| | Mission Epique Atlantis: Passion | |
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Auteur | Message |
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Temperance Brennan ---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 18.07.07 15:56 | |
| Temperance était prete a toute eventualité, se tenant accroupie pour avoir un meilleur point d'appuit pour son Mp7, affichant un air extrememebnt sérieux et concentré sur son objectif...un air qu'elle affichait extremement souvent dans toute sorte de situation...Elle cligna d'un oeil rapidement, puis entendu la voix de Nyphus qui lui ordonnait d'ouvrir le feu... Quelques secondes plustard, le bruit sourd d'une explosion se fit entendre...Le bruit sourd du vaisseau que Nyphus venait d'abbatre grace a son lance roquette...
Elle perdit vaguement quelques sercondes sa concentratino a cause du bouquant, mais a peine elle vit les premiers soldats arriver, elle commenca a tirer par courte rafale de trois balles en direction de ses ennemis en touchant quelques uns a premier tirs...
De nouveau la voix de Nyphus se fit entendre...Et un nouveau conseil de sa part...Il était peut etre inquiet...il n'y avait pass de quoi en fin de comlpte...elle n'allait pas se faire tuer comme ca...Enfin c'est ce qu'elle crotait quand une balle perfora son epaule gauche...Elle cria de douleur...se calma rapidement et recommenca a tirer...mais sans grand succés a présent...Une autre balle se loga dans son torse... Et un nouveau crie fusa...Completer par la chute de Temperance a Terre...crispant son doigt sur la gachette du P90, elle emit une longe rafale qui toucha un soldat a la jambe... La jeune scientifique Gémissait et n'avait plus la force de réellement parler tellement que la douleur était intense...Deux hommes s'approchérent pres d'elle armés et pointérent leurs armes vers la jeune scientifique...Temperance ferma les yeux et poussa son dernier soupir...
Sa derniére seconde fut pleine d'emotion, repensant a ses parents ainsi qu'aux membres de son equipe...Pensant a Nyphus qui aller surement etre triste...et qui aller la venger...Une larme coula rapidement le long de sa joue...un autre soupir...tout se melangea, puis un son...un Bang unique ...Une faible douleur s'emplifiant, puis plus rien...le Noir total...la fin... |
| | | George Hammond---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 18.07.07 21:57 | |
| La ville
Tout s'était passé très rapidement, et elle gisait a présent la, sur le sol dallé, sans vie. La navette écrasée sur le batiment voisin semblait a présent totalement inoffensive, et son bras métallique s'écrasa sur le sol, comme une main subitement détachée de son emplacement habituel.
Et l'alarme se déclencha a nouveau. Son cri strident emplit a nouveau les esprits, provoquant chez le Commandant, qui avait déja subit cette torture, l'impression certaine que ses tympans venaient d'exploser.
Non loin de lui, le petit vaisseau désormais vide, semblait attendre vainement le retour de ses anciens occupants. |
| | | Nyphus---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 29.07.07 15:12 | |
| (Pas la motive...) Nyphus déposa un dernier regard au cadavre qui gisait devant lui. Elle était morte sous ses ordres, une de plus. Dans sa fougue des dernier instant elle était venue a bout des dernier garde de l'aéronef. Le commandant prit donc la lourde décision de continuer. Abandonner ses homme n'était pas concevable et la mort d'un autres non plus. Prenant la jeune femme dans ses bras il prit place a bords du petit vaisseau. Rudement bien aménager il refléter la pointe de la technologie des habitant de cette planète. Le cockpit était en rien semblable a ceux des chasseur terrien et le Torris en fut bien gêné.
Cherchant quelques minutes le système de fermeture, il faillit désespérer et croire a l'échec. Mais il n'en fut rien en s'asseyant sur le siège une sorte de protocole automatique se mit en place et une sorte d'appareillage vint se placer au niveau de son visage. Semblable aux programme d'aide au pilotage intuitif de l'USAF, ce dispositif réagissait aux mouvements oculaires. Une écran de pilotage virtuelle apparut avec de nombreuse données défilant sur le coté. "Sa pouvais pas être écrit en Anglais! Putain de machine de merde!"Il donna un grand coups dans le tableau de bords face a lui et la porte se ferma a son grand étonnement. Il venait de trouver l'une des commandes de l'appareille. Cherchant par la logique il tenta de déduire chacune des fonction des commande sous ses yeux. Il en repéra un qui avait toute les chances d'être celle des booster principaux. Il appuya dessus avec précaution mais rien ne se produisit. Inquiet il appuya une seconde foi pensant a un court circuit ou autre mais l'appareille restait inerte au sol. Hors de lui de ne pouvoir absolument rien faire il appuya sur le suivant et celui qui de droite, de gauche. Parcourant les touche telle une grand pianiste mais le vaisseau restait au sol encore et toujours. Inerte comme un cadavre d'espoir.
Ne voyant plus aucune solution il se laissa aller contre le siège tentant de faire le vide dans son esprit. Lui qui avait voler pendant de nombreuse année apres les SAS il n'aurait jamais pensait lamentablement échouer si proche du but a cause d'un appareil récalcitrant. S'énervant a nouveau il donnant cette foi ci un coups de pied sur le bas de la console et l'appareille réagit. Les voyant passèrent au vert et il décolla.
Nyphus releva brièvement l'auxiliaire de pilotage pour observer le plancher du vaisseau et put remarquer des capteur semblable au joystique de console vidéo. Il esquissa alors un sourire tenta de prendre ses marques avec ce moyen de pilotage inédit. Il remarqua rapidement que suivant les pression effectuer l'appareille monter ou descendais. Sous le pied gauche se trouvais les commande de réacteur donnant plus ou moins de puissance. "Et bien première foie que je peut me tourner les pouce en pilotant."Il posa ses mains sur les accoudoir et observa la ville cherchant a trouver l'issue pour la prison tant redouté par les habitant. Il la repéra a l'endroit indiquer par les deux jeune femme et décida d'y diriger sont vaisseau. L'espace aérien était désert sans doute les habitants de la tours était trop fier pour admettre la possibilité de se faire prendre un vaisseau. Cela les mènerait à leurs perte.
Tentant de ne pas trop réfléchir a ce qui c'était dérouler il se plongea dans l'analyse de la tours. Ce bâtiment était impressionnant, sa surface semblait recouverte d'une matière qui était imprégnait de lumière qu'elle reflétait comme bon lui chanté. Il pouvais presque entendre les voix des habitant qui lui parler, leurs accent si étrange. Cette langue lui rappelés étrangement celle des deux jeunes femme. Une sorte de mélange entre de l'anglais et de l'espagnole terrien. Ne comprenant d'ailleurs qu'un mots sur deux. Mais ce n'était pas le souvenir des deux jeune femme, car la voix était masculine, elle raisonnait de façon étrange. Comme si on lui ordonné de se rendre.
Un violent choque contre la paroi du petit engin le sortit de sa rêverie. Le sommeille mêlé au récente émotion semblait avoir commencer leur travail de sape sur son moral. Soudain le poste de pilotage s'assombrit ne laissant fusait que quelques petite lumière verte ci et là. Deux bras de commande sortir du tableau de bords tendis que les rendue réacteur s'affolait. Les énergie se trouvaient automatiquement détourner et un écran apparut représentant le vaisseau. de nombreuse runes clignotaient. "Que ce passe t'il!" Légèrement affoler le commandant se pencha de droite a gauche, cherchant ce qui l'avait heurter sans succès. Il pensa a une défaillance moteur au moment ou tous les voyant passèrent au rouge mais le vaisseau fit une rapide embardé et un projectile verdâtre passa non loin d'eux. "Bon sang! Je me suis fait locké!"Comprenant la situation il s'empara des deux bras métallique qui étrangement se déformèrent pour se reformer autour des siens. son siège s'inclina tendis qu'un courant d'air frai lui était envoyer sur le visage. La technologie mise au points dans ce vaisseau était tout bonnement incroyable. Son rythme cardiaque augmenta sensiblement et sa vision ce brouilla avant de complètement s'éclaircir. Une seringue se planta directement dans son coeur et il crut mourir. L'instant d'après était diffuser dans son corps des substance qui augmentèrent son acuité visuelle et ses réflex. Il parvenait a analysé plus clairement la situation et comprit le vaisseau. "Sa c'est énorme." Une demis seconde plus tard il effectua une vrille poussant les réacteur a plein régime. La vitesse atteinte fut stupéfiante. En quelques seconde il avait quitté la ville pour se retrouve a son extrême bordure. Un radars semblait indiquer la position de deux ennemis sur sa droite et d'une patrouille de trois au Sud. Les engagement était rapide et il réalisa que sans les produit que lui injecter le siège il aurait depuis longtemps baissé le rideau. Montant en flèche il laissa ensuite chuter son engin pour faire face au deux autres qu'il put détruire la seconde suivante. Le vaisseau réagissait directement a ses pensé et a ses mouvement anticipant les réaction adverse. Ce fut sans doute ce pilotage peut orthodoxe qui lui permit de survivre car les quelques pilote indigène ne parvenais pas a anticiper les mouvement de leurs adversaire. Ils découvrirent alors les limites de leurs puissance et furent détruit par leur incapacité a s'adapter... "C'est énorme!"Plongeant a quelques centimètre du sol il effectua une vole en rase motte sans aucune difficulté. Le vent n'avait aucun effet sur son appareille. Les autres pilote surprit de le voire disparaitre vers le sol apprirent alors que leurs capteur tant avancer n'arriver par a discerner cette appareille filant a toute allure et ils se retrouvèrent semé. Nyphus quand a lui monta a la vertical de la tours pour enfin entré dans l'endroit ou ses "amis était certain de ne jamais le voire. L'alerte transmise ce furent toute les force de la ville qui traquèrent l'envahisseur sans le soupçonner dans leurs QG. Il chercha alors ce qui pouvais ressembler a une plateforme de téléportation et la trouva finalement en plein milieux du hangar Supérieur de la tours. Son vaisseau vint s'y arrimer tendis qu'une base de donné apparut sur son écran projeter. Des millier de dossier était apparut contenant les photo, les relever médicaux, les noms et tous plein d'autre infos sur les ges emprisonné. Il chercha ce qui pouvait être une commande de transphére et teleporta les dernier membres emprisonner a bords. Ses dernier apparurent dans le programme interne du vaisseau. *Comment cela ce fait il que je n'arrive pas a les avoir. Je n'est que leurs fichier dont un présentant une erreur.* Il appuya sur une confirmation de touche et les membres de son équipe apparurent dans le hangar dont un mort... Surement celui qui était indiqué comme étant le programme corrompu. Il ouvrit la porte du vaisseau pour venir a leurs rencontre mais ce rendit compte qu'il ne pouvait plus bougeait. Son fauteuil le retenait et l'aiguille planté dans son coeur ne semblait pas vouloir se retirer. Il commença a beugler de façon bien sonore les appelant a bords. "Grouillez vous! Montez que l'on dégage d'ici!"Sa respiration devenait lourde et difficile, sans doute un contre coups des produit injecter durant le combat. Dire qu'il était prisonnier de ce vaisseau apparemment. Les supérieures militaire de cette planète ne tenait pas a rendre possible la désertion du poste de combat. "Tempérance est morte! Et les autres guss sont en train de retourner toute la ville, on a pas beaucoup de temps! Bastien! J'ai besoin de ton aide... Je suis prisonnier du poste de pilotage... "Il tourna la tête en direction de la porte attendant de voir ses hommes monter a bords, ses amis... Appuyer contre la paroi le corps de Temperance gisait foudroyer par la mort... Le commandant ce demandait bien qui pouvait être l'autre victime... [Silka n'est pas avec vous, mon perso ne la connait pas, il ne l'a donc pas téléporté.]
[J'ai fait avancer la mimi empiétant sur les pouvoir de MJ de Gégé je demanderait donc a ce qu'il valide ou pas mon poste. Ceci a était fait pour faire avancé l'histoire et nous permettre d'enfin la finir...]
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| | | Boba Fett---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 29.07.07 16:14 | |
| Ce dont je me souvenais avant de me réveiller était cette sal*perie de prison. Ses murs humides et noirs, cet environement hostile. Maintenant, ce fut comme une délivrance. Ca avait changer, c'était l'intérieur d'un vaisseaux. Puis je reconnu la voix.
-"Tempérance est morte! Et les autres guss sont en train de retourner toute la ville, on a pas beaucoup de temps! Bastien! J'ai besoin de ton aide... Je suis prisonnier du poste de pilotage... "
*Nyphus...*
Je me levais. Ma tête tournait. Je voyais le corps d'Oslote étendu par terre. Olorin était acoté de moi, dans les vappes encore. Il y avait tempérance, morte, elle aussi.
*Non ! Pas encore !*
Puis je remarquais que quelqu'un manquait a l'appel.
Nyphus ! Téléporte moi dans la prison ! On a oublié Sylka ! Elle nous a aidé, on peut pas la laissé la bas ! |
| | | Revolver Ocelot---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 29.07.07 18:12 | |
| [Le dernier poste d'Oslote. ] Oslote ouvrit les yeux, et sourit en voyant le bleu du ciel au-dessus de lui. Des nuages paisibles, jaunes et oranges, dérivaient lentement dans son champ de vision. Il les contempla quelques instants, puis se redressa pour s'asseoir en sentant la rosée sous ses paumes, et se rendit compte qu'il était nu. Tout en observant ses environs, il leva vers son visage une main qui sentait l'odeur de l'herbe mêlée à la fraîcheur cristalline de l'air. Un paysage d'une insurpassable beauté s'étendait devant lui: de hautes montagnes coiffées de neige éternelles et drapées d'une écharpe de sapins, de magnifiques forêts d'un vert émeraude qui s'étendait aussi loin que portait son oeil, et une large rivière à l'eau écumante. Des centaines d'herbivores à long poi paissaient sur la plaine, que survolaient des oiseaux bruyants aux pennes élancées. Oslote était assis sur la pente au pied des montagnes, le soleil lui réchauffant le visage, dans l'herbe d'un absolu. « Alors voilà... Se dit-il calmement lui même. Je suis mort. » Personne ne lui répondit, mais il n'avait pas attendu de réponse. C'est donc cela qui arrivait quand une personne mourait ? Il se souvint vaguement que quelqu'un lui avait fait un discours sur le « Paradis » et l'« Enfer »; des mots creux, censés promettre la récompense de l'obéissance, et le châtiment de la méchanceté. Il prit une longue inspiration, chargée d'un parfum de bonne terre: les senteurs d »un monde inconnu et sauvage, et de toutes choses vivantes qui l'habitaient. Il distinguait même l'odeur de l'air et fut ébahi par sa pureté. Sa fraîcheur vive lui remplissait les poumons. Mais comment était-il arrivé là et... Où était-il ? Il se trouvait auparavant... Où ? Il ne se rappelait plus. Son était Oslote, sorti de quoi, il ne lui restait que des fragments de souvenirs effacés qui en cet instant même, devenaient plus inconsistants à mesure qu'il cherchait à les retenir... Boba Fett... Capitaine Boba Fett... Nyphus... Commandant Nyphus... Bastein Olorin... Capitaine Bastein Olorin... Temperance Brennan... Scientifique... Ces noms qui lui venaient de nul part, qui étaient-ils ? Mais pourquoi de tel noms lui revenaient comme ça ? Il chercha en vint. Décidant qu'il devait essayer d'en découvrir plus sur son environnement, il se leva. Ses dents crispèrent quand il se servit des muscles de son épaule.Il vit une tache de sang tremper sa robe de laine Blanche. N'était-il pas nu une seconde plus tôt ? Oslote n'y pensa plus et se mit à rire. Peut-être que l'enfer n'existait pas, mais cet endroit ressemblait assez au Paradis. Sa gorge était séché, il se dirigea vers la rivière, en sentant la douceur de l'herbe sous ses pieds maintenant causés de sandales. Il s'en trouvait plus loin qu'il ne le pensait et le trajet allait lui prendre plus longtemps qu'il ne s'y était attendu, mais cela n'avait pas d'importance. La beauté du panorama méritait d'être savourée, et bien qu'une intuition insistante lui troublât les pensées, il l'ignora et continua sa route. Quand il leva la tête vers eux, les pics semblaient atteindre les étoiles. Leurs sommets se perdaient entre les nuages et les émanations de fumées nocives. Oslote cligna des yeux; une image de montagne de fer et de ciment persista un instant sur sa rétine. Il la chassa, se croyant troublé par la nouveauté de cet environnement, et continua de traverser les hautes herbes ondoyantes de la plaine, en sentant les ossements et les scories d'innombrables sicles d'industrie crisser sous ses pieds. Oslote sentait maintenant dans sa bouche un goût de cendre, et avait plus que jamais besoin de boire. La puanteur chimique empirait à chacun de ses pas; il reconnaissait les relents du benzène, du chlore, de l'acide chlorhydriques et de grandes quantités de monoxyde de carbone, des substances mortelles pour n'importe qui, sauf lui, à ce qu'il semblait. Et il se demanda brièvement comme,t il connaissait toutes ces choses. La rivière s'écoulait juste devant lui. Il marcha dans l'eau peu profonde de ses berges, dont il apprécia le froid mordant. Il se baissa, les deux mains réunies en une coupe. L'eau glacée lui brûlait la peau, des déchets miniers fondus s'écoulaient en filets corrosifs entre ses doigts, et il la laissa retomber dans la rivière pour s'essuyer les mains sur sa robe, à présent déchirée et tachée de suie. Il leva les yeux; les montagnes scintillantes étaient devenues de vastes tours d'airan et de fer, qui soutenaient vers le ciel des portes semblables à des bouches géantes, capable d'avaler et de vomir des armées entières. Des ruisseaux de produits toxiques se déversaient de ces tours, empoissonnant la rivière; autour d'eux le paysage se flétrissait et mourait dans l'instant. Dérouté, Oslote s'écarta du cours d'eau en reculant, lutta pour garder prise sur cette nature verdoyante qui l'avait entouré, et chasser la vision de ce royaume macabre de ruine et de désespoir. Il tourna le dos à la montagne sombre: devant lui se dressait une falaise de fer noirci et du rouge le plus profond, au sommet caché par les nuages hauts, au pied tapissé de rochers et de crânes. Il tomba à genoux, en s'attendant à trouver la douceur de l'herbe, mais ses rotules percutèrent lourdement un tablier fracturé de centre et de fonte, où des tourbillons de poussière se soulevaient dans la tempête. « Mais que ce passe-til ? Oslote avait roulé sur le dos et crié vers le ciel pollué, strié de bande ocre et violettes. Il se releva et courut, courut comme si sa vie en dépendait. Il courut, abusé par ses sens, au travers de ce paysage qui d'un instant sur l'autre passait d'une douloureuse beauté à une vision cauchemardesque, en l'espace d'un battement de coeur.
Oslote avait gagné la forêt, où les troncs noirs des arbres se brisaient sur le passage de sa charge haletante. L'entremêlement des branches dansait devant ses yeux, ainsi que de hautes tours d'acier et de verre, les ruines grandes cathèdrales et de palais effondrés, abandonnés à l'érosion du temps. Des hurlements d'agonies résonnaient autour de lui, et Oslote s'arrêta dans sa folle course quand le bruit pénétra les brumes de son esprit. L'intuition fuyante mais insistante qui l'avait taraudé reconnaissait une importance à ces bruits. Ces cris endeuillés retentissaient sur cette terre, tel un choeur de voix qui s'adressait à lui. Oslote les reconnut comme les hurlements de loups. Il sourit, et tomba à genoux, une main serré sa Dragunov et l'autre sur son épaule, dont la douleur cuisante le lança dans le bras et jusque dans la poitrine. Avec cette souffrance lui revenait sa clarté d'esprit; Il s'y accrocha, pour contraindre sa mémoire à lui revenir par la force de sa pensée.
Les voix des loups hurlantes lui parvinrent à nouveau et il cria vers les cieux. « Qu'est ce qui m'arrive ?! » Autour de lui, les arbres s'animèrent d'un mouvement; une 'meutes' d'une centaines de victimes surgit des broussailles pour l'entourer, les yeux fous. Oslote gardait sa main fermé sur le manche de son arme. Son autre bras engourdi, comme s'il n'avait plus fait partie de son corps. « Qui es-tu ? Demanda un loup le plus proche. Oslote cligna plusieurs fois des yeux.-Je suis Oslote... Répondit-il.Qui es-tu ? Répéta le loup.-Je suis Oslote! Beugla-t-il. Que veux tu de moi ? -Je n'ai pas beaucoup de temps mon frère, dit le loup. Tandis que la meute commençait à l'encercler. Tu dois te souvenir avant qu'il ne vienne te prendre. Qui es-tu ? -Je suis Oslote, et si je suis mort, alors laisse-moi en paix! Cria-t-il en se relevant d'un bond pour repartir en courant vers les profondeurs de la forêt. Les loups le suivirent, trottant à ses côtés, se calant sur son allure tandis qu'il courait au hasard du crépuscule. Sans cesse, ils lui répétant la même question, au point qu'Oslote en partit toute notion de direction et du temps. Il courut en aveugle jusqu'à finalement émerger des arbres devant un large cratère à hauts bords et un trou rempli d'une eau sombre et tranquille, ouvert dans le paysage. Le ciel au-dessus de lui était noir et sans étoiles, mais une lune au blanc le plus pur brillait comme un diamant sur la voûte céleste. Il cilla, leva sa main pour abriter ses yeux de la clarté de ses rayons, il observa les eaux du cractère, certain que quelque présence indicible se cachait dans ses abysses glacés. Oslote regarda derrière lui pour s'apercevoir que les loups eux aussi quitté la lisière de la forêt et se remit à courir, poursuivi jusqu'au bord de cratère par leurs hurlements. En contrebas, l'eau demeurait plate comme un miroir poli, et reflet de la lune envahit soudain sa vision. Les loups hurlèrent à nouveau. Oslote sentait les profondeurs de l'eau exercer sur lui une irrésistible attraction. Il regarda le reflet de lune, et écouta la compagnie de loups donner une dernière voix à sa question, avant de se jeter dans le vide. Il tomba. Tout tourna autour de lui, et sa mémoire elle aussi se mit à tourbillonner. Oslote, Russie, Lieutenant. Le SGC... Tous les éléments se remirent en place.
-Je suis le Lieutenant Oslote Shakalaska membres du SGC! Il frappa la surface de l'eau, qui explosa en fragments de verre noir.Oslote ouvrit les yeux, et sourit en voyant le bleu du ciel au-dessus de lui. Des nuages paisibles, jaunes et oranges, dérivaient lentement dans son champ de vision. Il les contempla quelques instants, puis se redressa pour s'asseoir en sentant la rosée sous ses paumes, et se rendit compte qu'il était nu. Tout en observant ses environs, il leva vers son visage une main qui sentait l'odeur de l'herbe mêlée à la fraîcheur cristalline de l'air. Un paysage d'une insurpassable beauté s'étendait devant lui: de hautes montagnes coiffées de neige éternelles et drapées d'une écharpe de sapins, de magnifiques forêts d'un vert émeraude qui s'étendait aussi loin que portait son oeil, et une large rivière à l'eau écumante. Des centaines d'herbivores à long poi paissaient sur la plaine, que survolaient des oiseaux bruyants aux pennes élancées. Oslote était assis sur la pente au pied des montagnes, le soleil lui réchauffant le visage, dans l'herbe d'un absolu. « Ça suffit, dit-il en se relevant. Je sais que je ne suis pas mort alors que se passe-til ? » Encore une fois personne ne lui répondit, même si cette fois, il s'était attendu à une réponse. Il marcha alors dans la plaine verdoyante, la fraîcheur de l'herbe ne le fit plus sourire, il tenait toujours sa Dragunov et sa main gauche pendait dans le vide. Pourquoi ce souvenir de son identité pour ne voir personne venir lui demander ? A cette pensée il crut entendre un bruit venant de derrière lui, puis un autre et enfin une voix s'élevant de la forêt. « Bonjour Oslote. La voix était chaleureux mais pourtant personne n'était à l'endroit qu'où elle venait. -Où êtes-vous ? S'inquiéta rapidement le Lieutenant.-Je suis partout et nulle part... Un ricanement lugubre cerna la plaine, puis un grondement et en l'espace d'un clignement de sourcil, tout était noir à part l'endroit où se tenait Oslote. Un homme apparut alors, il était habillé de blanc, un beau costard avec une cravate Noir. Il sourit doucement, son visage parfait, sans défauts. Me voilà. -Qui êtes-vous ? Répéta Oslote.-Tu ne le sais toujours pas? Je suis ce que l'on appelle sur ta planète l'ange de la mort. -Donc je suis mort ? Oslote soupira et lâcha son arme qui tomba dans un bruit sourd.-Oui mais ta mort restera dans les mémoires de trois personnes pour ton courage, ta rage et ta folie surtout... L'ange ricana doucement. -Vous faites de l'humour. Oslote avait un ton froid et l'ange afficha un sourire. Il sorti de sa poche un parchemin jaunâtre et le déplia. -Oslote accepte-tu de me suivre ? Oslote fit oui de la tête et une porte s'ouvrit devant lui, il la passa avec l'ange et celle-ci se ferma plongea dans la pièce dans le noir.-Et bien je suis mort... » |
| | | Bastien Olorin---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 31.07.07 15:06 | |
| Olorin se reveilla en se massant le crane. Celui ci etait tres douloureux et Bastien se demandait se qu'il s'était passé.
Il était dans un vaisseau et Nyphus était au commande. Olorin se releva et se plaça à coté de lui.
"Merci beaucoup de nous avoir sortit de cette galere. Je vous paye un verre une fois sur Terre."
Au cri de Fett, Olorin se retourna et vit que effectivement, la jaffa n'était pas là.
"Elle nous a aider et on a ditr qu'on la sortirait de là. Nyphus, il faut qu'on y retourne!"
Deja, le ciel en face se couvrait d'une nuée d'aeronefs. Apparemment, les ennuis n'étaient pas finis. |
| | | George Hammond---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 03.08.07 14:48 | |
| Alors que la décision d'abandonner ou non Sylka tournoyait dans les esprits de chacuns, l'ennemi déployait rapidement ses forces au sol, et dans les airs.
De loin en loin, d'immenses tours de verre crachaient vers le ciel des torrents de vaisseaux grisâtres, qui s'élevaient aussitot dans l'infini du firmament, obscurcissant l'horizon de taches sombres et inquiétantes. Aux pieds de ces Dames de cristal, affluaient de longs véhicules du même gris, filant rapidement vers l'Ouest, leurs cranes de métals tranchant l'air comme un sabre. Partout, ces nuées d'étranges insectes se ruaient vers un unique point de convergence: la prison d'Infernis.
Moins d'une minute s'écoulerait avant que les premiers tirs ne retentissent sur ce lieu de réunion improvisée, indicible théatre d'évênements a venir.
Dans la prison, rien ne venait troubler la sieste collective des prisonniers d'Infernis. Sylka, allongée sur le sol, les paupières quelquefois tourmentées d'insolites cauchemars, n'avait pas conscience qu'elle était devenue l'objet de tout les dangers: récupérer cette dernière prendrait un temp que l'équipe n'avait pas.
Et la voute célèste se teintait de gris, progressivement recouverte de cette attroupement spatial, dont les milliers de bras métalliques fouillaient l'air comme des serpents. |
| | | Bastien Olorin---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 20.08.07 8:56 | |
| Deja, les premiers tirs fusaient autour du vaisseau. Un des laser ricocha sur la coque. L'interieur parut un instant se retourner face à la puissance du tir.
Bastien Olorin tomba sur le sol ainsi que plusieurs caisses trainant dans le vaisseau. Il se releva et agrippa Nyphus.
"Il nous faut prendre une decision maintenant!!! Dans une minute, il sera trop tard."
C'etais la panique dans le vaisseau. Personne ne semblait quoi faire.
"Nyphus, tu decides si on recupere Sylka ou non. En tout cas, pour partir d'ici, tu devrais essayer de te diriger vers où nous sommes apparus. Nous verrons bien ce qu'il va se passer." |
| | | George Hammond---------------- ---------------- ----------------
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 22.08.07 17:41 | |
| Bastien, allongé sur le sol, le regardait les yeux vitreux. - Ny... Nyphus... J... Je sui Il était mort. L'étincelle de son regard si communicatif avait disparue, écrasée par l'ennemi, dont les tirs retentissaient autour de lui.
Boba, dont le P-90 ne cessait de faire des ravages chez les troupes ennemies au sol, s'arrêta soudain. Un filet de sang coulait sur ses mains terreuses.
Il ne sentit rien. Il comprit juste, a la vue du sang qui dégorgait rapidement sur sa poitrine, qu'il était mort. Sa vue se brouilla, et il plongea.
"Il nous faut prendre une decision maintenant!!! Dans une minute, il sera trop tard."
En moins d'une seconde, le commandant Nyphus avait vu défiler devant ses yeux le scénario catastrophe. Ils étaient tous morts. Il les avait tuer. Sans réfléchir une seconde de plus, il prit la décision d'abandonner la jeune Jaffa dont l'équipe parlait pour partir au plus vite. Et son poing s'abbatit brusquement sur le "tableau de bord" de la navette, dont les portes se refermèrent sur les trois survivants de cette mission catastrophe. Et le vaisseau s'éleva dans les airs, alors qu'autour de lui résonnais déja les tirs des premiers vaisseaux ennemis.
Nyphus manoeuvrait avec une précision presque parfaite, évitant a quelques centimètres près les tirs de l'ennemi, dont la cadence et le nombre ne cessait de s'accroitre. Au sol, le spectacle était hallucinant. Des milliers de véhicules gris, semblables a des fourmis, filaient tous dans la même direction que la navette en fuite. Tout a coup, alors que Nyphus évitait un tir de justesse, un coup sourd et brutal propulsa les trois membres de l'équipe vers l'avant de l'appareil.
Touché a l'arrière, l'un des réacteurs qui propulsait la machine semblait avoir laché, déstabilisant ainsi la navette, et l'entrainant dans un début de chute. La Tour était en vue. Le Lt Colonel, dont la concentration avait atteint son maximum grace au liquide que lui injectait la machine, faisait tout pour stabiliser l'appareil et le diriger avec un minimum de prudence vers la lumière rouge, désormais visible près de la maison ou deux d'entres deux avaient pénétrés quelques jours auparavant.
Et a nouveau, dans un choc beaucoup plus violent cette fois, la navette fut touché, sur le coté droit, déviant légèrement l'appareil vers la gauche. Nyphus fut projeté violement sur la paroi de l'appareil, et la "seringue" au niveau de son coeur s'enfonca un peu plus. Un filet de sang coulait d'une de ses tempes. Il ne bougeait plus. Et la navette s'écrasa sur le sol, dans un bruit cataclysmique de métal arraché. Déja, une dizaines de "soldats" ennemis s'attroupaient autour de l'appareil hors d'état de nuire. Boba, se saisissant d'une des armes a bord de l'appareil, réussit, grace a la protection de la porte du vaisseau, qui s'ouvrait et se fermait désormais avec une facilité enfantine, a en anéantir la plupart. De son coté, Bastien avait entrepris d'arracher la seringue de l'appareil, sans la retirer du corp pour éviter une hémoragie trop importante.
Bientot, alors que Boba anéantissait les dernières forces au sol présentes, Olorin sortait Nyphus du vaisseau. La lumière rouge scintillait, a une cinquantaine de mètres d'eux. Le ciel s'assombrissait. Ils couraient, emportant dans leur course le Colonel, dont ils ignoraient désormais l'état de santé. La lumière se rapprochait. Une trentaine de mètres. De nombreux véhicules gris faisaient leur apparitions, partout. D'abord quelques tirs dans leur directions, puis des dizaines. Plus qu'une quinzaine de mètres. Un tir d'une des navette explosa près d'eux, et les débris d'un lampadaire s'écrasèrent sur le sol. Une dizaine de mètres. Une chance inouie semblait les bercer. Aucun tir ne touchait les membres de l'équipe. Plus que quelques mètres.
Une violente douleur lui déchira l'épaule droite. Olorin s'écrasa sur le sol, tentant de sa main gauche de se trainer jusqu'a la lumière. Boba portait Nyphus jusqu'a celle ci. Sans prêter attention a l'aveuglant flash rouge qui lui transperca les pupilles, il retourna chercher Olorin, a tatons, sa vision presque complètement hors circuit sur le moment. Il l'aida a se relever, et tout d'eux s'avancèrent, le pas tibutant, vers la seule issue possible de ce cauchemar infernal.
Une vingtaine de mètres derrière eux, des dizaines de soldats tiraient dans leur direction, courant vers eux.
Fett s'écrasa dans la lumière. Un tir ennemi venait de le toucher en plein dos, provoquant une paralysie temporaire dans tout son corp.
A des centaines de kilomètres de la, au dela du ciel de la planète, une porte des étoiles s'enclenchait sur une lune déserte. Un flash rouge.
Des ruines. Quelques rochers. Le dome. Le DHD. Malgré la douleur, Olorin tentait de faire le point. Rapidement, il comprit, ils étaient de retour sur la planète. Tentant de se relever, son pied glissa sur une tablette, dont les symboles présents s'inscrivèrent dans sa tête, comme une photo. Il se releva, tentant de faire abstraction de la douleur, et aperçut Boba, qui semblait dans l'impossibilité de bouger. Les yeux du Capitaine roulaient dans leurs orbites, témoins effrayants d'une impitoyable douleur.
Le scientifique en oublia instantanément la présence de la tablette, mais boosté par cette vision d'horreur, Olorin se rua vers le dhd, composa le code vers la Terre. Et c'est alors qu'il se rappella. Le GDO. Aucun d'entre eux ne le possédait encore. La porte s'ouvrit, ses reflets bleutés semblant inviter le scientifique a venir éponger sa douleur dans son eau tiède. Il la contempla, cherchant vainement dans sa tête une solution, une issue, quelque chose. Et la douleur l'emportant, il se laissa tomber sur le sol déja taché de son propre sang, et plongea dans une malveillante inconscience.
Les trois survivants de cette apocalyptique mission gisaient désormais seuls, sur le sol de sable brulant.
Le Lt Colonel Nyphus, dont la seringue désormais vide restait désespérément planté dans son coeur, semblait en piteux état. Entre la vie et la mort, celui ci voyait tournoyer dans sa tête, comme un dernier film avant le noir, des images de son voyage sur Terre, des images d'un passé dramatique, quelquefois refoulé dans des recoins sépulcrals de son esprit complexe...
De son coté, le Scientifique et Capitaine Olorin, dont les paupières refermées s'agitaient quelquefois - comme pour témoigner de l'horreur des images qu'il voyait défiler dans sa tête - nécéssitait également les soins les plus rapides. Le sang affluait a gros bouillon de sa blessure a l'épaule, et autour de lui le sable s'était teinté d'un inquiétant rouge sombre. Il ne faudrais pas longtemp a Bastien pour rendre l'âme, et laisser a jamais sur le sable reposer son corp meurtri.
Le Capitaine Fett, dont les yeux s'étaient désormais fixés sur le sol, ne pouvait toujours pas bouger. Du sang s'écoulait lentement de son dos, mais il ne ressentait aucune douleur. Les questions fusaient dans sa tête, et a la pensée d'être paralysé définitivement, son esprit fuyait, il voulait a tout prix empêcher cette lugubre idée de faire son chemin. Sans secours, c'était la folie qui guettait Boba, bien avant la mort. L'esprit a quelquefois d'étrange facon d'éviter une souffrance impossible a atténuer... |
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion 26.08.07 15:16 | |
| Ils passèrent la porte. Le docteur Naidu fermait la marche, et après un dernier regard derrière elle pour vérifier rapidement que rien n'avait été oublié, elle traversa aussi. Un morceau de la tablette dépassait du sable, mais faisait penser d'ici a un morceau de bois trainant ici depuis des années.
Il s'écoulerait du temp avant que Boba ou Bastien soient suffisament remis en état pour pouvoir signaler au SGC que la clé pour Atlantis trainait ici, dans le sable. D'ici la, cette dernière restait la, sous le soleil chaud de cette étrange planète, a attendre que quelqu'un vienne la chercher...
Quelqu'un... |
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| Sujet: Re: Mission Epique Atlantis: Passion | |
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| | | | Mission Epique Atlantis: Passion | |
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