse provenant du village, elle voulait se retourner, aller se battre avec ses frères mais dans son corps d'enfant, cela était absolument impossible. De plus, sa mère la pressait davantage, l'obligeant à avancer droit devant. Mais pourquoi était elle donc bloquée dans un corps d'enfant !

We moeten opschieten Alix! blijft con...
(On doit se dépêcher Alix ! restes con...)

La phrase débutée resta en suspens et la mère de Alix s'écroula au sol. Elle avait l'impression que l'action se passait au ralenti lorsque sa mère tomba au sol après avoir été touchée dans le dos. C'était impossible, les Jaffas ne devaient pas venir jusqu'ici ! Ses yeux la fixaient encore, dans un regard de surprise éteint, lorsque la petite Alix secouait sa mère pour vérifier, ou par peur de la réalité. Ce n'était pas vrai ! Son cerveau n'avait pas oublié ça mais elle avait tellement espéré que ce n'était pas vrai ! Devant le fait accompli, elle ne put que se rendre compte de la vérité. Si seulement c'était un mauvais rêve, elle se serait déjà réveillée. Il y avait de telles différences entre ses souvenirs et la réalité qu'elle en venait à se demander laquelle de deux était réelle. Elle était si jeune aussi et si fragile à cet époque. Finalement, sous ses yeux se déroulaient exactement ce qui s'était passé auparavant, l'enfer qu'elle avait vécu sans omettre le moindre détail.
Alix voyait bien qu'elle se trouvait sous la menace de l'arme Jaffa mais elle s'en moquait. Elle tentait toujours de réveiller sa mère. Peut-être se réveillerait elle aussi de ce mauvais rêve qui la faisait tant souffrir. Allez qu'il tire et que tout ce cinéma en finisse ! Au moment où le tir aurait du partir, ses frères et son père intervinrent et tuèrent violemment le Jaffa. Alix était choquée d'une telle violence. Jamais, elle n'aurait cru qu'ils se seraient montrés aussi violents en face d'elle, eux qui d'habitude l'empêchait même d'assister au sacrifice d'un animal. Mais en temps de guerre, on ne fait pas dans la dentelle et c'est recouvert de sang que ses frères et son père se mirent à pleurer la mort de leur mère. Shaun, qui protégeait Alix depuis toujours, la prit dans ses bras pour la consoler. Après quelques instants de recueillement, les hommes se remirent d'aplombs. Il ne fallait surtout pas qu'ils restent là.

Hun kracht is veel te machtig voor ons.
(Leur force sont beaucoup trop puissante pour nous.)

We moeten vluchten. We kunnen niet net vader!
(On doit fuir. Nous ne pouvons pas les battre père !)

Er is een manier om mijn zoon ... je zus.
(Il reste un moyen mes fils... votre sœur.)

Shaun se raidit autour de Alix. Mettant ça sur le compte de sa peine, la petite n'alla pas chercher plus loin, pour le moment en tout cas. Mais devant les regards étranges que ses hommes lui lancèrent, Alix commença à se poser des questions. En quoi était elle une solution ? Elle ne comprenait pas. Elle ne pouvait pas se battre dans ce corps d'enfant. Et pour eux, elle n'était qu'une enfant, ils ne comprenaient pas qu'elle revivait une atrocité de son passé. Mais d'atrocité, cet évènement ne portait que le nom car en réalité, ce qu'elle avait vécu était encore pire que dans tous ses souvenirs, réels ou fictifs, ceux qu'elle avait inventé pour se protéger de la folie. Alix se rappela de tout, absolument tout. Ils ne pouvaient pas lui faire, pas à elle ! Elle était de leur sang, était venue de la même mère qu'eux. Comment pouvaient ils seulement l'abandonner ! Ils voulaient l'offrir en sacrifice aux Jaffas. C'était cela leur plan, la sacrifier elle en espérant que cela ferait le bonheur de tous. Un grand silence s'abattit dans son esprit. Un vide sidéral qu'aucunes pensées ne vinrent gâchées. Shaun la lacha, la laissant seule, jugées par les hommes dont elle croyait être aimée et qui l'entouraient. Elle se sentait tellement seule et abandonnée qu'elle se mit à pleurer. Elle ne pouvait même pas décrire ce qu'elle ressentait. Elle était encore plus seule que seule, plus abandonnée qu'abandonnée, plus meurtrie que meurtrie.

Je bent een last voor ons zusje.
(Tu es un fardeau pour nous petite soeur.)

Te veel mensen zijn gestorven als gevolg van je ... door de gelijkenis.
(Trop de gens sont mort par ta faute... par ta ressemblance.)

Het wordt tijd dat je je straf subisses.
(Il est temps que tu subisses ton châtiment.)

Ga weg! En niet nog eens langs kom bij ons langs! We wilden meer van jullie hier Alix.
(Vas t'en !! Et ne reviens plus jamais nous voir !! Nous voulions plus de toi ici Alix.)

Shaun, Neil, Sony, Papa !! Vous ne pouvez pas me faire ça. Je croyais que vous m'aimiez ! Que vous me protégeriez pour toujours. Que j'étais votre fierté ! Vous m'avez pourtant tellement défendue contre les autres villageois, vous ne pouvez pas me faire cela. Je suis votre petit ange blond, par pitié, ne me laissez pas toute seule !
Alix voulait hurler, se défendre et crier son désarroi. Ils ne pouvaient pas lui faire ça, pas eux ! C'était absolument pire que tout et maintenant elle comprenait mieux pourquoi, lorsqu'elle essayait de se souvenir, rien de précis ne lui revenait. Elle ne se souvenait que vaguement ce qui s'était passé après la mort de sa mère et si cela était la réalité alors son cerveau, pour se protéger, avait inventé un mensonge. L'enfermement avec Shaun qui la protégeait des autres prisonniers, la souffrance et la faim, sa mort même. Tout cela, elle l'avait imaginé pour ne pas devenir folle tellement la réalité était cruelle et insurmontable. L'esprit d'Alix commençait à s'effriter. Un Jaffa la prit dans ses bras et partit, l'emmenant loin de tous ceux dont elle croyait être aimée. Tous les survivants, sa famille comprise, souriaient. Personne ne la regrettait finalement, même les Jaffas souriaient mais elle s'en moquaient, ce qu'elle voyait n'était pas cela. C'était la trahison, Shaun, Neil, Sony et leur père se réjouissaient du sort de leur petite Alix. Ils s'étaient moqués d'elle et l'offrait contre leur propre vie. Sa vie était basée sur un mensonge. Tous ceux pour quoi elle s'était battue durant tant d'années pour survivre et les retrouver n'avaient compté pour rien. Rien, tout n'avait servi à rien. Elle pouvait mourir, rien ne la retenait. En l'espace d'un instant, elle perdit toute l'humanité qui lui restait et devint un être sans sentiment, un animal sauvage. Alix fut jetée à travers la porte, elle se sentit partir dans le vide et s'en moquait éperdument. Elle ne ressentait plus rien et rien n'avait d'importance maintenant.
Lorsqu'elle se réveilla, elle se retrouva enfermée dans une cellule. Elle n'aimait pas être enfermée. La réalité était bien là, ses douleurs étaient revenues et elle avait des envies de meurtre. Elle voulait tuer quelqu'un, n'importe qui. Il n'y avait pas de motif légitime, elle voulait tuer. Revenir à un état sauvage ne conditionne à rien. Elle ne voulait pas être enfermée. Enfermer un animal sauvage et vous verrez comment il réagit, surtout lorsqu'il y a une proie à proximité. Davis, à quelques mètres d'elle se réveillait. En position d'attaque, Alix n'accueillit pas son retour par un sourire mais plutôt par un feulement qui n'avait rien d'accueillant. Alix ne se rappelait plus de rien. Les Tauris, Davis, l'équipe SGC, il n'y avait plus rien qui comptait. Elle était retournée à un état sauvage et ne voulait faire que deux chose, tuer et fuir.
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Paul Davis
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1027.09.10 13:14

Une forêt, une bien étrange forêt que Paul avait déjà vue, mais il ne se souvient plus en quoi. Il avait l'équipe nécessaire pour une mission et un tir venu des arbres frôla son épaule. C'était repartie pour un mauvais souvenir. Prenant son arme, le Major tirait pour pouvoir se défendre. D'autre tir amis vient se rajouter à lui, il regarda le point d'origine. Il y avait O'Neill, un autre soldat et ...et … sa douce et chère Talia. En l'espace d'un instant, tous lui remonta à la mémoire, ce qui essayer d'enfouir au plus profond de lui depuis plus de trois ans...la morte de Rosevelt.

Se souvenant précisément d'où était venu le tir mortel, il tira en direction de cette arbre, tous en se mettant à couvert. Il garda également un œil sur Talia, qu'il profita pour admirer en même temps. Il tirait sans compter les munitions sur la cible et était sur de l'avoir toucher plusieurs fois, mais pourtant, rien à faire, les tirs ennemis venant de cette position surgissait toujours. Davis continuait cependant à faire feu, quand y cri se fît entendre. Il eût le temps de se retourner pour voir la scène. L'ennemi visa Talia, mais le tir s'abattit sur un soldat inconnu, qui sacrifia sa vie pour sauver la jeune femme. Cette fois, elle était encore vivante, bien que ce ne soit qu'un rêve provoquer par les goa'ulds...il en été heureux.

Il se précipita vers le héros pour regarder son visage, mais celui-ci était complètement défigurer. Paul avait besoin de savoir, qui avait donner sa vie pour celle qu'il aime, qui avait fait, ce qu'il n'a pas fait...Il chercha les plaques du jeune homme, mais il n'avait rien sur lui, le Major regarda tous autour du cadavre, mais il n'y était pas non plus. C'était peine perdu...un mauvais tour de ses agresseurs surement. Talia lui adressa la parole et Paul resta figé. Cette voix, cette douce voix qu'il n'avait plus que dans ses souvenirs lui manquait...tous en la jeune femme lui manquait. Avec elle, il était quelqu'un...maintenant il est seul. Le gradé s'approcha d'elle, il avait envi de la prendre dans ses bras, mais il devait continuer la mission.

Mené par O'Neill, l'équipe devait saboté un appareil goa'uld. L'officier supérieur donna ses ordres et le Major devait posé du C4 sur une citerne d'eau et Talia s'occuper de l'armurerie. Il ne pourrait pas la surveiller...à moins de désobéir aux ordres, ce qu'il avait franchement envi de faire, mais c'était mettre à mal le bien de la mission. Un choix difficile à faire, mais il devait choisir la mission.

Avançant discrètement, Paul réussit sans problème à poser le pain de C4 et rejoint rapidement le point de ralliement. O'Neill y été déjà avec le scientifique mais il n'y avait toujours pas de Talia. Il devait l'attendre et chaque seconde sans la voir arrivé été une éternité pour l'officier, qui n'arrêter pas de gigoter. L'attente était longue...très longue, mais pourtant, sur sa montre, le temps n'avançait pas.

Heureusement, le Major fût soulagé lorsque la jeune femme arriva enfin. Il laissa apparaître un sourire, qui se ravisa vite, lorsqu'il se retourna, comme le reste de l'équipe et tomba nez à nez avec un jaffa. Celui-ci n'eût juste le temps de dégainer sa lance, qu'il était déjà au sol. Le bruit des tirs avaient du surement alerté le camp et O'Neill fît tous sauter et l'équipe prit la fuite.

Paul se plaça juste derrière Talia, non cette fois, il ne laisserait personne la lui enlevé, c'était bien trop douloureux. L'équipe courrait mais ralentie lorsqu'elle vît que personne ne la suivait. Les jaffas devaient être complètement désorienter, et il y avait de quoi. Rosevelt adressa la parole à Paul et le fait d'entendre la voix, le laisser lui, sans voix et complètement sous le charme, comme à la belle époque. Une belle époque qui le ramena rapidement à la réalité, lorsque la jeune femme se prit un tir sur la hanche droite. Le Major dégaina son arme et tira de grosse rafale sur son agresseur, avant de prendre la femme qu'il aime dans les bras. Elle était encore en vie, mais certainement plus pour longtemps...le pire cauchemar de l'officier était en train de revenir.

Alors qu'il avait les larmes, la jeune femme lui dît quelque chose d'étrange, mais qui dans le fond, n'avait pas tord. Il n'avait pas su la protéger et n'avait pas donner sa vie pour elle. Ces dires furent également approuvé par la phrase de Carla, qui sortait d'un arbre. Mais que pouvez t'elle faire la ? Regardant les deux femmes, c'était deux histoires différentes, mais deux échec dans sa vie...pourtant, il avait tous fait pour les rendres heureuses et avaient tous donner. Rapidement, les deux femmes furent rejoint par O'Neill, Fett, Turner et même Frasier. Tous dirent des phrases négatifs sur le Major, qui pouvait chacune illustré des moments de sa vie.

Alors qu'ils étaient en train de lui répéter le mots «Incapable», Paul lâcha Talia lorsqu'elle était devenu un squelette, toujours à genou, et mit ses mains sur ses oreilles et il cria :

Non !

Il avait tous fait pour servir les autres et rendre heureux ce qu'il aime, non, il ne pouvait pas croire en ce qu'il disait. Mais pourtant, un doute subsista en lui...est si c'était vraie ? Plus jamais le Major ne pourrait se voir autrement maintenant. Les voix de ses amis étaient dans sa tête, c'était une vraie torture, il n'en pouvait plus.

Arrêter !

Mais rien à y faire, les voix étaient toujours là, jusqu'à ce qu'il tomba dans le vide...comme le première cauchemar, le mettant fin. Il se réveilla dans une salle close. Le temps d'immerger, il reconnu une cellule goa'uld. La torture était donc fini pour le moment, du moins, il l'espérait. Alix était également la, elle avait un comportement assez étrange, mais il ne dît rien. Il se leva doucement et cria :

Boba ? Léon ? Nathalie ? Vous êtes là ?

Il avait besoin de savoir où il était, il ne les abandonnerait pas et ferrait tout, pour qu'ils puissent rentré sur Terre le plus vite possible. Plein de remise en question en tête, il regarda la jeune Alix, qu'il aimait. Il se dit, qu'elle, il ne laissera rien lui arrivé. Il s'approcha d'elle et lui dît :

Je te jure, de donner ma vie pour toi.

Et il espérait pouvoir le réalisé, bien qu'il n'en était pas sur...son moral venait d'en prendre un sacré coup.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1029.09.10 14:11

Quelle drôle de sensation de savoir que l'on rêve et de ne pas pouvoir se réveiller. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle reconnut cette petite place tranquille qu'elle avait squattée, elle et ses amis, durant des après-midi entières. Elle regarda un peu partout pour trouver le moindre défaut, le moindre détail pas à sa place. Mais tout était comme dans ses souvenirs;même ce charmant serveur, grand et brun, avec sa démarche souple,qui venait vers elle. Il lui lendit un verre de Coca, ce qui étonna la Française.

« C'est bien votre commande non ? »
Elle eut une seconde d'hésitation.« Oui bien sur... » Elle lui adressa un sourire qui se voulait rassurant.
Tout autour d'elle, il y avait des visages familiers qui, étrangement, évoluaient au cours du temps.Chaque détail incorrect que Nathalie voyait était modifié et n'existait plus l'instant d'après. Elle était dans son rêve mais celui-ci ne lui appartenait pas.

Quelque chose retint son attention sur le trottoir opposé. Elle était là, des années plus tôt, à marcher tranquillement avec cette démarche provocante. Se voir comme ça lui fit prendre conscience de la réalité des propos de sa mère,et elle regretta les horreurs qu'elle avait pu lui répondre.
*Pas question que j'ai une enfant comme ça... C'est vraiment un coup à se faire violer... Commentai-je pu être si...*
Le rêve vacilla. Le ciel qui était d'un bleu azur, s'assombrit; la chaleur tiède du milieu d'après midi devint un froid glaçant; les visages familiers étaient maintenant menaçant. Elle se leva d'un trait,avec la conviction que cette fois, elle serait là, là pour prendre sa revanche sans son père. Le serveur ne tenta pas de la suivre quand elle se mit à courir.
*Ce n'est qu'un rêve... Un rêve...*
Elle arriva à l'entrée de la ruelle dans laquelle elle déboula comme une furie,prête à tuer, massacrer, charcuter. Cette fois elle avait sa chance. *Cette fois c'est moi qui lui explose ses couilles.*Personne. Elle recula d'un pas. Son double venait de changer de rue en chantonnant... Il n'était pas là. *Où il est cet enculé ?!* Son regard fouillait désespérément tous les recoins de la ruelle, elle essayait d'entendre le moindre cri de détresse. Rien... Les bruits de la rue avaient disparu eux aussi.*Un piège peut être...* Elle se retourna lentement pour retourner au café.

Tout son corps se figea. Son cœur s'arrêta un instant avant de s'emballer. Elle ne respirait plus. Il était là. Face à elle. Ce regard pervers n'avait pas changé, et la paralysa. Durant cet instant, elle prit conscience que plus rien n'existait mis à part lui et elle. Elle et lui. Il parla, mais Nathalie n'entendit rien. Elle vit juste ces flammes noires bruler au fond de sa gorge. *BOUGE !!*
Le choc avec le mur fit reparaitre le décor; Elle était bloquée, et elle sentait ces mains rugueuses parcourir son corps... Une larme coula le long de sa joue tandis qu'elle était lentement déshabiller.*Mais tue le !!!* Elle n'y arrivait pas. Il était impossible pour elle de faire le moindre geste tandis que l'une des mains de l'homme remontait le long de ses cuisses. Elle voulait hurler, faire quelque chose, mais son corps ne lui appartenait pas; elle ne pouvait que pleurer, encore et encore.*Papa...*
Son agresseur commençait à frôler son intimité, toujours avec ce même sourire pervers, et ce regard monstrueux... *Papa... où es-tu... Papa?* Elle fut envahie par un sanglot. Sa gorge, nouée, était terriblement douloureuse. Il baissa sa braguette *Noooo....*

« ...OOOONNNNN!!! » Sa volonté avait fait de sa pensée un hurlement. Un hurlement au quel s'ensuivit son salut. Son agresseur prit la fuite, et elle, Nathalie Wells, s'écroula, épuisée.*Tu es donc venu Papa...* Elle leva la tête et ce qu'elle vit l'étonna. Le Général Jack O'neill venait de lui sauver la vie.
« Gé...Merci... »
Elle se releva lentement, et aperçut alors son père derrière Jack O'neill. Sa mère était la aussi. Ses amis, ses frères d'armes... Tous là.*Pas encore une fois... S'il vous plait...*
Elle se boucha les oreille, mais même en appuyant de toutes ses forces, elle entendait tout.
« Stop!! Arrêtez !! S'il vous plait !!! » Elle retomba à genoux. « Je suis désolé...Tellement désolé ! Arrêtez ! Je vous en supplie... »
Elle rampa jusqu'à son père, et lui attrapa la jambe. Comme un enfant, elle s'y accrocha, et posa son visage contre son genoux.
« Papa...M'aimes-tu ? » Sa voix faible et désespérée avait pris le dessus sur toutes les autres. Elle leva la tête pour voir le visage de son père. Son expression avait changé. Son visage était devenu neutre, et l'esquisse d'un sourire semblait s'y formait. Il ouvrit la bouche pour lui répondre, mais elle se sentit partir en arrière. Elle s'accrocha.
« Réponds,Papa ! »
Elle fut aspirée d'un seul coup dans le néant.

Elle prit une grande inspiration. Elle était dans le monde réel; du moins, cela semblait être le monde réel. Elle ne put se retenir de sangloter en se remémorant ce qu'elle venait de vivre. Elle se redressa sur un coude, et examina la pièce où elle était. Léon et Boba Fett étaient là. Ils étaient vivant. *Une culpabilité en moins sur la conscience...*
Léon se rapprocha d'elle, et l'enlaça pour la réconforter. Nathalie faillit le repousser violemment: le dégout des hommes qu'elle avait su combattre il y a de ça des années refaisait surface. Mais son étreinte était réconfortante, et elle se laissa aller dans ces bras protecteurs.

« Se sont nos rêves... » Murmura-t-elle. Les deux hommes la regardèrent. « Avec de la volonté, on en fait ce qu'on veut... Mais c'est dur... très dur...On se sent seul face au monde. On a l'impression que la nature elle-même nous en veut. Que nôtre corps nous en veut. Mais c'est possible... On doit se battre! Et tuer cet salaud ! L'égorger... » Elle ne se reconnut pas quand elle prononça le dernier mot.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1001.10.10 11:09

Tous étaient réveillé, se trouvant dans des cellules. Chacun observait les autres, se demandant si ils pensaient vraiment cela d'eux. Il faut dire que le dernier rêve était assez éprouvant. Une telle technologie ne pouvait venir des Goa'ulds alors comment Hator a t elle fait pour se procurer cela ? C'était l'une des nombreuses questions qui trottaient dans la tête de chacun.

De son côté, Boba et les autres essayèrent de trouver une issue à cette cellule. Observant chaque recoin et coin pour décelé la moindre petite imperfection qui pourra les aider à fuir de ce lieux maudit. Mais plus ils cherchaient, plus leur espoir de trouver une issue s'éloignait. Et au final, ils durent se rendre à l'évidence qu'il était impossible de sortir de cette cellule. Boba se colla contre un mur et se laissa descendre pour s'assoir. Maintenant, ce qu'il leur restait de mieux à faire s'était d'attendre patiemment que l'autre sadique revienne pour les torturer. Ce comportement ne lui ressemblait pas du tout mais Fett était comme épuisé par ce foutue rêve. C'était de même pour Smith et Wells mais les deux tentaient toujours de trouver une issue pour sortir de là.

Dans l'une des cellule à côté. Davis essayait de crier vers Boba et les autres mais personne ne répondait. Soudain, son instinct lui indiqua qu'il était en danger. Paul se tourna et vit la jeune femme en position d'attaque. Manquait plus que ça. Le Major tenta de la calmer avec des paroles apaisante et douce. Mais alors que Alix l'observait la tête légèrement penché, elle se jeta sur lui tel un fauve. En même temps, la pauvre femme perturbé par ses rêves avait complétement oublié ses sentiments et autres qui rendaient l'être humain différent des animaux. Davis se jeta au sol et fit une roulade avant de revenir sur un genou à terre et observa la jeune femme. Elle semblait très en colère et pas très amicale. Paul tenta encore de parler avec elle mais elle attaqua de nouveau. L'homme esquiva un coup de poing, suivit d'un coup de pied rotatif évité de justesse en s'abaissant. Alix se mit à sourire, sa proie se débattait et elle aimait bien jouer avec avant de la tuer. Alix fit un bond sur le côté, elle prit en faite appuie contre le mur pour se donner plus de vitesse et sauter sur Davis. D'ailleurs, surpris par cela, Paul ne pu éviter la jeune femme se jeter sur lui. Les deux tombèrent au sol et ce fut Alix qui se trouva au dessus du Major quand ils s'arrêtèrent. L'homme était en mauvaise posture.

Tandis que Smith et Wells commençaient à rejoindre le Lieutenant-Colonel, celui ci entendit un bruit soudainement. En effet, des sons de pas se faisaient entendre et se dirigeaient vraisemblablement vers eux. Boba ordonna à ses soldats de se révéler, il ne fallait pas montrer leur désarroi sinon, il risquait de prendre son pied. Alors, les trois terriens se relevèrent péniblement, et attendirent l'arrivée de leur bourreau. Mais finalement, ce fut une autre personne qui se présenta à eux. C'était sûrement un disciple de Hator vue son accoutrement mais que venait il faire ici ?? Ils eurent bientôt la réponse à leur question.


-Bonjours Tau'ri, je suis Yann Al'kalaï, membre de la Tok'ra.

Super un Tok'ra !!! Mais d'après l'expérience qu'avait Boba de ces alliés, ils préféraient laisser pourrir les autres pour garder leur couverture. Alors, le Lieutenant-Colonel ne bougea pas un petit doigt quand celui ci se présenta. Wells vit dans cet allié un espoir sans même imaginé que celui ci pourra les laisser à leur sort. Et de son côté, Smith essayait de se rappeler ce qu'était les Tok'ra dans ses souvenirs, ami ou méchant... il s'en souvenait plus.


-J'ai eut pour ordre d'infiltré les rangs d'Hator pour connaître ses intentions. J'ai également fait part au conseil Tok'ra de votre captivité ici. Ils m'ont répondu que cela n'était pas de leur ressort et que je devais vous laisser ici.


Chouette !! Il était venu au final pour casser encore plus le moral des terriens. Boba le regarda d'un air méprisable, ses Tok'ra n'avaient rien en faire en tant qu'allié. Les terriens se sont toujours plié en quatre pour leur venir en aide mais eux, quand les terriens leur demandaient de l'aide, ils ne bougeaient même pas le petit doigt. Smith se demanda alors pourquoi était il venu si c'était pour leur dire cela. Et il finit par avoir la réponse qu'il cherchait...

-Mais je ne partage pas le même opinion que le conseil et j'ai décidé de vous venir en aide. Mais si on vous pose la moindre question vis à vis de moi, vous direz au conseil que mon infiltration fut découverte.

Les terriens esquissèrent d'un oui, pas vraiment le choix au final. Le Tok'ra s'avança vers la cellule et l'ouvrit immédiatement. Le Lieutenant-colonel et les autres sortirent, réjoui de ne plus être enfermé dans un endroit tellement confiné. Mais avant de partir, il fallait trouver Davis car Boba partira pas sans le Major et ainsi, le Tok'ra les amenèrent devant la cellule de Paul.

Pendant ce temps, Davis était en position de faiblesse et Alix commençait à la frapper au visage. D'ailleurs, il fut même griffé et une entaille s'en suivit. Alix sentait toute l'excitation monter en elle en voyant le sang couler. Mais le Major commençait en avoir marre et avec son genou, il souleva le poids plume de la jeune femme et la fit bascula en avant pour se libérer de sa position. Cependant, Alix reprit immédiatement appuie et réattaqua l'homme. Davis esquivait les coups mais finalement, il n'eut pas d'autre choix que de riposter. Alors, tandis qu'il se déplaçait sur la droite pour éviter un coup, l'homme renvoya en contre-attaque, un crochet du droit que la jeune femme se prit en pleine figure. Soudain, les paroles de ses ex-femmes revinrent en tête, comme quoi il était incapable de protéger celle qu'il aime. Non... cette fois-ci, il va la protéger. Davis courut vers la jeune femme et la plaqua au sol. Et là, il embrassa soudainement. Au début, la jeune femme en comprit pas ce qu'il se passait mais finalement, ses sentiments humains revenaient petit à petit. Elle avait besoin d'affection et de tendresse, elle voulait qu'on l'aime et Davis lui prouva avec ce baiser. La jeune femme se laissa abandonné sous les lèvres de l'homme tellement ce sentiment était bon.

Mais tout fut brisé par l'intervention d'un toussotement de la part du Lieutenant-Colonel. Davis et Bailey tournèrent la tête et virent les trois autres membres du groupe devant la cellule en train de les observer. Le Major se releva tandis que Alix recula en lui disant des trucs dans sa langue maternelle. La Major pu voir les regards de Smith et Boba qui voulait en dire loin, du genre "On perd pas de temps Major"..."Et bah, en voilà un qui s'ennuie pas en captivité". D'ailleurs, le Major était gêné de la situation actuelle mais par chance, la Tok'ra brisa cette gêne.

-On doit y aller, les gardes vont finir par revenir, il faut partir rapidement.

Tout le monde esquissa d'un oui de la tête. Sauf Alix qui observait la Tok'ra d'une drôle de tête. Elle se demandait ce qu'un disciple de Hator venait faire ici et pourquoi les Tau'ri lui parlaient. Mais tout cela fut interrompu avec la main tendu de Davis qui lui proposa son aide pour se relever. Bailey poussa la main du Major et se releva toute seule. Elle se dirigea vers les autres mais ralenti son allure en observant le Tok'ra. Elle resta méfiante envers lui mais les autres semblaient lui faire confiance... alors elle le tuera pas... pas tout de suite en tout cas. Et avant qu'ils partent tous, Boba demanda au Tok'ra de les amener chercher leur arme, il avait un compte à régler avec une foutue machine.



[Voilà, je vous autorise à faire parler le Tok'ra si l'envie vous prends. Vous pouvez même développer un peu après. Bien entendu, vous pouvez également developper certains passages. Je vous laisse carte blanche pour la suite alors amusez vous. Wink
Sinon, 1 semaine pour répondre. Bon RP]
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new1001.10.10 17:28

Mes mains palpaient le mur. Depuis plusieurs dizaines de minutes, nous cherchions un moyen une faille de se tirer d’ici. Mais il n’y avait rien. Les barreaux étaient très solides. L’encadrement de ces barreaux n’offrait pas de fissure à exploiter. Les murs étaient solides, pas un seul ne sonnait creux. Il n’y avait pas de bouche d’aération. Rien, pas une fissure, même pas un trou de souris.

* Putain, c’est pas possible.*

Je revérifiais tout encore une fois, mais rien à faire, la cellule semblait toujours aussi imperméable. Rien ne semblait pouvoir y sortir. Je tapais contre un mur, de rage. Puis je me glissais le long de celui-ci, découragé. Je repensais à ce que j’avais vu dans mon rêve. Etais-je vraiment ce genre d’homme ? Que pensais mes hommes de moi ? Je jetais un coup d’œil interrogateur vers Smith et Wells, qui continuaient à fouiller.

* Vous avez bien du courage…*

Que valait un officier comme moi, qui n’était plus capable de sauver ses hommes. Tant de soldats ont été tué sous mon commandement. Je crois bien que j’étais le seul officier a avoir eu tant de pertes dans ses rangs, hormis O’neill, bien évidement. Combien de familles avais-je brisé ? Impossible de les dénombrer. Smith et Wells me rejoignirent. Soudain, des bruits de pas retentirent dans le couloir.


-« Levez-vous, ne donnez pas à ce salaud la satisfaction d’avoir gagné. »

Puis suivant mon propre conseil, je me relevais. Une idée me traversa, l’esprit : tabasser le gars qui allait enter. J’avais envie de faire payer à ces salauds tout ces trucs. Un homme arriva, restant devant les barreaux. Il se présenta comme Yann Al’Kalaï, un tok’ra. On étais pas sortit de l’auberge, je n’avais jamais confiance à ces mecs-là.
Yann expliqua qu’il avait infiltré les rangs de Hathor, et qu’il avait parlé de notre capture au conseil. Celui-ci avait répondu qu’il ne ferait rien.

-« Pourquoi je ne suis pas étonné ?… »

Toujours les même. Mais Yann se défendit en disant qu’il n’était pas de leur avis et il avait décidé de nous aider. Je ne pu que faire un oui de la tête, on allait pas rester ici tout de même. Avant de se mettre en mouvement, j’informais Yann.


-« Il faut récupérer Davis. »

Le tok’ra acquiesça et il nous conduisit à la cellule de Davis. Avant d’arriver, je cru entendre des bruits de bagarre. Je pressais le pas, craignant qu’il ne soit au prises avec des jaffas. Stupéfaction ! Quand j’arrivais, je le vis au prises avec Alix, à se rouler un patin. Je me frottais les yeux, craignant d’être à nouveau dans un rêve. Non, ils continuaient. J’émis un toussotement bruyant. Ils s’interrompirent. Davis se releva et je le dévisageait, en essayant de lui faire comprendre, par le regard, que l’on avait d’autres choses à faire. Le Tok’ra brisa le silence. Il indiqua que les gardes, n’allaient pas tarder à revenir.

-« On décampe, mais avant on récupère nos armes, j’ai un compte à régler. »

Le tok’ra obéissait, nous guidant vers nos armes.
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MessageSujet: Re: MJ Fiction by Alek   MJ Fiction by Alek No_new10

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