[GE] Annabelle sous la garde de Talker

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Faust s'était dépêché d'emmener annabelle en salle de soin...
Les couloirs étaient long et tortueux, le chemin fastidieux et épuisant et de plus le corp de la jeune femme n'était pas léger non plus mais il continuait de la porter dan ses bras et de lui parler tandis qu'elle semblait s'endormir peu à peu....

"Allez soldat on reste éveillé on est presque arrivé à l'infirmerie ou des gens compétent vont s'occupez de vous alors raccrochez vous à ma voix et tentait de rester conscient!"

Talker repensait à la mise en garde du capitaine et il ne comprenait rien à faire mais il faut dire aussi qu'il n'avait pas eu l'occasion de la suivre depuis le début, et aprés tout le capitaine était un officier supérieur et il savait surement de quoi il parlait...

Alors lorsqu'il arriva en salle de soin et qu'il déposa le "malheureuse victime" et que les medecin insistaient pour qu'il sorte et les laisse travailler en paix, il s'opposa fermement à leur décision et resta tout le long des soins effectués.

Aprés que le personnel médical ait achevé son son office, Jeffrey prit une paire de menotte et à contre coeur attacha la jeune femme au barreau de son lit afin d'être sûr qu'elle ne tenterait pas de s'échapper.

Le sergent prit une chaise, la déposé à un ou deux métres du lit de la jeune femme et s'y assit, attendant le réveil de l'inconnue ou l'arrivé du capitaine mais jusque là, il se chargerait de surveillé rigoureusement la suspecte...

Le doc et ses infirmiéres avaient fait du bon boulot malgrés le fait qu'ils étaient de vrai tête de mûle, heureusement Talker l'était plus qu'eux, quant à la jeune femme elle était hors de danger enfin si elle l'avait été précedemment, elle était inconsciente mais arrivé saine et sauve à bon port.

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Le capitaine. Voila le dernier visage dont elle se souvenait. Ce qui se passa par la suite ??? Elle n'en avait aucune idée. Elle se souvenait vaguement d'une voix l'incitant à garder l'esprit en alerte mais petit à petit, elle perdait le contrôle de son corps. Sa vision se flouttait, la douleur qu'elle ressentait lui submergeait l'esprit et l'empêchait de bien réaliser ce qui se passait autour d'elle. Puis le trou. Elle ne sut même pas si elle avait rêvé ou non. Combien de temps était-elle restée inconsciente ???

Doucement, ses sensations revinrent. Ses doigts commencèrent à bouger, puis sa main. Elle ressentait quelque chose de froid autour de son poignet mais elle ne comprit pas tout de suite ce dont il s'agissait. Où se trouvait-elle ??? Rien qu'en ondulant légèrement le dos, elle comprit qu'elle se trouvait allonger sur quelque chose plus moelleux que le sol ... un lit ??? Plus les secondes passaient et plus cette hypothèse devenait plausible. Sortant très lentement du brouillard, son esprit recommença à refonctionner normalement. Bougeant alors très légèrement les épaules, elle se rendit compte que sa blessure était bandée et son bras immobilisé. Voulant venir se frotter les yeux, elle leva sa main saine. Pourquoi n'arrivait-elle pas à la porter à son visage ??? Son mouvement avait été stoppé en plein élan. Ouvrant avec une grande difficulté, les paupières, elle baissa comme elle put son regard vers sa main et découvrit avec étonnement que la choes froide qu'elle ressentait était en faite des menottes.

Mais pourquoi était-elle attachée ??? Relevant le regard vers le plafond, il lui sembla reconnaitre l'infirmerie. L'air vraiment hagard comme si elle était stone, son regard commença à parcourir la pièce et ils se fixèrent sur un homme assis non loin d'elle. Même si elle le voyait, elle avait du mal à ingérer l'idée de sa présence. C'est pourquoi ses 2 pupilles l'observaient alors que son visage ne changeait en rien d'expression et qu'aucun son ne sortit d'entre ces lèvres. Mais au bout de quelques secondes, elle réussit néanmoins à rassembler ses esprits. Elle eut un rictus de douleur puis essaya de s'humecter les lèvres, ayant légèrement soif.

"Que ... Qui ..."

Bien que toutes les questions qu'elle voulait poser à cette instant, lui trottaient dans la tête, elle n'arrivait pas à les faire sortir. Elle referma alors les yeux, dépitée, et changea la position de son visage. De nouveau, quelques secondes s'écoulèrent et elle rouvrit ses paupières pour fixer le plafond.

"Qui êtes-vous ??? Que s'est-il passé ???"

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Talker était perdu dans ses pensées, il repensait à sa soirée en compagnie de Cassandra Pierson, une jeune femme surprenante, plein de fougue, de charme... tout en tendresse et en finesse...

Il avait envie de la revoir avec impatience, leur prochaine rencontre se ferait certainement dans la salle de tir pour qu'il puisse lui apprendre ce qu'on lui a apprit à faire pendant des années avec une arme et une cible...

Au milieu de ses songes, de ses rêveries fantasque baigné de douceur et d'émotion une voix faible le ramena à la réalité, il regarda dans la piéce mais personne excepté la jeune femme qu'il avait emmené, il se dit alors que ce n'était qu'un son dut à son imagination jusqu'à ce que la même voix se fit entendre à nouveau même cette fois il entendit une phrase compléte et distincte...

La jeune femme sur le lit venait apparement de se réveiller et demandait au sergent qui il était et que s'était-il passé...

Faust se leva, s'approcha du lit du soldat puis se dirigea vers la petite table de nuit pour prendre un verre et le remplir d'eau fraiche qu'il porta à la bouche de l'inconnue...

Elle but une gorgée ou deux avec difficulté, puis sembla repousser le verre attendant une réponse qu'elle n'avait pas reçu, Talker posa alors le verre sur la table puis répondis:

"Je suis le sergent Talker, par un pur hasard on m'a chargé de vous emmené à l'infirmerie, il se trouvait que je passais dans le coin où on vous a retrouvé...

Un capitaine de la base m'a égalment chargé de vous surveiller car vous êtes suspecté d'être responsable des cadavres retrouvé dans les labos...

Donc pour répondre à votre seconde question je suis moins bien placé que vous...

Vous devriez vous reposer, je pense que le capitaine va venir pour vous interrogé en attendant je reste à vos côté pour vous surveiller..."

Puis il retourna tranquillement s'assoir sur sa chaise en prenant au passage un magasine qui trainaît dans la salle, consacré à la chasse et aux grandes étendues du Minnesota qu'il se mit à feuilleté en jetant un coup d'oeil de temps à autre sur la suspecte...

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Tout s'embrouillait dans sont esprit. Elle était consciente mais elle n'arrivait pas à intégrer les informations fournit par son environnement. Rien que le fait d'ouvrir les yeux lui était difficile, comme si son corps lui commandait de se rendormir. Elle entendit alors une chaise légèrement grincer sur le sol puis des pas se repprochant d'elle. Puisqu'elle se trouvait priver de la vue, elle ne faisait confiance qu'à son ouïe. Tiens, de l'eau qui coule ??? Les questions et hypothèses se bousculèrent dans sa tête jusqu'à ce qu'elle ressente le bord du verre contre son verre. L'instinct de porter sa main jusqu'à son visage pour maintenir le verre en place fut violemment brider à cause des menottes. C'est pourquoi elle détourna le visage, après avoir bu un peu d'eau. Toussotant légèrement, elle ouvrit enfin les yeux pour les baisser vers son poignet mis aux arrêts.

Sergent Talker ... Non, cela ne lui disait rien. Mais en même temps, elle n'était pas là depuis longtemps. Suspecte de meurtres si elle comprenait bien alors ??? Pourquoi ??? Elle n'avait rien fait. Les cadavres ??? Elle ne se souvenait que de la fusillade et de l'intense douleur qu'elle éprouva à l'épaule. Elle ne répondit rien alors au sergent. Le capitaine viendrait l'interroger ??? Se réveillant doucement, elle voulut une nouvelle fois porter sa main valide à son visage mais, de nouveau, le geste fut stopper. Même si elle était à la ramasse, le fait de ne pouvoir faire ce qu'elle voulait de sa main commençait légèrement à l'énerver.

Puis d'un coup, un titillement commença dans le creux de sa clavicule ... Elle voulut alors aller gratter sa peau mais ... Ses maudites menottes ! Ondulant légèrement du corps, bougeant les jambes pour faire circuler le sang, elle rouvrit les yeux et fixa le plafond. Peut-être qu'en attendant un peu, la sensation partirait d'elle-même. Seulement, quelques secondes passèrent et le titillement se faisait plus présent. N'ayant trouvé aucune autre solution, elle pencha le visage en direction du sergent.

"Comme je suis bloquée ... Pouvez-vous venir me gratter dans le creux de la clavicule ???"

Elle attendit de voir sa réaction mais une nouvelle fois, sa main se leva et fut arreter dans son mouvement.

"Vous croyez vraiment que c'est indispensable ??? J'arrive même pas à retrouver tous mes esprits alors pour ce qui est de se lever ... Craignez que je ne m'enfuisse ??? Dans mon état ce serait un vrai miracle que de vous mettre hors service ..."

Elle le regardait dans les yeux mais n'arrivait pas très bien à le voir, sa vision restant encore flouttée. Alors dans un coup de colère mal controlé à cause de son état de demi-conscience, elle tira violemment sur son poignait menotté. Seulement, elle fit un mauvais mouvement et se crispa presque immédiatement. Elle avait du tiré sur sa plaie et une douleur violente lui submergea le système nerveux. Sentant alors le bouton d'appel proche de sa main, elle appuya dessus afin de faire venir le médecin de garde. Elle savait qu'elle lui donnerait une dose de morphine. Et si elle était dans le coltard, elle ne pourrait que difficilement répondre aux questions du capitaine qui n'allait surement pas tarder à arriver.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

La jeune inconnue s'agitait, elle sembla se débattre dans son lit luttant contre ses "chaines" qui l'empêchait un certain nombre de mouvements...
Aprés quelque tentative pour apparement se gratter, elle s'adressa à deux reprises au sergent:

"- Comme je suis bloquée ... Pouvez-vous venir me gratter dans le creux de la clavicule ???"

"- Vous croyez vraiment que c'est indispensable ??? J'arrive même pas à retrouver tous mes esprits alors pour ce qui est de se lever ... Craignez que je ne m'enfuisse ??? Dans mon état ce serait un vrai miracle que de vous mettre hors service ..."

Sans lever les yeux de son magasine il répondit à la suspecte:

"Vous n'arrivez pas à retrouver vos esprits, et pourtant vous avez suffisament de conscience pour comprendre que vous avez des menottes, que vous n'êtes pas seul et pour formuler une demande à laquel je réponds négativement...

De plus je ne suis qu'un simple sergent, obligé de vous surveiller surement pour aucune raison alors qu'il pourrait regarder le match des red sox à la télé, considérait ça comme ue douleur et un handicap partagé...

Vous ne pouvez pas bouger, je peux pas voir le match et comme l'a dit le grand philosophe mick Jagger: "On a pas tojour ce qu'on veut dans la vie...", alors prenez votre mal en patience...

La jeune femme insista sur ses menottes, et Talker sentait son regard sur lui, il la regarda furtivement à son tour...

Elle regardait bien dans sa direction mais elle semblait encore dans le vague et semblait également s'être blessé en tirant sur ses menottes, puis elle appuya sur le bouton d'appel d'assistance médical...

C'est alors qu'une infirmiére entra dans la salle mais fut stoppé dans son élant par le bras du sergent qui lui barra amicalement la route...

"Monsieur il faut que je m'occupe de la patiente..."

"Et moi je dois surveiller une possible sérial killer, qui a assassina de sang froid au moins 5 ou 6 personnes dans les labos aujourd'hui, alors tant qu'il n'y a pas la preuve que cette personne soit hors de caue ou qu'elle ne fait un arrêt cardiaque personne ne s'en approchera sans mon approbation..."

"Mais je..."

"Approbation que je tiens directement d'un capitaine de la base qui lui même la tient du Général Hammond, alors svp sortez de cette piéce et fermez la porte derriére vous."

L'infirmiére hésita un moment puis finalement se retourna et tout en sortant répondit calmement et humblement à Talker:

"Bien monsieur..."

La porte se referma et la jeune supposée victime ou coupable se retrouvait seul avec un sergent peu coopératif et indifférnt à la situation...

Arrivé au SGC : 17/09/2006

J'arrive d'un pas rapide dans la salle de soins mais constata qu'il se passait des choses bien étrange ici dans mon infirmerie... Et on ne m'avait pas mise au courant... Une patiente était attaché avec des menottes. Mon sang ne fit qu'un tour et le médecin en moi pris le dessus d'une traite, il était hors de question que l'on traite ma patiente comme ca ! Je rentra presque de force tant les soldats m'empechaient de passer.

- Bon je suis la médecin-chef laissez moi passer !!!! C'est quoi ce bordel ? quelqu'un peu m'expliquer ce qu'il se passe ici ??? J'aimerais soigner une patiente qui a mal la....

Je pris mon air le plus sévert qu'il soit et croisa les bras d'un air très déterminé. Je n'avais pas froid aux yeux et je le montrais clairement je fixais l'homme qui gardait la patiente d'un mauvais oeil et ala l'osculter de plus près Puis les infimières virent me dirent qu'un capitaine voulait interroger plus ou moins la patiente mais ce n'était pas une raison de la traiter comme ca... Quant au Capitaine j'en connaissais bien un.. Je ne souris pas et continua.. Tout en lancant des regards noirs aux hommes qui gardaient la patiente...

- Bon vous saignez, qu'avez vous fait pour défaire vos points, vous n'avez pas du y aller de main morte vous.... Quel est votre nom madame car on n'a pas mis de nom sur votre dossier la ... Bon qui s'est occuper des dossiers ? Je veux le voir et dite lui que ca urge !!!! Grouillez vous restez pas planté la bon sang !!!

[i]Le fait de garder cette patiente dans cet état qui plus ai dans cette posture inconfortable me rendait du'une humeur désagrable et j'étais vraiment en colère qu'on ne m'ai pas appeler non plus... La je voyais que Nyph et moi n'étions pas frère et soeur pour rien ....
(HJ : Petit clin d'oeil au passage mdr Wink

)
- Bon je vais vous donner quelque chose pour calmer la douleur et vous recoudre..

J'alla vers l'armoire et l'ouvra pris des anti-inflamatoires, pris une seringue et d'un pas rapide fis une petite piqûre à la patiente inconnue. Toujours d'un regard noir et sévert je regarda d'un air froid celui qui gardait cette jeune femme...

- Pourquoi on ne ma pa biper bong sang ! C'est moi le médecin -chef du sgc il me semble....

J'étais dans une rage folle bien que je me contenais parlant d'une voix calme et poser. Je croisa les bras et atendit une réponse de l'homme tout en préparant ma suture pour recoudre la jeune militaire.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Talker posa son magazine, se leva et s'approcha de l'infirmiére en chef.

"Je suis le sergent Talker et autant vous prévenir je vais vous parler d'une façon froide et franche mais n'y voyez aucune attaque personnelle...

Vous n'avez pas était prévenu par moi car je ne vous connais pas ainsi que cette jeune femme, on m'a chargé de la surveiller car il est possible qu'elle ait commit de nombreux meurtres.

Elle est attachée et certes dans une position peu enviable mais ce sera le cadet de vos soucis si elle est effectivement coupable des crimes qu'on lui reproche...

Vous feriez bien mieux de vous calmer car je vous garde le meilleur pour la fin si vous voulez bien me suivre à l'extérieur de la piéce, pour qu'on se parle en privé...?"

L'infirmiére en chef était toujour ausi furieuse mais elle sembla accepter une discussion en privé, Talker la suivit jusqu'à la porte la laissa sortir en premiére en tout bon gentleman puis ferma la porte derriére elle et la bloqua avec une chaise enferment Faust et la suspecte seule dans la chambre...

La porte était muni d'une petite vitre, et tout en regardant l'infirmiére qui semblait bouche bée et sur le point d'exploser de rage, le sergent lui dit au travers de la porte:

"Je suis désolé doc mais je ne peux me permettre de risquer de commettre la moindre erreur, mes ordres émanent d'un capitaine qui se trouve hiérarchiquement au-desus de moi et je ne peux désobéir si vous voulez rentrer il faudra donc vous adresser à lui.

En attendant personne ne rentrera, j'ai étudié quelque peu la medecine et je ferais attention à son rythme cardiaque qui pour l'instant est stable, ses plaies ont été soigné lors de son arrivée ce qui prouve que je ne suis pas totalement indifférent à la situation mais sa douleur actuelle pourrait être plus grave et est suportable.

Si son état empire je vous appellerais en attendant bon vent et bonne journée avec tout mon respect bien sûr..."

Talker repartit récupérer son magasine puis s'installa debout dans un coin de la chambre, la seul entrée étant solidement bloqué il était tranquille...

Arrivé au SGC : 17/09/2006

La rage au ventre je me fis sortir de mon infirmerie.. Mais qui était-il pour oser faire cela ?? je n'aimais guère ces manières et je n'avais pas l'intention de me laisser faire... Mon arme était toujours et en permanence dans une de mes poches, et oui un médecin armer c'était rare mais pour moi cette arme était vitale.. Elle m'avait deja sauvé la vie une fois. Le militaire l'avais pas vu et savait encore moins que je savais me battre. Et pour cela j'ai eu un mon professeur. Et le serment d'hypocrate qu'en faisait-il.. Il me le faisait baffouer sans que je n'y puisse rien.. J'étais dans une colère telle que j'en tremblais.. Il allait me le payer quitte à en parler au général hammond puis je dis :

- Dangereuse vous dites et alors ? c'est une patiente comme les autres vous n'avez pas le droit de m'enfermer ici ! J'ai les pleins pouvoir et toutes les acréditations nécessaires.. Vous me prenez pour qui ? Attendez je ferais un rapport en haut lieu...

J'avais dit cela d'un ton détacher mais froid a la fois.. Je pris mon arme et tira trous ou quatre coups de feu. avant prendre mon élan er de défoncer cette fichu porte... Je sortie toujours mon arme en main..Sous la stupéfaction du militaire..

- Alors maintenant, ca suffit ! Vous faites preuve d'insubordination ! Vous ne me respecter pas je suis pourtant le chef de cet infirmerie et le serment d'hypocrate vous en faites quoi ? C'e n'est pas pour faire joli ca !

Grondais-je de rage.. Je devais me faire respecter par cet homme et lui montrais que je ne plaisantais pas..

-Oui eh bien ce capitaine appelez le et on en repalera ! Merde c'est tout d e même mon infirmerie au risque de vous froisser... Appelez le ! Allez y moi je soigne ma patiente, même si ce n'est pas grave elle peux faire une infection et tomber dans le coma c'est ca que vous voulez peut etre ? Apres votre capitaine ne sera plus en mesure de l'interroger.... Donc voila a vous de voir maintenant....

J'étais redevenu calme mais la colère bouillonnait encore dans mes veines. Je le regarda et cette fois alla soigner la patiente en lancant un regard noir au militaire. Je lui administra un cédatif qui la laisserai eveiller et refit les pionts a la jeune femme.

- Ce sedatif est fait pour calmer la douleur et non pour l'endormir je precise tout de même on ne sait jamais.... (siffle)

Puis je me mis face à cet homme attendant que ce soit-disant supérieur arrive, il aurait a faire a moi le médecin chef du SGC ! Mais vu le grade je m'attendais a une personne bien particulière et chere à mes yeux. Si ce n'était pas lui je lui en passerais unefumée ! Et tant pis si j'avais des problèmes, mon étic était en jeu et je faisais tout pour le défendre.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

L'infirmiére en chef défonça la porte elle était fou de rage, Talker était stupéfait qu'on autorise un medcin à porter une arme et d'autant plus surpris qu'elle soir assez cinglé pour tirer dans la porte en risquant de blesser la patiente qu'elle désirait apparement tant sauvé...

Faust se leva, le visage sérieux et grave il se plaça juste en face de la femme à moitié folle qui avait défoncé la porte...

"Vous avez une arme bien, vous vous sentez plus ofrte avec j'imagine...

Alors écoutez moi bien, je trouve que vous êtes une faux cul de premiére, pour une personne qui semble si inquiéte de la santé du soldat qui se trouve dans ce lit vous n'avez pourtant pas hésitez à tirer sur la porte risquant de toucher la malade par erreur car une balle ça ricoche si vous ne le savez pas, alors pour votre serment d'hypocrate vous repasserez!

Et non je n'irais pas chercher ce supérieur car je ne suis pas votre toutou, de plus vous semblez le connaitre bien plus que moi alors pour ça démerdez vous!

C'est peut être votre infirmerie et je suis peut être au bord de l'insubordination mais jusqu'à preuve du contraire c'est une base militaire et ce sont ces même hommes qui ont toute autorité en ces lieux, mes ordres venant du capitaine vous n'avez rien à dire...

Maintenant vous avez le choix soit vous sortez imméfiatement de cette piéce soit vous me collez une balle mais il n'est pas question que la moindre personne entre ici a moins que ce ne soit le capitaine...

Est ce bien clair dos? Vous n'avez qu'a vous venger quand je serais sur votre table d'opération en attendant vous n'avez aucun ordre à me donner, du moins aucun auquel j'obéirais.

Sachez bien que ça me peine d'être aussi froid et dur mais c'est mon travail et je ne changerais pas d'avis et ne reviendrais sur aucun point que je viens de vous énoncer, bien que je vous trouve adorable avec votre petit pistolet et avec votre petit numéro.

C'est votre secteur donc vous connaissez la sortie..."

Arrivé au SGC : 24/05/2007

La douleur qu'elle ressentait en cet instant était presque moins supportable que lorsqu'elle s'était retrouvé dans la pièce du labos. Comme si on s'amusait à la torturer, qu'on avait entrer une lame de couteau dans son épaule et qu'on faisait une sorte de bouillie de sa chair. Et soudain, une infirmière arriva. Elle le regarda alors arriver mais observa son sans décontenance que le sergent la renvoyait. Et il faisait quoi de sa souffrance ??? Relevant le regard vers le plafond, se mordant la lèvre afin de s'empêcher de crier sous le jout de la douleur, Annabel renferma le poig de sa main valide et ferma les yeux. Qu'avait-elle fait pour mériter cela ??? Elle n'avait même pas eu le temps de tirer un coup de feu ... Elle se sentait si stupide de s'être fait avoir ainsi. Et si elle n'avait pas désobéit au sergent, peut-être que les choses se serraient passées autrement ... Dans tous les cas, ce qui était fait, était fait et elle n'y pouvait rien changer.

Tiens, une autre femme. Apparement, le médecin en chef. Annabel essayait de retenir des larmes, son poing toujours crisper, s'enfonçant presque les ongles dans la chair de sa paume, comme pour faire en sorte que son esprit ne se concentre trop sur sa plaie à l'épaule. Tiens, la jeune femme ne semblait pas contente du traitement qui lui était imbue. Elle observa la scène qui se déroula entre le sergent et le médecin chef comme une spectatrice invisible. Son esprit était encore dans le brouillard et elle continuait à mettre du temps pour rassembler toutes ces idées. Mais les 3 coups de feu la firent sortir de son "rêve". Que se passait-il ??? Une autre fusillade ??? L'air hagard, ses yeux parcourant rapidement son champ de vision à la recherche d'informations, elle entendit la voix révoltée de la jeune femme. Puis d'un coup, cette dernière lui apparut devant son regard.

Un sédatif ??? Si son esprit avait pu fonctionner à la normale, Aannabel l'aurait à coup sûr, remercier avec une immense gratitude. Une larme de douleur lui roula néanmoins au coin des yeux mais pour autant, aucun son ne s'était échapper d'entre ces lèvres. Le médecin lui retira son bandage déjà tâcher de son sang et refit ces points de souture. Bien sur, elle n'avait rien sentit lorsque la jeune femme lui avait enfoncé l'aiguille et le fil dans la chair, comparer à la douleur qu'elle ressentait, l'aiguille n'était rien. Elle se retourna alros vers le sergent et il lui semblait qu'elle l'incendiait du regard.

Elle écouta alors d'une oreille distraite la réponse du sergent et elle comprit que, vu le caractère des deus personnes en sa présence, l'altercation ne cesserait pas comme ça. Comme le sergent avait reçu l'ordre de la surveiller, automatiquement, il ne restait plus qu'une seule solution, que le médecin s'en aille. Bougeant alors sa main valide, elle l'a tendit en direction du médecin, l'accrochant à sa manche. Quand cette dernière se retourna vers elle, Annabel lui fit signe de se pencher vers elle.

"Merci, ça va aller maintenant ... Vous voyez bien qu'il n'abandonnera pas alors ... Je vais bien et il me surveille. Je suis sûre que vous avez mieux à faire plutôt que de vous adonner à une joûte orale qui ne mènera à rien. S'il vous plait, laissez-nous. Si j'ai besoin de votre aide, j'appuyerai de nouveau sur le bouton. Merci."

Elle avait parlé d'une vois douce et calme, voire un peu endormie, faisant en sorte que le sergent n'entende pas ou peu ce qu'elle disait à la jeune femme. Elle ne voulait pas qu'il y ait un conflit entre deux personnes par sa faute, par encore. Elle regarda alors dans les yeux la jeune femme, comme pour la convaincre de s'en aller. Puis, comme par miracle, cette dernière fit demi-tour et prit le chemin de la sortie, non sans colère apparente. Elle jeta alors un coup d'oeil au sergent puis détourna immédiatement le regard, penchant son visage à l'opposé de l'homme pour fixer le mur. Elle devait attendre l'interrogatoire ... de toute manière, elle n'avait pas d'autre choix.

Arrivé au SGC : 17/09/2006

J'éccouta avec calme les paroles de la patiente qui se trouvait être Annabel Spence qui voulait que je m'en ailles, mais tant que cette histoire ne serais pas règler il était hors de question que je la laisse avec cette brute de première. J'avais les plus hautes accréditations, et j'étais le médecin-chef. Bref je voulais règler cette histoire. Mais les paroles de ce militaire la mettait dans une rage qu'elle n'avait jamais connue sauf peut etre avec un certain commandant Narah qu'elle avait rencontrer il y'a longtemps..... Elle lui lanca un regard noir lorsqu'il la treta de faux-cul de premiere....Il a vait depasser les bornes.. Il était borné têtu... Et excutait les ordres... Elle songea un instant a son frère, il était haut grader et etait respecter de tous... Je garda les bras croiser. Et dit très calmement a Ananbel :

- Ne vous en faites pas je vais appeler quelqu'un qui devrais mettre les choses au clair d'office. Ne vous inquiétez pas Soldat tout va bien se finir.

Puis je lanca a nouveau un regard noir a ce militaire.... IL m'exaspérait au plus haut point, mon bureau se trouvais juste sur le coter je le voyais et il osait me mettre dehors je garda mon pislet près de moi et m'avanca vers les téléphone qui se trouvait a quelque mettre je le prix et composa le numéro de biper de Nyphus disant qu'il vienne a l'infirmerie rapidement. Je raccrocha pris une chaise et me mis a coter de la patiente et dit au militaire :

- Eh bien je le connais car ca fait longtemps je suis dans cette base donc je connais du monde ! Quand a la sortie, je la connais en effet mais je ne vous ferais pas ce plaisir je resterais en compagnie de ma patiente, vous m'empecher de faire mon travail...

A ce moment précis, un infirmier qui connaissait le nom de ce militaire vint me le dire car je l'avais appeler a cet effet. Il m'expliqua ce qu'il se passait et un sourire me vins aux lèvres :

- Merci d'être venu aussi vite Anderson.... Bien Sergent Talker, Oui je suis bien mieux renseignée que vous.. En même temps c'est mon rôle voyez vous ...

Dis-je d'une voix qui était devenu très calme tout à coup, la colère était encore la cela se voyait dans les yeux, mais la je lui montrais que mes infirmiers et infirmière m'obéissaient et qu'ils avaient beaucoup de repect pour moi et mon travail contrairement a lui .... Je montrais ainsi mon autorité, qui était belle et bien la, je me mis dans un coin du mur ne quittant pas la patiente des yeux...

- Et pour votre gouverne, je n'es pas mis la patiente en danger, je connais mon infirmerie et ou sont placés... En aucun cas je ne remet en question mon serment d'hypocrate. J'aime passionément mon métier Sergent et si il y'a une chose dont j'ai horreur c'est qu'on viennes me donner des ordres dans MON infirmerie.. Ici c'est moi qui commande et personne d'autre... Je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre...

Je parlais toujours avec cette voix calme. je savais qui allait venir dans quelque minutes et j'attendais les bras croisé, Nyph lui saurait que je ne me mélerais pas de leur histoire, mais je voulais juste defendre mon autorité tout simplement... Bien que je devrais le vouvoyer il restait mon frère a cette pensée un sourire me vint. Le médecin-chef Janet Frasier était bel et bien de retour et en pleine forme, je ne pliais jamais devant un officier tel était mon grade et ma fonction également....

Arrivé au SGC : 03/12/2005

Nyphus arque un sourcil quand son biper se mit a vibrer. Etonnait, il l'attrapa lisant rapidement ce qu'il si affichait. Le message était vague mais avec ce remue ménage dans la base il eut un sursaut de frayeur. Rapidement il prit deux garde avec lui et se précipita vers le domaine de sa soeur. Quatre a Quatre il avala les marche tendit qu'un rapport radio lui parvenait aux Oreilles. Le sergent Ryas venait d'être retrouver et mit sous contrôle. Ainsi que les militaire Spence et Kawalski. Que ce passait il dans cette base!

Il croisa un garde qui tenait son arme en regardant le seuil de la porte. Il était figeait par la panique et ne put que balbutier avoir entendue des coups de feu. Sans attendre il ordonna au deux hommes qui le l'accompagnaient de sortir leur armes. Il entra droit dans le couloir pres a voire le pire dans la salle du fond. Sa main frôler la crosse de son arme et il voyait deja sa soeur gisant dans une marre de sang telle Tania.

D'un geste bref il ordonna au deux sentinelle de le dépasser et d'entré dans la salle, ce qu'elle firent avec brio. Janet et Talker furent rapidement mit en respect au moment ou il entra. sa soeur tenait son arme et il l'a prit froidement sans réellement la regarder. Il se tourna ensuite vers Talker. Jaugeant l'individu du regard. Il était campé sur ses position, un bon gaillard. Il s'approcha de lui sans relâcher son regard. A quelques centimètre il se planta devant tendant sa main pour demander l'arme du sergent. Froidement il ne cilla pas attendant que l'autre s'exécute.

D'une voie morne et sans chaleur il s'adressa a sa soeur comme a une parfaite inconnue.

"Faite votre job Frasier et vite!"

Il reprit en suivant.

"Quand a vous sergent vous allez me donner votre arme et m'expliquer ce qu'il se passe. Ce que son ses coups de feu et la raison d'un blesser dans cette infirmerie. Ensuite vous me dirait de qu'elle droit vous priver un prisonnier de ses droit les plus élémentaire..."

Pour que sa soeur soit dans un tel états, la seule raison plausible c'est qu'il ait eut le malheur de l'empêcher de soigner le ou la blessé. Fatiguer par les récent événements il n'avait eut que de brève remonté de la situation sans parvenir à en capte la véritable teneur. Alors il voulait simplement en finir au plus vite avec cette histoire. Le président allait bientôt arrivé et le temps pressait pour remettre de l'ordre? Ce bougre de Freeman avait disparut avec sa fichu mallette de document tous allait donc au plus mal. Il n'avait donc pas vraiment le temps pour se permettre de réglé des conflit de pouvoir entre militaire et civil...

***

Mes amis le temps passe il est désormé 08:00 heure... Air force one vient de se posé et le président va faire son discoure au personnel de la base...

Arrivé au SGC : 13/05/2006

"Mais sans probléme mon commandant."

Talker prit son arme et la tendit au supérieur qui lui faisait face.
Puis il souria et dit de façon trés simple modest les quelques paroles suivante:

"Voici mon arme mais ce n'est pas elle qui à fait ces dégâts à la port, vérifié mon chargeur est plein, si vous voulez la responsable demandez plutôt à Mlle Frasier, c'est ça?

Comme c'est sympathique de porter un badge avec son nom...

Alors le droit qui me permet de priver un prisonnier de soin est trés simple, a son arrivé elle a reçu des soins suffisant, puis toute seul la sois disante victime s'est elle même mutilé en forçant sur les menottes dont je l'ais munie afin d'être certain de sa pleine coopération et d'être sûr qu'elle ne s'enfuirait pas...

Avant cela cette jeune personne me demandait de m'approcher pour lui gratter la clavicule et lui débarrasser d'une soit disant démangégeons génante, je ne suis pas stupide, mon arme se trouve à ma ceinture et en m'approchant il lui suffisait de s'en saisir prenant ceci pour un danger potentiel je me suis moi même permis de refuser tout approche extérieur...

Mieux vaut prévenir que guérir n'est ce pas? C'est pourquoi je ne pouvais me permettre de laisser quiconque s'approcher de la suspecte, mieux vaut être prudent.

Maintenant la raison de tout ce bordel et pardonnez moi l'expression est l'arrivée du docteur Frasier, qui, certe peut être trés compétente dans son domaine mais je le suis également dans le mien, c'est pourquoi tout approche pouvait permettre à cette jeune femme de se saisir d'un éventuel otage ou d'une arme comme une seringue ou je ne sais quoi d'autre...

Mon rôle n'était que d'attendre et de surveiller ce que j'ais fais et faisais jusqu'à ce que cette personne du corp médical vienne se mêler d'une histoire dont elle ne connait pas la couverture et bien que j'ais beau ne pas en connaitre le fond j'ai eu l'occasion de voir 6 corps inerte sur le ol dans l'infirmerie et si il s'averrait que ce soldat en soit la cause je ne pouvais me permettre de lui laisser la moindre possibilité d'évasion, mon... Commandant.

Je dirais donc qu'elle a eu ses droits élémentaire, elle à reçu des soins, n'a pas été torturé et avait le droit de garder le silence, alors maintenant si vous préférez tenir responsable l'humble sergent que je suis d'avoir veiller à suivre des ordre émanant d'un supérieur directe en empêchant un medecin voulant donné des soins supplémentaires inutiles et utilisant une arme pour se faire respecter alors allez y mon commandant et je serais moi même honoré de déposer ma démission sur votre bureau dés demain matin."

Ainsi le sergent avait parlé avec le plus grand respect du à chacun selon lui et avec une franchise indéniable.

Certe il avait refusé certain soin plus luxueux que necessaire pour la prisonniére mais qu'importe, on l'avait déjà dégradé, déshonnoré, expulsé de sa division, détruit sa carriére et sa réputation avant d'arriver au SGC... il n'avait plus rien à perdre...

Faust à présent ce tenait droit devant le commandant qui lui faisait face et dont il ignorait le nom mais pas l'autorité, il le regardait dans les yeux sans haine et sans vanité mais il le regardait dans le blanc des yeux car il n'avait rien à cacher et aucune raison de s'en vouloir...

A aucun moment il n'avait fait usage de la force brute, il a attaché une prisonniére par sureté, a joué de ruse pour faire sortir Frasier de la chambre mais n'avait pas utiliser la force ni la menace...

A présent il attendait patiement le jugement du commandant, décision qui serait sans appel et que Jeffrey accepterait sans la moindre hésitation aprés tout c'était un soldat et lui était son chef, cela lui suffisait..

Sujet: rgostre 15.07.07 21:18

Tandit que je soignais mieux ma patiente, lui refaisant mieux les points et lui donnant un anti-douleur, je remis ma patiente dans une position plus confortable encore. J'étais verte d'entendre ce que cette brute disait a Nyphus... Non seuleument il me discreditais devant le commandant mais en plus devant mon propre frère, la je n'e pouvais plus de le voir... La rage contenue devant mon frère explosa. Je lui avait donner mon arme mais je m'en fichais si il le fallait je le tuerais a main nu... Il faisait tout pour me discredité et ca, ca ne pouvait passer. Je serra les poings très fort, tellement fort que mes mains tremblaient.. Mon regard n'était plus froid mais rempi d'une haine certaine.. IL osait m'accuser enfin pour moi d'avoir blesser la patiente ! La mon sang ne fit qu'un tour je me rapprocha sous les yeux un peu étonner de mon frère qui voyait bien que le militaire avait dépasser les limites avec moi, toujours les poings serrés, je me mis à hurlé :

-Non mais c'est pas vrai ! Je rève ! Vous osez dire ca !!! Votre non respect n'a aucune limite Talker ! Bong sang j'ai été obliger d'utiliser mon arme pour défoncer une porte derrière laquelle vous m'aviez renfermer SERGENT ! Il fallait bien que je trouve un moyen de soigner ma patiente bordel ! Bon sang mon infirmerie n'est pas une prison mais un lieu de soin et de calme !! Vous vous prenez pour qui pour venir qui plus ai sans me prévenir, j'ai les moyens de l'endormir MOI ! C'est MON infirmerie !!! Et puis vos histoires je m'en fiches ! Moi je vois une patiente qui a mal et qui m'a appeler c'est tout ! Ca ne me regarde pas vos histoires mais ce qu'il se passe a l'infirmerie ca me regarde ! J'en suis la chef ! Vous allez pas me reprocheez ca non plus si ?

J'avais hurler sous l'étonnement général, d'habitude moi qui était si calme, la rage était sorti presque au point de lui coller un nion dont il se souviendrais mais je vis le regard de mon frère qui me disait de pas le faire.. Ce genre de regard qui vous ne donne pas envi d'aller plus loin. Je recula et fixa d'un regard noir Talker et d'un regard neutre Nyphus.

- Maintenant c'est à vous de juger Commandant mais pour moi il a vraiment dépasser les limites.. Je ne me mèle pas des histoires ou des missions je défends juste mon lieu de travail qui est un endroit de calme pour les patients et non de garde abusive et sous l'absence de ma surveillance ou celle de mes collègues c'est tout simplement inadmissible... Certes j'ai fait du bruit parce que votre subordonée m'avait renfermer se sentant capable de soigner la patiente seule. IL aurais demander mon aide je lui aurais donner des calmant pour l'endormir et nous avons des sangles pour attacher les patients... C'est d'ailleurs comme ca que j'ai sauver le commandant Carter elle était attacher avec des sangles et non des menottes...

J'avais dit tout cela à mon frère d'un ton neutre et très calme. j'étais passer de la rage au calme en une trentaine de secondes à peine. Plein de souvenir revenaient et c'était assez dur mais je le cachais trtès bien malgrès mon état nerveux...Je regarda Talker durement et attendis la réaction de mon frère qui m'avait déjà dissuader de taper le militaire Talker d'un seul regard... Il savait être convaincant et quelque part cela m'amusait mais je ne broncha pas un instant. Nyphus et Argostre étaient les deux seules personnes à pouvoir me calmer sur cette base en cas de grosse colère de ma part... A une certaines époque Jack aurait rejoint ce groupe.... En pensant à lui je baissa le regard quelque peu et une boule me monta à la gorges doucement, mais sans que je le montre a personne..

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Talker se tourna légérement vers le docteur et lui dit de façon trés simple et sans aucune haine ni colére contrairement à ce medecin:

"Vous vous entendez Mlle Frasier? Vous renfermer? non je vous ais demandé de sortir de la piéce avec moi pour discuter en privé et j'ai refermé la porte derriére vous sans aucune violence, n'ais je pas ce que j'ais dis et n'est ce pas ce qui s'est passé?

Alors calmez vous je vous en prie.

Ensuite pourquoi dite vous: j'ais les moyens de l'endormir MOI? Pourquoi la patiente aurait-elle besoin d'être endormien pourquoi la droguer et risquer ainsi d'altérer sa mémoire car vous le savez bien que ce genre de produit comme l'Aldol qui est un puissant neutralisant et calmant peut avoir des effetes irréversibles sur la mémoire et ce n'est pas dans l'intérêt de l'affaire, car il se trouve qu'elle est l'une des seul témoins de ce qui s'est passé.

Certes cette patiente vous a appelez mais pourquoi ne dite vous pas qu'elle vous a également demandé de partir il y a quelques instant et que ça pouvait aller finalement...

Oui j'ais l'oreille fine malgrés mon manque de respect total apparment et mon anti-conformisme...

Ensuite je n'ais jamais dis que j'étais capable de soigner la patiente seul mais que j'étais en possession d'un diplome de premiers soin et que tant que l'état de cette jeune femme n'empirait pas, il n'était pas necessaire que vous soyez présent vous mettant en danger ainsi que le reste de la base, il suffit d'une personne prit en otage pour empirer la situation.

Je n'ais jamais remis en cause vos compétences, ce que je vous reproche c'est d'intervenir dans une affaire qui ne vous concernait pas à partir du moment où la patient avait déjà été soigné une premiére fois...

Et je regrette de dire cela, mais le narcissisme ainsi que l'abus d'autorité ne vous meneront pas bien loin et ne vous permettrons pas d'obtenir le respect de quiconque, c'est bien beau de vouloir protéger ses patients mais ça l'est encore mieux quand ils en ont besoin...

De plus si, comme vous dite, nos histoire ne vous regarde pas, alors pourquoi êtes vous intervenu dans une chambre sous surveillance avec une personne dont les fonctions vitales étaient normal...

Vous faite tout une histoire pour une simple égratinur qui ne risque pas de s'infester aussi facilement avec le pourcentage de stérilité qu'il y a dans cette piéce...

Votre avis sur moi je m'en fiche, j'assume entiérement mes actes et n'ait absolument rien à me reprocher et au passage je tiens à vous dire que je vous en veux pas mais je ne pouvais me permettre de vous laisser approcher la patiente par simple sécurité..."

Il dit tout cela sans élever une seul fois le ton de sa voix, il n'en voulait pas à Janet pour son attitude c'était plus ou moins légitime mais l'attitude de Faust l'était tout autant, ce qui différenciait maintenant les deux personnages c'est que l'un avait fait usage de la force et d'une arm à feu tandis que l'autre non...

Arrivé au SGC : 03/12/2005

"STOP!"

Hurla le commandant qui en avait plus qu'assez de les entendre que ce soit l'un ou l'autre. Il était deja bien assez enerver au vue de la situation pour qu'une pueril chamallerie vienne l'enerver. Se fut un regard froid, glacial et mauvais qu'il posa sur Janet. Lui intimant l'ordre de s'occuper de sa patiente et de vite se calmer. Quand a Talker ce fut le meme regard qui l'acceuillit. Car c'est bien d'un manque de psycologie qu'il avait fait preuve en titillant le docteur Frasier de facon extrement efficasse. Il leva la main et la posa sur la poitrine de Talker murmurant presque.

"L'individue blesser a reclammer des soins qui lui ont etait donnés, seule probleme desinfecter n'enleve pas la douleur et la douleur vous fait perdre la raison. A plus forte dose que pour une telle blessure, les séquelle pouraient être longue au niveau du sisteme nerveux. De plus nous avons un des meilleurs medecin des Etat Unies. Car seul les plus douer peuvent esperer integrer le SGC. Je pense qu'elle est donc elle meme capable de juger de l'etat d'un patient. Si elle juge nessaissaire d'administrer une calmant, elle l'administrera. Je ne pense pas que vous aillez fait medecine?"

Il se retourna en direction de la jeune femme blesser, elle portait sur son uniforme dechiré son nom. Spence... Annabel Spence ce qui en faisait une de moins. il jaugea son etat a l'oeil et en conclut qu'elle n'etait pas réelement en etat de venir attaquer qui que ce soit. Les menote lui avait lacérré le poigner tendis que son autre bras etait imobiliser.

"Frasier! Tu t'occupe d'elle et ensuite tu vire! Talker, j'entend une protestation le temps que je suis encore dans le couloir que je vous vire du sgc a grand coups de ranger! Vous la ferait parler un points c'est tout. "

Il prit la direction de la porte laissant les deux armes confisquer sur une desserte non loin de là. Il etait énerver au plus haut points et ses ordres n'attendais aucune discution. D'un claquement sec des doigt il se fit accompagner des deux garde tendis qu'il se dirigéait en direction des labos quelque etage plus haut...

Les fautes demains Neutral

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Talker n'opposa aucune protestation, il était indifférent à tout ce qui se passait de toute maniére mais maintenant que l'ordre provenait d'un commandant qui du coup prennait toute la responsabilité de ses actes, la suspecte pouvait bien s'échapper ou autre chose il n'en avait que faire...

Le commandant sortit et tandis que Janet s'occupait de sa patiente, Faust prit une chaise dans la salle récupéra son magasine et retourna s'assoir pour le feuilleter, tout en jetant un coup d'oeil de temps à autre pour s'assurer que tout se passait bien...

Il ne fit aucune remarque au docteur Frasier ni de commentaire sur la décision sans appel du supérieur, il se laissait envahir par les photo du magasine montrant de vaste et sublime paysage, Jeffrey voulait tant y être, vagabonder sur ces terres, vivre d'air pur et d'eau fraiche pensa t'il en souriant...

Il jeta un coup d'oeil au poignet du soldat Spence, effectivement il avait peut être un poil exagéré mais jamais il ne le reconnaitrait ou du moins pas maintenant, ayant agit par prudence il ne songeait même pas à regretter ses actions, la seul chose qui le génait certe un peu c'était d'avoir causé des problémes au docteur Frasier bien qu'il ne la connaissait pas et ne comptait pas vraiment faire ami ami avec celle-ci...

Le sergent sentit quelque chose vibrer dans sa poche, il sortit alors son portable, il venait de recevoir les résultats du match qu'il voulait tant voir mais qui était à présent finit, les red sox avait encore perdu, ils s'étaient fait massacrer avec un écart de 23 points...

Il contempla l'écran de son téléphonne et dit à voix basse sans s'en rendre compte:

"Et merde... 40 dollars de perdu..."

Il lacha un soupir puis rangea son appareil et retourna à son magazine, et au milieu de ses songes et de ses rêves il dit à voix plus haute mais sans détourner le regard de son "journal" mais avec sincérité:

"... désolé..."

Arrivé au SGC : 17/09/2006

Je vis ce regard de Nyphus qui m'arrêta net dans mes pensées... J'étais trop comment dire impulsive mais cela faisait parti de moi ce mon caractère à dire vrai je n'avais quasiment pas compris ce qu'avais dit mon frere a ce militaire mais lui aussi semblait s'être calmer. Comme je l'avais dit précédement, les seules personnes a pouvoir me calmer sur cette base était mon frère et Argostre et peut-être bien suzanne que je n'avais pas vu depuis des années.... Mais je me calme très vite sous le regard mauvais et glacial me disant de me calmer et il avait raison ca ne servait à rien de m'énerver au point de vouloir mettre une trempe à l'autre.. Je tourna le dos aux deux hommes quelque peu avant le départ de Nyph et je souffla un grand coup afin de mieux contrôler mon calme. Puis je me retourna un regard beaucoup plus amical et accueillant et sourit :

- Et bien vous m'aurez donner du fil à retordre en tout cas, je suis désoler moi aussi de m'être emportée, je sais que vous faites votre travail, et que vous devez obéir aux ordres desfois j'oublie moi-même que je suis dans une base militaire... Encore désoler...

J'avais presque honte en définitif d'avoir fait appeler mon frère pour cela, ca l'avait énerver et je l'avais bien vu dans son regard. je me tourna et le rouge me monta aaux joues j'avais bel et bien honte du comportement dont j'avais fait preuve....J'aurais aimer faire des excuses a mon fere mais je savais que c"étais trop risque et que l'on soit découvert alors je lui avait lancer un simple regard mais que lui seul pouvait comprend. La compréhension frère et soeur était d'une aide monumental pour se déchiffrer des fois. Puis mon bipeur se mis a sonner et vibrer que se passait-il encore ? Il y'avais une urgence dans la salle d'oération mais avant je mettais a l'aise la patiente et soigna les braceletsde Annabel et sorti en vitesse sans oublier mon arme que je cacha rapidement. j'avais honte et cela c'était vu mais je m'en fichais j'avais fait des excuses et tout était fini. Je me diriga droit vers la salle de chirurgie en courant ce qui me défoula quelque peu.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Faust fut surprit par les excuses donné par Mlle Frasier, mais il considérait que leur deux axcuses combinées vallaient bien une paix entre les deux personnages...

Talker posa son magasine et s'approcha du soldat qui était allongé dans son lit, elle avait effectivement le poignet bien lacéré, Faust décida donc, vu l'état dormant dans lequel elle avait été plongé de lui retirer ces menottes, aprés tout comme l'avait signalé le commandant elle n'était pas en état de se battre...

Faust alla refermer ce qui restait de la porte pour ne pas déranger mlle Spence avec le bruit extérieur à la chambre, et qui aurait put la réveiller, tout ce qu'il restait à fait pour Jeffrey était d'attendre et de ne pas quitter des yeux la suspecte bien qu'il ne pouvait croire que cette personne ait put faire ce massacre mais il n'y était pas présent aprés tout...

Le sergent alla récupérer son arme qu'il remit à sa ceinture, puis il reprit sa chaise se plaça à quelques métres du lit de la victime, les bras croisé et le ergard fixe sur la jeune femme il attendit son réveil pour la faire parler comme l'avait demandé le commandant...

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Que de remus ménage en si peu de temps ... Annabel, n'avait absolument rien suivit de la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux. A cause du sédatif, puis des calmants que lui avait administré la jeune femme, elle était petit à petit retournée dans un état de semi-conscience. Elle savait que de nouvelles personnes étaient arrivées dans la pièce mais de là à dire qui elles étaient et ce qui c'était dit ... Combien de temps elle resta déconnectée de la réalité ??? Ca, elle aurait bien aimé savoir. En tout cas, doucement, comme sortant d'un long sommeil pas vraiment réparateur, Annabel rouvrit les yeux et bougea légèrement le visage de droite à gauche. De nouveau, son réflexe de porter sa main à son visage. Mais cette fois-ci, ces phalanges rentrèrent en contact avec sa pomette.

Puis, elle se souvint qu'auparavent, elle avait le poignet attaché ... et maintenant non ??? Elle avait manqué plus d'un épisode alors. Se grattant alors le creux de la clavicule, elle rouvrit doucement les yeux pour regarder le plafond. Respirant un grand coup, comme si cela allait l'aider à reprendre ces esprits plus vite, elle commença de nouveau à observer son envirronement. C'est ainsi que son regard croisa celui du sergent. Ne réalisant pas vraiment au début qu'il la fixait, sa vision encore flouttée, elle resta elle aussi à l'observer. Au bout de quelques secondes, son esprit intégra l'information et porta sa main valide à son épaule blessé.

"Merci pour les menottes"

Elle détourna alors le regard juste après être quelques secondes à le regarder. Pourquoi la fixait-il ainsi ??? Cela la mettait mal à l'aise quelque part. Puis elle commença à sentir son poignet à force de ballader sa main un peu partout. La levant devant son visage afin de l'observer, elle découvrit le résultat de l'emprise des menottes sur sa chair. Bon, en plus de l'épaule, le poignet ... Il lui restait plus qu'à avoir des équimoses aux jambes maintenant. Bon, qu'allait-il se passer désormais ??? Ah oui, le capitaine devait venir la voir ... Super. Un bon moment à passer en perspective encore.

Arrivé au SGC : 13/05/2006

"J'espére qu'en échange vous ne tenterez rien de... stupide..."

Faust réfléchit un moment, il devait la faire parler mais lui faire dire quoi?

Au bout de quelques instants il dit au soldat, en continuant de la fixer comme pour y déceler un indice, ses pensées, ses intentions ou autres choses...:

"Si vous avez soif il y a de l'eau sur votre table de nuit, j'y ais mis aussi une tablette de chocolat au lait au cas où vous auriez un petit creux, c'est tous que j'ais pus vous trouver..."

Jeffrey ne savait pas quoi lui demander exactrement mais finalement il se décida de commencer par... le commencement...

"Dites moi... soldat Spence... qu'est qu'une charmante jeune femme comme vous faisait prés d'une scéne de crime décomptant 6 cadavres...?"

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Stupide ??? Dans son état ??? Elle n'arrivait même pas à se redresser toute seule alors que pouvait-elle bien faire de stupide ??? Elle n'était pas une super héroïne, loin de là ... Elle ne put alors qu'esquisser un léger sourire avant de regarder une nouvelle fois le plafond. Sans qu'elle le contrôle, ses paupières se refermirent. Puis d'un coup, comme surprise, elle les rouvrit alors que Talker avait repris la parole. De l'eau ??? Non, elle n'avait pas vraiment soif. Une tablette de chocolat ??? Assez surprise d'entendre ça, Annabel essaya de regarder sur sa table de nuit sans pour autant trop forcer sur son épaule dans le mouvement. Ah oui, la tablette était bien là. Drôle d'attention mais attention tout de même. Elle regarda alors le sergent, ne pouvant encore sourire comme elle le voulait mais son regard exprimait largement ce qu'elle aurait aimé lui faire comprendre fasse à son attention originale mais ... touchante.

"Merci ..."

C'est alors qu'il enchaina sur l'interrogatoire. Tiens, ça ne devait pas être le capitaine ??? Comment ça 6 cadavres ??? Elle ne savait pas ça, elle avait été touché avant même qu'elle ne puisse évaluer la situation. Fermant les yeux et venant poser sa main sur ses paupières closes, elle essaya de se remémorrer les évènements.

"Je ... Je ne savais pas ..."

Puis soudain, elle se souvint du Sergent Ryas et de Diane près d'elle. Que leur était-il arrivé ??? Elle rouvrit les yeux alors, ayant le regard fixe et neutre, essayant de rassembler ses idées. Puis, elle tourna ses 2 pupilles vers le sergent.

"Où sont mes compagnons ??? On a été attaqué ... vont-ils bien ???"

Arrivé au SGC : 13/05/2006

Ces compagnons? De qui parlait t'elle?
Elle semblait pas au courant des cadavres découvert dans le labo mais plutot inquiéte et surtout ignorante de tout ce qui s'était passé...
Jeffrey se souvint alors de la jeune femme qui était également présente dans cette fosse et qui avait été emmené en détention...

"Si vous parlez de l'autre jeune femme qui se trouvait avec vous elle semble allait bien mais elle a était conduite en cellule...
A part elle il n'y avait personne d'autre excepté un capitaine et ses soldats..."

Talker reprit:

"Je vais être franc, je ne sais pas ce qui s'est passé, j'étais dans les couloirs l'alarme s'est déclenché dans les labos où je m'étais perdu, je me suis dirigé vers l'origine de l'alerte, j'ai enjambé des cadavres dans les labos avant d'arriver à une fosse d'où repartirent une jeune femme brune sous la surveillance d'un lieutenant je crois, vous vous étiez blessé et sur le carreau, le capitaine m'a demandé de vous surveiller et de vous emmener à l'infirmerie en prenant garde à vous..."

Jeffrey laissa un petit temps à la jeune femme pour pouvoir saisir toutes ces données avant de reprendre:

"Normalement un match, des chips et une bonne biére m'attendait mais bon, le match est terminé, ma biére surement éventé et ça m'étonnerait pas que quelqu'un m'ait piqué mon paquet de chips...

Alors maintenant j'ai du temps, tout le temps de savoir ce qui a du retenir mon attention et nécessitait ma présence alors j'espérais que vous auriez une ou deux infos à me soummettre pour savoir quoi penser sur... votre innocence par exemple...

Alors je vous écoute, si vous n'avez rien fait c'est peut être votre amie...?"

Arrivé au SGC : 24/05/2007

Durant tout le récit du sergent, Annabel était restée à fixer le plafond du regard, pensive. Diane avait été amené en cellule ??? Et le sergent Ryas alors ??? Elle aurait aimé que les choses se passent différement, qu'elle ne désobéisse pas, ainsi à avoir un comportement tellement enfantin ... et qu'elle ne soit pas touchée. Puis soudain, toute l'histoire lui revint à l'esprit. La milice, l'arrivée du président, la bombe ... Ils n'avaient pu arrêter la milice et voilà que le président allait arriver. Elle se retourna alros d'un coup vers le sergent, pour lui dire de faire vite, qu'il fallait arrêter tout ça ... Mais d'un coup, elle s'arrêta dans son élan. Et s'il faisait partit de la milice ??? Elle ne pouvait être sûre de rien ni de personne. Avec un regard inquiet, elle observa la porte d'entrée, comme si elle s'attendait à ce que quelqu'un entre et qu'une autre fusillade n'éclate encore.

Restant fixer la porte quelques secondes, elle détourna enfin le regard pour le poser sur le sergent. Il ne devait rien comprendre à son comportement, et c'était légitime, mais elle était encore endormie à cause des calmants et se rendait peu à peu compte qu'elle n'avait pas toujours des réactions cohérantes. Il fallait qu'elle aille voir Diane ...

"On a été attaqué comme je vous l'ai dit ... Donc si mon amie est en cause, et cela, je n'en sais rien, c'était un cas de légitime défense ... Il faut que je la vois ... "

Elle essaya alors de se relever mais elle ne pensait pas que les calmants l'avait autant mis à plat. Elle se figea alors dans son action, puis doucement se ralongea, laissant échapper un soupir de désespoir.

"C'était juste une mission pour réparer une fuite d'eau ... Si j'avais su que ça en arriverais là ..."

Puis d'un coup, elle se souvint, le président ! Mais pouvait-elle faire confiance à ce sergent ??? Rien ne le lui laissant entendre cela. Le cuisinier aussi avait eu l'air normal ...

"Il faut que je vois Diane ... pouvez-vous m'aider ???"

Arrivé au SGC : 13/05/2006

"Je regrette mais ça dépasse mes compétences et désolé si je vais vous paraître froid mais on m'a chargé de vous surveiller et de vous garder rien de plus, une fois la capitaine arrivé je retournerais à mes occupations...

Mais pourquoi voulez vous voir Cette Diane? Et qu'entendez vous par attaqué, c'est vous normalement qui êtes apparement à l'origine de l'attaque, non?

Et qu'elle mission de réparation de fuite d'eau, je comprends pas, vous vous moquez de moi?"

Talker gardait son calme, il n'était point énervé ni sur le point de l'être et tout son discour resta sur le même ton posé et sérieux...

Mais il se posait des questions, il n'arrivait pas à coller les éléments ensemble, elle n'était surement pas à l'origine des meurtres, Faust en était pratiquement sûr, les yeux du soldat bien qu'encore flou, brillait de sincérité...

En tout cas ce qui était sûr c'est qu'une fois le capitaine de retour, il lui faudrait partir et abandonné tout cette histoire qui, visiblement, le dépassait c'est pourquoi il dit finalement au soldat Spence:

"Et puis non, oubliez ce que j'ais dis, tout ça ne me regarde pas vraiment, et ne me regardera plus une fois le capitaine arrivé en attendant restez calme et reposez vous...

Je tiens aussi à vous dire que... je suis désolé pour les menottes, je ne voulais pas voublesser d'avantage mais mieux vaut être prudent, j'espére que je ne vous accorde pas une faveur que je regretterais par la suite...

Enfin bref..."

Sujet: Re: [GE] Annabelle sous la garde de Talker