O’neill, Fett, Davis, Pierson, Gallagher, Dablord et.. Vertiga. Tous étaient mort. Jason n’était pas encore Général à l’époque, le Général Peterson commandé le SGC, mais à la vue de tous ses hommes morts au combats, avait préféré prendre sa retraite, décidant de passer ses derniers jours aux côtés de ses proches.
On avait alors appelé Jason, l’un des derniers haut gradés du SGC encore actif. Le Président Widmore l’avait monté au grade de Lieutenant-Général, et lui avait donné la lourde responsabilité de diriger le SGC. Comme par hasard, cette brillante augmentation qui avait fait le bonheur de Jason à l’époque, c’était vite transformé en cauchemar...

[Flash Back]

«Activation de la porte des Étoiles non programmée »
Jason s’était précipité rapidement en salle de contrôle, demanda à Harriman de lui indiquer si signal il y avait eu. La réponse fût négative... Depuis quelques jours, les Réplicateurs Humanoïdes avaient laissés entendre qu’ils prévoyaient une attaque sur la Terre. Depuis lors, le Général craignait chaque activation extérieur, pensant que cela pouvait être la dernière...
L’iris fermée, rien ne pouvait laisser croire que ce qui devait se produire, arriva. La barrière métallique s’ouvrit subitement. Harriman n’y comprenait rien. Il regarda Jason, le regard inquiet... ça avait commencé. Jason attrapa le micro, appuya sur un bouton pour parler aux gardes de la salle d’embarquement.

« Tenez vous prêt, ceci n’est pas un exercice ! Je répète, ceci n’est pas un exercice ! » dit il d’une voix forte, le regard appréhendé.
Quelques minutes passèrent, pendant lesquelles rien ne se produisit... La porte ne se fermait pas, et cela devenait de plus en plus perturbant. Enfin, quelque chose sembla sortir du Vortex... Qui était t-il ? Les soldats braquèrent leurs armes sur cet homme étrange. Il ne semblait pas apeuré, ni étonné de se faire braquer ainsi, il regardait simplement les Terriens, et avait cessé d’avancer sur la rampe. Jason le fixait comme si il était la mort en personne, comme si chacun de ses pas les rapprochait d’avantage du décès qu’une explosion d’une tête nucléaire enrichie au Naquadah. Pourquoi ? les portes blindés s’ouvrirent alors. Le Général Turner entra en salle d’embarquement, et le regard de l’homme le suivit jusqu'à ce qu’il arriva au bas de la rampe, devant cet inconnu... L’ambiance était à son comble, tous le regardait, mais lui ne fixait que Turner. Après un long silence pensant, Jason brisa se calme insoutenable.

« Qui, êtes vous ? Donnez moi une bonne raison de ne pas ordonner à mes hommes de vous trouer en quelques centièmes de secondes ? »

Le calme... Il ne répondait pas, semblait concentré. Enfin, un sourire s’afficha sur son visage. Il n’avait rien d’amical, rien d’aggressif non plus, mais semblait assez menaçant.

« Vous devez être le Général Turner. Oui... le Sergent Gallagher nous en as appris sur vous, et sur votre base aussi. »

Jason le fixait encore plus intensément, les yeux ronds, avait-il prononcé Gallagher ? Le Sergent Tinann Gallagher ? Celui qui s’était fait capturé par les Réplicateurs, puis copié physiquement par ses enfoirés il y avait de cela huit jours... ? Mais.. si il connaissait Gallagher, et si il avait prononcé ce que Jason avait bien entendu, alors... cet homme était une machine. Un ensemble de nanites, s’étant assemblé pour prendre la forme physique d’humains ; c’était un Réplicateur Humanoïde. Ordonnant aux gardes de faire feu, l’homme s’était fait transpercé par des dizaines de balles, il aurait dût au moins reculer. Prenant le Berreta d’un garde, Jason leva le flingue avant de tirer en pleine tête sur l’ennemi, en vain.
Une sorte d’halo grisâtre avait recouvert son corps, et effacé simplement toutes les impacts de balles. C’était donc ça un Humanoïde ?
Il commença à avancer... Jason ordonna le repli des troupes en salle d’embarquement, avant de lui même s’engouffrer dans un des couloirs menant à cette salle. Les portes blindés se fermèrent rapidement, et Turner eut le temps de voir plusieurs crabes répugnants sortirent du vortex... l’attaque avait commencé. La porte blindé devant la salle de contrôle avait elle aussi été fermée. En remontant dans cette dernière, Jason avait ordonné l’évacuation totale de la base, avant de la mettre en Defcon 1. Ils ne pouvaient pas laisser ces enfoirés sortir du SGC, et prendre possession de la Terre, jamais...

[/Flash Back]

On frappa à la porte. Jason, qui avait le regard rivé sur une photo représentant la quasi totalité des soldats du SGC à l’époque ou il était encore Colonel, releva la tête, abaissa le cadre posé sur le bureau, puis ordonna sur un ton sec à la personne d’entrer. Davis... Le Major Davis venait d’entrer dans son bureau. Il allait l’appeller Colonel... ? Venaient t-il du passé ? Ou du futur ? D’une autre époque... ?
Jason le répondit pas. Les mains liés sur le bureau, il fixait Davis d’un air froid et hautain, ne clignant pas des yeux. Il essayait de déceler la moindre parcelle d’hésitation dans ses yeux...
Davis lui demanda ensuite en quelle année nous étions. Ils venaient donc bien d’une autre époque ! S’éclaircicant la gorge, Jason prit la parole.

« Je ne vous permet de pas de me poser des questions, dans ma base, dans mon bureau. Alors, je vais poser les questions, si j’obtiens des réponses satisfaisantes, je répondrais à celle ci, si l’envie m’en prend, est ce clair ? D’ou venez vous ? Pourquoi est ce que vous êtes tous censés être morts, alors que vous vous tenez devant moi ? Sauf vous bien évidement. Frasier vous as passé au scanner, et vous n’êtes ni des Goa’ulds, ni des Réplicateurs... Alors expliquez moi. Je veux des réponses ! » termina t-il sèchement.

Il le fixait toujours avec la même intensité, comme si il allait se jeter sur lui d’une minute à l’autre, le menaçant de mort... Il ne ferait jamais ça du moins. Enfin...

Jason le voyait réfléchir. Davis semblait préoccupé par la situation comme tous le monde d’ailleurs. Il lui parle d’un échec de mission, chose que Jason ne tolérait pas quelque soit l’époque ou autre chose. Ajoutant qu’ils voulaient soigner leur blessés, pas étonnant que la mission avait été un échec si ils rentraient dés qu’un ou deux membres étaient blessés. Il ajouta ensuite, le mot « lâchement » après avoir rappelé le tir effectué par Menchu sur Tinann. Lâchement... Si cet homme savait les mauvaises surprises que le SGC avait reçu de la copie humanoïde de Gallagher, il n’accuserait pas Narah d’avoir réagit aussi radicalement.
Décroisant ses bras, les posant sur le bureau, il regardait toujours le Major Davis avec intensité.

« Davis, vous parlez de quelque chose dont vous n’avez aucune expérience. J’ignore d’ou vous venez, ni même pourquoi, mais le fait qu’un de mes hommes, a savoir le Colonel Narah à tiré sur votre Gallagher, ne cherchant même pas à le bléssé est simple à comprendre. Notre Tinann Gallagher a été tué il y a de cela 6 mois avec Pierson et Fett, après avoir été torturé, maintenu en vie, puis atrocement torturé à nouveau par les Réplicateurs Humanoïdes. Ils l’ont ensuite copié, puis tenté de l’infiltrer dans nos rangs au moment de la première attaque de ces derniers. Heureusement, nos capteurs sensorielles ont pût faire la différence, et on l’a démasqué. Seulement, ces saloperies sont capables de se reproduire à l’infinie tant qu’ils ont du la puissance et des matériaux utilisables. Ils ont donc pût refaire une copie de Gallagher... Voila pourquoi, Menchu Narah qui avait comme subordonné Tinann au moment ou il a été tué, n’a pas hésité à tirer croyant qu’il était, un ennemi. » Jason baissa la tête. Ils n’auraient pas pût savoir que cet homme était innocent avant de voir le sang couler le long de son visage... C’était une perte acceptable.

Une fois de plus Davis reposa une question, il voulait savoir pourquoi tous les membres qu’il avait vu en salle d’embarquement étaient vivant. Quelle question totalement idiote. Un sentiment d’exaspération commençait à bouiller en Jason, mais il n’en laissa rien paraitre.
L’ignorant totalement, il le fixait toujours, espérant déceler la moindre étincelle de mensonge de ses yeux. Rien pour le moment du moins.
Enchainant sur leur soit disant Mission, d’infiltrer un des vaisseaux d’Heru’ur, récupérer un objet, une planète désertique ? Tout cela n’avait pas de sens, a part une mission suicide sa ressemblait plus à un film de science fiction. Malgré cela, l’invité semblait sincère. Préservant son calme, il ne disait rien. Il le laissait continuer.
Soudain, Davis releva lentement la tête, qu’y avait-il ? Il lui exposa la possibilité d’une.. d’une quoi ? Dimension parallèle ? Qu’est ce que c’était que ça ? Désormais, c’était dans le crane du Général que les questions se bousculaient.

« Attendez, qu’est ce que vous entendez par dimension parallèle ? Qu’est ce que vous essayez de me faire croire ? Que vous venez d’autre part ? D’un endroit inaccessible par la porte ou les vaisseaux ? Je ne suis pas scientifique, mais le mot dimension je le comprend très bien, et en général, c’est pas bon quand sa commence à tourner autour de ce genre de mots. Kawalsky pourra surement en témoigner... »

Pour finir, il ajouta que d’ou il venait, Davis et lui se connaissaient bien. Ils avaient fait pleins de missions ensemble sur SG-2, et que le SGC était contrôlé par le Général Peterson.

«Le.. Général Peterson à prit sa retraite il y a plusieurs mois de cela. On m’a confié les commandes de cette base. Pour vos histoires de missions, cela ne tient pas debout. Je n’ai jamais fait de missions avec vous, Narah m’accompagnait le plus souvent avec Kaïger et Gallagher. Quand j’ai été nommé Général, il à prit les commandes de l’équipe, alors cessez vos simagrée et dites mois quelque chose de cohérent, je ne suis pas comme votre Jason Turner, la patiente est une vertu que je n’ai plus, malheureusement pour vous... » termina t-il en se levant de son siège.

Malgrès la méfiance extérieur qui degager du corp du Général Turner, celui-ci semblait être confus dans ces propos et Paul ne comprit pas, pourquoi, Turner parla qu'il n'y avait pas de bombe dans O'Neill et Selmak. Mais c'était plutôt une bonne nouvelle pour Davis, car cela montré bien, que Turner commence à s'ouvrir à l'hypothése de Paul. Mais il fallait continuer, car l'heure était grave et non au discution.

Général, je comprend tous à fait, votre réaction de nous interroger et de nous metre sous surveillance en attendant de prendre votre décision. Mais l'avenir de la galaxie d'ou je viens est en jeu. Paul s'arrêta sur cette phrase, et reprit quelques secondes après. Une arme comme jamais nous n'avons rencontré et sur le point d'être activé par qui plus sais un goa'uld. Cela signifie une seul chose, la fin de toutes vie humaine, je ne peux restais à bavardé quand le sors de milliard de personne est en jeu. Paul en avait surement fait un peu trop, mais vue la situation, cela l'éxigait, surtout qu'en face de lui, un homme assez froid de visage se tenait.

Le Capitaine continuait d'éffectuer les cents pas dans le bureau de Turner et cela l'agassait. Davis pouvait le remarqué sur la tête du gradé. A ce moment, il s'assit sur un des sièges en face du bureau de Turner, posant un coude sur son genou, l'autre sur le bureau, mettant sa main grande ouverte vers Turner.

Imaginez une seul seconde de quoi cette arme est capable ou plutôt cette machine. Elle a été crée par les anciens. Cette machine permet tant de chose, une mauvaise utilisation de cette machine, pourrait construire à la fin de toute une galaxie. Si il y en n'a une dans ma réalité, il doit forcément en avoir une dans votre réalité.

Après avoir réflechit quelques secondes, Paul ajouta :

Général, si vous êtes assit en face de moi, c'est surement que vous avez du empêcher Heru'ur de contrôler cette arme, ou bien même elle n'est pas encore trouvé. Mais cette machine est la clé de tous, il faut la retrouvé. Mais pour sa, j'ai besoin...nous avons besoin de votre coopération.

Si seulement Carter était là, peut être, elle, comprendrait mieux la situation, après tous, c'est elle qui a démontré à Paul l'existance des réalités altérnatif.

Carter ! Le Docteur Carter, pourrais-je voir le docteur Samantha Carter. Seul, elle, peut démontré ce que je vous dis Général.

Si du moins, elle est encore vivant vue tous les changements qu'il y a, entre les morts et vivants d'ou provient Davis. Quand bien même, est'elle simplement déjà devenu scientifique. Paul l'éspérait !

Davis semblait assez content d’avoir réussi à convaincre Jason sur ces premiers dires. Il le regardait, ajoutant qu’il acceptait le fait qu’ils soient placés sous surveillance, seulement sa galaxie allait être détruire... Et la leur alors ?

« Vous êtes bien égoïstes Davis, vous parlez de votre Galaxie mais c’est vous qui avez débarqués dans notre réalité après une erreur dans votre mission. Pourquoi serait-ce à nous de réparer VOS erreurs ? Notre Galaxie est sur le point de tomber, si j’ai bien compris la votre à encore quelques mois devant elle... Ne vous croyez pas capable de me perturber avec vos demandes inconsidérées. On ne sacrifiera pas du temps supplémentaire pour vous renvoyer chez vous, ni même pour vous aider à chercher un moyen de repartir... Si vous voulez le faire, cherchez vous même Capitaine. »

Son regard était redevenus dur, il ne bougeait plus, il était assez en colère. N’écoutant pas Turner, il continuait.. Si cette machine était là, elle causerait la perte de leur galaxie ? Mais les réplicateurs le faisaient déjà... Et si... ? Non impossible. Jason regardait Davis avec intensité...

« Il n’y a aucune machine de ce type dans notre galaxie, et si elle aurait causée la destruction de notre galaxie, nous l’aurions sût. Arrêtez de parler lorsque vous ne savez pas... » termina Jason, assez soucieux.

Le Capitaine ajouta qu’ils avaient dût empêcher Heru’ur d’utiliser cette arme ? Mais ce Goa’uld était mort depuis des années, presque au début du programme Porte des Étoiles, pourquoi est ce que Davis croyait que tout était similaire dans leur réalité ? Il commençait à l’agacer... Sa patiente avait des limites. Pour achever Jason, il demanda à voir Carter... La femme de ménage ? Jason esquissa un léger sourire, l’idée de voir Samantha Carter derrière un ordinateur sauvant le monde était des plus drôles.

« L’agent de service Samantha Carter ? La femme de ménage du premier étage ? Je peux.... l’appeller si vous voulez. Elle pourra surement vous décrire les composants de l’eau de javel... mais je doute qu’elle vous soit utile concernant une arme crée par les Anciens, Davis. »

Le sourire toujours au lèvre, Jason ne pouvait pas se retirer l’idée de cette arme dans leur réalité, une pensée horrible lui était venue, mais il n’allait pas commencer à dire n’importe quoi...

Et bien, Davis égoiste ? Jamais, mais sur ce coup peut être, mais c'est rare du Capitaine. C'est vraie qu'il avait peut être pensé plus à sa galaxie que celle qu'il se trouvait en se moment, mais comment ne pourrait t'il pas y pensait, c'était là-bas qu'était sa vie.

Et Paul fût d'autant plus surpris, lorsqu'il parla de Samantha Carter, une femme de ménage. Et bien, ce n'est pas comme sa qu'elle allait pouvoir aider Paul, mais il n'accepter pas qu'un homme parle comme sa d'une femme.

Général, bien que Samantha Carter ne soit qu'une femme de ménage, cela reste un être vivant, respecter la.

Ce n'est donc pas avec l'aide de Carter que Paul allait pouvoir démontré l'existance des réalités alternatifs. Mais il fallait pourtant que le Général Turner laisse l'équipe de terrien qui venait d'arrivé d'une galaxie alternatif repartir.

Général si vous ne voulez pas nous aidé, car votre galaxie est sur le point de tombé, dans ce cas sauvez votre galaxie et j'éspére que vous y arrivait, mais laisser nous traverser la porte des étoiles pour pouvoir rejoindre notre galaxie.

Paul qui s'était assie se releva, il commençait doucement à s'enervé car le temps défiller et c'était du temps de perdu inutilement.

*Y commence à m'enervé ce Turner.*

Général si se n'était pas urgent, je ne serais pas là devant vous, a vous supplier.

Le Capitaine se tourna face au mur, juste à côté de la porte, il ne disait plus rien, immobile, un blanc s'installa pendant plusieurs minutes, Paul se tourna finalement vers Jason, le regard éffondrer, il dît :

Je vois que vous n'avez pas l'intention de nous aidez, mais moi, je ne resterais pas s'en rien faire, Général.

Jason voyait que Davis commençait à être de plus en plus sur les nerfs. Le fait d’avoir mentionné Carter comme la femme de ménage ne lui avait apparement pas plus, devait il mentir à cet homme pour qu’il soit satisfait ?
Manque de respect... ? Il n’avait nullement manqué de respect à Samantha Carter, il ne l’avait jamais fait depuis qu’il était aux commandes du SGC, que ce soit concernant des militaires, des scientifiques ou des agents de service. Il n’allait pas laisser ce minus lui dicter sa conduite.
Pour finir, il ajouta qu’il comprenait le fait que Jason voulait en priorité sauver SA galaxie, mais il voulait traverser la porte.

« Davis, vous me faites rire. Vous voulez traverser la porte, comme ça. Et ou irez vous mon grand ? La quasi totalité des planètes habitables sont annexés par ces enfoirés de crabes, la terre est une des dernière planète encore en sursit... »

Turner voyait qu’il poiroté ici pour rien, a ces yeux cette rencontre avait-elle si peu d’importance ? Alors pourquoi était il venu ? Jason avait changé par rapport à avant, mais d’après les dires de Davis il n’avait jamais été cette lopette qui anime leur vaisseau dans leur univers, et il ne le serais jamais.
Paul, pour ne pas changer termina par dire une phrase qui fit cligner les yeux de Jason... Un ultimatum ? Intéressant, mais s’en était trop.
Jason se leva lentement, fixant Davis avec colère. Ses deux poings sur le bureau, il ne le lâchait pas.

« Et qu’est ce que vous allez faire, Capitaine ? Terminez donc votre phrase, allez jusqu’au bout de votre pensée. Vous avez atterris dans NOTRE univers, dans MA base, et vous ferez ce que je vous dirais de faire. Est ce que j’ai été assez clair, ou bien vous préférez y réfléchir dans une misérable cellule du dernier niveau de cette base, pendant que vos amis repartirons chez eux ? » acheva Jason d’un ton tranchant, le regard toujours rivé sur Davis, son visage s’étant rapproché du jeune homme, ne clignant même plus des yeux.

La tension avait monté d’un cran, et à ce rythme là elle n’allait pas redescendre.

Et bien, cette fois le Général Turner avait laché sa colère, qui était la même que celle du Colonel Turner dans la réalité de Davis. Mais avec le temps et les épreuves passé Paul avait apprit à tenir tête, surtout quand ceux qu'il aime son en danger et quand il parle a un inconnu. Oui, un inconnu, car le Général Turner était un inconnu maintenant pour Davis.

Jason c'était rapprocher de Paul, les deux hommes étaient face à face et le Général éspérait bien faire peut à Paul. Le Capitaine ne baissa pas les yeux face à Turner et reprit après que celui-ci est fini.

Vous croyez me faire peur Général, mais j'ai appris à ne plus avoir peur. Dans mon métier, notre mètier, les lâches et faibles n'arrivent à rien.

Fixant le Général droit dans les yeux, comme le fesait d'ailleurs aussi Turner, Paul ajouta de nouveau.

Vous pouvez me mettre où vous voulez, mon équipe ne me m'abandonnera pas. Ce n'est pas notre principe, nous n'abandonnons jamais les notres Général. Et puis, je doute que les miens puissent partir un jour, vue votre refus de coopération.

Encore, Paul n'avait pas été vulgère et retenait ses mots, car si il ne se contrôler pas, le Capitaine aurait put sortir des mots indigne envers Turner, mais il ne pouvait pas, malgrès tous, Turner était comme son supérieur hierarchique et puis c'était le seul homme capable de les aidés.

Paul devait bien se rendre compte, il ne pouvait rien faire, mais il ne voulait pas abandonner.

A l'évidence, je n'ai pas le choix, je suis, comme vous le dites si bien, dans VOTRE base et je ne peux donc qu'obeir a VOS ordres. Mais j'éspére juste Général que vos ordres nous aiderons à nous sortir de la. Car ce n'est pas moi qui ai demandé à venir dans votre réalité.

Paul regarda le Général comme pour lui dire "Notre vie est entre vos mains, prenez la bonne décision." Mais Paul avait un gros doute sur cela, il éspérait que les autres membres de l'équipe, avait put réussir a pérsuader des membres de ce SGC alternatif, sinon, il était mal barré.

Peut être, devrions nous en resté là Général.

Seul, le Général changerait peut être d'avis Paul se disait et le Capitaine avait besoin de se calmer.

Davis avait perçu la colère de Jason. Il n’était pas intimidé, mais ce n’était pas le but, si il avait voulu l’effrayer il n’aurait pas eu à utiliser des mots. Il voulait juste lui faire comprendre qui commandait ici, et pourquoi il avait réagit comme cela.
Apparemment, son équipe ne l’abandonnerais pas... Turner esquissa un sourire qui pût paraitre provocateur aux yeux du jeune Capitaine, mais qui n’en avait nullement l’air. Évidemment que son équipe ne l’abandonnerais pas, et Jason ne le ferait pas, il savait qu’ils auraient besoin d’aide si la situation avaient été inversée, il voulait juste préserver son image de dur Général, pour ne pas paraitre faiblir dans un tel moment.
Il était têtu, et ce Davis ne lâchait rien. C’était pas plus mal. Il ajouta quelques mots que Jason prenait la peine d’écouter, malgré le fait qu’il n’en prenait pas compte pour ses dires. Une fois le jeune capitaine ayant fini, Jason le fixa, baissa la tête, puis la releva dans un grand soupire.

« Vous avez du cran Davis, et j’aime ça. Je vais décider de quand nous allons vous aider à repartir, une fois que Kawalsky m’aura confirmer que cette théorie et la plus plausible. D’ici là, vous serez sous surveillance, je vais demander un débriefing avec les interrogateurs, en espérant qu’ils n’ont pas trop amochés vos amis, Capitaine. » termina t-il avec un sourire.

Juste après, Davis décida de prendre congés. Jason n’en avait pas donné l’ordre, mais il ne s’y opposa pas. Il ne fallait pas continuer plus, cela ne servirait qu’a brouiller les esprits, et à mettre le doute dans les pensés des deux hommes. Si ils disaient la vérité, et si Jason venait de voir juste, ils aideraient l’équipe, puisque leur objectif rejoignait leur plan à long terme.

« En effet Capitaine, vous pouvez disposer. Merci de votre compréhension. » termina t-il en lui indiquant la porte.

Davis avait l’air toujours sur les nerfs, ce manque de maitrise était assez minime, mais représentait néanmoins une petite forme d’humanité. Ils n’étaient pas des aliens, désormais Jason en était sur...