HJ : aller, je vais te tenir compagnie^^

Une journée vraiment banale. Tu passe ton temps a glander à la base pour justifer tes heures, mais il n'y a absolument rien a faire. j'ai beau enchainer le sport et la revue des armes de l'armurie. On s'ennuie vite fait. La faim me tenaillant, je décidait, faute de mieux d'aller au mess de la base, et peut être que là bas je rencontrerai un collègue. Plateau en main et nourriture sur le plateau, je me dirigeais vers la salle de restauration. Et la bas, surprise Tout était complet et pas de signe d'un quelqonque collègue. C'est encore Bibi qui va manger tout seul. je parcourai les rangées de tables puis je trouvais une place devant une personne que je ne conaissais pas. je m'assis devant elle.

-"Bonjour docteur. je me permet de m'installer a cette place. Je me présente, Lieutenant colonel Fett."

Fis-je avec un léger sourire a ma jeune voisine de table. Je pris mes couvert dans mes deux mains, dévoilant mes deux cicatrices sur mes deux phalanges proximal de mon auriculaire et annulaire gauche. je les observait deux petites secondes, elles était la pour me rappeler ma faute et mon fardeau.

Citation :

-"Bonjour docteur. je me permet de m'installer a cette place. Je me présente, Lieutenant colonel Fett."

Fanny lui sourit, et lui répondit:

"Bonjour, enchantée colonel, je suis le docteur Fanny McLaine, nouvellement arrivée au SGC, mais je vous en prie asseyez-vous, étant nouvelle si je commence à faire ma difficile je ne connaitrait personne ici."

Fanny le laissa s'installer et vit deux cicatrice sur les phalanges, mais ne dit rien meme si la question de la provenance lui brulait les levres, elle se contenta de boire une gorgée de café.

Elle avait plein de question à poser mais elle ne savait pas par laquelle commencer, puis elle en trouva une.

"Avez-vous des conseils à me donner pour ma première mission? Je suis toujours preneuse pour de bons conseils?"

*C'est pas vraiment la meilleure première question que j'ai posé, mais bon fallais bien que j'entame la conversation!!*

"Bonjour, enchantée colonel, je suis le docteur Fanny McLaine, nouvellement arrivée au SGC, mais je vous en prie asseyez-vous, étant nouvelle si je commence à faire ma difficile je ne connaitrait personne ici."

-"Vous avez raison, si vous ne vous integrez pas, vous ne trouverez que peut de soutiens pendant les moments difficiles."

A peine avais-je finis ma phrase que je remarquais que Doc Mclaine regardais avec un air assez particulier mes cicatrices. Je souriais, devinant quelle question elle voulait me poser, a propos de ce qui m'étais arrivé. Puis avec mon couteau et ma fourchette, je commençais a entamer mon steak frites. Puis, Fanny se décida a me poser une question, qui n'avais pas vraiment de rapport avec moi. Ca sera pour une autre fois.

"Avez-vous des conseils à me donner pour ma première mission? Je suis toujours preneuse pour de bons conseils?"

-"Première mission déjà ?! Mes félicitations ! Niveau conseils, je vous dirais de faire votre boulot de docteur avant tout. Vous etes au SGc pour soigner et non pour tuer. Faites confiance a vos équipiers et tout se passera bien. Mais ayez quand même toujours un oeil autour de vous. Nombre de bleu se sont fait avoir comme cela. Et si vous êtes menacé, n'hésiter pas a tirer pour tuer. Je devine que c'est légèrement en contradiction avec ce que je viens de dire, mais c'est surement le seul cas ou vous serez en droit de tuer. Satisfaite ?"

Puis je machonais une bouchée de steak un peu cramé sur les bords. Si ça continu comme ça dans les cuisines, bientot je ne ferais plus de différence entre les soldats que je descend et le steack de midi.

-"Ca combien de temps exactement que vous êtes arrivée au SGC ? Je n'ai pas le souvenr de vous au camp d'entrainement."

Citation :

-"Première mission déjà
?! Mes félicitations ! Niveau conseils, je vous dirais de faire votre
boulot de docteur avant tout. Vous etes au SGc pour soigner et non pour
tuer. Faites confiance a vos équipiers et tout se passera bien. Mais
ayez quand même toujours un oeil autour de vous. Nombre de bleu se sont
fait avoir comme cela. Et si vous êtes menacé, n'hésiter pas a tirer
pour tuer. Je devine que c'est légèrement en contradiction avec ce que
je viens de dire, mais c'est surement le seul cas ou vous serez en
droit de tuer. Satisfaite ?"

"En effet tuer est un peu le contraire de notre boulot de médecin, en principe on doit plutot sauver des vies. Cela dit si on est attaqué c'est normal de vouloir sauver sa peau ou celle de nos coéquipiers, proches,...
Satisfaite oui merci!"

Fanny lui sourit et ajouta:

"J'ai déjà tiré avec des armes à feu dans mon passé, mais j'ai trouvé que le Zat était une tres bonne arme pour les médecin du moins car elle ne tue pas à tous les coup, dommage qu'un des coups n'endorme pas la personne. Comme avec des pistolets tranquilisants" (hp: pour endormir la personne quoi, je ne me rappelle plus si c'est le terme exact.)

Sur ce Fanny but un peu de café et entame un morceau de son muffin.

Citation :

-"Ca combien de temps exactement que vous êtes arrivée au SGC ? Je n'ai pas le souvenr de vous au camp d'entrainement."

"En fait je viens d'arriver au SGC aujourd'hui, c'est le capitaine Paul Davis qui s'est occupé de ma formation, je viens la finir, et d'amener mes cartons d'affaires dans ma chambre, reste plus qu'à tout ranger"

"J'ai déjà tiré avec des armes à feu dans mon passé, mais j'ai trouvé que le Zat était une tres bonne arme pour les médecin du moins car elle ne tue pas à tous les coup, dommage qu'un des coups n'endorme pas la personne. Comme avec des pistolets tranquilisants"

-"Il est vrai que le zat est une bonne arme de poing, permettant de tirer sans vraiment se soucier de la vie de son adversaire. mais cela dit, je préfère nos bonne vieille armes a projectiles, la cadence de tir est plus rapide."

Puis fanny, me raconta quand elle était arriver au SGc, ce qui me laissait le temps de finir mon steak, avalé d'une traite.

-"Aujourd'hui ?! c'est vraiment très récent ! Mais si vous avez été formée par Davis, je ne fait pas de soucis. Je connais cette vieille branche. On a souvent fait des missions ensemble. Très bon officier."

Puis je mangeais un peu de frite avec un bon grand de verre d'eau. Pour reprendre le cour de la conversation.

-"Il vous reste des cartons a vider ? N'hésitez pas a demander des coups de mains, il y a quelques larbins dans cette base qui ne savent que faire ça. J'espère que je n'en fais pas parti ! Mais ça m'intrigue des cartons ramener par des membres du personnel, c'est bien les civils ça ! laisser moi deviner ! Des bouquins de medecine ? De nouveaux équipements ?"

Citation :

-"Il vous reste des cartons a vider ?
N'hésitez pas a demander des coups de mains, il y a quelques larbins
dans cette base qui ne savent que faire ça. J'espère que je n'en fais
pas parti ! Mais ça m'intrigue des cartons ramener par des membres du
personnel, c'est bien les civils ça ! laisser moi deviner ! Des
bouquins de medecine ? De nouveaux équipements ?"

"Oui tous en fait, mais je me suis déjà fait aidée pour le transport.
Pour le contenu c'est surtout des habits, photos, DVD +lecteur DVD, ordinateur portable, et livres mais pas forcément des bouquins de médecine en fait ils sont tous chez moi et j'ai toutes les choses importantes sur l'ordi, en équipement les seuls trucs que j'ai c'est un stéthoscope, un brassard manuel pour prendre la tension, ainsi qu'un brassard automatique qui se met au poignet et qui fait tension/pulsation. ah oui très important une machine à café!!"

Elle fini son muffin, et boit une gorgée de café

"Pas trop décevant pour une scientifique??"

Elle fini son café et s'essuya délicatement la bouche, puis elle décida de poser la question sur les cicatrices, au pire elle savait qu'elle n'aurait pas réponses.

"Tout à l'heure j'ai vu que vous avez deux cicatrices sur deux phalanges de la main gauche, vous les avez eu en mission? vous avez eu de la chance c'est passé pas loin du nerf!
Mais vous n'avez peut-être pas envi d'en parler, ce que je comprendrait bien évidemment!"

Elle regarde sa coupure au pouce droit à la base coté extérieur, qu'elle s'était fait betement lors de ses 17 ans, pratiquement pas visible.

*Moi aussi le nerf n'était pas loin!!*

Fanny m'expliquait ce que contenait ses cartons pendant que je mangeais le reste de mon assiette de frites. Etonnant, pour une fois q'une scientifique ne se rammène pas les mains pleines d'objets et de livres se rapportant a leur discipline. Une scientifique hippie peut être ?

"Pas trop décevant pour une scientifique??"

-"Honnêtement, non. Un scientifique n'est pas vraiment une personne qui rammène des armes et des instruments de mort avec lui. Je dirais même que vous vous démarqué des autres scientif' en venant les mains pleines de DVD et avec une machine a café. Vous êtes plutot une adepte du zen non ?"

Puis j'entamais ma crême glacée a la saveur menthe vanille.

"Tout à l'heure j'ai vu que vous avez deux cicatrices sur deux phalanges de la main gauche, vous les avez eu en mission? vous avez eu de la chance c'est passé pas loin du nerf!
Mais vous n'avez peut-être pas envi d'en parler, ce que je comprendrait bien évidemment!"

Site a cette question, je posais ma cuillère religieusement sur mon plateau. On allait aborder un sujet assez difficile pour moi.

-"Ne vous inquiétez pas, on peut en parler. Effectivement, je l'ai eu en mission. Un soldat était blessé, j'ai pris en charge son transport jusqu'a la porte des étoile pour le ramener jusqu'a la base. Mais nous somme tombés dans une embuscade ennemie, et voilà ce que fait un coup de bayonnette lorsque vous vous défendez. mon auriculaire et mon annulaire ont été sectionnés net, sans bavure. De retour a la base un chirurgien a réussis a me les recoudre et a visiblement récousut le nerf avec. aprèsn je ne m'y connais pas en médecine.Ces cicatrices sont la pour me rappeler mon erreur et que j'ai la mort d'un jeune gars sur la conscience. je vous souhaite de ne jamais vivre ça."

Puis je me remis a déguster ma glace silencieusement. après un moment je repris la conversation.

-" Et si nous parlions un peu de vous ? Vous venez d'ou ?

Citation :

-"Honnêtement, non. Un scientifique n'est pas
vraiment une personne qui rammène des armes et des instruments de mort
avec lui. Je dirais même que vous vous démarqué des autres scientif' en
venant les mains pleines de DVD et avec une machine a café. Vous êtes
plutot une adepte du zen non ?"

Elle lui sourit et lui répond:

"En fait chez moi je ne prefere pas amener de choses qui me rapelle le travail, histoire de faire une coupure. Mais par contre dans le service médical ce sera différent je dois voir si j'ai un bureau avant de ramener quelques affaires professionnelles."

Citation :

-"Ne vous inquiétez pas, on peut en parler.
Effectivement, je l'ai eu en mission. Un soldat était blessé, j'ai pris
en charge son transport jusqu'a la porte des étoile pour le ramener
jusqu'a la base. Mais nous somme tombés dans une embuscade ennemie, et
voilà ce que fait un coup de bayonnette lorsque vous vous défendez. mon
auriculaire et mon annulaire ont été sectionnés net, sans bavure. De
retour a la base un chirurgien a réussis a me les recoudre et a
visiblement récousut le nerf avec. aprèsn je ne m'y connais pas en
médecine.Ces cicatrices sont la pour me rappeler mon erreur et que j'ai
la mort d'un jeune gars sur la conscience. je vous souhaite de ne
jamais vivre ça."

"Vous avez eu un bon chirurgien, recoudre des nerfs est vraiment tres difficile, il n'y a pas le droit à l'erreur."

Citation :

-" Et si nous parlions un peu de vous ? Vous venez d'ou ?

Fanny s'éclaircit la voix et répondit:

"Je viens de Washington mon père est Brigadier général dans l'air force et ma mère est chirurgienne, j'avais hésité entre les deux métiers et j'ai fini par être médecin au service de l'air force. Bien sur une fois là-bas j'ai du prouver que je n'étais pas une fille à papa, bien sur je ne leur ai jamais montré que je suis une des rares personnes à lui tenir tête. J'y avait meme eu une réputation de tortionnaire, ce qui est un peu exagéré."

Elle sourit en repensant à une anecdote, étant la seule à lire dans ses pensées elle s'expliqua:

"Une semaine après mon arrivée dans l'air force je devais faire l'examen annuel d'un colonel, mais celui-ci ne venant pas je suis allée le chercher au mess, une fois là-bas il commença à faire son intéressant et important auprès de ses hommes en gros me traitant de fillette de fille à papa, et qu'il était colonel donc je n'avais rien le droit de lui dire, ma patience ayant ses limites, je lui attrapa la main alors qu'ils se retournait et le plaqua au sol, et je lui explica ma façon de penser, dont le fait que je n'avait pas besoin de mon père pour me défendre, que je me contrefichait de son grade puis-ce que cela ne compte pour les militaire, et que je pouvais lui en donner médicalement voir meme l'enfermer dans un asile psychiatrique, pour finir par une menace d'examins médicaux approfondis et douloureux, allez savoir pourquoi il a filé tout doux après, du coup il a fait de moi une réputation de tortionnaire, mais d'une certaine façon il m'a servi car comme ca je n'avais pas besoin de courir apres tout le monde pour des soins médicaux.

et vous?"

Fanny me raconta son parcours, très différent du mien, et notament une anecdote.

-"Et bien, je ne savait pas que vous pouviez faire ça ! O'neill va avoir du soucis a se faire ! De mon coté, mon passé est moins glorieux. je suis né a Modesto en californie. Mes parents n'étaient médecins ou général. Non, mon père travaillait dans une usine de découpe de métal. Ma mère était alcoolique. Bref c'était pas la joie. Encore plus lorsque mon père s'est tuée lors de son boulot. J'ai du alors faire vivre ce qui me restait comme famille. Mais j'en ai eu marre, et je me suis engagé dans l'armée, comme mon grand père dans les années 40. Et me voilà, j'ai fait mon petit bonhomme de chemin, en démarrant du fin fond pour être en ce moment Lieutenant colonel dans un projet top secret. ironique non ?"

Je finissais mon plateau repas, puis je posais tout mes couvert.

-"Et depuis, je fais mon boulot comme je peux, semant mort et destruction. Toute ma vie est tournée vers la guerre. Au mépris de ma vie sociale. je dois bien être le seul vétéran encore célibataire au SGC. Vous avez quelqu'un dans votre vie ?"

Citation :

ironique non ?

"Oui en effet, c'est ironique. en tout cas vous vous en etes bien sorti."

Citation :

-"Et depuis, je fais mon boulot comme
je peux, semant mort et destruction. Toute ma vie est tournée vers la
guerre. Au mépris de ma vie sociale. je dois bien être le seul vétéran
encore célibataire au SGC. Vous avez quelqu'un dans votre vie ?"

"En fait j'ai négligé la partie sentimentale, j'ai failli me fiancer une fois, mais je me suis vite rendue compte que c'était une personne égoïste, et qui pour lui je devais rester à la maison pour elever les enfants ce qui n'était pas dans mes intentions et qui ne l'est toujours pas. Du coup j'ai évité d'avoir autre chose que de l'amitié avec les hommes, mais peux etre un jour cela va changer j'en sais rien, surtout quand je vais voir mes amies d'enfance qui sont toutes mariées et avec des enfants. Parfois je regrette ma décision, mais quelque fois pas du tout, surtout quand un des maris trompe ou un des enfants fait des caprices, la je me dis que je suis très bien toute seule.
Cela dit pour une vie de famille on n'a pas vraiment choisi le bon travail, surtout que l'on peux rester beaucoup de temps en mission, alors d'un coté c'est peux etre mieux de ne pas avoir d'enfant, et de compagnons.

Bon je vais aller commencer à ranger les cartons, merci pour votre compagnie, mais venez boire un café cela me fera plaisir."

Elle attendit la réponde de Boba avant de se lever tout en lui souriant chaleureusement.

Ha, finalement, j'étais pas le seul a avoir une vie amoureuse des plus désastreuse, où même le néant était comblé. J'esquissais un léger sourire.

-"Oui, vaut mieux être seul que mal accompagné comme on dit, même si parfois c'est un crève coeur de voir d'autres personnes aimés leurs moitiés quand on est dans la rue. Vous avez raison pour la vie de famille, dans ce taf, pap ne rentre pas tout les soir et risque même de ne jamais rentrer. En fait, quand on est au SGc, il faut attendre d'être a la retraite ou démissioner avant de construire sa vie. Pour l'instant nous ne sommes que des outils, un cassé dix de retrouvés."

Fis-je avec un ton ironique. Mes yeux se perdaient légérement dans le vide. Puis je lançais avec un sourire a Fanny.

-"Je vous suis ! allons boire un kawa et déballer des cartons !"

*Mais qu'est ce que tu essaye de faire Bob ? Ca ne te ressemble pas !*

"Tout à fait d'accord!! Et en général c'est quand on se sent le plus seul qu'on voit le plus de couples autour de soi."

Citation :

-"Je vous suis ! allons boire un kawa et déballer des cartons !"

"Volontiers, un peu d'aide ne me fera pas de mal, de plus la cafetière est déjà déballée, c'est la première une des première chose que j'ai fais."
Fanny va mettre sa tasse la ou l'on met la vaisselle sale, et jette ce qu'il y a à jeter, puis attend que Boba ait tout débarrassé pour partir.
Elle hésite entre s'attacher les cheveux ou pas, puis elle décide de les laisser détachés même s'ils la gênent elle les trouve encore supportable, au pire elle pourra toujours les attacher.
[hp: et oui c'est ça les cheveux longs!! croyez-en mon expérience des fois c'est très embêtant, on est tout de suite plus à l'aise les cheveux attachés en une queue de cheval haute.]

[suite: http://www.mission-stargate.com/niveau-24-f36/quartier-de-fanny-mclaine-t4850.htm#108417]

"Volontiers, un peu d'aide ne me fera pas de mal, de plus la cafetière est déjà déballée, c'est la première une des première chose que j'ai fais."

-"Vous irez loin dans votre carrière ici, alors. on carbure au café au SGC, c'est pour ça que des fois on est un peu nerveux sur les bords."

Fis-je avec un sourire. Puis je suivais fanny pour ranger notre vaisselle sale dans le mess. Elle pris un peu d'avance, cra moi je m'arrêtais pour serrer la main a un cuistot. Puis je rejoignais fanny pour aller dans ses quartiers.

*Dans quoi je m'aventure ?!*