Marie tocqua à la chambre privé et sur l'ordre de Paul elle rentra.

Paul cheri, je suis la.

Dit t'elle d'une voix sensuelle et en le regardant, tout en fermant la porte à clé.

Alors que Paul regardait la télé Marie Cruk, que Paul avait invité entra. Paul jeta sa biére et ferma la télé.

OH, mon choux à la crémé.

Dit t'il en la regardant et lui fit un signe de la main pour qu'elle vienne sur le lt.

Marie arriva au niveau du lit, elle monta dessus et monta meme sur Paul, elle arrache son chemiser puis enleva le maillot de Paul, avant de commencé à faire des bisous à Paul partout sur sa poitrine et son visage.

Se soir je suis à toi, mon chaud lapin.

Dit Marie avant d'enlevé doucement le pantalon de Paul et de voir son string blanc à coeur rouge trés sexy.

Marie monta sur Paul, elle arracha sont chemisier, Paul avait les yeux grand ouvert, en regardant la poitrine de Marie. Marie qui part la suite enleva le maillot et le pantalon de Paul. Pour avoir une meilleur vue sur sa poitrine, Paul enleva le soutife de Marie. Puis Paul mits sa tête entre ses 2 melons et la secoua dans tout les sens.

Se soir, sa vas etre ta fête ma jolie.

Marie remarqua que Paul avait les yeux fixé sur sa poitirne, aprés un certain temps, il enleva le soutif de Marie et metta sa tête entre ses deux "melons" et la secoua dans tout les sens, ceux qui fit rire Marie.

Vas s'y mon coco!!!Donne moi du plaisir!!!

Puis Paul enleva doucement, avec ses dents, la jupe et la petit culote de Marie. Dans la continuité de cette action, Marie enleva, le sting blanc à coeur rouge de Paul, pour voir le "gros matos" à popole.

Paul remonta le corp de Marie, en déposant des bisous à chaque fois, arrivé au niveau [Censuré], Paul fît pousser un petit crie de plaisir par Marie. Puis Paul continua sont assenssion, arrivé au niveau de la bouche, nos 2 passionnés de XXX se roulérent des peles. En même temps au niveau [Censuré] se déroulé une [Censuré].

Ah...OH....c'est bon!!!!

Cria Marie, qui était toute heureuse. Paul était en train de la ramené au 7éme ciel.

Plus le temps passé, plus Marie était aux anges. Elle esperait qu'une chose que cette nuit allait être longue pour que sont moment de plaisir avec Paul dur le plus longtemps possible. Ils continuairent de s'embrasser langoureusement, pendant 2 baisés, Marie arriva à pousser quelques crie de joie. Elle avait un grand sourrire sur son visage.

Le plaisir était tel, que sa tête cogna parfois contre le mur, tellement ils y mettaient de plaisir et de force. Marie n'avait jamais connu un tel plaisir.

T'es le premier homme qui me fait tant de plaisir.

Aprés une nuit de folie passer avec Marie, Paul était au ange, combler. Il y a eu cette nuit, une telle passion, un tel plaisir, une telle force. Mais malheuresement, le reveille sonna. Paul se leva et dit à Marie.

Bonjour ma jolie.

Puis il s'habilla et partie vers la salle de cours au le premier cours allez commencer.

Au suivant XD

(Oué !!!! C'est à moua XD)

Une fois arriver dans la chambre, nos deux excités se hâtèrent d'aller vers le lit. Poussant Cassie sur le lit, il lui sauta dessus en laissant ses mains se baladaient sur tout son corps fraîchement parfumé au pastaga. Il déchira sa belle robe qu'elle venait juste d'enfiler pendant le premier cours et parsema sa poitrine très bien proportionné de baisers aussi doux qu'un porc-épic.

Samerlipopiette ! J'ai du oublier un truc.

Il chercha dans ses poches, fouilla partout sur lui, mais rien. Il n'en avait pas une seule ! Il vida les tiroirs des tables de chevets, peut-être que l'un des précédents candidats avait oublier de les reprendre.

Jésus, Charly, Claudette ! J'en ai trouvés ! Alors, parfum, senteur kanjpètesanssentlarose, ricard ou paupiette ?

D'un air alléché, il regarda le corps de la jeune femme, un filé de bave coula lentement de sa bouche pour finir sur son torse qu'il étala avec désir; Il regarda la jeune femme prude et son esprit s'évada quelques instants, au moment ou il avait du courser une horde de jeune femme vierge dans les près de Montminou avec pour seul vêtement, un sac à main de chez Auchan. Il dévora sa belle des yeux, attendant le choix de cette dernière avec impatience pour pouvoir enfin commencer à chevaucher cette belette.

Cassandra se laissa deshabiller à la hussarde, mais avait-elle vraiment le choix ? Elle souriait niaisement à son amant empressé, qui visiblement, n'avait pas tremper son biscuit depuis un bon moment .
Il chercha frénétiquement un objet, qu'il finit par trouver, et qu'il exhiba triomphalement . Cassandra resta quelque peu décontenancée, puis avec un sourire tout à fait mondain, répondit :

Et bien, mon cher... Je n'en reviens pas de votre hate ! Auriez vous peur de rater le sprint final ? Soyez raisonnable, et parlez moi un peu de votre enfance . Votre mère n'était-elle pas castratrice ? D'où vous vient cette angoisse de l'échec ?

Cassandra, nue, chaussa des lunettes, qu'elle extirpa d'entre ses seins, et invita John à s'étendre, pour commencer son analyse .
Ele avait un diplome de psychologie de Stanford, et comptais bien épater son compagnon, par ses connaissances, et la profondeur de son esprit .
Lors, LLewelyn reprit le controle de la situation .

Ah ! Quel braquemart, mon manant ! Auriez vous emprunté celui de votre noble destrier ? Montjoie ! Taîaut ! Hardi ! A l'attaque, mon brave, et pas de quartier !

LLewelyn prit les choses en mains, ( si j'ose m'exprimer ainsi.. Oui, j'ose !) et retourna John d'un coup de rein vigoureux, pour qu'il se retrouve, à sa merci . Un sourire de prédatrice illuminait son visage . Ca allait être sa féte, llewelyn était une courtisane avérée, et il risquait d'envisager l'existence sous un autre jour, aprés ce qu'elle lui réservait .[/b]

Johnviève avait arrêté sa folle conquête du Saint-Graal le temps de choisir le ballon qui conviendrait à leurs folles nuits de débauches arrosés à l'hydromel. Cassie avait prit la parole et avait réussi, bien malgré lui, à lui couper tout ses effets. Surpris par son attitude, il s'exécuta et s'allongea sur le lit afin de parler de sa vie et de ses craintes.

Heu....ma mère est morte dévoré par les loups pendant que mon père se pochtronner à la taverne ! J'ai été élevais par un gnome des forêts du nord unijambiste qui dansait à la pleine lune au milieu de douze statuettes enroulées dans du jambon...

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que Cassie avait reprit fougueusement les rennes. Elle le retourne d'un coup sec et ce dernier redoubla d'excitation.

Mamie ! Quel joie de vous sentir aussi dominante ! Je suis votre esclave, faites de moi ce que vous voulez.

Cette phrase lui rappela la fois ou il s'était baladé dans une forêt et qu'une tribu d'amazone lui était tomber dessus. Elles l'avaient attacher autour d'un totem indien et avait profiter de sa personne bon nombres de fois, utilisant diverses objets plus insolites les uns que les autres...

Lorsque Cassie lui racla le fond de l'oreille avec sa langue, une excitation grandissante survint en lui, il se senti rempli de gaieté et lui lécha les trou de nez afin de, lui aussi, contribuer au nettoyage de sa partenaire, comme les singes le faisaient habituellement entre eux, se cherchant les poux pour les manger ensuite. Il fut légèrement vexé par son allusion à ses capacités limitées mais rétorqua aussitôt.

Vous êtes bien bonne, je n'aurais aucun problème pour vous faire grimper au rideau. Et ceci n'est pas une métaphore.

Elle continua sa psycho de cuisine et lui demanda si la perte de ses parents avaient des répercussions sur sa capacité à s'engager avec les femmes, ce qu'il trouva absurde.

Gné?!!! Évitons de parler !!!

Toutes ces positions le rendait jouissif. Il mit lui aussi un peu de coeur à cet emboîtage, tel des legos que des enfants enfoncer l'un dans l'autre pour s'amuser, et trouva lui aussi quelques positions bien sympa, la pirouette du gnome lanceur de haches, le poirier de l'elfe déchiré, le voleur de canoute, la chevauchée des 7 nains et la folle randonnée de l'ogre castré. Mais malgrè tous ses efforts, Cassie n'avait pas l'air de s'amuser autant que lui, il décida de mettre tous ces talents en action, il l'accrocha au lustre et lui sauta dessus comme il l'avait fait avec cette fille africaine vendeuse de bonobo séché qui lui avait demandé de mettre un peu de fantaisie dans sa vie, ce qu'il avait fait avec plaisir, cependant, la pauvre femme avait fini tétraplégique, ce qui avait largement flatté son ego...

cassandra laissa l'imagination débordante de son partenaire à l'oeuvre, et émit de petits cris polis .

Je n'attends que ça, John ! Allez y, lachez la béte qui sommeille en vous, mon cher !

Apparemment, il l'a prit au mot, et se prit pour Tarzan, plongeant de sa liane . Comme ele n'était ni Jane, ni Cheeta, elle effectua un roulé boulé impeccable, ses réflexes de combattantes reprenant le dessus, et d'un geste sec et précis, elle le cloua au lit, l'étranglant à moitié .

Oh, pardon, je m'excuse !

Ceci l'avait fort excitée, et feulant comme une lionne en chasse, elle se rua sur le pauvre John, qui n'y comprennait rien, et se mit à onduler, féline .
Dans son esprit l'image d'une cocotte minute en pression se forma, et le bidule se mit à tourner et tourner de plus en plus vite, jusqu'à émettre un sifflement .

OUIIIIII !

Le cri libérateur de Cassandra fit vibrer toutes les vitres du chateau, brisant tous les verres en crystal de la maisonnée .

Cassandra était décidément une fille positive !

Alors qu'il accomplissait ses prouesses connues de part le monde, il se retrouva cloué au lit en pleine action...en train de subir la fougue de la jeune femme qui s'était cru dans Rambo et commencé à l'étrangler comme une furie en manque de sensations fortes. Mais il s'aperçut vite que ce geste n'était pas totalement mauvais, il avait rendu cette sauvage en transe et l'acte n'en était que plus bestiale. La sensation qui le parcourait de toute part lui monta au cerveau et il se rappela de cette fameuse nuit avec Olga, la fille de l'Est, qui l'avait complètement vidée.....dans tous les sens du terme. Et c'est à l'unisson qu'ils crièrent tous les deux en signe du plaisir absolu qui venait de les pénétrer.....surtout elle...

OH ! MOOOOUUUUUIIIIIIHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!

L'épuisement suivit ensuite ce moment intense en hurlement des plus bizarres, il la poussa sur le côté afin de récupérer. Et ne perdons pas les bonnes valeurs qui font de l'Amérique un pays si agréable, la cigarette après l'amour....tu pourrais l'éteindre quand j'te bour**....mon aaaammmooouuurrrrr...comme disais la chanson de chépluski...si c'est son nom. Il alluma donc sa clope et s'amusa à faire des ronds quand il recrachait la fumée. Son manque totale de savoir vivre le frappa et il prit le paquet et le tendit à Cassie.

Tiote clope ma cochonne ?!!!

(coooollleeeuuu, finir se rp pervers avec un nombre de mess qui s'élève à 1969....c'est fort !!! )