Je devais me presser. La sécurité de la base en dépendait. Trouver la salle de controle fut peu aisée étant donné que d'une je ne trainait quasiment jamais la bas en tant normal et de deux, je n'y avait pas foutu les pieds depuis la fermerture du programme SG. Fouiller dans sa mémoire, se tromper de couloir, revenir et encore se tromper. Voilà comment cela marchait. Puis a un coude, je vis un petit écriteau "salle de controle".C'était trop facile, mais je n'avais que cela comme piste. ON va suivre l'écriteau doucement en faisant bien attention. Et évidament, cela ne manqua pas.

FLASH ! FLASH ! FLASH !

Une patrouille de jaffas montait la garde devant la porte blindée de la salle de controle. De plus, il n'y avait le corps d'Olorin et la porte blindée était fermée. Il devait etre dans la salle de controle.

FLASH ! FLASH !

Les jaffas s'exitaient. Il était loin le temps de soldat goa'uld d'élite. Maintenant, on a droit a des merdes en armure où seul leur nombre fait la force.

*OK boys ! Atendez que je vous envoie une balle de tennis !*

Je portais ma main a mon gilet de combat et mauvaise surprise, j'avais bouffer toutes mes grenades. Y'avait plus d'explosifs.

*Improvisation...*

Je pris mon spas a deux mains et je me penchai sur un de mes cotés.

BAM !

Un jaffa fit un bond en arrière et s'écroula, mort. Je tirais encore deux cartoche et les deux derniers jaffas tombèrent a terre. Je savais ce que c'étaient des merdes ! Discrètement, je m'approchais de la porte blindée et je la déverouillais avec mon pass. Une fois passée, je la revérouillais. A pas de loups, je montais les quelques marches de la salle de controle et je tombais sur trois jaffas comtemplant lorin qui était gravement bléssé. Ils avaient toujours des problèmes les scientifiques !

Hep !

Ils se retournèrent et se prirent pluisieurs decharges de chevrotines dans la tronche. Aussitot, je me precipitais vers Olorin. Il avait une large blessure par brulure dans le dos. Elle saignait en plus. Je me dirigeais vers la trousse de soins murale et je prit du désinfectant et des bandages. Tout en les appliquant sur olorins, je le questionnais.

Capitaine olorin ? Est-ce que vous êtes en état de fermer l'iris ? De quoi avez vous besoin ?

Après avoir finis de bander le capitaine, celui-ci se releva. Il m'expliqua qu'il fallait tenir la base encore trente minutes. Mais ce temps nous ne l'avions pas. On étais dans la merde.

-"A moins que... Il y a une peut etre une solution. Malheureusement, il y a tres peu de chance qu'on puisse la mettre en oeuvre. Mais si j'arrive à accéder directement au controle de l'iris dans la salle d'embarquement. je pourrais sans probleme le faire fonctionner."

Plutot risqué, voir sucidaire. La salle d'embarquement est prise et les deux couloirs y menant aussi. J'ai beau être un expert en armes lourdes et dans l'art du commando, me battre tout seul contre des dizaines de jaffas me plait guerre. Et c'est surtout d'atteindre le truc d'activation de l'iris qui va etre très compliqué.

Je réfléchissais un instant pour voir quelles étaient les solutions envigeasable.

Si vous voulez accèdez au machin d'activation de l'iris, il faut oublier l'acces par les couloirs. Ils sont prit par l'ennemi. Une tentative par la salle de controle est risqué car ça serait indscret et qui sait ce qui nous attend de l'autre coté du volet blindé. Pour moi, il n'y a qu'une seule slution pour accèder a la salle d'embarquement sans trop se faire remarquer. On descends en rappel par le haut de la base. Comme on avait descendu la porte pour l'installer avant le programe stargate. Comme on arrivera discrètement par le haut vu que les jaffas seront occuper a courir pour renforcé leur tête de pont. Vous en pensez quoi ? Sinon on fait peter la base.

Olorin m'exposa son plan. Il alluma son ordinateur, chercha un fichier et un maillage de ligne de couleurs apparut sur le moniteur. Les plans de la base. Il me montra les anciens tuyaux qui débouchaient dérrière la porte. ssez large pour y laisser passer un homme, et les jaffas ne connaissaient surement pas leurs existences.

Ouai, ça me plait. Par contre, nous devrons agir avec rapidité pour la destruction des bloqueurs verticaus. l'explosion de la dalle de béton ne passera pas inaperçue. Les jaffas feront vite fait feu vers nous. Mais ça me plait ! Par contre il faut aller du C4 dans l'armurie, j'en ai pas sur moi. Et puis je dois faire le plein de munitions.

Fis-je en tripotant ma cartouchière quasiment vide.

On y va ?

[HRP: Toi aussi lis bien les messages. Ce n'est pas le même plans et vu que Olorin ou Boba n'ont pas été informé de votre plan il est tout a fait normal qu'ils aient la même idée.]


Nyph: STOP AU HRP, IL N'Y A RIEN DE PIRE QUE CA POUR DEFORMER UN BEAU RP!

Olorin se sentait vraiment mal. Il savait qu'il ne pourrait pas marcher sans aide, courrir encore moins. Il n'allait etre qu'un poids mort. Il ne fallait pas qu'il y aille.

"Boba, laissez tomber! Je ne vais nulle part. Dans ma condition, je serais au plus un boulet. Allez y, je me chargerais de la diversion. Allez y, c'est un ordre!"

Olorin se releva et se dirigea vers un des angles de la salle. Il pris son p90 et verifia le chargeur. Il devrait pouvoir tenir la salle sans aide. Mais il fallait que Fett se depeche.


(Désolé de ce post pourri mais j'ai trop trop pas le temps en ce moment.)

-"Boba, laissez tomber! Je ne vais nulle part. Dans ma condition, je serais au plus un boulet. Allez y, je me chargerais de la diversion. Allez y, c'est un ordre!"

Quand j'entendis ces propos, cela me déregeais. Oslote m'avais dit la même chose dans l'enfer de cette prison. Il l'avais payé de sa vie. IL avait peut etre fait l'ascesion et étais peut etre revenu sur Terre. mais il fut mort un temps. Je ne pouvais pas perdre un autre de mes amis. Mais il avait raison sur un point, il était bléssé et serait un boulet a trainer. J'étais donc contraint a le laisser là. Il prenais des risques a rester ici.

Très bien lieutenant. Abattez les vue. Et bonne chance !

Aussitot, je me leva, je pris les plans de la base et je me dirigeais vers la porte blindée, puis je jettais un dernier coup d'oeil a Olorin. Ensuite je glissais mon pass pour ouvrir la porte, qui sait ce que j'allais rencontrer dérrière. Sur mes gardes, je m'avançais prudament et sur ma gauche je vis une troupe de jaffas.

BAM !

Aussitot une décharge de chevrotine partit et un jaffas s'écroula en arrière, et aussitot je fis un sprint jusqu'a l'ascenseur. Les tirs fusaient autour de moi, mais plus je prenais de la distance plus ils étaient imprécis. Je tournais dans les angles de couloirs et une fois arrivé a l'ascenseur je l'appellais et il arrivai lentement, comme si de rien était. Je rentrais dedans puis j'appuyais sur le bouton de l'étage de l'armurie.