Fanfiction qui me tiens vraiment a coeur et cela fait un moment que je voulais l'ecrire et j'ai enfin commencer voici le prologue






« Voila avec ceci votre mal de dos s’évanouira très chère »

« Merci à vous, je n’ai pas d’argent… »

La pauvre femme baissa la tête et reposa la fiole sur la table en bois, une main se posa sur les épaules de la femme.

« L’argent n’a pas d’importance votre santé avant tout, je ne vous demande pas d’argent reposez vous, ne faite pas trop d’effort et buvez une petite gorgée toute les 3 heures »

La femme la remercia en lui baisant la main et s’en alla par la petite porte, une fois celle-ci fermé, l’autre femme, se leva de sa chaise et alla devant une glace sale, très sale, et abaissa sa cagoule. Dans le miroir on pouvait voir une femme qui avait aux environ de 25/30 ans, elle avait de yeux marrons et des cheveux bruns qui lui tombait aux épaules, des épaules assez large a vrai dire, une longue robe rouge sang couvrait le corp de la femme, la robe était poussiéreuse, et comme toute les robes de l’époque elle laissa apparaitre la forme de la poitrine. Un collier autour du cou, des jambes ni trop épaisse ni trop fines, une peau légèrement bronzée, dans le miroir les lèvres de la femme s’étirèrent en un sourire radieux.

Cette nuit la, elle rêva…Pas n’importe quel rêve, un bucher, des flammes, une foule en colère qui criait : Sorcière ! Un Monarque qui donna l’ordre, des cries de douleurs, des femmes qui se faisaient brûler vive devant une foule de paysan, et parmi eux une personne encagoulé qui ne disait rien, qui ne bougeait pas, regardant la scène, le regard camouflé se tourna vers le Monarque et a ses côtés une femme qui se tenait le dos un grand sourire aux lèvres, elle parlait au Roi et sans gêne donnant des explications. La Femme s’éveilla la respiration haletante, une main sur le cœur, sa tête la faisait souffrir, elle se leva et pris sa veste et sortit dehors d’un pas rapide se dirigeant vers la grande place et là elle vit une foule incomptable, essayant du mieux qu’elle pouvait elle se faufila et vit alors le conseiller du Roi sur une estrade en bois, un parchemin a la main, il parlé d’une voix claire et la jeune femme ne put entendre que ceci :

« Parmi nous elles se cachent et grâce a nos espions nous avons pu les trouver une par une ce soir elles retourneront d’où elles viennent…Les flammes de l’enfer vont les accueillir comme il se doit. Que l’on emmène les Sorcières aux Buchers et que justice soit faite ! »

La jeune femme aperçut les gardes ouvrir une grande cage ou des femmes en sortirent ainsi que des petites filles, complètement apeuré, en larme, les habits déchiré et crasseux, certaines se débâté d’autre pouvaient a peine marcher, leurs visage ensanglanté et mélangé a de la boue. Une fois sur l’estrade de bois, elles furent toute ligotées.

« Qu’on les brulent »

Ce furent les mots du roi, des mots fatidiques, les soldats munies de torches mirent feu aux bois et a la paille et voila qu’une odeur de chair brulé se dégagea dans l’atmosphère et pendant la crémation le roi parla et essaya de couvrir les cries de douleurs des femmes.

« Il reste une Sorcière dans mon Royaume et nous savons ou elle vit, nous allons la cherché, la torturé et elle sera brulé vive a Midi »

La porte de bois claqua violemment, la jeune femme retira sa cape et la jeta dans les flammes de la cheminée, des larmes couvraient ses joues rougies par la colère et la tristesse de la mort de ses sœurs d’âmes…Voila a quoi comment elles ont étaient remercié pour avoir soignée le peuple de ce Royaume par tout les moyens sans jamais demandé d’argent, trahis par un peuple qu’elles ont aidé, la jeune femme était la dernière survivante oui mais pour combien de temps ? Elle pris un livre caché sous une planche du parquet l’ouvrit, l’ouvrage était poussiéreux et les pages était jaunis par le temps, la jeune femme tourna les pages a la recherche de quelques choses de précis et trouva enfin, son index parcouru la ligne et s’arrêta a un mot, un sourire sournois se dessina sur les lèvres de la jeune femme, elle ferma violement l’ouvrage après avoir arraché la page qu’elle glissa dans son corsaire et a ce moment là, la petite porte en bois s’ouvrit violement des gardes armées entrèrent et cassèrent tout, ils s’avancé vers la jeune femme qui se tenait debout devant eux, son visage était fermé mais le sourire lui était toujours présent, elle ne commis aucun acte de résistance, se laissant trainé avec violence jusqu’au douves du château ou elle se fit torturé. Le lendemain a Midi au moment ou le soleil brule le plus, elle se fit ligoté a un bucher, les pailles et le bois était déjà en place, deux gardes de chaque côtés tenaient des torches enflammés, le roi regardé la jeune femme d’un air satisfait.

« Alors Sorcière as-tu quelque chose à dire avant de mourir ? Car en ce jour c’est la fin de votre règne, vous n’existé plus ! Plus aucune de vous ne pourrira mon bien aimé royaume plus aucune de vous ne pourra empoisonner ce bon peuple de vos satanique paroles et… »

Le roi cessa de parlé, un rire s’élevait et la foule avez cessé d’applaudir leurs bien aimé roi, la « Sorcière » leva la tête un sourire aux lèvres, elle riait et ses cheveux tombé devant son visage

« Ton Bien aimé Royaume ? Pauvre fou ! Ton foutu peuple mourra d’une terrible maladie et nos sataniques paroles comme tu dis ne seront pas là pour guérir sa majesté, et Non très cher Bouseux nous ne disparaitrons pas si facilement, nous allons toute nous réincarné car une Tziganes ne meurt Jamais et la nous nous vengerons »

Alors que la jeune femme se mis a rire et le roi fit un signe de main aux gardes qui mirent le feu et toujours en riant la tzigane brula.