A peine étais-je arrivé dans la salle d'embarquement du SGc avec mon ecouade et le corps de vener dans les bras, que l'on m'obligeait a aller en salle d'opération me faire recoudre, plutot regreffer mes deux doigts. j'eu juste le temps de confier le corps de Vener a des medecins. Deux minutes plus tard, j'étais sous la douche, pour me désinfecter. Dans l'eau, je voyais partir de la terre, du ang coagulé, des petits bout de chairs lorsque j'enlevis mon bandage. Je constatais qu'en fait, mon annulaire et mon auriculaire de la main gauche avait été sectionnés chacun au milieu de leur phalange proximale. Puis un infirmier entra pour me sortir de la douche. je me séchais et j'enfilais l'espèce de poncho stérile.
J'eu juste a traverser le couloir et me voilà dans la salle d'opération. On m'allongea sur le billard, et je pu voir l'anestesiste arriver dans la salle d'opération avec une belle seringue a la main.
-"Bonjour lieutenant colonel. Nous allons commencer sans plus attendre en commençant par l'anestésie. Etant donné que vous avez seulement deux doigts de sectionnés, nous allons juste faire une anestésie locale du bras gauche. Vous serez conscient lors de l'opération. Vous avez des question ?"
-"Non, par contre je veut que l'on me bande les yeux, je veut pas voir l'opération."
-"Très bien, cela est possible. Infirmière, apporter un masque stérile pour lui cacher la vue."
Je vis une infirmière chercher quelque chose dans un tiroir et sortir le masque en question, enfermé dans une pochette plastique. Elle s'approcha avec et l'ouvrit. Pendant ce temps, L'anestésiste me fit la piqure du produit miracle dans le bras. Je sentis la piqure puis une sensation de froid qui parcouru tout mon bras. Puis l'infirmière me posa le masque sur mes yeux. Voir que du noir me calmait curieusement.
1 minutes après, j'entendis la porte du bloc s'ouvrir et plusieur bruit de pas. Surement le chirugien et des infirmiers. Je sentis plusieurs personnes s'approcher de moi et me palper légèrement. Puis une voix s'éleva.
-"Bonjour Lieutenant colonel Fett, je suis le docteur Frankestein. c'est moi qui vous recoudrerai vos deux doigts. Bon, nous allons commencer. Infirmère, sortez les doigts."
Alors que l'on me prit ma main gauche et que l'on me la posa sur une tablette métallique recouverte d'une genre de draps stérile, j'entendis quelqu'un se déplacer et ouvrir quelque chose. Puis le refermer, revenir et poser quelque chose a coté de ma main.
-"Très bien. Ils n'ont pas l'air d'être abimés, le froid a bien fais sont travail, il ne présente pas de signe de putréfaction. Monsieur Fett, nous allons commencer par l'annulaire en commençant par placer de fines broches en aluminium sur l'os sectionné pour qu'il tienne bien en place le temps cet os se resoude naturellement."
J'acquiesa de la tête, je ne voulait pas parler pour ne pas les interrompre dans leur travail. J'entendis seulement le bruit d'un genre de perceuse forer dans quelque chose de dur. Visiblement, ils installaient les broches comme l'avait dit le doc. Puis celui-ci prit une nouvelle fois la parole.
-"Maintenant, nous allons recoudre les ligaments sectionnés ainsi que les plus gros vaisseaux sanguins. Heuresement que la bayonnette était bien affutée, tout a été decoupés aussi proprement qu'avec un scalpel."
Honnêtement, je m'en tapais comme de l'an 40 de ce qu'il racontait. recoud mes doigts, c'est tout ce que je demande. J'entendis alors le bruit de chaires manipulées, de chaires perforées par une aiguille qui faisait passé le fil biodégradable. J'entendis tout les bruits qui peuvent dégouté un homme d'aller sur le billard. et là, je dois le dire, je n'était plus très rassurer. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, le chirurgien reprit la parole.
-"Maitenant, nous allons recoudre la peau et désinfecter la zone recousue."
Abrège, je m'entape des étapes. Une nouvele fois, j'entendis des bruits métalliques, d'aiguilles pénétrant dans la peau, et plein d'autre chose. après deux minutes, la piplette reprit la parole.
-"Maintenant nous allons refaire tout ce que nous avons fait sur l'auriculaire."
Enfin on passait a l'autre doigt. Pendant près de vingt minutes, j'entendis a nouveau les bruits de perceuse, de chair manipulées, trafiquotées, ect... Heuresement pour moi, le chirurgien n'ouvrit pas sa bouche une seule fois. enfin si, une dernière fois.
-"Maintenant que nous avons tout recousu, nous allons passer a la dernière étape, nous allons poser une atelle métallique pour immobiliser vos deux doigts le temps de la cicatrisation. Ils doivent etre absolument immobile pendant un certains temps pour avoir un maximum de chances de réussite."
Puis je devina que l'on me saisit la main pour la soulever. puis j'entendis des bruits métallique, surement l'attelle qui tapait partout. Puis on m'enlevit le masque. La lumière du bloc m'éblouit pendant quelques instants. Puis ma vision redevint normale. Je constatais alors le travail des chirurgiens. je voyais que ma main gauche était en partie caché par une attelle métallique recouvrant mes deux doigts fraichement recousus.
-"Avant de quitter le bloc opératoire, je vais vous donner quelques instructions. Laver vous souvent, desinfecter régulièrement la suface des cicatrices et buvait beaucoup de lait."
Puis après ses ultimes paroles, je quittais le bloc opératoires pour retourner dans mes quartiers.
Sujet: Les deux doigts