Le SGC était vide… Vide ? Non, pas totalement, il restait encore quelques hommes pour garder un œil sur la porte, objet de toutes les convoitises pour nombre d’organisations… Une cinquantaine de militaire et une dizaine de scientifique et de techniciens étaient encore en postes ici, le temps que la porte soit enseveli… Les seuls bruits qui résonnaient dans les couloirs et les innombrables salles du complexe américain c’était le claquement des rangers militaire et le résonnement des discutions bruyantes des soldats, Nyphus était le plus gradé de terrain étant resté ici, Menchu s’était porté volontaire pour être son second.

Jetant un œil sur les caméras de surveillance le Capitaine qui en avait la charge vit le Major Narah faire sa ronde habituelle dans les couloirs, café dans la main gauche, main droite prêt à saisir son Sig Sauer 2022. Le militaire prenait plaisir à marcher le matin dans les couloirs vide du SGC, c’était reposant d’entendre pour seul bruit le silence. Ce silence si reposant était presque lugubre pourtant… Le calme avant la tempête, voila ce qu’il passait par la tête du Français tout les matins, c’était bien trop calme, il y avait bien trop d’inactivité… Pas de NID, pas d’attaque par la porte… Rien, le néant…

Alors que les ordinateurs de la salle de contrôle de la porte se ventilaient bruyamment le claquement de rangers militaire résonna dans la salle, Menchu Narah, Major dans l’US Air Force venait d’entrer, un café dans la main, il regarda longuement la porte avant de tourner enfin la tête vers Walter, sa faisait déjà deux longues semaines qu’il ne se passait rien, deux semaines que le programme désigné comme « Porte des étoiles » avait été fermé par le Pentagone, pas de menace sérieuse qu’il disait… Tss… Sottise que cela, les Goa’uld étaient bien présent et avait connaissance de la Terre ce qui assurait un problème un jour ou l’autre… Walter regarda le gradé un instant avant d’hausser les épaules.

-Même discours que depuis deux semaines Major, rien de rien !
« Restez vigilant, on sait pas ce qui peut arriver par la porte… »
-On a l’iris Major !
« Et eux la technologie… »

Le militaire n’avait pas tord, Walter le savait mais bon, après deux semaines d’inactivité totale…

-Au pire, on vous a comme joker Major !

Walter afficha un large sourire, la réputation du Major était justifié et il l’avait prouvé à plusieurs reprises, craint mais respecté le jeune homme savait garder la tête froide, l’un des meilleurs…

« C’est pas l’homme qui fait l’armée Walter… »

Walter garda un léger sourire alors que le militaire sentait un goût de sang envahir sa bouche, le gradé fronça les sourcils et posa son gobelet devant lui.

« Walter, l’iris… »

Le Sergent Chef regarda le Major, pourquoi fermer l’iris ? Y a aucun danger !

« L’iris bordel ! »

Finalement Walter alla pour activer l’iris quand plusieurs tirs l’atteignirent dans le dos, par pur réflexe le gradé se tourna en lançant une lame dans la tête du tireur, Menchu s’en approcha en sortant son Sig de son étui. Il éjecta l’arme d’un coup de pied et regarda sa victime s’éteindre dans le pur style Goa… Le Major se dirigea vers les commandes et pianota quelques instants, l’alarme s’enclencha. Allant vers l’iris le militaire voulu l’activer mais rien ne se passait, si se Goa se trimballait dans la base depuis plus de deux semaines normal que ce soit saboté… Saisissant de nouveau la crosse polie de son arme le militaire s’engagea dans l’escalier pour allez vers la porte, descendant les quelques marches le gradé prit la porte en face de l’escalier et alluma rapidement la lumière, là, il avait posé son M4 et tout son équipement, deux courtes minutes après être entré le militaire passa de nouveau la porte, courant vers la porte des étoiles. Passant la porte le gradé pu voir la porte s’activé, chevron après chevron… Les soldats étaient la, eux aussi attendaient avec impatience mais surtout avec une peur non caché ce qui allait passer par la porte… Menchu leva son M4 vers la porte et se prépara à lâcher ses projectiles mortelles.

« Soldats ! Écoutez moi bien ! Peu importe ce qui va arriver par la porte vous tiendrez la position ! N’arrêtez pas de tirer, descendez tout ce qui osera passer la porte, si vous n’avez plus de munitions rentrer leur dedans, je veux que chacune de vos balles atteignent un ennemi ! C’est clair ? »

Menchu ressortait par rapport au reste des hommes présents, ils étaient tous vétu de tenues vertes alors que le gradé portait un treillis noir, un T-shirt noir et son gilet tactic -tout aussi noir- par dessus, son visage était, comme à son habitude, masqué.

Une cinquantaine de militaire et une cinquantaine d’affirmation. L’adrénaline commençait à s’insinuer doucement dans le cortex cérébrale du militaire, petit à petit l’effet se propageait à tout son corps, lui donnant une impression de légèreté, resserrant ses mains gantée sur son M4, le callant un peu mieux contre son épaule il était prêt, prêt à combattre pour tenir le SGC…

Le combat s'engagea brusquement, plusieurs tirs fendirent l'air alors que les Jaffas commençaient à passer la porte, le retour humain se fit sentir, les premiers Jaffas qui passèrent la porte tombèrent d'un même coup. Malheureusement le rechargement de tout les hommes allait se faire un même temps... Menchu attendit que la plupart des hommes commencent à recharger pour envoyer une grenade sur la passerelle devant la porte, massacrant de nouveau quelques Jaffas. Alors que les tirs huamins s'engageaient de nouveau vers la porte le Français sentit l'adrénaline faire son effet bénéficateur, envahissant son cortex cérébral le militaire laissa un frisson lui parcourir l'échine alors qu'il laissait tomber son premier chargeur, en engageant un second avant de cibler de nouveau les Jaffas qui arrivaient, de plus en plus nombreux... Il y avait déjà quelques hommes à terre, la défense était loin d'être imperméable, ils n'étaient pas assez nombreux ! Et ou est Nyphus ?! Bordel il est jamais la quand il faut !



(Seul quelques personnes peuvent poster: Moi, Nyphus, Aurélie, Bastien, Boba, Jas, Jack ? Je crois que c'est tout, allez, au postage les gens, j'ai braver la migraine alors poster aussi, ou j'vous botte le cul )

Le calme… le calme plein. Pas un bruit, pas un son, pas une seule alerte provenant des murs épais des longs couloirs de cette base. Si seulement sa avait pût être toujours comme ça…
Déjà deux semaines, deux longues semaines qu’aucune voix prévenant d’activations extérieures n’avait retentit dans l’enceinte du SGC. Cette vie, monotone mais quelque peu ennuyante, déplaisait un peu à Jason. Il avait l’habitude d’enfourcher son P-90 tel un glaive devant un grand samouraï. Il avait l’habitude de parcourir les couloirs de long en large, en faisant quelques détours par le mess ou l’infirmerie, la salle d’entraînement ou encore les vestiaires… mais même ça il n’en avait plus le courage. Il était là… couché sur son lit, admirant la blancheur du plafond, jouant parfois seul ou avec des amis aux échecs, allant donner quelques ordres, faisant ses tours de gardes dans la salle de contrôle… il était là.

Il attendait chaque jours, chaque secondes passés dans ses quartiers, il s’imaginait des scènes tel un énorme vaisseau Goa’uld se posant sur Cheyenne Mountain, le SGC s’infestant de Jaffas, tel des fourmis colonisant une nouvelle partie de terrain.
Il espérait… il espérait tant retraverser la porte, rien qu’une fois. Ressentir toutes ces sensations, ces fluctuations, ces milliards de composants scientifiques dont il ne comprenait rien à la signification, il espérait aussi revoir les paysages magnifiques des autres mondes, en parlant à des gens qu’il ne connaissait pas, mais qu’il savait reconnaître bon… il espérait.

Un bruit, un murmure lointain, une sorte de bourdonnement sourd lui parvenant aux oreilles… une activation non programmée ! Il se leva brusquement de son lit, prenant son 9mm, manquant de tomber en ouvrant la porte, puis couru directement à la salle de contrôle. Si quelque chose se produisait, il le saurait la bas.
Il poussa au passage quelques scientifiques intello qui le regardaient, visiblement interloqué sur sa présence soudaine, après quelques jours de discrétion au sein de la base.
Il se précipita dans l’ascenseur, priant pour qu’il ai un bref coup de speed, puis lorsque ce dernier s’ouvrit, il pénétra dans la salle de contrôle. Menchu Narah était déjà là, en bas dans la salle d’embarquement, parlant apparemment aux militaires se tenant devant la porte, prêt à tirer. Jason prit le micro d’une main et parla d’une voix haut et forte.

« Major, que ce passe t-il ? Qui active la porte des ét... ? » Il ne pût finir sa phrase. Un projectile d'arme énérgétique lui fonca en plein dans la figure mais il eu un réfléxe inexplicable qui le fit se coucher à terre. Il déscendit lentement les escaliers pour rejoindre la salle d'embarquement, prenant son 9mm d'une main, sa carte d'accés de l'autre, il ouvrit brusquement la porte et tira sur les assaillants... des Jaffas.

Cela faisait deux semaines que le SGC avait fermé ses portes. Deux longues semaines où la solitude et l’ennui ne faisait qu’un. En l’espace de ses quatorze jours, la base s’était vidée de son personnel pour n’y laisser que le strict minimum. Le Général Hammond était partit à la retraite, d’autres furent mutés et retournèrent chez eux. Même si le Stargate Commad était toujours le programme le plus important au monde, les hommes et les femmes qui constituaient l’Unité d’Elite, les meilleurs, spécialisés dans le domaine de l’exploration interplanétaire, avaient été séparés et affectés dans d’autres bases, dans d’autres établissements, voir même dans d’autres pays. Ils avaient tous du tirer un trait sur leur ancien travail, sans pour autant en garder de très bons souvenirs… Chacun avait rompu les liens avec le SGC à sa manière. Certains lui avaient dit adieu, d’autres essayèrent d’y rester pour des raisons de sécurité. Car les Goa’ulds étaient toujours là, quelque part dans la galaxie. La porte des étoiles de la planète Terre pouvait très bien s’activer à n’importe quel moment et il était question là de problème de sécurité pour chaque être humain vivant sur cette terre…
Mais les jours passèrent et la base avait perdu sa fierté... Les histoires de ceux qui avaient traversé la fameuse Porte des étoiles avaient été écrites sur de simples feuilles de papier, pour ensuite être stockées dans un endroit secret, afin d’y rester jusqu’à ce que les enfants des prochaines générations aillent les déterrer de leur trous pour les étudier de fond en comble. Tous ceux qui étaient encore affecté au SGC se demandaient s’ils passeraient la porte des étoiles encore au moins une fois dans leur vie. Ce qui était très improbable…
Mais personne ne pensa une seconde à revoir un jaffa en face de lui… Et à la surprise générale, lors d’une journée comme les autres, le passé redevint le présent, et le danger redevint imminent…


***************************************************************


" Pourquoi elle sonne cette foutue alarme ? "

Le Colonel O’Neill se leva de son siège et referma le rapport de mission qu’il lisait, celui-ci datant de plus d’un an déjà. Le calme qui régnait au SGC avait vieilli l’officier borgne. Ses supérieurs en avaient pleinement conscience et c’était pour cela que Jack était resté ici. Il était devenu l’officier de sécurité de la base, sous les ordres du Colonel Nyphus et du Colonel Turner. Et même s’il s’était lassé de vérifier les pass des personnes entrant dans la base à l’entrée du parking, l’alarme qui chantait sa sirène produisait un son désagréable à l’oreille du vieil homme.

" Encore un foutu exercice de routine. Ils auraient pu me prévenir !" Marmonna-t-il pour lui-même.

La barbe mal rasée et les cheveux en bataille, O’Neill enfila le haut de son treillis militaire par-dessus son t-shirt. Si c’était un exercice, il allait devoir vérifier que chacun était à son poste, comme d’habitude. Ou alors était-ce juste un de ces débiles de scientifiques qui avait encore fait une connerie dans une de ses expériences. Cependant la technologie allienne ramenée sur Terre avait était entreposée dans la zone 51, donc cette hypothèse était peu probable. Mais venant d’un civil dans une base militaire, Jack s’attendait à n’importe quelle connerie… Il ouvrit la porte de ses quartiers et ne fut pas surpris de voir tout le monde courir dans tous les sens.

" Tout le monde à son poste ! Je veux que vous soyez rapide et efficace ! " Cria-t-il.

" Et on se sort les doigts du cul ! ! "

*Voila un petit encas matinal… Rien de tel pour mieux commencer la journée !*

Le Colonel ferma la porte de sa chambre et partit en salle d’embarquement, vérifiant bien que tout était en ordre. Il avait son beretta dans son holster mais ne pensait pas qu’il allait devoir s’en servir aujourd’hui… Il laissa le passage libre aux marines de rejoindre la salle de la porte des étoiles et les couloirs adjacents. Il était intrigué par cet exercice surprise, ils en avaient fait un la veille déjà. A croire que le Colonel Nyphus ne plaisantait pas avec la sécurité ici.
O’Neill s’approcha du combiné téléphonique du couloir et appela la salle de contrôle.

" Contrôle ici le Colonel O’Neill. "


" … "

Rien.

" Je répète, ici O’Neill. Je surveille les bleus faire leur exercice, préparez moi le café, j’arrive bientôt. "


" … "

Le contrôle ne répondit toujours pas. A croire qu’il n’y avait personne. Sacré Walter il n’était pas à son poste. Heureusement qu’il ne s’agissait pas d’une vraie attaque se disait-il…
Mais comme pour le contredire, une voix au fond du couloir résonna dans la tête de Jack, celle du Lieutenant Fisk.

" Les Goa’ulds ! On se fait attaquer, tout le monde en salle d’embarquement nous avons besoin de renfort ! "

Le Colonel O’Neill ne tarda pas une seconde. Une attaque des Goa’ulds aujourd’hui ? C’était une blague ? Peu importe il devait faire son devoir comme tout homme ici. Bien qu’il n’ait pas pris le temps d’aller à l’armurerie, il allait quand même voir ce qu’il se passait là-bas, beretta en main.


" Allez on se bouge ! " Ordonna-t-il dans un élan de motivation vers la salle d’embarquement. C’était arrivé à proximité que les renforts purent constater qu’ils subissaient bien une attaque. Un marine gravement blessé sur une civière fut emmené à l’infirmerie, touché à de nombreuses reprises par une arme à énergie Jaffa…

*Les revoilà… Les serpents…*

La situation était critique lorsque olorin et les cinq soldats le suivant arriverent au niveau de la porte des étoiles. Des tirs fusaient de partout, les hurlements des blessés retentissés et le bruit angoissant des lances goa s'écoutaient de tous les cotés. C'étais la premiere fois que Olorin avait a affronter une invasion de cette taille. Tout cela à cause de quelques bureaucrates de m****. Des gens bien au chaud derriere leurs bureaux et qui n'hesiteraient pas à vendre leur patrie ou meme leur mere pour survivre. De vrais laches. Ce genre de lache qui capituleraient face à l'ennemi sans opposer de résistance. Il se retourna vers les soldats.

"Ecoutez moi bien. La menace que nous allons affronter est plus terrible que toutes celles que vous avez put rencontrer avant. Il n'y a pas à hesiter. Il n'y aura pas de salut. Nous sommes la derniere ligne de defense de la Terre. Si nous échouons, vos familles, vos amis, votre pays tombera face à l'ennemi. Cette fin n'est pas une option. Nous allons repousser notre vague d'assaut. Un dernier truc. Si vous mourrez, vous aurez affaire à moi. Vous trois. Faites le tour et allez soutenir les hommes se battant de l'autre coté. Nous prenons celui ci."

Sans dire un mot, conscients de l'urgence de la situation et de leur mission, les hommes partirent en courant. Olorin continua avec les deux soldats. Au détour d'un couloir il tomba sur Jason Turner et quelques soldats pris dans un feu croisé. Genou au sol, ils firent feu et nettoyerent l'arriere du colonel. Celui se retourna pour voir les renforts et fut étonné de voir le scientifique. Bastien s'approcha.

"Bonjour l'ami. Il fait beau aujourd'hui tu trouves pas?" Il repris un air sérieux. "Quelle est la situation? La salle d'embarquement n'a pas l'air sécurisée."

J'arrivais en courant avec 4 soldats que j'avais rencontré lors d'un détour a l'armurie. Moi, le capitaine Boba Fett était de retour dans l'action ! Toujours armé de mon fidèle spas 12 et de ses chevrotines, de mon fidèle Deseart Eagle, et de mes fidèles grenades. Un sourire rayonnait sur mon visage, 30 minutes au par avant, j'étais dans mes quartiers à ma lettre de démission. Cette attaque a changé mes projets. Nous arrivions près de la salle d'embarquement, le vacarme était insoutenable, les corps s'empilaient les uns sur les autres.

Aller soldats ! Ce matin on dîne en Enfer !

Je me mis a accelerer la cadence, dans la salle d'embarquement, je vis mon vieil ami Oslote, avec deux marines, tirant sur tout ce qu bougeait.

Sloty ! J'arrive !

Plus je me rapprochais de la salle d'embarquement, plus je pouvais voir que le flux de jaffas était incessant. Ca leur faisait plaisir de crever a la chaine on dirait. Arrivé au niveau de la porte blindée, mon coeur battait la chmade, a cause du stress ou de l'adrénaline, j'en savais rien mais mes soldats, étaient blancs, mort de trouille.

Vous quatre, estez ici et arroser la porte avec vos M16, moi je vais aidez Sloty !

Ils me répondirent par un hochement de tête hésitant, mais ils n'avaient pas le choix. En marchant tête baissé, je progressait vers Sloty. Les tirs énergétiques fusaient autour de moi. Je répliquas par un tir de chevrotine.

BAM !

Un jaffa fit un bond de trois mètres en arrière. je pompais une cartouche, mais je fut bloqué par une série de tirs jaffas. je me mis a couvert dérrière des caisses. Je repris ma respiration et je vis que je n'avais progressé que de 4 ou 5 mètres. Pas grand chose. je jettais un regard vers mes soldats que j'avais posté et ils vidaient chargeur après chargeur.

FLASH !

Un de mes soldats tomba par terre dans un nuage de fumée. Il ne bougeait plus. C'était pas bon signe. Je devais faire quelque chose.

Sloty ! Quel est ton objectif ?

*Elle sera en sécurité…*

Droit et calme le Colonel avancer dans les couloir baigner par les incessant reflet rouge de l’alarme. La base était attaquer, pas de doute possible. Chaque homme courait rapidement en direction de la salle d’embarquement, la panique était presque total malgré les centaines d’entraînement. Il tourna dans le couloir vingt et un en direction de la salle de contrôle. Il y trouva deux corps. Un soldat en uniforme et celui de Walter. Le bougre gisait a moitié affaler contre le moniteur principal. Derrière les vitre blindé, c’était l’enfer. Les tir illuminer la salle tendis que les corps s’entasser petit a petit, formant des nouveau couvert et de nouveau piège;. Au milieux de toute cette cohue un homme se distinguer. Noir de la tête au pied. La voix forte et ses geste précis. Menchu… Ce dernier était parvenue a endiguer le flot a droite tendis que sur la gauche faisait apparition Oslote bientôt suivit de Boba. Ils faisait tous partit des dernier grand hommes qui participaient autrefois au programme. Les dernier a savoir garder la tête froide.

« Je veut un relever immédiat! »

Deux hommes s’avancèrent alors prenant place aux claviers. Ils était des plus discret. En uniforme conventionnelle ils n’arborait pas de grade spécifique ou autres état de service visible au premier coups d’œil. Seul leurs calme et leurs professionnalisme aurait put trahir leurs positions spécial. L’un d’eux leva la tête commencent son prime rapport.

« - Sabotage du système informatique primaire, le contrôle de la porte est caduque.
- Monsieur, le SGC dispose d’aucun moyen de communication avec l’extérieur.
- Béta m’indique une situation similaire en salle secondaire.
- Nos homme ont réagis au quart de tours et le flot a était stopper en salle d’embarquement; Quelques fuite signaler en secteur 15, 16 et 12 mais les patrouilles les ont intercepter pour fermer l’accès interne.
- J’ai combien d’homme!
- Vous avez actuellement a votre disposition 87 âmes: hommes, femmes, civils où militaires.
-A noter que les rapport d’infirmerie qui circule nous signale pas moins de 27 blesser sans parler des mort qui jonche le béton de la porte.
-Strike 1, a la surfasse pour les secours, Strike 2 tu me met en place le protocole 22! »

Les deux voix masculines lui répondirent a l’affirmatif et tout deux disparurent dans le dédale des couloir. Nyphus lui resta quelques instant a contempler les combats perdu dans ses pensé. Un hurlement sortit de sa torpeur quand un technicien se jeta sur lui en hurlant arme a la mains. Évitant de justesse le tranchant de la lame le militaire fracassa sa crosse contre la temps de l’homme qui broncha à peine. Ses yeux brillant de haine, d’ailleurs l’image était étrangement réelle et fut confirmé par un symbiote qui tenta de sauté au cou du colonel. Se dernier le fit exploser d’un tir chanceux de son arme.

*Voila qui explique tout… »

Il attrapa sa radio enclenchant le canal principal.

[RADIO] Nyphus a tous! Le SGC a était infiltré! La salle d’embarquement tien mais pas pour longtemps! Que les officiers non engagé dans les combats se signale pour les rediriger. Ils ne doivent pas sortir de la base! Des renfort vont bientôt arriver. [/RADIO]

Belle situation pour une des base les mieux protéger de tous les états unie, ses serpent aller tous les avoir a l’usure si il ne trouvait pas une solution. Laissant un pain de C4 astucieusement camoufler sous le moniteur principal, le colonel descendit en direction du flanc droit. Là, il put apercevoir Le colonel O’neill qui haranguer ses hommes. Il l’inerpella pour lui confier la tache précise de préparer un rideau de défenses secondaire

« Il faut tenir les jaffas dans les niveau inférieur, notre but est de gagner du temps pas de perdre des hommes dans défense inutile d’une pièces de quelques mètre carré. Pigez tous les couloir! Toutes les porte jeu veut même que leurs armure soit piégé. Il faut qu’il redoute d’avancer. Comme sur P3R255 mon colonel. »

La voix de Nyphus était fatiguer mais quelques note de hargne et de l’arrogance du courage teinté encore en elle. A trois tête ils allait quand même pouvoir tenir cette base!

Entrée de la base.

Après être remontée à la surface, Aurélie se précipita vers les ascenseurs, non pas pour les prendre et se rendre dans les étages inférieurs, mais pour en bloquer l’accès. Elle ouvrit la petite besace qu’elle avait prise auparavant à l’armurerie. Elle en sortit une grenade, la dégoupilla à l’aide de ses dents, vu que son deuxième bras immobilisé par son attelle d’épaule était caché sous le gilet pare-balle, et la balança sans pitié dans la première cage d’ascenseur. La jeune femme se précipita dans un couloir pour se protéger de débris quand la grenade explosa.

* Adieu petit ascenseur... Je t’aimais bien…*

Sans perdre une seconde, elle s’élança en direction des escaliers et verrouilla grâce à son passe chacun des niveaux qu’elle passait. A mi distance, elle traversa un étage entier pour se diriger vers le second ascenseur. Même opération que pour le premier. A nouveau, elle emprunta les escaliers. Elle attrapa sa radio qui était à sa ceinture et contacta le soldat resté dans la salle de surveillance.

« Bon, que c’est-il passait depuis mon départ ?
- Ca tire dans tous les sens et il y a déjà de nombreux morts… »

* De nombreux… Mm… morts ? Non… ça ne peut pas… non…*

Son coeur se serra rien qu'à l'idée de pouvoir le perdre. Mais soudain la voix du Colonel Nyphus se fit entendre et elle poussa un soupir de soulagement.

* Merci Seigneur…*

Toujours en chemin, elle continua à condamner les issues pour ralentir l’ennemi. Après plusieurs minutes, elle arriva enfin dans le couloir menant à la salle d’embarquement. Elle esquissa un sourire, heureuse de revoir le doux visage de son militaire préféré.

« Vous m’attendiez je suppose ? »

Jason venait de se replier rapidement en direction du couloir droit menant à la salle d’embarquement. La porte étant toujours ouverte, il était pris sous un feu ennemi et cela l’empêcher d’accéder à la commande de fermeture de la porte blindé. Certains soldats arrivèrent à ses côtés tirant comme des dératés sur les Jaffas… les explosions… les tirs… le sang… la mort. Des militaire que Jason avait bien connu étaient étendu dans la salle d’embarquement, regard vide, dépourvu d’expression… le regard lointain, certain la peur au visage, d’autres un sourire bienveillant, attendant que l’on vienne les chercher… dans la mort.

Revenant dans à la réalité, un jeune soldat tomba à ses pieds. Il essaya de dire quelque chose, mais seul une petite montée de sang sortie de sa bouche, signe de son unique blessure, la peur de mourir. Une dernière larme se posa sur sa joue, puis sa tête tomba sur le côté, ses yeux toujours grands ouverts.
Jason le regarda, un sentiment de tristesse et de pitié l’imprégna… il ramassa l’arme du soldat, un P-90, puis se releva rapidement et tira sur ses ennemis tout en marchant afin d’arriver prêt de la commande de fermeture de la porte. D’autres soldats se repliaient encore et encore vers le couloir, et de plus en plus de Jaffas arrivaient par la porte des étoiles.

De l’autre côté, Narah était avec ses hommes et tirait lui aussi sur les Jaffas. Jason lança un ultime regard en sa direction puis pris le risque d’indiquer son plan aux ennemis.

« NARAH !! Repliez vous !! Nous fermons la porte !! C’est un ordre Major ! » puis d’une main, il pris sa carte d’accès, et verrouilla rapidement la porte, ne sachant plus ce qui se passait de l’autre côté.

Il se retourna vers ses hommes. Une dizaine d’entre eux avaient réussis à se libérer de l’étreinte des Jaffas. Il les regarda fièrement, puis baissa la tête vers les rares qui avaient réussi à se replié, mais avaient été tué avant que la porte ne se ferme.
Turner regarda derrière puis devant lui lorsqu’un message radio provint des hauts parleurs de la base.

[RADIO] Nyphus a tous! Le SGC a était infiltré! La salle d’embarquement tien mais pas pour longtemps! Que les officiers non engagé dans les combats se signalent pour les rediriger. Ils ne doivent pas sortir de la base! Des renforts vont bientôt arriver. [/RADIO]

« Comme si on l’avait pas remarqué… » dit Jason d’un ton ironique avec un petit sourire encourageant vers ses coéquipiers.

Il analysa rapidement la situation. Le SGC, en présence d’une centaine de militaire, venait d’être attaqué par des dizaines voir des centaines de Jaffas dont le but était sûrement d’éradiquer l’espèce humaine. Les commandes de l’Iris étaient inaccessibles par ordinateur, tout autant qu’en commande manuel vu qu’elle se trouvait en plein cœur de la salle d’embarquement. Elle avait apparemment refusé de se fermer et personne ne savait pourquoi…
Jason avait à sa disposition une dizaine d’hommes aussi motivés les uns que les autres qui ne manquaient certes pas de courage, mais la maturité n’était pas leur point fort. Ils devraient lui obéir au doigt et à l’œil afin de rester en vie. Menchu et les autres devaient galerer mais ce n’était pas le moment de s’apitoyer sur leur sors, funeste ou non.

« Bon, messieurs, nous allons devoir retrouver d’autres membres du SGC et tenir les Jaffas à l’écart en attendant l’arrivée des renforts qui doivent déjà savoir que nous sommes en situation de crise. Nous ne nous en sortirons peut être pas tous vivant, cela est même certains. Les Goa’ulds nous on pris par surprise, et si nous ne les arrêtons pas, ils détruiront tout ceux que vous aimez, tout ce que vous chérissez le plus, la nature disparaîtra, et les terriens seront réduis en esclavages afin d’assouvir les désirs des faux dieux que sont les Goa’ulds ! Nous allons donc les arrêter, même si cela doit nous coûter la vie ! » termina il en rechargeant son arme avec des munitions trouvées sur un cadavre.

Il se retourna rapidement… l’armurerie. Ils y trouveraient des armes, et avec un peu de chance d’autres hommes dans leur situation. Il ouvrit rapidement la marche, une lueur d’espoir lui traversant le regard…

Un nouveau groupe de marines était partit au fond du couloir, en direction de la salle d'embarquement. Les coups de feu des armes automatiques et certaines explosions retentissaient, accompagnés des sons émis par les décharges des lance-serpents. Le Colonel avait bien conscience que toute personne qui allait vers les combats s’engageait dans une impasse qui serait le résultat d’un bain de sang. Et bien qu’il fallait stopper cette attaque de grande envergure, O’Neill renonça à partir au milieu des combats malgré la tentation. Il n’avait aucune protection et ne possédait qu’un beretta. S’il pénétrait dans la salle d’embarquement, le sacrifice de sa vie n’aurait rien arrangé à la situation. Son rôle d’officier était de guider les hommes et de maintenir leur moral. Beaucoup de Jaffas avaient du tomber depuis le début de l’attaque. Les Goa’ulds n’avaient pas peur de sacrifier leurs enfants dans l’espoir de prendre cette planète et O’Neill était impatient à l’idée d’en descendre un.
Il fallait repousser cette invasion... Mais à quel prix ? Le Colonel fut retiré de ses pensées, interpellé par son supérieur. Ce dernier lui ordonna de préparer les hommes à une bataille de couloirs ! Et c’était une bonne idée. Il ne fallait en aucun cas risquer d’autres vies en les jetant dans un carnage. La salle d’embarquement allait être condamnée et il fallait organiser une défense au sein des couloirs de ce niveau.

"Oui Monsieur, tout de suite !"

Un regard déterminé fut échangé entre les deux personnes. Bien qu’il ne se souvenait plus exactement des combat sur la dite planète, il s’était rappelé de leur rencontre avec des indigènes, puis le massacre de ceux-ci... Ca avait été une mauvaise expérience mais sa mémoire avait du mal de se rappeler de tous les faits. Bien des choses plus graves étaient arrivées depuis cette époque...

"Lieutenant Fisk ! Rassemblez les unités de marines et de civils. Nous devons attendre les serpents dans les couloirs. Répartissez les hommes en plusieurs groupes et organisait des rideaux de défense secondaires dans tout le niveau. Magnez-vous !"

"A vos ordres ! Repli défensif, on se bouge et vite !"

Tout le monde savait avec qui il était, des binômes réunis formant des groupes de défense allaient se poster dans les couloirs, improvisant une rapide construction de barricades… Les hommes et les femmes qui risquaient leur vie dans la salle d’embarquement leur donné un temps précieux. O’Neill vérifia que chaque couloir était protégé par un groupe d’hommes. Mais attendaient-ils leur ennemi de pied ferme ? Fisk avait donné son 9mm au Colonel, qui possédait deux armes de poings désormais.


"Et pour ceux qui sont toujours en salle d’embarquement ?" Demanda le jeune Lieutenant, légèrement perturbé par la situation.

"Nous ne pouvons rien pour eux..."

L’œil de Jack parcourut les visages des militaires et des civils qui attendaient nerveusement l’ennemi. Il y avait beaucoup de jeunes, la plupart n’avait d’ailleurs jamais combattu de Jaffa mais la n’était pas le plus important. La clef de la victoire serait le moral, la détermination, le courage et le sacrifice ultime. Un homme, qu’il soit le guerrier le plus dur des durs ou le scientifiques le plus mou et lent de la base, devra emporter la vie de nombreux Jaffas avant de tomber sous les tirs ennemis. Planté en plein milieu du regroupement, le Colonel haussa le ton de sa voix pour se faire entendre dans tout le couloir. Les recrues, les officiers et les civils. Beaucoup furent attirés par ses paroles et il comptait bien en profiter pour le peu de temps qu’il leur restait.

"Ecoutez moi… Je sais que le prix à payer sera très élevé. Et je sais que la nervosité à gagner la plupart d’entre vous… Et nos ennemis n’hésiteront pas à profiter de la crainte qui règne ici…" Sa voix était grave et se voulait aussi saisissante que possible. Son discours fut accompagné des tirs et des cris résonnants de la salle d’embarquement.

"Mais regardez autour de vous. Nos impératifs sont ici. Dans nos bottes, dans nos gilets, dans nos armes et en nous même. Le combat est notre impératif. Nous allons donc nous battre! Parce qu’au fond notre ennemi ne nous laisse pas d’autres choix ! Les serpents veulent nous tuer, envahir et régner sur notre planète... Mais tant que nous sommes là, je vous promets qu’ils seront déçus !"

Le Colonel avait attiré l’attention d’une grande partie des personnes présentes. En temps normal, il était craigné par un grand nombre de ces gens. Probablement à cause du fait qu’il soit insociable, insensible... Et borgne ! Mais cette crainte s’était transformée en une forme de respect en ce moment même et Jack savait qu’il pouvait faire d’eux de grands guerriers par le billet d’un discours touchant chacun d’eux au plus profond d’eux-mêmes.


"C’est parce qu’ils ont la voix grave et les yeux qui brillent qu’on doit les laisser faire ?? Dites moi ! Allez-vous les laisser passer et massacrer plus d’humains encore ?" Quelques réponses fusèrent par ci par là. Mais O’Neill pouvait apercevoir les changements de regard dans chaque individu. La détermination venait d’augmenter, le moral montait d’un cran. Il ajouta plus fort encore:

"Ces putins de serpents doivent être éliminés ici et je vous le répète, même si le prix des sacrifices sera important, si nous nous laissons marcher dessus maintenant, alors il sera encore plus grand et beaucoup plus de corps devront être enterrés ! Tapez dans la main de ceux qui vous entourent et foutez moi ses bâtards dehors ! Montrez leur qui vous êtes ! Tenez vos positions !!"

Des cris de motivations furent renvoyés comme réponse. Une foule de ressentiment les avait habité. D’autres levaient bien haut leurs armes comme pour affirmer ses paroles, et même si certain avaient l’air calme, ils étaient en réalité jonchés par une détermination et un moral qu’aucune armée Goa’uld dans la galaxie ne pouvait posséder. Ces hommes se battaient pour leur survie et pour celle des six milliards d’humains vivant sur cette terre. Ils en avaient tous conscience et ils attendaient tous le début des combats. Le personnel s’était positionné afin de posséder un maximum de terrain. Le Colonel était assez fier d’eux, même des civils. Qui aurait cru que les hommes et les femmes en blouse blanche se révolteraient ainsi ? Ils n’agissaient pas là en tant qu’infirmier ou chercheurs, mais en tant qu’humain se battant pour sa propre survie !
Jack prit le temps d’enfiler un gilet tactique, fournit par le Lieutenant Fisk. Muni de ces deux armes de poings, il partit ensuite contempler et vérifier que chaque homme était à son poste.
Mais quand les Jaffas pénétreront dans les couloirs et attaqueront ses hommes, il se jura d’être l’un des premiers qui les accueilleraient ici...


*Si Dieu aime notre gueule... Qu’il nous protége!*

Après avoir vidé plusieurs cartouches et balancer une grenade, Sloty nous ordonna de nous tirer d'ici. Ce que nous fîmes avec joie, la situtation devenait intenable, les jaffas, plutot les kamikazes devenaient de plus en plus nombreux. Une fois la salle d'embarquement évacué, nous fermions les portes blindées. Nous suivîmes Sloty dddans les couloirs et celui-ci me donna un ordre :

-"Boba, je te laisse ses hommes, prend en charge la défense des couloirs, préviens le Colonel O'neill de votre position, je vais rejoindre Nyphus, je reviendrai entier t'inquiète pas! "

Très bien ! Et ti'inquiète, je ne me fais pas de soucis pour tes fesses !

Sloty s'éloigna seul dans les couloirs, moi je restait ici, avec une douzaine de valeureux soldats. Deja, les jaffas commeçaient a s'xiter sur les portes blindées. le temps était compté.

*Qu'est-ce qu'on a comme matos ?*

Je réfléchissais pendant 5 secondes, puis il me vint une idée. Mon groupe de soldats était composé de 2 mitrailleuse browning et le reste de M16. Et bien sur un spas 12 plein d'expérience.

Ok boys ! Je veut deux groupes, une mitrailleuse dans chaque et le reste fait de m16. Ensuite l'un des groupes partira pour défendre le couloir gauche de la salle d'embarquement, le second groupe restera avec moi pour defendre ce couloir la ! Soyez sans pitié ! Car eux, ils n'en auront pas ! Tirez a vue ! Sans sommation ! ICI, C'EST FORT ALAMO !

Les deux groupes se formèrent au quart de tour et se mirent en position. Avec mes six courageux soldats, nous préparions le terrains, renversant les caisses et les bidons dans le couloirs pour faire des barrages. La mitrailleuse se mit en position et les m16 déployées autour de celle-ci. Moi, je me positionai a l'écart pour passer un message radio.

RADIO: Ici le capitaine Fett. La défense des couloirs déservant la sale d'embarquement est prête ! Attendons que l'ennemi se présente.

Une fois cette annonce faite, je me mis aux cotés de mes Marines et nous attendions que les jaffas finissaient de défoncer la porte.

*Ca va chier !*

BAM !

La porte blindée explosa et des jaffas s'engoufrais a travers celle-ci. la mitrailleuse, le m16 et le saps firent feux instantanément. Les jaffas s'écroulaient pas dizaines.

Niark ! Comme en juin 44 !

[Message trash rapide avant de partir]

"Oslote!"

La voix de ténor du colonel se répércuta dans le couloir attirant l'attention du dit militaire. Ce dernier vint a sa rencontre lui exposant rapidement son point de vue et ses requette. D'ailleur il n'avait pas si bien deviner.

"Si il fait beau a l'extérieur vous allez le savoir. On a pas les moyen de tenir la porte par des combat fixes. On abandonne la sale mais on les enlise dans les couloir. O'neill se charge de pieger tout les couloir. Menchu va surement prendre en main les chose pour les ralentir un maximum en attandans les renfort. Mais on doit trouver une contre mesure. Tu me trouve Boba et tu l'envoi escorté Olorin. C'est le seul qui a assez de cervelle pour fermer cette putain de porte! Ensuite tu monte au niveau 14 pour prendre par le conduite d'aération menant au pui du silos; Tu doit trouver le moyen de pouvoir mener une contre attaque et de neutraliser le maximum de personne. Pour sa il faudra entre ouvrire les porte qui bouche le puit. Trouve une solution!"

Il se retourna vers la jeune femme.

"Kellerman! Ont doit maintenir un flot d'approvisionnement entre les combat et les réserve! Mais avant tout vous devez récupérér une sauvegarde des donné et détruire les fichier sencible. On ne perdra rien aujourd'huis!"

A l'autre bout du couloir déja les porte de la salle d'embarquement était mise a rude épreuve; La porte ayant était perdut l'ennemis instalerait une solide tête de pont.

[RADIO] On tient au maximum mais au premier risque de fuite de l'énnemis entrez le code de l'autodestruction. Nous somme la derniere chance pour la terre! [/RADIO]

"Il me faut Turner! Ont doit faire tenir cette base!"

*esperon que Turner ait encore d'assez bon contacte avec le NID, si c'est une invasion on ne devrait pas tarder a voire apparaitre des vaisseau mére dans le ciel térrestre...*

Tout n'était que feu et sang. les coprs jaffa s'entassaient, les douilles roulaient sur le sol. La mitraileuese et les m16 sur chauffait. Mon spas commençait a rencontrer des difficultés. Ca commençait vraiment a sentir mauvais, de plus les munitions n'allait pas tarder a manquer.

-[Radio: Boba ? Le Lieutenant Olorin a besoin d'aide en salle de contrôle, tu décampe tes petites défenses, le Colonel O'neill aura assez de bleus pour assurer la défense, en attendant, tu protège coude que coude le Lieutenant, c'est le seul à pouvoir faire marcher l'Iris pour le moment, tu as douze hommes, partages les groupes en deux ou trois pour couvrir la zone, je ne veux pas te voir sur un brancard!]

[radio:: Ok sloty, je décroche ! Evacuation dans les règles. T'inquiète pas pour moi !]

Le moment était un peu mal choisit pour décamper, les jaffas allaient au casse pipe continuellement. Une évacuation dans les règles était vraiment nécessaire.

Ok boys ! On se casse ! la browning en premier et tu assure un feu de couverture pour les m16 !

Celle -ci s'executa et se replia 10 mètre plus loin dérrière une porte blindée. Elle se mit en place et attendit.

Aller les gars on y va !

Je balançais une grenade et nous nous repliâmes le long des murs. La bnrowning crachait pour nous couvrir. Les jaffas avait encore du mal a progresser mais pas pour longtemps. Puis je me rendit compte que j'avais fait une énorme boulette.

Merde !

Je tapotai l'épaule du soldat qui était devant moi et celui -ci se retourna.


Caporal ! je vais chercher nos 6 autres gars qui sont dans le couloirs de gauche. Vous vérouillez la porte blindée avec votre pass.

-Bien capitaine !

Je fit demi tour, des tirs énergétiques me rasant la barbe, et je me mis a courir vers le couloir de gauche. Une fois dedans je pouvais entendre que ça canardait dur l bas mais ça semblait se rapprocher. effectivement, je vis 4 soldat, 3 m16 et la browning reculer. Il ne m'avait pas attendu. Le mitrailleur me vit et se retourna vers moi.

-"Désolé capitaine, ils étaient trop nombreux !"

Flash, un tir de plasma l'atteignit à l'épaule gauche. Aussitot, je mis mon spas en bandouillère, je soutenais le soldat et je pris sa mitrailleuse pour foncer vers la porte blindée du couloir. Bien que la charge était lourde, il fallait le faire. Une fois arrivé a la porte blindée, je me retournais vers nos assailant pour riposter. Je tirais quelques slaves dans le tas avec la mitrailleuse. Son poids s'envolait, mais le recul t'atterissait sur la gueule. Puis je fermais la porte blindée, en entendant des tirs énergétiques s'écrasés contre elle.

Soldats, emmenez votre camarade a l'infirmerie et mettez vous a disposition du colonel o'neill, vous n'etes plus sous mes ordres.

-Bien capitaine.

Je leur rendit la mitrailleuse, j'empoignais mon spas, je fis jouer la pompe et je partis en courant a la salle de controle.

Quand les derniers hommes furent évacués de la salle d’embarquement et des couloirs adjacents, la construction improvisée des barricades par les groupes de civils était achevée. Dans tout le niveau, dans tous les détours de couloirs, étaient positionnées des unités d’hommes, militaires et civils, gardant une position précise afin d’avoir la main sur toutes les issues possibles. Il ne fallait pas qu’un groupe de défenseurs se fasse prendre par plusieurs côtés à la fois et dans les seconds couloirs menant à la salle d’embarquement, tout le monde attendait l’arrivée des jaffas avec beaucoup de colère et avec l’envie de se battre ! L’inévitable était proche, Jack le sentait. Il n’avait eu aucune nouvelle des secours, ni de qui que se soit d’ailleurs. Où était Nyphus ? Turner ? Et où étaient les fiers patriotes américains ? Il y avait des marines certes, mais pas assez pour défendre tous les couloirs et O’Neill avait du prendre sous sa main pratiquement la totalité des civils qui campaient dans cette base depuis deux semaines. Il allait défendre le SGC avec « ça » ? Il n’avait pas le choix, c’était son objectif pendant que ses collègues officiers trouvaient un moyen de foutre ces serpents dehors. Jack avait encouragé ces scientifiques, ces archéologues et ces balayeurs… Mais ça n’en restait pas moins des hommes qui manquaient d’expérience. Aucun d’eux n’avait participé à une bataille comme celle-ci et la bavure pouvait arriver à n’importe quel moment. Mais ils n’avaient pas le choix… C’était bel et bien un acte de guerre de la part des Goa’ulds et il fallait agir avec les moyens que disposait le bord.


"Lieutenant, rapport !"

"Tous les hommes sont prêt mon Colonel."

Les tirs étaient devenus moins fréquents depuis cinq minutes, depuis la destruction des portes blindées donnant accès à la salle d’embarquement. Ils n’avaient pas idée du nombre restant d’ennemis, les caméras de surveillance étant détruites… Les cris des Jaffas se faisaient entendre de plus en plus et ces derniers devaient se douter que les humains de la Tauri les attendaient dans les couloirs. Un dernier regard vers le Lieutenant Fisk et les hommes qui faisaient parti du premier groupe de défenseurs. Un mixte de civil et de militaire. Le Colonel O’Neill passa un coup d’œil par-dessus les tables et les chaises qui lui servait de protection. D’un moment à l’autre, le carnage pouvait commencer...
Un signe de la main de Fisk, à sa droite. Ca y est, les ennemis allaient lancer leur assaut. Ils pouvaient apercevoir les silhouettes des jaffas sur le mur d’en face et Jack se tourna vers deux Marines. Il fallait les prendre par surprise et il comptait bien leur envoyer un tas de grande vers leur position. Un de ses doigts se déplia vers le haut, un deuxième puis un troisième… Les militaires s’emparèrent d’une grenade et chacun leur tour, ils les envoyèrent chez l’ennemi. Les messagers de la mort rebondirent contre le mur et d’horribles cris de douleurs suivirent les multiples explosions. La bataille avait commencé...

"Tirez !! "

La voix du Colonel avait résonné dans le couloir comme la voix d’un arbitre autorisant le début d’un féroce duel. Les Jaffas s’étaient déjà mis à découvert pour recevoir la pluie de projectiles qui les attendait, tels des kamikazes croyant rejoindre après cela une quelconque vie éternelle. Les Mp5, les P90, les M4 et toutes autres armes de points s’opposaient à la puissance des lances jaffas. O’Neill était habité par une furie qui le rongeait depuis bien longtemps. Jamais il n’aurait pensé ravoir l’occasion de descendre un serpent. Son beretta, bien que peu utile ici, accompagnait les tirs des défenseurs. L’éclat des balles sur les armures des Jaffas illuminait l’endroit occupait. Les tirs ennemis s’écrasaient contre les barricades qui tenaient bon. Les confrontations durèrent de longues minutes et les Jaffas décidèrent de rester derrière un minimum de couvert, ne risquant plus les charges inutiles et les actions héroïques qui les avaient conduis pour le moment jusqu’à une mort rapide. Seules leurs armes dépassaient de derrière les murs, crachant leurs décharges vers les positions ennemies. Une des barricades fut percée par l’un des tirs et un des Marines fut grièvement touché à la hanche par plusieurs shrapnels aiguisés. Des appels aux médecins furent lancés et O’Neill lui conseilla de ne pas bouger. Il ramassa le P90 du jeune militaire et tira des rafales bien placées sur un Jaffa qui avait désespérément tenté une percée. Les tirs s’échangèrent pendant un bout de temps et tout le monde allait manquer de munition. Quand ce moment viendra, un deuxième groupe à l’arrière serait prêt à les remplacer.

*Les Goa’ulds ont prévu de sacrifier tous leurs Jaffas… Ca ne me dérange pas !*

Jack était une des dernières personnes à risquer d’être à couvert derrière une barricade, qui pouvait facilement céder aux tirs des lances jaffas. Un Marines était allongé à ses côtés, de la fumée s’échappant de son crâne, signe d’un impact récent, mortel pour ce jeune militaire.
Les humains devaient souvent recharger leurs armes et leurs ennemis profitaient à chaque fois du répit qui leur était accordé pour charger vers les défenseurs. Pendant six fois, ils les avaient repoussé mais à la septième fois tout fut différent. Des tirs chanceux avaient abattu un autre Marines et un scientifique, postés sur le flanc droit du Colonel.


" On est débordé !! "

*Quoi ? Qui a dit ça ??!*

"On va tenir bordel !!"

Les tirs ennemis avaient soudainement doublé et les serpents allaient sûrement profiter de la situation pour avancer le plus loin possible, tuant les humains qu’ils trouveraient. Le Colonel voulut riposter mais il était coincé derrière son couvert qui étrangement tenait bon ! Il n’avait plus de munition pour son P90 et avait qu’un 9mm dans sa main. Il essaya d’analyser la situation et vit un des derniers Marines de son groupe fauché par un tir ennemi alors qu’il tentait de rejoindre un couvert plus résistant que les tables et les chaises empilées par-ci par-là. Cinq civils étaient sur son flanc gauche et créait un léger tir de barrage. L’un d’eux, un barbu maigrichon aux cheveux longs l’interpella en lui faisant de grands gestes.

" Ne bougez pas Colonel !! On vient vous aider ! " Cria celui-ci.

"Non ! Restez là !"

Les projectiles s’écrasaient un peu partout autour de Jack. L’un d’eux avait même failli désintégrer son oreille et il avait pu sentir la chaleur de la mort sur son visage.

"Ne bougez pas !"

Il ne s’entendait même plus parler. Les explosions ne cessaient de déverser la mort, accompagnées des tirs de tireurs isolés d’un coin à l’autre. Si O’Neill bougeait il était sur de recevoir quelque chose en pleine gueule. Il ne pouvait pas compter sur les civils ou même sur le Lieutenant Fisk pour le couvrir. Il devait y avoir un bon nombre de Jaffas en face d’eux et quiconque sortait de son couvert était une cible facile.
La mort guettait le couloir… Une dizaine d’ennemis avaient été envoyé en enfer. La folie des combats était incessante et c’était dur de garder un tel rythme. D’autres personnes venant des autres couloirs avaient débarqué en renfort mais la situation ne s’arrangeait pas. La peur gagna certaines personnes, ne pouvant plus bouger un seul muscle derrière un précieux couvert. Jack ne voulaient pas rester là encore plus longtemps mais hésitait à courir au suicide. Son regard balaya les positions alentours, à la recherche d’un miracle... Mais il ne vit que des morts. Des personnes au regard sans vie jonchés le sol, se vidant de leur sang… Cette situation lui rappela des souvenirs. Quelque chose de déjà vécu…



********************************************************


Allemagne de l’Est, 1982
Objectif : Capturer un agent Russe, coupable de crime contre l’humanité.



« O’Neill, Kawalsky, vous restez là ! »

« Il faut aider Johnson mon Colonel ! » Répliqua Kawalsky.

Les tirs du fusil automatique avaient cessé après que l’équipe ait essayé d’entrer dans le bâtiment. Le Lieutenant Johnson avait été la cible de tireur isolé et s’était écroulé à terre, plusieurs balles ayant traversées son corps de part et d’autre. Il gisait sans vie au milieu de la place et le reste de l’équipe s’était remis à couvert. O’Neill était là, au côté de Kawalsky, caché derrière une haie de buisson, cherchant un moyen pour délocaliser ce foutu sniper. L’officier supérieur du groupe était quant à lui caché par l’épaisseur d’un arbre. Jack voulait sortir avec Kawalsky mais son supérieur lui interdit se sortir de son couvert.

« Vous restez là ! C’est moi qui sors ! »

« Le sniper est quelque part là haut mon Colonel, Charles et moi on peut arriver à créer une diversion ! » Cria Jack, espérant convaincre son chef.

« Non, vous ne bougez pas ! »

« Mais... »

Le Lieutenant O’Neill ne put finir sa phrase que le Colonel était déjà parti vers l’entrée de la maison à grande allure. Ce fou avait sous-estimé la capacité de réaction de son adversaire et les tirs du sniper, posté sur le toit, le touchèrent à maintes reprises. Jack courut immédiatement sans réfléchir vers lui, couvert par les tirs de Kawalsky. Il tendit son bras vers le corps et le traîna derrière un arbre. Une nouvelle balle vint se figer dans le dos de l’officier supérieur avant que celui-ci ne disparaisse de la ligne de mire du sniper.

« John ! »

Aucune réponse. Jack vit s’échapper le dernier soupir du Colonel. Les yeux de celui-ci fixaient vaguement le ciel et le sang coulait abondamment de ses blessures... C’était fini pour lui comme pour bien d’autre...


********************************************************



"Colonel ! Restez là on arrive !"

Jack fut arraché de ses souvenirs et tourna son regard vers les civils. Ils se battaient ardemment et l’un d’eux essayait de rejoindre le Colonel.

"Restez là c’est un ordre !"

Un tir de lance jaffa explosa tout prêt de lui, résonnant à l’intérieur de sa tête. Il était rempli de haine et de colère. Il en avait assez de rester là a attendre que quelqu’un risque sa vie pour la sienne. Il mit alors un nouveau chargeur dans son 9mm et fit signe aux autres de ne pas bouger. Rapidement, O’Neill se leva de son couvert, déterminé à avoir ces serpents en face de lui !

"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!"

*Bande D’ordures !!*


"YAHHHHHHHHHHHHHHHHHH !"

La folie s’empara de lui et ses ennemis furent surpris d’une telle apparition. Le Colonel était en plein milieu de couloir et déversait sa colère sur les Jaffas. Ces derniers étaient plus proches qu’il ne le pensait à ses premiers tirs furent efficace, abattant les serpents les plus proches d’une balle dans la tête. Il tirait à ne plus s’en arrêter, seul le manque de munition allait lui faire défaut. Il criait de haine, commençant à tirer n’importe comment. Tôt ou tard l’un des Jaffas reprendrait ses esprits et allait mettre fin au Colonel. Ce dernier était complètement à découvert et défiait les serpents sans prendre le temps de se remettre à l’abri. Son arme était vide de toute munition mais ce n’était pas pour autant qu’il arrêtait d’hurler sa colère. Il attendait la mort, qui se faisait longue et désirante.
Puis une grenade vola soudainement dans les airs pour atterrir en plein milieu du régiment ennemi. L’explosion fit renverser Jack par terre, surpris d’être toujours en vie.

"Mais qu’est-ce que..."

Un homme vint l’aider à se relever pendant que d’autres avaient repris le contrôle total du couloir. Cet homme était un scientifique et il venait de lui sauver la vie avec cette grenade... Les jaffas survivants avaient reculé après ce lancer bien placé qui leur avait fait de nombreuses pertes.

"Merci... " Dit O’Neill à ce jeune civil, apparemment heureux d’avoir tué autant de serpents.


" Reformez les rangs, on doit tenir ! "

Le Colonel prit son 9mm qu’il avait lâché par terre et le rechargea. Mais quelque chose lui procurait une affreuse douleur à la jambe. Un bout de métal était planté dans son genou, probablement due à l’explosion. Il boitait mais pouvait toujours combattre. Il ne comptait pas retourner en dernière ligne juste pour cette petite blessure, bien que ça lui fasse mal. Des renforts arrivèrent pour renforcer ce couloir. Ils avaient subi de nombreuses pertes mais Jack était toujours en vie grâce à ce brave scientifique... Il avait donc l’intention d’en profiter et de tuer bien d’autre Jaffas encore !
Adossé contre le mur, il se laissa tomber sur le sol, attendant de retrouver ses esprits avant la prochaine attaque ennemie. La mort n’était pas passée très loin cette fois...

*Saleté de mer... !* Marmonna le Colonel sous la douleur, tentant de retirer ce shrapnel de son genou...

Jason s’avança prudemment dans les longs couloirs menant à la salle d’embarquement. Shakalaska lui avait dit que Nyphus le cherchait, sûrement pour le NID.
Il était le seul membre du SGC à être revenu vivant du NID et cela lui avait causé pas mal de souci autrefois, aussi bien du SGC que du NID lui-même. Il a appris à surveiller ses arrières et à ne jamais vouer une entière confiance en quelqu’un…
Nyphus l’a toujours soupçonné d’être un espion du NID, de livrer les informations récoltées par le SGC à ses anciens alliés, de trahir ses amis…
Il se retourna vers Paul et dit :

« Lieutenant, vous devrez soit aller aider Bastien si il n’a pas de soutien, ou Jack afin de repousser l’armée Jaffas. Tel que je le connais, il à dû choper pas mal de soldats afin de l’appuyer dans la résistance du SGC en attendant les secours. Compris ? Moi je pense que je vais rester avec Nyphus ou bien j’irais de mon côté si… *… si je dois contacter le NID* » termina t-il dans ses pensées.

Il continua son ascension vers Nyphus tandis que devant lui un groupe de soldats couraient dans leur direction. Jason pris fermement son P-90 et les arrêta. Ils étaient tous blessé sauf le meneur, un jeune caporal que Jason connaissait de vue.

« Que s’est il passé Caporal ? » demanda Jason.
- Des Jaffas nous ont attaqués mon colonel. Ils étaient une vingtaine, j’ai perdu trois hommes dans la bataille.
« Ou sont ils maintenant ? Par ou sont ils allés ? »
- Ils.. je les ai entendu mon colonel… ils cherchent à sortir de la base… ils ont envoyés une flotte qui ne devrait plus tarder… ils vont nous bombarder depuis l’espace mon colonel.

Jason le fixa, le regard horrifié, perdu dans ses pensées…

« Allez à l’infirmerie, apparemment ils n’en sont pas encore à ce niveau Caporal. Soignez vous en vitesse et sortez d’ici. Je vais prévenir Nyphus. Vous savez ou il est ?»
- Oui mon colonel, il est dans le couloir menant à la salle d’embarquement, troisième aile, section B.

Jason repartit rapidement, ouvrant la marche, ses hommes lui emboîtant le pas, il cherchait Nyphus…
Il se dirigea vers la troisième aile du couloir de la salle d’embarquement, section B de la base… alors il le vit enfin. Nyphus était là, donnant des ordres à certains, parlant à d’autres… Jason s’en approcha rapidement.

« Nyphus ! Nyphus… que.. vous vouliez me voir ? » dit il en le regardant.

Nyphus lacher ses dernier ordres au hasard des tirs. La réactivité de la base laissait a désirer mais au moins l'ennemis était engluer dans des combats interminable pour lui. A quelques metres de lui dans un coude du couloir quatre marines et un cuistot rendait tir sur tir a une dizaine de jaffas. Des infirmieres, les dernieres en poste sur la base faisait des aller et retours, emportant soit des munition soit des blesser. Sur une carte le colonel avait tracer les zones de controle a ses coté une jeune femme arme en main semblait gardait un oeil sur les combats se jouant non loins de la. Un sergent arriva essouffler pour donner les indication a son superieur. Le secteur 6 était tomber et les jaffas avait fait une percer jusque dans le secteur 15. La une brigade du colonel O'neill les avaient stopper. Il n'avait plus de réponse de Boba, Olorin et Mench. Sur l'écran a sa gauche etait iluminer une carte tactique de l'emsemble de la base. Des renfort semblait devoirs arriver dans peut de temps. Le regard sombre il se tourna vers le sergent.

"Ecoute moi bien mon garçon! Prend 5 homme et tu passe par le 5éme couloir pour les prendre de flanc. La brigade 7 devrait faire une pousser en meme temps. On doit reprendre les secteur 15 à 9 rapidement! Bonne chance."

Le sergent la peur au ventre se figea dans un salut avant de repartir. L'oreillette de Nyphus grésilla quand un nom de code raisonna.

[Radio] Pie devient gros matou amateur de péroquet rouge! Si tu veus pas que je te bouffe arrange toi pour préparrer la Boum du siecle. Signal d'attaque: Punition. [/Radio]

Son nom fut répéter plusieur fois et il crut a une autre comunication radio. Mais non il s'agissait du colonel Turner. Nyphus se leva alors arme au flanc et sourire forcer au lévres. Depuis que Jason Turner les avait trahit pour le NID il n'avait plus aucune confiance en cette homme qu'il avait autrefois admirer. A croire que cette trahison avait tout rompus et il se trouvait presque en face d'un étranger.

"Turner, vous avez de bonne relation qui connaissent la menacent. Je veut que vous remontiez a la surface pour faire une demande de mobilisation de l'arme nucleair. Vos petit copain du NID en son sans doute capable. Une flotte ne devrait pas tarder à arriver. On ne peut pas se permettre de perdre. Quand vous redéscendrez menez donc un second groupe de secours. Je compte sur vous!"

Cet "ordre" était sans appel tout comme la situation plus que critique. Et encore, un missil nucleaire avait de forte chance d'être détruit avant d'atteindre sa cible. Il leva les yeux en signe d'imploration. Demandant presque une intervention divine. Mais derriere lui ce ne fut pas le cas. Une sphere métalique roula avant "d'éxploser" projetant les défenseur contre le mur. Il se precipita dans le boyaux laissant sa haine s'exprimer alors au son du stacato de son arme. Laissant les douilles ponctuer chaque mort de leurs tintement crystalin. Les déflagration iluminérent son visage durant ce court moment puis il se replia.

"Aurélie on lache la zone! Prend les carte et le PC!"

Une nouvelle raffale et les premiers jaffas qui tournaient dans le couloir tombérent. La situation n'était plus vraiment sous controle et les deux couloir d'accé a la porte venait d'être perdut devant le flot d'assaillant.

[Radio] Accés a la porte perdut replis sur position secondaire. Plus de liaison avec la salle de control! [/Radio]

Il diparut au côté de sa belle suivit de pret par les tir énnemis.

[SITUATION]
Les deux couloirs d'accé a la porte son perdut.
La salle de controle risque de subir un assaut dans peut de temps.
Jaz doit remonté a la surface pour faire sa demande et ramenner un second groupe de secour.
Olorin et Boba doivent mettre leurs plan a execution.
Mench doit rameners son cul en a ce niveau pour contenir l'atttaque avec les premier renfort.
Jack doit faire une chtite poussée pour permettre a Boba et Olorin de s'en sortir.

Aurélie écouta les paroles échanger entre les deux Colonels. Elle fixa Turner quelques instants.

* J’espère vraiment que celui ci saura se démerder…*

D’un côté, il est vrai que d’avoir des contacts un peu partout avait du bon. La preuve, elle avait contacté le Pentagone avec une ancienne connaissance quand elle travaillait encore à la CIA et une équipe de secours était déjà probablement en route, ou même déjà dans la base à l’heure qu’il était. Mais un bruit sourd et inattendu lui fit perdre ce contact visuel. La jeune femme fut projeter contre le mur et elle ressentit une violent douleur à l’épaule quand celle-ci toucha de plein fouet la cloison. La secrétaire, quelque peu sonnée, se maintint l’omoplate, grimaçant de douleur. Elle s'exprima en français sans s'en rendre compte.

« Argh ! Putain ! »

Mais elle n’eut pas vraiment le choix. Son cher et tendre lui ordonna de le suivre. Elle récupéra son flingue, le rangea dans son holster et attrapa à la volée le PC et les cartes qui étaient posées au sol. Elle colla contre elle les précieux objets et n’ayant qu’une main utilisable, elle ne pouvait plus se défendre en cas d’attaque. La jeune femme suivit de près Nyphus, se mordant la lèvre pour dévier la douleur.

(Désolé pour la longueur...)

Jason fixa Nyphus sans dire un mot… plus loin, des soldats tiraient, d’autres cris retentissaient, du sang coulait sur le sol en pierre de la base…
Jason ouvrit la bouche pour parler, mais aucun son n’en sortit. Il se retourna lentement, Paul et les autres étaient partis. Il réussi finalement à sortir un son de sa bouche…

« Je.. j’espère que lorsque je reviendrais, vous aurez meilleure estime de moi. »

Puis, n’ajoutant rien, il se mit à courir, P-90 fermement empoigné, paré à toute éventualité.
Il bifurqua entre plusieurs couloir, monta des dizaines d’escaliers, neutralisant quelques Jaffas tout seul ou à deux, puis arriva devant le conduit menant à la surface… Les jaffas n’avaient pas encore atteint cet endroit. En revenant, Jason et l’équipe de secours devraient le condamner afin qu’aucun des assaillant ne puisse sortir.
Alors, lentement il ouvrit la porte, puis commença à monter de marches en marches, voyant bientôt le bout du tunnel…

[Very désolé pour la longueur du post, mais pour remonter à la surface je vais pas raconter ma vie xD]

Tout s'accélérer et s'emporter dans une tempette infernal de tir et de mort. Nyphus tentait de reprendre le dessus de la situation mais il s'emblait presque impossible de pouvoir les repousser/ JAson voulait une meilleur estime de lui, et bien si jamais ils s'en sortirait il lui payerait un verre a Colorado Spring! A ses coté Aurélie venait de toucher le murs a moitier souffler et cela lui galca le sang. Il comprenait combien c'était dure d'être impartial quand celle que l'on aime se trouve a vos coté. Il se precipita donc pour la soutenir avec douceur.

"Ne me lache pas toi!"'

Il plongea son regard dans celuis de cet ange blessé qui batait de l'aile au ritme de ses batement de coeur. Au vue de son états elle n'aurait pas du être là! elle aurait du rester a la surfasse et trouver le moyen de sauver sa peau. Il allait reculer quand une main ferme attrapa son épaule. Il se retourna brusquement pour couvrire Aurélie de tous danger. Mais il s'agissait de Mench et de quelques un de ses acolytes.

"Du temps? Autant que tu peux vieux frére. On doit contre attaquer dans quelques minutes..."

Il se redressa un peu et lacha son arme qui tomba sur le sol dans un son sec d'acier. Sa main liberer vint entourer le torse de la jeune femme qui souffrait.

"Major... Si il m'arrivait quelques choses... Enfin Oslote est en position pour la contre attaque. Nom de code: Punition."

Il détourna son visage honteux de déserter le plus fort des combat pour devoir commander rapidement un elan de contre attaque. Et surtout en quelques par il était rongé par le fait de savoir celle qu'il aimé en danger.

"Je me retire au niveau 26... Au moment venue je serait de retour... Tue les tous... Tue les un par un..."